• La Lettonie accueille les milliers de jeunes européens de Taizé

    http://www.la-croix.com/Religion/Monde/La-Lettonie-prepare-accueillir-jeunes-europeens-Taize-2016-12-27-120081315

    La Lettonie se prépare à accueillir les jeunes européens de Taizé
    Antoine Jacob, correspondant à Riga (Lettonie)

    Quinze mille jeunes sont attendus à partir du 28 décembre et jusqu’au 1er janvier à Riga, en Lettonie, pour la Rencontre européenne de Taizé.

    Les Églises catholique, luthérienne et orthodoxe du pays s’entendent pour peser sur des débats de société.
    « Que près de 15 000 jeunes viennent ici, nouent des relations entre eux et avec les familles d’accueil, c’est formidable ! »
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    « Que près de 15 000 jeunes viennent ici, nouent des relations entre eux et avec les familles d’accueil, c’est formidable ! » / Antoine Jacob

    À l’église Sainte-Gertrude, dans le centre de Riga, le repas de Noël pour les nécessiteux vient à peine de s’achever qu’arrivent les premiers volontaires étrangers, sac au dos. Ceux-ci viennent d’Allemagne. Ils aideront au bon déroulement de la première rencontre européenne organisée par la communauté de Taizé dans un pays balte, à partir du 28 décembre et jusqu’au 1er janvier.

    Krists Kalnins, pasteur officiant dans cette église de style néogothique, n’en revient toujours pas que cette communauté œcuménique basée en Saône-et-Loire ait choisi la capitale de la Lettonie pour la 39e édition de cet événement. « Que près de 15 000 jeunes viennent ici, nouent des relations entre eux et avec les familles d’accueil, c’est formidable ! »

    Pour ce Letton né il y a 47 ans, durant l’occupation soviétique de son pays, l’événement revêt une signification particulière. Une fois l’indépendance lettonne retrouvée, en 1991, il s’est rendu à Taizé à une douzaine de reprises. Comme pour des compatriotes de sa génération, c’était sa première sortie dans le monde occidental.

    « Nous n’avions pas un sou. Les autobus étaient en mauvais état. Nous dormions là où on pouvait. C’était une époque un peu folle… », glisse-t-il. Autre pasteur servant à Sainte-Gertrude, Rinalds Grants, lui, y est allé sept ou huit fois : « Il y avait beaucoup plus de candidats au voyage que de places disponibles. Notre pasteur sélectionnait les chanceux. »
    En Lettonie, les Églises chrétiennes « collaborent et dialoguent bien »

    Cette année, c’est donc vers Riga que convergent des jeunes de toute l’Europe, ainsi que, en nombre plus faible, d’autres continents. L’invitation a été formulée en commun par les responsables des Églises catholique, orthodoxe, évangélique-luthérienne et baptiste de Lettonie.

    Les trois premières d’entre elles sont les mieux représentées dans ce pays peuplé d’à peine deux millions d’habitants, où le christianisme a pris racine au début du XIIIe siècle. Environ un quart de la population est catholique, un quart luthérienne et un quart orthodoxe.

    À Riga même, la majorité des chrétiens sont orthodoxes. Les 2 000 jeunes Ukrainiens et les 100 à 200 Russes attendus cette semaine ne seront pas dépaysés. Limitrophe de la Russie et de la Biélorussie, la Lettonie compte des minorités en provenance de ces pays, arrivés avant la création de l’État letton, en 1918, ou durant la période soviétique (1944-1991).

    Cette spécificité lettonne n’est généralement pas source de tensions, au contraire. Réprimées durant l’occupation, les Églises chrétiennes « collaborent et dialoguent bien » : « Nous nous aidons les unes les autres, autant que possible. Quand le cardinal Pietro Parolin, le secrétaire d’État du Vatican, est venu en mai, il a dit n’avoir jamais vu une aussi bonne entente ailleurs », se félicite l’archevêque catholique, Mgr Zbignevs Stankevics.

    Recevant dans son bureau, au cœur de la vieille ville, ce responsable cite des exemples. « En août, pour le 25e anniversaire de la restauration de notre indépendance, j’ai été invité à faire le sermon principal à la cathédrale luthérienne de Riga. Et tous les 18 novembre, jour de la Fête nationale, nous tenons une liturgie œcuménique », en présence des dirigeants politiques.
    « Les hommes politiques prennent en considération nos points de vue »

    Cette entente sert à peser dans le débat public, en particulier sur des questions de société. Ensemble, les Églises chrétiennes ont obtenu que soit mentionné dans la Constitution de la République le fait que le mariage est « l’union entre un homme et une femme ». En 2014, un préambule est ajouté à ce document, qui évoque les « valeurs communes humanistes et chrétiennes » fondant « l’identité » du pays. Préambule qui se termine par « Dieu bénisse la Lettonie ! »

    Mgr Stankevics parle volontiers des « lettres ouvertes » qu’il a envoyées, avec les responsables des autres Églises, pour plaider, par exemple, en faveur d’une loi « visant à interdire la propagande immorale à l’école, c’est-à-dire, implicitement, la propagande homosexuelle », précise-t-il. Malgré les vives critiques d’une partie de la société civile et des médias, le texte a été adopté en 2015. « Quand nous agissons ensemble, les hommes politiques prennent en considération nos points de vue, même s’ils ne sont pas nécessairement d’accord avec nous », constate l’archevêque.

    À Sainte-Gertrude, le pasteur Krists est sur la même longueur d’onde. Et il regrette que l’Église luthérienne de Suède, de l’autre côté de la Baltique, beaucoup plus libérale que celle de Lettonie, « ait perdu les valeurs communes des Églises chrétiennes, qui viennent de l’Évangile. » Autant de thèmes qui pourraient être abordés parmi les jeunes réunis à Riga.

    > À lire : Quand des jeunes catholiques et protestants font leur confirmation ensemble
    Antoine Jacob, correspondant à Riga (Lettonie).

    #Églises_chrétiennes #Riga #Lettonie #taizé #jeunes #jeunesse #chrétiens #orthodoxes #oecuménisme

  • Sur la justice des mineurs | Nicolas Sallée
    http://www.contretemps.eu/sallee-justice-mineurs

    À en croire cet article, tes premiers travaux portaient sur un autre sujet, le domaine médical. Qu’est-ce qui t’a fait te « déplacer » vers la question de la justice des mineurs ?

