• Khrys’presso du lundi 10 février 2025
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    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Khrys’presso du lundi 3 février 2025
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  • Khrys’presso du lundi 3 février 2025
    https://framablog.org/2025/02/02/khryspresso-du-lundi-3-fevrier-2025

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  • 🌐 Le DNS (Domain Name System) est la base de données distribuée qui traduit les noms de domaine en adresses IP ou autres enregistrements.

    👩‍🏫 Découvrez les enjeux, le fonctionnement, les acteurs et les principales opérations relatives aux métiers des noms de domaine dans une formation Afnic sur 2 jours !

    Prochaines sessions :
    📅 10 et 11 mars 2025
    📅 10 et 11 juin 2025

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    #DNS #Formation #Afnic #InternetMadeInFrance #DSI #RSSI #réseaux

  • Khrys’presso du lundi 27 janvier 2025
    https://framablog.org/2025/01/27/khryspresso-du-lundi-27-janvier-2025

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  • Le Rapt d’Internet, de Cory Doctorow (C & F Éditions)
    https://cfeditions.com/rapt-internet

    Manuel de déconstruction des Big Tech,
    ou comment récupérer les moyens de production numérique

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne Lemoine
     
    « Ceci est un livre pour les personnes qui veulent détruire les Big Tech.

    Ce n’est pas un livre pour les personnes qui veulent dompter les Big Tech. Il est impossible de les réformer.

    Ce n’est pas non plus un livre pour les personnes qui veulent se débarrasser des technologies à proprement parler. Les technologies ne posent pas de problème en soi. Arrêtons de réfléchir à ce que font les technologies. Réfléchissons plutôt à qui elles le font et pour qui elles le font.

    C’est un livre qui s’intéresse à ce que les Big Tech craignent le plus : une technologie qui serait dans les mains et au service des personnes qui l’utilisent. »

  • Les contenus haineux et négatifs sont rentables pour les médias sociaux publicitaires
    https://www.laquadrature.net/2025/01/20/les-contenus-haineux-et-negatifs-sont-rentables-pour-les-medias-sociau

    Ce 20 janvier, 5 personnalités d’associations citoyennes expliquent dans cette tribune les liens, entre médias sociaux publicitaires et les contenus haineux et négatifs. Elles appellent à aller sur des réseaux sociaux sans pub, à bloquer…

    #Censure #Non_classé

  • Khrys’presso du lundi 20 janvier 2025
    https://framablog.org/2025/01/20/khryspresso-du-lundi-20-janvier-2025

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  • Adieu, bel oiseau twitter que j’ai tant aimé | David Dufresne
    https://www.davduf.net/adieu-bel-oiseau-twitter-que-j-ai-tant-aime

    Combien de nuits tes gazouillis m’ont flingué.
Mon cher Twitter, quand tu es arrivé, avec ta sobriété, tes 140 signes, ce blanc partout, ça rappelait l’irruption de Google, dix ans plus tôt, qui tranchait avec les moteurs de recherche de l’époque, si bavards et si criards ; comme toi, tes hululements sonnaient si justes… Source : davduf.net

  • Khrys’presso du lundi 13 janvier 2025
    https://framablog.org/2025/01/13/khryspresso-du-lundi-13-janvier-2025

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  • L’éléphant (du déferlement technologique) dans la pièce (de l’anti-fascisme)

    Le 18 Juin, on reçoit un mail groupé du Fonds pour une presse libre (1), demandant à plus de 100 médias de signer l’appel « pour un front commun des médias contre l’extrême-droite ». Dans les jours d’après, quantité de mails en retour annonçant que Le courrier des balkans , Le crétois , Youpress , etc., signent. Au final 90 médias valident cet appel diffusé largement à partir du 20 Juin.
    Au Postillon , on n’a pas répondu, comme d’habitude. On nous demande régulièrement de signer des tribunes, appels, courriers, prises de position et à chaque fois on fait les morts. À vrai dire, on croit bien être atteint de tribunophobie. Oui mais là quand même, avec l’extrême-droite aux portes du pouvoir, l’heure est grave, non ?
    Le 24 Juin on reçoit un courrier papier (merci, ça fait toujours plaisir) d’un de nos abonnés, qui nous demande « je vois que Le Postillon ne figure pas dans la liste des médias contre l’extrême-droite. Pourquoi ? » Bonne question, Laurent. Alors pour une fois, on va tenter de répondre, ce long texte étant une sorte de complément d’analyse et de réflexions à côté de notre reportage dans le Nord-Isère.

