• The #design of #intelligent_environments for education
    https://redasadki.me/2024/01/31/the-design-of-intelligent-environments-for-education

    Warren M. Brodey, writing in 1967, advocated for “intelligent environments” that evolve in tandem with inhabitants rather than rigidly conditioning behaviors. The vision described deeply interweaves users and contexts, enabling environments to respond in real-time to boredom and changing needs with shifting modalities. Core arguments state that industrial-model education trains obedience over creativity through standardized, conformity-demanding environments that waste potential. Optimal learning requires tuning instruction to each student. Rigid spaces reflecting hard architecture must give way to soft, living systems adaptively promoting growth. His article categorizes environment and system intelligence across axes like passive/active, simple/complex, stagnant/self-improving. (...)

    #Theory #Warren_M._Brodey

  • Le prolétariat international, la seule classe capable de mettre fin au capitalisme et à l’exploitation !

    #archiveLO #conférenceLO (Cercle Léon Trotsky du 4 mars 2011)

    https://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/cercle-leon-trotsky/article/le-proletariat-international-la-14434

    Sommaire :

    Du #socialisme_utopique aux premières luttes

    1848 : Le Manifeste Communiste...
    – Le prolétarait considéré comme une classe révolutionnaire
    – La #plus-value
    – La nécessité du parti

    ... et la révolution !

    La construction des partis ouvriers
    – Bataille d’idées

    1871 : la Commune de Paris

    De l’apogée de la social-démocratie à sa trahison
    – Développement de la social-démocratie et du prolétariat
    – L’illusion réformiste

    La #révolution_russe de #1917

    Le stalinisme, ennemi du mouvement ouvrier
    – Un courant contre-révolutionnaire
    – Des situations révolutionnaires trahies par le #stalinisme

    Les #révolutions_anticoloniales : une occasion perdue

    La trahison de l’#intelligentsia

    Le prolétariat, classe majoritaire sur la planète

    La classe ouvrière dans les pays du Tiers monde
    – Des zones franches aux usines géantes d’Asie
    – La responsabilité de l’#impérialisme

    Le #prolétariat des pays riches
    – La classe ouvrière industrielle
    – Les #employés, partie intégrante du prolétariat

    Une seule #classe_ouvrière mondiale

    #manifeste_duParti_communiste #nationalisme #indépendance #réformisme #marxisme #parti_révolutionnaire #Karl_marx #Friedrich_Engels #marx #engels #Lénine #trotsky #trotskisme #léninisme

  • Inclusif et polyphonique : la nouvelle définition du musée proposée par l’ICOM Didier Rykner - 2 août 2019 - La Tribune de l’Art
    https://www.latribunedelart.com/inclusif-et-polyphonique-la-nouvelle-definition-du-musee-proposee-p

    « Un musée est une institution permanente sans but lucratif au service de la société et de son développement ouverte au public, qui acquiert, conserve, étudie, expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son environnement à des fins d’études, d’éducation et de délectation. »
Simple, claire, et correspondant à la réalité. Voilà ce qu’est actuellement la définition d’un musée par l’ICOM, organisation non gouvernementale dont l’objectif principal est « d’établir des normes professionnelles et éthiques pour les activités des musées ». Le Conseil International des Musées (International Council of Museums) « formule des recommandations sur des questions liées au patrimoine culturel, promeut le renforcement des capacités professionnelles et fait progresser la connaissance dans le domaine » et il « est le porte-parole des professionnels des musées sur la scène internationale et sensibilise le grand public à la culture par le biais de réseaux mondiaux et de programmes de coopération ».

    Cette définition nous semble parfaite. Mais, comme le dit sans rire https://icom.museum/fr/news/the-challenge-of-revising-the-museum-definition Jette Sandahl, présidente du comité permanent de l’ICOM : « elle ne parle pas le langage du XXIe siècle » ! Celle-ci ajoute, de manière à ce qu’il n’y ait plus aucun doute sur l’origine de l’affaire, que « la définition du musée doit donc être historicisée, contextualisée, dénaturalisée et décolonialisée ».

    Voilà la nouvelle définition du musée tel que cette dame et quelques autres à l’ICOM voudraient imposer et inclure dans les statuts de l’organisation par un vote lors d’une assemblée générale extraordinaire qui aura lieu à Kyoto le 7 septembre 2019. Nous avons été nombreux à croire à une plaisanterie, mais il n’en est hélas rien : « Les musées sont des lieux de démocratisation inclusifs et polyphoniques, dédiés au dialogue critique sur les passés et les futurs. Reconnaissant et abordant les conflits et les défis du présent, ils sont les dépositaires d’artefacts et de spécimens pour la société. Ils sauvegardent des mémoires diverses pour les générations futures et garantissent l’égalité des droits et l’égalité d’accès au patrimoine pour tous les peuples.


