Pacific Express - Expressions (South Africa, 1979) [Full LP] {Jazz-Funk, Soul-Jazz}
▻https://www.youtube.com/watch?v=n2MMBmSejmE
#musique #soul #jazz #funk #Afrique_du_sud #1979 #années_70 #Pacific_Express
Pacific Express - Expressions (South Africa, 1979) [Full LP] {Jazz-Funk, Soul-Jazz}
▻https://www.youtube.com/watch?v=n2MMBmSejmE
#musique #soul #jazz #funk #Afrique_du_sud #1979 #années_70 #Pacific_Express
Hier pour aujourd’hui, les années 2000 (13)
La musique et les disques survivent heureusement aux « contraintes » des surfaces spécialisées ou non, plus ou moins disquaires, mais plus attentives aux coûts financiers, à la vitesse de rotation et au niveau de leurs stocks qu’aux rythmes de diffusion de la musique. Sans oublier, les logiques des algorithmes des plateformes lu la mise en avant des productions des majors au détriment des multiples éditeurs qui nous permettent d’écouter des musiques et non de la programmation « profitable ».
Quelques disques enregistrés dans les années 2000, au hasard de ré-écoutes récentes.
chronique de 9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/09/11/hier-pour-aujourdhui-les-annees-2000-13
« Grand-Terre », l’album inédit de Roy Hargrove et Crisol | FIP
▻https://www.radiofrance.fr/fip/grand-terre-l-album-inedit-de-roy-hargrove-et-crisol-1205853
Trio : batterie, contrebasse et piano (25)
« Le » trio par excellence. Volontairement j’ai indiqué les instruments par ordre alphabétique. Une diversité surprenante, des inventions et des (dés)équilibres toujours renouvelés, des surprises encore, malgré les effets de mode de certains.
note sur 9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/09/01/trio-batterie-contrebasse-et-piano-25
Des enregistrements en 2020 (10)
Des disques et des musiques récentes. Prendre le temps de s’arrêter, d’écouter des albums. S’éloigner des critères privilégiés par les marchands et leur marge financière, du manque d’imagination des listes confiées à des algorithmes, ou des productions complaisantes des majors…
De multiples éditeurs nous permettent d’écouter des musiques et non de la programmation « profitable ». Quelques disques enregistrés, ici en 2020, au hasard des écoutes.
9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/08/25/des-enregistrements-en-2020-10
Le petit camion de Joëlle Léandre
Nous essayons, les uns comme les autres, de recenser les disques de Joëlle Léandre qui parviennent à nos oreilles. Mais beaucoup échappent à notre attention… En voici 9 !
▻https://www.culturejazz.fr/spip.php?article4241
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2018/01/02/lettre-ouverte-de-joelle-leandre-aux-victoires-du-jazz/#comment-61959
Concerts (32)
Certains concerts ont laissé des traces, dans l’imaginaire et sur des disques.
Heureusement, car la présence du public, la nature des salles et d’autres éléments, quelques fois plus contingents, font qu’il se passe quelque chose de plus, un peu au delà… Au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/08/18/concerts-32
Lecture critique par une lectrice de « Le souffle de la liberté »
►https://www.babelio.com/livres/Benies-Le-souffle-de-la-liberte--1944-le-jazz-debarque/1677812/critiques/3995416
Un (très) bel ouvrage,
Merci aux éditions C&F ainsi qu’à Babelio pour cette belle découverte, dans le cadre de la masse critique.
Comment la guerre et les chocs générationnels ont impacté le Jazz et la culture, ou comment le jazz s’est étoffé à travers le temps, et pourquoi..
Quelques unes des questions éclairées de réponses dans ce petit ouvrage, pourtant si complet.
En 160 pages, on soulève une critique sociale objective de ces périodes historiques, on voyage dans le temps et au fil des continents, on parle de l’appartenance culturelle d’un genre musical qui petit à petit se popularise, on déconstruit les fausses rumeurs (au temps de la prohibition, l’interdiction de passer du jazz…), on parle de racisme et d’autres inégalités qui m’ont, personnellement, révoltée, mais on apprends aussi beaucoup de choses sur la manière dont la musique donnait espoir, dont elle était diffusée, comment elle était interprétée, comment la musique a été utilisée, parfois, comme outil de propagande..