    Lire la suite du texte ici : https://www.lepostillon.org/Elephant-du-deferlement-technologique.html

    • Cécile, une habitante du Nord-Isère rencontrée lors de notre reportage (voir page 16) assène que dans ses campagnes « la vrai figure repoussoir, ce n’est pas tant l’étranger que le bobo des villes donneur de leçons ». On fait des tribunes pour se tenir chaud, pour se rassurer et se compter entre gens d’accord, sans aucune évaluation de ce que cette forme de « militantisme » peut apporter. Pour nous, la multiplication des tribunes de la part de professions au capital culturel élevé (dont font partie les journalistes) ne peut qu’aggraver le côté repoussoir des « leçons » données. En cette fin Juin, presque tout le monde y est allé de sa petite tribune : « 500 artistes signent une tribune contre l’extrême-droite » (BFM TV, 21/06/2024) ; « 2 500 scientifiques signent une tribune contre l’extrême-droite » (La relève et la peste, 26/06/2024) ; « l’appel de 200 philosophes contre l’accession de l’extrême-droite au pouvoir » (Libération, 1/07/2024), etc. etc. on vous en passe et des meilleures. L’époque a cet avantage qu’il suffit de signer une tribune pour se déclarer antifasciste

      […]

      On ne croit ni en la régulation, ni en la contre-offensive numérique parce qu’on est d’accord avec l’écrivain McLuhan qui déclarait énigmatiquement : « Le message est le médium ». Depuis la réélection de Trump, quelques médias et militants prônent la désertion de X/Twitter, propriété d’Elon Musk, soutien et futur ministre de Trump. Comme si le « problème » des réseaux sociaux ne venait que de leurs propriétaires et de leur politique de régulation, et non pas de leur essence même, favorisent la création de « bulles » où chaque personne ne « reçoit » que des informations la confortant dans ses positions, sans être confrontée à des avis opposés. Bien avant l’arrivée de Musk, Twitter était déjà une machine à décérébrer. Scruter ce genre de réseau social, c’est comme fouiller des poubelles : ça raconte une partie de notre époque. Raccourcis simplistes, hystérisation, raids en meute, mensonges éhontés, clashs inintéressants, nombrilisme omniprésent : il y a presque tout à jeter. Allez d’accord certains comptes décalés sont assez drôles, d’autres apportent à l’occasion des informations introuvables ailleurs. Mais pour nous c’est tout vu : si on avait du faire un procès honnête des réseaux sociaux, le verdict serait sans appel : « fermeture immédiate », au nom de la tentative de conservation des bribes restantes d’intelligence humaine.

      Si, sporadiquement, l’écosystème du numérique peut faire progresser des idées généreuses, il aide d’abord les idées nauséabondes, parce que son développement entraîne un bouleversement anthropologique accentuant les pires travers de l’être humain.

      […]

      Pacôme Thiellement prône la désertion des réseaux sociaux, qui « pourraient disparaître du jour au lendemain, si nous le voulons ». Une perspective de bon sens, quoique complètement absente des programmes de gauche ou des tracts antifascistes. Encore une fois, être sur les réseaux et sur Internet par défaut est une chose (d’ailleurs on a un site !), défendre leur existence en est une autre. Il y a une chose pire que de se servir du numérique pour le critiquer, c’est de se servir du numérique sans le critiquer.

      […]

      Bien entendu, il faut enquêter sur l’extrême-droite (comme sur tous les autres partis d’ailleurs) mais on ne croit pas que l’enquête suffira à empêcher son accession au pouvoir.
      On en veut pour preuve la réélection triomphale de Trump, qui est cerné de procédures judiciaires, dont les multiples vices et turpitudes ont été maintes fois révélés et dont tous les multiples mensonges sont « fact-chekés ». Si toutes les enquêtes sur lui et sur ses proches, qu’elles soient judiciaires ou journalistiques, n’ont pas empêché son triomphe ; cela devrait nous pousser à plus nous intéresser à la lame de fond qui lui permet d’arriver quand même au pouvoir démocratiquement.

