• Nintendo now provides benefits for Japanese employees in same-sex marriages
    https://www.gamedeveloper.com/culture/nintendo-now-provides-benefits-for-japanese-employees-in-same-sex-mar

    In March 2021, [Nintendo] began providing equal benefits for employees in domestic partnerships with a person of the same sex, meaning that said employees now receive the same support that are given to employees in heterosexual marriages.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #nintendo #japon #homosexualité #hétérosexualité #égalité #couples #ressources_humaines #lgbt #shuntaro_furukawa

  • Assassinat de Shinzo Abe : le studio de jeux vidéo Kojima Productions condamne les « fausses informations » accusant son président
    https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/assassinat-de-shinzo-abe-le-studio-de-jeux-video-kojima-productions-con

    Après l’assassinat de l’ancien Premier ministre japonais Shinzo Abe, plusieurs fausses informations ont circulé. L’une d’elles identifiait l’auteur des tirs comme Hideo Kojima, célèbre créateur de jeux vidéo comme Metal Gear Solid ou encore Death Stranding. Elle a notamment été reprise par Damien Rieu, ex-candidat du parti d’extrême droite Reconquête ! aux élections législatives, vendredi 8 juillet.

    Dans un tweet désormais supprimé, Damien Rieu a répondu à la députée LFI Clémentine Autain, qui réagissait à la mort de Shinzo Abe. "L’extrême gauche tue", avait écrit Damien Rieu, avec des photos de Hideo Kojima posant avec des photos du Che Guevara. L’élue insoumise a alors estimé qu’il était « en roue libre » et en « plein délire raciste ».

    Hideo Kojima Misidentified As Shinzo Abe Assassin By News Media
    https://kotaku.com/shinzo-abe-assassin-killer-kojima-greek-news-confusion-1849157839

    Earlier today, former Japanese Prime Minister Shinzo Abe was shockingly assassinated. Then the internet did its usual shitty thing of making bad jokes out of current events, and that eventually led to a news station in Greece misidentifying famous game developer Hideo Kojima as the assassin.

    Shortly after today’s assassination, some shitty people in a dank corner of the internet joked that Abe’s suspected killer looked like Kojima. Eventually, this reached Twitter, where far-right French politician Damien Rieu—perhaps not understanding that it was a joke—retweeted images of Kojima with a comment that translates to “The extreme left kills,” helping spread it more. While Rieu did eventually delete the tweets, it seems the damage was already done and might have helped mislead at least one news station in Greece that covered the assassination.

    KOJIMA PRODUCTIONS (Eng) sur Twitter :
    https://twitter.com/KojiPro2015_EN/status/1545751079685484544

    #KojimaProductions strongly condemns the spread of fake news and rumors that convey false information. We do not tolerate such libel and will consider taking legal action in some cases.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #faitsdivers #assassinat #shinzo_abe #japon #tetsuya_yamagami #désinformaton #mésinformation #fausses_informations #fake_news #mauvaise_blague #mdr #blague #confusion #kojima_productions #hideo_kojima #damien_rieu #jeu_vidéo_metal_gear_solid #jeu_vidéo_death_stranding #france #grèce #extrême_gauche #extrême_droite #politique #télévision #justice

  • Fascination Shibuya : Portraits arrachés à la ville flux
    http://liminaire.fr/derives/article/fascination-shibuya

    https://youtu.be/iU7TEzhqDYI

    J’avance. Je ne vois rien. La musique des immeubles avec leurs publicités aux images obsédantes et répétitives, lumières clignotantes, signes enchevêtrant, et ce bruit inouï qui se mêle aux sons de la circulation, des métros aériens, de la gare toute proche, et des avions dans le ciel. Une jeune femme dans un long manteau vert kaki qui porte une besace de couleur bleu, la lanière en cuir au creux de son bras replié, dans le pli du coude, la main serrée sur son téléphone portable tout contre son cœur. J’avance. Je ne peux pas regarder les immeubles qui entourent le carrefour et traverser sans risquer de me heurter à l’un des passants qui vient en sens inverse. Une femme brune, lunettes aux fines montures, vêtue d’une robe en jean, d’une veste en laine côtelée bleu marine, elle porte son sac à dos noir sur sa poitrine, elle fouille à l’intérieur pour en sortir un titre de transport sans y jeter le moindre regard, la force de l’habitude. J’avance. Les regards sont fuyants. Le pas pressé. (...) #Journal / #Vidéo, #Architecture, #Écriture, #Sons, #Tokyo, #Japon, #Shibuya, #Paysage, #Ville, #Visages, #Regard, #Dérive, #Ciel, #Voyage, (...)

  • Covid-19 : le Japon rouvre frileusement ses frontières aux visiteurs étrangers
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/06/13/covid-19-le-japon-rouvre-frileusement-ses-frontieres-aux-visiteurs-etrangers

