Rebelles du genre - Episode 43 - Alice
“Je suis moi-même intersexe, et je constate qu’il y a une instrumentalisation, voire une fétichisation des personnes intersexes pour défendre la théorie du genre.”
Alice, rebelle du genre.
►https://www.youtube.com/watch?v=hNpW6QGYQso
#genre #transactivisme #féminisme #antisexisme
Je ne suis pas née femme | Par Ouï-dire
▻https://www.rtbf.be/auvio/detail_par-oui-dire?id=2759496
A 17 ans, Lucie apprend qu’elle est née avec le MRKH. Ce ’syndrome congénital’ touche au sexe, et, par ricochet, à la sexualité et à l’identité. Cette découverte l’atteint profondément et chamboule ses préconceptions. Elle pose par écrit ses questionnements et réflexions au fil des années. A 46 ans, depuis Bruxelles où elle vit désormais, elle fait le bilan de son périple entre les tempêtes intérieures traversées et les périodes d’accalmie. Cette création sonore est son ’coming-out’ intersexe. Un récit documentaire de Lucie Robet Une production de Farrago. Durée : 47 min. Source : La Première - RTBF
▻http://rtbf-pod.fl.freecaster.net/pod/rtbf/geo/open/y/yXjTOEWICB.mp3
]]>Rencontres intersexes (R)
▻https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/rencontres-intersexes-r-0
Vincent a été mutilé.e tard, à sept ans.
Quad j’ai eu l’appendicite, les médecins m’ont ouvert et ont dit à mes parents qu’ils allaient me réparer. Pendant toute mon adolescence, ils ont mené ce qu’ils appellent des « explorations fonctionnelles ». Personne sait ce qu’ils ont fait précisément.
Un reportage très sensible qui donne la parole à des personnes #intersexe (rediffusion de 2014)
]]>JIM.fr - Personnes intersexuées : un regard différent sur la chirurgie précoce
▻http://www.jim.fr/e-docs/personnes_intersexuees_un_regard_different_sur_la_chirurgie_precoce__179202/document_interview.phtml
Ces personnes souffrent, comment le contester, comment ne pas le déplorer ? Mais elles se trompent sur l’origine de leur souffrance, qu’elles attribuent aux protocoles médico-chirurgicaux, ce qui n’est pas exact. Elles souffrent d’une anomalie que les médecins et chirurgiens ne compensent jamais complètement, de même que l’adoption pallie le fait qu’un enfant n’a pas de parents, ce qu’elle tente de résoudre au mieux en lui donnant des parents d’adoption, laissant néanmoins souvent un trait de fracture psychique aux tréfonds de l’âme de l’enfant. Transformer par la magie des mots une malformation en “variation du normal”, c’est se leurrer ; nous ne pouvons et ne devons pas encourager le leurre, même s’il est nécessaire que toutes les décisions médico-chirurgicales soient affinées au mieux, les médecins et chirurgiens y travaillent dur pour tenter d’apporter la meilleure réponse à chaque situation. En cela les recommandations du Conseil d’État sont un véritable camouflet à leur égard : déplorable.
Je propose pour cette interview un tag #partager_n'est_pas_partager, je ne sais pas s’il existe un équivalent sur Seenthis, en tout cas ça correspond aussi à l’esprit dans lequel elle est présentée sur ce site d’info médicale : appréhender de façon accessible la conception d’une certaine #médecine qui défend les opérations précoces des personnes #intersexe.
]]>Le monde médical se range dans le camp de Caster Semenya
▻http://www.francsjeux.com/2019/05/03/les-medecins-du-monde-entier-dans-le-camp-de-semenya/52488
L’Association médicale mondiale (AMM) appelle l’ensemble des médecins à travers le monde à « ne pas prendre part à la mise en œuvre du nouveau règlement de l’Association internationale des fédérations d’athlétisme (IAAF) portant sur l’admissibilité des athlètes féminines. » Source : Francs Jeux
]]>L’histoire de M., première personne #intersexe au monde à porter #plainte pour #mutilations
Dès les premiers jours de sa vie, on lui injecte des #hormones. Entre 1980 et 1993, iel subit cinq #interventions_chirurgicales lourdes. M. devra suivre des traitements à vie et ne pourra pas avoir d’enfant.