    Les musées n’ont pas de but lucratif. Ils sont participatifs et transparents, et travaillent en collaboration active avec et pour diverses communautés afin de collecter, préserver, étudier, interpréter, exposer, et améliorer les compréhensions du monde, dans le but de contribuer à la dignité humaine et à la justice sociale, à l’égalité mondiale et au bien-être planétaire. »

    Est-il vraiment nécessaire d’analyser un tel #verbiage qui regroupe tout ce qu’une certaine #intelligentsia pseudo progressiste nous sert à longueur de temps ? Rien ne nous est épargné. Ni les mots « #inclusifs » et « #participatifs » - ou même quelques nouveaux mots qu’on voit déjà promis à un brillant avenir, comme des lieux « #polyphoniques » - ni les bons sentiments : « dignité humaine », « justice sociale », « égalité mondiale », et même « bien-être planétaire » ! On croirait presque un discours de Miss France, et on s’étonne que les musées ne soient pas dédiés aussi à la paix dans le monde… Il n’y a plus d’acquisitions, il y a une « #collecte », qui n’a pas le même sens. On collecte des spécimens (le terme est d’ailleurs employés dans la nouvelle définition) alors qu’on collectionne des œuvres. Ce dernier terme, dont « #patrimoine matériel » consistait un assez bon équivalent dans l’ancienne définition n’est évidemment pas utilisé. Il n’y a plus, avec des « #spécimens », que des « #artefacts ». Il est extraordinaire d’apprendre que les musées sont dédiés au « #dialogue critique sur les passés et les futurs ». Il va donc falloir, si l’on comprend bien, faire « dialoguer » - là encore un terme que nos nouveaux penseurs adorent, on fait « dialoguer » tout avec tout - les artefacts et les spécimens du passé avec ceux de l’avenir, ce qui va impliquer une nouvelle discipline pour le concours des conservateurs : la voyance. Les musées sont « participatifs », on l’a déjà vu mais ils doivent aussi être « transparents » sans que ce terme peu précis soit jamais défini. On s’interroge aussi sur « participatif ». Les visiteurs seront-ils amenés à compléter les tableaux ? Qui sont ces « diverses communautés » avec qui les musées doivent « travailler en collaboration active » ? On aurait aimé plus de précision.

    Il semble que cette nouvelle définition vienne de l’étranger, même si certains en France lui ont bien préparé le terrain. Qu’on se rappelle le rapport sur le Musée du XXIe siècle ( https://www.latribunedelart.com/rapport-sur-les-musees-du-xxie-siecle ) commandé par le ministère de la Culture. On est bien, avec ce texte de l’ICOM, dans la même idéologie. 


    Heureusement, le comité national d’ICOM France a réagi très rapidement à l’annonce de cette nouvelle définition ( https://www.icom-musees.fr/actualites/projet-de-nouvelle-definition-du-musee-proposee-par-icom ) en s’en étonnant, et en rappelant que le rapport préparatoire à cette décision avait des « conclusions mettant en cause de manière idéologique l’#histoire et la conception actuelle des musées européens ». Il constate que « La définition proposée (dans la version française) s’éloigne singulièrement de cette position par sa tonalité politique et elle met au second plan certains termes relatifs aux missions essentielles qui caractérisent toujours les métiers des musées. » Remarquons que la version anglaise est exactement identique.


    Le comité français va donc demander à ce que le vote de ce projet soit « reporté à une assemblée générale convoquée dans des délais compatibles avec un travail de réflexion dans les pays membres et les comités internationaux. »

    On voit donc se profiler un véritable bras de fer entre certains membres de l’#ICOM et l’#ICOM_France dont nous ne savons pas exactement aujourd’hui quel est le rapport de force. Souhaitons que ce dernier et bien au delà tous les conservateurs et professionnels de musées français fassent entendre bien haut leur voix pour refuser cette définition orwellienne. L’ICOM est, comme on le lit sur la page d’accueil de son site, « la seule organisation internationale dans le domaine des #musées ». Son importance est telle qu’on ne peut le laisser aux mains d’apprentis sorciers.

    Didier Rykner

    #idéologie #bhl #participation #transparence #Musée #Musées

  • mixed By Snooba
    http://www.radiopanik.org/emissions/ftp/mixed-by-snooba

    I sit in a corner watching her dance first with one man and then another.