    Covid-19 : le Japon rouvre frileusement ses frontières aux visiteurs étrangers
    Depuis le 10 juin, le Japon accepte à nouveau des groupes de touristes étrangers, mais placés sous haute surveillance.
    Par Philippe Pons(Tokyo, correspondant)
    Publié aujourd’hui à 10h53, mis à jour à 13h47
    Après deux ans de fermeture pour enrayer la contamination par le Covid-19 – dont une période particulièrement sévère en restrictions à la suite de l’apparition du variant Omicron, en octobre 2021 –, le Japon met partiellement fin à un isolement qui le plaçait à la traîne des autres pays du G7 et le faisait figurer parmi les dernières destinations fermées. Il envisage d’autoriser l’entrée dans l’archipel de 30 000 visiteurs par jour (actuellement 20 000). Avant la pandémie, on comptait en moyenne 100 000 arrivées quotidiennes sur le sol japonais.Les nouvelles mesures, en vigueur depuis le 10 juin, s’appliquent aux touristes voyageant en groupe et aux membres de famille de résidents étrangers en cas de « circonstances exceptionnelles », y compris s’ils sont pacsés ou conjoints non mariés. Mais cette procédure est d’une rare complexité, sinon dissuasive. Depuis le 1er mars, le Japon délivre, en outre, à nouveau des visas aux étudiants et aux personnes désirant se rendre dans l’archipel pour des raisons professionnelles. Mais les touristes individuels ne sont toujours pas autorisés.Aux termes des nouvelles dispositions, les visiteurs étrangers sont classés en trois catégories – bleu, jaune et rouge – en fonction des risques de contamination que présente le pays dont ils sont ressortissants. Ceux qui appartiennent au groupe des 98 pays classé en bleu où le risque de contamination est faible – dont fait partie la France – sont exemptés d’un test à l’arrivée (exigé au départ) et de confinement. Dans le cas des autres groupes, les règles sont plus restrictives et peuvent aller, pour le groupe rouge, jusqu’à une quarantaine de trois à sept jours.
    Pendant la majeure partie de la pandémie, le Japon a interdit l’accès de son territoire aux touristes et, dans les périodes de forte circulation virale, il n’avait autorisé à revenir que les citoyens japonais et les résidents étrangers, qui tous étaient soumis à d’interminables vérifications à l’aéroport et une période de confinement.Le Japon a rouvert aux vols internationaux des aéroports de province, comme celui de Naha (Okinawa) et Chitose (Hokkaido). La réouverture de l’archipel devrait s’échelonner sur plusieurs mois en fonction des résultats de « circuits tests » qui viennent de s’achever auprès de petits groupes de touristes (venus d’Australie, des Etats-Unis, de Singapour et de la Thaïlande). Des tests destinés à évaluer les capacités de réaction des autorités en cas d’apparition de cas de contamination.Les touristes en groupes seront encadrés en permanence du début à la fin de leur séjour. Ils devront se plier au port du masque, toujours considéré comme une protection – les Japonais continuent à 99 % à le porter dans les rues, les transports, les magasins… – à une prise de température quotidienne et à des tests antigéniques réguliers. Ils devront, en outre, prendre une assurance médicale. Accompagnés en permanence de leurs guides, ils n’auront pas le droit d’utiliser les transports publics.
    Le gouvernement est d’autant plus prudent dans la réouverture du pays que l’opinion a longtemps été favorable à la restriction d’entrée des étrangers. Au début de la crise sanitaire, les atermoiements et cafouillages du gouvernement de Shinzo Abe puis de son successeur, Yoshihide Suga, obsédés tous deux par la tenue des Jeux olympiques de Tokyo, avaient mécontenté l’opinion et fait chuter leur cote de popularité. La tenue de ces JO, grevés par des investissements aussi colossaux que disproportionnés, dont la majorité des Japonais ne voulaient pas, a porté un coup fatal à M. Suga. Son successeur, Fumio Kishida, s’efforce de tenir compte des erreurs de jugement de ses prédécesseurs.Dès l’apparition du variant Omicron, à la fin de 2021, son gouvernement a suspendu les entrées d’étrangers. Une fermeture souhaitée par l’opinion japonaise : selon le sondage réalisé au début de décembre 2021 par le quotidien Yomiuri, 89 % des personnes interrogées étaient favorables à ces mesures estimant que ce filtrage des nouveaux arrivants était nécessaire. Depuis quelques semaines, la majorité est favorable à une réouverture progressive des frontières, mais 70 % approuvent la politique restrictive du gouvernement qui a permis d’enrayer la contagion. Le Japon recense actuellement quelque 15 000 cas par jour.
    Restauration et tourisme sinistrésLa prudence qui accompagne la stratégie de réouverture de M. Kishida s’explique par la tenue d’élections sénatoriales en juillet. Une reprise épidémique, quelle que soit son origine, serait aisément exploitée par l’opposition. Une fois passé le cap électoral, M. Kishida s’orientera probablement vers une levée des restrictions aux frontières, qui devrait faciliter une reprise des activités des secteurs sinistrés par la pandémie, la restauration et le tourisme.La relance du tourisme intérieur est attendue en juillet. L’afflux de touristes en provenance de l’étranger devrait, pour sa part, être favorisé par la dépréciation du yen, qui rend l’archipel plus attrayant en termes de coûts. Cette reprise du tourisme international comporte néanmoins un point noir : elle risque de provoquer à nouveau le mécontentement des habitants des régions les plus attractives. En une décennie, le nombre de touristes a quintuplé passant de 6,7 millions en 2009 à 32 millions en 2019.
    La chasse aux touristes étrangers lancée par le gouvernement nippon entraîne par ailleurs une dépendance accrue vis-à-vis de la Chine. En 2019, un tiers des visiteurs arrivant au Japon étaient chinois (la moitié, si on inclut Taïwan et Hongkong) et comptaient pour 34 % dans les revenus du secteur. Dans le climat de tension internationale actuelle, le poids de la Chine dans l’industrie touristique japonaise constitue un levier de pression de Pékin sur Tokyo.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#pandemie#tourisme#economie#frontiere#circulation#etranger#chine

  • Japan eases borders for tourists but worries about foreign ‘bad manners’ triggering coronavirus | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3179728/japan-eases-borders-tourists-worries-about-foreign-bad-manners

    Japan eases borders for tourists but worries about foreign ‘bad manners’ triggering coronavirus. Relaxing strict Covid measures took months of pressure from travel trade because government feared public backlash if infections spiked. There are concerns visitors who don’t wear masks or use hand sanitiser could spread infections again; against backdrop of economic woes
    Published: 6:03pm, 30 May, 2022
    Japan’s easing of a two-year ban on foreign tourists seeks to balance the enormous economic importance of tourism with concerns that travellers would trigger a Covid outbreak, insiders say.The decision means Japan will allow in a limited number of foreign tourists on package tours starting June 10. Last week a few “test tours”, mainly of overseas travel agents, started to arrive

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#tourisme#economie#etranger#politiquesanitaire

  • Coronavirus: Japan test tour by 4 Thai people cancelled after Covid infection | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3179862/coronavirus-japan-test-tour-4-thai-people-cancelled-after-covid

    Coronavirus: Japan test tour by 4 Thai people cancelled after Covid infection. The traveller was in Oita when his or her infection was confirmed on Monday; three other close contacts have all tested negative and are isolating in a hotel. The small-scale test tour was part of the government’s programme for when Japan continues easing Covid-19 border controls and accepts foreign tourists in Jun
    Published: 5:05pm, 31 May, 2022
    A test tour for inbound travellers in Japan has been cancelled after one of four Thais taking part tested positive for the coronavirus, Japan’s tourism agency has said.The traveller was in the southwestern prefecture of Oita when his or her infection was confirmed on Monday. The three other participants were deemed close contacts but have all tested negative. They are currently isolating in a hotel, the agency said. The route of the infection is unknown

    #Covid-19#migrant#migration#japon#thailande#sante#circulation#frontiere#tourisme#depistage#cascontact#etranger

