• An 2022 confirme la voix digitale, le 4ème pouvoir plie ses cartons.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4408

    Les lecteurs penchent à se servir et à être informés par le numérique. Quelle que soit le mot, car digital aussi convient, la façon dont le terme, qui semble vague, se manifeste pour les actualités est la voie imposée par les outils trouvés par la communication de la société humaine, n’est pas encore achevée. Alors l’humain et le métier du journalisme se métamorphose au gré de la trouvaille technologique qui imperturbable évolue, alors que la passion du 4ème pouvoir ne garde plus le même ADN. L’année 2023 continuera cette conversion en gardant les performants des courses de fond... #débats,_contribution,_avis,_citoyen,_société,_vie_publique,_analyse,_opinion,_intervention_citoyenne,_satire

    / #Journalisme,_presse,_médias, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, IA : Intelligence (...)

    #IA_:_Intelligence_Artificielle #facebook,_twitter,_google+ #arts,_culture,_littérature,_cinéma,_critique,_performances,_styles #_journaliste,_poète,_livre,_écrits #économie_

  • L’épisode de la #Modération – épisode 4
    https://framablog.org/2023/01/12/lepisode-de-la-moderation-episode-4

    Maiwann, membre de l’association, a publié sur son blog une série de cinq articles sur la modération. Nous les reproduisons ici pour leur donner (encore) plus de visibilité. Voici le quatrième. Alors maintenant que je vous ai dit tout ça, … Lire la suite­­

    #Dégooglisons_Internet #Fédération #Libertés_Numériques #Libres_Services #Communaute #Internet

  • La guerre froide perdure avec USA et Russie sur le champ d’Ukraine.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4407

    Des pays clés d’Europe et d’Asie soutiennent les intérêts de sécurité nationale des États-Unis. 31 autres pays de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (NATO) consacrent d’énormes sommes d’argent pour contenir la Russie, d’une part. De l’autre, il y a l’augmentation des budgets de défense d’États asiatiques tels que le Japon, la Corée du Sud et Taïwan qui ciblent la Chine. Grands événements : Gigantisme de l’inattendu.

    / Russie, Poutine, Europe de l’Est, , Chine, réforme, développement, environnement, Asie, , #USA,_Maison_Blanche,_CIA, économie , diplomatie, sécurité, commerce, #économie_mondiale, Internet, Web, cyber-démocratie, communication, société, (...)

    #Grands_événements_:Gigantisme_de_l’inattendu. #Russie,_Poutine,_Europe_de_l’Est, #Chine,réforme,_développement,_environnement,_Asie, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias

  • La cyberattaque qui a touché Anvers aura un énorme impact financier pour la Ville Belga
    https://www.rtbf.be/article/la-cyberattaque-qui-a-touche-anvers-aura-un-enorme-impact-financier-pour-la-vil

    L’impact financier lié à la cyberattaque qui a touché Anvers la nuit du 5 au 6 décembre https://www.rtbf.be/article/la-ville-d-anvers-a-ete-victime-d-une-cyberattaque-des-services-perturbes-11118 menace d’être plus important que celui de la pandémie et de la crise de l’accueil des réfugiés ukrainiens, indique jeudi la Ville, confirmant une information publiée un peu plus tôt par la « Gazet van Antwerpen ».

    Outre les nombreux revenus perdus le mois dernier, la majeure partie du budget communal devrait être allouée à la réouverture des systèmes informatiques et à leur sécurisation.

    Il faudra encore attendre plusieurs mois pour avoir une estimation précise du dépassement budgétaire de la Ville, mais la somme avoisinerait les 70 millions d’euros.

    Celle-ci comprend les revenus non perçus, ainsi que les coûts de personnels et de logiciels. En termes de revenus, l’impact est déjà énorme sur la mobilité. Les automobilistes mal garés peuvent toujours recevoir une amende, mais les agents qui contrôlent les stationnements ne sont pas capables de déterminer si un conducteur a payé (et pour combien de temps) sa place de parking.

    De plus, les autorisations pour accéder aux zones à faibles émissions ne sont pas disponibles, ce qui signifie que la Ville ne peut percevoir aucune redevance pour y entrer ou qu’aucune amende ne peut être infligée aux contrevenants.

    « La différence avec la crise de la pandémie et de l’accueil des Ukrainiens se situe dans le fait que, pour ces deux cas de figure, il y avait un soutien de la part des autorités supérieures. Ici, ce n’est pas le cas » , remarque Koen Kennis, l’échevin des Finances et de la Mobilité.

    Nous devrons trouver une solution à ce problème avant la prochaine élaboration du budget communal" , conclut l’édile.

    #administration #zfe #cyberattaque #hacking #ransomware #cyberattaques #sécurité #piratage #surveillance #internet #cybersécurité #algorithme #sécurité_informatique #budget #Anvers

    • La centralisation des systèmes informatiques d’une grande organisation est une aberration.
      Mais ça permet aux guignol.e.s de dirigeant.e.s d’avoir des tableaux de bord en temps réel.

