Le Fond de culotte, #cocktail Ă base de Suze et de liqueur de cassis, joue sur les mots : « le fond de culotte ne s’use qu’assis »
]]>Alors là , c’est vraiment la fin des haricots : Coronavirus : Castelnaudary renonce à sa fête du cassoulet
â–»https://www.ladepeche.fr/2020/04/23/coronavirus-castelnaudary-renonce-a-sa-fete-du-cassoulet,8859401.php
Annuler la fête du Castelnaudary, la décision a coûté à son président Christian Combes comme au maire Patrick Maugard et tous ceux qui chaque année s’impliquent sans compter pour cet événement festif de la fin août. Mais la raison a prévalu dans cette décision dont l’annonce a été faite à l’issue d’une réunion avec tous les partenaires : confrérie du cassoulet, comité des fêtes, agriculteurs, office de commerce, la Ronde du cassoulet, Evasion nautique ou encore David Joulia.
(Pour que tu le sachiasses, pendant mes études, en partie à Carcassonne, en partie à Toulouse et Montpellier, j’ai participé deux années de suite à cette fête du cassoulet. Gros souvenirs – après il faut une semaine complète pour décuver et digérer, mais je suis certain que c’est bon contre Covid-19.)
]]>Oh, il y a un nouvel Ă©pisode des Passagers du vent de François Bourgeon ! C’est titrĂ© « Le Sang des Cerises » (#jeu_de_mot_maĂ®tre_cappello), et ça se passe Ă Paris juste après la Commune.
â–»https://www.bdgest.com/preview-2540-BD-passagers-du-vent-les-le-sang-des-cerises-livre-1.html
Je vais pas te dire que c’est l’épisode le plus haletant de la série, vu qu’il n’y a pas de bateaux, et que c’est un peu trop de name-dropping à mon goût. Mais c’est tout de même émouvant et pas déplaisant, et puis le fait que le gars poursuivre son épopée sur bientôt 40 ans, c’est impressionnant.
Alors sans aucune originalité de ma part : les Passagers du Vent, c’est la grande BD qui a accompagné mon adolescence. L’entrée dans l’âge adulte, parce qu’au fur et à mesure des relectures je comprenais de nouveaux thèmes (je n’ai jamais oublié qu’un jour je me suis rendu compte que, en une ellipse de deux cases, Isa avait été violée et que je ne l’avais pas compris jusque là – d’accord c’est assez évident, mais justement jeune ado je n’avais pas pigé aux premières lectures), au-delà de l’aventure et ses rebondissements, de la violence âcre de la vie sur le bateau, ses personnages féminins forts, et dans les épisodes suivants l’esclavage.
Je me souviens aussi que, quand j’ai visité le Vasa à Stockholm dans les années 90, évidemment que ce sont les images de Bourgeon qui m’ont servi de support pour comprendre ce que je voyais.
Bon, tu vas me dire que c’est de la #bd_à _papa, mais ça fait partie des choses qui me laissent des images avec lesquelles je vis 30 ans après.
]]>Ein Volk, ein paar Reiche, eine Mutti
â–»https://twitter.com/ulrikeguerot/status/900781911412531201âťž
« Gesehen : LitfaĂźsäule Gustav-MĂĽller-Str. - ohne Kommentar. » (Ulrike GuĂ©rot)
]]>Gros débat sur un article de Rue89 sur la violence médiatisée VS la violence invisible.