Pour l’arrêt des mutilations des enfants intersexes
▻http://lmsi.net/Pour-l-arret-des-mutilations-des
PMA, filiation… Le Conseil d’Etat innove sur des questions sensibles
▻https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/07/11/pma-filiation-le-conseil-d-etat-innove-sur-des-questions-sensibles_5329783_3
C’est un éclairage important attendu par le gouvernement avant la présentation de son projet de loi à l’automne : le Conseil d’Etat rend publique, mercredi 11 juillet, une étude consacrée à la révision de la loi de bioéthique. « La France a construit un modèle bioéthique singulier en plaçant plus haut que d’autres pays le principe de dignité de la personne humaine, rappelle Bruno Lasserre, vice-président du Conseil. Nous étudions différents scénarios d’évolution de la loi, en mettant en garde sur les conséquences possibles. » Si l’institution estime le statu quo préférable dans certains cas, elle innove sur des questions sensibles.
Procréation médicalement assistée. Le Conseil d’Etat renvoie dos à dos les arguments juridiques brandis par les partisans et les opposants à l’ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules. Ils écartent ainsi le principe d’égalité entre les couples homosexuels et hétérosexuels mis en avant par les associations de défense des droits des personnes LGBT (lesbiennes, gays, bi et trans). Il n’impose pas, selon les « sages », d’ouvrir l’accès à la PMA, ces couples étant « dans une différence de situation liée à l’altérité des sexes ».
Mais les arguments mis en avant par les opposants, en particulier l’intérêt de l’enfant, ne sont pas jugés valables, car « la question de savoir si priver a priori un enfant d’une double filiation sexuée serait nécessairement contraire à son intérêt reste controversée ». « Aucun obstacle juridique n’interdit d’ouvrir l’AMP [assistance médicale à la procréation, terme utilisé par le Conseil d’Etat] aux couples de femmes et aux femmes seules, écrit le Conseil d’Etat. Et rien ne s’oppose à faire une éventuelle distinction entre [ces] deux publics. » L’institution constate que la demande en faveur de cette ouverture « s’est accrue », et que la loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe de mai 2013 « a normalisé la situation des familles qui en sont issues ».
Lire aussi : Selon le Conseil d’Etat, il n’y a pas d’obstacle juridique à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes
Filiation. Aujourd’hui, pour faire reconnaître un lien de filiation avec un enfant conçu par PMA à l’étranger, la « mère d’intention » (celle qui n’a pas porté l’enfant) doit l’adopter. Elle est pour cela contrainte de se marier avec la mère biologique de l’enfant. Le Conseil d’Etat estime préférable de « dissocier radicalement les fondements biologique et juridique de la filiation d’origine, en prévoyant une double filiation maternelle ». Ce serait une première en droit français.
Les couples de femmes transmettraient à l’état civil une déclaration commune anticipée effectuée devant un notaire, dont la mention figurerait en marge de l’acte de naissance de l’enfant. Le système actuel resterait inchangé pour les couples hétérosexuels ayant recours au don de gamètes, afin de ménager la possibilité pour ces couples de « préserver le secret sur le mode de conception ».
Accès aux origines. Les enfants qui auront été informés par leurs parents qu’ils sont issus d’un don pourraient solliciter à partir de leur majorité l’accès à l’identité de leur donneur. En cas de refus ou de disparition du donneur, des données non identifiantes leur seraient communiquées.
Gestation pour autrui. Cette dernière est interdite sur le sol français par « un dispositif répressif complet » et doit le rester, estime le Conseil d’Etat. Elle est en effet jugée contraire au principe d’indisponibilité du corps humain, qui interdit de disposer d’éléments de son propre corps ou de ses facultés de reproduction, en dehors du don anonyme et gratuit de gamètes ou d’organes. Le Conseil doute de la possibilité de réaliser des GPA « éthiques », vu « la difficulté de s’assurer du caractère désintéressé du geste de la mère porteuse ». En outre, cette technique de procréation soumet l’enfant « à un parcours fragmenté entre ses origines génétique, gestationnelle et sociale ».
