Layout Land - la chaine pédagogique de Jen Simmons de Mozilla
▻https://www.youtube.com/channel/UC7TizprGknbDalbHplROtag
Nouvelles vidéos deux fois par semaine.
Exemple
▻https://www.youtube.com/watch?v=dQHtT47eH0M
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Comment améliorer les relations entre police et citoyens ?
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/comment-ameliorer-les-relations-entre-police-et-citoyens
Une vaste étude comparative sur les relations entre police et population à travers le monde a été publiée récemment. Si les situations sont inégales selon les pays et les régimes, la France fait figure de mauvaise élève au sein de l’Union européenne. Comment restaurer la confiance entre policiers et citoyens ? Éléments de réponse avec le politologue Sebastian Roché, codirecteur de l’étude.
Comment décririez-vous la situation française, par exemple ?
S. R. : Elle est assez mal placée en Europe. Lorsque l’on compare le degré de #confiance accordé à la police, nous sommes dans le tiers inférieur de l’Union européenne à 27, plus proches de la Grèce et de la Bulgarie que de l’Allemagne ou du Danemark.
On retrouve chez nous sans surprise les deux faiblesses que j’évoquais : un #ciblage excessif des #minorités, ethniques notamment, dont il est en outre plus difficile de débattre qu’en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, par exemple ; et, d’autre part, des modalités d’intervention plus autoritaires. La comparaison entre la France et l’Allemagne est éclairante à cet égard. Nos agents baignent dans une culture fondée sur le principe « force doit rester à la loi », tandis que les Allemands communiquent davantage lors de leurs interventions.
#police #Eurojustis #égalité #discriminations #biais_inconscients #religiosité #Fergusson #intégration #corruption
Herman Style Guides | OddBird
▻http://oddbird.net/2018/01/03/introducing-herman
If it’s not documented, it doesn’t exist. Documentation should become the default – an integrated part of the development process.
—Miriam Suzanne (me)
Parallax scrolling with CSS variables | basicScroll
▻https://basicscroll.electerious.com
via @mist_
#parallax #intégration #web #CSS #HTML #Javascript #css-variables
– démo sur codePen : ▻https://codepen.io/electerious/pen/gLLozQ
– le Github du projet : ▻https://github.com/electerious/basicScroll
Qu’elle classe ce code css ;-)
Responsive Elements - Semantic
▻https://semantic-ui.com/examples/responsive.html
Bon semantic ui est bien connu, plus qu’il n’est utilisé certainement. Mais en retombant dans mes notes, sur cette page, je suis toujours séduis par l’approche de ce code css.
Loin des BEM, et autres méthodes verbeuse et finalement lourdes à rédiger, la on est dans la simplicité, tout semble logique, lisible.
Si on regarde bien comment c’est foutu, on se rends compte que la spécificité des classes est super ciblé, verrouillée, sans pour autant utiliser des classes verbeuse de Block__elm—pod.is-elem-state
tout est dans ::not ou ~= , ^=
un peut comme dans une boucle spip quand on enlève ce qu’on veut pas, pour récupérer ce que l’on veut ^^
L’autre avantage de cette méthode est aussi d’économiser sur les css générées, j’ai fais quelques test et il y’a un gain significatif sur des composant tout bêtes comme des labels, ou icones.
Sauf que bem n’est pas fait par hasard comme ça, d’une ya la cohérence total avec vraiment 100% toujours la même manière d’écrire mais surtout c’est fait pour être le plus rapide possible à exécuter par les navigateurs.
.ui.segments:not(.horizontal) > .segment:first-child
est très long à compiler et trouver, c’est méga complexe comme sélecteur.
.segments_vertical .segments__segment:first-child
est beaucoup plus rapide
+1 effectivement, la ça mérite des tests réels de temps de rendu navigateur, plutôt qu’une estimation de gain en kbytes transférés.
Quand je vois le pross de mon vieux mac sur une page ou j’ai pas mal d’animations css3, ça peut vite aller dans le rouge suivant comment c’est rédigé. Donc le parcours du dom comme tu le souligne est forcément plus couteux avec des pseudo selector.
Du coup, ça me donne envi de de réfléchir a un suite de test la dessus. En fait j’ai un petite lib qui est inspiré de bem_selectors, en fait ça gère le nomage des selecteurs, mais en fonction de plusieurs conventions … pour le moment SMACSS, OOCSS, BEM, et Rscss …
Pour faire ce genre de test, ça peut être interressant, de prendre une page type, et de générer un rapport de perf entre les différentes méthodologies, vu qu’on peut switcher en changeant une map.
Il y a #Grillade de #KNACSS aussi : ►https://knacss.com/grillade
Je commence a l’utiliser à la place de celle de #SemanticUI
En fait je n’utilise pas semantic ui, ;-) mais je lis le code de tout le monde, j’aime bien regarder surtout les approches différentes, ça sert toujours un jour, dans une certaine situation ^^.
Au départ je lisais ceci ▻http://bradfrost.github.io/this-is-responsive/patterns.html#layout
et cela ▻https://github.com/oddbird/accoutrement-layout
dans le but de créer un composant/lib scss qui gère tout le layout de manière « générique »… comme on a un support qui commence a être correct de grid et flex, ça simplifie quand même bien le boulot.
Quand je fait un proto, rapide j’utilise une petite lib js, qui me génère les placeholder, on colle une class sur le container et ça rempli, avec des contenus.
Mais pas pour les backgrounds ^^, une petite mixin en scss pour ce genre de cas.
Donc ça pioche dans des photos de chez unsplash classées par theme dans une map. On peut quand on bosse sur un projet choisir au moins des visuels en rapport.
l’avantage c’est que le random est appelé a chaque appel de la mixin, donc si on a plusieurs images sur la page ce ne sont pas les mêmes (e qui n’est pas le cas avec les autres placeholders en js…).
▻https://www.sassmeister.com/gist/0344deebfb7fb9493af410ed8c0ce1c7
Des media queries pour savoir si l’usager en est réduit à viser grossièrement avec ses gros doigts boudinés, ou s’il peut piquer précisément comme une abeille :
Using Media Queries For Responsive Design In 2018 — Smashing Magazine
▻https://www.smashingmagazine.com/2018/02/media-queries-responsive-design-2018
@media (pointer:coarse) {
.which-pointer::after {
content: "You have a coarse pointer, are you on a touchscreen device?";
}
}
@media (pointer:fine) {
.which-pointer::after {
content: "You have a fine pointer, are you using a mouse or trackpad?";
}
}
Essential resources to design complex data tables
▻https://blog.stephaniewalter.fr/en/essential-resources-design-complex-data-tables
“list of resources when I need to design complex tables with a lot of data, interactions, etc.”