    Fred P Black Key experiment Howie B Brass I Brass Com Truise Persuasion system Joris Biesmans please fix My linndrum Budakid Adieu X Fred P lush culture Mathias Schober Bigger Than Expected Echonomist At The End Of The Day Brett Johnson Illusion (B’s Acid #house Dub Mix) Dave Aju, thatmanmonkz, Foxxee, Seven Davis Jr. They Sleep We Love (Sev’s Bay Area Remix) Dana Ruh Moonday Juan Mc Lean Zone Non Linear December Beaches Rackmounted Labotomy

    Broadcasted & hosted by Snooba on radio Panik (Brussels-Be) radio Grenouille (Marseille) Canal B (Rennes-Fr) C’rock (Vienne-Fr) Diversité FM (Dijon-Fr) LNFM (Louvain la neuve-Be)You FM (Mons-Be) Woot (Marseille) Campus FM (Toulouse-FR)

    #indie #deep #indie_dance #down_tempo #beats #letfield_house #intelligent_dance_music #dope #house,indie,deep,indie_dance,down_tempo,beats,letfield_house,intelligent_dance_music,dope
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/ftp/mixed-by-snooba_06702__1.mp3

  • This school scans classrooms every 30 seconds through facial recognition technology
    https://www.techjuice.pk/this-school-scans-classrooms-every-30-seconds-through-facial-recognition-t

    A high school in China has made a facial recognition technology system that scans the student’s behavior in the classroom. The facial recognition technology introduced in the school is recording facial expressions of all students while they are in their classrooms. The system scans the classroom every 30 seconds and recognizes seven different expressions such as neutral, happy, sad, disappointed, scared, angry and surprised. The system is called as“Intelligent Classroom Behavior Management (...)

    #algorithme #CCTV #biométrie #facial #étudiants #surveillance #vidéo-surveillance #IntelligentClassroomBehaviorManagementSystem

  • Portrait du travailleur intellectuel en « capitaliste du savoir »

    Lola Miesseroff

    https://lavoiedujaguar.net/Portrait-du-travailleur-intellectuel-en-capitaliste-du-savoir

    À la jonction entre les XIXe et XXe siècles, le révolutionnaire polonais Jan Makhaïski (1866-1926) entendait démontrer que les « travailleurs intellectuels », ceux qui sont rétribués pour penser (ingénieurs, gestionnaires, comptables, professeurs, journalistes, écrivains…), constituent une fraction de la bourgeoisie aux intérêts de classe opposés à ceux des ouvriers. Grâce à leurs études, payées par une partie des dividendes du travail des ouvriers, ils acquièrent un capital de connaissance qu’ils vont mettre au service de l’entreprise ou de l’État. Les diverses fonctions de gestion, de contrôle, d’encadrement, de « dressage » du prolétariat qu’ils occupent ensuite les situent du côté de la classe dirigeante. C’est aussi cette intelligentsia qui fournit au capital l’idéologie du progrès nécessaire à sa croissance, d’où naît une « nouvelle classe moyenne » bénéficiant d’une partie du « profit national net ». (...)

    #Makhaïski #socialisme_étatique #intelligentsia #religion_scientifique

  • The elites “have no credibility left:” An interview with journalist Chris Hedges - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/en/articles/2017/10/06/hedg-o06.html

    On Monday, WSWS international editorial board chairman David North interviewed Chris Hedges, the Pulitzer Prize winning journalist, author, lecturer, and former New York Times correspondent. Among Hedges’ best-known books are War is a Force That Gives Us Meaning, The Death of the Liberal Class, Empire of Illusion: the End of Literacy and the Triumph of Spectacle, Days of Destruction, Days of Revolt, which he co-wrote with the cartoonist Joe Sacco, and Wages of Rebellion: the Moral Imperative of Revolt.

    #politique #états-unis #crédibilité #intelligentsia #élite

  • Chassol - Indiamore [Full movie ] - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=X0euvHEnSw8

    Chassol a pour objectif d’harmoniser le réel, la vie, le monde, tout ce qu’il rencontre, tout ce qui lui parle. Harmoniser le réel, c’est partir d’une image l’intéressant dès lors qu’elle produit un son : Chassol la duplique, joue avec le montage pour créer un motif rythmique et visuel, harmoniser les sons ainsi créés et produire un véritable objet filmique et musical. Le résultat porte un nom : « ultrascore »

    #musique #inde #jazz #groove #beau et #intelligent

    • Indiamore commence presque comme un livre-disque. On y entend, dès l’ouverture, la voix de Chassol qui pose les bases de la musique indienne, reprenant les propos d’un des musiciens : “Il me disait qu’il voyait la musique indienne comme deux lignes horizontales. La première, généralement jouée par un tampura, symbolisait la basse. C’était un flux, un ton, un tronc. Une racine qui définissait le point d’ancrage de l’harmonie. La seconde représentait la mélodie et ses chemins sinueux.” A partir de cette phrase d’intro d’une précision folle qui ouvre en même temps un fantastique champ des possibles, Chassol construit un disque d’une richesse incroyable, une épopée discrète faite de rencontres précieuses et de traversées intérieures, que Chassol a utilisées pour procéder aux harmonisations du réel – dont il a le secret

      http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/les-echappees-de-chassol