    NS : C’est vrai, j’ai réalisé une enquête, dans le cadre de ma première année de master à Nanterre, sur les prises de décision médicales au sein d’un service de cancérologie pédiatrique. Ce qui m’intéressait, c’était d’étudier les controverses qui surgissent quand se confrontent les points de vue de différents acteurs dans un contexte dramatique, marqué par la mort possible d’un enfant : médecins, certes, mais aussi psychologues, personnels infirmiers, éthiciens, parents, etc. Il y a donc une parenté avec mes travaux ultérieurs : l’étude des formes d’expertise qui se déploient autour de l’enfance et de la jeunesse, participant à la stabilisation, toujours relative, de diverses catégories : « l’enfant malade » dans ma première recherche, le « jeune délinquant » dans mes travaux plus récents. Et c’est encore l’objectif que je poursuis dans mes derniers travaux sur l’évolution des normes qui entourent la sexualité juvénile.

    #Diaporama #Enquête #Histoire #Stratégie #délinquance #droit #enfance #Etat #jeunesse #norme #pouvoir #répression #sociologie

  • Les jeunes Amérindiens de Guyane victimes d’une « épidémie de suicides »
    https://reporterre.net/Les-jeunes-Amerindiens-de-Guyane-victimes-d-une-epidemie-de-suicides

    Il faut dire que la situation est aussi dramatique qu’elle est inconnue du grand public. « C’est une situation de #génocide, on a l’impression que notre #jeunesse part en fumée. C’est pour cela qu’il faut que la #France, pays des droits de l’homme, soit responsable et se penche sur la question de la #Guyane et de l’#outre-mer en général, car ces suicides concernent tous les #peuples_autochtones, comme en #Nouvelle-Calédonie par exemple, où les gens se suicident en masse », continue le président.

    Comment expliquer cette violence que s’inflige la jeunesse des populations amérindiennes ? Si le rapport précise que les causes sont « multifactorielles », Aline Archimbaud insiste tout particulièrement sur le choc découlant de la découverte du monde dit « moderne » : « Des populations vivent dans des villages assez loin de la côte et de la ville, qui sont oubliées. Les jeunes se retrouvent déchirés entre deux identités : celle de leur famille, de leur village, où ils vivent jusqu’à 11 ans et auxquels ils sont très attachés et celle découlant de la découverte brutale du #monde_moderne, qui par certains aspects les séduit [les téléphones portables, etc.].

    Le problème, c’est que l’intégration à ce « nouveau monde » est très difficile. « Les jeunes Amérindiens ne sont pas forcément bien traités en ville, on les méprise. De plus, ils ont de grandes difficultés scolaires, car ils ne parlent pas la même langue. En définitive, ils ont beaucoup de mal à se projeter dans l’avenir », résume la sénatrice, pour qui cette crise identitaire joue énormément dans cette vague de suicides.

    Mais le rapport met aussi en avant le non-respect de droits élémentaires tels que l’accès à l’eau potable, à l’électricité. « Il y a beaucoup à faire pour améliorer l’accompagnement de ces populations, sur les plans sanitaire et scolaire notamment, insiste Aline Archimbaud. On s’est rendu compte que le suicide était le symptôme d’un mal vivre beaucoup plus général. » »

    #suicide

  • "Molenbeek : génération radicale", film sparadrap sur une ville en souffrance

    Un an après les attentats de Paris, les habitants de Molenbeek, une commune de #Bruxelles d’où venaient plusieurs terroristes, brisent le silence sur leur réalité quotidienne dans un documentaire diffusé lundi par la RTS.

    http://www.rts.ch/info/monde/8107443--molenbeek-generation-radicale-film-sparadrap-sur-une-ville-en-souffranc
    #radicalisation #ségrégation #frontière_spatiale (et #frontière_sociale) #islam #terrorisme #Belgique #jeunesse #espoir #djihad #religion #classes_sociales #ressources_pédagogiques #documentaire #film

    Très bon documentaire à mon sens, qu’il est possible de revoir dès demain, si j’ai bien compris... sur le site de la RTS, probablement ici :
    http://www.rts.ch/docs/lundi/8030686-le-doc-du-lundi.html
    cc @reka

    • RTS said: For legal reasons, this video is only available in Switzerland.

      heureusement on a youtube-dl + un vpn digne de ce nom

  • Ni « putes » ni prudes, et surtout pas « pédés » : attentes de genre chez les adolescent.e.s
    http://theconversation.com/ni-putes-ni-prudes-et-surtout-pas-pedes-attentes-de-genre-chez-les-

    Les outils numériques amplifient le poids des standards de genre Les outils numériques offrent des conditions idéales aux adolescent.e.s qui se prêtent à cet exercice de la conformité de genre pilotée par la conformité aux standards de féminité/de masculinité, et d’hétérosexualité.

    • L’adolescence est une période de conformité aux stéréotypes de genre, mais également de mise en marge de celles et ceux qui ne se conforment pas à différents degrés à ces attentes (adolescent.e.s trans ou questionnant leur identité de genre, adolescent.e.s gays, lesbiennes, bisexuel.le.s, garçons studieux ou artistiques, filles revendiquant un intérêt pour la sexualité ou le sport, etc.).

      Si l’article dit vrai on vit dans une époque réactionnaire où les images imposées par une majorité de droite (eh oui, l’orientation ne se définit pas qu’à traver des choix économiques et dans le cadre d’un système politique établi) exercent une néfates énorme pression sur les jeunes.

      Quand le lis ce genre de témoignage je me sens comme si ma jeunesse s’était passé dans une bulle de liberté parfaite où on mettait en question tout ce qu’on rencontrait, tout c’e qui nous intéressait, et surtout nos comportements et idées par rapport à nos corps et à notre sexualité. Pourtant on avait les mêmes soucis et préoccupations que partagent depuis toujours les jeunes du monde entier.

      La preuve :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Rom%C3%A9o_et_Juliette
      https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27%C3%89veil_du_printemps
      etc.