Syrians Given Temporary Refuge in Germany Fear Being Set up to Fail
Most Syrians coming to Germany receive temporary protection instead of full refugee status, complicating efforts to integrate them. Miriam Berger reports on how one family from Damascus copes with the unknown while getting on with life in rural Bavaria.
#statut #statut_juridique #réfugiés #asile #migrations #intégration #réfugiés_syriens #Allemagne #protection_subsidiaire #protection_temporaire
cc @isskein
India strengthens ties with ASEAN countries - World Socialist Web Site
▻https://www.wsws.org/en/articles/2018/02/05/asea-f05.html
Late last month Indian Prime Minister Narendra Modi hosted leaders from all 10 members of the Association of Southeast Asian Nations (ASEAN), in a clear move to strengthen Delhi’s geo-strategic and economic ties and counter China’s growing influence in the region.
ASEAN leaders were the chief guests at the Indian Republican Day celebrations on January 26, having attended an India-ASEAN Commemorative Summit a day earlier. Modi also held bilateral talks in New Delhi with each ASEAN country leader—from Vietnam, Malaysia, Indonesia, Singapore, Myanmar, the Philippines, Thailand, Brunei, Laos and Cambodia.
Turning Design Mockups Into Code With Deep Learning - FloydHub Blog
▻https://blog.floydhub.com/turning-design-mockups-into-code-with-deep-learning
Within three years deep learning will change front-end development. It will increase prototyping speed and lower the barrier for building software.
In this post, we’ll teach a neural network how to code a basic a HTML and CSS website based on a picture of a design mockup.
Vu sur twitter, sans plus d’informations :
#business #asile #migrations #réfugiés #France #logement #hébergement #PRAHDA #argent #économie #modèle_économique #ADOMA #visualisation #infographie
Et voilà la source:
PRAHDA, quand la finance s’empare du social
La loi asile et immigration doit être présentée en février au Conseil des ministres. Elle accélérera considérablement les procédures de demandes d’asile. Pour les organisations qui défendent les réfugiés, le message du gouvernement est clair : il faut expulser plus, et plus vite, notamment les dublinés. Parmi les outils dont dispose déjà l’État, il y en a un, pas très couture, nommé PRAHDA. Soit Programme d’Accueil et d’Hébergement pour les demandeurs d’asiles. Dans les faits, il permet surtout de contrôler les réfugiés et de les assigner à résidence, grâce à un ingénieux système de « #partenariat_public-privé » (#PPP) d’un nouveau genre.
▻https://www.radioparleur.net/single-post/2018/01/29/PRAHDA-finance-social
cc @daphne @marty @albertocampiphoto
Spéculer sur l’insertion des demandeurs d’asile en France, un nouvel investissement rentable pour les financiers
L’accueil des demandeurs d’asile s’ouvre aux marchés financiers. C’est ce que prévoit le nouveau modèle de gestion des centres « Pradha », chargés de l’hébergement des personnes demandant l’asile. Ces centres – d’anciens hôtels bas de gamme – seront gérés au quotidien par une filiale de la #Caisse_des_dépôts sous contrôle du ministère de l’Intérieur, et sont en partie financés par le privé, grâce à un #fonds_d’investissement dédié. Côté accueil, accompagnement, insertion et encadrement, les coûts sont réduits au minimum, mais les partenaires du fonds – la #BNP, #Aviva, la #CNP assurances ou la #Maif – espèrent en tirer des bénéfices. Bienvenue dans l’« action sociale » du XXIe siècle.
Pour financer le Prahda, la Caisse des dépôts et consignations (CDC), via sa filiale CDC-Habitat [1] a donc lancé un fonds d’investissement, baptisé « #Hémisphère ». Premier fonds à impact social d’une telle envergure en France, avec une capacité de 200 millions d’euros, Hémisphère est abondé pour moitié par un prêt de la Banque de développement du Conseil de l’Europe, tandis que six investisseurs institutionnels apportent les 100 millions restants : Aviva France, BNP Paribas #Cardif, la CDC, #CNP_Assurances, la Maif, et #Pro_BTP.
▻http://multinationales.org/Speculer-sur-l-insertion-des-demandeurs-d-asile-en-France-un-nouvel
#spéculation #intégration #CDC-Habitat #Appoigny #BNP_Paribas #finance #privatisation
Gambian migrants’ choice: bury the straggler alive or be killed
Water was running low as the convoy drove through the desert into Libya, so Khadim was given a terrible choice: bury a sickly fellow migrant alive, or be killed by their smugglers.
“They told us to bury him in the sand,” said Khadim, 29. “They started waving their guns. ‘If you refuse, you’re dead.’ We started digging and digging. As we buried him he said, ‘I’m not dead yet, why are you doing this to me?’ ”
Khadim is one of about 2,600 migrants repatriated to the Gambia from Libya on flights paid for by European countries trying to stem crossings of the Mediterranean. The vast majority of those coming home are young men, who arrive at Banjul airport with at most a few belongings in a plastic bag, sometimes after spending years in Libyan detention centres.
They are the among the first to be sent back since footage emerged in November of migrants being sold at slave markets in Libya. African and EU leaders agreed an emergency plan shortly afterwards to repatriate thousands.
Many tell stories of frequent beatings, or of fellow migrants dying from hunger or violence. Others described watching companions drown on sinking boats in the Mediterranean.
Like many others, Khadim was betrayed by smugglers and drivers before he saw the sea. He was kidnapped for ransom, arrested and put in a detention centre before he could reach Tripoli.
He is relieved to have landed back in Banjul, the Gambian capital. Not only is he alive but there are promises of money to help him make a fresh start.
The UN’s migration agency, as part of an EU-funded plan, can support people to go to college, start a business or buy livestock. Other EU help offers grants to those aged 15 to 35, returning or potential migrants, to start businesses.
It likely to be just the beginning. The International Organisation for Migration estimates that up to a million migrants remain in Libya. Since late 2015, the EU has spent more than €2 billion in African countries trying to create jobs in the hope that people will stay.
Those returning to the Gambia, where almost half of the two million population live below the poverty line, are provided with just enough cash to go home and live for a few weeks, after which they can apply for more help.
Last week, a group of former Gambian migrants, with some funding from the German government, began touring the country to warn young people of the dangers of taking the “back way”, as the journey through the desert and across the Mediterranean is called.