  • Des entrepreneurs carolos contre Leroy Merlin au tribunal de commerce de Lille RTBF Luciano Arcangeli Mercredi 12 octobre 2016
    http://www.rtbf.be/info/regions/hainaut/detail_des-entrepreneurs-carolos-contre-leroy-merlin-au-tribunal-de-commerce-de

    Trois entrepreneurs dont deux issus de la région de Charleroi, ont assigné devant le tribunal de commerce de Lille, en France, le groupe ADEO et le géant de la distribution Leroy Merlin France pour avoir rompu unilatéralement un accord de confidentialité. Mais aussi et surtout pour avoir pour le moins utilisé, sans dédommagement, une technologie mise au point par ces entrepreneurs carolos. Ces derniers ont donc décidé de ne pas se laisser faire.

    Nous avons mené notre enquête et celle-ci nous plonge dans le monde des objets intelligents et de la domotique. C’est déjà le cas et cela le sera encore plus dans le futur : nos machines à café, nos radiateurs, nos machines à laver ou nos frigos seront contrôlés à distance à partir de notre smartphone.

    Cette technologie-là, l’IOT (Intelligent Object Technology), trois entrepreneurs, regroupés sous l’appellation LEA, la maitrisent au point d’avoir été pendant plusieurs mois accompagnés par le groupe Leroy Merlin et la direction technologique du groupe Adeo, propriétaire de la marque Leroy Merlin, indéniablement intéressées par une technologie taillée sur mesure pour leurs besoins commerciaux.

    Naïveté ?
    Le groupe Leroy Merlin souhaite incorporer des puces électroniques intelligentes dans des objets qu’il entend commercialiser dans ses magasins et surtout élaborer le standard qui servira à toutes les autres marques européennes. Cela concerne des millions d’objets. Et les Carolos sont donc confiants. Ils investissent pour développer la technologie et le savoir-faire.

    Pendant des mois, les entrepreneurs de Charleroi vont collaborer avec les représentants du groupe français. Les rencontres s’enchainent et les échanges de mails sont quasi quotidiens (plus de 850 mails sont dans le dossier) jusqu’à la mise au point du prototype. Mais, au terme de la réalisation, et malgré les accords de confidentialité signés par toutes les parties, les demandeurs français vont couper court à toute négociation ultérieure et refuser tout paiement. Fin de discussion. C’est la catastrophe pour LEA dont le rêve d’une plus-value s’envole.

    Au même moment, en janvier 2016, l’un des directeurs de Leroy Merlin, celui qui était précisément en relation avec le groupe LEA, présentait l’innovation, (ndlr ou à tout le moins quelque chose qui y ressemble très fort), dans un salon international de Las Vegas et y remportait le premier prix.

    Pour LEA et les entrepreneurs carolos c’est la douche froide. Emmanuel Yannikos, est l’un des trois entrepreneurs qui a pris la nouvelle comme une gifle :  » Ils, les gens de Leroy Merlin France, nous ont fait travailler pendant près d’un an et demi sans la moindre rémunération. Il est clair qu’ils nous promettaient en échange un contrat commercial à long terme, un investissement important de leur part dans une prise de capital de notre société momentanée baptisée LEA, ou de nos sociétés, puisque LEA, c’est un groupe de trois entreprises. C’était en fait une carotte qu’ils nous montraient devant notre nez. Nous avons été dupés car, en fait, ils nous montraient cette carotte pour absorber nos connaissances. Et quand nous avons commencé à insister pour officialiser le contrat promis, tout s’est subitement annulé et, là, nous avons découvert une série de manigances indignes d’un groupe comme Leroy Merlin, indigne de la charte des valeurs qu’ils mettent en évidence sur leur site internet. Ils ont pris nos études et les ont livrées à des sociétés concurrentes aux nôtres, en rompant de la sorte les accords de confidentialité. Et là, il faut bien l’admettre, on s’est réveillé et on a pris une grosse claque. Ensuite, sur base de tous les éléments à notre disposition, nous avons donc porté plainte devant une juridiction française."

    Réaction de Leroy Merlin : par communiqué
    Voilà de sérieuses accusations qu’il appartiendra au juge d’étayer. Nous avons donc tenté à plusieurs reprises de joindre les représentants de Leroy Merlin. Aucune déclaration n’a été acceptée sous la forme d’interview. Toutefois, un communiqué transmis par courriel via leur porte-parole, nous a fait savoir de manière laconique la position du groupe français et de sa société mère ADEO :  " Comme vous le savez, Leroy Merlin et ADEO ont été assignées devant le tribunal de commerce de Lille par les trois entrepreneurs (LEA) avec lesquels des négociations avaient été engagées. Ces négociations n’ont pas abouti. Leroy Merlin et ADEO ne désirent pas commenter des différends pour lesquels la justice a été saisie. Par ailleurs, je peux vous assurer que notre éthique et nos valeurs, nous conduisent à respecter la confidentialité inhérente à chaque nouveau projet. Sincères salutations. "

    La balle est désormais dans le camp des experts et probablement des enquêteurs car le problème est tel, et les enjeux commerciaux d’une ampleur telle, qu’il ne s’agit certainement pas d’une simple petite affaire de plagiat ou de vol de technologie.