Certains s’insurgent de cette vache Ă lait journalistique que serait devenu la critique anti-sensationnaliste de certains sites vis-Ă -vis de leurs confrères plus « visibles ». Je trouve que le dĂ©bat avait sa place sur cet article, car effectivement il y allait de cette critique, mais encore une fois cette insurrection superficielle contre les approches mĂ©diatiques et non tant sur les contenus diffusĂ©s m’a un peu agacĂ©e. Le sujet sur les diffĂ©rentes violences et leur hiĂ©rarchisation mĂ©diatique Ă©tait passionnant, on l’a vu avec quelques posts ici. D’autant plus important que certaines figures politiques « de gauche » condamnent cette violence de la chemise dĂ©chirĂ©e, sans un mot pour la violence de la situation des salariĂ©-e-s AF. Alors que c’est d’une importance cruciale et que c’est mĂŞme un moment fort dans la lutte des syndicats que cette confrontation, du moins je le perçois de cette manière. J’aimerais que l’on souligne beaucoup plus sĂ©rieusement l’implication et l’importance des syndicats dans un cas de souffrance gĂ©nĂ©ralisĂ©e des employĂ©s, ne serait-ce que de pression et d’incertitude (ce sont dĂ©jĂ des violences du travail Ă mon sens). Au contraire, le mot syndicat (et on se rapproche dans ce sens du fĂ©minisme) a Ă©tĂ© tournĂ© en dĂ©rision, a Ă©tĂ© manipulĂ© de manière Ă ce qu’il sonne aux oreilles de tous, comme une grande mascarade qu’il est bon de ridiculiser. Or, cette lutte syndicale est forte, lĂ©gitime et Ă©mouvante.
Quelqu’un ici (et je vais retrouver qui) a eu un propos très frappant sur les grillages qui ne servent pas seulement à déshumaniser les migrants, mais peut aussi symboliser une lutte comme on l’a vu sur les dernières photos. Dans ma revue de presse à mes étudiants de L1, je leur ai cité cette phrase (raison de plus pour en retrouver l’auteur-e), ils ont applaudi (ils sont très très impliqués dans ce cours, c’est un vrai plaisir). Merci pour cette pensée, qui m’a beaucoup marquée et qui jamais restera dans les têtes de ces 250 élèves et citoyens !
Retrouvé-e, c’est @touti merci à toi !! Et je m’aperçois que j’ai d’ailleurs pas mal interprété ton propos, au temps pour moi
Si tu es à Beyrouth ce soir, tu ne dois surtout pas rater les Fareeq el Atrash (#jeu_de_mot_maître_Capello). C’est au Sunflower Theater ce soir à 20h30.
â–»http://www.beirut.com/l/23607
Fareeq el Atrash is a live Arabic hip-hop band representing Beirut, Lebanon. The crew has been consistently rocking stages at center of the bubbling local Beirut underground scene since 2006. It is spearheaded by the region’s finest and most lyrical emcees: Edd Abbas and Cappuchyno, along with the country’s hands-down best beatboxer, live vocal effects man, and all-round entertainer, FZ.
Backed by the forever-funky veteran drummer Fouad Afra and founding member and bass player John Imad Nasr, Fareeq el Atrash is set to release “Al Mawjeh el Tarsha”, their new album, and expand beyond Lebanon in their quest to bring socially conscious music that moves crowds and is in tune with the times.
John Nasr, comme tu le sais, c’est quasi mon cousin.
]]>Des voix s’élèvent pour annuler l’indemnité de 400 millions de dollars à verser aux Fattouche | Politique Liban | L’Orient-Le Jour
â–şhttp://www.lorientlejour.com//news/article.php?id=755989
C’est beau comme l’antique...
Les Fattouche, frères du ministre Nicolas Fattouche, qui est leur avocat, avaient portĂ© plainte en 2006 auprès du Conseil d’État pour revendiquer des indemnitĂ©s en raison de la fermeture de leurs carrières pendant deux ans (dans le cadre de l’application d’un plan directeur adoptĂ© par le gouvernement de l’époque). Ils ont eu gain de cause, obtenant des indemnitĂ©s qui, Ă l’époque, Ă©quivalaient Ă 250 millions de dollars. Il est aujourd’hui question de payer aux Fattouche une somme qui, selon Mazen Abboud, « s’élève actuellement Ă près d’un demi-milliard de dollars ». L’affaire a Ă©clatĂ© au grand jour la semaine dernière au cours du dĂ©bat de politique gĂ©nĂ©rale au Parlement. Elle avait Ă©tĂ© soulevĂ©e avec fougue par le dĂ©putĂ© Samy Gemayel, ce qui avait provoquĂ© l’ire du ministre Nicolas Fattouche.
]]>C’est horrible ! Je viens de découvrir que Seenthis était conçu pour faire de la #curation et que nous étions tous des #curators.
â–şhttp://fr.techcrunch.com/2010/11/25/lere-des-curators-aurait-elle-sonne
Ça sonne comme curé, curetage et récurer, ça n’est donc pas bon signe.
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