• Une #fusion de l’audiovisuel public ? Le vrai visage de la réforme Dati
    https://radioparleur.net/2025/06/23/une-fusion-de-laudiovisuel-public-le-vrai-visage-de-la-reforme-dati

    Depuis les années 80, d’une main les gouvernements étiquetés à gauche, ou à droite dépouillent des services publics de leurs moyens. De l’autre, ils les concentrent en des entités toujours plus grandes, plus grosses. Est-ce le sort qui attend l’audiovisuel public ? L’examen de la réforme de l’audiovisuel public a repris la semaine dernière, le […] L’article Une fusion de l’audiovisuel public ? Le vrai visage de la réforme Dati est apparu en premier sur Radio Parleur.

    #Carousel_1 #Penser_les_luttes_-_L'émission #audiovisuel_public #journalisme #Politique

  • Du GUD à l’A69 : Bernard Carayon, ou la droite béton - Observatoire des multinationales
    https://multinationales.org/fr/enquetes/faf40/du-gud-a-l-a69-bernard-carayon-ou-la-droite-beton

    Qui est #Bernard_Carayon, en première ligne pour défendre le projet de l’A69 et insulter ses opposants ? Du #GUD à Pierre Fabre, du secret des affaires à l’union des droites, portrait d’un politicien brut de décoffrage, comme un poisson dans l’eau dans le cloaque #politique et médiatique d’aujourd’hui.

    Dans la famille Carayon de Lagayé, je demande le fils Guilhem
    https://seenthis.net/messages/1055610
    à propos du sergent #Woessner_Géraldine contemptrice de l’islamo-gauchisme et des féminonazies comme ce fieffé B. Carayon [deSouche].
    présentation sur son journal Le Point.

    Géraldine Woessner a commencé sa carrière en 2001, dans la presse parlementaire. #Journaliste_politique, elle travaille pour Radio France, et participe en 2005 à la création de BFM TV. Elle couvre l’Elysée quelques années, avant de s’expatrier au Canada, où elle travaille pour différents médias (AFP, Arte, BFMTV, M6, Le Parisien, JDD, TSR, RTBF...), puis au Etats-Unis où elle devient la correspondante permanente d’Europe 1, et du Parisien. Après l’élection de Donald Trump, la radio #Europe1 l’accueille pour une chronique de fact-checking quotidienne. Elle rejoint Le Point en 2019, où elle couvre les sujets crispants, à la croisée des sciences et de la politique - énergie, agriculture, santé environnementale, extrêmes politiques... Elle est depuis 2022 rédactrice en chef du pôle Environnement. Prix Varenne des jeunes journalistes radio, elle est l’auteure de plusieurs livres.

    #A69 #environnement

  • https://www.lemonde.fr/international/live/2025/06/19/en-direct-israel-iran-alertes-antiaeriennes-en-israel-apres-des-tirs-de-miss

    La porte-parole de la Maison Blanche affirme que l’Iran n’aurait besoin que d’une « quinzaine de jours » pour assembler une bombe nucléaire

    Et préparer de l’anthrax, et construire je-ne-sais-trop quelle autre arme de destruction massive (et certainement manger les petits enfants aussi).

    Misère du #journalisme aux ordres…

    #iran #israel #états_unis

    • quelques lignes plus bas, on rééquilibre

      Il reste très difficile de savoir de combien de temps Téhéran aurait encore besoin pour se doter de la bombe. Pour Jeffrey Lewis, directeur du programme de non-prolifération en Asie de l’Est à l’Institut d’études internationales de Middlebury à Monterey (Californie), interrogé par Le Monde, le délai, avant l’attaque israélienne, était d’« un an ou quelques mois ». Il nuance toutefois son propos : « Cela fait quinze ans que l’Iran est à quelques mois de la bombe nucléaire. »

    • Je notais juste qu’ils tenaient leur posture.
      On connait leur position : il faudrait un occident raisonnable. C’est comme ça qu’ils ont aussi publié des papiers relevant avec surprise et désapprobation le soutien donné en France et en Europe à l’attaque israélienne dès le 14 juin. Là, ils exhibent à nouveau ce Trump en inquiétant "maître du monde".

      peu avant sur la même page

      « Compte tenu du fait qu’il y a une possibilité substantielle de négociations éventuelles avec l’Iran dans un futur proche, je prendrai ma décision sur le fait d’y aller ou non au cours des deux prochaines semaines », a fait savoir le président américain par la voix de la porte-parole de la Maison Blanche, jeudi.

      Pour le lecteur, qui n’et pas supposé être celui qui lit exclusivement Le Parisien ou regarde BFM, cela veut dire que ce type qui prétend tout régler vite fait fait ici mine d’avoir besoin de quinze jours pour une intervention plus directe (même si Le Monde a peu évoqué le renforcement aérien et naval dans la région). Ce qui sent le coup fourré, un de plus.

      Sans compter le fait de relever il y a peu

      « Je dirige le pays et le monde », clame au bout de cent jours Donald Trump au magazine The Atlantic.
      https://archive.ph/ZTpiU

      Ce qui est une atteinte au sentiment national, et pas que.

      Alors, oui, oeuf corse, c’est Le Monde de la bourgeoisie, c’est le Monde du capital. Et ici c’est un fil d’info, format de flux qui tend vers la forme France intox, BFM, ce qu’ils tachent d’équilibrer, encore, en y citant des articles rédigés ou de supposées tribunes, car ça leur fout la trouille de risquer le crédit qui leur resterait.

      edit : les lecteurs ou les spectateurs ne sont pas que "bêtes", par exemple le racisme venu du haut, ça marche pas, du moins pas à tout coup
      https://seenthis.net/messages/1121800#message1121802

    • hier, dans le même organe bourgeois

      Le 26 mars, devant une commission de la Chambre des représentants, la directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, expliquait que l’Iran « ne construit pas d’arme nucléaire et [que] le Guide suprême Khamenei n’a pas autorisé le programme d’armes nucléaires qu’il avait suspendu en 2003 ». C’est le consensus parmi les experts : les stocks d’uranium enrichi très au-delà des normes du nucléaire civil posaient un problème alarmant, mais pas un danger immédiat. Interrogé sur cette position de la directrice du renseignement, dans l’avion le ramenant du G7 au Canada, Donald Trump a rétorqué : « Je me moque de ce qu’elle a dit. » Tulsi Gabbard n’avait pas été conviée à Camp David, le 8 juin, pour une réunion de crise consacrée au Proche-Orient.

      https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/18/conflit-israel-iran-la-tentation-d-une-intervention-militaire-americaine-sem

  • #Un couple détruit « la chaise de Van Gogh » en s’asseyant dessus dans un musée italien *

    Le 12 juin, le Palazzo Maffei de Vérone a diffusé les images de vidéosurveillance d’un incident pour le moins édifiant : un couple de touristes y est filmé en train de détruire une œuvre d’art contemporaine en s’asseyant dessus.