  • L’aventure de la #Modération – épisode 3
    https://framablog.org/2023/01/05/laventure-de-la-moderation-episode-3

    Maiwann, membre de l’association, a publié sur son blog une série de cinq articles sur la modération. Nous les reproduisons ici pour leur donner (encore) plus de visibilité. Voici le troisième. Les cas d’étude c’est bien sympa, mais cela ne … Lire la suite­­

    #Dégooglisons_Internet #Fédération #Libertés_Numériques #Libres_Services #Communaute #Internet

  • Qui gagne des desseins géostratégiques et de l’élargissement de l’OTAN ?
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4402

    L’Alliance transatlantique chargée des guerres occidentales contre le reste du Monde, dite NATO, n’a plus la crédibilité que lors de la guerre froide. Des désaccords existent entre les Alliés qui la composent mais ne sont pas soulevés par les décideurs en dépit qu’ils soient sérieux. Alors c’est le commerce, les énergies, le réchauffement climatique ou bien l’accord sur le programme nucléaire iranien qui sont mis au-devant, pour tenter de perpétuer un appareil obsolète ! Grands événements : Gigantisme de l’inattendu.

    / économie , #Journalisme,_presse,_médias, diplomatie, sécurité, commerce, #économie_mondiale, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, #crise,_capitalisme,_économie,_justice,_Bourse, #Ecologie,_environnement,_nature,_animaux, USA, Maison Blanche, (...)

    #Grands_événements_:_Gigantisme_de_l’inattendu. #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale #USA,_Maison_Blanche,_CIA

  • Khrys’presso du lundi 2 janvier 2023
    https://framablog.org/2023/01/02/khryspresso-du-lundi-2-janvier-2023

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Claviers_invités #Internet_et_société #Libr'en_Vrac #Libre_Veille #Non_classé #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
    https://mamot.fr/system/cache/media_attachments/files/007/469/880/original/52ba3e2618cd1319.mp4


    https://mamot.fr/system/media_attachments/files/109/615/041/066/036/000/original/4c45fa5043cf9518.mp4

  • L’aventure de la #Modération – épisode 2
    https://framablog.org/2022/12/30/laventure-de-la-moderation-episode-2

    Maiwann, membre de l’association, a publié sur son blog une série de cinq articles sur la modération. Nous les reproduisons ici pour leur donner (encore) plus de visibilité. Voici le deuxième. Maintenant que je vous ai fait une introduction de … Lire la suite­­

    #Dégooglisons_Internet #Fédération #Libertés_Numériques #Libres_Services #Communaute #Internet

  • Wie das iranische Regime IT und Netzkontrolle gegen die Proteste nutzt
    https://www.heise.de/hintergrund/Wie-das-iranische-Regime-IT-und-Netzkontrolle-gegen-die-Proteste-nutzt-7440696

    Pour beaucoup de monde l’internet et la liberté qu’il nous a apporté existent aussi naturellement comme l"air que nous respirons. L’exemple de l’Iran montre pourtant qu’il est facile pour l’état, son militaire, ses services secrets comme pour les grandes entreprises de télécommunication capitalistes de nous en priver. Il n’y a pas d’acquis, il n’y a que la lutte permanente pour nos libertés politiques et personnelles. Le réseau Tor et son outil pour les masses Snowflake font partie des outils solidaires de liberté à notre disposition.

    https://community.torproject.org/relay/setup/snowflake/standalone

    28.12.2022 von Marcus Michaelsen, Maryam Mirza - Die IP-Infrastruktur, Mobilfunknetze und iranische IT-Firmen sind staatlich kompromittiert. Paradoxerweise halfen die US-Sanktionen, die Überwachung auszubauen.

    Themen
    Die Start-ups und der Staat
    Kurz währende Hoffnung
    Kooperation der Tech-Firmen
    Nationales Internet
    Internet von strategischer Bedeutung
    Werkzeuge der Repression
    Digitale Ausgangssperren
    Kampf um Aufmerksamkeit
    Hilfe erwünscht

    Nik Yousefi meldete Anfang Oktober in seinem bislang letzten Tweet: „Gestern haben sie meine Wohnung gestürmt.“ Kurz zuvor hatte der in Teheran lebende Filmemacher auf Instagram ein Video zur Unterstützung der landesweiten Proteste gegen die iranische Regierung veröffentlicht, das sich in den sozialen Medien rasant verbreitete. Dann war er untergetaucht, um einer drohenden Verhaftung zu entgehen. Nachdem die Beamten ihn nicht aufgefunden hatten, seien sie direkt zum Haus seiner Freunde gefahren, so Yousefi. An deren Adresse konnten sie nur über den Lieferdienst Snap Food gelangt sein, bei dem er einmal Essen dorthin bestellt habe.

    Die US-Sanktionen haben begünstigt, dass eine isolierte iranische IT-Infrastruktur entstand, die unter staatlicher Überwachung und Kontrolle steht.
    Das Regime kann sowohl Mobilfunknetze als auch internationale IP-Verbindungen nach Belieben blockieren – auch begrenzt auf einzelne Regionen in Iran.
    Twitter und VPNs spielen eine große Rolle, um die globale Aufmerksamkeit für die Proteste gegen das Regime aufrechtzuerhalten.