  • Japan to reopen to foreign tourists after two-year pandemic closure | Japan | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2022/may/27/japan-to-reopen-to-foreign-tourists-after-two-year-pandemic-closure
    https://i.guim.co.uk/img/media/888cb8f738988e79f918af974dab020b5fa2069d/506_78_5248_3149/master/5248.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Japan to reopen to foreign tourists after two-year pandemic closure
    Government to allow in tourists from 98 countries and regions next month – but only as part of tour groups
    Agence France-Presse
    Fri 27 May 2022 04.20 BST
    Japan has announced it will end a two-year pandemic closure and reopen to tourists from 98 countries and regions next month, but travellers will only be allowed in as part of tour groups.The decision comes after the government last week said it would test allowing small group tours with visitors from the US, Australia, Thailand and Singapore from this month.
    On Thursday, the government revised border controls to resume accepting package tours from the 98 countries and regions – including Britain, the US, France, Spain, Canada and Malaysia – starting on 10 June.Japan will also expand the number of airports that accept international flights to seven, adding Naha in its southern Okinawa prefecture and New Chitose near Sapporo in northern Hokkaido.
    Japanese tourists at the entrance to Kiyomizu-dera temple in Kyoto
    Covid robbed Kyoto of foreign tourists – now it is not sure it wants them back. For most of the pandemic Japan has barred all tourists and allowed only citizens and foreign residents entry, though even the latter have periodically been shut out.All arrivals have to test negative to Covid before travel to Japan and many must be tested again on arrival, though triple-vaccinated people coming from certain countries can skip the additional test as well as a three-day quarantine required for others.Tour groups are expected to take responsibility for ensuring visitors respect Japan’s near-universal mask-wearing and other measures that have helped keep the toll from Covid comparatively low.Just how many people will be able to take advantage of the careful reopening is unclear as Japan is planning to double a daily entry cap, but only to 20,000.The prime minister, Fumio Kishida, has said he wants to ease border control measures, but moves are expected to proceed slowly, with strong public support for the current restrictions.Japan welcomed a record 31.9 million foreign visitors in 2019 and had been on track to achieve its goal of 40 million in 2020 before the pandemic hit.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#pandemie#tourisme#frontiere#economie#circulation

  • Japan to start reopening to foreign tourists from June 10; package tours to two airports | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3179324/japan-start-reopening-foreign-tourists-june-10-package-tours

    Japan to start reopening to foreign tourists from June 10; package tours to two airportsWill begin with the admission of tourists on guided package tours, allowing international flights to New Chitose airport in Hokkaido and Naha airport in Okinaw Already announced it will double its cap on arrivals from overseas to 20,000 a day starting next month, though it remains far below pre-pandemic levels
    Published: 8:34pm, 26 May, 2022
    Japan is set to allow in some package-tour tourists from overseas starting June 10, Prime Minister Fumio Kishida said Thursday, ending a ban that was introduced about two years ago as part of the country’s virus control programme.“Active exchanges between people are the foundation of the economy and society,” Kishida said in a speech at the Future of Asia conference in Tokyo. “From the 10th of next month we will restart the admission of tourists on guided package tours.”He added that preparations would begin to allow international flights to land at New Chitose airport in Hokkaido and Naha airport in Okinawa starting in June.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#tourisme#frontiere#circulation

  • Egalité des sexes (Japon) : le Manifeste pour la parité 2022

    Le 10 avril 2016 a eu lieu un événement pour célébrer le 70e anniversaire du droit de vote des femmes au Japon. Une déclaration exprimant notre volonté de « doubler le nombre de femmes parlementaires » y était adoptée. Depuis, lors de ces événements annuels organisés par le comité exécutif de la Campagne pour la parité, nous faisons une déclaration de notre volonté et de nos objectifs. En perspective du 80e anniversaire en 2026, nous nous engageons chaque année à élargir le cercle des ami.e.s déterminé.e.s à agir pour faire augmenter le nombre de femmes parlementaires.

    Le comité exécutif de la Campagne pour la parité fait un travail de communication, en coopération avec diverses organisations de femmes, pour expliquer pourquoi une augmentation du nombre de femmes parlementaires est nécessaire et comment y parvenir, en diffusant des informations et des pétitions notamment par le biais des réseaux sociaux.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2022/05/23/egalite-des-sexes-japon-le-manifeste-pour-la-p

    #féminisme #parité #japon

  • Pandemic untamed in Japan, South Korea and Taiwan - Asia Times
    http://asiatimes.com/2021/05/pandemic-untamed-in-japan-south-korea-and-taiwan

    Pandemic untamed in Japan, South Korea and Taiwan
    East Asian nations earned plaudits for their earlier virus containment strategies but none are out of the woods yet
    by Andrew Salmon May 14, 2021
    SEOUL – Japan is poised to extend its state of emergency, formerly virus-free Taiwan is faced with record new infections and South Korea is just about holding its own as Covid-19 renews its rampage across the region.
    It is a grim reminder that the three East Asian democracies, which all won varying degrees of kudos for their virus containment measure strategies last year, are not out of the woods yet. All three are lagging behind the norm for developing nations in terms of vaccination programs. While the situation in the three countries is nowhere near as dire as in carnage-wracked India, matters are increasingly worrying for Japan – and the world – as it prepares to host the Olympics despite the ongoing failure of pandemic containment efforts. With the Olympic Games’ opening ceremony set for July 23, the government was expected to announce further containment measures late on Friday, according to Kyodo News Agency. The unexpected move was expected to extend “states of emergency” from six to nine prefectures nationwide. The capital Tokyo and Japan’s second city, Osaka, are already in states of emergency. The new restrictions will be applied from Sunday to May 31. “There were discussions on the need to thoroughly implement strong measures,” said Chief Cabinet Secretary Katsunobo Koto.
    Under the measures, restaurants cannot open past 8pm and cannot serve alcohol, department stores and major commercial facilities are “requested” to temporarily shut down or to close early and sports stadiums are only allowed to operate at 50% capacity. The latest states of emergency are the third set to be applied. This week, daily new infections in Japan have registered at more than 6,000 for three straight days. Japan, population 126 million, has so far suffered 11,249 deaths from Covid-19. That falls far behind the hideous body counts in the United Kingdom (128,000), the United States (584,000), Brazil (430,000), India (258,000) and the United Kingdom (128,000). However, it is also far ahead of its two regional neighbors. Though the national health system continues to hold out, there are reports from some regions of patients dying at home due to a lack of hospital bed space, while highly contagious mutations of the virus stalk the land. Meanwhile, Japan’s vaccination program is the slowest in the OECD. Only one vaccine, produced by Pfizer, has so far been approved for use by the country’s notoriously bureaucratic officialdom. As a result, according to a global comparison of the numbers of citizens vaccinated per 100 people as collated by database Statista, Japan has managed to vaccinate only 3.51%. Against the backdrop of these failures of leadership, a planned visit by International Olympic Committee chief Thomas Bach, set for this week, has been put back to June. Public opinion polls show minimal support for the Games – and major figures are starting to speak out. This week Naomi Osaka, a national tennis star, and Masayoshi Son, the high profile CEO of SoftBank, as well as the country’s most prominent blue-chip and Olympic sponsor Toyota, have all publicly questioned the wisdom of holding the Games this summer.
    The Japanese media has been increasingly scathing about the ineffectiveness of the state’s response and has been seeking to analyze what has gone wrong.The Nikkei Asian Review, while acknowledging the excellence of the public healthcare system, pointed to what it considers to be two national problems in governance: Poor crisis-management ability and a silo mentality among bureaucracies and government agencies.
    These leadership problems, the Nikkei suggested, are further buttressed by a national tendency toward blind optimism among the public.
    All quiet on the Korean frontTo Japan’s west, calm prevails in South Korea.
    After pioneering a highly effective containment strategy last year, the country was late to acquire vaccines, leading to a program that is far ahead of Japan’s, but still far slower than most developed countries.
    Yet South Korea, with a population of 51 million, has suffered only 1,893 deaths from the virus.In Seoul, social distancing restrictions include the closure of bars and restaurants at 10pm and social gatherings limited to four people. Even on days when infection numbers rise, the government, apparently loathe to implement additional measures on a Covid-weary population and a recovering economy, is keeping a firm hand on the helm and charting its course.At ground zero, amid bright spring sunshine, there is little sense of crisis. Public transport, restaurants and gyms are full. Covid-related headlines in leading media are hardly apocalyptic, being largely reduced to the daily count of new infections – now hovering in the 600-700 range.And while there is public criticism of the slow pace of vaccinations, according to Statista, South Korea’s rate is above Japan’s at 8.16% per 100 people.Matters are vastly different for all metrics in Taiwan. Taipei was arguably the most effective government in Asia – if not the world – in defeating the virus. The self-governing island, with a population of 24 million, has suffered only 12 deaths from the virus.But fear struck this week as cases started to rise, with a daily record of 29 new infections in the country on Friday. While such a figure would be cause for celebration virtually anywhere else, in Taiwan it is a cause for alarm.The leadership has put on its game face. Premier Su Tseng-chang said on Friday that there was no need to raise the island’s Covid alert, according to media in Taipei.
    That quashed suggestions by the health minister earlier this week that the alert level would be raised. As that step would have meant the closure of non-essential businesses, the stock market plunged but has since steadied.
    While Taipei pioneered a deft contact-tracing system of conglomerating governmental databases – a step that was successfully followed by Seoul – it could be very vulnerable if infections continue to rise.The country’s vaccination rate is at the bottom of virtually all global charts. According to Statista, its rate of vaccinations per 100 people is a mere 0.39%.