    La scène s’est déroulée dans une salle d’exposition, à un moment où les agents de surveillance s’étaient temporairement absentés. Profitant de leur absence, les visiteurs ont tenté de prendre une photo « à effet », explique le musée sur Instagram. On peut voir l’homme mimant une posture assise sur ce qui semblait être une chaise. Mais au lieu de feindre, il s’est véritablement assis... provoquant l’effondrement de l’œuvre.
    . . . . .
    https://www.youtube.com/watch?v=f4SUsTYG1qA

    source : https://www.lefigaro.fr/culture/un-couple-detruit-la-chaise-de-van-gogh-en-s-asseyant-dessus-dans-un-musee-

    #finance #déchets les #journuliste qualifient cette #fumisterie d’oeuvre d’#art la #vidéo-surveillance ne sert à rien

  • Génocide de civils à Gaza, faire famine et cibler le point de l’aide…
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4766

    La guerre israélienne contre les Palestiniens, où qu’ils peuvent être à Gaza ou ailleurs, sera peut-être oubliée dès lors que le conflit lancé par Netanyahu en Iran, va être plus long, plus alambiqué et plus équipé d’armements. Il ne fera pas taire la mission d’extermination qui puise de la tragédie de la famine à Gaza, la manière stratégique que les soutiens d’Israël en Europe et en Amérique favorisent et masquent à la fois. Grands événements : Gigantisme de l’inattendu.

    / #Palestine, Netanyahou, Israël , #USA,_Maison_Blanche,_CIA, #Israël,_Proche-Orient,_droits_de_l’homme,_ONU, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale, censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, #UE_-_Union_Européenne, #edito, Journalisme, presse, (...)

    #Grands_événements_:Gigantisme_de_l’inattendu. #Netanyahou,_Israël #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté #Journalisme,_presse,_médias

    • Israel has launched an extensive series of airstrikes on Iran.

      The western media are of course unquestioningly regurgitating the Israeli government’s evidence-free claim that these strikes were “preemptive”.

      The Trump regime is attempting to spin this as a completely unilateral Israeli attack which had nothing to do with the United States — a claim you could be forgiven for believing if you were born yesterday.

      Here’s a list of future headlines we can expect from The New York Times:

      – Iranian strikes rock Israel in unprovoked attack.

      – Israeli families take shelter amid antisemitic terror bombing.

      – Israeli defense minister: U.S. campus protesters somehow knew about Iranian strikes in advance, indicating Tehran coordination.

      – Trump privately voices frustration with #Netanyahu over Iran conflict the U.S. is just passively, innocently witnessing.

      – American Jews feeling anxious, unsupported amid spiraling wars in the #MiddleEast.

      – Opinion: I feared for my life during airstrikes on Tel Aviv. Nobody in the world can possibly understand what this is like.

      – Opinion: Is the U.S. at risk of being drawn into another Middle Eastern war?

      – Opinion: Is the U.S. stumbling into another Middle Eastern war?

      – Opinion: Is the U.S. accidentally oopsie poopsie bungling into another Middle Eastern war?

      – Opinion: Is the U.S. being dragged kicking and screaming into a war in the Middle East, something it historically tries to avoid at all cost?

      – US launches strikes on Iran in preemptive attack.

      – Opinion: Is the U.S. being sucked into a third world war?

      – Opinion: Is the U.S. tumbling headlong into a nuclear exchange with Russia and China?

      – Opinion: The sky is darkening as nuclear radiation creeps across our land, so we must all come together and condemn Hamas.

      – Opinion: The earth is a barren wasteland. Nothing remains. Check on your Jewish friends.

  • L’IA de recherche sur Internet génère des infos sans citer l’auteur.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4765

    Dans sa forme primaire et régénérative, le savoir a la particularité de se reproduire dès qu’il soit réparti au plus grand nombre de ses usagers et dans sa réponse il va à de vastes besoins, sans que des confins ne l’endiguent. L’IA accumule d’une manière instantanée des idées et des composantes qui iront satisfaire la doléance commanditée au préalable. Sa cinglante réplique balaie les contenus déjà livrés et a capacité à les structurer en générative réplique à une demande d’internaute. #TECHNOLOGIE,_INTERNET,_PERFORMANCES_INCLASSABLES

    / #edito, #Journalisme,_presse,_médias, #Data_-_Données, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, #IA_:_Intelligence_Artificielle, journaliste, poète, livre, écrits, Sciences & (...)

    #_journaliste,_poète,_livre,_écrits #Sciences_&_Savoir

  • Builder.ai s’effondre après avoir caché 700 développeurs derrière son « IA » RTS - Pascal Wassmer

    La start-up britannique Builder.ai, valorisée à 1,5 milliard de dollars, a fait faillite après la découverte d’une fraude massive. Son intelligence artificielle révolutionnaire « Natasha » cachait en réalité 700 développeurs indiens. L’entreprise avait gonflé ses revenus de 300% pour attirer Microsoft et d’autres investisseurs majeurs.

    Builder.ai promettait de révolutionner le développement d’applications. La start-up britannique assurait pouvoir créer des logiciels « aussi facilement que commander une pizza » grâce à son intelligence artificielle « Natasha ».


    La réalité était tout autre. Derrière cette prétendue IA se cachaient près de 700 développeurs basés en Inde. Ils réalisaient manuellement le travail de programmation pour les clients.

    L’entreprise fondée en 2016 par Sachin Dev Duggal s’est effondrée en mai dernier. Elle avait pourtant réussi à lever près de 500 millions de dollars auprès d’investisseurs prestigieux.

    Microsoft, le fonds souverain du Qatar et SoftBank comptaient parmi ses financeurs. Ils avaient tous été séduits par la promesse d’une intelligence artificielle révolutionnaire.

    Des revenus gonflés de 300%
    Une enquête interne a révélé l’ampleur de la tromperie. Builder.ai avait gonflé ses prévisions de chiffre d’affaires de 300% pour 2024. L’entreprise annonçait 220 millions de dollars de revenus. Un audit indépendant a établi le montant réel à 55 millions de dollars seulement.

    Les chiffres de 2023 ont également été revus à la baisse. De 180 millions de dollars annoncés, les revenus réels s’élevaient à 45 millions.

    Sachin Dev Duggal se surnommait le « sorcier en chef » de Builder.ai. Il a été contraint de démissionner en début d’année.

    Le scandale a éclaté après une enquête de Bloomberg révélant une fraude comptable dite de « round-tripping ». L’entreprise simulait des relations commerciales avec la société indienne VerSe Innovation.

    Des milliers d’emplois perdus
    La faillite a entraîné le licenciement de près d’un millier d’employés. Builder.ai doit désormais 85 millions de dollars à Amazon et 30 millions à Microsoft pour l’utilisation de services cloud.

    L’entreprise fait l’objet d’une enquête fédérale aux États-Unis. Le bureau du procureur de Manhattan a exigé l’accès aux états comptables et à la liste des clients.

    Cette affaire illustre le phénomène du « blanchiment d’IA ». Cette pratique consiste à présenter des services technologiques de base comme de l’intelligence artificielle authentique.

    L’objectif est de capitaliser sur l’enthousiasme des investisseurs pour l’IA. Builder.ai n’est pas un cas isolé dans le secteur technologique.

    Source : https://www.rts.ch/info/sciences-tech/2025/article/builder-ai-s-effondre-apres-avoir-cache-700-developpeurs-derriere-son-ia-2890991
    #ia #intelligence_artificielle #ai #algorithme #technologie #chatgpt #machine_learning #escroquerie #fraude #arnaque

  • Il y a aussi de bonnes nouvelles.

