• Sud-Liban : face à l’escalade israélienne, le Hezbollah joue la montre
    Publié le : 29/03/2024 - 17:51Modifié le : 30/03/2024 - 08:17
    https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20240329-sud-liban-face-%C3%A0-l-escalade-isra%C3%A9lienne-le-hezbollah-jo

    . Des membres du Hezbollah aux funérailles de quatre personnes d’une même famille tuées par un raid israélien dans le sud du Liban à Blida, le 11 mars 2024. © Hassan Fneich, AFP

    En réaction aux tirs du Hezbollah, qui vise essentiellement des positions militaires israéliennes et des localités proches de la frontière, Israël bombarde de plus en plus en profondeur le territoire libanais, comme le 24 mars à Baalbek, ville de l’est du Liban, distante de près de 100 kilomètres avec la frontière israélienne.

    L’État hébreu multiplie également les attaques ciblées contre des responsables du Hezbollah et du Hamas, comme celle qui a eu lieu vendredi dans la région de Bazouriyé, dans le sud du Liban, où l’armée israélienne a annoncé avoir tué un haut cadre militaire du parti chiite. Le mouvement pro-iranien n’a pas commenté l’attaque dans l’immédiat mais il a dit avoir tiré dans la matinée sur des positions militaires israéliennes à la frontière entre les deux pays.

    Si plusieurs responsables du Hezbollah ont affirmé que leurs combattants répondraient avec « plus d’intensité » et « de manière décisive à chaque attaque israélienne », jusqu’ici, sur le terrain, la réplique du parti de Hassan Nasrallah reste mesurée.

    « Les opérations menées par le Hezbollah sont empreintes d’une certaine retenue stratégique, dans le respect autant que possible des fameuses règles d’engagement – qui sont des règles tacites – de la ligne bleue [tracée par l’ONU entre le Liban et Israël, NDLR] depuis la fin de la guerre des 33 jours en 2006 », relève Didier Leroy. Le spécialiste note « beaucoup plus d’audace » de la part des Israéliens, qui « osent franchir des lignes rouges » avec des « frappes en profondeur ».

    Pour le chercheur, l’escalade est surtout israélienne et le Hezbollah répond « toujours en deçà du seuil des lignes rouges à ne pas franchir, en restant surtout dans une optique qui consiste à viser des infrastructures militaires dans le nord de la Galilée ».

    Les experts expliquent la modération relative des actions du « parti de Dieu » par la situation de crise économique, politique et sociale dans laquelle est plongée le Liban. « Il semble qu’il n’y a aucun intérêt [pour le Hezbollah, NDLR] à entrer dans une guerre parce que cela ne ferait qu’aggraver la situation catastrophique dans laquelle se trouve le pays. Ce qui ne serait pas à l’avantage du Hezbollah », avançait ainsi Olivier Passot, général et chercheur associé à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (Irsem), début mars sur l’antenne de France 24.

    « Les Israéliens ont la perception ou la conviction que le Hezbollah n’a pas envie d’escalader. Et c’est sans doute cette perception qui leur donne une certaine assurance pour aller frapper au-delà de la zone frontalière, d’aller plus loin et d’entrer dans une stratégie d’attrition. Ils ont décidé de s’en prendre à des objectifs qu’ils avaient élaborés depuis des années, mais qu’ils s’interdisaient de frapper jusque-là », commente le général Olivier Passot. (...)

    #IsraelHezbollah #IsraelLiban

  • Hezbollah vows to retaliate for Saleh al-Arouri assassination
    2 January 2024 20:47 GMT | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/hezbollah-vows-retaliate-saleh-al-arouri-assassination

    Hezbollah vowed to retaliate against Israel on Tuesday for the assassination of Hamas official Saleh al-Arouri in a southern Beirut suburb that is home to Hezbollah’s headquarters.

    “We consider the crime of killing Saleh al-Arouri and his companions in the heart of Beirut’s Dahiyeh a dangerous aggression against Lebanon and its people, security, sovereignty and resistance,” Hezbollah said in a statement.

    “The criminal enemy — which after ninety days of crime, killing and destruction was unable to subjugate Gaza — is resorting to a policy of assassination,” Hezbollah said.

    The Israeli strike is a major challenge to Hezbollah’s power of deterrence.

    Responding to the strike beyond Israel’s northern border region could widen the war into Lebanon, bringing it to the capital of Beirut.

    While many Lebanese have expressed solidarity with the Palestinians, others are reluctant to see the impoverished country dragged into a full-blown war.

    A Hezbollah response that leads to further direct Israeli intervention in Lebanon could also exacerbate sectarian tensions in the mediterranean country.