    #Covid-19#migrant#migration#asie#japon#coreedusud#taiwan#pandemie#politiquesanitaire#vaccination#circulation#economie#frontiere

  • Coronavirus: Japan to ease Covid border controls in June allowing for more overseas arrivals | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3178568/coronavirus-japan-ease-covid-border-controls-june-allowing-more

    Coronavirus: Japan to ease Covid border controls in June allowing for more overseas arrivals. Those arriving from about 80 per cent of countries and regions will no longer be required to take virus tests on arrival or undergo quarantine Japan effectively closed its doors to non-resident foreign nationals to prevent a surge in infections driven by the highly transmissible Omicron variant
    Japan will relax its Covid border restrictions from June 1, including by doubling its daily cap on the number of international arrivals allowed to 20,000, Chief Cabinet Secretary Hirokazu Matsuno said on Friday.
    The government will also ease Covid-19 testing and quarantine rules for people arriving in Japan, dividing countries and regions into three groups according to the infection situation.Travellers from the lowest-risk “blue” group will be exempt from testing upon arrival in Japan and quarantining at home, Chief Cabinet Secretary Hirokazu Matsuno told a press conference. They will still need to show a pre-departure negative test result.
    Travel sector ‘very happy’ as Japan reopens to tours from 4 countries
    17 May 2022Around 80 per cent of entrants are likely to be from countries and regions that fall into that group, Matsuno said, adding that the breakdowns will be announced next week.People arriving from countries and regions placed in the highest-risk “red” group will be asked to take Covid-19 tests when they enter Japan and stay for three days at quarantine facilities.Those in the remaining “yellow” group need to be tested for Covid-19 upon arrival and stay for three days at home or quarantine facilities, according to the government. But this does not apply to people who have received their third vaccine dose.“We believe [the review] will make the entry of visitors smooth,” he said.
    Ski resorts in Japan bankrupted by Covid-19 ban on arrivals from overseas
    28 Feb 2022Matsuno did not specify when Japan will start accepting foreign tourists again, saying only that preparations are under way to do so.Prime Minister Fumio Kishida has said his government will further relax border controls to bring them in line with other Group of Seven nations in June.
    The review comes as Japan has seen the infection situation stabilise in recent weeks. The government changed its stance on masks, saying Friday that wearing them when outdoors is not always necessary, provided people are not conversing.The number of Covid-19 cases in Japan has been lower than in other G7 members such as Britain, Germany, France and the United States, according to a tally by Johns Hopkins University.Japan effectively closed its doors to non-resident foreign nationals to prevent a surge in infections driven by the highly transmissible Omicron variant of the coronavirus late last year. The measure drew criticism at home and abroad that it was too strict.In recent months, the government has gradually increased the number of people allowed to enter Japan in stages, with the current daily cap at 10,000.Japan has already said it would allow small groups of tourists on package tours to visit on a trial basis starting this month.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#frontiere#tourisme#fermeture#residentetranger#omicron#etranger

  • Koji Morimoto est un #artiste japonais exerçant principalement son talent dans le #cinéma d’#animation. Il fût l’un des fondateurs du Studio 4°C en 1986, où il a travaillé jusqu’en 2011. Depuis, il a créé son propre studio nommé phy (Φ).

    Si dans le milieu des professionnels de l’animation il est très apprécié, le grand public en revanche le connaît peu car il œuvre surtout sur des formats type #court-métrages ou clips musicaux, pour la plupart peu diffusés en dehors du #Japon.

    La plupart du temps, Morimoto crée surtout des clips, des pubs, et des court-métrages. L’un des plus connus du grand public étant sans doute « Beyond » dans Animatrix. Il a un rapport très spécial avec la #musique, élément catalyseur de son travail. Il est aussi réputé pour se faire refuser beaucoup de projets, et de passer énormément de temps sur les storyboards et recherches #graphiques. Il rebondit toujours sur les refus pour améliorer et revoir ses idées. Il tente de garder ce qu’il appelle une « tension » dans son travail, mélange d’enthousiasme, d’énergie et de motivation.