    Macron appelle le gouvernement à maintenir le cap écologique après la suspension de MaPrimeRénov’
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/06/07/emmanuel-macron-appelle-le-gouvernement-a-maintenir-le-cap-ecologique-apres-


    Le chef de l’Etat Emmanuel Macron prononce un discours lors du sommet de l’IISS Shangri-La Dialogue à Singapour, le 30 mai 2025. EDGAR SU / REUTERS

    edit : Emmanuel Macron entend limiter le chalutage de fond dans les aires marines protégées, afin de préserver la biodiversité
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/06/07/emmanuel-macron-entend-limiter-le-chalutage-de-fond-dans-les-aires-marines-p

    #grossier #journal_officiel_de_tous_les_pouvoirs #écologie

  • West Losing Propaganda War, Elite Scare REVEALED | Michel Collon

    via https://diasp.eu/p/17673644

    https://www.youtube.com/watch?v=PN2LxocYkCo

    Neutrality Studies: Interview with Michel Collon - 2025-05-17 - 1h

    The West’s #narrative is full of cracks, and European elites know it. And they are scared. Scared of the change that will come once they can’t dominate the journalistic space anymore. That’s why they are cracking down on social and digital media, as well as foreign news outlets.

  • #Journal du regard : Mai 2025

    https://liminaire.fr/chronique/journal/article/journal-du-regard-mai-2025

    https://www.youtube.com/watch?v=8FLCqozCzqs

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions

    (...) #Journal, #Vidéo, #Architecture, #Art, #Écriture, #Voix, #Sons, #Mémoire, #Paysage, #Ville, #Journal_du_regard, #Regard, #Dérive, #Paris, #Fontainebleau, #Photographie, #Jardin, #Cimetière, #Création, #IA, #Printemps, #Musée (...)

  • Am Anfang war Rudolf Herrnstadt : Wie der Gründer der Berliner Zeitung die DDR fast unabhängig machte
    https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/am-anfang-war-rudolf-herrnstadt-wie-der-gruender-der-berliner-zeitu

    Aujourd’hui c’est le quantre vingtième anniversaire du journal Berliner Zeitung . Cet article raconte les premières années sous son fondateur Rudolf Herrnstadt.

    Maritta Adam-Tkalec - Ein brillanter Journalist bekommt 1945 die Chance seines Lebens – in einem neuen Deutschland die Zeitung zu erschaffen, die er erträumt hat. Doch die Jahrhundertfigur scheitert an ihren Genossen.

    „Berlin lebt auf !“ So titelte die Berliner Zeitung am 21. Mai 1945. Es war die erste Ausgabe der Berliner Zeitung, die zwischen Zerstörung und Aufbruch in Ost-Berlin entstand. Heute feiert die Berliner Zeitung 80. Geburtstag. Aus diesem Anlass gibt es in den kommenden Tagen exklusive Berichte und am 24. Mai eine Sonderausgabe der Berliner Zeitung, die sich dem Aufbruch widmet. Hier lesen Sie den Auftakt von Maritta Tkalec, die an die Geschichte der Zeitung erinnert.

    Rudolf Herrnstadt steht am Anfang der Berliner Zeitung: ein herausragender Journalist aus bester deutscher Zeitungstradition der Zwanzigerjahre, großbürgerlicher Herkunft und überzeugt, dass eine Gesellschaft ohne Ausbeutung möglich ist. Also ein Kommunist.

    Nach sechs Exiljahren in der Sowjetunion rollte der damals 42-Jährige am 8. Mai 1945 auf einer Lkw-Ladefläche von Stettin kommend in Berlin ein. Auf den Landstraßen begegneten ihm Trecks befreiter polnischer Zwangsarbeiter auf dem Heimweg. Drei Tage zuvor hatte Herrnstadt in Moskau als einziger Deutscher den Auftrag bekommen, Offiziere der Roten Armee bei der Gründung der Täglichen Rundschau zu beraten, einer Zeitung der Befreier für das Volk, das die Nationalsozialisten groß gemacht und die Judenvernichtung hingenommen hatte. Ersterscheinungstermin: 15. Mai.

    Zu den Wurzeln, zu Theodor Wolff

    Kaum eingetroffen, ereilt Herrnstadt der zweite Auftrag: eine von Deutschen gemachte Zeitung für die Stadt, die erste in deutscher Verantwortung in ganz Deutschland seit Kriegsende. Ersterscheinungstermin: 21. Mai. Hauptmann Alexander Kirsanow sollte den Start als Chefredakteur unterstützen; der war noch nicht in Berlin, kam am 18. Mai dazu.

    Herrnstadt fährt schon am ersten Tag in Berlin zum Mosse-Haus, Zeitungsviertel, Jerusalemer Straße. Dort war der Sohn jüdischer Eltern aus Gleiwitz (Gliwice) zum glänzenden Journalisten gewachsen: Das überregionale Berliner Tageblatt war unter dem Chefredakteur Theodor Wolff zur einflussreichsten Zeitung geworden, ein fortschrittlich-liberales Leitmedium der Weimarer Republik. Das soll Vorbild sein für die Zeitung, die er nun aufbauen darf, die er Berliner Zeitung nennen will, die schon auf den ersten Blick auf der Titelseite die große Tradition aufgreift.

    Doch zunächst geht es um Handfestes. Irina Liebmann, die in jahrelanger Recherche den Lebensweg ihres Vaters in dem Buch „Wäre es schön? Es wäre schön!“ nachgezeichnet hat, rekonstruiert aus Notizen Herrnstadts diesen Moment des Wiedereinstiegs in die Berliner Presselandschaft: „… das Mosse-Haus steht bis zum Hochparterre im Schutt. Still und kaputt, alles kaputt. Über Gehwegplatten führt sie ein Mann in den Raum mit den Druckmaschinen, alles ist unbrauchbar. Ein Toter liegt auf dem Hof.“

    Einer der Männer der ersten Stunde, Fritz Erpenbeck, hat ausführlich aufgeschrieben, wie sie die Erstausstattung für eine Zeitung zusammensuchten. Sie brauchen unbelastete Leute, Antifaschisten, Setz- und Druckmaschinen, Räume, Papier. Und sie machen die erste Fotografin ausfindig, die Jüdin Eva Kemlein. Sie hatte die NS-Jahre in Berlin im Untergrund überlebt.

    Sie schaffen es. Befehlsgemäß erscheint die Berliner Zeitung am 21. Mai 1945 in einer Auflage von 100.000 Exemplaren, Preis 10 Pfennig. Der Hunger nach Information ist riesig, die Leute reißen den Verkäufern das Blatt aus den Händen. Die erste Schlagzeile lautet „Berlin lebt auf!“, darunter der Bericht über die Einsetzung des Magistrats von Groß-Berlin.

    Herrnstadt wirft ausgerechnet jetzt eine akut aufgebrochene Lungentuberkulose aufs Krankenlager. Er hat 40 Grad Fieber, leitet aber vom Bett seine Zeitung weiter, vom 20. Juni an als alleiniger Chefredakteur. Am 23. August erscheint sein Blatt zum ersten Mal mit dem Gesicht, das sie bis heute unverwechselbar macht: der stolze Titel Berliner Zeitung in markanter Frakturschrift. Zwischen den beiden Worten das Berliner Hoheitszeichen: Bär mit Mauerkrone, Sinnbild der städtischen Bürgerlichkeit. Das handliche Berliner Format, 315 mal 470 Millimeter, schätzen Leserinnen und Leser bis heute.