“Before we go we knew the risks involved, but we didn’t believe,” said Mustapha Sallah. “Most of the people that talked to us were government officials, activists who are living good. I was thinking they were just trying to discourage us.”
With fellow Gambians who were incarcerated in Libyan detention centres, he has now started Youths Against Irregular Migration. As well as sharing their harrowing experiences, they try to persuade people to stop dreaming of Europe and make a living at home, through education, setting up in business, or agriculture.
The Gambia’s nascent democracy, restored after the former dictator Yahya Jammeh was deposed last year, has prompted many to return from exile, as the fear of arbitrary arrest, detention and torture dissolved.
The economy is growing at about 5 per cent but youth unemployment is about 44 per cent. Rising food prices mean many struggle. “The opportunities are not many and they’re not easy to get right now,” said Mr Sallah.
Paul Jatta, 23, came home on a repatriation flight a few months ago and is trying to put the trauma behind him. Three times he tried and failed to cross to Italy in flimsy boats. On the last attempt he watched five people die as the vessel started to sink. “I seriously cried that day. Because I saw them drown but I couldn’t do anything to help,” he said.
He said he had not received any support and was back doing what he used to, working in a computer repair shop and cleaning swimming pools in his spare time. He works up to 12 hours a day most days but earns less than £100 a month, and most of that goes to support his extended family.
After spending his savings of more than £1,000 trying to reach Europe, he is now in a worse financial situation than he was two years ago, and has even less to lose. “I still want to go to Europe. I’m waiting for a miracle,” he said. “There are no opportunities here.”
▻https://www.thetimes.co.uk/edition/world/gambian-migrants-choice-bury-the-straggler-alive-or-be-killed-62qf0qjbl
#retour_volontaire #Libye #asile #migrations #réfugiés #retour_au_pays #renvois #Gambie
Possible/probable future #migrerrance:
After spending his savings of more than £1,000 trying to reach Europe, he is now in a worse financial situation than he was two years ago, and has even less to lose. “I still want to go to Europe. I’m waiting for a miracle,” he said. “There are no opportunities here.”
Freed from Libyan jails, frustrated migrants pose challenge to new Gambia
Thousands of thwarted migrants are returning to Gambia, straining its government as officials scramble to get European-funded reintegration projects up and running
▻http://news.trust.org/item/20180130000138-tbxxg
#frustration #réintégration #intégration
Gambia’s Migration Paradox: The Horror and Promise of the Back Way
Since democracy returned to The Gambia last year, many Gambians are coming home, including from Libya with E.U. aid. Some returnees are warning others against the journey, but many are frustrated that returns and deterrence took precedence over reintegration and jobs.
By November 2017, IOM received 3.9 million euro ($4.8 million) for a three-year returns and reintegration project in The Gambia, part of a region-wide project funded by the E.U. Trust Fund for Africa (#EUTF). IOM’s office in Banjul only had two staff before the EUTF project; it now has around two dozen.
In the year since February 2017, some 2,210 Gambian migrants returned from Libya and 520 others from Niger with IOM assistance. Among them, 1,375 arrived under the new EUTF project.
The deportation of Gambians from E.U. countries remained stubbornly low under the Jammeh government: 12,000 Gambians arrived in Italy in 2016 and just 15 returned, according to latest available Eurostat figures. (2017 figures reflecting the returns under the Barrow government will be published in May.)
Gambie : back home
Ils s’appellent Mustapha et Karamo. Torturés, réduits en esclavage, ils ont vécu les pires sévices en essayant de se rendre en Europe.
Dans une geôle libyenne, ils se font fait une promesse : celle de rentrer chez eux et de dissuader leurs compatriotes de se rendre en Europe de façon illégale à travers le « #backway », cette route de tous les périls qui passe par la Libye. Des centaines de Gambiens y ont perdu la vie. La Gambie, ex-colonie britannique, est le plus petit pays d’Afrique de l’Ouest. C’est pourtant l’un des plus importants contributeurs au flot de migrants traversant la Méditerranée.
Une quinzaine d’ex-migrants bénévoles, parcourt en caravane les régions rurales du nord du pays. Là où sévissent la pauvreté et le chômage, là où les enfants grandissent avec la seule perspective de quitter leur pays. Dans des écoles, au cours de séances de cinéma en plein air ou encore lors de rencontres avec les chefs locaux, les rapatriés vont partager leur calvaire pour essayer de mettre un terme à cette hémorragie humaine. Ils espèrent aussi convaincre les forces vives du pays du potentiel de cette « Nouvelle Gambie » et des ressources à développer.
Mais la route risque d’être longue. Malgré la récente stabilité politique, les promesses d’essor économique du nouveau gouvernement et les aides internationales, les changements radicaux se font attendre. Le tourisme et l’agriculture, asphyxiés par l’ancienne dictature de Jammeh, ne suffisent pas à donner de perspectives à cette nouvelle génération.
▻https://info.arte.tv/fr/gambie-back-home
#retour_au_pays #retour_volontaire #OIM #IOM #Libye #réintégration #dissuasion #sensibilisation #association_AIM #remittances
Soft skills can come the hard way
500,000 refugees in Germany are seeking employment.
Since 2015, more than 1 million refugees have entered Germany. Even though these refugees had proven their skills the hard way,
by escaping dangerous lands, only 4 had been employed by DAX-listed companies by 2016. Thus breaking their previous promises and commitments to this cause.
▻http://employ-refugees.de/#soft-skills
#soft_skills #résilience #intégration #intégration_professionnelle #compétences #réfugiés #asile #migrations #team-oriented
#campagne #Allemagne #travail #resilient #résilience #stress-resistant #solution_oriented
I’m a team player. “I survived crossing the ocean in a small rubber boat with 85 other people.”
Allemagne : un programme-pilote facilite le retour en classe des enseignants réfugiés
Un programme-pilote de l’#université de #Potsdam mise sur les talents et les compétences des nouveaux arrivants.
▻http://www.unhcr.org/fr/news/stories/2018/2/5a8feeafa/allemagne-programme-pilote-facilite-retour-classe-enseignants-refugies.html
Lien vers le site du programme-pilote :
Mit der Umsetzung des „Refugee Teachers Program“ erprobt die Universität Potsdam von April 2016 bis März 2019 ein Qualifikationsprogramm für geflüchtete Lehrer/innen. Das Programm wird durch Mittel des Brandenburger Ministeriums für Wissenschaft, Forschung und Kultur (MWFK) und des Deutschen Akademischen Austauschdienstes (DAAD) finanziert.