    Hezbollah leader Hassan Nasrallah previously vowed that: “any assassination on Lebanese soil against a Lebanese, Syrian, Iranian or Palestinian will be met with a decisive response. We will not allow this to be tolerated and we will not allow Lebanon to become a new killing field for Israel.”‌‌

    #IsraelLiban

    • 2 janvier 2023 - 20:35 GMT
      https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2024/1/2/israel-hamas-war-live-almost-22000-palestinians-killed-by-israel-in-gaza

      Killing of al-Arouri in Beirut ‘will not pass without punishment’: Hezbollah

      The Lebanese group eulogised the late Hamas leader in a statement, saying the assassination will not deter fighters in the “supporting fronts” in Lebanon, Syria, Iraq and Yemen.

      “We consider the crime of killing Saleh al-Arouri and his companions in the heart of Beirut’s Dahiyeh a dangerous aggression against Lebanon and its people, security, sovereignty and resistance,” Hezbollah said in a statement.

      It added that the assassination is a “dangerous development” in the conflict between Israel and the “axis of the resistance”.

      “We, in Hezbollah, emphasise that this crime will not pass without response or punishment, and that our resistance is still on its promise – defiant and loyal to its principles and commitments with its fingers on the trigger, and its fighters are at the highest degree of readiness.”

  • Israël bombarde le Liban et Gaza après des tirs de roquettes
    Par MEE | Published date : Vendredi 7 avril 2023 | Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/israel-bombarde-liban-gaza-tirs-roquettes-raids-mosque-aqsa-jerusalem

    L’armée israélienne a lancé des frappes aériennes sur le Liban et la bande de Gaza tôt vendredi, quelques heures après que des roquettes ont été tirées depuis le sud du Liban sur Israël jeudi après-midi, sur fonds de violences israéliennes à la mosquée al-Aqsa à Jérusalem.

    L’armée a déclaré que les frappes au Liban visaient des infrastructures appartenant au mouvement palestinien Hamas. Les médias locaux ont déclaré que des terres agricoles autour d’al-Rashadieh, un camp de réfugiés en bord de mer juste au sud de la ville de Sour, avaient été touchées.

    Le village voisin d’al-Kalila, d’où des roquettes ont été tirées plus tôt, aurait également été pris pour cible. Il n’y a pour l’heure pas de victimes connues.

    L’armée libanaise a annoncé vendredi dans un tweet avoir démantelé dans le sud du pays une nouvelle rampe de lancement de roquettes susceptibles d’être tirées sur Israël.

    Le Liban et Israël « ne veulent pas de guerre », a affirmé vendredi la Force intérimaire des Nations unies (FINUL) déployée dans le sud du Liban pour faire tampon entre les deux pays, après des contacts entre les deux parties.

    Plusieurs zones de la bande de Gaza ont également été touchées lors de différents raids qui ont commencé après minuit, heure locale. Aucune victime n’a été signalée non plus, selon le ministère palestinien de la Santé. (...)

    #IsraelLiban #GAZA

  • Israël pourrait lancer bientôt la production de gaz sur un champ contesté
    Publié le 09.09.2022 | par AFP
    https://www.lemondedelenergie.com/israel-pourrait-lancer-bientot-production-gaz-sur-champ-conteste/2022/09/09

    La société Energean Plc travaillant pour le compte d’Israël a annoncé jeudi qu’elle était prête à commencer dans quelques semaines la production de gaz sur le champ offshore controversé de Karish en Méditerranée orientale.

    Les Etats-Unis mènent depuis deux ans une médiation entre le Liban et Israël, pays voisins officiellement en état de guerre, pour parvenir à un accord visant à délimiter leur frontière maritime et lever les obstacles à la prospection d’hydrocarbures.

    Pour le Liban, le champ de Karish se trouve dans une partie des eaux contestées avec Israël. Mais pour Israël le champ est situé dans sa zone économique exclusive. (...)

    #IsraelLiban

  • Champ gazier de Karish : le Liban et Israël se préparent à la guerre
    Par Paul Khalifeh | Mardi 30 août 2022 | Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/decryptages/liban-israel-champ-gaz-karish-energie-crise-hezbollah

    Jamais depuis 2006 les risques de guerre entre le Liban et Israël n’ont été aussi élevés. Depuis que le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a menacé de recourir à la force pour empêcher Israël d’extraire unilatéralement du gaz des champs de la Méditerranée orientale, la diplomatie s’active ouvertement et en coulisses pour éviter un conflit aux conséquences incalculables.
    Liban-Israël : gros enjeux gaziers, risques de guerre limités
    Lire

    Le 13 juillet dernier, le leader chiite a, pour la première fois, explicitement menacé Israël d’une guerre s’il allait de l’avant dans ses plans consistant à commencer l’exploitation, début septembre, du champ gazier de Karish, situé à la lisière de la zone d’exclusivité économique libanaise (ZEE). (...)

