• Comment l’austérité paralyse l’université

    [Rentrée sous tension à la fac] Pour dénoncer leur manque de #reconnaissance, des enseignants démissionnent de leurs #tâches_administratives, alors que le projet de loi de finances 2024 risque d’aggraver les difficultés financières de l’université.

    Les présidents d’université l’ont mauvaise. La raison ? Le #projet_de_loi_de_finances (#PLF) 2024, qui n’est pas à la hauteur des besoins de leurs établissements. Déjà fortement impactées par la hausse des prix en général et des coûts de l’énergie en particulier, les universités vont en effet devoir financer pour 2023 et 2024 une partie de la hausse des #salaires décidée en juin par le ministre de la Fonction publique Stanislas Guérini. « Une très mauvaise nouvelle », a réagi France Universités dans un communiqué du 19 octobre :

    « Pour les universités, cela signifie qu’elles devront financer 120 millions d’euros [sur un coût total d’environ 400 millions d’euros, NDLR], soit par prélèvement sur leurs fonds de roulement, soit par réduction de leur campagne d’emplois. Cela équivaut à 1 500 #emplois de maîtres de conférences en moins, non ouverts au recrutement, dénonce l’association, qui fédère l’ensemble des présidents d’universités. Encore une fois, les universités font les frais de la #politique_budgétaire du gouvernement qui considère l’#enseignement_supérieur et la #recherche comme une variable d’ajustement et non comme un investissement en faveur de la jeunesse », ajoute le communiqué.

    La situation est, il est vrai, particulièrement difficile, avec de nombreuses universités au #budget_déficitaire ou en passe de le devenir. Et un gouvernement qui n’entend rien leur concéder.

    Chute de la dépense par étudiant

    Début septembre, #Emmanuel_Macron expliquait, dans un échange avec le Youtubeur Hugo Travers, qu’il n’y avait « pas de problème de moyens » dans l’enseignement supérieur public, dénonçant une forme de « #gâchis_collectif » puisque, à ses yeux, il y aurait « des formations qui ne diplôment pas depuis des années » et d’autres qui se maintiennent « simplement pour préserver des postes d’enseignants ».

    Dans la foulée, la ministre #Sylvie_Retailleau, exigeait de libérer leurs #fonds_de_roulement – cet « argent public qui dort » d’après elle – estimés à un milliard d’euros, et qui permettrait de financer une partie des mesures en faveur du pouvoir d’achat des #fonctionnaires décidées cet été. Seulement, arguent les chefs d’établissements, ces fonds sont destinés aux rénovations énergétiques des bâtiments ou aux équipements de laboratoires de recherches.

    Déjà peu élevée par rapport aux autres pays d’Europe, la #dépense_par_étudiant décroche en réalité nettement depuis 2010. À l’université, le nombre d’inscrits a augmenté de 25 %, et le budget d’à peine 10 %. Le nombre d’enseignants a, lui, baissé de 2 %.

    « Pour retrouver les #taux_d’encadrement de 2010, il faudrait créer 11 000 postes dans les universités », a calculé Julien Gossa, maître de conférences en sciences informatiques à l’université de Strasbourg et fin observateur des questions liées à l’enseignement supérieur.

    Dans le détail, ces chiffres masquent des #inégalités : tous les établissements ne sont pas dotés de la même manière. Difficile d’obtenir des données officielles à ce sujet, mais celles produites par Julien Gossa révèlent des écarts allant parfois du simple au double.

    A L’université de Créteil, qui a vu ses effectifs exploser ces dernières années et devrait atteindre un #déficit de 10 millions d’euros cette année, l’Etat débourse en moyenne 6 750 euros par étudiant. À Aix-Marseille, le montant s’élève à 10 000 euros. À la Sorbonne, celui-ci est de 13 000 euros, soit presque deux fois plus qu’à Nantes (7 540 euros). Et largement plus qu’à Nîmes (5 000 euros). « Ces grandes différences ne peuvent s’expliquer uniquement par des frais de structures », souligne Hervé Christofol, membre du bureau national du Snesup-FSU.

    La #concurrence s’est aggravée en 2007 avec la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (#LRU). Réforme majeure du quinquennat de #Nicolas_Sarkozy, elle a transféré aux établissements universitaires la maîtrise de leurs budgets, et de leurs #ressources_humaines, qui revenait jusqu’ici à l’Etat.

    « On nous a vendu l’idée selon laquelle les universités seraient plus libres de faire leurs propres choix en s’adaptant à leur territoire. Mais en réalité, le gouvernement s’est tout simplement déresponsabilisé », tance Julien Gossa.

    Manque de profs titulaires

    Concrètement, pour fonctionner à moyens constants, les présidents d’universités sont contraints de mener des politiques d’austérité. Conséquences : les #recrutements d’#enseignants_titulaires sont gelés dans plusieurs universités, comme à Créteil, et celles et ceux en poste accumulent les #heures_supplémentaires.

    En 2022, le nombre d’ouvertures de postes de maîtres de conférences a augmenté de 16 %, mais cela ne suffit pas à rattraper la stagnation des dernières années. Le Snesup-FSU, syndicat majoritaire, avait d’ailleurs identifié la date du 26 janvier comme le « #jour_du_dépassement_universitaire », autrement dit le jour à compter duquel les titulaires ont épuisé les heures correspondant à leurs obligations de service pour l’année en cours.

    Au-delà, tous les enseignements sont assurés en heures supplémentaires, ou bien par le recrutement de #contractuels ou #vacataires – des #contrats_précaires qui interviennent de façon ponctuelle, sans que l’université ne soit leur activité principale. Les syndicats estiment qu’ils sont entre 100 000 et 130 000. Leur #rémunération : à peine 40 euros bruts de l’heure, contre environ 120 euros bruts pour un titulaire.