Procréation post mortem. « L’ouverture de l’AMP aux femmes seules rendrait difficilement justifiable de refuser une AMP post mortem à celle dont le conjoint vient de décéder alors que les embryons ou les gamètes du couple ont été conservés, observe la plus haute juridiction administrative. Cela reviendrait à demander à la femme de procéder au don ou à la destruction de ses embryons, tout en lui offrant la possibilité de procéder seule à une insémination avec le sperme d’un donneur. » Le Conseil recommande de vérifier l’existence d’un projet parental, et de fixer une date limite pour réaliser le projet.
Autoconservation des ovocytes. L’autorisation de cette technique qui permet de repousser une grossesse « s’inscrirait dans un contexte social la rendant indéniablement pertinente », estiment les « sages », qui relèvent que l’âge de la première grossesse ne cesse de reculer. Ils recommandent de fixer un âge au-delà duquel la ponction d’ovocytes ne pourrait plus être réalisée.
Enfants intersexes. Le Conseil recommande que la mention du sexe à l’état civil puisse être retardée pour les enfants dont le sexe est indéterminé à la naissance. Les actes médicaux ayant pour objectif de « conformer l’apparence esthétique des organes génitaux aux représentations du masculin et du féminin », aujourd’hui réalisés sur de très jeunes enfants, ne devraient avoir lieu que lorsque l’intéressé est en âge d’y consentir.
Fin de vie. Le Conseil d’Etat juge qu’il serait « peu raisonnable » et même « pas souhaitable » de modifier la loi Claeys-Leonetti promulguée en 2016, qui instaure, pour les personnes en fin de vie, un droit à « dormir avant de mourir pour ne pas souffrir », grâce à la délivrance, sous certaines conditions, d’une sédation profonde et continue jusqu’au décès. La loi actuelle permet de « répondre à l’essentiel des demandes sociales relatives à la fin de vie » émanant de personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme, estime le Conseil d’Etat, qui fait tout de même valoir que les équipes soignantes rencontrent encore des « difficultés » à l’appliquer.
La ministre de la santé, Agnès Buzyn, a récemment assuré que la fin de vie ne serait pas abordée dans le cadre des révisions des lois de bioéthique, mais une partie des parlementaires de la majorité plaide pour qu’une loi autorisant une aide médicale à mourir soit votée avant la fin du quinquennat.
#PMA #GPA #intersexes #euthanasie #filiation
]]>SUD Éducation - Pour une prise en compte des élèves #intersexes
▻http://www.sudeducation.org/Pour-une-prise-en-compte-des.html
« Déclarée fille à la naissance, j’ai grandi sans avoir conscience d’être intersexe malgré des difficultés de comportement. J’étais traitée de « garçon manqué » et je rejetais les filles. À l’adolescence, je n’ai pas eu de puberté. En 1988, à l’âge de dix-sept ans, j’ai décidé de consulter une gynécologue pour débloquer ma puberté, mais je n’avais pas conscience d’avoir un problème d’hermaphrodisme. Ce médecin m’a prescrit un examen de sang pour un dosage hormonal. […] Après cet examen, on m’a proposé un examen coelioscopique des ovaires, à l’aide d’une caméra et sous anesthésie générale. […] On m’a demandé ensuite de revenir à la clinique pour une exploration des ovaires. Lors de cette deuxième hospitalisation, le chirurgien m’a reçue la veille de l’intervention, un dimanche soir, alors que le service des consultations était fermé, pour me faire signer une autorisation lui permettant de retirer tout ce qui devait l’être pour raison médicale. J’ai signé ce document alors même que j’étais mineure à l’époque, et sans accord parental ! Une nouvelle fois, j’ai été anesthésiée puis hospitalisée pendant plusieurs jours […]. On m’a seulement demandé d’aller voir mon médecin traitant, dix jours plus tard, pour retirer les fils. Après ce délai, je me suis rendue en toute confiance chez mon médecin de famille qui a été profondément choqué lors de la découverte de la nouvelle par courrier. C’est lui qui m’a expliqué que l’on m’avait retiré les ovaires pour m’éviter un cancer. Lors de cette consultation, j’étais dans un tel état de choc que je n’ai pas tout retenu de ses explications, mais quelques mots m’ont marquée comme « dysgénésie gonadique XY », « pseudohermaphrodisme », « rarissime », « monstrueux ». Je suis sortie de cette consultation complètement anéantie, avec pour seule identité le fait que j’étais un monstre qui ne devait pas se révéler aux autres. Je suis entrée dans la vie adulte sous cette identité. »
]]>Vincent Guillot, l’arrache-corps - Culture / Next
▻http://next.liberation.fr/sexe/2017/05/28/vincent-guillot-l-arrache-corps_1572898
Rangé de force par la médecine dans la case homme, cet écorché défend la cause des #intersexes.