    Das ist nur der Anfang. Am 11. Oktober 1945 gründet Rudolf Herrnstadt den Berliner Verlag, wird Verlagsleiter. Das erste neue Produkt heißt Neue Berliner Illustrierte; die NBI wird eine der beliebtesten DDR-Zeitschriften, so wie es schon 1891 bis 1945 die Berliner Illustrierte Zeitung gewesen war, die auflagenstärkste Deutschlands. Es folgen Schlag auf Schlag weitere Publikationen, die Auflagen sind enorm, die Preise niedrig.

    In Irina Liebmanns Buch lässt sich Herrnstadt im Original nachlesen: „Im ganzen sind wir, was die Auflagenhöhe anlangt, mindestens so groß wie Ullstein (die West-Konkurrenz, Red.), natürlich nicht was die Profite anlangt“, man wolle nur so viel verdienen, „wie zur Aufrechterhaltung und Erweiterung der Betriebe nötig ist“.

    Herrnstadt-Retter Sauerbruch

    Die große Krise kommt 1947, der zerfressene Lungenflügel bringt Herrnstadt an den Rand des Lebens: Große Operationen (bei nur lokaler Betäubung) schlagen fehl, schließlich rettet ihn der weltberühmte Charité-Chirurg Ferdinand Sauerbruch. Das Martyrium unterbricht die Arbeit keineswegs. 1949 übernimmt Herrnstadt die Chefredaktion des Neuen Deutschland, was dem westdeutschen Spiegel am 15. April Anlass zu giftigen Bemerkungen gibt: Herrnstadt sei ein „raffinierter Journalist aus der alten Mosseschule“, zugleich ein „kommunistischer Säugling, bis dato Chefredakteur der pseudoneutralen Berliner Zeitung“.

    1951 legt er sich auch noch ins Zeug für den Aufbau einer stolzen Straße mit schönen Arbeiterwohnungen und mobilisiert in der Zeitung zum Mitmachen. Ein Leitartikel trägt den Titel „Wäre es schön? Es wäre schön!“ Er will den Schwung, die Aufbruchstimmung jener Jahre nutzen, um etwas Exemplarisches für die neue Zeit entstehen zu lassen: die spätere Stalinallee.

    An seiner Seite wusste er die ganze Zeit über die legendären Kulturoffiziere der Roten Armee, korrekt: Mitarbeiter der Propaganda- und Informations-Abteilung der Sowjetischen Militäradministration (SMAD). In diesen Kreisen kannte er sich aus, hatte er doch im Exil im Nachrichtendienst der Roten Armee gearbeitet und 1943, nach der Kriegswende von Stalingrad, eine Zeitung gemacht, die sich an die plötzlich in die Hunderttausende gehende Zahl deutscher Kriegsgefangener richtete.

    Nun hatten die Kulturoffiziere den geistig-moralischen Neuaufbau in der Sowjetischen Besatzungszone (SBZ) zu organisieren. Zuerst aber vermittelten sie den Deutschen, die eben noch fanatisch im Endkampf für Hitler gestanden hatten, die Botschaft: Keine Rache, Respekt vor Deutschland. Ein grandioses Angebot. Der oberste Kulturoffizier, Sergej Tulpanow, wurde zum populärsten Russen jener Jahre. Sie endeten 1949; die Deutschenversteher wurden abgezogen.

    Sie hatten Herrnstadts Projekt der überparteilichen, volksnahen Berliner Zeitung unterstützt. Männer wie Tulpanow waren „seine Idealfiguren“, wie Herrnstadts Tochter Irina Liebmann schreibt. Auch die Kulturoffiziere erlebten eine Ausnahmezeit: „Für einen Augenblick ihres Lebens konnten sie das aufbauen, was in der Sowjetunion nicht mehr möglich war, sie hofften auf das Ende der sowjetischen Isolierung.“ Dann wurden sie abserviert. Ein Vorspiel dafür, wie es wenige Jahre später auch Herrnstadt ergehen sollte.

    Tulpanow saß erst im Moskauer Hausarrest, durfte dann als Hochschullehrer in Leningrad arbeiten. Reisen in die DDR blieben verboten, bis 1965. Eine gemeinsame Reise Alexander Kirsanows und Sergej Tulpanows durch die DDR führte sie auch zur Berliner Zeitung – die Redaktion bereitete ihnen voller Dankbarkeit einen großen Empfang.

    Herrnstadts Texte der ersten Monate nach der Befreiung 1945 stehen wie Wegweiser im geistig-moralischen Chaos. In der zweiten Ausgabe der „Berliner“ schrieb er zum 22. Juni 1945, vier Jahre nach dem Überfall Nazi-Deutschlands auf die Sowjetunion: „Wir leben inmitten von Schutt und Seuchen, die uns Hitler hinterließ. Wir ernähren uns von Rationen, die wir der Einsicht des Siegers verdanken. Wir kämpfen uns, inmitten unendlicher Schwierigkeiten, von einem Tag in den anderen. Wenn all das einen Sinn haben soll – und es soll einen Sinn haben –, dann muss es vorwärts führen. Dann müssen wir wissen, was wir wollen. Dann müssen wir ein Ziel haben, und zwar in jeder Hinsicht, in physischer, in moralischer, in politischer.“
    „Innerlich frei und geachtet“

    Das Ziel in physischer Hinsicht müsse sein, eines Tages wieder gesund, ausreichend, in Wohlstand zu leben. Als moralisches Ziel nannte er, „innerlich frei und geachtet für die nutzbringende Leistung“ zu leben und in politischer Hinsicht „fortschrittlich denken und handeln zu lernen, überflüssig zu machen, dass andere uns an der Hand führen, uns am Rauben und Morden verhindern müssen und mühsam erziehen, die Voraussetzungen schaffen für ein Vaterland, das in der Familie der Nationen als gleichberechtigtes, nötiges Mitglied anerkannt wird“.

    Kein anderer der aus dem Moskauer Exil nach Berlin zurückgekehrten deutschen Genossen, namentlich die neuen Mächtigen aus der „Gruppe Ulbricht“, war in der Lage, solche Texte zu schreiben: klar, auf den Punkt, ehrlich, empathisch, motivierend. Sie brauchten Rudolf Herrnstadt, seinen Intellekt, seine Professionalität, seine immense Erfahrung, seine erstklassigen Kontakte in jene deutschfreundlichen russischen Kreise, mit denen er in der Sowjetunion gearbeitet hatte. Sie brauchten ihn für eine gewisse Zeit.

    Als sie ihn, den Mann großbürgerlich-jüdischer Herkunft, 1949, als Chefredakteur zum Parteiorgan Neues Deutschland holten, geschah das in einer Krise. Sie ließen ihn, der niemals Teil des inneren Parteizirkels gewesen war, ohne Hausmacht und Stallgeruch abseits der stalinistischen Intrigen, bis zum Kandidaten des Politbüros aufsteigen. Sie ließen ihn ein neues Parteiprogramm formulieren, das die Abkehr von Walter Ulbrichts beschleunigtem Aufbau des Sozialismus beinhaltete und dem Kurs jener Kräfte in Moskau entsprach, die sich mutmaßlich nach dem Tod Stalins durchsetzen würden und ein neutrales, geeintes Deutschland als Puffer zwischen Ost und West anvisierten.