En parallèle, on nous dresse le portrait esquissé de grands noms du Jazz, certains moins connus, de toutes nationalités. On nous rappelle les dates importantes, et comment elles ont créer des tournants importants,
J’ai beaucoup apprécié également la playlist à écouter pour rendre la lecture encore plus immersive, ainsi que la liste complète d’ouvrages annexes sur lequel Mr Beniès s’est appuyé pour écrire ce livre.
En conclusion : Je m’attendais à un petit ouvrage qui se lit vite, qui passe en surface sur le rapport entre la guerre et le jazz, mais au final j’ai été bluffée par la fluidité de lecture qui, pourtant couvre bien plus de sujets, et va plus loin dans le détail que juste la surface.
Il est bien entendu court, mais encore une fois, on est renvoyé à la liste des ouvrages cités, et il ne tient qu’à nous d’approfondir la lecture.
La plume est simple : le bon mot au bon endroit, la bonne tournure de phrase pour ne pas laisser entendre de sous-entendus, et j’ai personnellement apprécié lorsque l’auteur donnait son avis à lui, après avoir évoqué un sujet.
J’ai aussi apprécié la police d’écriture des titres de chapitres, et les petites photos annotées glissées ici et là.
Je crois que je m’attendais à plus de musique, plus de guerre, et ça n’en ai que meilleur d’avoir, au fil des pages découvert ce côté analyse, critique et contextuelle, complètement informatif.
Commentaire Babelio sur « Le souffle de la liberté »
▻https://www.babelio.com/livres/Benies-Le-souffle-de-la-liberte--1944-le-jazz-debarque/1677812/critiques/4030577
Nostradamus27
23 juillet 2024
Dès 1933, le jazz est interdit à la radio de Berlin et l’interdiction s’étend à l’ensemble du Reich deux ans plus tard. Les Nazis qualifiaient le jazz de "musique de nègre", composante de l’art "dégénéré", et le régime en place à stigmatisaient les "zazous swingueurs".
Durant l’Occupation, le jazz est une musique transgressive qui bénéficie toutefois d’une certaine tolérance, l’association Hot Club de France continue son action de promotion de cette musique et Charles Delaunay est la principale figure des acteurs qui en font la promotion.
À la Libération, le jazz fait l’unanimité chez les Français ; ceux qui apprécient les Américains le louent et les communistes le considèrent comme la musique des noirs exploités. D’ailleurs une trentaine d’années plus tard en 1982, des militants communistes et des syndicalistes créent TSF à Bobigny ; c’est une radio où le jazz est très prisé. Elle a pour slogan de 2002 à 2008 : « La radio Jazz & infos » et prend d’ailleurs le nom de TSF Jazz en 2008.
L’auteur insiste notamment sur le fait qu’aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale est un des plus consensuels symboles de la liberté retrouvée. Grâce aux disques des artistes qui ne se rendent pas en Europe sont largement connus comme la chanteuse Billie Holiday qui ne vient qu’en 1954 à la Salle Pleyel et1958 avec un passage à l’Olympia. Il illustre son propos avec brio.
Trio : sans piano (25)
Si le trio batterie/contrebasse/piano est souvent considéré comme le trio par excellence, les combinaisons de trois instruments sont aujourd’hui très variées.
Une diversité surprenante, des inventions et des (dés)équilibres toujours renouvelés, des surprises encore et pas seulement par le choix de l’instrument « soliste ». Au hasard de ré-écoutes récentes.
chronique de 9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/08/11/trio-sans-piano-25
Projections : un piano et des mondes (14)
Pianiste seul·e face à cet instrument multiple…
Au hasard de ré-écoutes récentes.