    Les problématiques de rémunération ont d’ailleurs créé la pagaille lors de la rentrée dans un certain nombre d’universités. À Paris-Est-Créteil, les étudiants de première année de la filière sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps) ont vu leur rentrée décalée de deux semaines. Puis les cours ont démarré, mais dans une situation pour le moins dantesque : pas préparés en amont, les groupes de TD ont été créés dans la panique par des agents administratifs déjà débordés… Sans tenir compte des options souhaitées par les étudiants.

    Une quinzaine d’enseignants ont en effet démissionné d’une partie de leurs responsabilités : ils continuent d’assurer leurs cours, mais refusent d’effectuer leurs tâches administratives ou pédagogiques non statutaires pour dénoncer ce qu’ils qualifient d’un « manque de reconnaissance » de l’État. À Rouen, ils sont 57 à en avoir fait de même. Même son de cloche à l’IUT Sciences de gestion de l’Université de Bordeaux, ou à celui de Chimie d’Aix-Marseille.

    « Cela impacte tout le monde, insiste Gabriel Evanno, représentant du bureau des élèves de Staps à Créteil. Pour l’instant, nous ne savons même pas si les partiels de cet hiver pourront avoir lieu puisqu’il n’y a plus de surveillants d’examens. Nous ne savons pas non plus qui sera en mesure de signer nos conventions de stages étant donné que les enseignants qui étaient en mesure de le faire n’y sont plus habilités depuis leurs démissions de ces tâches. »

    L’étudiant soutient, malgré tout, la protestation des enseignants.

    Mobilisations des « ESAS »

    Ces #démissions_massives sont le fruit d’une #mobilisation démarrée il y a un an à l’initiative du collectif 384 regroupant près de 2 000 enseignants au statut particulier, les #enseignants_du_secondaire_affectés_dans_le_supérieur (#ESAS) : des professeurs agrégés, d’autres certifiés, d’autres issus de lycées professionnels. Au nombre de 13 000, ces enseignants se trouvent majoritairement dans les instituts universitaires de technologie (IUT), les filières Staps ou les instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation (Inspé).

    Toutes et tous assurent 384 heures de cours par an, soit deux fois plus que les enseignants-chercheurs, sans compter le suivi des étudiants.

    Or, début 2022, un nouveau système de #primes pouvant atteindre d’ici 2027 6 400 euros par an a été mis en place, pour inciter à prendre en charge des tâches administratives et pédagogiques. Le problème, c’est qu’il a été réservé aux enseignants-chercheurs, alors même que les ESAS remplissent tout autant ce genre de missions.

    « En plus de nos heures de cours, nous assurons depuis longtemps des missions non statutaires, parfois délaissées par les enseignants-chercheurs : le suivi des stages, le recrutement des étudiants, ou encore l’élaboration des emplois du temps, énumère Nicolas Domergue, porte-parole du collectif et enseignant à l’IUT du Puy-en-Velay. Le tout pour la somme ridicule de 600 euros par an. On est surinvestis, et pourtant oubliés au moment des réformes. »

    Pour Guillaume Dietsch, enseignant en Staps de l’Université de Paris-Est-Créteil et « démissionnaire », cette exclusion des primes a été « la goutte d’eau de trop. Cette injustice a été perçue de façon symbolique comme un manque de reconnaissance plus large de notre travail. »

    Le Ministère de l’enseignement supérieur avait d’abord justifié cette différence de traitement par l’absence de mission de recherche des enseignants issus du second degré, avant de chercher un moyen de stopper la vague des démissions. Pour calmer la grogne, début septembre, le Ministère a débloqué 50 millions d’euros afin de revaloriser la prime des ESAS qui passera à 4 200 euros en 2027. Ce qui fait toujours 2 200 euros de moins que celle accordée aux enseignants-chercheurs.

    « Contrairement à ce que ce procédé laisse entendre, nous pensons que la formation des futurs actifs doit être reconnue au même niveau que la recherche », rétorque Nicolas Domergue.

    Au-delà de cette question de prime, se joue une autre bataille : celle de l’évolution de carrière. De par leur statut hybride, ces enseignants sont pris en étau entre deux ministères, celui de l’enseignement supérieur et de la recherche et celui de l’éducation nationale.

    « Notre carrière est quasiment à l’arrêt dès que l’on quitte le secondaire, regrette Céline Courvoisier, membre du collectif 384 et professeure agrégée de physique à l’IUT d’Aix-Marseille. Nous ne sommes plus évalués par le rectorat au motif que nous travaillons dans le supérieur. »

    Ces enseignants sont, de fait, exclus des primes dont peuvent bénéficier leurs collègues dans les collèges ou les lycées. Pour eux, c’est la double peine quand les effets de l’austérité budgétaire s’ajoutent à leur insuffisante reconnaissance salariale. Ainsi, depuis 2021, les IUT se font désormais en trois ans au lieu de deux auparavant.

    « Nous avons dû monter une troisième année à coûts constants alors que cela nécessite nécessairement des embauches, des salles… Comment est-ce possible ? », interroge Céline Courvoisier.

    Surtout, a-t-on envie de se demander, combien de temps cette situation va-t-elle pouvoir durer ?

    https://www.alternatives-economiques.fr/lausterite-paralyse-luniversite/00108494

    #austérité #université #ERS #France #facs #démission

  • MACRON 2 ou la violence légitimée. BiBi
    https://www.pensezbibi.com/categories/pensees-politiques/macron-2-ou-la-violence-legitimee-22348


    On les retrouvera, plus violents qu’avant.
    1. Qu’on en soit persuadé : ces images ne sont rien en comparaison de ce qui nous attend.

    2. Rappel à ceux qui voulaient me persuader que la Police sous Mélenchon aurait été semblable en violence en tous points à celle de Darmanin . Bien sûr, il s’agit d’une croyance contre une autre croyance. Sauf que. Sauf qu’un certain 19 mars 2021, les Insoumis n’ont pas défilé à l’invitation d’ Alliance , syndicat néo-fasciste de la Police. Au contraire des autres partis de Gauche.
    Et cela est un fait. Pas une croyance.