    Am 16. Juni 1953 stimmte das Zentralkomitee der SED dem von Herrnstadt mitformulierten sogenannten Neuen Kurs zu, konzentriert in folgendem Zitat: „Es geht darum, eine Deutsche Demokratische Republik zu schaffen, die für ihren Wohlstand, ihre soziale Gerechtigkeit, ihre Rechtssicherheit, ihre zutiefst nationalen Wesenszüge und ihre freiheitliche Atmosphäre die Zustimmung aller ehrlichen Deutschen findet.“
    Ulbricht lässt Herrnstadt ins Messer laufen

    Herrnstadt forderte Ulbricht zum Rücktritt auf. Tags darauf erreichte der Arbeiteraufstand in der DDR seinen Höhepunkt, ausgerechnet Herrnstadts Lieblingsprojekt Stalinallee lieferte jetzt Fotos von aufständischen Arbeitern. Anfängliche Streiks gegen faktische Lohnkürzungen durch Normerhöhungen schlugen um in politischen Protest gegen die SED-Herrschaft.

    Die offizielle Lesart, der damals auch die Berliner Zeitung folgte, lautete: „Ein faschistischer Putsch“. Die Besatzungsmacht sah Anlass zum Eingreifen, Panzer rollten gegen die Aufständischen. Am Ende waren 55 Menschen tot, 34 wurden von sowjetischen Soldaten oder Volkspolizisten erschossen. Durch sowjetische Militärtribunale und DDR-Gerichte wurden später sieben Todesurteile vollstreckt.

    Am 18. Juni 1953 stand auf Seite 1 eine Bekanntmachung der DDR-Regierung mit der Einschätzung: „Diese Provokationen sollen die Herstellung der Einheit Deutschlands erschweren.“ Wer hatte in Moskau den Einheitskurs verfolgt? Der Geheimdienstchef Lawrenti Berija, der mutmaßlich neue starke Mann nach Stalins Tod. Er betrieb auch Ulbrichts Absetzung.

    In Moskau setzte sich schließlich die andere Strömung durch, die die DDR in unmittelbarer Kontrolle halten wollte. Herrnstadt war zwischen die sowjetischen Mühlsteine geraten. Das war lebensgefährlich. Berija wurde am 23. Dezember 1953 hingerichtet. Er hatte nach Stalins Tod die Gefängnisse geöffnet und Stalins Idee vom neutralen, vereinten Deutschland als Puffer zwischen der Sowjetunion und den Westmächten weiterführen wollen.

    Irina Liebmann sieht in jenen Schicksalstagen folgende Logik, die damals Oberhand gewann: Wenn das Ergebnis von Berijas neuer Politik zu einem faschistischen Putsch führt, dann war diese Politik falsch. Ulbricht hatte Herrnstadt in dieser Logik „machen lassen“, ihn also ins Messer geschickt.

    Ulbricht triumphierte. Herrnstadt wurde der „parteifeindlichen Fraktionsbildung“ bezichtigt und aus der Partei ausgeschlossen. Von Berija gelenkt worden zu sein, bestritt Herrnstadt vehement. Immerhin kam er nicht für Jahre in Bautzener Zuchthaushaft, wie es dem Journalistenkollegen Wolfgang Harich widerfuhr, der ebenfalls Ulbrichts Absetzung gefordert hatte, sondern durfte ab Spätsommer 1953 sein Dasein im Deutschen Zentralarchiv in Merseburg fristen. In dieser speziellen Art von Einzelhaft rettete ihn seine Familie: seine Frau Valentina, Germanistin aus dem sibirischen Tschita, sowie die Töchter Irina und Nadja.

    Seine Genossen stießen Rudolf Herrnstadt ins Vergessen. Man sprach in der DDR einfach nicht mehr über den Mann, der seit den Zwanzigerjahren sein Leben der großen Idee einer gerechten Gesellschaft verschrieben hatte, der Illegalität und Emigration in Kauf genommen, über Jahre auf privates Glück verzichtet und sich dann mit Leib und Seele in den Aufbau eines besseren Deutschland geworfen hatte.

    Gescheitert an Großmächten und Kleingeistern

    Das stellte er sich als vereint und demokratisch vor, verbunden mit dem „rückhaltlosen Bekenntnis zur Sowjetunion“. Der Konflikt der Nachkriegsjahre, den er an maßgeblicher Stelle mit ausfocht, drehte sich um nichts weniger als die Fragen: Wie soll es mit Deutschland weitergehen? Und wie sollte seine Partei, die SED, zu einer Gemeinschaft ehrlicher, offener, dem Volk zugewandter Genossen werden?

    Herrnstadts Scheitern, die Verbannung und das Totschweigen hatten Folgen für 17 Millionen DDR-Bürger. 35 Jahre nach der Wiedervereinigung, an einem neuen Wendepunkt der Weltgeschichte, liest man die Mitteilungen aus der Zeit des Neuanfangs 1945 mit überraschenden Erkenntnissen: Die gerade live zu erlebende Entlassung Europas aus dem US-amerikanischen Schutz- und Einflussgebiet – hat sie nicht Ähnlichkeit mit der Stalin-Note vom 10. März 1953?

    Darin wurde ja die Entlassung der sowjetischen Besatzungszone DDR aus der unmittelbaren Herrschaft in ein vereintes, neutrales Deutschland vorgeschlagen. Musste diese Idee nicht ähnlich beängstigend auf die DDR-Staatsführung wirken, die sich gerade in einem eigenen Machtgebiet einrichtete?

    Herrnstadt plädierte für das deutsche demokratische Wagnis und verschwand, als sich in Moskau die Fraktion durchsetzte, die lieber ein Viertel Deutschlands ganz als das ganze Deutschland halb haben wollte.

    Solch ein Mann hat für diese Berliner Zeitung gearbeitet, so wie man selbst – eine ziemlich einschüchternde Vorstellung. Hätte man Rudolf Herrnstadts Ansprüchen gerecht werden können? Der renommierteste deutsche Journalistenpreis ehrt Theodor Wolff, Herrnstadts Mentor, der das Talent des jungen Mannes entdeckte, der ihn förderte und immer wieder seine schützende Hand über ihn hielt.

    Herrnstadt vertrat in turbulenten Zeiten Überzeugungen mit der Kraft des Wortes. Er unterwarf sich auch immer wieder der Parteilinie – im Interesse der „großen Sache“. Auch diesen inneren Kampf kennen viele, die in der DDR wirkten. Er scheiterte an den Großmächten und an den Kleingeistern seiner Umgebung. Das ist ein großer Rahmen, aber in einen solchen gehört Rudolf Herrnstadt. In der Nachfolge einer solchen Jahrhundertfigur zu stehen, macht ehrfürchtig und demütig. Die Berliner Zeitung hat allen Grund, auf diesen Gründer stolz zu sein.