      #extrême_droite #presse #journalisme #critique_techno #réseaux_sociaux #internet

    • Lors de notre reportage dans le Nord-Isère, cette lame de fond destructrice s’est traduite dans plusieurs rencontres. C’est Maryse qui raconte comment son village de paysan est passé en une génération du XIXème siècle au XXIème siècle, les enfants de petits agriculteurs (« qui étaient certes pauvres mais qui avaient un statut, un rôle ») se retrouvant aujourd’hui à emballer des salades en plastique dans les entrepôts de Pierre Martinet (« en étant complètement interchangeables et plus respectés »). C’est Marc, électeur du rassemblement national, qui déplore de ne plus croiser personne « même au supermarché maintenant les gens vont faire leurs courses en Drive ». C’est Cheikh, ouvrier de la logistique, qui a vu l’arrivée des chariots autonome dans son entrepôt, qui a perdu son statut de cariste (conducteur de chariot) pour devenir un opérateur anonyme, interchangeable avec les autres postes. C’est Bruno Guillaud-Bataille, maire de Charavines, qui analyse : « L’espace public local ne sert plus à ‘‘rien’’, les cercles de sociabilisation sont maintenant les chaînes d’info et les réseaux sociaux… Chacun vit dans son cocon replié sur lui-même et les écrans ». C’est les bars restant dans les villages avec Cnews ou BFM tournant du matin au soir.

      Dans les services publics, les supermarchés, les fast foods, les interactions avec des humains disparaissent et sont remplacés par des interactions avec des serveurs vocaux, des écrans tactiles ou des interfaces numériques. Les écrans envahissent tout et font écran entre les humains. Les métiers manuels sont de plus en plus robotisés, les travailleurs de plus en plus pions interchangeables devant répondre aux injonctions des machines. Les métiers en général perdent en sens au fur et à mesure qu’ils gagnent en automatisation, et encore ! Le tsunami de l’intelligence artificielle ne fait que commencer. Les lieux de rencontre (bars, petits commerces, accueils physiques) disparaissent, les humains se retranchent dans leur bulle virtuelle.

      À notre sens, la plus grande menace de notre époque n’est pas le réchauffement climatique (réel et tragique sous bien des aspects), mais ce que nous dénommons « le grand refroidissement technologique ». Soit le fait qu’avec l’invasion des technologies, le monde devient de plus en plus « froid », distant, robotique, désincarné, ce qui ne peut que renforcer le repli sur soi, l’individualisme, la montée des tensions et donc au final les partis d’extrême-droite.

  • „Deutschland raus aus der Nato“ ? Und schon war die Webseite gehackt !
    https://overton-magazin.de/dialog/deutschland-raus-aus-der-nato-und-schon-war-die-webseite-gehackt

    Raus aus der NATO ! Birasuegi, CC BY-SA 4.0, via Wikimedia Commons

    Si tu a l’intention de publier un site contre l’OTAN n’utilise pas #Wordpress, un site statque s’impose, et fais plutôt confiance à un prestataire professionnel européen indépendant pour héberger ta pétition.

    Sinon la MI6 (http://www.sis.gov.uk) ou l’un des collègues d’outre mer tueront ton site dans l’instant. C’est qui vient d’arriver au pacifiste allemand dans l’article suivant.

    10.1.2015 von Marcus Klöckner - „Deutschland raus aus der Nato!“: Das forderte der Autor Fred Schumacher auf einer eigens für das Anliegen aufgebauten Webseite. Aber nicht lange …

    Im Interview mit Marcus Klöckner berichtet Schumacher davon, was passierte, als die Webseite an den Start ging. Innerhalb weniger Stunden wurde sie gehackt, so Schumacher. Was ist da passiert? Schumacher, der gerade das Buch Waffen für die Welt: Rheinmetall und das Geschäft mit dem Krieg veröffentlicht hat, erzählt was seiner Seite widerfahren ist.

    Herr Schumacher, Sie haben eine Webseite aufgebaut, die fordert, dass Deutschland raus aus der Nato geht. Wann ging die Webseite an den Start? Und was ist dann passiert?

    Am 11. November 2024 um die Mittagszeit ging die Seite offiziell online – mit der URL http://rausausdernato.com . Sie lief stabil und es hatten sich die ersten sieben Unterstützer der Forderung „Deutschland raus aus der Nato!“ eingetragen, darunter Autoren und Filmschaffende.

    Wie lange hat es denn insgesamt gedauert, bis die Webseite, wie Sie sagen, gehackt wurde?

    Gegen 20:30 Uhr, also nach etwa acht Stunden, wurde die Seite professionell gehackt und die Namen der Unterzeichner samt ihren Kommentaren etc. gelöscht. Ab diesem Moment war der Zugang für mich und dem Programmierer zu unserem Admin-Bereich gesperrt.
    »Es gibt einen Hinweis besonderer Art«

    Das ist aber eine sehr kurze Zeit. Normalerweise würde man denken, dass so eine Webseite ja erst einmal wahrgenommen werden muss. Und dann muss sie auch als ein großes Problem verstanden werden, so dass ein Hackerangriff ins Auge gefasst wird. All das braucht Zeit.
    Wie erklären Sie sich das?