Refugees in the job market: ’A win-win situation’
The majority of refugees who came to Germany in 2015 and after lack formal qualification. Nonetheless, integration into the labor market is on an upward curve. Some firms are pushing for a change in law to retain migrants even if their asylum claims were rejected.
▻http://www.infomigrants.net/en/post/12874/refugees-in-the-job-market-a-win-win-situation
#Tateh_Lehbib, el loco del desierto
Este documental narra la historia de Tateh Lehbib, un refugiado saharaui que tras, estudiar Energías Renovables en la Universidad de Argel y luego un máster en eficiencia energética en la Universidad de Las Palmas de Gran Canaria, ha diseñado un tipo de refugio hecho con botellas de plástico llenas de arena. Este innovador refugio circular tiene como objetivo mejorar las duras condiciones de vida del pueblo saharaui.
Agroalimentaire : Seaboard Corporation, enquête sur le géant de la farine africaine – JeuneAfrique.com
▻http://www.jeuneafrique.com/mag/509666/economie/agroalimentaire-enquete-sur-seaboard-corporation-le-geant-de-la-farine
L’acquisition des actifs meuniers de #Mimran pour plus de 300 millions d’euros signe l’arrivée du groupe américain, #Seaboard Corporation au #Sénégal et en #Côte_d’Ivoire. L’entreprise familiale, qui cultive la discrétion, va y développer un modèle fondé sur l’#intégration_verticale avec l’ambition de confirmer son statut de numéro un.
Requérants : augmenter les chances de trouver un job
Des scientifiques de l’EPFZ ont mis au point un #algorithme capable de trouver pour quel canton un réfugié est le mieux adapté.
▻https://www.tdg.ch/suisse/requerants-augmenter-chances-trouver-job/story/18611106
#travail #réfugiés #asile #migrations #intégration_professionnelle #compétences #répartition (non pas aléatoire, mais réfléchie) #marché_du_travail #économie #territoire
l’article scientifique en question, paru dans la revue Science :
Improving refugee integration through data-driven algorithmic assignment
New #flexbox guides on MDN – Mozilla Hacks – the Web developer blog
▻https://hacks.mozilla.org/2018/01/new-flexbox-guides-on-mdn
Et tout est déjà traduit en français.
Les concepts de base des boîtes flexibles
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Concepts_de_base_flexbox
Les liens entre flexbox et les autres méthodes de disposition
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Liens_entre_flexbox_et_les_autres_dispositions
L’alignement des éléments au sein d’un conteneur flexible
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Aligner_des_%C3%A9l%C3%A9ments_dans_un_conteneur_flexible
Ordonner les éléments flexibles
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Ordonner_%C3%A9l%C3%A9ments_flexibles
Contrôler les proportions des éléments flexibles le long de l’axe principal
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Contr%C3%B4ler_les_proportions_des_bo%C3%AEtes_flexibles_le_long_
Maîtriser le passage à la ligne des éléments flexibles
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Ma%C3%AEtriser_passage_%C3%A0_la_ligne_des_%C3%A9l%C3%A9ments_fle
Les cas d’utilisation classiques des boîtes flexibles
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/Cas_utilisation_flexbox
La rétrocompatibilité de flexbox
▻https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/Disposition_flexbox_CSS/R%C3%A9trocompatibilite_de_flexbox
#intégration #web #HTML #CSS #grid #documentation
Building Skeleton Screens with CSS
▻https://mxb.at/blog/css-skeleton-screens
“For a web app, this concept might include displaying “mockups” of text, images or other content elements - called skeleton screens ?.”
Rapporto annuale sull’economia dell’immigrazione
▻http://www.fondazioneleonemoressa.org/newsite/wp-content/uploads/2017/11/Atti-del-convegno-FLM-2017.pdf
#statistiques #chiffres #Italie #migrations #économie #réfugiés #asile #rapport
–-
ajouté à la métaliste sur le lien entre #économie (et surtout l’#Etat_providence) et la #migration... des arguments pour détruire l’#idée_reçue : « Les migrants profitent (voire : viennent POUR profiter) du système social des pays européens »...
►https://seenthis.net/messages/971875
The Twenty-third Italian Report on Migrations 2017
Per la sicurezza conviene garantire un lavoro ai migranti
La politica del governo sugli immigrati sembra orientata a colpire i bersagli deboli. Ma al di là degli slogan, un rapporto positivo tra immigrazione e sicurezza si costruisce solo promuovendo il lavoro dei migranti nell’economia legale del nostro paese.
Così si colpiscono i più deboli
In queste settimane la questione dell’immigrazione continua ad avere un ruolo di primo piano. Appena prima della vicenda della nave Aquarius, c’era stata quella della tragica morte di Sacko Soumali, il giovane maliano sindacalista dei braccianti di San Calogero. Le due questioni sono legate fra loro.
La controversia sull’Aquarius è molto più che un braccio di ferro sull’onere dell’accoglienza. Rifiutando l’approdo della nave, polemizzando con Malta e poi con la Francia e la Spagna, rilanciando l’allarme sugli sbarchi, il nostro governo ripropone un’impostazione delle relazioni internazionali che guarda al passato. È l’immagine di un mondo di confini di stato almeno apparentemente blindati, di interessi nazionali contrapposti, di bandiere da issare e difendere. Un mondo in cui non c’è posto per i diritti umani universali, ma solo per quelli filtrati dalla sovranità nazionale o dai suoi simulacri.
Subito dopo aver respinto l’Aquarius, condannando a giorni di navigazione in mare agitato persone già provate da molte vicissitudini, tra cui donne incinte e minori, il governo italiano ha accolto oltre 900 richiedenti asilo salvati dalla marina militare e dalla guardia costiera italiana e altri 40 tratti a bordo dalla marina statunitense. I naufraghi salvati dai militari che innalzano la nostra bandiera sono tollerati e così pure quelli imbarcati dal potente alleato. Il nemico, come nell’Ungheria di Viktor Orban e nella Russia di Vladimir Putin, sono le organizzazioni non governative con base all’estero: i difensori dei diritti umani universali che non arretrano di fronte ai confini nazionali.
La linea governativa sembra tracciata. Mentre sarà difficile attuare le impegnative promesse elettorali di carattere sociale (reddito di garanzia, sviluppo del Mezzogiorno e controriforma pensionistica), la coalizione a trazione leghista investe su bersagli deboli, e quindi facili da colpire: gli attori umanitari, gli operatori dell’accoglienza e naturalmente i richiedenti asilo, oggetto di un linguaggio ingiusto e irriguardoso.