Notre enquête nous a permis de découvrir que les innovations apportées par les entrepreneurs du groupe LEA avaient, bien avant la rupture du contrat de confidentialité, été transmises à des sociétés concurrentes, ni belges ni françaises, agissant pour le compte d’un donneur d’ordre français afin de vérifier le fonctionnement de la technologie élaborée par LEA.

    Les avocats des différentes parties vont avoir du boulot. L’audience est fixée au 24 novembre au tribunal de commerce de Lille.

    #Leroy_Merlin #Adeo #domotique #Objets_connectés #Brevet #IOT #Intelligent_Object_Technology #Plagiat #Multinationale

  • Rencontre-discussion avec Houria Bouteldja et Isabelle Stengers

    https://www.youtube.com/watch?v=RN3dDXOcnXE

    Ajoutée le 19 août 2016

    Nous sommes très heureuses de vous convier le jeudi 9 juin à 19h à une rencontre-discussion avec #Houria_Bouteldja et #Isabelle_Stengers autour du livre « #Les_blancs_les_juifs_et_nous. Vers une politique de l’amour révolutionnaire. ».

    Que ce soit sur le terrain du pragmatisme politique et philosophique, d’une manière de traiter de la #non-innocence, de l’appel à la création d’une paix qui passe par la #décolonisation_de_la_pensée, d’une critique radicale de la modernité occidentale, les liens entre la pensée de la philosophe et la proposition politique de la militante nous semblent multiples et féconds.

    Durée : 1h24

    #critique_décoloniale #PIR

    • Cette article déjà maintes fois partagé ici est une sorte de réponse directe à Oceanerosemarie https://blogs.mediapart.fr/melusine-2/blog/200616/bouteldja-ses-soeurs-et-nous

      C’est en lisant la tribune de soutien qu’a publiée l’auteure et comédienne Océanerosemarie dans Libération le 30 mai dernier que je me suis décidée à écrire ce texte. Parce qu’il n’est question ni de taire la charge antiféministe à laquelle se livre Bouteldja dans Les Blancs, les Juifs et nous, ni de laisser cette critique aux réactionnaires de droite ou de gauche, qui ne se découvrent des velléités antisexistes que lorsque l’accusation porte sur des racisés.

    • @sombre Stengers est dans les trucs paranormaux depuis pas mal de temps, notamment les OVNI. Elle a donné des interviews à des revues ufologiques, les soutenant face à la « science officielle », est intervenue dans des colloques ufologiques, a préfacé leurs livres, etc. Idem pour les sorciers où elle mêle une critique de la répression anti-sorcières au Moyen-Âge (qui était clairement sexiste) avec des affirmations comme quoi ils/elles auraient eu un savoir valant bien celui de la science.

    • je ne connais pas Stengers et encore moins ce qu’elle dit sur les OVNIS et la chasse aux sorcières. Juste à propos de cette phrase @stephane :

      Idem pour les sorciers où elle mêle une critique de la répression anti-sorcières au Moyen-Âge (qui était clairement sexiste) avec des affirmations comme quoi ils/elles auraient eu un savoir valant bien celui de la science.

      Si c’est une comparaison entre ces domaines à l’époque du Moyen-age et de la Renaissance, ce que tu rapporte de ce qu’elle dit me semble possible. La connaissance médicale des sorcières à la Renaissance était plus avancé que celles des scientifiques. Les sorcières avaient une connaissance avancé en herboristerie, en contraception, en avortements, en accouchements et en hygiène.
      Du coté de la science pendant ce temps c’était le règne de la théorie des humeurs, lecture des urines, saignées à répétition. Pendant longtemps la science n’était pas plus rationnelle que la sorcellerie.
      Dans d’autres domaines comme l’astronomie, c’est pas impossible qu’il y ait des sorcières de l’époque qui en savaient aussi long que les scientifiques accrédités.

      Par contre si Stengers ne précise pas ce contexte historique et parle des connaissances scientifiques aujourd’hui, je suis d’accord avec toi pour dire que ses propos sont délirants.