    #Allemagne #histoire #journalisme #presse #socialisme

  • Perrier : quand l’Etat modifie un rapport préoccupant sur la qualité sanitaire de l’eau, influencé par le groupe Nestlé | France Inter
    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-info-de-france-inter/l-info-de-france-inter-6675858?at_campaign=Bluesky&at_medium=Social_medi

    Mais le groupe Nestlé ne se décourage pas. Il se tourne alors vers le gouvernement, plus précisément vers le cabinet de #Roland_Lescure, alors ministre de l’Industrie, qui sollicite dans la foulée celui d’#Agnès_Firmin_Le_Bodo, ministre déléguée à la Santé. Un conseiller de cette dernière appelle alors le directeur de l’Agence régionale de santé d’Occitanie, #Didier_Jaffre, avant d’adresser un message à sa hiérarchie, dans lequel il suggère de donner le moins d’informations possibles : “je suis d’avis de ne pas trop faire sortir d’informations sur ce sujet”. Car l’Etat a, tout comme Nestlé, intérêt à garder la pollution des forages secrète. Le gouvernement a appris qu’une enquête de Radio France et du Monde était en cours. Dans un mail daté du 30 novembre 2023, que la cellule investigation de Radio France s’est procuré, le ministère de l’industrie alerte celui de la santé : “Ces derniers jours, plusieurs agents de la DGCCRF [Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes] ont été approchés par un consortium de #journalistes (Marie DUPIN - Radio France ; Stéphane FOUCART - Le Monde). Les journalistes ont également approché les procureurs en charge de ces affaires. Ils disposent déjà de beaucoup d’informations”. Pour le conseiller du ministère de la #santé, l’Etat a tout intérêt à satisfaire aux demandes de Nestlé d’édulcorer le rapport, pour garder l’information confidentielle : “le risque serait qu’on nous reproche d’avoir autorisé pendant 3 ans l’exploitation en eau minérale naturelle de ces forages alors qu’il y avait une contamination circonscrite par des traitements non réglementaires (…). L’Etat pourrait être accusé de cautionner sans rien faire

    [...]

    Dans des échanges mails complémentaires, auxquels la cellule investigation de Radio France a eu accès, ce même jour, le 4 décembre 2023, Guillaume Dubois, responsable de l’ARS du #Gard, écrit lui aussi à Jérôme Bonet : “Bonjour Monsieur le Préfet, comme suite à notre entretien téléphonique de vendredi, et compte tenu des échanges qui ont eu lieu ce week-end entre le directeur général de l’ARS [Didier Jaffre] et Nestlé Waters France, je vous informe qu’un accord a été trouvé sur le contenu rédactionnel du rapport Coderst que vous trouverez ci-joint. Celui-ci convient au groupe Nestlé Waters”. Plus bas dans le corps du mail, Guillaume Dubois évoque “2 épisodes de contamination ayant entrainé une demande de destruction de la production” de bouteilles Perrier. Le responsable de l’#ARS semble s’inquiéter car rien ne prouve selon lui que les lots ont bien été détruits : “à part un engagement de #Nestlé_Waters, je n’ai pas retrouvé d’éléments factuels sur les destructions des lots concernés”. Au sein de l’Agence régionale de santé, la situation fait clairement grincer des dents certains fonctionnaires, en charge du contrôle de la qualité des eaux minérales naturelles. L’un d’entre eux s’émeut, dans un courriel adressé le 4 décembre 2023 à la directrice de la santé publique de l’ARS Occitanie, expliquant que le rapport final destiné au #Coderst “ne correspond plus aux éléments rapportés dans le dossier, et à la synthèse que je rapportais. Dans ce cas, je souhaite retirer ma signature du #rapport”.

    [....]

    Un rapport “modifié sous la dictée de #Nestlé”, selon le sénateur Alexandre Ouizille

    “Pression de l’entreprise, porosité du cabinet ministériel, faiblesse de la direction de cabinets, absence de résistance de l’#Etat local” : les sénateurs n’ont pas de mots assez durs dans leur rapport pour qualifier l’attitude de l’Etat dans ce nouvel épisode. “Nous connaissions le lobbying intense et la logique transactionnelle dans laquelle Nestlé Waters est parvenu à entraîner une partie de l’État. Nous découvrons ici que l’industriel est devenu le censeur et même le co-auteur d’un rapport d’une autorité régionale de santé, estime le rapporteur en charge de la commission d’enquête, Alexandre Ouizille. Le fonctionnaire instructeur refuse ce caviardage et retire sa signature mais le rapport est quand même modifié sous la dictée de Nestlé. Nous sommes là face à des faits d’une particulière gravité qui appellent inspection et sanction”.

    Aujourd’hui encore, “Nestlé Waters n’est toujours pas en conformité avec la règlementation”, confirme le rapport d’enquête du Sénat, tandis que des informations continuent d’être dissimulées au grand public. Ainsi, il y a quelques jours, Radio France révélait le contenu d’arrêtés préfectoraux concernant l’usine Vittel dans les Vosges. Ces derniers n’ont toujours pas été publiés au registre des actes administratifs. “Nous avons demandé communication de droit de plusieurs arrêtés dans le dossier Nestlé Waters, mais ils nous sont toujours refusés, et à plusieurs reprises le Coderst [Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques] des Vosges n’a pas été tenu au courant de modifications majeures au sein de l’usine de Vittel”, s’émeut auprès de la cellule investigation de Radio France Jean François Fleck, de l’association Vosges Nature Environnement.

    Les arrêtés récents concernant l’usine des Vosges, restés confidentiels à ce jour, sont pourtant particulièrement instructifs. On y apprend notamment que les filtres encore en place dans les usines (0,2 micron), ne suppriment que 70 à 90% des bactéries, et ne garantissent donc pas la qualité sanitaire de l’eau. On y découvre également que la préfecture des Vosges, tout en demandant à Nestlé de retirer ses filtres à 0,2 micron, l’autorise dans le même temps à avoir recours à des filtres à 0,45 micron, c’est-à-dire des procédés de nettoyage de l’eau dont le seuil est, encore une fois, inférieur à la norme officielle de l’Anses.

    Une eau qui reste polluée

    Ces atermoiements autour des seuils de filtration peuvent paraître bien techniques, mais, pour le groupe Nestlé, ils ont un intérêt majeur. En effet, en focalisant depuis des mois les débats et la conversation publique sur cette question, la multinationale détourne le regard du principal problème : la pollution des eaux qu’elle exploite, incompatible avec la réglementation sur les eaux minérales naturelle. Sur ce point, le rapport de la commission d’enquête est catégorique : c’est la “pureté originelle” de l’eau, c’est-à-dire l’absence de pollution, qui fait qu’une eau peut bénéficier de ce label, et c’est aussi cette pureté qui garantit la sécurité sanitaire des consommateurs. Or, sur le site de Vergèze, l’ensemble des puits a perdu cette pureté originelle. Ainsi, le directeur de l’ARS, Didier Jaffre, celui-là même qui en 2023 acceptait d’édulcorer un rapport de ses propres agents, a récemment rendu un avis sanitaire négatif à la préfecture pour la production d’eau minérale naturelle, après avis d’hydrogéologues agréés par le ministère de la santé.

  • Israel Assassinates Wounded Palestinian Journalists At Nasser Hospital May 13, 2025 | - IMEMC News
    https://imemc.org/article/israel-assassinates-wounded-palestinian-journalists-at-nasser-hospital

    Medical sources have confirmed that the Israeli army assassinated wounded Palestinian photojournalist Hasan Islayeh while receiving treatment at Nasser Medical Complex in Khan Younis, in the southern part of the Gaza Strip.