Matteo Salvini ha parlato di gente in crociera nel Mediterraneo, malgrado i morti in mare dei recenti naufragi. A quanto risulta dai sondaggi, raccoglie consenso, come in genere avviene a chi eccita sentimenti nazionalisti, ma dà eco ai sentimenti peggiori della pancia del nostro paese e li fomenta. Che i numeri siano drasticamente calati dopo gli accordi con la Libia di Marco Minniti è irrilevante: 15.568 persone sbarcate nel 2018 fino al 15 giugno, contro 65.498 nel 2017 e 55.596 nel 2016 alla stessa data. Gli sbarchi stanno invece crescendo verso Grecia e Spagna, ma anche questo non conta. La retorica della chiusura nazionalista ha bisogno di qualche centinaio di malcapitati a cui chiudere la porta in faccia, additandoli come profittatori e criminalizzando le Ong che li hanno tratti in salvo.
La tragedia di Sacko Soumali, invece, ha riportato alla ribalta una questione annosa e sempre rimossa, dopo le fiammate di attenzione dovute a qualche drammatico evento: lo sfruttamento degli immigrati nelle campagne meridionali, e non solo. Non necessariamente clandestini, né sbarcati negli ultimi anni, e neppure africani. La periodica ricostruzione delle vergognose baraccopoli mostra un volto inquietante di una componente dell’agricoltura italiana: per reggere sul mercato, ha bisogno di ricorrere al lavoro sottopagato degli immigrati e di farli vivere in condizioni inaccettabili.
Il lavoro degli immigrati, per fortuna, è anche altro: 2,4 milioni di occupati regolari, tra cui 570 mila titolari di attività economiche. Un gettito fiscale e contributivo che supera ampiamente i costi dell’accoglienza dei rifugiati e dei servizi richiesti dalle famiglie arrivate dall’estero. Ma rimane in gran parte lavoro povero, subalterno. Il lavoro delle “cinque p”: precario, pesante, pericoloso, poco pagato, penalizzato socialmente.
Tre proposte
Di tutto questo nel contratto di governo non c’è traccia, come abbiamo già rilevato su lavoce.info. L’immigrazione è declinata soltanto come peso e minaccia per il nostro paese.
Volendo credere che il confronto con la realtà possa avere la meglio sugli slogan propagandistici, vorrei avanzare tre modeste proposte in tema di immigrazione e lavoro, che investono anche la questione dei rifugiati e richiedenti asilo, pur ricordando che si tratta attualmente di 174 mila persone in accoglienza su 5,5 milioni di immigrati residenti in Italia. Una piccola minoranza, sistematicamente scambiata con l’immigrazione in generale. Senza dimenticare che circa il 40 per cento dei richiedenti riceve una forma di protezione internazionale da parte delle commissioni governative, mentre altri (non si sa quanti, ma si stima circa la metà dei ricorrenti) ottengono ragione in tribunale. Non è vero, quindi, che si tratti per la maggior parte di falsi rifugiati.
La prima proposta deriva dai fatti di San Calogero: mandare un folto gruppo di ispettori del lavoro, scortati dalle forze dell’ordine, a identificare e denunciare i datori di lavori che sfruttano i braccianti immigrati. Non dovrebbe essere difficile: basta seguire le campagne di raccolta dei prodotti agricoli, vedere dove sorgono le baraccopoli, seguire i pullmini che li portano al lavoro. Eventualmente con i droni. Un governo che promette il carcere agli evasori fiscali dovrebbe dispiegare una severità ancora maggiore con chi calpesta la dignità dei lavoratori.
La seconda proposta riguarda la riduzione del carico dei richiedenti asilo per le casse dello stato: come in Germania e in Svezia, chi trova un lavoro dovrebbe ricevere un permesso di soggiorno, inizialmente di un anno, ponendo fine alle controversie sulla fondatezza della domanda di asilo. Potrebbe così cominciare una vita autonoma, uscendo dal sistema dell’accoglienza. Non ha senso, come invece avviene oggi, buttare per strada un richiedente asilo che ha trovato lavoro, ma poi si vede negata la domanda di protezione internazionale.
Infine, per decongestionare il canale dell’asilo e istituire un’alternativa ai rischiosi viaggi attraverso la Libia e poi per mare, oltre a corridoi umanitari più ampi degli attuali, si dovrebbero allargare le possibilità di immigrazione per lavoro stagionale, già previste dalle nostre leggi e dai decreti flussi annuali. Gli Stati Uniti hanno ridotto l’immigrazione non autorizzata dal Messico proprio riaprendo un canale d’immigrazione legale, stagionale, per l’agricoltura. Se le persone potranno entrare, lavorare e tornare al loro paese per ripresentarsi l’anno successivo, saranno meno disposte a rischiare la vita nei viaggi della speranza.
Al di là degli slogan propagandistici, un rapporto positivo tra immigrazione e sicurezza verrà costruito solo promuovendo il lavoro degli immigrati nell’ambito dell’economia legale del nostro paese.
▻http://www.lavoce.info/archives/53685/sicurezza-e-anche-garantire-un-lavoro-legale-ai-migranti
Ci rubano il lavoro ? Ecco il rapporto tra immigrazione e occupazione
La fotografia della situazione in Italia e in Europa nel secondo rapporto annuale dell’Osservatorio sulle migrazioni. I paesi con una forza lavoro più qualificata attraggono anche immigrati con maggiore istruzione. Italia maglia nera. A parità di occupazione il divario salariale è persistente negli anni.
I paesi con una forza lavoro più qualificata attraggono anche immigrati con maggiore istruzione. Al contrario, paesi come l’Italia, che hanno una forza lavoro autoctona con il tasso di istruzione universitaria tra i più bassi in Europa (19 per cento nel nostro paese), hanno anche il più basso tasso di istruzione universitaria tra gli immigrati fra tutti paesi Ue (14 per cento). A sottolinearlo è il secondo rapporto annuale dell’Osservatorio sulle migrazioni “L’integrazione degli immigrati in Italia e in Europa”, promosso dal centro studi Luca d’Agliano e dal collegio Carlo Alberto. Secondo il report l’Italia oggi non è un Eldorado per chi si muove per motivi di lavoro, e in particolare per chi spera in un’occupazione qualificata.