]]>Vincent Guillot, né #intersexe, raconte sa vie « détruite » - Le Point
▻http://www.lepoint.fr/societe/vincent-guillot-ne-intersexe-raconte-sa-vie-detruite-25-03-2017-2114673_23.p
Né avec un appareil génital masculin et féminin, Vincent Guillot a connu dix opérations de « reconstruction » que ce héraut de la cause intersexe dénonce comme des « #mutilations ». Depuis, il milite activement pour leur interdiction. « Enfant, j’étais en bonne santé », rappelle-t-il. « Mon bourreau est mort tranquillement avec sa retraite de chirurgien. Moi, j’ai eu une vie de merde. » À 52 ans, Vincent Guillot porte le combat de milliers de personnes aux quatre coins du monde. Il parle de lui tantôt au masculin, tantôt au féminin. « J’ai été déclassé par injonction sociétale », souffle ce grand blond mince au cou entouré d’un châle bariolé, opéré à 7 ans alors qu’il n’était « pas malade » mais seulement différent.
Environ 200 bébés naissent chaque année en France atteints d’une malformation génétique du développement sexuel. À partir des années 1960, ces enfants intersexes ont été massivement opérés, selon un rapport sénatorial paru début mars, qui demande « l’indemnisation du préjudice ». « On n’attente pas à un corps en bonne santé, sans urgence vitale. Sinon, on autorise aussi l’excision », tonne Vincent Guillot, à vif. Car son #intersexualité, qu’il revendique fièrement, a ruiné sa vie. Né dans un milieu bourgeois, « on a indiqué à ma mère que j’étais un monstre, narre-t-il. Jusqu’à son lit de mort, elle m’a dit : J’aurais préféré que tu meures. »
]]>Ni homme ni femme : la #Cour_de_cassation face à la question d’un troisième genre
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/210317/ni-homme-ni-femme-la-cour-de-cassation-face-la-question-dun-troisieme-genr
Gaëtan a 66 ans. Il est né avec un pénis et un vagin, n’a jamais été opéré, et ne s’est jamais considéré ni comme un homme, ni comme une femme. Il raconte sa quête d’identité, sa vie ravagée et son combat pour que la Cour de cassation reconnaisse l’existence d’un « sexe neutre ».
]]>Une militante transgenre salvadorienne s’insurge contre la violence
Malgré les menaces qui l’ont contrainte à fuir son foyer, une militante s’insurge contre les violences dirigées contre les personnes #lesbiennes, #gays, #bisexuelles, #transgenres et #intersexe.
▻http://www.unhcr.org/fr/news/stories/2016/12/584590b9a/militante-transgenre-salvadorienne-sinsurge-contre-violence.html
]]>L’Ecole du Genre
►http://www.ecoledugenre.com
Comment devient-on une fille ou un garçon ? Etre turbulent ou être gracieuse, est-ce inscrit dans nos gènes ?
Notre plateforme propose un voyage interactif au coeur de la construction de notre identité sexuée. Un voyage où l’on découvre que ce qui nous semble naturel est bien souvent le fruit d’apprentissages dont nous sommes imprégnés à notre insu.
A travers huit épisodes, autant d’étapes de la vie d’enfants et d’adolescents (en famille, à l’école, au sport etc...), nous observons comment au quotidien, dans notre éducation, la société toute entière nous impose une certaine vision du genre.
Ces épisodes durent environ dix minutes et sont représentés côte à côte sur la page d’accueil par des bandes de couleur. Passer la souris dessus fait apparaitre l’image de présentation du film. Cliquer ouvre la page de l’épisode.