    #IsraelLiban

  • Le Liban s’insurge de l’exploitation du champ gazier de Karish par Israël
    RFI | Publié le : 05/06/2022 | Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20220605-le-liban-s-insurge-de-l-exploitation-du-champ-gazier-de-karish-par-isra

    Le Liban a qualifié dimanche de « provocation » et d’« acte hostile » la décision d’Israël de commencer à exploiter le champ gazier de Karish, situé dans une zone maritime revendiquée par les deux pays techniquement en guerre depuis 1948.

    Les dirigeants libanais ont haussé le ton contre Israël ce dimanche 5 juin après l’arrivée dans le champ gazier maritime de Karish d’une unité flottante de production, de stockage et de déchargement.

    À la suite de concertations avec les hauts responsables politiques et militaires, le président Michel Aoun a rappelé dans un communiqué que « les négociations sur la délimitation de la frontière maritime sont toujours en cours ». Par conséquent, « toute activité ou opération dans la zone contestée constitue une provocation et un acte hostile ».

    Une zone disputée

    Le Premier ministre Nagib Mikati a de son côté accusé Israël de chercher à provoquer « une nouvelle crise » avec le Liban, en « empiétant sur ses ressources offshore » et en cherchant à « imposer un fait accompli ». « Cela est extrêmement dangereux et pourrait créer des tensions dont personne ne peut prévoir les répercussions », a prévenu le chef du gouvernement.

    Le Liban estime que le gisement de Karish se trouve dans une région disputée, alors qu’Israël assure qu’il se situe dans sa zone économique exclusive. Les deux pays négocient indirectement depuis des années sous l’égide des États-Unis pour délimiter leur frontière maritime. Mais les pourparlers ont été suspendus il y a plusieurs mois.

    #IsraelLiban

  • Le Liban pour cible
    Abdel Bari Atwan, 1er février 2022 | Publié le 1er février 2022 sur le site Rai al-Youm - Traduction : Jean-Marie Flémal, Charleroi pour la Palestine
    https://charleroi-pourlapalestine.be/index.php/2022/02/03/le-liban-pour-cible

    Le ministre intérimaire libanais de l’Information, Abbas al-Halabi, annonçait ce lundi le désamorçage de 17 réseaux d’espionnage gérés par l’État d’occupation israélien et l’arrestation de plus de 20 ressortissants libanais, palestiniens et syriens impliqués dans ces mêmes réseaux.

    C’est une importante réussite, pour les forces sécuritaires libanaises, surtout étant donné les circonstances politiques et économiques difficiles du pays. Cela confirme que, dans le même temps où d’autres gouvernements arabes peuvent se hâter à normaliser leurs relations avec Israël, ce dernier, pour le Liban, reste un occupant raciste et un ennemi.

    La mise au jour de ces réseaux et leur ampleur ne devraient pas constituer une surprise. Le Liban est une cible de premier choix pour Israël et ce pays est de toutes les conspirations en vue de semer au Liban une zizanie sectaire susceptible de le plonger dans une guerre civile. (...)

    #Israel #IsraelLiban

  • Le Liban annonce le démantèlement de 17 réseaux d’espionnage au profit d’Israël
    RFI - Publié le : 31/01/2022 - Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20220131-le-liban-annonce-le-d%C3%A9mant%C3%A8lement-de-17-r%C3%A9seaux-d-espion

    Le gouvernement libanais a annoncé ce lundi 31 janvier le démantèlement de 17 réseaux d’espionnage au profit d’Israël ces dernières semaines. Les deux pays, qui n’ont pas de relations diplomatiques, sont techniquement en guerre depuis 1948.

    Présentée par des sources de sécurité comme la plus grande opération de contre-espionnage contre des réseaux pro-israéliens menée au Liban, l’opération a permis l’arrestation de 21 suspects dans différentes régions du pays. (...)

    #Liban #IsraelLiban

  • Début le 14 octobre des pourparlers entre Israël et le Liban sur les frontières
    Par Le Figaro avec AFP - 8 octobre 2020
    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/debut-le-14-octobre-des-pourparlers-entre-israel-et-le-liban-sur-les-fronti

    (...) Dans un communiqué, le ministre israélien de l’Energie Yuval Steinitz a indiqué que les pourparlers débuteraient le « 14 octobre à la base de la Finul (Mission intérimaire de l’ONU au Liban) » à Naqoura, localité du sud du Liban située près de la frontière israélienne. La délégation israélienne sera composée de six membres dont Udi Adiri, directeur général du ministère de l’Energie, Reuven Azar, un conseiller diplomatique du Premier ministre Benjamin Netanyahu et le général de bridage Oren Setter, chef de la direction des Affaires stratégiques de l’armée.