      #jeunesse #sexualité

    • On vit sans doute dans une époque où reviennent avec une vigueur qui nous surprend des idées réactionnaires. Le sentiment est renforcé peut-être par le côté contre-intuitif lié à une représentation implicite d’un inéluctable progrès historique qui, du coup, ne se vérifierait pas.
      Il est vrai que le « sens commun » semble revenir sur des terres conservatrices, mais je doute que « c’était mieux avant ». Mes souvenirs de mes jeunes années (des vestiaires de la piscine à l’école, aux « discussions entre mecs » de l’adulescence en passant par l’intégration aux groupes de collégiens ou lycéens) sont finalement assez proches de ce qui est décrit. Les mots n’étaient pas les mêmes, mais les mécanismes oui, très exactement.

      Cf. aussi : https://seenthis.net/messages/536128

      Lorsque nous vieillissons, d’autres phénomènes s’ajoutent et influent sur notre mémoire. La théorie de la sélectivité socio-émotionnelle montre par exemple qu’avec l’âge, nous retenons plus facilement les stimuli (événements, visages, informations) positifs que négatifs, ce qui pourrait expliquer physiologiquement notre tendance à dire que « c’était mieux avant ».

      Une des explications avancées serait qu’en vieillissant, la perspective de notre finitude nous pousserait à nous concentrer davantage sur notre bien-être et sur la régulation de nos émotions, et donc de prioriser le positif (voir ici ou ici). Pourtant, il semble que cette reconstruction optimiste du passé ne nous aide en définitive pas vraiment à positiver le présent, car nous serions confronté au quotidien à une réalité moins idyllique que nos souvenirs.

    • Tu as sans doute raison… je ne me sens pas assez calé pour répondre vraiment.
      Je suis juste surpris que ça ait pu être moins pire qu’aujourd’hui à une époque où une partie des « indicateurs » que tu mentionnes n’existaient même pas faute d’un minimum de conscience sociale de ces problématiques hors des cercles de militantes. Par exemple, tu parles du consentement, si on prend le marqueur du droit, le premier cas de crime de viol entre époux reconnu par la justice date de 1990, donc intuitivement j’ai du mal à croire que dans les années 80, les mentalités rendaient les hommes plus attentifs à la question du consentement qu’aujourd’hui.
      Mais bon, je ne suis ni légitime ni expert de ces questions. Je vais juste tenter de prendre l’exemple de la littérature jeunesse que je connais un peu mieux pour illustrer mon questionnement sur le « c’est de pire en pire ». Avant 1968, les stéréotypes de genre en littérature jeunesse n’étaient même pas en débat. Dans les années 70, il y a eu Adela Turin, les éditions « Le sourire qui mord », etc. Mais qui les lisaient ? Plus de vingt ans plus tard (!), en 1999, nous avons la thèse d’Hélène Montardre, intitulé « L’image des personnages féminins dans la littérature de jeunesse française contemporaine de 1975 à 1995 » qui pointent une force des représentations stéréotypées et une hégémonie des héros garçons. Un travail de conscientisation est fait avec en pointe l’indicateur « présence en couverture d’héroïnes filles non stéréotypées pouvant être un modèle d’identification ».
      Aujourd’hui, où en est-on ? À la fois, il y a un fort retour de la littérature et des magazines genrées, donc c’est pire. Mais en même temps, il y a de nombreuses ressources déclinées en fictions et documentaires qui n’existaient pas il y a 8 ans lorsque j’ai commencé à travailler sur le thème « égalité filles-garçons », les listes bibliographiques ont fleurit permettant un meilleure essaimage de cette question auprès des professionnel.le.s de l’enfance, comme on dit. L’édition généraliste a aussi été sensibilisé et a pris en compte l’indicateur mentionné plus haut. Ainsi une auteure me disait qu’un magazine d’histoires pour petits à grand tirage lui avait pris une fiction courte en lui demandant de changer le garçon, personnage principal, en fille, car ils n’avaient pas leur quota sur l’année. Donc ce n’est pas si simple que de dire « c’est pire » (ce qui est ma première intuition lorsque j’entre dans une maison de la presse ou un espace culturel Leclerc).
      Je peux me tromper mais j’ai l’impression qu’en terme de racisme, sexisme, grossophobie, etc, ce n’est pas pire qu’avant. Par contre ce qui a changé et qui fait craindre le pire, c’est que depuis les années 70, on était dans une dynamique de délégitimation de ces oppressions, et qu’aujourd’hui le vent souffle dans l’autre sens, et ça fait peur.

    • Le discours public s’est individualisé. La liberté est aujourd’hui définie comme une choses individuelle, alors qu’on la considérait possible qu’à travers des actes collectifs. Les comportements et préférences sexuelles furent alors considérées comme des fonctions de l’existence d’êtres sociétals. D’où la possibilité d’établir un lien systématique entre sexualité et révolution (ou réaction) politique. Cette vision dialectique des choses n’existe plus dans la conscience collective, enfin individuelle ;-).

  • Wir stellen uns vor ! | Jup !
    https://jup.berlin/ueber_uns
    La fondation pour la jeunesse et les familles de Berlin se paie encore un portail web. Celui-ci est en plus doté d’une app pour iphone et d’une app pour smartphones android. En plus il y a de jeunes redacteurs.

    jup! Berlin ist das Jugendportal für Berlin für Jugendliche im Alter von 12 bis 18 Jahren. Mit der Webseite, den Datenbanken und der mobilen App, werden Jugendliche informiert und haben die Möglichkeit, sich mit anderen Jugendlichen auszutauschen, selbst Inhalte zu produzieren, sich beraten zu lassen, mitzureden und sich an politischen Prozessen zu beteiligen.

    C’est exactement avec cette approche qu’on brise la domination de Youtube et Facebook. Chapeau !

    Wir sind das Informations- und Beteiligungsportal für Jugendliche.
    Hier könnt ihr euch informieren, orientieren, eigene Inhalte erstellen, eure Interessen vertreten, eure Meinung sagen, Mitstreiter_innen suchen und Beratung und Unterstützung für eure Ideen und Probleme finden.

    jup! Berlin präsentiert Nachrichten von Jugendlichen für Jugendliche und damit das Portal euren Vorstellungen entspricht, haben wir beim Erstellen der Website zahlreiche Jugendworkshops durchgeführt, damit ihr die Möglichkeit hattet, mitzuentscheiden.

    Das Berliner Jugendportal, jup! Berlin, wird durch die Jugend- und Familienstiftung des Landes Berlin im Auftrag der Senatsverwaltung für Bildung, Jugend und Wissenschaft im Rahmen des Landesprogramms jugendnetz-berlin.de umgesetzt.