    3. Peu importe de chercher à savoir qui sera le vainqueur de ces élections : le MEDEF est déjà le grand gagnant de ces élections. Ses réformes liberticides auront toute la légitimité électorale d’un Macron 2. Avec toute la violence qui va avec pour les imposer.

    4. On a tort de ne pas souligner le rôle de cette racaille de Sarkozy . Il a continué à animer ses réseaux pendant cette campagne.
    1. Pour placer Pecresse (qu’il n’a pas soutenue) à la tête de son Parti, sachant que la pov’ candidate ne serait pas suivie par ses adhérents et par ses votants habituels.
    2. En sachant que ces derniers iraient défendre Macron . Ce qui fut fait et bien fait, Macron ayant ainsi pu siphonner les voix LR .

    5. A Tourcoing , soi-disant « fief » de Darmanin , la population lui a envoyé sa réponse.


    A retenir :
    1. L’abstention est à 26,31 % des inscrits.
    2. Le vote pour Roussel (PCF) représente 2,31 % des inscrits.
    3. L’écart entre Mélenchon et Marine Le Pen est de 1,20% (soit 421.420 voix).

    6. Jérôme Fourquet (ce collaborateur de Jérôme Cahuzac pour l’écriture d’un livre sur « l’euro » et l’Europe) d’ IFOP Opinion était l’invité de France Inter ce lundi à 13 h. Bien entendu, cet enfoiré de sondeur ne dira pas que son dernier « rolling » (on ne dit plus « sondage ». Rolling c’est plus chic) donnait Mélenchon à 16% et que ses foutues fabrications quotidiennes de l’opinion n’ont jamais situé l’ EELV de Jadot à 4,5 % et le LR de Pécresse à 4 %.


    Le dernier rolling d’IFOP

    7. Le problème avec certain(e)s camarades du PCF , c’est qu’ils argumentent le déni de leur désastre électoral ( 2,31 % ) par une accusation contre les Insoumis : ils se plaignent que ces derniers les insultent. Cette superbe place de _ « victime d’ insultes  » _ est aussi très recherchée par les écologistes de Jadot.

    8. Il faut en rire ? Bien sûr ! Rire des pleurnicheries conjuguées de Pécresse et de Jadot qui vont devoir faire appel aux dons des Français pour renflouer les caisses de leurs Partis respectifs. Voilà qui me fait, perso, beaucoup rire, s’agissant de personnes qui n’ont cessé de culpabiliser-mépriser-hurler contre ces satanés pauvres qui ne foutent rien et qui vivent d’ assistanat . On attendra leurs inserts publiciataires d’appels aux dons dans ces trois journaux.


    9. Dans La Dépêche du Midi , la « journaliste » Christelle Bertrand écrit : «  La candidate du RN, elle, peut compter sur une partie de l’électorat de Jean-Luc Mélenchon  ». Les sources ? Elles sont bien entendu introuvables. Le «  pas une voix à Marine LePen  » du leader des Insoumis n’a pas été entendu. Fallait le redire encore une fois, Jean-Luc ! Cinq fois n’est pas assez pour ces dures de la feuille (de chou).

    10. Ces élections seront l’image parfaite du Paradoxe  : on entrera dans une » Macronie 2 » pour cinq terribles années supplémentaires alors que Macron reste le président le plus détesté de tous les présidents et qu’il suscite une haine incroyable dans les couches populaires.


    11. Un communiste dépose un tweet en soulignant la «  magnifique campagne  » de Roussel . Pas de doute : le camarade inclut dans les «  Jours Heureux  » ce 10 avril 2022 où les 2 % de son candidat ont manqué à Mélenchon pour passer la rampe du second tour.

    12. Un autre communiste écrit que « _ les pourcentages ne s’additionnent pas. Derrière les candidats, il y a des dynamiques de campagne qui autrement n’auraient pas existé ¨ ». Aveuglement et déni : les dynamiques, si elles avaient été unies derrière Mélenchon auraient entraîné, en 2022, un élan exponentiel et donc probablement gagnant. Comme pour l’élan 2017 et cette dynamique qui porta le leader Insoumis – AVEC le concours du PCF – à 19,58 %.

    13. Portons le regard sur la fascisation rampante d’En Marche s’alignant sur les positions nauséabondes de la fachote de Marine Le Pen  :


    14. Les crevards de Paris-Match  :
    1. Avant le 10 avril, ils dédiabolisaient Marine Le Pen et s’émerveillaient de son beau sourire pour la porter au second tour.
    2. Après ce 10 avril, Marine Le Pen redeviendra la méchante, très méchante fachote et notre bon Macron ne perdra pas une minute pour nous chanter à nouveau le refrain du barrage à l’extrême-droite.

    15. Le barrage Macron 2017 a entraîné la naissance puante d’un Eric Zemmour et un gain de voix de Marine-la-fachote. Tout ça avec la complicité des Médias et des amis de Macron. Par exemple, ce Xavier Niel qui ouvrit ses colonnes du Monde à Marine Le Pen en très joli blouson gestapiste, à la rubrique « Mode » . Sans oublier le trio ci-dessus Bolloré, Drahi et Lagardère (entre autres).

    #Assistanat, #communiste, #darmanin, #dépêche_du_Midi, #EnMarche, #Ifop, #Insoumis, #jadot, #jérôme_Fourquet, #Jour_Heureux, #macron, #marine_lepen, #MEDEF, #Mélenchon, #PCF, #pécresse, #police, #rolling, #roussel, #sarkozy, #sondage, #sondages, #tourcoing, #xavier_niel, #zemmour

  • West Bank Report ; 4 Killed By Israeli Army Fire, 243 Injured, Tuesday
    May 19, 2021 – – IMEMC News
    https://imemc.org/article/west-bank-report-4-killed-by-israeli-army-fire-243-injured-tuesday

    The Palestinian Health Ministry in Ramallah has reported that Israeli soldiers killed, Tuesday, four Palestinians, and injured 202, including nine who suffered serious wounds, in several parts of the occupied West Bank. A separate report by the Palestinian Red Crescent Society (PRCS) said the soldiers injured 41 Palestinians in occupied Jerusalem, bringing the total number to 243 in the West Bank.