    La démarcation des frontières maritimes entre les deux pays, toujours théoriquement en guerre, est liée aux projets d’exploration d’hydrocarbures en Méditerranée orientale. Les deux parties « ont intérêt à négocier calmement sans qu’il n’y ait d’incidents à la frontière », a déclaré récemment le général de brigade israélien Assaf Orion, alors que la frontière terrestre a été le théâtre ces derniers mois d’incidents sécuritaires.

    « Je crains toutefois que le Hezbollah (...) tente de frapper alors que ses partenaires politiques (libanais) aillent de l’avant avec ces pourparlers », a-t-il ajouté devant des journalistes. Le mouvement Hezbollah, ennemi juré d’Israël et poids lourd de la politique libanaise, a estimé que ces pourparlers ne représentaient ni une « réconciliation » ni une « normalisation » avec l’État hébreu. (...)

    #IsraelLiban #Frontières

    • Je crains toutefois que le Hezbollah (...) tente de frapper alors que ses partenaires politiques (libanais) aillent de l’avant avec ces pourparlers

      Je crains toutefois qu’Israël viole plusieurs fois par jour l’espace aérien libanais, souvent en rase-mottes, comme il fait de manière continue depuis… toujours, et que ses généraux et politiciens annoncent qu’ils vont commettre des crimes de guerre contre la population libanaise, etc.

  • Israël et le Liban prêts à négocier le tracé de leurs frontières maritimes
    Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
    Publié le : 02/10/2020
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20201001-isra%C3%ABl-et-le-liban-pr%C3%AAts-%C3%A0-n%C3%A9gocier-le-trac%C3%A9-l

    Après dix ans de pourparlers indirects sous l’égide des États-Unis, le Liban a annoncé ce jeudi 1er septembre un accord-cadre sur un mécanisme de négociations avec Israël au sujet du tracé des frontières maritimes. Israël a confirmé l’accord.

    Mandaté par les autorités libanaises et par le Hezbollah pour négocier ce dossier avec les États-Unis, le président du Parlement, Nabih Berri, a annoncé la nouvelle. Le Liban et Israël vont commencer des négociations sous l’égide des Nations unies, dès ce mois d’octobre, pour délimiter leurs frontières maritimes.

    Les enjeux sont très importants. Ils portent sur un litige entre le Liban et Israël, autour d’un triangle de 850 kilomètres carrés riche en hydrocarbure. Le tracé des frontières permettrait au Liban de commencer l’exploitation de ses ressources, à un moment où il est frappé par la pire crise économique et financière de son histoire.

    Les frontières terrestres dans un second temps

    Dans un second temps, les deux pays, techniquement en guerre depuis 1948, négocieront le tracé des frontières terrestres. Ce ne sera pas facile car le Liban revendique les fermes de Chebaa, occupées par Israël au carrefour des frontières libanaises, syriennes et israéliennes.

    Côté libanais, les négociations seront menées par des officiers et des spécialistes de l’armée libanaise, au QG de la Finul à Naqoura. Bien qu’assis autour d’une même table, Libanais et Israéliens ne s’adresseront pas directement la parole mais négocieront par le biais d’un représentant des Nations unies. Les États-Unis joueront le rôle de médiateur entre les deux pays.

    #Liban #IsraelLiban

  • Frontières maritimes : Les USA pousseraient à des négociations Israël-Liban
    Par Times of Israel Staff 20 septembre 2020
    https://fr.timesofisrael.com/frontieres-maritimes-les-usa-pousseraient-a-des-negociations-israe

    (...) Axios a expliqué que le secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires du Proche-Orient, David Schenker, s’était entretenu avec les responsables de Jérusalem et de Beyrouth, ces dernières semaines, pour tenter d’obtenir un résultat.

    Les officiels israéliens cités par Axios ont déclaré que l’un des désaccords portait sur les médiateurs susceptibles d’intervenir lors de ces pourparlers, le Liban cherchant à impliquer les Etats-Unis et les Nations unies tandis qu’Israël désire que l’ONU ne tienne aucun rôle actif au cours des futurs entretiens.

    Schenker a expliqué aux journalistes libanais, au début du mois, que des « progrès graduels » étaient réalisés, et il a ultérieurement dit au cours d’une visioconférence qui était organisée par le Brookings Institute que le « point de friction… est absurde ».

    Il n’est pas possible d’affirmer qu’il faisait référence, à ce moment-là, à la question de la médiation, comme Axios a pu le mentionner.