    Teamvorstellung

    Im jup! Berlin Büro

    Lisa Dres
    Lisa Dres ist Projektleiterin von jup! Berlin und zuständig für ePartizipations-Projekte. Vor jup! Berlin hat sie unter anderem selbstständig als Medienpädagogin gearbeitet, im Bundesprogramm Zusammenhalt durch Teilhabe mitgewirkt und ein Praktikum in der Abteilung für Jugendprojekte des Deutschen Bundestages gemacht. Sie ist musikbegeistert, eine Leseratte und am liebsten am Meer.

    Mareen Brauer
    Mareen ist für den Bereich des Jugendmagazins zuständig und betreut als Medienpädagogin die jup! Jugendredaktion. Vor jup! Berlin hat sie in Leipzig und Erfurt studiert, medienpädagogische Projekte mit Kindern und Jugendlichen umgesetzt und bei KiKA in der Zuschauerredaktion gearbeitet. In ihrer Freizeit bereist sie gern die Welt, schaut Filme und liest gern Bücher.

    Narod Cahsai
    Narod Cahsai arbeitet als Redakteur bei jup! Berlin und betreut dort den Bereich Jugendinformation. Vor jup! Berlin war er im journalistischen Bereich und politischen Stiftungswesen tätig. Seine Schwerpunkte sind unter anderem urbane Jugendkulturen und Diversity-Themen.

    Abdu Baack
    Ich heiße Abdu Baack und bin ’97er Jahrgang. Mein momentan größtes Hobby ist die Fotografie durch die ich auch zu jup! gekommen bin. Zusammen mit Lucas habe ich einen Facebook-Foto-Blog namens LANB. Außerdem setze ich mich in meiner Freizeit mit einigen anderen Projekten, unter anderem meiner eigenen Facebook-Foto-Seite, auseinander. Darüber hinaus programmiere ich zusammen mit Freunden.

    #Allemagne #Berlin #fondations #jeunesse #médias

  • Tournesols taïwanais, parapluies hongkongais
    http://www.laviedesidees.fr/Tournesols-taiwanais-parapluies-hongkongais.html

    Les récentes élections à Taïwan et Hong Kong attestent de l’impact profond et durable qu’y ont eu les mouvements étudiants de 2014. Si l’expression d’une critique purement « identitaire » est impossible face à la Chine, les revendications démocratiques gagnent en revanche du terrain.

    #Revue

    / #démocratisation, #jeunesse

  • Identitaires : retour à la case départ
    http://lahorde.samizdat.net/2016/09/16/identitaires-retour-a-la-case-depart

    En juillet dernier, le #Bloc_Identitaire a annoncé qu’il redevenait « Les Identitaires ». Dans son communiqué officiel, #les_Identitaires parlent de « changement » : pour notre part, on trouve que ça ressemble surtout à une stagnation, pour ne pas dire à un constat d’échec… Pour s’en convaincre, voici un petit rappel de ce qu’ont été les Identitaires [&hellip

    #Extrême_droite_institutionnelle #Extrême_droite_radicale #Fabrice_Robert #Génération_Identitaire #Jeunesses_identitaires #philippe_vardon

  • Kinder- und Jugendhilfe im Zeitalter der Schuldenbremse | Telepolis
    http://m.heise.de/tp/artikel/49/49365/1.html
    Le gouvernement de droite nous prépare encore une transformation néo-libérale des lois régissant l’aide aux enfants et à la jeunesse. Celle ci risque de changer les paradigmes sur lesquels est bâti le système des aides publiques.

    Der Sozialpädagoge Oliver Conraths von der Systematischen Erziehungshilfe Siegen spricht von einen Ausschluss der Öffentlichkeit, der mit den Geheimverhandlungen zu TTIP vergleichbar sei. Conraths betont im Gespräch mit Telepolis, es liege nicht an der vielleicht trockenen Materie, dass über die geplante Novellierung der Kinder- und Jugendhilfe so wenig gesprochen werde. „Bei der letzten Reform des SGB VIII im Jahre 1990 wurde eine offene und fachlich fundierte Diskussion geführt. Im Ergebnis wurde ein Gesetz verabschiedet, welches von vielen Fachkräften angenommen wurde. Diesmal sind die geplanten Änderungen von Intransparenz und Geheimhaltung gekennzeichnet“, moniert Conraths.

    Auch inhaltlich hat Conraths massive Kritik an dem Reformentwurf. Das bisher geltende SGB VIII hat in einer für viele andere Länder vorbildlichen Weise Rechte für Kinder und Jugendliche und deren Eltern auf Hilfen ermöglicht, die mit dem vorliegenden Entwurf unter dem Deckmantel „Große Lösung“ aus finanziellen Gründen zurechtgestutzt werden, kritisiert Conraths und führt ein Beispiel an. So sollen Eltern künftig keinen Anspruch auf „Hilfen zur Erziehung“, sondern die Kinder und Jugendlichen einen Anspruch auf „Hilfe zur Entwicklung“ haben. Was auf den ersten Blick als Stärkung der Kinderrechte erscheinen mag, hält der Sozialpädagoge für fatal. Den Eltern werde so die Möglichkeit genommenen, eine kinderwohlorientierte Erziehung zu unterstützen. Kritisch sieht Conraths auch die vom Bundesfinanzministerium forcierten Bestrebungen einer „Regionalisierung der Sozialgesetzgebung“. Dadurch soll des den Bundesländern ermöglicht werden, von bundesrechtlichen Standards in der Kinder- und Jugendarbeit abzuweichen. Die Folge sei eine „Regionalisierung von Armut und sozialer Benachteiligung, die auf keinen Fall mit dem Grundgesetz vereinbar ist“.
    Wie man mit schönen Worten den Rechtsanspruch auf Hilfe zurechtstutzt

    Auch der Professor für Kinder- und Jugendhilferecht an der Evangelischen Fachhochschule Bochum Florian Gerlach und sein Fachkollege von der Hochschule für angewandte Wissenschaften in Hamburg, Knut Hinrichs teilen die Kritik.

    „Wie man mit schönen Worten den Rechtsanspruch auf Hilfe zur Erziehung zurecht stutzt“ haben sie ihre erste Analyse des Entwurfes eines Reformgesetzes zum SGB VIII überschrieben. „Im Ergebnis öffnet der Gesetzentwurf der haushaltspolitischen Einflussnahme auf die Soziale Arbeit Tür und Tor“, so die Einschätzung der beiden Professoren.