    Wenig später wurde Nik Yousefi aufgegriffen und sitzt seitdem im berüchtigten Evin-Gefängnis in der iranischen Hauptstadt Teheran ein. Und er ist längst nicht der einzige Dissident, dem Regime-Agenten mithilfe der Daten von Snap Food nachspürten. Seit mehr als drei Monaten unternimmt die iranische Regierung viel, um die Protestbewegung zu unterdrücken – und das Internet ist sowohl für die Protestierenden als auch für das Regime zu einem entscheidenden Werkzeug geworden.

    Auslöser der Unruhen war der Tod der 22-jährigen Jina Mahsa Amini. Die junge Frau aus der kurdischen Provinzstadt Saqqez wurde am 13. September 2022 während einer Besuchsreise in Teheran von der Sittenpolizei festgenommen, weil ihr Kopftuch angeblich nicht korrekt saß. In der Haft hat man sie geschlagen. Sie starb drei Tage später an ihren Verletzungen.

    Die Proteste gegen das brutale Vorgehen der Sittenpolizei und den offiziellen Kopftuchzwang erfassten schnell das ganze Land. Auf den Straßen entlädt sich bis heute eine lang aufgestaute Wut über staatliche Misswirtschaft, die Diktatur und die Stellung von Frauen in der Gesellschaft. Und die Regierung schlägt brutal zurück. Menschenrechtsorganisationen geben bislang fast 500 getötete Protestierende und über 18.000 Inhaftierte an (Stand Mitte Dezember 2022).

    Die Start-ups und der Staat

    Im Bestreben nach umfassender Kontrolle hat der Sicherheitsapparat selbst alltägliche Internetanwendungen im Visier. Gehackte E-Mails, die Aktivisten des Anonymous-Kollektivs im Oktober ins Netz stellten, zeigen, dass auch bekannte iranische Internetfirmen mit dem Regime kooperieren. Die Mails geben einen Einblick in die Korrespondenz der IT-Unternehmen mit der obersten Zensurbehörde des Landes.

    Der frühere Start-up-Unternehmer Arash Zad ist von der Authentizität der Dokumente überzeugt. Ihm zufolge haben einige Firmen weitaus mehr als notwendig mit der Behörde kooperiert – um sich gut zu stellen oder um Konkurrenten zu schädigen. Der Betreiber eines Online-Bezahldienstes etwa habe die Zensoren auf eine Domain des Exilsenders Manoto TV aufmerksam gemacht, über die Iraner den Journalisten Fotos und Videos zukommen lassen konnten. „Das war eines der scheußlichsten Dinge, auf die ich in diesen Mails gestoßen bin“, erklärt Zad im Gespräch mit c’t.

    Iranische Start-ups haben lange Jahre davon profitiert, dass es keine internationale Konkurrenz gab. Denn bereits seit 1979 existieren US-Sanktionen gegen Iran. Da sie großen Technologiekonzernen den Zugang zum iranischen Markt versperrten, entstanden viele lokale Klon-Produkte. Mit großem Erfolg ersetzt etwa Cafe Bazaar seit 2011 de facto den Play Store von Google. Als Kopie des Amazon-Konzepts dominiert Digikala den Onlinehandel.

    Kurz währende Hoffnung

    Das Atomabkommen von 2015 ließ Hoffnung auf eine Entspannung der Beziehungen Irans zu Europa und den USA aufkeimen. Nun interessierte sich auch das Ausland für diesen rapide wachsenden Markt. Im Juni 2015 sollte die iBRIDGE-Konferenz in Berlin aufstrebende iranische Talente mit internationalen Investoren zusammenbringen. So erwarb eine niederländische Firma Beteiligungen an Cafe Bazaar. Und auch die Berliner Rocket-Internet-Gruppe, die in Konzerne wie United Internet und Alibaba investiert ist, streckte ihre Fühler nach Iran aus.

    Der Traum von einem Silicon Valley des Mittleren Ostens zerplatzte allerdings schnell. Im September 2015 setzten die Revolutionsgarden Arash Zad fest, der damals zu den Pionieren der iranischen Tech-Szene zählte. Nur wenige Stunden nach seiner Verhaftung wurden seine E-Mail-Konten für eine Phishing-Kampagne genutzt, die sich gegen iranische Techies im In- und Ausland richtete. Wegen „Kontakten zu regimefeindlichen Gruppen“ musste Arash Zad für mehr als zwei Jahre ins Gefängnis, davon verbrachte er fünf Monate in einer Einzelzelle. Das war ein klares Signal: Der iranische Sicherheitsapparat würde nicht tatenlos dabei zusehen, wie ein international vernetzter IT-Sektor aufblüht.

    Im Januar 2020 ergriffen die Revolutionsgarden den recht bekannten Softwareingenieur Behdad Esfahbod, der in Kanada für Facebook arbeitete und seine Familie in Teheran besuchen wollte. In der Isolationshaft wollten sie ihn dazu zwingen, iranische Aktivisten im Ausland auszuspionieren, die daran arbeiteten, die iranische Internetzensur zu umgehen. Auch im Zuge der derzeitigen Proteste hat das Regime mehrere Tech-Experten verhaftet, darunter den prominenten Programmierer Amiremad Mirmirani, bekannt als Jadi. Er hatte in seinem Podcast die mittlerweile von der Europäischen Union sanktionierte iranische Firma Arvan Cloud für ihren Beitrag zur staatlichen Internetzensur kritisiert.
    Arash Zad, einst Pionier der iranischen Start-up-Szene, wurde von den Revolutionsgarden festgesetzt und landete für zwei Jahre im Gefängnis.