    Koji Morimoto a fondé Studio 4°C en 1986 avec Eiko Tanaka et Yoshiharu Sato, et où il a travaillé jusqu’en 2011, avant de fonder son propre studio phy (Φ).
    Ce studio japonais essaye de produire avec énergie des #œuvres d’auteurs, laissant une certaine #liberté à ces derniers.

    Site qui présente cet artiste :
    http://www.kojimorimoto.net

    et sinon Dimension Bomb (Genius Party Beyond) proposé (pour 2 semaines seulement). Une des rares réalisations un peu longues de cet animateur, c’est assez époustouflant :

    https://invidious.fdn.fr/watch?v=4DDd426m67M

    J’ai trouvé tout ça ici :
    https://www.catsuka.com/breves/2022-04-29/genius-party-beyond-dimension-bomb-de-morimoto-gratos-2-semaines

  • 命預けます | INOCHI AZUKEMASU | JE TE CONFIE MA VIE
    https://chloe-jafe.format.com/i-give-you-my-life

    En 2013, Chloé Jafé s’installe à Tokyo avec l’ambition de rencontrer les femmes de Yakuza. Mais personne n’entre au sein de cette mafia, l’une des plus légendaires au monde, sans y avoir été invité. Après avoir passé une année à parfaire son japonais, s’imprégner des codes d’une culture aux antipodes de la sienne, avoir été hôtesse dans un bar et ratissé les quartiers chauds de la ville, le verrou finit par céder. Au hasard d’une rencontre et par témérité. Intronisée par un chef de syndicat, elle a pu approcher ces clans cadenassés, leurs rituels et rassemblements officiels, les récits tabous et tatoués que leurs kimonos camouflent, et à travers eux, leurs épouses, filles et maîtresses.

    Des femmes tapies dans l’ombre des hommes auxquels elles ont voué leur existence, marquées à l’épiderme par cette offrande qui d’office les exclut de la société.

    Le « don sa vie », Inochi Azukemasu en japonais, constitue le premier volet de sa trilogie.


    photo Chloé Jafé
    #photographie #japon

  • South Koreans rush for holidays in US, Europe, Southeast Asia as Covid-19 rules ease | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3172489/south-koreans-rush-holidays-us-europe-southeast-asia-covid-19

    South Koreans rush for holidays in US, Europe, Southeast Asia as Covid-19 rules ease
    The boom started after March 21 when South Korea lifted a seven-day quarantine for fully vaccinated travellers arriving from most countries
    Airlines and travel agencies have reported exploding demand for routes to Hawaii, Saipan and Guam, as well as some destinations in Europe and Southeast Asia. After spending two years being socially distanced in his home country of South Korea, Kim Hoe-jun booked a last-minute flight to Hawaii, where he had enjoyed his honeymoon six years ago, giving in to his craving for overseas travel.“I bought the ticket just a week ago, but it was rather a no-brainer. It felt like I was making up for those two years not being able to go abroad often as I used to before Covid,” he said, before boarding the plane from Incheon International Airport on Friday.
    Vaccinated and boosted, Kim and his wife are among South Koreans joining in a rush for “revenge travel” – a term that has been trending on social media as people scramble to book overseas trips that were delayed by coronavirus restrictions.
    The boom started after March 21 when South Korea lifted a seven-day mandatory quarantine for fully vaccinated travellers arriving from most countries. The restriction had been eased last year but was reimposed in December as the highly infectious Omicron variant spread.The country has largely scrapped its once-aggressive tracing and containment efforts despite a record Covid-19 wave, joining a growing list of countries across the Asia-Pacific which have eased quarantine rules, including Japan, Australia, New Zealand and Singapore.
    Singapore starts ‘living with the virus’, shedding masks outdoors and allowing quarantine-free entry South Koreans now appear more ready to travel. Polls showed people are less worried about the implications of catching the virus, and increasingly see its prevention as out of their hands.
    Sales of overseas flight tickets on 11st, an e-commerce unit of SK Telecom Co Ltd, South Korea’s top mobile carrier, rose more than eight-fold compared with a year before between March 11, when the lifting of quarantine was announced, and March 27, the company said.
    Saipan and Guam, both of which have travel lane pacts with South Korea, also offer free Covid-19 testing and pay for quarantine expenses if a traveller tests positive. Each South Korean national visiting Saipan even receives US$100 in “travel bucks” incentives to spend at businesses there.
    The tour arm of online retail giant Interpark Corp reported a 324 per cent growth in flight bookings for Oceania between March 11-22 from the same period of 2021, a 268 per cent increase for Southeast Asia and 262 per cent more bookings for Europe.On Sunday, the company sold a record 5,200 Hawaii tour packages within just 70 minutes. CJ Corp’s home shopping unit said it received some 2,800 orders for a Spain and Italy trip in one hour on Sunday, totalling 15 billion won (US$12.41 million), days after garnering 9 billion won from its sales of a Hawaii package.
    “The surge reflects growing customer sentiment that an end of Covid travel curbs might be in the offing after the mandatory quarantine was lifted,” said Lee Jeong-pil, general manager of CJ’s home shopping unit. Lee Tae-woo, a 36-year-old frequent traveller to Japan, said he had changed some money into yen, taking advantage of the currency’s sharp decline and hoping to jump on the revenge travel bandwagon soon. Though Japan has yet to allow tourists back in, it has reduced the quarantine period for arrivals for business and other purposes to three days from seven this month, and signalled further easing of travel curbs. “It’s been a long wait, and I’m ready to go back as soon as they finally open up again, and visit my favourite coffee roastery and enjoy the night view from Shibuya station,” Lee said, referring to Tokyo’s bustling central district

    #Covid-19#migrant#migration#coreedusud#sante#frontiere#mobilité#japon#asiedusudest#tourisme#oceanie#europe

  • Daisugi, the 600-Year-Old Japanese Technique of Growing Trees Out of Other Trees, Creating Perfectly Straight Lumber | Open Culture
    https://www.openculture.com/2020/10/daisugi.html

    We’ve all admired the elegance of Japan’s traditional styles of architecture. Their development required the kind of dedicated craftsmanship that takes generations to cultivate — but also, more practically speaking, no small amount of wood. By the 15th century, Japan already faced a shortage of seedlings, as well as land on which to properly cultivate the trees in the first place. Necessity being the mother of invention, this led to the creation of an ingenious solution: daisugi, the growing of additional trees, in effect, out of existing trees — creating, in other words, a kind of giant bonsai.

    “Written as 台杉 and literally meaning platform cedar, the technique resulted in a tree that resembled an open palm with multiple trees growing out if it, perfectly vertical,” writes Spoon and Tamago’s Johnny Waldman. “Done right, the technique can prevent deforestation and result in perfectly round and straight timber known as taruki, which are used in the roofs of Japanese teahouses.”

