#ixelles

  • Les cas de délation en hausse : deux Ixelloises dénoncées par un voisin qui imaginait un salon de coiffure clandestin
    https://bx1.be/ixelles/les-cas-de-delation-en-hausse-deux-ixelloises-denoncees-par-un-voisin-qui-imaginait-un-salon-de-coiffure-clandestin/?theme=classic

    Une Ixelloise, en train de se faire tresser les cheveux par sa fille, a été dénoncée le 14 décembre dernier à la police par un voisin car ce dernier pensait qu’il s’agissait… d’un salon de coiffure clandestin.

    https://www.youtube.com/watch?v=pWJDmhA8iKQ

    L’histoire racontée par Didier est étonnante : cet Ixellois a été surpris par la police de Bruxelles Capitale-Ixelles le 14 décembre dernier. Une dizaine d’agents de police sont venus frapper à sa porte car un voisin affirmait qu’un salon de coiffure clandestin était installé chez lui… Le voisin avait en fait aperçu la fille de Didier en train de tresser les cheveux de sa maman aux abords de la fenêtre ouverte de la maison. Il avait pris une photo et crié à Didier et sa famille qu’il allait appeler la police, explique le père de famille.

    Finalement, Didier et sa famille n’ont pas été mis à l’amende vu qu’ils étaient… dans leur foyer, et sans salon de coiffure dans leur habitation.

    Ce cas est loin d’être isolé selon la police, qui confirme que les cas de délation suite aux mesures sanitaires sont en hausse. Le plus souvent pour des rassemblements de personnes ou pour du tapage nocturne.#

    #Covid #Délation #Police #Coronavirus #Ixelles une commune bruxellois a fort taux de #migrants_fiscaux Là bas, leur #petain se nomme #léon_degrelle

    • Coronavirus, restrictions et dénonciations : "On reçoit même des courriers anonymes réalisés avec lettres découpées dans les journaux
      https://www.rtbf.be/info/societe/detail_covid-19-et-restrictions-le-belge-denonce-ses-voisins?id=10659230

      « C’est une horreur, on en reçoit des dizaines par jour » . Au bout du téléphone, David Quinaux, porte-parole de la zone de police de Charleroi confie son étonnement et son désarroi. Depuis le premier confinement et les premières mesures sanitaires liées au coronavirus, au printemps 2020, le commissariat doit gérer une quantité invraisemblable de dénonciations : « Depuis le mois de mars, cela n’arrête pas. Les gens dénoncent tout et n’importe quoi. On reçoit même des courriers anonymes réalisés avec lettres découpées dans les journaux et collées sur une feuille de papier. C’est du genre : dans le studio du troisième étage, à côté de l’appartement d’une cousine, il y a une dame qui coiffe. Si en 40, on avait dénoncé comme ça, il ne resterait plus beaucoup de coiffeurs aujourd’hui ! ».
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      Comme toujours, mais peut-être un peu plus souvent ces temps-ci, la police de Bruxelles-Capitale reçoit des courriers du genre : « Vous devriez aller voir à cette adresse… ». Les dénonciations pour des métiers de contact exercés dans la clandestinité ? Ce n’est pas le fait le plus marquant. Mais ce qui est certain, c’est que ce deuxième confinement est beaucoup moins calme que le premier. « Pendant les mois de mars et avril, les gens étaient un peu tétanisés, explique Olivier Slosse. Ils avaient très peur de contracter le virus. Cette fois-ci c’est différent. Je ne sais pas si c’est par habitude ou par lassitude, mais la population est moins prête à respecter les mesures sanitaires. A la rue Neuve ou à la Grand-Place, si nos stewards n’intervenaient pas, les gens seraient les uns contre les autres ».
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      A la campagne aussi, on dénonce
      Dans la zone rurale de Libramont, la police est habituée aux conflits de voisinage. Mais depuis que le virus est entré chez nous, avec ses deux confinements, il y a plus d’appels. Combien ? « C’est difficile à quantifier, nous dit un inspecteur de police qui préfère rester anonyme, ça dépend des jours. Ce week-end, nous avons quatre appels. Ce sont souvent des voisins qui nous disent qu’il y a une fête de famille avec trop de monde, ou des personnes qui habitent près d’un gîte, où là aussi il y a du monde. Avec la fin de l’année, cela ne va pas s’arrêter, je pense que nous allons avoir de plus en plus d’appels ».

      A la police de Libramont, il y a du travail, beaucoup de travail depuis le Covid. « On n’arrête pas, ajoute cet inspecteur, on a trois patrouilles en permanence par jour et elles ne chôment pas. Beaucoup de gens dénoncent parce qu’ils sont frustrés quand ils voient ce que les autres se permettent. Les relations avec les citoyens sont aussi beaucoup plus tendues. D’un côté, il y a les gens qui dénoncent, de l’autre, il y a ceux qui nous disent lors des contrôles : vous n’avez rien d’autre à faire ? ».