    In ihrer Analyse setzen sie sich mit der in der Diktion kinderfreundlichen Ausrichtung des Reformentwurfs kritisch auseinander. Die Eltern seien nicht mehr Bezugspunkt für eine anzustrebende Verbesserung der erzieherischen Situation, sondern würden tendenziell als Störenfriede der eigenen Ansprüche der Kinder und Jugendlichen wahrgenommen. „So gesehen stellten dann Kinderrechte ein Vehikel dar, um das staatliche Wächteramt in den familialen Bereich auszudehnen; denn es ist klar, dass dann, wenn die Eltern die Rechte ihrer Kinder nicht wahrnehmen, die Frage im Raum steht, wer es dann statt ihrer tut“, kritisieren Gerlach und Hinrichs.

    Den Jugendämtern werde in dem Reformentwurf ein größerer Ermessensspielraum bei der Kinder- und Jugendhilfe gegeben. Die Professoren befürchten, dass die Kontrollmöglichkeiten der Jugendämter weiter reduziert werden und juristische Klagen auf Leistungen der Kinder -und Jugendhilfe weiter erschwert würden. Schon heute würden gewonnene Prozesse nicht dazu führen, dass die Jugendämter die vorenthaltene Hilfe gewähren müssen. Die Jugendämter würden nur veranlasst, ihre ablehnenden Bescheide besser zu begründen.

    Der Machtzuwachs und die reduzierten Kontrollmöglichkeiten der Jugendämter nach der geplanten Novellierung sind für Hinrichs und Gerlach fatal. „Es ist das Signal an die Verwaltungsgerichte und die Berechtigten, dass die Kinder- und Jugendhilfe der Garantie des Sozialrechts überdrüssig geworden ist“, so ihr Fazit.

    #Allemagne #droit #jeunesse #social

  • Frédéric Lordon au Bondy Blog : “Avec Nuit Debout, le feu n’a pas pris” | Bondy Blog
    http://www.bondyblog.fr/201609080800/frederic-lordon-bondyblog

    La première réception médiatique de Nuit Debout avait été étonnamment bonne. Pas si étonnamment d’ailleurs quand on y pense : tout conspirait en effet à ce qu’elle le fût : la composition sociologique de la place, réunissant essentiellement de la #jeunesse urbaine éduquée et précaire, bien faite pour susciter une sympathie aussi spontanée qu’irréfléchie de la part de la #classe médiatique, un effet de sympathie par similitude d’ailleurs porté à son comble avec les #journalistes de terrain envoyés tendre un micro ou une caméra, et qui sont eux-mêmes des représentants typiques de cette jeunesse qu’ils venaient interroger ; et surtout, une orientation que j’ai qualifiée de “citoyennisme”, et même de “citoyennisme intransitif” en cela qu’elle était surtout préoccupée de débattre pour débattre, et d’écarter toute arête saillante, tout thème clivant, pour mieux “rassembler” et “inclure”. Lors de ce meeting, j’avais annoncé que les choses changeraient instantanément du moment où s’affirmerait dans Nuit Debout une ligne non pas citoyenniste mais combative, assumant pleinement le #conflit #politique et #social, en l’occurrence décidée, dans la conjoncture qui était alors la nôtre, à l’engagement au côté des organisations de salariés dans le mouvement contre la loi El Khomri. Je rappelle incidemment que la naissance même de Nuit Debout, telle qu’elle a été portée par ses initiateurs à partir de février a eu intimement partie liée avec le mouvement social, d’abord au travers du film “Merci patron !”, ensuite parce que le mot d’ordre “On ne rentre pas chez nous !” ne faisait sens que comme prolongement de la #manifestation du 31 mars. Je laisserai à d’autres le soin de déterminer, de la ligne citoyenniste et de la ligne politique-sociale, laquelle l’a emporté. On a rarement vu un mouvement de #contestation d’un ordre social célébré par les gardiens de cet ordre social. C’est exactement ce qui s’est produit. La réception médiatique s’est renversée du tout au tout. Ça a été une explosion généralisée d’éditoriaux hallucinés – car cette fois-ci, il n’était plus question de laisser cette histoire aux soutiers de l’#information, ça devenait une affaire d’éditorialistes. Il faudrait établir une anthologie de ce qui a pu s’écrire à cette époque, c’est réjouissant de bêtise et de délire. La chose qui a fait disjoncter le système, c’est que nous remettions à l’agenda du débat public ce que tous ces gens se sont efforcés d’en chasser depuis des décennies : la question du #capitalisme.

  • #primaire à #droite : les #jeunes sont les oubliés des programmes des candidats
    https://www.mediapart.fr/journal/france/140716/primaire-droite-les-jeunes-sont-les-oublies-des-programmes-des-candidats

    Les candidats à la primaire de novembre communiquent à l’excès sur les jeunes qui les entourent. Mais au-delà des selfies et des formules creuses, la #jeunesse ne semble susciter que très peu d’intérêt à droite, comme en témoignent les différents programmes des ambitieux de 2017. Car ce sont les plus de 65 ans qui domineront largement l’électorat de la primaire.

    #France #Alain_Juppé #Bruno_Le_Maire #François_Fillon #Les_Républicains #LR #Nicolas_Sarkozy

  • Une jeunesse sacrifiée et qui le sait (regards.fr)
    http://www.regards.fr/web/article/une-jeunesse-sacrifiee-et-qui-le

    Une récente enquête, peu médiatisée, établit l’ampleur de la désespérance politique chez les 18-25 ans. Sentiment d’abandon, progression de l’abstention et des intentions de vote FN : c’est un feu qui couve dans la jeunesse.

    #jeunesse #politique #sondage #ANACEJ

  • Loi sur le travail : la mobilisation s’amplifie
    https://www.mediapart.fr/journal/france/310316/recit-manif-0

    Bien décidés à empêcher le gouvernement de présenter son projet de loi sur le travail au Parlement, des manifestants ont défilé partout en #France pour demander le retrait du texte. Selon les organisateurs, plus d’un million de syndicalistes, #étudiants et simples citoyens se sont déplacés. Ils donnent déjà rendez-vous le 9 avril pour de nouveaux défilés.