Chronique de 6 cd et d’un coffret
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/08/07/projections-un-piano-et-des-mondes-14
Des enregistrements en 2023 (3)
Des disques et des musiques récentes. Prendre le temps de s’arrêter, d’écouter des albums. Ne pas se laisser guider par des algorithmes qui ne peuvent que fermer des fenêtres. S’éloigner des critères privilégiés par des commerçants, rarement disquaires, ou des productions des majors…
De multiples éditeurs nous permettent d’écouter des musiques et non de la programmation « profitable ». Quelques disques enregistrés, ici en 2023 au hasard des écoutes.
chroniques sur 9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/07/31/des-enregistrements-en-2023-3
Des enregistrements en 2022 (6)
Des disques et des musiques récentes. Prendre le temps de s’arrêter, d’écouter des albums. S’éloigner des critères privilégiés par des commerçants, rarement disquaires, ou des productions des majors, ne pas accepter d’être guidé·es par des algorithmes…
De multiples éditeurs nous permettent d’écouter des musiciens et des musiciennes et non de la programmation « profitable ». Quelques disques enregistrés, ici en 2022 au hasard des écoutes.
9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/07/24/des-enregistrements-en-2022-6
Des enregistrements en 2018 (10)
Des disques et des musiques récentes. Prendre le temps de s’arrêter, d’écouter des albums. S’éloigner des critères privilégiés par des commerçants, rarement disquaires, ou des productions des majors, ne pas céder aux sirènes des algorithmes…
De multiples éditeurs nous permettent d’écouter des musiques et non de la programmation « profitable ». Quelques disques enregistrés, ici en 2018, au hasard des écoutes.
chronique sur 9 cd
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/07/14/des-enregistrements-en-2018-10
Lecture critique sur Babelio - Le souffle de la liberté
▻https://www.babelio.com/livres/Benies-Le-souffle-de-la-liberte--1944-le-jazz-debarque/1677812/critiques/4006452
Merci à Babelio et à son opération Masse critique. Opération qui me permet d’aller découvrir des lectures vers lesquelles je n’irais pas seul.
Alors, le livre :
Je précise que j’aime le jazz, des origines à aujourd’hui et de tout lieu.
Lors de cette lecture, j’ai tout découvert. Je ne connaissais que les noms de certains musiciens et leur musique.
Nicolas Beniès apporte un éclairage surprenant dans cet écrit sur les jazz américain et français (et pas que !). Pas seulement en 1944, mais également avant et après.
Où j’ai découvert que le jazz, même pendant l’occupation allemande n’était pas « verboten », mais bien plus que toléré.
Où j’ai découvert que les soldats américains ont débarqué avec armes et musique. Cette dernière étant bien plus présente dans la majorité des foyers d’outre-Atlantique que dans les familles françaises. Absolument rien à voir !
C’est une lecture très intéressante et enrichissante.
J’ai apprécié moyennement le style d’écriture de l’auteur. Pour moi, il y manque ce qui rend captivant un texte fictionnel ou non : est-ce le plaisir des mots qui naissent pour être partagés, la vie des phrases qui invitent à découvrir les suivantes ? Je ne sais pas vraiment.
Petit bonus non négligeable, il y a la possibilité d’écouter la playlist en lien avec les musiciens cités dans le livre.
Voyages aux pays de grande liberté… (14)
Si la part d’improvisation est plus ou moins importante dans les concerts et les enregistrements de jazz, certains musicien-ne-s n’hésitent pas à nous offrir de longues d’improvisations collectives. Certaines rencontres se font, hors schéma, hors structure, ou du moins nommée comme telle. Cela ne signifie pas qu’une ou des nervures ne soient pas sous-jacentes à ces improvisations. C’est éventuellement à l’auditrice et à l’auditeur de les rechercher. Voyages donc aux pays de grande liberté… Au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/06/30/voyages-aux-pays-de-grande-liberte-14
Hier pour aujourd’hui. Quelques enregistrements des années 80 (6)
La musique et les disques survivent heureusement aux effacements organisés par les maisons de disques et les surfaces dites spécialisées.
Par simplification, les années 80. Certain-e-s musiciens-ne-s débordaient des cadres entravant leur liberté. D’autres approfondissaient des veines encore fécondes, d’autres encore créaient des passerelles entre les temps et les formes.
Restent aujourd’hui des disques nécessaires. Au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/06/16/hier-pour-aujourdhui-quelques-enregistrements-
A la rencontre (14)
Les musicien nes de jazz sont souvent parti·es à la rencontre d’autres musicien-ne-s et de leurs instruments à travers le monde. Ces dialogues fructueux soulignent combien l’idée même de frontières musicales est artificielle.