Nello specifico, lo studio sottolinea come in Ue l’immigrazione oggi sia ancora un fenomeno fortemente intraeuropeo. Nonostante l’attenzione mediatica, specialmente nel nostro paese, sia focalizzata sugli arrivi via mare, gli immigrati residenti in Europa sono in maggioranza di origine europea. Su 51 milioni totali (il 10 per cento di tutta la popolazione): il 38 per cento è originario di un paese dell’Unione e il 17 per cento di un paese europeo fuori dall’Ue. Mentre il 23 per cento dei migranti è nato in Africa o Medio Oriente, il 12 per cento in Asia e l’11 per cento in America o Oceania.
l’Italia si contraddistingue anche per altre peculiarità. Innanzitutto il livello di istruzione degli immigrati è il più basso tra quelli riscontrati nei paesi europei, un dato che riflette anche quello dei nativi.
il divario nel tasso di occupazione tra immigrati e nativi è superiore a 40 punti percentuali per gli immigrati appena arrivati in Italia, ma si azzera entro il sesto anno di residenza. L’assimilazione occupazionale è, dunque, abbastanza rapida. Nonostante questo, però, in media nel 2017, i redditi netti mensili degli immigrati sono inferiori del 26 per cento rispetto a quelli degli italiani, il divario salariale persiste anche a parità di occupazione.
▻http://www.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/568293/Ci-rubano-il-lavoro-Ecco-il-rapporto-tra-immigrazione-e-occupazione
Lien vers le rapport :
►http://dagliano.unimi.it/wp-content/uploads/2018/02/OssMg_2_Report.pdf
Le rapport contient notamment ces graphiques :
Le rapport contient aussi une carte sur la présence de #femmes migrantes en Italie (plus nombreuses que les hommes) :
Senza migranti l’Italia sarebbe un Paese più povero e anziano, spiega Bankitalia
Se si azzerassero i flussi migratori futuri e la componente di popolazione straniera già residente in Italia al 2016 assumesse parametri demografici identici a quelli dei nativi italiani il risultato sarebbe devastante. Una ricerca
▻https://www.agi.it/economia/bankitalia_migranti_pil_calo_demografico-3725908/news/2018-04-03
Integrare i rifugiati: è più complesso (e costoso) rispetto agli altri migranti?
La più recente EU Labour Force Survey (EU LFS), pubblicata nel 2014, mostra che per molti anni dal loro primo ingresso in Europa il tasso di occupazione dei migranti giunti nei paesi europei per motivi umanitari resta molto basso: nei primi cinque anni dall’arrivo quest’ultimo raggiunge appena il 26%. Come è lecito attendersi, invece, i migranti non comunitari giunti in Europa per motivi di lavoro (e che dunque in larga maggioranza hanno già un’offerta di lavoro al loro arrivo) hanno un tasso di occupazione medio del 79% nei primi cinque anni dall’ingresso.
Con il passare del tempo il tasso di occupazione dei rifugiati tende ad aumentare, convergendo verso quello dei migranti “economici”, ma ci vogliono comunque circa 15 anni prima che superi il 60%. Queste differenze non dipendono solo dalle diverse capacità, qualifiche e predisposizioni dei migranti, ma anche dalle politiche pubbliche dei paesi di arrivo (che spesso pongono limiti legali alla possibilità dei richiedenti asilo di cercare lavoro) e dalla propensione dei datori di lavoro nazionali a utilizzare i richiedenti asilo come manodopera.
D’altra parte, un migrante umanitario ha diritto a un’accoglienza e a un’assistenza dignitosa, che allo Stato italiano costa circa 11.000 euro l’anno; un costo che prosegue per tutto il periodo di permanenza all’interno del sistema di accoglienza. Anche per questo motivo risulta importante investire in integrazione: diversi studi confermano che il tempo durante il quale un migrante umanitario resta un costo netto per le finanze statali si allunga o si accorcia in funzione della capacità del sistema-paese di integrare gli stranieri legalmente residenti.
Macroeconomic evidence suggests that asylum seekers are not a “burden” for Western European countries
This paper aims to evaluate the economic and fiscal effects of inflows of asylum seekers into Western Europe from 1985 to 2015. It relies on an empirical methodology that is widely used to estimate the macroeconomic effects of structural shocks and policies. It shows that inflows of asylum seekers do not deteriorate host countries’ economic performance or fiscal balance because the increase in public spending induced by asylum seekers is more than compensated for by an increase in tax revenues net of transfers. As asylum seekers become permanent residents, their macroeconomic impacts become positive.
►http://advances.sciencemag.org/content/4/6/eaaq0883.full
#Europe
De l’effet bénéfique des migrations sur l’économie
Une nouvelle étude macroéconomique révèle que les flux migratoires ont eu un effet positif sur l’économie au cours des trente dernières années en Europe. Plus encore, les demandeurs d’asile ne pèseraient pas sur les finances publiques des pays qui les accueillent. Explications avec l’économiste Hippolyte d’Albis, l’un des auteurs de cette étude.
►https://lejournal.cnrs.fr/articles/de-leffet-benefique-des-migrations-sur-leconomie
#Europe
MIGRANTI : LA SFIDA DELL’INTEGRAZIONE
Rapporto Immigrazione 2017-2018: straniera l’8,5% della popolazione residente
Ci troviamo di fronte ad una “emergenza culturale” che richiede un intervento strutturato e di lungo periodo. È necessario mettere in campo tutte le risorse educative capaci di stimolare, da un lato, il necessario approfondimento rispetto a temi che sono ormai cruciali, e dall’altro lato di accompagnare le nostre comunità verso l’acquisizione di una nuova “grammatica della comunicazione” che sia innanzitutto aderente ai fatti e rispettosa delle persone. Papa Francesco non ha mancato di sottolineare che «la prevenzione e l’identificazione dei meccanismi della disinformazione richiedono anche un profondo e attento discernimento». In tale contesto “emergenziale” i due organismi della CEI, Caritas Italiana e Fondazione Migrantes, hanno voluto confermare il loro impegno anche attraverso la pubblicazione dell’annuale Rapporto Immigrazione che da oltre 25 anni analizza il fenomeno migratorio nelle sue molteplici dimensioni. L’edizione 2017-2018 presenta molte novità, a partire da una nuova veste grafica che vuole essere più aderente al mutato contesto culturale, in conseguenza del quale la narrazione del fenomeno migratorio è cambiata nello stile e nella forma.