    Schenker a également dit en évoquant les incitations données au Liban que « nous parlons ici d’argent gratuit pour un pays actuellement en proie à une crise financière ».
    David Schenker, secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires du Proche-Orient à Beyrouth, au Liban, le 9 septembre 2019. (Crédit : Hussein Malla/AP)

    Mais un officiel israélien qui s’est entretenu avec le site d’information a confié : « Il y a des progrès. Nous constatons une volonté d’aller de l’avant du côté libanais pour régler ce point. Nous sommes prêts à lancer immédiatement les pourparlers et nous espérons qu’ils aboutiront avant la fin de l’année. » (...)

    #Liban #israelliban

  • Liban-Israël : des avancées sur le tracé des frontières
    RFI - 16/08/2020 - 17:18
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20200816-liban-israel-avanc%C3%A9es-frontieres-terrestres-maritimes-michel-aoun

    Le président libanais s’est abstenu de critiquer l’accord sur la normalisation des relations entre les Émirats arabes unis et Israël, un pays avec qui le Liban est techniquement en guerre depuis 1948. La position nuancée de Michel Aoun intervient alors que le numéro trois du département d’État américain, David Hale, se trouvait à Beyrouth pour évoquer, entre autres, le tracé des frontières entre le Liban et Israël. (...)

    #IsraelLiban #Liban

    • Au regard de « l’indépendance » de RFI et de BFMTV, je me demande si on n’est pas en train de vendre une solution au problème libanais du type : "on vous aide, on file de la thune, mais après un accord avec Israël. Tout de même, il y a de sérieux obstacles...

      Ces pourparlers se déroulent d’une manière indirecte à travers une médiation américaine, conduite par le secrétaire d’État adjoint pour les Affaires politiques, David Hale, arrivé à Beyrouth jeudi soir. Sur ce dossier, les enjeux sont importants car le litige entre le Liban et Israël porte essentiellement sur une zone maritime riche en hydrocarbures.

      Un des objectifs de la visite de David Hale à Beyrouth était notamment de finaliser les détails d’un accord pour régler ce contentieux. Israël aurait fait des concessions au niveau du tracé terrestre et, en contrepartie, le Liban aurait revu à la baisse ses exigences en mer.

      Autre point, Michel Aoun a aussi évité de critiquer la normalisation des relations entre les Émirats arabes unis et Israël, contrairement à son allié le chef du Hezbollah. « C’est une trahison de Jérusalem et du peuple palestinien. C’est un coup de couteau dans le dos », avait réagi vendredi Hassan Nasrallah.

  • Israel tells Hezbollah it didn’t intend to kill militant in airstrike, report says
    Jack Khoury | Jul. 25, 2020 | 7:41 PM - Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-israel-tells-hezbollah-it-didn-t-intend-to-kill-one-of-their-fight

    Israel sent a message to Hezbollah saying that it did not intend to kill one of the organization’s fighters in an airstrike in Syria last week, the Lebanese Al-Mayadeen channel reported Saturday night.

    In the message, reportedly sent to the Lebanese Shi’ite militant group through the United Nations, Israel told Hezbollah that it was unaware that its fighters were in the area.

    The report also said that Israel sent a warning against any military response from Hezbollah over the strike. The organization confirmed that it had received the messages but denied any Israeli threats, the report said.

    Israel’s military has taken a number of steps to increase preparedness after Hezbollah said in a statement this week that one of its fighters was killed in a Monday night strike blamed on Israel near Damascus International Airport, south of the Syrian capital.

    In several towns in Israel’s north, roads that pass through exposed areas will be closed and alternate routes will be made available. The military has also decided to reduce the number of troops and equipment at the front lines and erect more effective defenses in case of an attack.

    Israeli airstrikes that hit military posts south of Damascus on Monday killed five foreign fighters and wounded several others, a Syrian war monitor reported. The airstrikes came in response to an earlier attack on the Golan Heights which it attributed to Syrian forces.

    Hezbollah said the fighter’s family, who is from Aaitit in southern Lebanon, will not be receiving condolences due to the coronavirus, adding that a date will be set later for the funeral.

    #IsraelLiban

    • As tensions soar in north, Netanyahu warns Syria and Lebanon against attacks
      Amid friction with Hezbollah, PM says neighboring countries will bear responsibility for any assault; ministers instructed to make no comments on situation
      By TOI staff 26 juillet 2020 , 5:44 pm
      https://www.timesofisrael.com/as-tensions-soar-in-north-netanyahu-warns-syria-and-lebanon-against-a

      Prime Minister Benjamin Netanyahu warned Sunday that Syria and Lebanon would bear responsibility for any attack against Israel emanating from their territories, amid heightened tensions between the Jewish state and the Iran-backed Hezbollah terror group along the northern border.