    Kooperation der Tech-Firmen

    Um unter Irans autoritärem Regime zu bestehen, bleibe den Internetfirmen oft gar keine andere Wahl als zu kooperieren, erklärt Amin Sabeti, Gründer des Computer Emergency Response Team in Farsi (CERTFA). Dies ist eine Organisation, die sich auf erste Hilfe bei Cyberattacken staatsnaher Hacker spezialisiert hat. „Wenn ein Staatsanwalt wissen will, wer wann ein Taxi genommen hat oder die Revolutionsgarden bei denen im Büro stehen und Zugriff auf Nutzerdaten verlangen – bei wem wollen sie sich beschweren? Wie sollen sie Widerstand leisten?“

    Die Betreiber der beliebten Navigationsapp Balad zogen Ende Oktober die Konsequenz. Unter den aktuellen Bedingungen sei es ihnen nicht mehr möglich, die Rechte ihrer Nutzer zu schützen, verkündeten sie auf Instagram. Deshalb wollten sie ihren Dienst in den nächsten Monaten einstellen, Mitarbeiter würden versetzt oder entlassen.

    Werden iranische Internetnutzer nach den jüngsten Erkenntnissen zur staatlichen Überwachung ihr Verhalten ändern? Arash Zad ist skeptisch. „Vielleicht sind einige jetzt vorsichtiger bei der Nutzung dieser Apps, immerhin könnten ihre Freiheit oder ihr Leben auf dem Spiel stehen. Aber es ist auch ein Markt mit vielen Monopolen – für viele Dienstleistungen gibt es nur einen Anbieter. Die meisten Leute haben sich an diese bequemen Services gewöhnt.“

    Nationales Internet

    Wie nur wenige andere Länder greift Iran in die Netzarchitektur ein, um innerhalb seiner Landesgrenzen größtmögliche Kontrolle über Datentransfers und Kommunikation zu erlangen. Die Weichen für den Ausbau eines „nationalen Internet“ stellte das Regime nach den Protesten gegen die Manipulation der Präsidentschaftswahlen im Jahr 2009.

    Schon damals mobilisierte sich eine Opposition über soziale Netzwerke und erzielte internationale Aufmerksamkeit. Westliche Medien betitelten die Demonstrationszüge in den iranischen Städten als „Twitter-Revolution“. Ein Jahr später, unter dem Eindruck der Aufstände des Arabischen Frühlings, beschrieb die damalige US-Außenministerin Hillary Clinton das Internet in einer viel beachteten Rede als Waffe im Kampf gegen Diktatoren. Sie versprach Unterstützung für Netzaktivisten auf der ganzen Welt.
    Internet von strategischer Bedeutung

    Zugleich wurden die iranischen Atomanlagen zum Ziel eines der ersten internationalen Cyberangriffe gegen eine kritische Infrastruktur. Mit dem Schadprogramm Stuxnet wollten die USA und Israel die Nuklearanreicherung sabotieren. Für das Regime in Teheran wurde das Internet damit zu einem strategischen Schlachtfeld.

    Das Ziel war klar: Man wollte ein Netz, das leicht zu überwachen und zugleich resilient gegenüber Angriffen von außen bleibt. Bis 2020 wurden die Anbindungen zum globalen Internet auf wenige Knotenpunkte reduziert. Experten gehen davon aus, dass inzwischen fast alle Verbindungen über die Telecommunication Infrastructure Company laufen, die direkt dem IT-Ministerium untersteht und zudem von Funktionären des Sicherheitsapparats beaufsichtigt wird. Parallel dazu hat der Staat die Zahl der Netzwerke im Land ausgebaut. Im Vergleich zu den Nachbarländern erreicht Iran eine hohe Konnektivität innerhalb seiner Landesgrenzen und will so dem nationalen Netz Stabilität geben.

    Staatlich geförderte Anwendungen wie der Messenger Soroush und die Super-App Rubika sollen globale Plattformen ersetzen. Rubika ist über ein Geflecht staatsnaher Firmen mit einem durch die Revolutionsgarden kontrollierten Konsortium verbunden. Das chinesische Vorbild WeChat lässt grüßen. 2021 tauchten plötzlich auf Rubikas Instagram-Klon die Profile prominenter iranischer Sportler, Schauspieler und Influencer auf. Die Originalprofile waren zuvor ohne deren Wissen bei Instagram gelöscht worden.
    Werkzeuge der Repression

    Im November 2019 zeigte das Regime erstmals, dass es mittlerweile totale Kontrolle über die Infrastruktur hat. Aus Wut über die drastische Erhöhung der Benzinpreise gingen Menschen im ganzen Land auf die Straße. Die Proteste wendeten sich schnell gegen auch gegen die Regime-Elite hinter Revolutionsführer Ali Khamenei. Die Reaktion folgte prompt: Innerhalb eines Nachmittags schalteten alle großen Internetprovider ihre Netzwerke ab. Fünf Tage lang war Iran von der Welt abgeschnitten. Für die in London ansässige Organisation Netblocks, die weltweit Internetsperren dokumentiert, war diese Blockade aufgrund des Ausmaßes und der technischen Komplexität der bislang schwerwiegendste Shutdown ihrer Messungen.