    • Comme il était prévisible, la ligne de rupture entre, d’une part,

      les tenants d’un PIR-pire-que-tout face à qui tous les coups sont non seulement permis mais nécessaires et vertueux, à commencer par l’exhitition d’inintelligence, et, autant que possible, le discrédit à l’emporte-pièce,

      et celleux, tout de même moins bruyants, qui considèrent qu’il y a bien là quelque chose à lire ou à entendre, et que les difficultés à lire ou à entendre une pensée décoloniale ne tiennent pas aux éventuelles critiques que pourraient mériter leurs locuteurs ou autrices une fois leur propos un minimum entendu , mais d’abord au fait qu’il s’agit d’un discours qui cherche une rupture radicale avec ce monde blanc dont nous sommes, qui se moque bien de ce que cela nous plaise ou non, et d’une critique qui entend en finir avec lui. Ce qui a toutes les chances de nous déplaire de prime abord, en effet, car si nous, blancs, prétendions vouloir « en finir avec le vieux monde », ça n’a jamais été que depuis notre seule position provinciale mais hégémonique de petits mâles occidentaux, et en toute innocence de ce cet occident, son racisme et son patriarcat faisaient de nous-mêmes ;

      cette ligne se donne clairement à voir dans les commentaires.

      Comme l’évoque un des intervenants de la vidéo, on aurait pu s’attendre à ce que, par exemple, le travail fait depuis des années par le féminisme radical ait fourni à certains des outils intellectuels ne serait-ce que pour comprendre que des objets comme l’antiracisme politique et la critique décoloniale ne s’abordent pas sans accepter de se confronter aux difficultés liées au fait que de telles critiques assument pleinement de rompre avec le discours dominant et d’y bousculer les catégories, y compris celles qui y ont été imposées par d’autres luttes : tout comme le fait justement le féminisme radical - et que prétendre se satisfaire de les juger platement l’un comme l’autre à l’aune de semblables catégories (racistes ! homophobes ! et tutti quanti) revient tout de même à venir jouer les matamores, tout en donnant à voir comment l’on s’est soigneusement tenu à l’abri du risque de jamais devoir approcher sa cible .

      Il semble que ce ne soit hélas pas le cas.

      Mais on peut aussi bien espérer que le fait qu’ il n’y a guère qu’en France , et parmi celleux, de l’Agrif aux libertaires en passant par tout le reste, qui n’ont de cesse de jeter assez de discrédit sur cet antiracisme politique en prétendant bruyamment n’y lire qu’extravagances, ignorance, haines diverses, variées et multiples, outrances nègres, arabes, musulmanes ou réactionnaires, que le travail de problématisation du racisme porté, entre autres, par le PIR, soit fallacieusement présenté comme quelque chose de complètement « nouveau » et « inédit » : il se trouve qu’il a été et est formulé ailleurs, dans d’autres contextes, depuis des décennies, tandis que l’antiracisme moral et bien français se félicite toujours, et plus que jamais, de ne jamais rien vouloir savoir d’autre en la matière que son propre universalisme blanc et abstrait...
      que ce fait donc, désormais de plus en plus visible, finisse par rendre à quelques uns le vacarme de leur propre provincialisme et de son autistique arrogance également insupportables.

      J’ai l’air de m’être énervé, et c’est le cas, un petit peu. Marre de lire partout des réactions du niveau de celles de Guénolé ou de Marianne.

      C’est d’un convenu.

      Quant à mépriser et dénigrer, s’il vous plaît, soyez donc un peu originaux, inventifs. Donnez vous au moins la peine de produire un dernier petit quelque chose, avant de disparaître. Parce qu’une chose me semble certaine désormais : l’ancien antiracisme que j’ai connu et défendu moi aussi : blanc, élaboré sans les racisé-e-s, son confort et son inefficacité, ne reviendront plus sur le devant de la scène : ni demain, ni dans vingt ans, ni plus tard. Désormais, on n’a d’autre choix que d’accepter d’y voir plus clair - ce qui, j’en conviens, peut faire mal aux yeux au début.
      Et je m’en réjouis.

    • Isabelle Stengers
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Isabelle_Stengers

      Licenciée en chimie de l’université libre de Bruxelles (ULB), lectrice de Whitehead, de Simondon et de Starhawk, collaboratrice régulière de la revue Multitudes1, Isabelle Stengers enseigne la philosophie des sciences à l’ULB2. Elle est aussi membre du comité d’orientation de la revue d’écologie politique Cosmopolitiques3.

      Isabelle Stengers se fait connaître dès son premier ouvrage, La Nouvelle Alliance (1979), coécrit avec le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine, consacré notamment à la question du temps et de l’irréversibilité.

      Elle s’intéresse ensuite, en faisant appel entre autres aux théories de Michel Foucault et de Gilles Deleuze, à la critique de la prétention autoritaire de la science moderne3. Stengers souligne ainsi l’omniprésence de l’argument d’autorité dans la science, ainsi lorsqu’on fait appel aux « experts » pour trancher le débat, comme s’il n’y avait pas de réel différend politique à la source du débat lui-même. Il est important de noter qu’elle ne fait aucunement partie de la mouvance déconstructionniste, pour qui la science ne serait qu’un ensemble de conventions verbales.