    Eine Webseiten-URL muss man ja erst mal auf sich selbst registrieren, um dann unter der Adresse eine Seite aufzubauen. Die Registrierung habe ich vier Wochen vorher, um den 10. Oktober herum, erledigt. Es ist gut möglich, dass interessierte Kreise einen Weg gefunden haben, wie sie schnell auf URLs aufmerksam gemacht werden, die Schlüsselbegriffe wie zum Beispiel Nato enthalten. Ich gehe davon aus, dass diese Leute nicht zum ersten Mal eine ihnen unangenehme Seite angegriffen haben, sie haben also bestimmt fertige Codes und wissen genau, wie sie diese über eventuell vorhandene Sicherheitslücken von Programmierungssystemen, von denen wir auch eines genutzt haben, zum Einsatz bringen.

    Wenn Sie sagen, dass es einen Hackerangriff gab: Wie ist das zu verstehen? Wie schwer war der Angriff? Und: Wer könnte es gewesen sein?

    Wie wir dann schnell nachvollziehen konnten, waren überaus professionelle Hacker am Werk, die in unsere Codes sogar Systeme eingebaut haben, welche sofort eine erneute Löschung vorgenommen haben, wenn wir die Seite mit Hilfe unserer Backups neu erstellt haben. Das geht automatisiert innerhalb von weniger als einer Minute. Wenn wir nach Säuberung unserer Codes auf einem anderen Server neu aufgesetzt haben, dauerte es maximal eine Stunde. Ich kann nur sagen, dass da Spezialisten am Werk waren, vermuten kann ich vieles; beweisen, wer dahintersteckt, nicht. Es gibt allerdings einen Hinweis der besonderen Art.

    Welchen?

    Ich arbeite mit einem mir seit Jahren persönlich bekannten Programmierer in Indien zusammen. Dieser erhielt einen oder zwei Tage nach dem Angriff Telefonanrufe aus England (Ländervorwahl 0044) Einmal hat er angenommen und es stellte sich ein Mann vor mit dem Hinweis, er käme von einem sogenannten European Security Council. Er fragte, ob der Programmierer denn wisse, an welcher Seite er da arbeite. Dann wurde ihm zu verstehen gegeben, dass er damit etwas Illegales unterstützen würde.
    »Brauche Zusammenarbeit und Knowhow – und einen sicheren Server«

    Was werden Sie nun tun?

    Es kommt jetzt darauf an, das System neu aufzubauen ohne Verwendung eines der weltweit gängigen Systeme wie WordPress oder Joomla … Also freies Coding von einem Informatiker, welcher die Ziele der Friedensbewegung und ihre zentrale Forderung „Deutschland raus aus der Nato!“ unterstützt. Ich brauche die Zusammenarbeit und das Knowhow in Verbindung mit einem sicheren Server. Wer mich dabei unterstützen kann, sollte mich gerne kontaktieren, z.B. über meine Facebook-Seite fred.schumacher1

    Was glauben Sie: Was könnte die Motivation hinter so einem Angriff sein? Die Forderung, dass Deutschland aus der Nato soll ist ja alt, sie gibt es seit vielen Jahrzehnten. Man hört sie immer wieder. Selbst wenn über eine Webseite viele Unterstützer zusammenkommen sollten: Was würde sich ändern? Fordern lässt sich viel. Wie sehen Sie das?

    Mein Ziel ist eine Unterstützerseite für die Forderung, auf der nach Möglichkeit Hunderttausende sich eintragen, wenn möglich Millionen. Die Friedensbewegung muss so viel politisches Gewicht in die Waagschale werfen, dass ihr Ziel erreicht wird, und das ist der im Statut der Nato vorgesehene Austritt Deutschlands aus dieser Einrichtung. Genau das will der hinter der Nato stehende militärisch-industrielle Komplex der USA verhindern.

    Was ist Ihre Motivation für die Webseite? Warum fordern Sie den Austritt Deutschlands aus der Nato?

    Ich zitiere hier den Text, der auf der Homepage steht: Die fast siebzig Jahre alte Forderung der Friedensbewegung ist aktueller denn je. Momentan hat mancher den Eindruck, beim Verfassen von Aufrufen zu Aktionen für Abrüstung und Frieden werde von Verantwortlichen taktiert bis die notwendige Klarheit und Entschlossenheit auf der Strecke bleiben. Hier gehen wir einen anderen Weg. Es gibt genauso viele Gründe für die Unterstützung dieser zentralen Forderung der Friedensbewegung wie es Menschen gibt, die mit ihrer Verwirklichung ihr eigenes Leben und das ihrer Verwandten und Freunde in Europa und der Welt vor einem Atomkrieg retten wollen. Unterstützen Sie diese Forderung durch ihren Eintrag hier auf der Webseite und schreiben Sie einfach auf, warum sie Ihnen wichtig ist.
    »Wir müssen gemeinsam gegen den Krieg aufstehen«

    Wie betrachten Sie die aktuellen Entwicklungen in Sachen Ukraine-Krieg? Gerade ist von einem möglichen Einsatz von Bodentruppen die Rede.