    Erst als die Provider das Land allmählich wieder ans globale Netz anschlossen, traten die Zeugnisse der staatlichen Gewalt zutage. Amnesty International konnte auf Basis von Handyvideos und Fotos mehr als dreihundert Männer, Frauen und Kinder identifizieren, die während der Proteste von Regimekräften getötet wurden. Schätzungen zufolge liegt die tatsächliche Zahl aber bei bis zu 1500 Todesopfern.

    Als im September 2022 die Proteste über den Tod von Jina Amini ausbrachen, hatte das Regime also bereits Erfahrungen gesammelt. Schnell ordnete der Nationale Sicherheitsrat die Blockade von WhatsApp und Instagram an, den letzten noch zugänglichen internationalen Plattformen. Selbst Onlinespiele mit Chat-Funktion wurden gesperrt, um Regimekritikern keine Nischen zu bieten. Ein landesweiter Shutdown aber blieb bislang aus, weil die Regierung wirtschaftliche Schäden fürchtet. Stattdessen arbeitet man mit zeitlich und regional begrenzten Sperrungen.

    Digitale Ausgangssperren

    Ein vom Open Observatory of Network Interference (OONI) und Partnerorganisationen veröffentlichter Report dokumentiert für die ersten Wochen der Proteste „digitale Ausgangssperren“: Von Nachmittag bis Mitternacht unterbrachen die drei größten Mobilfunkanbieter ihre Dienste. Die Nutzer verloren die Verbindung zum mobilen Datenverkehr, der für viele Iraner der einzige Zugang zum Internet ist. Dies sollte die Kommunikation der Protestler auf den Straßen erschweren.

    Das Regime nutzt Deep Packet Inspection, um VPN-Verbindungen in den Datenströmen zu erkennen und zu blocken. Auch drosselt es die Geschwindigkeit der Datenübertragung. Dadurch können Aktivisten kaum noch Fotos und Videos versenden. „Das ist wie ein Wasserhahn, aus dem nur noch ein paar Tropfen kommen. Man kann zwar behaupten, dass es einen Wasseranschluss gibt, aber in Wirklichkeit nützt der Hahn niemandem etwas“, umschreibt Amin Sabeti vom CERTFA diese Situation.

    Am stärksten von der Zensur betroffen sind die Provinzen Kurdistan und Belutschistan, wo das Regime ungleich härter gegen die protestierende Bevölkerung vorgeht. Die von ethnischen und religiösen Minderheiten bewohnten Regionen werden seit jeher stark vom Staat diskriminiert. In den kurdischen Städten seien die Verbindungen oft tagelang unterbrochen, berichtet Kaveh Ghoreishi, ein kurdisch-iranischer Journalist, der in Berlin lebt: „Mitunter nutzen Aktivisten SIM-Karten aus den benachbarten kurdischen Provinzen im Irak, um die Internetzensur zu umgehen. Aber diese Verbindungen werden von der iranischen Regierung mit Störsendern unterbrochen.“

    Das Open Observatory of Network Interference (OONI) hat staatliche Netzeingriffe in den ersten vier Wochen des Protests zusammengetragen.

    Das Onlinemagazin The Intercept berichtete im Oktober auf Basis geleakter Dokumente von einem Überwachungsprogramm, das der iranischen Regierung umfassende Kontrolle über den Mobilfunk gibt. Das System könne Verbindungen ausspähen, manipulieren und gezielt unterbrechen. Zudem erlaube es den Behörden, Nutzer aus den schnelleren 3G- und 4G-Netzen zu veralteten 2G-Verbindungen zu zwingen. Dort sind viele Funktionen heutiger Smartphones nicht nutzbar und Daten lassen sich leichter abschnorcheln.

    Inwieweit Iran für dieses Programm Unterstützung aus dem Ausland erhalten hat, ist nach einer ersten Auswertung der Dokumente noch nicht klar. Kooperationen im IT-Bereich bestehen mit Russland und China. Vor allem China hilft mit Technologie und Know-how bei Internetzensur und digitaler Überwachung. Die chinesische Firma Tiandy hat Iran kürzlich ein Kamerasystem mit Gesichtserkennungssoftware verkauft, das die Aufgaben der Sittenpolizei bei der Durchsetzung der Kleidungsvorschriften übernehmen könnte.

    Kampf um Aufmerksamkeit

    Nach der bitteren Erfahrung vom November 2019 wissen iranische Aktivisten, wie wichtig es ist, das weltweite Interesse an ihrem Widerstand aufrechtzuerhalten. Gelingt es der Regierung, eine totale Kommunikationssperre durchzusetzen und den Kontakt zur internationalen Öffentlichkeit zu unterbrechen, können die Revolutionsgarden noch hemmungsloser gegen die Bevölkerung vorgehen. Unter hohem Risiko nehmen deshalb Aktivisten noch immer Videos auf und schicken sie außer Landes.