    #jeunesse #loi_travail #manifestation #syndicats

  • Une jeunesse dans la #Jungle de #Calais

    Espoirs, désillusions, rites initiatiques, solidarité intercommunautaire, curiosité, joie de vivre, partage, peur du lendemain, rêves d’avenir avant le démantèlement de la jungle de Calais.


    http://www.franceculture.fr/emissions/sur-les-docks/une-jeunesse-dans-la-jungle-de-calais

    #jeunesse #quotidien #asile #migrations #réfugiés #campement

  • A Pôle Emploi, des services civiques sous-payés et non-formés pour accueillir les chômeurs
    http://larotative.info/a-pole-emploi-des-services-1471.html

    https://larotative.info/home/chroot_ml/ml-tours/ml-tours/public_html/local/cache-vignettes/L650xH300/service_civique-70221.png?1459262102

    Depuis plusieurs mois, des centaines de jeunes sont apparus dans les agences Pole Emploi pour aider les chômeurs et chômeuses à utiliser les outils numériques. Si le discours officiel évoque un engagement volontaire au service de l’intérêt général, la réalité dont témoignent les jeunes est bien différente.

    Affublés de gilets bleus, Marion, Ethan et Loïc sont en première ligne face aux chômeurs. Depuis plusieurs mois, ils réalisent un service civique au sein de Pôle Emploi en Indre-et-Loire. Sur le papier, chacun d’entre eux est venu « vivre de nouvelles expériences, acquérir de nouvelles compétences, augmenter sa confiance en lui et s’ouvrir à d’autres horizons », dans le cadre d’un « engagement volontaire au service de l’intérêt général ». Dans les faits, le recours à des services civiques au sein de Pôle Emploi soulève de nombreuses critiques, et les volontaires ne sont pas les derniers à s’en plaindre. Le mot « exploitation » revient souvent. Certains parlent d’une « main d’œuvre gratuite » utilisée abusivement.

    L’après-midi, il arrive à Loïc d’animer des ateliers d’écriture de CV. Comme c’est le cas pour de nombreuses tâches que les volontaires sont amenés à effectuer, il n’a pas été formé. Il explique sa frustration : « On n’est pas censés le faire : on est accompagnateurs, pas animateurs ». Depuis que les agences sont fermées l’après-midi, sauf pour les chômeurs ayant rendez-vous avec leur conseiller, il doit aussi ouvrir la porte de l’agence. Au passage, il doit refuser l’entrée à celles et ceux qui n’ont pas de rendez-vous mais sont passés faire une photocopie, ou dans l’espoir d’obtenir un renseignement. C’est donc lui qui se fait engueuler par les demandeurs d’emploi laissés à la porte par la nouvelle organisation des agences.

    En janvier, François Hollande annonçait une augmentation du nombre de jeunes qui devraient être amenés à réaliser un service civique, avec un objectif de 350 000 volontaires par an en 2018. L’objectif 2016 s’élève à 110 000 volontaires, et le patron de Pôle Emploi annonçait en juillet 2015 dans L’Opinion que 2 000 services civiques seraient « embauchés » (sic). Marc, qui travaille régulièrement au contact de volontaires en service civique, est très critique de cette politique :

    « Il y a des objectifs complètement hallucinants en ce qui concerne le nombre de jeunes qui doivent faire un service civique. Le gouvernement cherche à en placer un maximum à travers de grands programmes nationaux, comme Pôle Emploi, la CAF, l’Education Nationale... C’est fait à la va-vite, sans préparation, sans explication de ce qu’est le service civique. Ce dispositif peut être intéressant, mais là ils inversent le mécanisme : on n’est pas face à des besoins qui émergent d’associations ou de structures locales, mais face à des objectifs nationaux qui s’imposent. »

    Concernant les services civiques à Pôle Emploi, il explique :

    « Ce dispositif s’inscrit dans le contexte d’une casse du service public de l’emploi : on confie à des jeunes non qualifiés des missions qui relèvent normalement d’agents formés. Le fait de mettre des jeunes non formés face à des demandeurs d’emploi qui peuvent être en souffrance ou en difficulté, ça n’est pas une réponse satisfaisante. »

    Pour recruter des services civiques, Pôle Emploi peut même recourir au chantage. C’est ce à quoi Marion affirme avoir été confrontée. Inscrite à Pôle Emploi depuis un an, elle ne s’était encore jamais vu proposer d’offre de boulot. Quand la proposition de faire un service civique lui est parvenue, elle n’a pas pu dire non : son conseiller lui a indiqué que si elle refusait, la formation qu’elle avait démarrée ne serait pas financée. Et tant pis pour le caractère « volontaire » du service civique.

    #service_civique #pole_emploi #chômage #jeunesse #rezo

  • Hollande se craint foutu si la #jeunesse va dans la rue
    https://www.mediapart.fr/journal/france/040316/hollande-se-craint-foutu-si-la-jeunesse-va-dans-la-rue

    Depuis l’appel à manifester le #9_mars contre le projet de réforme du #Code_du_travail, lancé par 20 organisations de jeunesse, le gouvernement craint l’effet dévastateur pour le quinquennat de manifestations massives, dix ans après le CPE. « Un mouvement social, des provocations, des violences, et un drame… Cela fait sauter un gouvernement », résume un ministre.

    #France #Elysée #François_Hollande #loi_sur_le_travail #manifestation #Myriam_El_Khomri

  • Hollande se craint foutu si la #jeunesse est dans la rue
    https://www.mediapart.fr/journal/france/040316/hollande-se-craint-foutu-si-la-jeunesse-est-dans-la-rue

    Depuis l’appel à manifester le #9_mars contre le projet de réforme du #Code_du_travail, lancé par 20 organisations de jeunesse, le gouvernement craint l’effet dévastateur pour le quinquennat de manifestations massives, dix ans après le CPE. « Un mouvement social, des provocations, des violences, et un drame… Cela fait sauter un gouvernement », résume un ministre.