      Speaking at the opening of the weekly cabinet meeting, Netanyahu said Israel had a “consistent policy to not allow Iran to entrench militarily on our northern border.

      “Lebanon and Syria bear responsibility for any attack from their territory against Israel,” he said. “We will not allow anyone to upend our security or threaten our citizens; we won’t tolerate an attack on our forces… The IDF is prepared to respond to any threat.” (...)

  • « Je n’oublierai jamais ce jour-là » : il y a vingt ans, le retrait humiliant d’Israël du Sud-Liban
    Par Jenny Saleh – Khiam, SUD-LIBAN - Lundi 25 mai 2020 | Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/sud-liban-israel-retrait-2000-khiam-hezbollah

    Le 25 mai 2000, 22 ans après sa première invasion du Sud-Liban, Israël quitte sans gloire la bande frontalière qu’elle occupait aux côtés de sa milice supplétive, l’Armée du Liban-Sud. Retour sur un événement qui a changé la donne dans la région

    #IsraelLiban

  • Au Liban, le retour d’un ancien collabo d’Israël ouvre les plaies du passé
    Par Paul Khalifeh | Mardi 1 octobre 2019 | Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/au-liban-le-retour-dun-ancien-collabo-disrael-ouvre-les-plaies-du-pas

    Le retour à Beyrouth d’Amer Fakhoury, 56 ans, le 11 septembre dernier, a pris la tournure d’un véritable scandale. Cet ancien chef de la tristement célèbre prison de Khyam (Liban-Sud), administrée par les auxiliaires libanais d’Israël, l’Armée du Liban-Sud (ALS), n’avait plus mis les pieds au Liban depuis l’an 2000.

    Cette année-là, il s’était enfui en Israël avec des milliers d’autres membres de la milice supplétive d’Israël et de leurs familles dans le sillage du retrait humiliant de l’armée israélienne. Après avoir vécu quelques temps en Israël, il s’est rendu aux États-Unis, où il a ouvert un restaurant.

    Amer Fakhoury a été jugé par contumace en 1996 et condamné à quinze ans de prison pour collaboration avec Israël.

    Conformément au code de procédure pénale libanais, la prescription de cette condamnation a été atteinte en 2016, ce qui l’aurait encouragé à rentrer à Beyrouth, en estimant qu’il ne serait pas inquiété. Mais il n’aurait jamais osé remettre les pieds dans la capitale libanaise s’il n’avait reçu l’assurance qu’il ne courrait aucun risque.

    D’ailleurs, il a été accueilli à l’aéroport par un général de l’armée libanaise, qui l’a accompagné au siège de la Sûreté générale pour l’aider à réaliser les formalités nécessaires.

    L’affaire aurait pu en rester là, si le retour de cet ancien agent n’avait pas été ébruité, provoquant une forte émotion dans le pays. « Quelqu’un a essayé d’introduire Amer Fakhoury au Liban par des moyens détournés », affirme à Middle East Eye Ahmad Taleb, président de l’Association des anciens détenus dans les prisons israéliennes. (...)

    #Liban #israel #IsraelLiban

  • L’armée israélienne installe pour la première fois des mitrailleuses à la frontière avec le Liban
    26/09/2019 - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1188211/larmee-israelienne-installe-pour-la-premiere-fois-des-mitrailleuses-a
    https://s.olj.me/storage/attachments/1189/5d8c8a7dab990_798894.jpg/r/800

    L’armée israélienne a installé, pour la première fois, des mitrailleuses dernier cri, utilisées pour lancer des sous-munitions, sur l’ensemble de ses postes avancés entre les fermes de Chebaa et le village de Ghajar, rapporte jeudi l’Agence nationale d’information (Ani, officielle). Ces mitrailleuses peuvent être utilisées de jour comme de nuit, précise l’Ani.

    Ces derniers mois, Israël a considérablement renforcé le dispositif militaire à sa frontière avec le Liban.

    #IsraelLiban

  • Le Liban dévoile deux drones envoyés « par Israël » sur un fief du Hezbollah
    Par AFP - 9 septembre 2019
    http://www.45enord.ca/2019/09/le-liban-devoile-deux-drones-envoyes-par-israel-sur-un-fief-du-hezbollah

    Le Liban a exposé jeudi deux drones qu’Israël est accusé d’avoir envoyés sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion du mouvement chiite du Hezbollah, détaillant le modus operandi de l’opération.

    Evoquant une « fabrication militaire avancée », le ministre de la Défense Elias Bou Saab a dit ne pas être en mesure d’identifier la cible exacte de « l’agression », qui s’est déroulée peu avant l’aube le 25 août. (...)