    Die Übernahme von Twitter durch Elon Musk im Oktober traf die iranische Protestbewegung daher zum falschen Zeitpunkt. Über Twitter können Nachrichten aus Iran unmittelbar internationale Journalisten und Politiker erreichen. Nichtregierungsorganisationen nutzen das auf der Plattform verbreitete Videomaterial zur Dokumentation von Menschenrechtsvergehen. Während westliche Nutzer – auch viele Medienschaffende – in den ersten Tagen nach Musks Übernahme in Scharen zu alternativen Angeboten wie Mastodon wechselten, bleibt iranischen Journalisten und Aktivisten dieser Ausweg versperrt, wollen sie wertvolle Reichweite behalten.

    Mahsa Alimardani von der britischen Nichtregierungsorganisation (NGO) Article 19 weist auf neue Sicherheitslücken hin, die durch den Verkauf von Twitter entstehen. Die für Menschenrechte und Sicherheit zuständigen Teams der Plattform hätten aufgrund jahrelanger Bemühungen von NGOs Erfahrung beim Umgang mit Nutzern aus autoritären Ländern gesammelt: „Wann immer eine Aktivistin verhaftet wurde, haben diese Teams schnell deren Accounts gesichert.“ Das sei wichtig, um den Missbrauch der Konten zu verhindern und kritische Daten zu schützen. Viele dieser Mitarbeiter sind nun von Musk entlassen worden. „Die privaten Admins bei Mastodon wissen gar nicht, wie man solche Risikogruppen schützen muss“, erklärt Alimardani.

    Nur wenige Tage nach Ausbruch der Proteste tat die US-Regierung endlich das, was Internetaktivisten schon seit Jahren gefordert hatten: Washington lockerte die Sanktionen, die Iranern die Angebote US-amerikanischer Technologiekonzerne verwehrt hatten. Mit dem üblichen Aplomb kündigte Elon Musk sofort an, seinen Satelliten-Internetdienst Starlink für Iran freizuschalten. Tatsächlich sind mittlerweile einige Empfangsgeräte ins Land gelangt. Diese bergen jedoch auch Risiken, da die Sicherheitsdienste deren Nutzer möglicherweise lokalisieren können.

    Hilfe erwünscht

    Weitaus hilfreicher wäre es, leistungsstarke VPNs bereitzustellen, da sind sich viele Internetaktivisten einig. Anwendungen wie Psiphon und Tor verzeichnen in den letzten Monaten steigende Nutzerzahlen in Iran. Beide tunneln den Datenverkehr über ein Netzwerk von Computern und helfen so, Blockaden zu umgehen und die Anonymität im Netz zu bewahren.
    Das Tor-Projekt bietet die Browser-Erweiterung Snowflake an, einen Proxy, mit dem auch Nutzer in Deutschland über ihren heimischen Computer Menschen aus Iran schnell Zugang zum Tor-Netzwerk geben können.

    Der Leiter der Community-Arbeit bei Tor, Gustavo Gus, berichtet, dass nach anfänglichem großen Erfolg Snowflake im Oktober plötzlich für iranische Nutzer des Tor-Proxys Orbot blockiert war. Mit Orbot lassen sich die Apps auf Android-Smartphones über Tor schützen. Es habe zwei Wochen gedauert, bis man eine Lösung entwickeln konnte: „Unter den Bedingungen von Zensur und Überwachung ist es sehr schwer, mit Nutzern in Iran zu kommunizieren. Wir brauchen immer Feedback von Leuten, die unsere Anpassungen testen. Viele Kanäle aber sind blockiert.“

    Die große Nachfrage aus Iran habe das Team an den Rand seiner Kräfte gebracht. „Es ist, als ob man in einer Küche arbeitet, auf einmal kommen viel mehr Gäste und wollen Essen“, erzählt Gustavo. Tor bräuchte mehr Freiwillige, die auf ihren Servern einen eigenständigen Proxy für Snowflake installieren, der mehr Bandbreite bietet als Privatzugänge, und die Kapazität des Netzwerks erhöht.

    Stefan Leibfarth, der für den Chaos Computer Club in Stuttgart einen Exit-Node für Tor betreibt, betont, dass Freiwillige in Deutschland einen wesentlichen Anteil der benötigten Server und Bandbreite für den gesamten Service stellen. Dieses Engagement sei meist rein ehrenamtlich. „Dafür wünschen wir uns mehr öffentliche Aufmerksamkeit und Anerkennung“, sagt Leibfarth. Eine direkte staatliche Finanzierung sieht er skeptisch, hält aber eine breite Förderung durch verschiedene Geldgeber für wünschenswert.
    Journalistinnen wie Gilda Sahebi retweeten Informationen aus Iran und steigern damit die Aufmerksamkeit für die Protestbewegung.,

    Journalistinnen wie Gilda Sahebi retweeten Informationen aus Iran und steigern damit die Aufmerksamkeit für die Protestbewegung.

    Um das iranische System der Überwachung und Internetkontrolle zu schwächen, müssten letztlich alle Unternehmen, die in irgendeiner Form darin involviert sind, Konsequenzen spüren, denkt der frühere Start-up-Pionier Arash Zad. Ob dies tatsächlich geschieht, ist derzeit ungewiss, denn noch sind die Folgen der Protestbewegung für das Regime und die Gesellschaft Irans nicht abzusehen.