    Meine drei Kinder und zwei Enkelkinder leben in Deutschland, ich selbst in Spanien. Die aktuelle Situation mit dem von der Nato seit 1998 vorbereiteten Krieg gegen Russland ist sehr viel gefährlicher als während des gesamten Kalten Krieges. Insbesondere macht mir die Kriegstreiberei in der Politik Angst. Und dann gibt es da ja noch Profite von BlackRock und einem Friedrich Merz, der von gleichgeschalteten Medien zum zukünftigen Bundeskanzler hochgejubelt wird. Wenn uns das Leben unserer Familien und unser eigenen etwas wert ist, müssen wir gemeinsam gegen den Krieg aufstehen, den solche Leute herbeiwünschen.

    Was wollen Sie nun im Hinblick auf Ihre Webseite machen?

    Es muss neu programmiert werden, wie ich schon gesagt habe – und dazu brauche ich Unterstützung. Die neue Programmierung und die dauernde Abwehr von weiteren Angriffen, ist eine große Herausforderung und dazu wird es zum Erreichen des Ziels noch einer Menge an Einsatz von Kämpfern für den Frieden geben müssen. Packen wir es an!

    Fred Schumacher: Waffen für die Welt: Rheinmetall und das Geschäft mit dem Krieg. Das Neue Berlin. 9. September 2024. 112 Seiten. 10 Euro.

    #internet #site_web #intrusion #sécurité #liberté_d_expression #services_secrets

  • Khrys’presso du lundi 6 janvier 2025
    https://framablog.org/2025/01/06/khryspresso-du-lundi-6-janvier-2025

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    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Grâce à vous Framasoft peut décoller en 2025… et outiller celles et ceux qui changent le monde !
    https://framablog.org/2024/12/30/grace-a-vous-framasoft-peut-decoller-en-2025-et-outiller-celles-et-ceux-q

    Il ne reste plus que quelques heures pour faire un don à Framasoft, renforcer notre budget 2025, et bénéficier d’une réduction sur les impôts de 2024… Ce modèle solidaire de la contribution et du soutien permet à notre #Association d’exister… … Lire la suite­­

    #Dans_notre_archipel #20_ans #archipélisation #Commun #Communaute #Défense #Éducation #Internet #Libertés

  • Khrys’presso du lundi 30 décembre 2024
    https://framablog.org/2024/12/30/khryspresso-du-lundi-30-decembre-2024

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  • Khrys’presso du lundi 23 décembre 2024
    https://framablog.org/2024/12/23/khryspresso-du-lundi-23-decembre-2024

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  • Khrys’presso du lundi 16 décembre 2024
    https://framablog.org/2024/12/16/khryspresso-du-lundi-16-decembre-2024

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  • « Reconnecter la technologie aux communautés vivantes » – Libération
    https://www.liberation.fr/forums/reconnecter-la-technologie-aux-communautes-vivantes-20241210_AVDU3SABTZBA
    https://www.liberation.fr/resizer/I3IzrPf7ollFFv2erfJfyNh-fnw=/1200x630/filters:format(jpg):quality(70):focal(2697x880:2707x890)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/NW545O56ARFKNK6Q7YORBA33ZI.jpg

    Il est possible, si l’on ne veut pas abandonner l’avenir du numérique aux Big Tech, de s’engager dans des voies alternatives plus collectives et moins marchandes.

    Espace de débats pour interroger les changements du monde, le Procès du siècle se tient chaque lundi à l’auditorium du Mucem à Marseille. Libération, partenaire de l’événement depuis ses débuts, proposera, jusqu’en avril 2024, articles, interviews ou tribunes sur les thèmes de cette nouvelle saison. A suivre le lundi 16 septembre le débat « Comment réenchanter le numérique ? »

    Comment réenchanter le numérique ? Comment restaurer l’utopie qui baignait, jadis, ce territoire si prometteur, et dont l’horizon, subrepticement, n’a cessé de s’obscurcir ? Voici la complexe question qui sera posée, le 16 décembre, au Procès du siècle, le cycle de conférences qu’anime depuis quatre saisons le Mucem de Marseille.