Chaque épisode est accompagné de courts modules (interviews, reportages ou d’animation) qui en deux ou trois minutes permettent d’approfondir un sujet ou montrent qu’une éducation non sexiste est possible.
Ces bonus sont accessibles en bas de page et sont représentés par des icônes (lunettes, caméra etc...) Cliquer dessus fait apparaitre le titre du bonus. Le sigle « lunette » ouvre sur une parole d’expert, le signe « main » ouvre sur une animation graphique, le sigle « caméra » sur une vidéo de forme documentaire.
]]>Sur la reconnaissance du sexe neutre en France : second round devant la cour d’appel d’Orléans :
▻http://www.liberation.fr/france/2016/02/05/la-justice-se-penche-de-nouveau-sur-le-sexe-neutre_1431311
Pour mémoire, l’appel fait suite à une première reconnaissance du sexe neutre par le tribunal de Tours :
▻http://www.liberation.fr/france/2015/10/14/une-personne-neutre-unique-en-son-genre_1403782
Système XY de détermination sexuelle — Wikipédia
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_XY_de_d%C3%A9termination_sexuelle#Diversit.C3.A9_des_syst
« Chez l’homme un seul gène appelé SRY sur le chromosome Y permet d’enclencher les voies développementales permettant la détermination sexuelle vers le #sexe mâle. Le chromosome Y ne porte pas seulement des gènes impliqués dans la détermination du sexe masculin. De plus, il y a des chromosomes Y sans le gène SRY et des chromosomes X avec le gène SRY, donc le Y ne détermine pas vraiment le sexe bien qu’il y soit associé la très grande majorité du temps. »
Si ça vous fait fumer du cerveau voila une version peut-être plus simple à comprendre : Affirmer que les hommes ont une paire de chromosomes XY et que les femmes ont une paire de chromosomes XX est réducteur et ne reflète en rien la réalité (...)
]]>Etat civil : Une personne intersexuée, ni homme, ni femme, reconnue de « sexe neutre »
▻http://www.20minutes.fr/societe/1707543-20151014-ni-homme-ni-femme-personne-intersexuee-obtient-droit-etre
#genre #sexe_neutre
« Le sexe qui [lui] a été assigné à sa naissance apparaît comme une pure fiction […] imposée durant toute son existence », écrit le magistrat dans le jugement consulté par les journalistes de 20 Minutes.
]]>J’ai demandé aux autres de m’appeler Julie. Ça a sauvé ma vie.
▻http://www.liberation.fr/apps/2015/08/temoignages-transgenres
Mathis est né avec des chromosomes XX mais, dès sa plus tendre enfance, il savait être « un garçon dans sa tête ». Luttii, elle, a été appelée « garçon » à la naissance mais jalousait les escargots qui ne sont pas enfermés dans un seul sexe. Libération s’est penché sur l’histoire de ces enfants transgenres, qui restent invisibles en France. Souvent parce qu’ils ne comprennent pas eux-mêmes ce qui leur arrive, et que leurs parents ne sont pas plus informés. Mais en vieillissant et grâce aux échanges permis par Internet, ils apprennent à mettre des mots sur leur transidentité et revoient leur jeunesse sous un nouveau jour. Douze d’entre eux témoignent.
]]>Je suis une fille aux chromosomes XY — Témoignage (v MC Eustache)
▻http://www.madmoizelle.com/temoignage-syndrome-morris-240737
Raffa
Je suis une fille aux chromosomes XY — Témoignage (v MC Eustache) - ▻http://www.madmoizelle.com/temoign...
23 minutes ago
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"Plus que ça, je ne savais pas ce que j’étais, et cette question m’angoissait, beaucoup. J’ai essayé de me détruire, inconsciemment, ne sachant pas où trouver une place dans l’ordre naturel des choses. Je n’étais pas une vraie fille, je n’avais rien d’un garçon, alors dans mon esprit, je n’étais rien. La société me proposait deux modèles : l’un, qui ne m’avait jamais correspondu, et l’autre, qui ne me correspondait simplement plus. Les contours devenaient flous et je ne supportais pas de ne pas recevoir un reflet net quand je me regardais dans le miroir. À ce moment-là, j’ai dû faire face au corps médical, qui a su être particulièrement attentif (...)
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