    #Iran #censure #internet #révolte

  • Brutalité de la « Nouvelle Algérie » du despotisme d’Al-Mouradiya.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4401

    Un post du Internet qui est scruté par un lourd appareil de vérification, de surveillance et de répression sous le commandement des militaires, peut coûter des mois de prison qui seront clôturé l’innocence du citoyen justiciable. Telle est la « nouvelle Algérie » que galvaudent les médias publics qui sont fuis par un respectable audimat. Mais entretiennent et supportent le discours de l’élimination des organes et supports libres, ce qui leur sert de propice nettoyage des concurrents gênants. #nationale,_fait_politique,_une_et_première_page,_médias,_actualité,_pays,_france,_afrique,_maghreb

    / Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société , Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, Journalisme, presse, (...)

    #Maghreb,Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société #Afrique,_Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #Journalisme,_presse,_médias #_journaliste,_poète,_livre,_écrits

  • #suisse : Des entreprises testent la vigilance de leurs employés avec de faux liens frauduleux Loïc Delacour/hkr
    https://www.rts.ch/info/suisse/13656012-des-entreprises-testent-la-vigilance-de-leurs-employes-avec-de-faux-lie

    Face à l’augmentation des cyberattaques pendant la période de Noël, certaines entreprises suisses en profitent pour tester la vigilance de leurs employés en leur envoyant de faux liens frauduleux.

    Ils raffolent des fêtes de fin d’année. Les « hackers » informatiques sont particulièrement actifs en décembre. Ils profitent de la baisse de vigilance des internautes, mais aussi de la forte consommation en ligne liée aux actions commerciales pour envoyer des e-mails frauduleux. Le but : voler des données privées des internautes, telles que leurs informations bancaires.

    La Trust Valley de l’EPFL, le pôle de compétences lémanique en matière de confiance numérique et de cybersécurité, a choisi cette période particulière pour lancer un test de sensibilisation grandeur nature auprès d’employés romands.

    « Nous avons décidé de proposer à 25 PME de la région de tester leurs employés en envoyant des liens de fishing. Ces liens frauduleux permettent d’accéder à l’ordinateur de l’employé. Le but est de leur permettre de comprendre comment les cybercriminels attaquent pour mieux s’en prémunir à l’avenir », a expliqué sa directrice Lennig Pedron lundi dans La Matinale.

    Si les attaques sont nombreuses en fin d’année, c’est aussi que les gens sont beaucoup en ligne durant cette période de vacances. Il convient donc d’être vigilant, met elle en garde. « Le premier conseil est de repérer les sites amateurs mais aussi de ne pas utiliser des méthodes de paiement inhabituelles. Par ailleurs, il ne faut pas cliquer sur des liens de sites frauduleux. Enfin, il est important de déclarer quand un site frauduleux semble apparaître ». Les courriels frauduleux sont à l’origine de plus de 90% des attaques informatiques.

    #cyberattaque #hacking #ransomware #cyberattaques #sécurité #piratage #surveillance #internet #cybersécurité #algorithme #sécurité_informatique #malware

    • Et pour les prestataires de service informatiques, en fin de contrat ?
      Rien ?

      Et pour les salariés qui partent en retraite et assurent leurs derniers jours de travail ?
      Rien ?

      Mais si, par exemple, à auchan, dans les services centraux, leur messagerie est coupée la veille de leur départ.
      On ne sait jamais, il est des mails d’au revoir qui peuvent être « saignants » .

  • Khrys’presso du lundi 26 décembre 2022
    https://framablog.org/2022/12/26/khryspresso-du-lundi-26-decembre-2022

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Claviers_invités #Internet_et_société #Libr'en_Vrac #Libre_Veille #Non_classé #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
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  • Robots aspirateur Roomba : des photos capturées dans les foyers se retrouvent sur la toile
    https://www.generation-nt.com/actualites/robot-aspirateur-roomba-photos-capturees-fuite-toile-2032023
    https://img.generation-nt.com/irobot-roomba-j7-plus-laveur_029801BB01684686.jpg

     : des photos capturées dans les foyers se retrouvent sur la toile
    Publié le 23 décembre 2022 à 15:10 par Mathieu M.

    Les robots aspirateurs ont le vent en poupe au sein des foyers, mais ils peuvent parfois se présenter comme des espions en puissance.
    iRobot Roomba J7 Plus laveur

    Face à la prolifération des objets connectés, les utilisateurs sont de moins en moins à l’abri des failles et des fuites de contenu personnel. Et même si les spécialistes alertent de plus en plus sur la nécessité pour les constructeurs de sécuriser un maximum leurs appareils, il arrive que quelques erreurs exposent des données personnelles ou pire encore, que des actes malveillants aient lieu...

    C’est iRobot qui en fait actuellement les frais avec son robot Roomba J7.Sur certains modèles d’aspirateurs robot, on retrouve une caméra qui permet de piloter l’appareil à distance en vue à la première personne ou plus globalement de réaliser des photos d’obstacles pour les analyser via une IA et éventuellement interpeller l’utilisateur.

    Roomba

    Le Roomba J7 fait partie de ces appareils qui prend des photos et les envoie à Scale AI, une startup qui se charge d’étiqueter des données audio, photos, vidéo afin d’entrainer les intelligences artificielles à mieux reconnaitre les objets ou sons.
    Des clichés intimes dans la nature

    Il semblerait que certains employés de Scale AI ayant eu accès à ces clichés pris par des robots en développement en 2020 se sont échangés certaines captures sur des canaux d’échange privés. Le MIT Technology Review a eu accès à 15 de ces captures d’écran.