    Le paysage actuel, il est vrai, n’invite guère au sourire, pas plus qu’à l’optimisme. Pensons à cette insatiable économie de l’attention qui séquestre nos cerveaux, à ces tourbillons de désinformation qui abêtissent et manipulent les élections. Pensons à cette IA générative qui pille et dépossède, à nos données personnelles prédatées aux quatre coins du web, ou encore aux technologies qui organisent la surveillance de nos vies privées et la limitation de nos libertés publiques…

    Telle n’était pourtant pas la promesse. « Dans les années 1990, lorsque se développent les ordinateurs personnels et internet, le numérique n’est pas du tout l’objet privatisé, individualisé et compétitif qu’il est aujourd’hui », rappelle la philosophe et membre du Conseil national du numérique, Anne Alombert, qui participera à l’événement marseillais. Les mots d’ordre d’alors ? « Horizontalité, partage des savoirs, contribution, accessibilité… » Le plus puissant vestige de cet âge d’or : l’encyclopédie collaborative, universelle et multilingue Wikipédia, bien sûr, qui fêtera ses 24 ans en janvier.

    Rattrapés par l’implacable logique de marché, les idéaux des débuts ont été progressivement marginalisés, sans qu’on n’y prenne vraiment garde… Nous aurons mis du temps à dessiller : « Le désenchantement s’est fait à bas bruit », souligne la chercheuse et militante associative Valérie Peugeot, professeure associée à Sciences Po, et ancienne du Conseil national du numérique et de la Cnil. « La prise de conscience a certes débuté assez tôt dans les milieux associatifs, plus affûtés sur ces sujets et conscients dès l’origine des talons d’Achille du numérique, mais la bascule plus globale n’a eu lieu qu’autour de 2015 ».

    Comment, maintenant que le charme est rompu, ressusciter l’optimisme ? En s’acquittant d’abord, estime Valérie Peugeot, de trois tâches préalables. La première : « Un nécessaire travail introspectif et rétrospectif, dit-elle. Il s’agit de comprendre pourquoi les utopies des années 1990 et 2000 ne sont pas advenues ; pourquoi l’organisation distribuée des réseaux, dont on imaginait qu’elle serait l’antidote à la centralisation et à la concentration capitalistique, ne l’a finalement pas été ».

    Seconde prévention : faire la part des choses, et se rappeler tout ce que ces technologies ont de formidable et d’utile. Circulation des savoirs, nouveaux liens sociaux, créativité, mobilisations citoyennes, organisation des solidarités… « Il faut continuer à mettre en lumière et visibiliser la richesse de ces pratiques ».

    Accepter, enfin, d’entrer dans le détail. « Le terme de “numérique”, regrette Valérie Peugeot, masque une grande diversité d’aspects : ce sont des infrastructures, des services, des usages, des modèles économiques, etc. Il s’agit de désemboîter, de déplier toutes ces thématiques pour pouvoir vraiment en saisir la complexité et les enjeux. »

    Ensuite ? Le plus dur reste à faire, et il passe par un effort collectif. « Il faut absolument, si l’on veut un changement de paradigme, repolitiser la question du numérique, insiste Anne Alombert. Le réenchantement sera une grande bataille, certes, mais il y a plein de voies à exploiter ! »

    Celle, d’abord, des savoirs. « La connaissance du fonctionnement des outils numériques ne peut pas demeurer la chasse gardée des ingénieurs, martèle Anne Alombert. Privés de cette compréhension, les citoyens sont condamnés à un rapport purement émotionnel avec les technologies qu’ils utilisent : soit la répulsion, soit la fascination ». En la matière, il y a un grand retard à combler en France. « Ce fut une des naïvetés des années 2000, note Valérie Peugeot, penser que les populations pouvaient s’autoformer, monter seules en compétences ». Résultat, perdure « un sous-investissement des pouvoirs publics dans la formation et l’accompagnement ». Parmi les lieux où développer cette culture technique, il y a l’école. « Pourquoi ne pas intégrer dans les programmes une histoire du numérique et de ses industries ? », propose Anne Alombert.