Au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/06/09/a-la-rencontre-14
Hier pour aujourd’hui, les années 2000 (12)
La musique et les disques survivent heureusement aux « contraintes » des surfaces spécialisées ou non, plus ou moins disquaires, mais plus attentives aux coûts financiers, à la vitesse de rotation et au niveau de leurs stocks qu’aux rythmes de diffusion de la musique. Sans oublier la mise en avant des productions des majors au détriment des multiples éditeurs qui nous permettent d’écouter des musiques et non de la programmation « profitable ».
Quelques disques enregistrés dans les années 2000, au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/06/05/hier-pour-aujourdhui-les-annees-2000-12
Feux et folies du Duke
Alain Pailler réédite en le transformant « Ko-Ko » sous titré « Duke Ellington en son chef-d’œuvre » pour rendre compte du processus créatif qui peut, parfois, échapper à son auteur. Une thématique qui n’est pas propre au jazz mais le jazz, par l’attention au moment, peut réussir une œuvre universelle impossible à refaire.
Alain Pailler : Ko-Ko. Duke Ellington en son chef-d’œuvre
« Duke at his Very Best, the Jimmy Blanton – Billy Strayhorn – Ben Webster Sessions, Legendary Works 1940-1942 »
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/06/02/feux-et-folies-du-duke
Multiplication de l’instrument (5)
Quelques enregistrements pour sortir des « sentiers battus » et errer dans les sonorités d’un instrument multi-présent. Des moments d’échanges ou de construction ensemble. Pour plonger dans des musiques qui ne s’épuisent pas dans une première écoute.
Au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/05/26/multiplication-de-linstrument-5
Mohamed Najem « From Bethlehem to Angers » en session TSFJAZZ ! - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=u2bf8sbebGA
Musicien palestinien #jazz
Mohamed Najem, clarinette
Clement Prioul, piano
Arthur Henn, contrebasse
Baptiste Castets, batterie
▻https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/open-jazz/mohamed-najem-le-mirage-de-jaffa-6056060
Clarinettiste né en Palestine, Mohamed Najem se situe au carrefour de trois cultures musicales : musique orientale, musique classique et jazz. Inspiré par les histoires que lui racontait son grand-père, né à Jaffa (« la fiancée de la mer et la ville des oranges »), Mohamed puise dans ses voyages et sa mémoire la richesse de ses mélodies, hautes en couleurs. Il crée ainsi, au-delà des styles, un nouveau langage musical, parcouru d’accents orientaux et contemporains.
▻https://www.telerama.fr/musique/jaffa-blossom-de-mohamed-najem-un-voyage-jazzy-au-parfum-oriental_cri-70314
Drôle de Bus que celui qui nous embarque dès la première piste : le genre qui a le diable au corps, supposé faire route vers l’Orient mais, étrangement, il semble d’abord rouler, voire valser sur des chemins klezmers, ose même une embardée salsa.
Étrangement, car le clarinettiste Mohamed Najem, Palestinien qui a grandi dans une commune chrétienne de Bethléem, en Cisjordanie, n’a transité ni par les pays de l’Est ni par les Caraïbes quand il est venu parfaire sa formation classique au conservatoire d’Angers. Il n’a jamais non plus mis les pieds à Jaffa, où est né son grand-père. Ce faubourg de Tel-Aviv au parfum d’orange, ville multiconfessionnelle incarnant la douceur méditerranéenne d’un vivre-ensemble encore possible, lui a pourtant inspiré son deuxième album, bouquet de réminiscences intimes qu’il fait refleurir avec piano, contrebasse et batterie.
Hier pour aujourd’hui, les années 90 (11)
La musique et les disques survivent heureusement aux « contraintes » des surfaces spécialisées ou non, plus ou moins disquaires, mais plus attentives aux coûts financiers, à la vitesse de rotation et au niveau de leurs stocks qu’aux rythmes de diffusion de la musique. Sans oublier ni les listes construites par des algorithmes ou la mise en avant des productions des majors au détriment des multiples éditeurs qui nous permettent d’écouter des musiques et non de la programmation « profitable ».
Quelques disques enregistrés dans les années 90, au hasard de ré-écoutes récentes.
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/05/15/hier-pour-aujourdhui-les-annees-90-11