      #dénonciations #lettres_anonymes

  • #Bruxelles : Récit de l’expulsion de l’Orme, rendez-vous contre la loi anti-squat
    https://fr.squat.net/2017/10/04/bruxelles-recit-de-lexpulsion-de-lorme-rendez-vous-contre-la-loi-anti-squa

    Suite à l’expulsion de L’Orme, #37_rue_de_l’Orme à #Etterbeek Rendez-vous demain jeudi 5 octobre à 18H au 123, pour une AG urgente pour la situation du mouvement squat à l’heure actuelle. Nous avons besoin dans ces moments là d’être fort-es, nombreuses et uni-es. Vers 14h30 une personne s’apprêtait à rentrer dans la maison […]

    #123_Rue_Royale #87_rue_Wayenberg #Belgique #Collectif_d'opposition_à_la_loi_anti-squat #expulsion #Ixelles #La_Pelooz #lois

  • Comment le Parlement européen finance un parti d’extrême-droite à Bruxelles RTBF Véronique Fievet 21 Septembre
    http://www.rtbf.be/info/regions/detail_comment-le-parlement-europeen-finance-un-parti-d-extreme-droite-a-bruxel

    C ’était jusqu’ici une façade discrète au rez de chaussée d’un immeuble du square de Meeus, à Ixelles. Ces tags la désigne désormais comme les locaux d’un parti d’extrême-droite, en plein cœur du quartier européen. Nous avons voulu savoir qui se trouvait derrière les lettres APL mentionnées sur la sonnette.

    Derrière ces trois lettres, on découvre d’abord une très rassurante « Alliance pour la Paix et la Liberté ». L’APL (APF en anglais) est officiellement depuis 2015, un parti européen reconnu. Dans ses statuts, l’Alliance pour la Paix et la Liberté plaide pour une Europe des Nations, nourrie de valeurs chrétiennes. Elle affirme défendre la liberté, la démocratie et les droits humains fondamentaux. Rien à redire jusque là, mais deux « clics » sur la composition de l’équipe dirigeante ont de quoi surprendre. Le président de l’APL, Roberto Fiore n’est autre que le leader de Forza Nuova, un petit parti italien ouvertement néo-fasciste. 

    A ses côtés, on trouve un député européen du parti néo-nazi grec, Aube dorée, ou encore Jens Pühse du parti allemand d’extrême-droite NPD. Un Belge figure également dans l’équipe de l’APL. Il s’agit d’Hervé Van Laethem, fondateur et leader du groupuscule belge néo-nazi « Nation ». Cet ancien militaire a été condamné à plusieurs reprises pour des actes racistes ou des actions violentes.
    600 000 euros de subsides du parlement européen en 2016

    Quelque soit l’idéologie réellement véhiculée par l’APL, sa reconnaissance comme parti européen lui ouvre le droit à un financement de la part du parlement européen. En 2016, un montant de 400 000 euros a été accordé à l’Alliance et 197 625 euros à la fondation « Europa Terra Nostra » qui lui est adossée. Soit au total, un montant de près de 600 000 euros.

    Avec cet argent, l’Alliance peut financer des « voyages d’études » en « pays ami », comme en Russie ou en Syrie, organiser des conférences néo-nazies ou louer des locaux. Des activités qui lui assureront une réelle visibilité et ce coup de pouce ne manque pas de poser question, même si pour Manuel Abramowicz, animateur du site « RésistanceS » et spécialiste de l’extrême-droite, il n’y a là rien d’illégal. « On peut déplorer le financement d’un parti d’extrême-droite par le parlement européen, on peut trouver cela scandaleux, cela peut même créer des polémiques mais à l’heure actuelle, ils ont le droit de recevoir ces subsides ».

    Les contrôles sur l’affectation des fonds auront bien lieu mais plus tard. Ils seront réalisés par une société d’audit externe et validés par le parlement européen en juin 2017. Si les activités financées s’avéraient finalement incompatibles avec les principes européens, l’Alliance pour la Paix et la Liberté pourrait se voir réclamer les sommes indûment perçues. 
    Mais au sein du parlement, certains s’insurgent contre la facilité avec laquelle les subsides sont octroyés. Plusieurs députés voudraient que soit mis un terme à la possibilité de soutenir financièrement les ennemis de l’Europe et leur incitation au racisme et au fascisme.