    #France #Elysée #François_Hollande #loi_sur_le_travail #manifestation #Myriam_El_Khomri

  • Jüdisches Museum Berlin: Kinder, Schüler, Lehrer - Lesenswerte Bücher zu Nationalsozialismus und Holocaust
    http://www.jmberlin.de/ksl/literatur/ns/literaturtipps_NS_DE.php

    Zum Thema Nationalsozialismus und Holocaust wurden in den letzten Jahrzehnten unzählige Kinder- und Jugendbücher veröffentlicht. Es ist nicht leicht, sich einen Überblick darüber zu verschaffen bzw. in der Masse der Bücher solche zu finden, die das Thema angemessen und gut darstellen. Das Jüdische Museum Berlin wird oft nach Buchempfehlungen zu Nationalsozialismus und Holocaust gefragt. Aus diesem Grund haben wir – eine Gruppe von Mitarbeiterinnen und Mitarbeitern unterschiedlicher Bereiche des Museums – uns zusammengetan und über mehrere Jahre hinweg Bücher gelesen und diskutiert.

    In der Broschüre finden Sie Titel, die wir empfehlen – für den Unterricht, aber auch zur privaten Lektüre.

    http://www.jmberlin.de/ksl/literatur/ns/lesenswerte-buecher-ns2016.pdf

    #holocaust #jeunesse #lecture #auf_deutsch

  • Theater Rote Grütze : error code 404
    http://www.theater-rotegruetze.de


    C’est triste quand on apprend qu’une bande de gaillard révolutionnaires a disparu de la circulation. Il y a encore des traces comme source de future inspiration.

    Theater Rote Grütze
    https://de.wikipedia.org/wiki/Theater_Rote_Gr%C3%BCtze

    Das Theater Rote Grütze ist ein Kinder- und Jugendtheater in Berlin.
    Geschichte
    Der Schauspieler des GRIPS-Theaters Holger Franke gründete 1972 mit anderen das sozial engagierte realistische Kindertheater Rote Grütze. Mitbegründer und Schauspieler waren: Helma Fehrmann (1944–2010), Dagmar Dorsten, Günter Brombacher (1950–2012), Reinhold Schäfer und Alfred Cybulska.
    ...
    Das erste Projekt war 1973 das Aufklärungsstück Darüber spricht man nicht . Bis heute (Stand: 2006) wurde das Stück in über 40 Inszenierungen im In- und Ausland gezeigt, darunter in Japan, Kanada und Kenia.

    Danach folgte 1976 wieder ein Aufklärungsstück mit dem Titel Was heißt hier Liebe . Das Stück wurde 1977 mit dem Brüder-Grimm-Preis des Landes Berlin ausgezeichnet und 1978 verfilmt. Bis heute wurde es im In- und Ausland über 100 mal inszeniert.

    Danach folgten weitere Theaterstücke die sich mit aktuellen Themen beschäftigten wie Drogen (Mensch ich lieb’ dich doch, 1980), Fußball (Einer wie ich – oder wie Günter Netzer den Ball streichelt, 1986) oder Gewalt (Gewalt im Spiel, 1987). Von 1996 bis 2001 ruhte das Spiel- und Produktionsgeschehen. Dann wurde das Theater Rote Grütze von Holger Franke und Ricky Strohecker neugegründet mit verschiedenen Spielorte in Berlin, Frankfurt (Oder) und Bonn.

    Rote Grütze
    http://www.theaterberlin.de/theater-Rote-Gruetze-2032.html

    Karl Kunger Straße 69, 10435 Berlin, Tel.: 030/53218992, Fax: 030/53218993, info@theater-rotegruetze.de

    Mit den Mitteln des theatralen Spiels soll der Verein „Theater Rote Grütze e.V.“ Aufmerksamkeit, Achtsamkeit und Aufgeschlossenheit von Menschen unterschiedlicher Herkunft, Hautfarbe, sozialer und kultureller Prägung füreinander befördern und diese zu produktivem Austausch und Kontakt anregen. Seine besondere Zuwendung inhaltlicher, ästhetischer und organisatorischer Art gilt dabei den Menschen, die nicht in einer wünschenswerten Weise am gesellschaftlichen Leben teilnehmen können oder beteiligt werden. Der Verein will diesen Menschen mit seinen Angeboten dauerhafte Freude am Theater, an seinem spielerischen Umgang mit der Wirklichkeit - als lebendige, das eigene Leben betreffende und bereichernde Erfahrung - nahe bringen. Er versteht seine Arbeit als Beitrag zur „bedeutendsten aller Künste: der Lebenskunst“ (B. Brecht).

    THEATER Saudumm und Gomorrha
    http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-40607039.html

    Das Ärgernis- und Erfolgsstück „Was heißt ’n hier Liebe?“ des Berliner Kindertheaters „Rote Grütze“ kommt jetzt als Theater-Verfilmung in die Kinos.

    #théâtre #Berlin #jeunesse #libération_sexuelle

  • Le livret citoyen, un dispositif de contrôle.

    Le travail et l’emploi sont des moyens de contrôle partiels et insuffisants. Comme l’a montré la création des « fichiers base élèves », il faut trouver d’autres prises sur l’expérience vécue, tout au long de la vie .

    Dans un modèle préexistant à la récente annonce de Hollande, le livret du #citoyen, il s’agit d’inculquer au #jeune de 18 ans des devoirs présentés comme conditionnant le droit aux droits (nulle mention parmi les divers textes constitutionnels cités du "droit à des moyens convenables d’existence ", par exemple.)
    http://www.jeunes.gouv.fr/IMG/UserFiles/Files/Livret_du_citoyen-2-2.pdf

    Un autre s’adresse à l’#étranger, candidat à la naturalisation
    http://www.immigration.interieur.gouv.fr/Accueil-et-accompagnement/Le-livret-du-citoyen

    Livret citoyen et service civique : De la mobilisation de l’Ecole à celle des jeunes
    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2016/01/12012016Article635881777208869019.aspx

    Le président de la République a demandé l’extension de la Journée de la défense à une semaine entière. Il a annoncé la création d’un livret citoyen. Il a aussi promis de généraliser le #service_civique en commençant déjà par le tripler d’ici 2018. Pour les jeunes français [...] voici venu le moment de la mobilisation, des #devoirs et non plus des droits. Quatre ans après 2013, une nouvelle façon de dire que la #jeunesse est une priorité..

