Le grand essor des jeux de société coopératifs
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/02/23/le-grand-essor-des-jeux-de-societe-cooperatifs_5427325_4408996.html
les jeux de ce type souffrent parfois d’un défaut gênant, appelé « l’effet leader ». Il intervient lorsqu’un joueur estime, à tort ou à raison, être le meilleur de la table, et se substitue aux autres en leur indiquant quoi faire à leur tour. La plupart des jeux récents ont intégré ce problème et tentent des approches variées pour le limiter ou l’éliminer.
]]>1969 : le « jeu de la paix mondiale » de Buckminster Fuller, par Joanne K. Cheung
▻https://visionscarto.net/buckminster-fuller-jeu-mondial
Au cours des années 1965-1975, le World Game (ou World Peace Game) est l’occasion pour son inventeur Buckminster Fuller d’explorer des idéaux techno-utopistes de cette période qu’il a qualifiée de décennie mondiale des sciences du design.
#cartographie #paix #jeux_coopératifs et #big_data : l’#utopie d’une certaine époque…
]]>Logiciels › Libre et ouvert, oui, mais pour qui ? › GreenIT.fr
►http://www.greenit.fr/article/logiciels/libre-et-ouvert-oui-mais-pour-qui-5436
Le logiciel “libre et ouvert” fut une belle utopie, née au début de l’épopée de l’ordinateur personnel, et qui mourra probablement avec la récupération quasi-totale de ce mouvement par quelques firmes oligopolistiques, dans le courant de cette décennie. Pourquoi une vie si brève ? Probablement parce que, dès le début, un non-dit s’est glissé dans la définition de l’enjeu du mouvement par ses propres acteurs : libre et ouvert, oui, mais pour qui ?
Une tragédie en trois actes
Avant de rentrer dans l’analyse de cette question, rappelons la tragédie en trois actes qui s’est déroulée depuis 10.000 ans dans les domaines de l’agriculture, des pêcheries, et de la plupart des activités humaines dépendantes des ressources de la biosphère. Premier acte : il y a plusieurs milliers d’années, les groupes humains, chacun selon son système de représentations, mettent au point par tâtonnements successifs les modalités d’accès aux ressources dont leurs vies dépendent, puis définissent des principes de transférabilité de ces droits d’accès,
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Dans le cas du logiciel “libre et ouvert”, nous en sommes également au troisième acte. Les exemples de prédation de ces ressources immatérielles par des individus et organisations sans scrupules, pullulent. L’exemple le plus ironique est peut-être celui des logiciels libres de l’infrastructure du Bitcoin dont le pillage aboutit à remplacer un système d’exploitation financière par un autre. Les prédations plus subtiles sont aussi les plus courantes. C’est alors le principe de réciprocité de l’effort qui n’est jamais respecté : le travail bénévole de quelques-uns aide la plupart des autres à s’enrichir.
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