Italia
L’Italia, con 5.144.440 immigrati regolarmente residenti sul proprio territorio (8,5% della popolazione totale residente in Italia) si colloca al 5° posto in Europa e all’11° nel mondo. Secondo l’UNHCR tra il 1° gennaio e il 31 agosto 2018 è sbarcato in Italia l’80% di migranti in meno rispetto allo stesso periodo del 2017. Le comunità straniere più consistenti sono quella romena (1.190.091 persone, pari al 23,1% degli immigrati totali), quella albanese (440.465, 8,6% del totale) e quella marocchina (416.531, 8,1%). I cittadini stranieri risultano risiedere soprattutto nel Nord-Ovest della Penisola (33,6%) e a diminuire nel Centro (25,7%), nel Nord-Est (23,8%), nel Sud (12,1%) e nelle Isole (4,8%). Le regioni nelle quali risiede il maggior numero di cittadini stranieri sono la Lombardia (1.153.835 cittadini stranieri residenti, pari all’11,5% della popolazione totale residente), il Lazio (679.474, 11,5%), l’Emilia-Romagna (535.974, 12%), il Veneto (487.893, 10%) e il Piemonte (423.506, 9,7%). Le province nelle quali risiede il maggior numero di cittadini stranieri sono Roma (556.794, 12,8%), Milano (459.109, 14,2%), Torino (220.403, 9,7%), Brescia (156.068, 12,4%) e Napoli (131.757, 4,3%).
Il lavoro
Dai microdati Rcfl-ISTAT al primo semestre 2017 la popolazione immigrata in età da lavoro è di 4.100.826 persone con 15 anni di età ed oltre, delle quali il 59,3% sono occupate e il 30,6% inattive. In particolare, gli occupati stranieri risultano 2.430.409, aumentati rispetto al primo semestre 2016 del +0,9%. Di questi, 1.635.300 sono di nazionalità non-UE (67,3% degli occupati stranieri) e 795.100 lavoratori comunitari (32,7% degli occupati stranieri). Gli stranieri in cerca di occupazione sono 415.229 (10,1% del totale degli stranieri), di cui 283.837 di nazionalità non-UE (67,3% del totale degli stranieri in cerca di occupazione) e 131.392 di nazionalità UE (33,1%). Gli inattivi stranieri sono 1.255.187 (30,6% degli occupati stranieri), di cui 897.411 non-UE (71,5% degli inattivi stranieri) e 333.093 UE (28,5%). Se si considera il periodo che va dal primo semestre 2016 al primo semestre 2017, si osserva un aumento dell’occupazione sia tra gli stranieri (+0,9%) sia tra gli italiani (+0,6%). La quota del lavoro non qualificato negli immigrati è del 35,4%, contro l’8,2% negli occupati italiani. Secondo i dati UnionCamere, le imprese di cittadini nati in un Paese extra-UE al 31 dicembre 2016 sono 366.426, in aumento rispetto al 2015 (+3,5%). La regione con il maggior numero di queste imprese è la Lombardia (69.625, 19,0% del totale nazionale), seguita da Lazio (41.849, 11,4%), Toscana (35.891, 9,8%), Campania (32.931, 9,0%) ed Emilia Romagna (32.418, 8,8%). La Campania è la regione nella quale si registra l’aumento più cospicuo (+11,1%).
La scuola
Nell’anno scolastico 2016-2017 gli alunni stranieri nelle scuole italiane sono 826.091 (di cui 502.963 nati in Italia, pari al 60,9%), in aumento rispetto all’anno scolastico 2015-2016 di 11.240 unità (+1,4%). Nell’anno scolastico 2016-2017, la scuola primaria accoglie la maggiore quota di alunni stranieri: 302.122, il 36,6% del totale. L’incidenza degli alunni stranieri sul totale della popolazione scolastica varia in modo significativo in ragione del fatto che alcune regioni e province hanno una spiccata capacità attrattiva nei confronti di immigrati che vogliono insediarsi stabilmente con la propria famiglia. Le maggiori incidenze si riscontrano nelle regioni del Nord, con il valore massimo in Emilia Romagna (15,8%), significativamente maggiore del valore nazionale (9,4%), seguita da Lombardia (14,7%) e Umbria (13,8%). Nelle regioni del Centro-Nord il valore non scende al di sotto del 10%, con la sola eccezione del Lazio (9,5%). Decisamente inferiori i dati relativi alle regioni del Sud.
Famiglia e cittadinanza
Nel corso del 2016 sono stati celebrati 25.611 matrimoni con almeno uno dei coniugi straniero (12,6% del totale dei matrimoni), in leggero aumento rispetto al 2015 (+0,2%). Nel 56,4% dei casi si tratta dell’unione fra uno sposo italiano e una sposa straniera. A fine 2017 i bambini nati da genitori entrambi stranieri risultano 67.933 (14,8% del totale delle nascite). Diminuisce il numero medio di figli delle cittadine straniere, pur mantenendosi su livelli decisamente più elevati di quelli delle cittadine italiane (1,95 rispetto a 1,27 secondo le stime nel 2017). I dati ISTAT relativi al bilancio demografico nazionale confermano l’aumento dei nuovi cittadini italiani già rilevato negli anni precedenti e che ha condotto l’Italia nel 2015 e nel 2016 ad essere al primo posto tra i Paesi UE per numero di acquisizioni di cittadinanza. Al 31 dicembre 2017, su un totale di 146.605 acquisizioni di cittadinanza di stranieri residenti, il 50,9% riguarda donne. Tali acquisizioni, rispetto alla stessa data del 2016, sono diminuite (-27,3%). Nelle regioni del Nord Italia si registrano tassi di acquisizione di cittadinanza ben al di sopra della media nazionale. Si notino, in particolare, i casi della Valle d’Aosta, del Trentino Alto Adige e del Veneto, ma risulta interessante segnalare tassi di acquisizione superiori alla media nazionale anche in regioni del Centro (Marche) e del Sud (Abruzzo). Riferendosi sempre al 2016, le modalità di accesso alla cittadinanza restano differenti tra uomini e donne. Per gli uomini la modalità più frequente è la residenza (56% dei casi nel 2015), mentre il matrimonio è una modalità residuale (meno del 3%). Nel 2016, diversamente da quanto avveniva in passato, anche per le donne le acquisizioni di cittadinanza per residenza sono state le più numerose (43,9%), superando, seppur di poco, le acquisizioni per trasmissione/elezione (39,3%). Si riduce ulteriormente, anche per le donne, la quota di procedimenti avviati a seguito del matrimonio: nel 2016 questi risultano il 16,8% del totale, mentre nel 2014 risultavano il 25%.