    Ramallah: Three Palestinians were killed by Israeli army fire; 72 injured with live fire, including five who suffered life-threatening wounds.

    Hebron: One Palestinian killed (in the morning), 30 injured, 29 of them with live fire, including a child, 2 years of age, and one Palestinian who suffered serious wounds after the soldiers shot him with rubber-coated steel bullets in the eye.

    Nablus: 33 Palestinians were injured with live fire, one seriously.

    Bethlehem: 18 Palestinians were injured, 15 of them with live fire.

    Tulkarem: Seven Palestinians were injured with live fire.

    Jenin: Four Palestinians were injured with live fire, one seriously.

    Salfit: 18 Palestinians were injured with live fire, one seriously.

    Tubas: 6 Palestinians were injured with live fire, one with a rubber-coated steel bullet.

    Jericho: 1 Palestinian was injured with live fire, five with rubber-coated steel bullets.

    Qalqilia: 3 Palestinians were injured with live fire, five with rubber-coated steel bullets.

    Note: The report from the Health Ministry did not include the casualties in occupied Jerusalem.

    A report by the Palestinian Red Crescent Society (PRCS) stated that 41 Palestinians were injured by Israeli army fire in Shu’fat refugee camp, Bab al-‘Amoud, and Sheikh Jarrah, in occupied Jerusalem; 18 of them were hospitalized.

    #Palestine_assassinée #Jour_de_grève

  • Le Jour des morts... Offrande et calaveras

    Estampe et art populaire

    https://lavoiedujaguar.net/Le-Jour-des-morts-Offrande-et-calaveras

    Nous sommes dans le regret de vous informer que, pour cause du reconfinement, l’exposition « Le Jour des morts... à Paris ! Offrande et calaveras » du 31 octobre au 8 novembre 2020 est annulée.

    L’exposition restera accrochée dans nos murs durant le mois de novembre pour celles et ceux qui auront la possibilité de passer la voir.

    Il suffira de sonner à la porte d’entrée de l’immeuble, marquée « atelier », au 49 bis, rue des Cascades à Paris XXe (métro Jourdain).

    Rendez-vous en 2021 pour une édition follement festive du Jour des morts… à Paris !

    Prenez soin de vous et à bientôt.

    #Jour_des_morts #Mexique #Paris #calaveras #annulation

  • #Covid-19 : des contrôleurs SNCF ont caché qu’ils étaient contaminés - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/economie/covid-19-des-controleurs-sncf-ont-cache-qu-ils-etaient-contamines-28-09-2

    (Via Maître Pandaï sur Twitter)

    « Ce n’est pas un sujet purement SNCF. Tous les salariés qui ont une part variable, comme les commerciaux, ou qui sont en difficulté financière, risquent de ne pas dire qu’ils ont le coronavirus. Il faut que le gouvernement agisse ».

  • Ce que le confinement nous apprend de l’économie - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/110420/ce-que-le-confinement-nous-apprend-de-l-economie

    La démarche est remarquable par ce qu’elle dit de ce qu’est l’économie capitaliste. Elle s’appuie sur un des éléments les plus puissants de ce système, mais aussi, lorsqu’il est mis à nu, un des plus fragiles : l’abstraction. Car dans cette macabre comptabilité, deux réalités distinctes sont mises à égalité. D’un côté celle d’un phénomène qui s’impose à l’homme, un virus contre lequel nous n’avons pas d’armes, du moins pour l’heure, et qui tue directement des hommes et des femmes. Et de l’autre, une création de l’humanité, l’économie de la marchandise, qui imposerait sa loi à sa créatrice au point de lui enlever également des vies.

    Il n’est pas question de nier que les crises économiques ne sont pas coûteuses en vie humaine. Les exemples du passé le montrent assez. Mais ce que ces doctes penseurs oublient, c’est que ces crises ne sont pas des phénomènes qui échappent aux hommes. Elles sont le produit de leur organisation sociale, de leur activité et de leurs choix. Et il ne dépend que d’eux de trouver d’autres formes d’organisation qui sauvent des vies et empêchent que les crises ne tuent autant.

    On comprend leur colère : soudain, en quelques semaines, on se rend compte que l’on peut stopper la fuite en avant de l’économie marchande, que l’on peut se concentrer sur l’essentiel : nourrir, soigner, prendre soin. Et que, étrangeté suprême, la Terre ne cesse pas de tourner, ni l’humanité d’exister. Le capitalisme est suspendu dans son fonctionnement le plus primaire : il génère une plus-value minimale, insuffisante à alimenter la circulation du capital. Et l’homme existe encore.

    Alors, pour continuer à maintenir en vie le mythe du caractère capitaliste intrinsèque de l’humanité, on a recours à des menaces : tout cela se paiera, et au centuple. Et par des morts. On ne réduit pas impunément le PIB de 30 %. Sauf que, précisément, l’époque montre le contraire et invite à construire une organisation où, justement, la vie humaine, et non la production de marchandises, sera au centre.

    Et là encore, l’époque est bavarde. Ces gens qui pensent que seul le marché produit de la valeur se retrouvent, eux-mêmes, à pouvoir manger à leur faim dans une ville propre, alors même que le marché ne fonctionne plus de façon autonome. Ils ne le peuvent que grâce au travail quotidien de salariés, des éboueurs aux caissières, des chauffeurs de bus aux soignants, des livreurs aux routiers qui, tout en s’exposant au virus, exposent au grand jour la preuve de l’écart béant entre la valorisation par le marché de leur travail abstrait et la valeur sociale de leur labeur concret. La valeur produite par le marché qui donne à un consultant un poids monétaire dix fois supérieur à celui d’une caissière ou d’un éboueur apparaît alors pour ce qu’elle est : une abstraction vide de sens. Ou plutôt une abstraction destinée à servir ce pourquoi elle est créée : le profit.