    Sur ces clichés, on peut trouver des mineurs ou des personnes en position délicates, notamment sur les toilettes.

    Il semble que ces clichés proviennent d’appareils en développement profitant de modifications matérielles et logicielles spécifiques. iRobot précise que les « fuites » ne concernent pas les versions commercialisées de ses appareils et que les personnes à qui ont été confiées les versions d’essai avaient signé des accords concernant l’enregistrement des images.

    L’affaire ne semble ainsi pas tournée vers une fuite ou piratage des robots aspirateurs d’iRobot mais plutôt une négligence des employés de Scale AI ayant partagé des fichiers directement sur les réseaux sociaux.

    #robot #robots_aspirateurs #Roomba #domotique #objets_connectés #Internet_des_objets #collecte_des_données #iRobot

  • L’aventure de la #Modération – épisode 1
    https://framablog.org/2022/12/23/laventure-de-la-moderation-episode-1

    Maiwann, membre de l’association, a publié sur son blog une série de cinq articles sur la modération. Nous les reproduisons ici pour leur donner (encore) plus de visibilité. Voici le premier. Il me semble que mon parcours rassemble plusieurs spécificités … Lire la suite­­

    #Dégooglisons_Internet #Fédération #Libertés_Numériques #Libres_Services #Communaute #Internet

  • L’ICANN, sa vie, ses œuvres (volet 6) : Les Supporting Organizations, focus sur la ccNSO par Loic Damilaville https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/papier-expert/licann-sa-vie-ses-oeuvres-volet-6-les-supporting-organizations-focus-sur-la-cc

    ICANN: its life and work (part 6): The Supporting Organizations: focus on the ccNSO by Loic Damilaville https://www.afnic.fr/en/observatory-and-resources/expert-papers/icann-its-life-and-work-part-6-the-supporting-organizations-focus-on-the-ccnso

    #ICANN #ccNSO #Internet

  • #243 LA FACE CACHÉE DE VOTRE SMARTPHONE
    http://www.vlanpodcast.fr/243-la-face-cachee-de-votre-smartphone-avec-guillaume-pitron

    Guillaume Pitron est journaliste et il a écrit, selon moi, les 2 ouvrages les plus pertinents sur la pollution numérique : voyage au bout d’un like et l’enfer numérique.

    Notre 1ère ministre nous a demandé de trier nos emails mais est-ce vraiment là qu’est le souci ?
    il est difficile d’envisager la pollution numérique tant tout paraît si virtuel, après tout on parle de tout mettre dans le “cloud” c’est à dire dans les nuages.
    Et puis nous associions le digital souvent à des éléments positifs : un smartphone est un bel objet, les échanges que nous avons par Internet nous facilitent la vie, sont souvent porteurs de joie, bref nous sommes totalement subjugués par tout ce qui est digital.
    Pourtant derrière la magie d’internet, il y a des câbles, des usines, des serveurs, des objets comme des téléphones, des tablettes, des ordinateurs dont la production, l’usage et l’obsolescence ne sont pas neutres.
    C’est précisément pour comprendre ce que sont réellement les métaux rares, pour comprendre comment réduire son empreinte numérique, pour comprendre les ressorts de tout ce qu’implique la digitalisation du monde que j’ai fait cet épisode.
    Vous allez découvrir la réalité derrière un like, comment se passe le sourcing des matériaux qui permettent la création de ces objets que nous avons dans la poche comme une 3ème main.
    Nous allons aussi parler de la blockchain et plus généralement de web 3.
    Est-ce que la technologie va nous permettre de faire face à la crise climatique ?

    #Numérique #EMI #Smartphone #Internet #Écologie #Environnement #Technologie #Pollution #Énergie

  • Khrys’presso du lundi 19 décembre 2022
    https://framablog.org/2022/12/19/khryspresso-du-lundi-19-decembre-2022

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Claviers_invités #Internet_et_société #Libr'en_Vrac #Libre_Veille #Non_classé #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Les journalistes face à l’emprisonnement, la censure et les tueurs.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4397

    Pour Populi-Scoop l’indicateur de référence est Julian Assange, un hacker éthique. Du fait des persécutions du fondateur de Wikileaks, dans l’appréhension que nous avons dans l’exercice du journalisme, il l’adaptation à la diffusion de l’information via Internet. Elle est soumise aussi aux moyens dont doit disposer le praticien qui se veut lui-même corporatiste et plus professionnel que d’autres citoyens dans le partage des choses et idées utiles avec ses prochains de l’humanité. Telle est la vertu des réseaux sociaux du Web, de nouveaux vecteurs des médias... commentaires, divers, diversité, pluralité, création d’idée, innovation sociale, nouveau monde, nouvelle idéologie, justice, injustice,

    / journaliste, poète, livre, écrits, #Journalisme,_presse,_médias, Internet, Web, cyber-démocratie, (...)

    #commentaires,_divers,_diversité,_pluralité,_création_d’idée,_innovation_sociale,_nouveau_monde,_nouvelle_idéologie,_justice,_injustice, #_journaliste,_poète,_livre,_écrits #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias
    https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/17577632.2022.2141225

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