  • 15 000 thaïlandaises victimes de la traite de l’industrie du sexe au Japon chaque année

    Chaque année, entre 10 000 et 15 000 enfants et femmes thaïlandais sont victimes d’un trafic illégal vers le Japon pour servir l’industrie du sexe.

    Dirigée par le Pol Lt Col Dr Pongnakorn Nakhonsantiphap, la recherche a révélé que la Thaïlande reste un carrefour majeur pour le trafic d’êtres humains régional et international.

    https://entreleslignesentrelesmots.blog/2022/03/25/15-000-thailandaises-victimes-de-la-traite-de-lindustri

    #international #thailande #japon #feminisme #prostitution

  • Guerre en Ukraine : le Premier ministre japonais presse l’Inde de prendre position
    Publié le : 20/03/2022 | Avec notre correspondant à New Delhi, Côme Bastin
    https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20220320-guerre-en-ukraine-le-premier-ministre-japonais-presse-l-inde-%C3%A0-pre

    En visite d’État en Inde ce week-end, le Premier ministre du Japon Fumio Kishida a affiché un soutien clair à l’Ukraine.

    Avec notre correspondant à New Delhi, Côme Bastin

    « Le Japon, avec l’Inde, continuera d’essayer de mettre fin à la guerre et de fournir un soutien à l’Ukraine et à ses pays voisins. » Avec cette déclaration, à l’issue de sa rencontre avec son homologue indien Narendra Modi lors d’une conférence de presse, le Premier ministre Fumio Kishida pousse l’Inde à prendre position sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

    Mais l’appel du pied du Premier ministre japonais est resté sans réponse ce samedi 19 mars, puisque Narendra Modi s’est contenté d’évoquer de « nouveaux défis géopolitiques ». Le communiqué commun entre les deux pays parle cependant de « mesures pour faire face à la crise humanitaire » et « souligne la nécessité pour tous les pays de chercher à résoudre pacifiquement leurs conflits en accord avec le droit international, sans la menace, la force ni la tentative pour changer unilatéralement le statu quo ».

    #Inde #Japon

  • Osugi Sakae
    https://www.partage-noir.fr/osugi-sakae

    #Osugi_Sakae est né en 1885 dans une famille de militaires en poste en divers endroits de la province japonaise. Enfant très sensible et turbulent, il est expulsé à l’âge de 16 ans d’une école des cadets de l’armée de terre à la suite d’une bagarre. #Partages_noirs #anarchisme #japon

    / Sakae Ôsugi , #@narlivres, #Japon, Itô Noé

    #Sakae_Ôsugi_ #Itô_Noé_

  • [BD] Itô Noé - Anarchiste japonaise et féministe
    https://www.partage-noir.fr/bd-ito-noe-anarchiste-japonaise-et-feministe-01
    Le 21 janvier 1895 Itô Noé naît sur l’île de Kyushu. Diplômée à 16 ans de l’École de filles Ueno de Tokyo. Contrainte à un mariage arrangé elle s’enfuit du foyer.
    Son professeur d’anglais, le poète libertaire et traducteur de Stiner, Jun Tsuji, la recueille. Il soutiendra Itô Noé dans la poursuite de ses études. Mariés ils auront deux fils.
    #BD #Japon #Anarchisme #Feminisme #ItoNoe #Ito_Noe

  • Coronavirus: Japan to relax strict border controls | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3166801/coronavirus-japan-relax-strict-border-controls-thai-couples

    Coronavirus: Japan to relax strict border controls; Thai couples urged to mask up for Valentine’s Day sex
    Japan’s government will start accepting more than 1,000 foreign workers and students a day this month. Elsewhere, anti-vaccine rallies picked up in numbers in New Zealand and Australia, with protesters blocking roads and disrupting public eventsJapan will ease its strict border controls, beginning with foreign workers and students, the Nikkei reported.The government will start accepting more than 1,000 people a day this month and will gradually raise the cap to several thousand.“We will take into account accumulated scientific knowledge on the Omicron variant, changes in infection conditions inside and outside Japan, and other countries’ border control measures,” Japanese Prime Minister Fumio Kishida told reporters in Tokyo.
    Kishida’s remarks followed criticism of the entry ban from many academic and business leaders. The measure has prevented international students from entering Japan, prompting some to consider alternatives such as South Korea.The business community, which is facing a chronic labour shortage, has asked for the ban to be lifted.The controls, put in place in late November as the Omicron variant started to spread, are by far the strictest among the Group of Seven nations.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#omicron#frontiere#circulation#saintvalentin#

  • Les militaires américains basés au Japon, jugés responsables de la propagation d’Omicron dans l’Archipel
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/11/les-militaires-americains-bases-au-japon-juges-responsables-de-la-propagatio