    Autre voie alternative : celle des communs. « Il est essentiel de sortir d’une logique de marché pour encourager des communs de données, plaide Valérie Peugeot. Cela implique d’imaginer et produire une nouvelle narration, mais aussi de rendre visible aux yeux des citoyens les bénéfices de ce partage ». Un bon exemple : « Le HDH en France, un commun de données de santé qui sert la recherche… mais qui connaît son existence dans la population ? » Promouvoir, aussi, les communs de la connaissance. « Les initiatives qui réussissent sont nombreuses, témoigne l’ancienne commissaire de la Cnil, OpenStreetMap, Open Food Facts, Vikidia, le logiciel libre, la science ouverte, etc. Les pouvoirs publics pourraient aller plus loin qu’ils ne le font déjà pour encourager ces dynamiques, via la commande publique, et le soutien aux tiers-lieux producteurs de communs. »

    Renouer, enfin, avec l’échelle humaine. « Penser les outils numériques en fonction des intérêts des citoyens, les construire avec eux, c’est le meilleur moyen de reconnecter la technologie à des communautés vivantes », souligne Anne Alombert. Grâce, par exemple, à ces dispositifs de recherches contributives qui mettent en relation chercheurs, techniciens et collectifs de citoyens, idéalement avec l’appui des collectivités territoriales. Ou via les low-tech, « extrêmement intéressantes, ajoute Valérie Peugeot, parce qu’elles imbriquent innovations sociales et technologiques, et naissent dans des lieux d’innovation ascendante, proches des besoins des gens ».

    #Internet #Utopie #Construire_un_nouveau_réseau

  • Meurtre de Brian Thompson : les réactions de joies de internautes
    https://www.ladn.eu/media-mutants/meurtre-de-brian-thompson-les-reactions-de-joies-de-internautes

    À la suite du meurtre de Brian Thompson, le décalage entre le sentiment de revanche des internautes et les unes indignées des médias est sidérant.

    « Nous sommes profondément attristés et choqués par la mort de notre cher ami et collègue Brian Thompson, le PDG de UnitedHealthcare. » Sur la page Facebook de la plus grande compagnie d’assurance médicale des États-Unis, un message annonce la mort brutale de son dirigeant, abattu de plusieurs balles à New York, le 4 décembre dernier. Sous ce post censé recueillir les hommages, on peut compter 50 000 réactions, dont plus de 45 000 formées avec l’émoji « Haha ». Non, les utilisateurs de Facebook ne se sont pas trompés de bouton. Ce déferlement de rires sarcastiques représente parfaitement l’humeur générale des internautes américains au lendemain de la nouvelle. Humeur que l’on pourrait traduire avec une seule expression : « Bien fait pour sa gueule ».

    #internet #milliardaires #santé #usa

    • Voila, c’est ces retours enjoués que j’évoquais. Ce sont majoritairement des extrémistes de droite, non ?
      Et c’est très surprenant, car ce type d’assassinat relève plutôt de l’action de gauche radicale (type RAF).
      Alors pour moi, soit ils sont pas au clair dans leur idéologie ces QAnon, soit les choses ont changé, soit c’est du stargazing pour qu’on ne puisse pas se réjouir à notre tour, et espérer que ca continue (mange un patron).

      Next : Richard Burke ?

    • @sandburg ça n’a pas l’air d’être spécialement des extrémistes de droite. C’est là qu’on voit que le vote est un mauvais indicateur et divise artificiellement les gens, puisqu’on a là à mes yeux une véritable réaction de classe, d’un côté comme de l’autre. Les bourgeois et leurs serviteurs médiatiques défendent leur bourgeois tandis que les prolétaires américains (ou d’autres pays aussi, vive l’internationale !) se réjouissent.

  • Khrys’presso du lundi 9 décembre 2024
    https://framablog.org/2024/12/09/khryspresso-du-lundi-9-decembre-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Fuite de données de 78.000 clients de Norauto, dont des numéros de pièces d’identité afp - le figaro

    Nouvelle cyberattaque d’une entreprise. L’enseigne Norauto, spécialisée dans la maintenance automobile, a été touchée par une fuite de données sur plusieurs milliers de ses clients, et de certains numéros de pièces d’identité, a confirmé mardi l’entreprise à une journaliste de l’AFP. « Norauto a fait l’objet d’un acte de cyber-malveillance. Les investigations menées par nos équipes mobilisées sur le sujet indiquent que des données à caractère personnel spécifiquement liées à notre service location ont été ciblées » , a indiqué l’entreprise, qui a précisé que 78.000 clients sont concernés. 

    Les données personnelles touchées par la fuite portent, « selon les cas » , sur les noms et prénoms, les adresses mails et postales, les numéros de téléphone, les numéros de carte de fidélité ainsi que les numéros de pièce d’identité fournis à l’occasion de locations.

    L’enseigne n’a pas précisé quelle part des clients étaient concernée par cette fuite liée aux pièces d’identité.

    Norauto a précisé avoir « immédiatement mis en place des mesures pour stopper l’attaque et renforcer la sécurité de (ses) systèmes » , et avoir communiqué au sujet de cet acte de malveillance auprès de ses clients.

    La Cnil, gendarme français des données personnelles, a confirmé avoir reçu une notification de violations de données, une démarche obligatoire.