      Puis elle travaille sur la critique de la psychanalyse et, notamment, de la répression, par cette dernière, de l’hypnose, rencontrant par ce biais Léon Chertok. Elle est aussi amenée à contribuer au corpus Le Livre noir de la psychanalyse, où elle rencontre un autre auteur de cet ouvrage, l’ethnopsychiatre Tobie Nathan, avec qui elle rédige ensuite un exposé de ses idées sur la psychothérapie.

      Elle se consacre depuis une quinzaine d’années à une réflexion autour de l’idée d’une écologie des pratiques, d’inspiration constructiviste. En témoignent les sept volumes des Cosmopolitiques, publiés aux Empêcheurs de penser en rond/La Découverte, mais aussi ses livres consacrés à la psychanalyse (La Volonté de faire science, 1992), à l’hypnose (L’Hypnose entre science et magie, 2002), à l’économie et à la politique (La Sorcellerie capitaliste, avec Philippe Pignarre, 2005), ou encore à la philosophie (Penser avec Whitehead, 2006).

      En 1990, elle est à l’origine, avec Philippe Pignarre, de la création de la maison d’édition Les Empêcheurs de penser en rond3.

    • @stephane les ovnis, tu es sur ? Tu as des références, ça ne me dit rien du tout. C’est une philosophe des sciences essentiellement et une engagée politique sur les questions des « sans ». Quand à la vidéo, pas le temps encore de la voir, un peu comme tout ce que je pointe sur seenthis en ce moment ça va dans la catégorie #toread

    • @supergeante de ce que j’ai vu elle dit que la question des ovnis révèle un comportement typique de la science universitaire (issue du clergé et d’un étatisme forcené) : mépriser et essayer d’étouffer tout discours, y compris ceux se revendiquant de la pratique et de l’expérience (et non d’une déduction logique hasardeuse), ne provenant pas de son propre réseau de confiance et de légitimation.

      Pour les OVNI, on peut retenir que certains cas ont par la suite été expliqué par la révélation (tardive) des programmes secrets de développement des avions furtifs américains (F117, U-2 etc.) sur la fameuse zone 51. Les habitants voyaient des avions bizarre, reflétant la lumière à très haute altitude ou avec des lumières inhabituelle dans la nuit, mais les autorité (locales et de surcroît fédérales) leur assuraient que rien n’étaient apparu sur les radars (bah oui ils étaient furtifs...).

      Ce qui est « marrant » c’est que les travaux universitaires (qui se sont approprié le terme « science » au cours des XIXe et XXe siècles) ont été caractérisés pendant très longtemps par leur dogmatisme et leur enfermement doctrinal au mépris du pragmatisme et de l’expérimentation.

      Un des meilleurs exemples est précisément la médecine universitaire (longtemps interdite aux femmes, comme les autres activités universitaires) qui pendant plusieurs siècles a défendue la pratique de la saignée et essayé de réduire à néant les pratiques populaires de médecine (bien plus efficaces et pragmatique) en demandant aux rois un monopole professionnel et en désignant les guérisseuses comme des sorcières devant être brûlées (avec l’appuie du clergé qui souhaitait se débarrasser de ce qu’il nommait le paganisme). Aujourd’hui les sciences économiques illustrent bien cet égarement théorique qui caractérise ce milieu qui se gargarise de son indépendance d’esprit bien qu’il doive énormément aux pouvoirs en place dont il est issu.

      Hasard de Seenthis, une discussion à propos du livre Caliban et la Sorcière de Silvia Federici a repris de l’activité : https://seenthis.net/messages/422612

      Je recommande aussi la lecture de cet essai qui fit date :

      Sorcières, sages-femmes et infirmières. Une histoirE des femmes soignantes ; de Barbara Ehrenreich et Deirdre English
      https://www.cambourakis.com/spip.php?article550

    • @martin5 : merci. Je me sens moins seul. Ce que tu exprimes dans ton post résume les intuitions que je pouvais avoir par rapport au Parti des Indigènes de la République et à ses détracteurs. Mais comme je ne suis pas un grand « penseur », sûrement à cause de mon manque de culture universitaire, de mes difficultés à énoncer clairement et de façon concise mon analyse des faits, et sûrement aussi par manque de temps ou pure paresse, tout ce que tu as écrit et qui restait au stade intuitif et informulé chez moi, j’y adhère. Voilà.

    • @aude_v

      Ce
      n’est peut-être pas d’aujourd’hui que les racisé-e-s élaborent leurs
      stratégies anti-racistes... Il y a dans ton propos, @martin5, un côté
      « progrès linéaire », étonnamment. Tu aurais fourni cette analyse sur des
      mouvements que je connais mieux et dans lesquels je suis impliquée que
      j’aurais trouvé ça un peu condescendant et ignorant de décennies de
      luttes.