    The sources have confirmed that Islayeh was killed, and many others were injured, when an Israeli drone fired a missile at the burns unit at Nasser Medical Complex.

    The attack on the medical center also caused several injuries among patients and other Palestinians in the facility.

    It is worth mentioning that Islayeh injured, on April 10, 2025, when Israeli forces targeted a tent where several journalists were present. Back in May 2024, the Israeli army also targeted with a missile Islayeh’s home in Khan Younis.

    Palestinian media outlets described the attack on Nasser Hospital as a deliberate assassination targeting Islaih.

    The Israel army claimed that is targeted what it called “a Hamas command and control center inside the hospital,” an allegation Israel repeatedly uses when targeting medical facilities.

    #Génocide #Journaliste_assassinés

  • « C’est une course capitaliste extrême » : à Canton, dans les ateliers de la sueur de Shein
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/05/10/c-est-une-course-capitaliste-extreme-a-canton-dans-les-ateliers-de-la-sueur-


    [le journal ne légende pas mais c’est un atelier pliage-enpaquettage pour expédition individuelle, probablement d’un des sous traitant qui conçoit et produit des articles Shein - Amazon grillé]

    « Le Monde » s’est rendu dans plusieurs ateliers qui produisent des millions de vêtements pour le géant chinois de l’e-commerce. Employés et patrons racontent l’âpreté d’un système ultraconcurrentiel.

    .... ces métiers difficiles n’attirent pas les jeunes.


    A l’heure de la pause du dîner, la salle pleine d’un restaurant ouvrier, à Canton (Chine), le 15 avril 2025. GILLES SABRIÉ POUR « LE MONDE »


    Un immeuble abritant des ateliers de couture pour Shein, à Canton (Chine), le 15 avril 2025. GILLES SABRIÉ POUR « LE MONDE »

    « Ici, l’efficacité est double par rapport à l’Asie du Sud-Est, dit cet homme en tee-shirt beige. La Chine produit les matières premières et nous proposons les modèles. Autour de Canton, des centaines de milliers de gens travaillent dans ce secteur. »

    Il faut bien cela, car la cadence est élevée, comme en témoigne l’écran plat géant fixé au mur et sur lequel le directeur garde un œil : s’y affichent la production de l’atelier – des données partagées en temps réel avec le siège de Shein – ainsi que les commandes pour les semaines à venir. Il détaille : pour les habits qui sortiront en juin, les designs ont été proposés en avril, ils doivent être arrêtés définitivement mi-mai. « Si Shein veut soixante nouveaux produits par mois chez nous, on doit lui en proposer 600, et il y a des allers-retours », résume le patron.

    Une des clés de Shein est de confier largement aux ateliers fournisseurs le soin de lui proposer les nouveaux modèles.


    Une ouvrière dans un atelier produisant des vêtements pour Shein, à Canton (Chine), le 15 avril 2025. GILLES SABRIÉ POUR « LE MONDE »


    Dans un atelier produisant des vêtements pour Shein, à Canton (Chine), le 15 avril 2025. GILLES SABRIÉ POUR « LE MONDE »

    De même, Shein donne un avertissement si les employés travaillent plus de vingt jours d’affilée. L’entreprise demande que les ouvriers de ses fournisseurs ne fassent pas plus de huit heures par jour mais, comme ce n’est réaliste ni pour tenir la cadence ni pour assurer un revenu suffisant aux travailleurs, les fournisseurs acceptent de payer les amendes de Shein ou parviennent à contourner les règles. Les inspections, faites par un auditeur tiers, n’ont lieu que deux fois par an.

    M. Wang s’interroge lui-même sur la viabilité du modèle économique, tant les prix sont cassés entre producteurs et entre sites de vente en ligne concurrents. « C’est une course capitaliste extrême. Cette industrie va à une telle vitesse qu’elle va mourir d’ici à cinq ans », prédit le patron, qui voudrait bien savoir comment tout cela est perçu en Europe. Hasard de la mode, son assistant à côté porte un tee-shirt sur lequel est écrit « Nous sommes le prolétariat ».

    https://archive.ph/SGjfO

    On dit fast-fashion mais c’est un point de vue de consommateurs, de supposés esthètes ou de concurrents. Il s’agit de production accélérée et d’"innovation" rapide (offre renouvelée sans cesse pour susciter et éponger la demande)

    (sinon, pour une fois, le bourgeoisisme produit un bon titre avec cette allusion au sweat shop chargé d’histoire, qui boucle avec la chute, "prolétariat").

    #Chine #Canton #Mode #industrie_textile #sous_traitance #ouvriers et #journaliers #designers #avion-cargo

  • #Charte_de_Marseille sur l’#information et les #migrations

    La Charte pour une couverture médiatique des migrations, dans le respect de la déontologie journalistique » dite “Charte de Marseille” a été présentée lors des Assises du Journalisme & Citoyenneté à Marseille, le 29 avril 2025.

    Cette #charte_déontologique veut guider les journalistes vers une couverture précise, complète et respectueuse des questions migratoires. Elle établit onze principes fondamentaux incluant le #respect de la #dignité, la lutte contre les #stéréotypes, la #responsabilité professionnelle, l’équilibre entre factuel et humain, la formation continue, la communication élargie et l’évaluation régulière des pratiques. Son objectif est de promouvoir un #journalisme_responsable qui contextualise les migrations et donne la parole aux personnes concernées.

    https://chartejournalismemigrations.fr

    #migrations #charte #déontologie #éthique #médias #journalisme #France

    voir aussi, en Italie, la #Carta_di_Roma :
    https://www.cartadiroma.org
    https://it.wikipedia.org/wiki/Carta_di_Roma

    et en Suisse, le projet le #Comptoir_des_médias :
    https://asile.ch/comptoir-des-medias

    ping @karine4

  • Diffamazione e falsità contro le Ong in mare. La prima vittoria in tribunale per la #Louise_Michel

    Il Tribunale di Bologna ha condannato un giornalista del Quotidiano Nazionale per un articolo pubblicato in seguito al sequestro della nave due anni fa. È la prima di quindici cause promosse dalla Ong contro diversi media italiani, accusati di colpire l’organizzazione e la comandante #Pia_Klemp. “Pubblicare e diffondere informazioni false è un reato grave perché alimenta l’agenda dello Stato italiano contro la migrazione e le persone solidali”

    “Siamo andati in tribunale e abbiamo vinto”. Con queste parole pubblicate sui propri canali social l’organizzazione di ricerca e soccorso Louise Michel ha commentato la sentenza del Tribunale di Bologna, che a metà aprile ha condannato un giornalista del Quotidiano Nazionale per diffamazione.

    In occasione dell’udienza l’imputato ha ritirato l’opposizione, rendendo così definitiva la condanna. Si tratta della prima azione legale andata a sentenza tra le cause avviate dalla Ong nei confronti di 15 mezzi di informazione del nostro Paese.