    Sur l’instauration d’un #livret_citoyen pour les 16/25 ans (soit précisément ces précaires interdits d’accès au RSA), Vincent Ollivier, avocat
    https://blogs.mediapart.fr/vincent-ollivier/blog/120116/sur-l-instauration-d-un-livret-citoyen-pour-le-jeune

    Ce faisant, il traduit d’ailleurs le souci qu’il a d’inscrire la France dans son histoire et de remettre au goût du jour une tradition injustement tombée dans l’oubli : celle du #livret_ouvrier. Apparu pour la première fois le 17 août 1781, sous la juste pression des ancêtres du MEDEF et d’ALLIANCE, il prenait la forme d’un petit cahier identifiant l’ouvrier, enregistrant ses sorties et ses entrées chez ses maîtres successifs lors de son tour de France.
    L’ouvrier était tenu de faire viser son dernier congé par le maire ou son adjoint, et de faire indiquer le lieu où il proposait de se rendre. Tout ouvrier voyageant sans être muni de ce viatique régulièrement tenu était réputé #vagabond, et pouvait être arrêté et puni comme tel.
    Ce petit opuscule a permis, n’en doutons pas, de mater, en ces temps troublés où les prolétaires s’imaginaient des droits, la revendication ouvrière et d’inculquer aux sans-dents le nécessaire respect dû au capital et à ceux qui le protègent.

    On ne peut donc que se féliciter de voir une si bonne idée remise au goût du jour.
    Certes, ce n’est pour l’heure que sous une forme édulcorée, puisqu’il faut malgré tout compter avec la résistance stérile de ceux qui ne manqueront pas de crier au scandale et de soutenir que les enfants n’ont pas être scrutés comme du bétail par l’Etat. Cependant, nul doute que le bon sens triomphera et que cette timide avancée vers un contrôle plus efficace de la graine de djihadiste qui encombre nos écoles prendra prochainement une ampleur de bon aloi.
    Dans cette perspective, je me permets de suggérer quelques améliorations au dispositif. Tout d’abord, il paraît insuffisant de n’inscrire sur ce carnet d’engagement que les actions positives accomplies par le jeune. Il faudra également y porter l’absence d’actions, laquelle témoigne à l’évidence d’une personnalité asociale, rétive au vivre ensemble, donc dangereuse par nature.

    Dans le même ordre d’idées, il serait stupide ne pas mentionner sur ce petit livret les mauvaises actions, les mauvaises paroles, voire les mauvaises pensées, dont le jeune se serait rendu coupable. Cela constituerait un outil si pratique de recensement des mauvais #citoyens que cela serait dommage de s’en priver.

    Dans le remarquable Le marxisme oublié de Foucault , Stéphane Legrand s’appuie sur La société punitive pour critiquer Surveiller et punir et diverses lectures patronales et/ou dépolitisantes de Foucault ; un extrait sur le contrôle souple permis par le livret ouvrier
    http://www.cairn.info/revue-actuel-marx-2004-2-page-27.htm

    La « société punitive », #coercitive et #disciplinaire, est celle qui cherche à atteindre la conduite et le corps en tant que supports de la #force_de_travail, sous prétexte de les viser comme source première des #illégalités punissables par la loi. Les mêmes tendances doivent être inhibées, qui conduisent à l’échafaud en passant par la #paresse ou l’errance°.

    Les principales procédures disciplinaires, à l’échelle sociale ou institutionnelle, s’ordonnent en effet à cet objectif. Qu’il s’agisse des livrets ouvriers°°, qui permettent à la fois d’inhiber la mobilité des travailleurs dépendants, d’en effectuer une surveillance constante et d’en opérer un « fichage » par le jeu des appréciations positives ou négatives ; des mesures contre l’ivresse ; du contrôle des finances ouvrières par l’#épargne ; des #visites_domiciliaires effectuées à la demande des conseils de Prud’hommes – tout un système se met en place qui cherche à organiser la surveillance la plus complète possible, une notation permanente et cumulative des irrégularités de conduite, un #contrôle souple°°°, un jeu de sanctions et de récompenses, une pression permanente faite de promesses et de menaces, c’est-à-dire un éventail large de protocoles disciplinaires ordonnés de manière prévalente au maintien et à la constitution des #rapports_de_production_capitalistes.

    ° On observe là la constitution d’un continuum moral entre les irrégularités de #comportements non punissables mais nuisibles et la criminalité punie par la loi, continuum que, tout au long du XIXe siècle, les discours psychiatrique et criminologique contribueront à renforcer. On en trouve encore la trace, à la fin du XIXe, dans cette formule idéaltypique du psychiatre Charles Féré : « L’oisiveté n’est pas plus légitime que l’incendie ; ne rien faire ou brûler ou consommer en superfluité amène nécessairement un retard dans l’accumulation des choses utiles, et par suite dans l’adaptation évolutive » (Charles Féré, Dégénérescence et criminalité, Félix Alcan, Paris, 1888, p. 102).

    °° Les livrets furent rétablis par la loi du 12 avril 1803 : l’ouvrier était tenu de le remettre à son employeur lors de l’embauche, et ce dernier y stipulait les dates d’embauche et de départ, l’emploi occupé, les avances faites sur salaires, etc. Regnault de Saint-Jean d’Angely, rapporteur de cette loi, y voyait un moyen de « garantir les ateliers de la désertion et les contrats de la violation » (cité par Yann Moulier-Boutang, in De l’esclavage au salariat. Economie historique du salariat bridé, PUF, coll. « Actuel Marx Confrontation », Paris, 1998, p. 344, note 30). Jusqu’en 1832, la circulation de l’ouvrier sans son livret de travail est assimilée au vagabondage et punie comme telle, même si, par un accord de fait avec la police de la capitale, les ouvriers trouvés dans la rue sans livret de travail échapperont à l’arrestation s’ils peuvent exciper d’un livret d’épargne.

    °°°Un employeur pourra éviter le départ de ses ouvriers dans une période de pression à la hausse sur les salaires par le jeu des appréciations sur les livrets, aussi bien qu’en cas d’excès de main-d’œuvre en licencier pour ivrognerie ou vagabondage sans livret.

    #société_punitive #précaires #trajectoires_de_vie #population #biographie

  • The Lost Generation of Syrian Youth

    Some 1.5 million Syrian children are living in the refugee camps of Turkey, Jordan and Lebanon. Even if the civil war ended tomorrow, it will take years for any sense of normality to return to their homeland, too late for many of them.


    http://www.haaretz.com/middle-east-news/.premium-1.695055
    #enfants #mineurs #enfance #jeunesse #asile #migrations #réfugiés #Syrie #réfugiés_syriens #Turquie #Liban #Jordanie