    Mais qu’on ne s’y trompe pas : ce n’est que partie remise. Plus cette crise « politiquement fabriquée » sera sévère, plus, là aussi, on la fera payer à la population. Pour « reconstruire », assurer les « emplois », attirer les investisseurs, bref, faire repartir la machine, on demandera, comme a commencé à le faire Bruno Le Maire, des « efforts » à la population. On fera donc tout pour que le confinement produise une violente crise économique qui, effectivement, sera cruelle et coûteuse en vies humaines. On le fera simplement : en se contentant de « geler » le système économique et en se gardant de profiter de cette suspension pour le modifier. Une fois décongelé, l’économie marchande donnera le pire d’elle-même. Ses mécanismes propres se déchaîneront. Mais on devra l’accepter comme une loi divine.

    Pour faire tenir le peuple, on lui envoie soit des messages et des chansons de stars bien à l’aise dans leurs douillettes résidences, soit le bâton du gendarme et du juge, qui s’en donnent à cœur joie pour « faire des exemples ». On demande au peuple de continuer à regarder le spectacle passivement, sans bouger, sans penser. Mais n’est-ce pas l’inverse même de la vie humaine ?

    Cette réponse moralisatrice est hautement problématique. Dans le silence du confinement, elle aggrave les tensions sociales et les dissensions au sein de la société. Chacun blâme son voisin pour ses actes, les délations se multiplient, les jugements sont légion. Les bases de la société démocratique sont remises en cause par un climat de suspicion, d’angoisse et de peur. La culpabilisation est la première étape vers cette exigence de discipline que l’on affirmera pendant la crise économique. Et c’est bien de cela qu’il faut parler.

    #Coronavirus #Jour_après

    • Waouh Les temps changent comme dirait Robert Z.

      Les propos sont en effet explicites :

      les victimes de la crise [...] seront les victimes de l’organisation économique fondée sur le fétichisme de la marchandise

      Bon, ce fétichisme est encore interprété comme un manque de volonté par lequel nous laissons l’abstrait s’imposer face au concret. Dans la marchandise, pourtant, ces deux pôles sont constitutifs l’un de l’autre, et c’est toujours le même fétichisme que de vouloir brandir l’un de manière positive (le soi-disant « concret ») face à l’autre qu’on a vite fait de personnifier (l’abstraction propre au capitaliste). Le fétichisme de la marchandise peut aussi se présenter comme un fétichisme de la valeur d’usage : https://seenthis.net/messages/840924

      Encore un effort, camarade Romaric, et tu constateras qu’il ne s’agit pas de remettre l’économie à sa place, mais bien d’en sortir, seul terrain à partir duquel nous pourrons enfin produire des « richesses » et non plus des marchandises.

      Un marqueur de cette critique totale de la marchandise sera le fait de parler non plus de profit (du capitaliste) mais de survaleur (à la fois produit et moteur du travail producteur de marchandises, et donc du capital)

    • On comprend leur colère : soudain, en quelques semaines, on se rend compte que l’on peut stopper la fuite en avant de l’économie marchande, que l’on peut se concentrer sur l’essentiel : nourrir, soigner, prendre soin. Et que, étrangeté suprême, la Terre ne cesse pas de tourner, ni l’humanité d’exister. Le capitalisme est suspendu dans son fonctionnement le plus primaire : il génère une plus-value minimale, insuffisante à alimenter la circulation du capital. Et l’homme existe encore.

      Oui et non : d’un côté les milliardaires sont décimés (moins il y en a et moins ils ont de fric globalement, mieux nous nous portons) mais beaucoup d’activités inutiles continuent et dans le Sud global les populations pauvres ont le choix entre se confiner et mourir de faim aujourd’hui et sortir chercher leur croûte pour mourir du virus plus tard. Aucun effet L’An 01, on réfléchit et plus tard on rallume les industries qui nous semblent nécessaires à la vie humaine avec les densités et les mauvaises habitudes qui sont les nôtres.

  • Coronavirus. 60 parlementaires veulent « préparer le jour d’après »
    https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-60-parlementaires-veulent-preparer-le-jour-d-apres-6800107
    https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAyMDA0YWMxODMxNWQ4MTU3YmI1OTczNjI4MDZmOGYxNWY4YjA?width=1260&he

    Parmi les signataires, une majorité de députés La République en Marche, des Socialistes, d’anciens Socialistes ou d’anciens Verts devenus LREM et qui ont quitté le mouvement depuis…

    Cet attelage, qui pourrait préfigurer la constitution d’un futur groupe d’inspiration progressiste, de gauche et écologiste à l’Assemblée nationale, est coordonné par le député LREM Aurélien Taché et les deux ex-députés LREM Paula Forteza et Matthieu Orphelin. Cédric Villani est dans les rangs, de même que les anciens secrétaires d’État Guillaume Garot (PS) et Barbara Pompili (LREM), l’ancien secrétaire national d’EELV Pascal Durand élu eurodéputé l’an dernier dans le groupe Renew Europe (majorité présidentielle) ou l’une des questeurs de l’Assemblée, la députée LREM Laurianne Rossi

    Où est-ce qu’on parlait de ça, @cdb_77 ou @monolecte ? Dans la série #jour_d'après, les vieilles baudruches reviennent nous vendre leur soupe pour éviter la révolution. On rase gratis comme en 2008 où on avait feint de redécouvrir la relance keynésienne.

    Ceci dit, il est temps qu’EM découvre la vie et apprenne que la politique, c’est pas la messe mais des gens. Et imaginer que le parti à EM va connaître le sort commun du clivage, ça fait ricaner.