    #IsraelLiban

  • Terrorisme israélien : le Hezbollah prépare ses représailles !
    Abdel Bari Atwan – 27 août 2019 – Raï al-Yaoum – Traduction : Chronique de Palestine – Lotfallah
    http://www.chroniquepalestine.com/terrorismeisraelien-hezbollah-prepare-represailles

    Netanyahu pourrait bien regretter d’avoir enfreint les règles d’engagement au Liban.

    Il ne fait aucun doute que le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tiendra sa promesse de se venger du récent raid de drones israélien sur le sud de Beyrouth. La seule question est de savoir comment, quand, et quelles en seront les conséquences.

    Les dirigeants israéliens en sont bien conscients et malgré leur bravade de façade, se préparent à la frappe imminente de représailles, plaçant leurs forces en alerte maximale.

    Il n’y a rien de nouveau concernant des avions de guerre ou des navires de guerre israéliens violant l’espace aérien ou les eaux territoriales du Liban. Ils le font depuis des décennies et, ces dernières années, ont régulièrement utilisé l’espace aérien libanais pour lancer des tirs de missiles contre des cibles à l’intérieur de la Syrie, y compris sur des convois d’armes du Hezbollah.

    Mais la dernière attaque était différente. En envoyant deux drones dans la capitale libanaise dans le but d’assassiner un haut responsable non identifié du Hezbollah, les Israéliens ont enfreint les règles d’engagement convenues de longue date entre les deux parties. C’est, à notre avis, la raison pour laquelle Nasrallah a eu une perception aussi grave de l’incident et a jugé impérative une forte réaction.

    La cible visée par les drones aurait été une personnalité du Hezbollah dont l’identité n’a pas été révélée. Cette opération faisait partie d’une campagne d’assassinats ciblés dont la liste pourrait être étendue à n’importe qui. (...)

    #LIban #Nasrallah #Hezbollah #IsraelLiban

  • L’armée libanaise a tiré en direction d’un drone israélien
    Publié le 28/08/2019 à 19:58
    http://www.rfi.fr/contenu/ticker/armee-libanaise-tire-direction-drone-israelien

    L’armée libanaise a tiré ce mercredi 28 août contre un drone israélien survolant une région du sud du Liban, en « violation de l’espace aérien libanais », a indiqué l’agence nationale d’information ANI. Une telle intervention de l’armée libanaise est très rare. Une source militaire libanaise a confirmé à l’AFP ces tirs qui interviennent après une attaque dimanche par un drone d’un fief du Hezbollah à Beyrouth attribuée à Israël par l’État et le Hezbollah libanais.

    #Liban #IsraelLiban

    • L’armée libanaise tire sur deux drones israéliens au Sud-Liban
      Reuters – 28 août 2019– (Lisa Barrington ; Jean-Stéphane Brosse pour le service français)
      https://fr.news.yahoo.com/larm%C3%A9e-libanaise-tire-deux-drones-183311249.html

      BEYROUTH (Reuters) - Trois drones israéliens ont pénétré mercredi soir dans l’espace aérien libanais et deux d’entre eux ont été visés par des tirs de l’armée libanaise, a dit celle-ci dans un communiqué. Les trois engins sans pilote ont ensuite rebroussé chemin vers l’Etat hébreu, a ajouté l’armée libanaise.
      L’armée de l’air israélienne effectue régulièrement des incursions dans l’espace aérien libanais mais il est rare que l’armée libanaise, qui ne possède pas de systèmes de défense antiaérienne, vise des engins de l’Etat hébreu. Les soldats libanais ont tiré au fusil automatique M16, a dit une source proche des services de sécurité libanais.
      Dans un communiqué, l’armée israélienne a dit avoir observé des tirs en provenance du territoire libanais vers un espace aérien où opéraient des drones militaires israéliens. « Les drones ont achevé leur mission et aucun dommage n’a été signalé », a ajouté l’armée.
      Deux drones israéliens ont été détruits dans la nuit de samedi à dimanche dans les faubourgs sud de Beyrouth contrôlés par le Hezbollah, provoquant quelques dégâts, selon l’armée libanaise.
      Le président libanais Michel Aoun a averti lundi que son pays avait le droit de se défendre face à ces incursions.
      Israël frappe régulièrement les positions du mouvement soutenu par l’Iran en Syrie mais n’a plus livré de conflit ouvert sur le territoire libanais depuis 2006.