    De nouveaux dispositifs devraient entrer en vigueur en 2017. Ils devraient, en principe, empêcher les partis qui ne respectent pas les valeurs européennes, de s’en approprier les fonds.

    #APL #APF #extreme_droite #Ixelles #europe_des_nations #aube_dorée #forza_nuova #néo_nazis #parlement_européen #union_européenne

  • #Bruxelles : Non au local nazi au square de Meeûs 22
    http://lahorde.samizdat.net/2016/09/19/bruxelles-non-au-local-nazi-au-square-de-meeus-22

    Lu sur le site de Bruxelles Zone Antifasciste : Une alliance européenne de partis nationalistes, #Alliance_for_Peace_and_Freedom, vient d’ouvrir un local à Ixelles (22 Square de Meeûs). Cette alliance regroupe ce que l’Europe connaît de pire en termes de nostalgiques du fascisme et du nazisme. Les organisations qui composent l’APF, Aube Dorée [&hellip

    #International #Non_classé

    • Comment le Parlement européen finance un parti d’extrême-droite à Bruxelles RTBF Véronique Fievet 21 Septembre
      http://www.rtbf.be/info/regions/detail_comment-le-parlement-europeen-finance-un-parti-d-extreme-droite-a-bruxel

      C’était jusqu’ici une façade discrète au rez de chaussée d’un immeuble du square de Meeus, à Ixelles. Ces tags la désigne désormais comme les locaux d’un parti d’extrême-droite, en plein cœur du quartier européen. Nous avons voulu savoir qui se trouvait derrière les lettres APL mentionnées sur la sonnette.

      Derrière ces trois lettres, on découvre d’abord une très rassurante « Alliance pour la Paix et la Liberté ». L’APL (APF en anglais) est officiellement depuis 2015, un parti européen reconnu. Dans ses statuts, l’Alliance pour la Paix et la Liberté plaide pour une Europe des Nations, nourrie de valeurs chrétiennes. Elle affirme défendre la liberté, la démocratie et les droits humains fondamentaux. Rien à redire jusque là, mais deux « clics » sur la composition de l’équipe dirigeante ont de quoi surprendre. Le président de l’APL, Roberto Fiore n’est autre que le leader de Forza Nuova, un petit parti italien ouvertement néo-fasciste. A ses côtés, on trouve un député européen du parti néo-nazi grec, Aube dorée, ou encore Jens Pühse du parti allemand d’extrême-droite NPD. Un Belge figure également dans l’équipe de l’APL. Il s’agit d’Hervé Van Laethem, fondateur et leader du groupuscule belge néo-nazi « Nation ».

      Cet ancien militaire a été condamné à plusieurs reprises pour des actes racistes ou des actions violentes.
      600 000 euros de subsides du parlement européen en 2016
      Quelque soit l’idéologie réellement véhiculée par l’APL, sa reconnaissance comme parti européen lui ouvre le droit à un financement de la part du parlement européen. En 2016, un montant de 400 000 euros a été accordé à l’Alliance et 197 625 euros à la fondation « Europa Terra Nostra » qui lui est adossée. Soit au total, un montant de près de 600 000 euros.

      Avec cet argent, l’Alliance peut financer des « voyages d’études » en « pays ami », comme en Russie ou en Syrie, organiser des conférences néo-nazies ou louer des locaux. Des activités qui lui assureront une réelle visibilité et ce coup de pouce ne manque pas de poser question, même si pour Manuel Abramowicz, animateur du site « RésistanceS » et spécialiste de l’extrême-droite, il n’y a là rien d’illégal. « On peut déplorer le financement d’un parti d’extrême-droite par le parlement européen, on peut trouver cela scandaleux, cela peut même créer des polémiques mais à l’heure actuelle, ils ont le droit de recevoir ces subsides ».

      Les contrôles sur l’affectation des fonds auront bien lieu mais plus tard. Ils seront réalisés par une société d’audit externe et validés par le parlement européen en juin 2017. Si les activités financées s’avéraient finalement incompatibles avec les principes européens, l’Alliance pour la Paix et la Liberté pourrait se voir réclamer les sommes indûment perçues. 

      Mais au sein du parlement, certains s’insurgent contre la facilité avec laquelle les subsides sont octroyés. Plusieurs députés voudraient que soit mis un terme à la possibilité de soutenir financièrement les ennemis de l’Europe et leur incitation au racisme et au fascisme.

      De nouveaux dispositifs devraient entrer en vigueur en 2017. Ils devraient, en principe, empêcher les partis qui ne respectent pas les valeurs européennes, de s’en approprier les fonds.

      #APL #APF #extreme_droite #Ixelles #europe_des_nations #aube_dorée #forza_nuova #néo_nazis #parlement_européen #union_européenne