  • Adelaide, la ville sud-africaine où il n’a pas plu depuis cinq ans - Magazine GoodPlanet Info
    https://www.goodplanet.info/actualite/2019/12/16/adelaide-la-ville-sud-africaine-ou-il-na-pas-plu-depuis-cinq-ans

    Dans la province du #Cap-Oriental, dans le sud-est de l’#Afrique_du_Sud, on ne se sait même plus à quand remontent les dernières vraies pluies. Cinq ou six ans au moins.

    L’#Afrique_australe toute entière, où les températures augmentent deux fois plus vite que sur le reste du globe, connaît sa pire #sécheresse depuis trente-cinq ans, selon l’ONU.

    En 2018 déjà, la deuxième ville sud-africaine, #Le_Cap, avait échappé de justesse au « #jour_zéro », où les robinets devaient être à sec. Des restrictions d’#eau drastiques et la #pluie lui avaient finalement permis d’échapper à la catastrophe.

    Cette année à nouveau, « la situation est terrible » dans cinq des neuf provinces du pays, a reconnu le président Cyril Ramaphosa. Avec des conséquences dramatiques pour les agriculteurs, les écoliers et les commerçants.

    #climat

  • Le Jour des morts... Offrande et calaveras

    https://lavoiedujaguar.net/Le-Jour-des-morts-Offrande-et-calaveras

    L’Association pour l’estampe et l’art populaire a le plaisir de vous inviter
    à l’exposition « Le Jour des morts... à Paris ! Offrande et calaveras ».

    Exposition ouverte tous les jours
    du 31 octobre au 10 novembre 2019
    de 15 à 20 heures
    au 49 bis, rue des Cascades
    Paris XXe (métro Jourdain)

    Vernissage le jeudi 31 octobre à partir de 18 heures

    Depuis 2001, ce sera la dix-huitième année consécutive que l’Association pour l’estampe et l’art populaire fête les morts à la manière mexicaine, il y aura une offrande ainsi que des gravures satiriques. Comme chaque année, le soir du vernissage, vous pourrez goûter la soupe mexicaine et boire à la santé des trépassés.

    #Mexique #Paris #Jour_des_morts #calaveras #estampe #exposition

  • Etats-Unis : une institutrice, malade, contrainte de payer son remplaçant (Le Monde)
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/05/10/etats-unis-une-institutrice-malade-contrainte-de-payer-son-remplacant_546029

    L’enseignante, atteinte d’un cancer, se voit retirer près de 180 euros par jour sur son salaire pour payer son remplaçant en vertu de la loi californienne.
    […]

    En vertu de l’accord conclu entre le district et les organisations syndicales à San Francisco, chaque enseignant a droit à dix jours de congés maladie payés par an. Les jours non pris peuvent se cumuler d’année en année.
    Une fois épuisés ces jours, les enseignants malades peuvent encore bénéficier de cent jours de congés prolongés, durant lesquels ils reçoivent « l’intégralité de leur salaire moins le coût de leur remplaçant », explique la porte-parole.

    #éducation #enseignant·es #USA #salarié·es #conditions_de_travail #arrêt_maladie

  • Soldes : les « #déconsommateurs » contre-attaquent
    https://www.latribune.fr/economie/france/soldes-les-deconsommateurs-contre-attaquent-803111.html

    Soldes, Noël, Black Friday... les initiatives visant à faire prendre conscience des conséquences environnementales de ces kermesses de la surconsommation se multiplient. Avec un succès croissant, dû aussi à la perception d’une baisse du pouvoir d’achat.

    Il était 8 heures du matin, ce mercredi 9 janvier aux Galeries Lafayette (Paris), quand la secrétaire d’État à l’Économie, Agnès Pannier-Runacher, a lancé les premières soldes de 2019. Un événement très attendu par les commerçants après huit semaines de mobilisation des « Gilets Jaunes ». Un mouvement qui a pesé sur l’activité des commerces tous les samedi depuis le 17 novembre, date de départ de « l’Acte I » de cette protestation protéiformes. Ce mercredi 9 janvier, des grappes de dizaines de consommateurs avides de bonnes affaires ont donc pu s’éparpiller dans les rayons du grand magasin, pour profiter de l’un des grands rendez-vous annuel consacré à la consommation : les soldes d’hiver.

    D’une manière très rapprochée, cette kermesse succède à deux autres : Noël, ainsi que le « Black Friday », le dernier vendredi de novembre, journée de rabais issue de la culture anglo-saxonne et, depuis quelques années, pratiquée aussi en France. Des moments très attendus par les commerçants, puisqu’ils leur permettent de multiplier leurs chiffres de ventes, mais, d’autre part, également de plus en plus décriés par les défenseurs de l’environnement. Ces derniers dénoncent les effets catastrophiques de ce type de consommation massive, souvent déconnectée des besoins réelles, en termes d’épuisement des ressources comme de production de déchets.

    3,5 tonnes de matières premières pour un téléviseur à écran plat
    Selon une étude publiée en 2009 par l’Insee, le volume annuel de consommation par Français a en effet été multiplié par trois depuis 1960. L’élévation du niveau de vie, l’augmentation du temps libre, l’arrivée des produits low-cost et du commerce en ligne expliquent en partie cette tendance. Or, selon une étude publiée en septembre par l’Ademe sur le poids environnemental de 45 biens aujourd’hui plébiscités par les consommateurs, la production d’un seul téléviseur écran plat 55 pouces requiert quelque 3,5 tonnes de matières premières. Une simple robe en coton peut atteindre les 100 kg de matières, avec 43 kg d’émissions de CO2 associées à sa fabrication. 30% des articles réexpédiés par les clients déçus d’Amazon Allemagne finissent à la poubelle, a révélé une enquête réalisée en juin par la télévision publique allemande (ZDF) et le magazine économique WirtschaftWoche, la vérification de l’état du produit et le reconditionnement étant jugés trop coûteux.

    Selon le Global Footprint Network, qui dans ses calculs tient compte également de la production de services (dont la consommation croît en France aux dépens des biens matériels), le « jour mondial du dépassement » tombe ainsi désormais le 1er août. Au rythme de consommation français, cette date, qui marque le moment ou l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la planète peut régénérer en un an, serait même anticipé au 5 mai.