      Est ce ce passage

      Parce qu’une chose me semble certaine désormais : l’ancien antiracisme que j’ai connu et défendu moi aussi : blanc, élaboré sans les racisé-e-s, son confort et son inefficacité, ne reviendront plus sur le devant de la scène : ni demain, ni dans vingt ans, ni plus tard. Désormais, on n’a d’autre choix que d’accepter d’y voir plus clair - ce qui, j’en conviens, peut faire mal aux yeux au début.

      qui te donne cette impression de conception en termes de « progrès linéaire » ? Je voulais justement dire qu’au contraire, c’est une rupture radicale (autonomie, notion de #champ_politique_blanc...) qui avait lieu depuis un peu plus d’une décennie et il me semble que ça n’est pas ignorer, minorer ou faire injure aux luttes antiracistes de la fin du xxeme siècle que de le dire.

      Je m’excuse pour le ton très condescendant. C’est un travers très profondément installé chez moi, qui se trouve encore accentué sitôt que la discussion devient conflictuelle (ce qui était le cas de ce commentaire).

      Je postais juste un lien vers cette vidéo parce que j’ai trouvé cette discussion profondément stimulante et qu’elle n’était pas encore référencée ici. La manière dont Isabelle Stengers, dont je découvre justement avec intérêt le travail de critique depuis quelques mois, y rapproche les méfaits de l’impérialisme sur les européens et sur le reste du monde m’a particulièrement interpellé, (sur ce sujet comme tant d’autres, je découvre tardivement l’eau tiède) comme le fait que cela puisse fournir une base de discussion avec quelqu’un comme Houria Bouteldja.

    • La Chronique
      La Fabrique, le 13 septembre 2016
      https://seenthis.net/messages/524238

      Des vieux staliniens du Monde diplomatique aux totos de Montreuil, des bien pensants du Nouvel Observateur aux ex-gauchistes de Libération, tous sont tombés d’accord : le livre d’Houria Bouteldja, Les Blancs, les Juifs et nous, est raciste, identitaire, homophobe, ignorant de l’histoire, balayé par des torrents essentialistes et religieux et – l’adjectif qui tue – antisémite. Il est inutile de faire remarquer que toutes ces critiques sont étayées par des phrases tronquées et sorties de leur contexte, que par bêtise ou mauvaise foi l’ironie du livre est prise au premier degré, que le mot « race » est absurdement pris au sens biologique, bref que toutes ces lectures sont truquées. Inutile parce que la religion de ces gens-là est faite : Houria Bouteldja est intolérable – comme femme, comme militante d’un mouvement qui fait entendre des vérités désagréables, et comme arabe, ce qui est vraiment un comble. On s’étonne que nous ayons publié ce livre, et même on nous en fait reproche, violemment parfois. Nous considérons au contraire qu’il a bien sa place chez nous, dans un catalogue consacré aux voies diverses menant à l’émancipation des opprimés.

      #Houria_Bouteldja

  • Zones subversives - Chroniques critiques
    http://www.zones-subversives.com
    En France, la vie intellectuelle se concentre à Paris. La capitale abrite tous les journaux, les revues, les maisons d’édition et la création culturelle. Les intellectuels vivent alors dans une bulle, se plaisent à écrire sur eux-mêmes et défendent leur identité. Les intellectuels ne cessent de jouer un rôle politique central. Une approche historique permet d’interroger la place des intellectuels dans le débat public.

    Au cours de ses études à Paris, puis tout au long de sa vie, Shlomo Sand s’est frotté aux « grands penseurs français ». Il connaît intimement le monde intellectuel parisien et ses petits secrets. Fort de cette expérience, il bouscule certains des mythes attachés à la figure de l’« intellectuel », que la France s’enorgueillit d’avoir inventée.
    #intelligentsia #morale #pouvoir #mass-médias

  • Un créationniste permet de conserver des fossiles vieux de 60 millions d’années

    Il existe différent créationnismes, selon qu’ils adhèrent plus ou moins a la théorie de l’évolution (certains pensent que l’univers a été créé par Dieu, mais qu’ensuite il s’est retirer), d’autres plus radicaux, adopte l’idée d’une terre jeune de 6000 ans pour justifier le fait que dans la bible, le monde serai crée en 6 jours (et nous serions dans le 7ième). Pour eux, chaque jour fait 1000 ans en gros. Et les fossiles de dinosaures ont été placé sur Terre par Dieu pour tester votre foi par exemple, ou juste ne sont pas aussi vieux qu’on le dit. Par ex. dans le musée de la création, ils font cohabiter les dinosaures avec les humains.

    http://www.slate.fr/story/102263/creationniste-canadien-fossiles-60-millions-annees

    #creationnisme #intelligent_design #science