    Les militaires américains basés au Japon, jugés responsables de la propagation d’Omicron dans l’Archipel. La libre circulation des soldats américains stationnés dans l’Archipel, qui sont exemptés des règles de quarantaine et des tests aux frontières, est soupçonnée de contribuer au rebond de l’épidémie.La propagation du variant Omicron au Japon ravive les débats sur le statut spécial dont bénéficient les militaires américains stationnés dans l’Archipel. Jugés en partie responsables de la nouvelle vague, ces militaires ont accepté, avec retard et après de multiples requêtes du gouvernement nippon, de restreindre, à partir du lundi 10 janvier et « pendant deux semaines », leurs activités « non essentielles » hors des bases. Ils ont aussi réinstauré le port du masque obligatoire en extérieur et les tests pour le personnel arrivant de l’étranger. Le ministre des affaires étrangères japonais, Yoshimasa Hayashi, avait auparavant « insisté pour un renforcement des mesures de prévention » et le porte-parole du gouvernement, Hirokazu Matsuno, avait fait part de ses « fortes préoccupations » sur la situation dans les bases, alors que le Japon vit une résurgence des contaminations à l’échelle nationale, 6 436 cas de Covid-19 le 10 janvier, contre 574 le 1er janvier.
    L’armée américaine est soupçonnée de contribuer au rebond de l’épidémie dans le pays, car l’essentiel des cas vient d’Okinawa (sud). Ce petit archipel abrite plus de 60 % des 50 000 GI du Japon. Les premières contaminations de la dernière vague auraient été détectées fin décembre sur la base américaine de Camp Hansen. Le 8 janvier, Okinawa enregistrait 1 759 cas en une journée, un record depuis le début de la pandémie, dans cette préfecture de 1,5 million d’habitants, qui n’inclut pas les cas des bases américaines, qui s’élevait à 547 le même jour. Le gouverneur, Denny Tamaki, partisan de la réduction des forces américaines dans son département, a fait part de sa « colère » face à la « hausse alarmante » des contaminations.Cela a a des conséquences sérieuses puisque 485 médecins et infirmières cas contacts d’Okinawa ont dû cesser le travail, alors que le taux d’occupation des lits réservés au Covid-19 augmente vite. Okinawa, Yamaguchi et Hiroshima ont réimposé, le 9 janvier, des restrictions à l’ouverture des bars et restaurants et appelé la population à limiter les déplacements.La situation a ravivé les questions sur le statut des forces américaines du Japon (Status of Forces Agreement (SOFA), défini en 1960, lors de la signature du traité bilatéral de sécurité. Ce cadre offre une quasi-extraterritorialité aux bases américaines et une forme d’impunité aux militaires, facteur de mécontentement à chaque fait divers impliquant un GI. L’article 8 du SOFA les exempte aussi des procédures imposées aux frontières, y compris, donc, les règles strictes de quarantaine et de tests imposées par Tokyo.Dans un éditorial du 6 janvier, le quotidien de centre gauche Asahi qualifiait le SOFA d’« échappatoire » ayant permis à Omicron de se propager au Japon. L’agence de presse Jiji regrettait, le 9, un statut qui « entrave le contrôle du virus aux frontières ».Le mécontentement est vif, car les autorités américaines ont admis, en décembre, que l’ensemble des forces du Japon n’étaient plus testées depuis le 3 septembre. Elles sont critiquées pour ne pas donner d’informations sur les cas contacts, à la différence des forces américaines de Corée du Sud, plus transparentes.
    Des mesures de prévention ont été prises, mais le premier ministre, Fumio Kishida, attaché à l’alliance bilatérale dans un contexte de tension croissante avec la Chine et la Corée du Nord, exclut toute révision du statut. En décembre, le Japon a même accepté de payer plus pour la présence militaire américaine, validant une enveloppe de 8 milliards d’euros pour les cinq prochaines années, en hausse de 573 millions d’euros par rapport à la période précédente.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#etatsunis#sante#militaire#contamination#epidemie#omicron#virus#frontiere#circulation#controle#depistage

  • Ochazuke, riz au #Thé_vert
    https://www.cuisine-libre.org/ochazuke-riz-au-the-vert

    Plat très simple de la cuisine japonaise, préparé en versant du thé vert sur un bol de riz. Faire infuser le thé. Dans un bol à soupe miso, déposer une part de #Riz_japonais cuit (chaud ou froid). Garnir d’une prune #Umeboshi. Semer d’algue nori et de sésame. Verser le thé par-dessus le riz et les légumes. Ajouter une pointe de wasabi sur le bord du bol. Déguster chaud, sans cuillère, en tenant le bol devant ses lèvres et en poussant les légumes avec les… Umeboshi, #Soupes, #Japon, Riz japonais, Thé vert / #Sans viande, #Sans œuf, #Sans lactose, #Sans gluten, #Végétarien, Végétalien (vegan), #Bouilli

    #Végétalien_vegan_

  • Japan’s pandemic-era isolation sparks concerns of rising xenophobia amid anti-foreigner backlash | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3161122/japans-pandemic-era-isolation-sparks-concerns-rising-xenophobia

    Japan’s pandemic-era isolation sparks concerns of rising xenophobia amid anti-foreigner backlash
    A campaign against non-citizens voting, amid claims ‘80,000 Chinese people’ could move to Tokyo, followed an unusual US embassy warning on racial profiling. The incidents are feeding worries that Japan is souring on immigration as it approaches a third year of pandemic-driven border closures and economic upheaval
    From a ban on new foreign arrivals to a campaign against efforts to let non-citizens vote, a series of developments in Japan is raising new concerns about xenophobia in Asia’s second-largest economy.Lawmakers in the Tokyo suburb of Musashino overruled the local mayor on Wednesday and rejected a bill that would have allowed residents of other nationalities to vote on some issues. The decision came after several prominent Liberal Democratic Party legislators launched a campaign against the plan, with former Vice Foreign Minister Masahisa Sato warning on Twitter that “80,000 Chinese people” could move to the city and influence its politics.
    Last month, Prime Minister Fumio Kishida’s government initiated new border controls that ban new entries by foreigners amid concerns about the Omicron variant of Covid-19. Separately, the US embassy in Tokyo issued an unusual warning on December 6 about suspected racial profiling of foreigners by local police – an allegation the government has denied.
    Prime Minister Fumio Kishida’s government initiated new border controls last month that ban new entries by foreigners.
    The incidents are feeding worries that Japan is souring on immigration as it approaches a third year of pandemic-driven border closures and economic upheaval. The government’s ban on arrivals by foreigners who lack existing residency status was backed by almost 90 per cent of respondents in one media poll.“It’s not only in Japan that the pandemic fanned xenophobic sentiments, but this is a country with a long-standing tradition of insular nationalist conservatism,” said Koichi Nakano, a professor of political science at Sophia University. “Already before Covid, nationalism was exploited by some politicians to divert public attention away from real domestic ills that they did not want to deal with. But since last year, there has been an excessive, unscientific, and inhumane focus on ‘offshore measures’, such as the entry ban, by the Japanese government.”
    Japan: now open to foreign workers, but still just as racist?While the island nation of 125 million has long been known for its hurdles to immigration, the government had warmed to overseas labour in recent years, because of the need to offset a shrinking workforce. The number of foreign workers in Japan more than doubled to 1.7 million in the seven years to 2020, many of them in the construction and service industries. A poll by national broadcaster NHK carried out in March 2020, before the pandemic took hold in Japan, found that most respondents favoured more immigration. The Tourism Agency still maintains a target of attracting 60 million foreign visitors in 2030.The ban on foreign entries also runs counter to the LDP’s stated goal of bolstering Tokyo’s status as an international financial centre by luring away global companies concerned about Beijing’s interference in Hong Kong. The number of foreign citizens living in Japan fell 2 per cent to 2.8 million in June, compared with six months earlier, according to the Justice Ministry.The response to Musashino Mayor Reiko Matsushita’s proposal to let some 3,000 non-citizens vote in local referendums illustrates the political forces against increased immigration. Matsushita told broadcaster TBS before the vote that she wanted “to make diversity into a strength and realise a multicultural society” in the city of 150,000.
    “We’ll create a system whereby people have an opportunity to express opinions on important issues regardless of their nationality,” she said.
    It is the people of the country, not foreigners, who have the right to make decisions 70 LDP lawmakers’ statement on proposed voting changes in MusashinoNon-Japanese are not permitted to vote in any local or national elections, by contrast with several countries in Europe, including Britain and Ireland. New York city this month also approved a measure allowing non-citizens to participate in local elections.Japan narrows the path to enfranchisement for immigrants by banning dual citizenship. Still, two other Japanese districts have ordinances similar to the one Matsushita proposed, while more than 40 allow foreigners to vote in referendums under certain circumstances.Besides Sato, who denounced the proposal as “no good”, a group of about 70 LDP lawmakers urged parliamentary action to prevent such efforts from advancing in the future. “It is the people of the country, not foreigners, who have the right to make decisions,” the group said in a statement.Kishida’s top spokesman, Chief Cabinet Secretary Hirokazu Matsuno, declined to comment on the controversy. Meanwhile, with Omicron infections soaring globally and Japan’s daily Covid-19 deaths in the single digits, Kishida has little incentive to ease the border measures. He frequently mentions that the country’s clampdown on entry is the most severe among the Group of Seven nations and told reporters on Tuesday that existing border controls would stay in place for the time being.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#pandemie#frontiere#etranger#nationalisme#immigration#politiquemigratoire#etranger