    #jour_du_dépassement

  • Le Jour des morts... Offrande et calaveras

    https://lavoiedujaguar.net/Le-Jour-des-morts-Offrande-et-calaveras

    L’Association pour l’estampe et l’art populaire a le plaisir de vous inviter
    à l’exposition « Le Jour des morts... à Paris ! Offrande et calaveras ».

    Exposition ouverte tous les jours
    du 1er au 11 novembre 2018
    de 15 à 20 heures
    au 49 bis, rue des Cascades
    Paris XXe (métro Jourdain)

    Vernissage le jeudi 1er novembre à partir de 18 heures.

    Depuis 2001, ce sera la dix-septième année consécutive que l’Association pour l’estampe et l’art populaire fête les morts à la manière mexicaine, il y aura une offrande ainsi que des gravures satiriques. Comme chaque année, le soir du vernissage, vous pourrez goûter la soupe mexicaine et boire à la santé des trépassés. Aussi, il y aura un petit numéro de calavera-clown dans la soirée.

    #Paris #Mexique #Jour_des_morts #calaveras #exposition #offrande #rue_des_Cascades

  • #NEUZZ : LE #STREET-ART #MEXICAIN INSPIRÉ DES #AZTÈQUES
    Aussi lugubre que Munch, aussi coloré que Warhol

    https://www.opnminded.com/2017/02/28/neuzz.html
    publié le 28/02/2017 à 13h00
    consulté le 03/06/2018

    Migues Mejia, plus connu sous son nom d’artiste Neuzz, est un #artiste_de_rue qui sévit principalement à #Mexico. Il est d’ailleurs titulaire d’un diplôme en design graphique à l’Universidad del Valle de Mexico.

    Connu pour ses œuvres colorées représentant des symboles rappelant les arts traditionnels de la culture pré-hispanique, associés à des figures faisant forcément penser aux #masques du #Jour_des_Morts. Le tout combiné aux couleurs de la #culture_pop contemporaine donne un mélange de formes ancestrales funestes et de couleurs très actuelles et enjouées.

    Dans une interview pour le site thewynwoodwalls.com, Neuzz explique :
    « J’ai commencé à utiliser le concept du masque pour son esthétique, une image qui a beaucoup d’impact, presque ténébreuse pour moi. Les masques mexicains sont un moyen de communication spirituelle avec les animaux, les forces de la nature et le monde magique et les esprits. Si un personnage semble porter un masque dans mes dessins ou mes illustrations, cela signifie que c’est un esprit fantôme. »

    Mon commentaire sur cet article :
    Cet article est relativement court, mais les images parlent d’elles-mêmes : à travers des œuvres aussi immenses que magnifiques, offertes à la vue de tous, l’artiste mexicain Neuzz combine modernisme et culture traditionnelle. Ici, l’art permet d’affirmer une réelle identité culturelle, un véritable atout pour le rayonnement mondial du pays. L’art ne permet donc pas directement une forme de développement, mais il ouvre la possibilité d’une cohésion nationale à travers la construction d’une « identité » culturelle et traditionnelle.

  • Le Jour des morts... Offrande et calaveras

    http://lavoiedujaguar.net/Le-Jour-des-morts-Offrande-et

    L’Association pour l’estampe et l’art populaire a le plaisir de vous inviter à l’exposition « Le Jour des morts... à Paris ! Offrande et calaveras ».

    Exposition ouverte tous les jours
    du 28 octobre au 12 novembre 2017
    de 15 à 20 heures
    au 49 bis, rue des Cascades
    Paris XXe (métro Jourdain)

    Vernissage le samedi 28 octobre à partir de 18 heures.

    Depuis 2001, ce sera la seizième année consécutive que l’Association pour l’estampe et l’art populaire fête les morts à la manière mexicaine, il y aura une offrande ainsi que des gravures satiriques. Cette année, l’installation sera enrichie de nouvelles pièces d’artisanat arrivées du Mexique et de têtes de mort cousues par l’artiste Anne Basaille, qui expose actuellement dans la galerie.

    #Paris #Mexique #Jour_des_morts #calaveras #exposition #offrande #rue_des_Cascades

  • #Fonctionnaires : les raisons de la colère
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/101017/fonctionnaires-les-raisons-de-la-colere

    Lors d’une manifestation le 21 septembre © Reuters À l’appel de tous les syndicats, près de 130 manifestations et rassemblements sont prévus mardi pour protester contre les projets de l’exécutif pour cinq millions de fonctionnaires. En cause : une série de mesures défavorables à leur pouvoir d’achat.

    #Economie #austérité #budget #CSG #finances_publiques #Fonction_Publique #Gérald_Darmanin #inégalités #jour_de_carence

  • Les #Fonctionnaires dans le collimateur de Macron
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/030917/les-fonctionnaires-dans-le-collimateur-de-macron

    Malgré ses promesses électorales, Emmanuel Macron ne profitera pas de la réforme de la #CSG pour offrir aux fonctionnaires un gain de pouvoir d’achat. Avec le gel annoncé de l’indice, les rémunérations publiques vont au contraire y perdre. Perte qui se cumule avec la réduction des effectifs publics et le rétablissement du #jour_de_carence en cas de maladie.

    #Economie #Fonction_Publique #Gérald_Darmanin

  • Les #Fonctionnaires dans le collimateur de Macron
    https://www.mediapart.fr/journal/france/030917/les-fonctionnaires-dans-le-collimateur-de-macron

    Malgré ses promesses électorales, Emmanuel Macron ne profitera pas de la réforme de la #CSG pour offrir aux fonctionnaires un gain de pouvoir d’achat. Avec le gel annoncé de l’indice, les rémunérations publiques vont au contraire y perdre. Ce qui s’ajoute à la réduction des effectifs publics et le rétablissement du #jour_de_carence en cas de maladie.