  • Deux drones israéliens tombent dans la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1183900/deux-drones-tombent-dans-la-banlieue-sud-de-beyrouth-bastion-du-hezbo
    https://s.olj.me/storage/attachments/1184/5d621779894d5_E1545A3BB0AF418181062C03C271D7B2_321691.jpeg/r/800

    Un drone israélien est tombé dimanche peu avant l’aube et un second a explosé peu avant de toucher sol dans la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, selon l’armée libanaise. L’incident, le premier de ce type en plus de 10 ans, intervient quelques heures après des frappes israéliennes en Syrie voisine.

    • tombent tout seuls ? …
      et l’un d’entre eux détone à quelques dizaine de mètres du centre des médias du Hezbollah

      Un drone israélien est tombé dimanche peu avant l’aube et un second a explosé peu avant de toucher sol dans la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, selon l’armée libanaise. L’incident, le premier de ce type en plus de 10 ans, intervient quelques heures après des frappes israéliennes en Syrie voisine.

      « Le 25 août 2019, à 2h30 du matin, deux drones appartenant à l’ennemi israélien ont violé l’espace aérien libanais au dessus du secteur de Mouawad, dans le quartier al-Madi, situé dans la banlieue sud de Beyrouth. Le premier est tombé et le deuxième a explosé dans les airs, ne causant que des dégâts matériels », indique un communiqué de l’armée libanaise publié dans la matinée. La police militaire s’est saisie de l’enquête sur cet incident. Le commissaire du gouvernement auprès du tribunal militaire, Peter Germanos, s’est rendu sur les lieux en fin de matinée.

      Un correspondant de l’AFP avait entendu une grande explosion dans la banlieue sud. A quelques dizaines de mètres seulement d’un centre médiatique du Hezbollah, il a ensuite pu voir les forces de sécurité libanaises former un cordon autour d’un périmètre pour empêcher des centaines de résidents de s’approcher. Les services de sécurité du Hezbollah étaient également présents.

      Le responsable des relations média du Hezbollah, Mohammad Afif, a indiqué à l’Agence nationale d"information (Ani, officielle) que le deuxième drone, « chargé d’explosifs », a détoné, causant d’"importants dommages" dans le centre des médias du Hezbollah. Selon l’Ani, trois personnes y ont été légèrement blessées. « Le premier drone est en possession du Hezbollah qui va l’analyser », a ajouté M. Afif, affirmant que l’appareil n’avait pas été abattu par le parti chiite.

  • L’armée israélienne achemine des foreuses à la frontière avec le Liban - 24/06/2019 - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1176094/larmee-israelienne-achemine-des-foreuses-a-la-frontiere-avec-le-liban
    https://s.olj.me/storage/attachments/1177/5d10750071b20_516790.jpg/r/800

    L’armée israélienne a acheminé lundi matin des quatre foreuses à la frontière avec le Liban, près des positions militaires installées au niveau du kibboutz de Misgav Am, alors que l’armée libanaise et la Force intérimaire de l’ONU au Liban-Sud se sont déployées, du côté libanais de la frontière, rapporte l’Agence nationale d’Information (Ani, officielle).
    Depuis plusieurs mois, Israël renforce sa frontière avec le Liban, notamment en élargissant le mur en béton longeant la frontière et en installant des miradors et des équipements de surveillance.

    #IsraelLiban

  • Israël admet avoir coulé un bateau de réfugiés libanais en 1982 - médias
    The Times of Israël - 23 novembre 2018
    https://fr.timesofisrael.com/israel-admet-avoir-coule-un-bateau-de-refugies-libanais-en-1982-me

    La Dixième chaîne israélienne a révélé jeudi, après la levée de la censure militaire sur un incident remontant à 1982, qu’un sous-marin israélien a accidentellement coulé un bateau qui transportait des réfugiés et des ouvriers étrangers au large de la côte libanaise pendant la guerre du Liban de 1982, tuant 25 personnes.

    Selon la Dixième chaîne, l’incident est survenu au large de Tripoli, au nord du Liban, au mois de juin 1982, alors qu’Israël avait imposé un blocus naval au pays.

    #IsraelLiban

    • Un ancien officier de Tsahal ayant enquêté sur l’incident a confié à la Dixième chaîne ne pas partager le même point de vue.

      Le colonel à la retraite Mike Eldar, qui était à la tête de la 11e flotille pendant la guerre, a estimé que le capitaine avait agi de manière inappropriée et il a accusé Israël de tenter de couvrir l’incident.

      « Nous avons des règles d’engagement même dans les sous-marins : on n’ouvre pas le feu sur un bateau simplement parce qu’on a peut-être des soupçons », a-t-il déclaré à la Dixième chaîne, ajoutant que le sous-marin aurait dû faire venir un bateau de patrouille pour enquêter.

      Eldar a expliqué qu’il avait tenté, depuis des décennies, à faire reconnaître cet incident par Israël.