  • Etudiants et travailleurs étrangers sont désespérés par la fermeture des frontières du Japon
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/15/etudiants-et-travailleurs-etrangers-sont-desesperes-par-la-fermeture-des-fro

    Etudiants et travailleurs étrangers sont désespérés par la fermeture des frontières du Japon
    Depuis le 30 novembre et la découverte du variant Omicron, les conditions d’entrée sur le territoire nippon se sont de nouveau durcies.
    La nouvelle fermeture des frontières du Japon, fin novembre, après la découverte du variant Omicron – dont 17 cas étaient recensés lundi 13 décembre –, a désespéré les étudiants et travailleurs étrangers, les familles séparées et les voyageurs internationaux.« Je suis déçu du Japon. L’Omicron est arrivé, il a appuyé sur le bouton panique », déplore un étudiant français désireux de conserver l’anonymat. Inscrit depuis septembre en master d’informatique dans une université publique nippone, il n’a toujours pas pu entrer au Japon. « Je dois suivre les cours en ligne. A cause du décalage horaire, je dois me connecter à 0 h 50 tous les jours. » Il ne sait pas s’il tiendra deux ans comme ça. « J’espère pouvoir partir pour le semestre d’avril. Sinon, j’aviserai », précise-t-il.
    Le Japon avait fermé ses frontières dès le printemps 2020 et avait plus ou moins maintenu cette politique jusqu’en octobre 2021, avec une exception pour les 80 000 personnes venues pour les Jeux olympiques et paralympiques de l’été 2021. Résultat : plus de 200 000 étudiants et travailleurs attendent actuellement leur visa pour venir au Japon. Les brèves périodes d’assouplissement n’ont pas permis de résorber les demandes.
    Lire aussi Article réservé à nos abonnés Entre performances et crise sanitaire, un bilan des Jeux paralympiques contrasté pour le Japon. C’est le cas pour l’assouplissement de novembre, brutalement interrompu le 30 novembre par une limitation des entrées sur le territoire aux Japonais et aux résidents permanents – un drame pour certaines familles. Melek Ortabasi, professeure de littérature japonaise à l’université canadienne Simon Fraser, a pu entrer sur le territoire nippon en octobre pour dix mois de recherche parrainés par la Japan Foundation, mais sans ses enfants. Ces derniers devaient la rejoindre le 23 décembre, ce qui semble impossible au vu des nouvelles mesures.« On me dit qu’ils pourraient me rejoindre en février », explique la chercheuse, qui juge « cruel et décourageant le manque de considération d’un pays auquel [elle a] consacré [sa]carrière ». Très mobilisée sur Twitter, Mme Ortabasi soutient la pétition pour la fin des mesures empêchant les familles de se retrouver, signée près de 9 500 personnes sur Change.org au 15 décembre.
    Quatorzaines ubuesquesAux strictes conditions d’entrée s’ajoutent des règles complexes à l’arrivée dans l’Archipel. Tous les voyageurs doivent avoir un test PCR négatif signé d’un médecin, repasser un test à l’aéroport, puis effectuer une période d’isolement, allant de trois à quatorze jours selon la provenance (trois jours pour la France), dans une chambre d’hôtel – généralement petite, parfois sans fenêtre – réquisitionnée par le gouvernement.Quand les hôtels de Tokyo sont pleins, la situation devient ubuesque. Le 7 décembre, une quarantaine de personnes arrivées de Californie ont ainsi été expédiées à Fukuoka, à deux heures d’avion de la capitale, pour trois jours d’isolement.Ceux qui échappent à cet isolement ou qui ne font que trois jours doivent compléter chez eux leur quatorzaine. Pour regagner leur domicile, comme il est interdit d’emprunter les transports en commun, ils doivent recourir à des taxis spéciaux. Mais « selon l’heure, il est difficile d’en trouver », explique une Japonaise, elle aussi désireuse de conserver l’anonymat. Revenue début décembre des Etats-Unis, elle a dû débourser 25 000 yens (195 euros) pour rentrer chez elle, soit plus de deux fois le prix normal. Ceux qui habitent loin de Tokyo, ne pouvant prendre le train, doivent passer leur quatorzaine à l’hôtel, à leurs frais.Une fois dans la chambre d’hôtel ou à la maison, pas question de resquiller. Chaque voyageur doit avoir téléchargé une application, MySOS, qui passe des appels automatiques de vérification plusieurs fois par jour, à des heures changeantes. « Il faut se filmer trente secondes pour que l’appli vérifie l’identité de la personne. L’usage de la géolocalisation permet de contrôler que l’on n’est pas sorti », ajoute la Japonaise. En cas de manquement, les Japonais voient leur nom et adresse exposés publiquement, selon la technique du « name ans shame ». Pour les étrangers, le risque est la perte du visa et l’expulsion.Ces mesures ne sont pas près d’être levées dans un pays qui ne déplore « que » 1,73 million de cas et 18 400 décès depuis le début de la pandémie. Mais elles interrogent au moment où Tokyo annonce un allégement des procédures d’immigration pour les très riches arrivants en avion privé ou en yacht de luxe.
    La remise en place de ces mesures restrictives est soutenue par 89 % des Japonais, selon un sondage du 5 décembre du quotidien Yomiuri. Le premier ministre, Fumio Kishida, n’oublie pas non plus que les errements de la gestion de la pandémie par ses prédécesseurs, Shinzo Abe (2012-2020) et Yoshihide Suga (2020-2021) sont à l’origine d’une saturation du système hospitalier et ont fait plonger leur taux de soutien, provoquant leur chute.

    #Covid-19#migrant#migrant#japon#pandemie#frontiere#circulation#etudiant#tracking#depistage#etranger#visa#expulsion#famille#travailleuretranger