    #hacking #cyberattaque #sécurité #internet #sécurité_informatique #cyberattaques #cybersécurité #piratage #en_vedette

    Source : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/fuite-de-donnees-de-78-000-clients-de-norauto-dont-des-numeros-de-pieces-d-

  • #Framamia : partageons des clés de compréhension de l’IA
    https://framablog.org/2024/12/03/framamia-partageons-des-cles-de-comprehension-de-lia

    Afin d’aider à démystifier le sujet de l’intelligence artificielle, Framasoft publie une première version du site Framamia. Définitions, enjeux, risques et questionnements : en partageant le savoir, nous espérons contribuer à reprendre le pouvoir sur ces technologies qui impactent nos sociétés. … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Intelligence_Artificielle #20_ans #Intelligence_articielle #Internet

  • Khrys’presso du lundi 2 décembre 2024
    https://framablog.org/2024/12/02/khryspresso-du-lundi-2-decembre-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • The Beginning of the End of Big Tech | WIRED
    https://www.wired.com/story/the-beginning-of-the-end-of-big-tech

    Next year will be Big Tech’s finale. Critique of Big Tech is now common sense, voiced by a motley spectrum that unites opposing political parties, mainstream pundits, and even tech titans such as the VC powerhouse Y Combinator, which is singing in harmony with giants like a16z in proclaiming fealty to “little tech” against the centralized power of incumbents.

    Print cover for The WIRED World in 2025

    This story is from the WIRED World in 2025, our annual trends briefing.

    Why the fall from grace? One reason is that the collateral consequences of the current Big Tech business model are too obvious to ignore. The list is old hat by now: centralization, surveillance, information control. It goes on, and it’s not hypothetical. Concentrating such vast power in a few hands does not lead to good things. No, it leads to things like the CrowdStrike outage of mid-2024, when corner-cutting by Microsoft led to critical infrastructure—from hospitals to banks to traffic systems—failing globally for an extended period.

    Another reason Big Tech is set to falter in 2025 is that the frothy AI market, on which Big Tech bet big, is beginning to lose its fizz. Major money, like Goldman Sachs and Sequoia Capital, is worried. They went public recently with their concerns about the disconnect between the billions required to create and use large-scale AI, and the weak market fit and tepid returns where the rubber meets the AI business-model road.

    It doesn’t help that the public and regulators are waking up to AI’s reliance on, and generation of, sensitive data at a time when the appetite for privacy has never been higher—as evidenced, for one, by Signal’s persistent user growth. AI, on the other hand, generally erodes privacy. We saw this in June when Microsoft announced Recall, a product that would, I kid you not, screenshot everything you do on your device so an AI system could give you “perfect memory” of what you were doing on your computer (Doomscrolling? Porn-watching?). The system required the capture of those sensitive images—which would not exist otherwise—in order to work.

    Happily, these factors aren’t just liquefying the ground below Big Tech’s dominance. They’re also powering bold visions for alternatives that stop tinkering at the edges of the monopoly tech paradigm, and work to design and build actually democratic, independent, open, and transparent tech. Imagine!

    For example, initiatives in Europe are exploring independent core tech infrastructure, with convenings of open source developers, scholars of governance, and experts on the political economy of the tech industry.

    And just as the money people are joining in critique, they’re also exploring investments in new paradigms. A crop of tech investors are developing models of funding for mission alignment, focusing on tech that rejects surveillance, social control, and all the bullshit. One exciting model I’ve been discussing with some of these investors would combine traditional VC incentives (fund that one unicorn > scale > acquisition > get rich) with a commitment to resource tech’s open, nonprofit critical infrastructure with a percent of their fund. Not as investment, but as a contribution to maintaining the bedrock on which a healthy tech ecosystem can exist (and maybe get them and their limited partners a tax break).

    Such support could—and I believe should—be supplemented by state capital. The amount of money needed is simply too vast if we’re going to do this properly. To give an example closer to home, developing and maintaining Signal costs around $50 million a year, which is very lean for tech. Projects such as the Sovereign Tech Fund in Germany point a path forward—they are a vehicle to distribute state funds to core open source infrastructures, but they are governed wholly independently, and create a buffer between the efforts they fund and the state.

    Just as composting makes nutrients from necrosis, in 2025, Big Tech’s end will be the beginning of a new and vibrant ecosystem. The smart, actually cool, genuinely interested people will once again have their moment, getting the resources and clearance to design and (re)build a tech ecosystem that is actually innovative and built for benefit, not just profit and control. MAY IT BE EVER THUS!

    #Internet #Boule_de_cristal