    I processi si fondano su alcuni articoli pubblicati all’indomani del fermo della MV Louise Michel, avvenuto nel marzo del 2023. Due anni fa la nave di ricerca e soccorso, finanziata da Banksy, era stata sottoposta infatti a fermo amministrativo dalle autorità italiane nel porto di Lampedusa in seguito al salvataggio di 178 persone, portato a termine in quattro operazioni distinte. Il provvedimento è stato motivato dalla presunta violazione del cosiddetto “decreto Piantedosi”. Questo dispositivo regola le attività delle Ong impegnate nel soccorso nel Mediterraneo centrale e stabilisce che dopo un solo salvataggio deve essere effettuato lo sbarco immediato delle persone.

    In una nota la Ong ha spiegato che “in seguito a questo sequestro, diverse fonti giornalistiche italiane hanno pubblicato informazioni false sul progetto e su una delle sue fondatrici, Pia Klemp”.

    Al momento del fermo, infatti, la comandante tedesca non si trovava a bordo della nave, né in Italia e a suo carico non vi è alcuna denuncia, come erroneamente riportato dagli organi di stampa citati in giudizio dall’organizzazione. Tra il 2016 e il 2017, Pia Klemp, biologa e attivista per i diritti civili, è stata la comandante della nave Iuventa -supportata dalla Ong tedesca Jugend Rettet-, che contribuì a trarre in salvo circa 14.000 persone.

    Dal 2017 al 2024 l’organizzazione è stata indagata dalla Procura di Trapani in relazione a tre eventi di soccorso avvenuti nel settembre del 2016 e nel giugno del 2017. Secondo l’accusa la Iuventa avrebbe favorito l’ingresso illegale di persone migranti in Italia, sottraendole alle autorità competenti e agevolando l’attività dei trafficanti, agendo in modo “non neutrale” e al di fuori dei protocolli ufficiali. Nel 2021 il giudice per le indagini preliminari del Tribunale di Trapani ha archiviato le accuse nei confronti di quattro membri dell’equipaggio -tra cui Pia Klemp- stabilendo che “il fatto non costituiva reato e che le attività di salvataggio si erano svolte in conformità con il diritto del mare”.

    Inoltre il giudice ha rilevato che non vi era alcuna prova di collusione con i trafficanti. Il processo si è concluso definitivamente il 19 aprile 2024 con una sentenza di non luogo a procedere per tutti gli altri imputati, accogliendo la richiesta della stessa Procura, che smentendo il suo stesso impianto accusatorio aveva riconosciuto l’insussistenza delle prove a loro carico.

    Alla luce di questi fatti secondo Amnesty International questa indagine va inserita “nel quadro della criminalizzazione della solidarietà, che molti Stati europei hanno deliberatamente perseguito per ostacolare, anche attraverso l’uso del diritto penale, chi in questi anni ha prestato assistenza e offerto solidarietà a rifugiati e migranti”.

    Nel suo comunicato l’organizzazione Louise Michel ha quindi ribadito che “le indagini contro Klemp sono state archiviate nel 2021, due anni prima del fermo della nave e di tutti gli articoli che ne sono seguiti”, sottolineando anche come “i giornali coinvolti nell’azione legale hanno utilizzato il coinvolgimento di Klemp nel caso Iuventa per consolidare una narrazione razzista e misogina, creando un collegamento tra Ong e trafficanti”.

    Nel processo di Bologna, oggetto specifico della denuncia, era un articolo pubblicato dal Quotidiano Nazionale, accusato di aver riportato affermazioni false e di aver banalizzato l’impegno di Klemp, concentrandosi sul suo aspetto fisico, sulla sua età e sfruttando la sua immagine e il suo nome al fine di attirare l’attenzione del pubblico.

    Klemp ha accolto con soddisfazione la sentenza, definendo “la falsa informazione un metodo indegno con risultati catastrofici”. La comandante della Louise Michel, inoltre, ha richiamato i media al loro dovere di “informare il pubblico piuttosto che diffondere bugie e narrazioni razziste”, evidenziando come “la migrazione viene screditata come un accumulo infinito di crimini, con conseguenze mortali per migliaia di persone migranti”.

    A questo proposito, l’organizzazione ha evidenziato che “l’obiettivo di queste false narrazioni è quello di criminalizzare individui e Ong come strumento per criminalizzare la migrazione” e che pertanto “questo tipo di diffamazione non si limita a screditare chi offre sostegno, ma prende di mira i rifugiati e le persone migranti, con conseguenze letali per loro”.

    Le date delle prossime udienze contro le altre testate citate in giudizio non sono state ancora rese note ma la lotta della Ong prosegue con determinazione. Lo conferma Francesca Cancellaro, avvocata di Klemp e della Louise Michel. Commentando la sentenza del Tribunale di Bologna, le legale ha dichiarato che “pubblicare e diffondere informazioni false è un reato grave perché alimenta l’agenda dello Stato italiano contro la migrazione e le persone solidali. Siamo qui per opporci a questa prassi e per il diritto di tutti e di tutte a una corretta informazione su questa vicenda politica”.

    https://altreconomia.it/diffamazione-e-falsita-contro-le-ong-in-mare-la-prima-vittoria-in-tribu
    #victore #justice #migrations #sauvetage #mer #mer_Méditerranée #réfugiés #tribunal #journalisme #fake-news #médias

  • Cause de mobilisation générale en Algérie : gouvernance en échec.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4753

    Les Algériens s’attendaient des bureaucrates qui ont succédé au régime de la première république, de conduire le changement, d’assurer un avenir plus radieux aux générations montantes qui ne rêvent que s’expatrier. Mais, par manque de légitimité les nouvelles autorités redoutaient davantage la libre parole des citoyens. La quête du projet national progressiste exige de perfectionner la gouvernance devenue sous-jacente aux prétendues valeurs qui écrasent la dignité collective. #nationale,_fait_politique,_une_et_première_page,_médias,_actualité,_pays,_france,_afrique,_maghreb

    / Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,, fait divers, société, fléau, délinquance, religion , #énergie, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, #Journalisme,_presse,_médias, Maghreb, Algérie, (...)

    #Afrique,Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion #Maghreb,Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société #Terrorisme_,islamisme,Al-Qaeda,politique,_

  • Les médias, toujours contre la gauche - Éditions Agone
    https://agone.org/les-medias-toujours-contre-la-gauche

    À l’occasion de la réédition en poche du livre de Pauline Perrenot, Les médias contre la gauche, nous donnons à lire un extrait de son introduction. Et si, comme le signale l’autrice, « nous ne tirons aucune satisfaction à voir les diagnostics ici posés demeurer d’une brûlante actualité », le constat est sans appel, au royaume de l’éditocratie rien n’a changé, ou bien, c’est pire…

    Les médias plus que jamais contre la gauche [LettrInfo 25-VIII] - Éditions Agone
    https://agone.org/les-medias-toujours-contre-la-gauche-lettrinfo-25-viii

    Un an après l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République française, deux auteurs faisaient paraître, pour Acrimed, un livre sous le titre Tous les médias sont-ils de droite ?. Pour être provocatrice, la question indiquait toutefois sans abus une tendance forte. Une quinzaine d’années plus tard, cette tendance s’est confirmée au point que la question qu’on doit se poser maintenant est : tous les médias sont-ils d’extrême droite ?

    #Pauline_Perrenot #journalisme #médias #droite #extrême_droite #politique #éditorialisme #Acrimed