La religione
Secondo le più recenti stime della Fondazione ISMU, su un totale di 5.144.440 stranieri residenti in Italia al 1° gennaio 2018, i musulmani sono poco meno di 1 milione e mezzo, pari al 28,2% del totale degli stranieri. I cristiani complessivamente sono il doppio, quasi 3 milioni, in aumento di circa 50 mila unità negli ultimi due anni. Ne consegue che, nel complesso, il 57,7% dei cittadini stranieri residente in Italia è cristiano. Si tratta in maggioranza di ortodossi (1,6 milioni, dei quali quasi 1 milione romeni) e 1,1 milioni di cattolici (tra coloro che migrano dall’Est Europa soprattutto albanesi, una minoranza di romeni e polacchi, filippini tra coloro che migrano dall’Asia, ecuadoriani e peruviani fra i latinoamericani). Fra le nazionalità delle principali comunità religiose locali, il gruppo marocchino è il principale di religione musulmana nelle tre regioni con più cittadini stranieri con tale appartenenza religiosa – Lombardia, Emilia Romagna e Veneto. Per quanto riguarda la nazionalità dei cattolici stranieri, con riferimento alle sole due regioni con oltre 100 mila stranieri residenti con tale appartenenza religiosa – Lombardia e Lazio – al primo posto si collocano i filippini, sia in Lombardia sia nel Lazio, seguiti dai latinoamericani di Perù ed Ecuador in Lombardia e dagli europei comunitari di Romania e Polonia nel Lazio.
Synthèse du #rapport:
▻http://www.caritasitaliana.it/caritasitaliana/allegati/7824/Sintesi%20per%20giornalisti.pdf
▻http://www.caritasitaliana.it/pls/caritasitaliana/V3_S2EW_CONSULTAZIONE.mostra_pagina?id_pagina=7824&rifi=guest&rifp=g
inclusive-design-checklist: Aims to be the biggest checklist of inclusive design considerations ever
▻https://github.com/Heydon/inclusive-design-checklist
“Aims to be the biggest checklist of inclusive design considerations for the web ever. Includes items for accessibility, performance, device support, interoperability, and language.”
CSDM | Les obstacles au regroupement familial des réfugiés freinent leur intégration
▻https://asile.ch/2017/12/28/csdm-obstacles-regroupement-familial-refugies-freinent-integration
Un rapport juridique publié par le Centre suisse pour la défense des droits des migrants (CSDM) et le HCR présente quelques recommandations à prendre en compte dans le cadre de litiges stratégiques sur le regroupement familial des réfugiés, écrit la présidente du CSDM, Jasmine Caye
OSAR | « La perspective d’un travail a profondément changé ma vie »
▻https://asile.ch/2017/12/23/osar-perspective-dun-travail-a-profondement-change-vie
Le préapprentissage d’intégration prépare les réfugié-e-s à une formation professionnelle.
I Get You, buone pratiche di integrazione di migranti forzati attraverso il #community_building
Realizzata nell’ambito del progetto BEST (Promoting best practices to prevent racism and xenophobia toward forced migrants through community building) in 9 Paesi Europei su iniziativa del JRS Europa ha tra i suoi partner Associazione Centro Astalli (JRS Italia), JRS Belgio, JRS Germania, JRS Francia, SJ Spagna, JRS Malta, SJ Polonia, JRS Portogallo, JRS Romania.
Sono state 315 le iniziative di community building mappate: 62 in Italia, 55 in Francia, 50 in Germania, 37 in Belgio, 31 in Spagna, 31 in Portogallo, 20 a Malta, 15 in Romania e 14 in Croazia.
▻http://centroastalli.it/get-buone-pratiche-di-integrazione-di-migranti-forzati-attraverso-il-c
#guide #bonnes_pratiques #intégration #asile #migrations #réfugiés #manuel #travail #intégration_professionnelle #solidarité
Le pdf:
▻http://centroastalli.it/wp-content/uploads/2017/12/I-GET-YOU_-impag-2b-new-1.pdf
Lavoro. Una guida multilingue per cercarlo in Italia
Due cooperative sociali, Abantu e Lai-Momo, con un finanziamento della Tavola Valdese, hanno lanciato “#Orienta” un progetto educativo e di inserimento lavorativo per richiedenti asilo e Profughi. Il progetto usa lo strumento video ed è disponibile in 9 lingue. Un aiuto per tutte le realtà che lavorano nell‘accoglienza.
Si tratta di una video di animazione realizzato in 9 lingue, scelte sulla base delle nazionalità prevalenti tra gli ospiti presenti nei centri di accoglienza per richiedenti asilo e rifugiati. Il progetto realizzato dalla cooperativa sociale Abantu in collaborazione con la cooperativa sociale Lai-momo e finanziato dalla Chiesa Evangelica Valdese (Unione delle Chiese Metodiste e Valdesi) – Otto per Mille 2016.
«Si tratta di un video tutorial, della durata di 6 minuti, caratterizzato da semplicità e chiarezza tanto nel linguaggio, quanto nella grafica e nei contenuti, per far sì che possa essere facilmente compreso dal maggior numero possibile di beneficiari.
Il video Orienta, pensato principalmente come supporto durante i colloqui informativi e orientativi svolti dagli operatori del settore, è accessibile anche per persone con un basso livello di scolarizzazione e di alfabetizzazione.
Il video non è solamente in italiano: grazie alla collaborazione con mediatori linguistico-culturali con esperienza pluriennale, sono state realizzate altre nove versioni, nelle seguenti lingue, scelte sulla base delle nazionalità prevalenti degli ospiti presenti in accoglienza: inglese, francese, arabo, urdu, bengalese, bambara, mandinka, fula e wolof. Tutti i video sono sottotitolati in italiano.»
▻http://www.mediatoreinterculturale.it/lavoro-una-guida-multilingue-per-cercarlo-in-italia
#Italie
Lien vers la
▻https://www.youtube.com/watch?v=opyMmqmTCaY
Call for States to spearhead a new way of thinking, speaking and acting on migration – UN experts – Migrations sans frontières / Migration Without Borders
▻https://migrationsansfrontieres.com/2017/12/17/call-for-states-to-spearhead-a-new-way-of-thinking-speaking
How to make your HTML responsive by adding a single line of #CSS
▻https://medium.freecodecamp.org/how-to-make-your-html-responsive-by-adding-a-single-line-of-css
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Titre un peu racoleur mais tout de même intéressant.
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