    #France #Economie #Fonction_Publique #Gérald_Darmanin

  • #Jour_Josaph'Aire_dag
    http://www.radiopanik.org/emissions/radiografi/jour-josaph-aire-dag-2

    Avez-vous déjà entendu de #la_friche_Josaphat ?

    Non, pas le parc Josaphat, mais une friche qui a une grandeur de 32 terrains de football ! Vous avez envie de savoir ce qui se passe ici ? Alors venez 10 juin au journée Josaph’Aire ! Josaph’Aire est le nom dont plusieurs initiatives sur la friche comme Commons Josaphat, Recup’Kitchen et Jardin Latinis se rassemblent.

    Des rencontres d’habitants, des paroles, des reportages et de la musique…

    #radiografi #radiografi,Jour_Josaph’Aire_dag,la_friche_Josaphat
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/radiografi/jour-josaph-aire-dag-2_03741__1.mp3

  • Le Jour des morts... Offrande et calaveras

    http://lavoiedujaguar.net/Le-Jour-des-morts-Offrande-et

    L’Association pour l’estampe et l’art populaire a le plaisir
    de vous inviter à l’exposition « Le Jour des morts... à Paris !
    Offrande et calaveras ».

    Exposition ouverte tous les jours
    du 29 octobre au 15 novembre 2016
    de 15 à 20 heures
    au 49 bis, rue des Cascades
    Paris XXe (métro Jourdain)

    Vernissage le samedi 29 octobre à partir de 18 heures.

    #Paris #rue_des_Cascades #calaveras #gravure #offrande #jour_des_morts

  • Humans drained the Aral Sea once before – but there are no free refills this time round

    http://theconversation.com/humans-drained-the-aral-sea-once-before-but-there-are-no-free-refil

    The Aral Sea has reached a new low, literally and figuratively; new satellite images from NASA show that, for the first time in its recorded history, the largest basin has completely dried up.

    However, the Aral Sea has an interesting history – and as recently as 600-700 years ago it was as small, if not smaller, than today. The Aral recovered from that setback to become the world’s fourth largest lake, but things might not be so easy this time round. Today, more people than ever rely on irrigation from rivers that should instead flow into the sea, and the impact of irrigation is compounded by another new factor: climate change.

    Sandwiched between Kazakhstan and Uzbekistan, the Aral Sea is actually a lake, albeit a salty, terminal one. It is salty because evaporation of water from the lake surface is greater than the amount of water being replenishing through rivers flowing in. It is terminal because there is no outflowing river. This makes the Aral Sea very sensitive to variations in its water balance caused either by climate or by humans.

    #asie_centrale #aral #mer_d_aral

    • Genghis Khan, conqueror of the world, diverter of rivers.

      Hello #Chinggis !, bientôt, ton anniversaire : 24/11/2014, jour férié (mobile) en Mongolie : #Jour_de_la_fierté_mongole

      cf. http://seenthis.net/messages/192030

      Ceci dit, dans l’article pointé :

      We still aren’t sure exactly what caused such extreme regression, but a cooler, drier climate played a role. The 13th century Mongol invasion of central Asia also led to the Amu Dar’ya, one of two major rivers that feed the Aral, being diverted to the Caspian Sea. Clearly humans were a major factor in the Aral’s previous dry spell.

      se trouve un lien (sous diverted to the Caspian Sea) malheureusement sous #paywall, mais dont le résumé dit pratiquement le contraire…

      Archaeology and climate : Settlement and lake-level changes at the Aral Sea - Boroffka - 2006 - Geoarchaeology - Wiley Online Library
      http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/gea.20135/abstract

      New archaeological and geomorphologic data collected adjacent to the Aral Sea show lake-level stands during the late Pleistocene and the past 5000 years. On the northern and southern shores, archaeological sites from the Palaeolithic through the Late Middle Ages contain evidence of various cultures and economies. Changes in settlement activity during the mid-Holocene are related to several major lake-level oscillations. Some of them, especially those which occurred at approximately 350–450 cal B.P. (during the Little Ice Age), 700–780 cal B.P., around 1400 cal B.P., and 1600–2000 cal B.P., were accompanied by lithological changes in sediment cores retrieved from the Aral Sea and were observed in shoreline shifts. We show that a maximum lake level at 72–73 m above sea level cannot be corroborated. The highest lake level, which was reached at the beginning of the 20th century, probably never exceeded 54–55 m a.s.l. Furthermore, we documented a previously unknown low-level stand at 42–43 m a.s.l. that dated to the Bronze Age (∼4000–3000 B.P.). The regression during 1200–1300 cal A.D. was formerly underestimated and was lower than the present-day lake level. The observed environmental changes, except those since the 1960s, are most probably driven by climate variability, though human activities (e.g., irrigation) can amplify the impact.

  • Sébastien Fontenelle : « La #presse dominante est subventionnée pour débiter de la #propagande libérale » - regards.fr
    http://www.regards.fr/web/sebastien-fontenelle-la-presse,8000

    Objectivement – disons comme ça pour aller vite –, ce dévoiement réside, pour l’essentiel, dans l’attribution de ces aides à des publications qui, d’une part, n’en ont pas forcément besoin, parce qu’elles sont par exemple adossées à des groupes industriels dont les ressources financières sont (à tout le moins) très considérables, et / ou qui, d’autre part, et surtout, ne remplissent aucune, ou presque, des conditions qui devraient présider à l’octroi de ces subsides. En effet, les aides publiques à la presse ont d’abord été pensées par le législateur comme une contribution de l’État à une forme d’éducation populaire par la lecture des journaux : il s’agissait notamment de garantir un accès facile « à l’écrit », en même temps qu’à une information de qualité – pour faciliter la participation de tous à la vie publique. Or, aujourd’hui, Closer reçoit plus de subventions que Le Monde diplomatique… D’autre part, il est permis de supposer que certains titres éprouveraient quelque difficulté à assurer leur propre survie sans cette perfusion d’argent public : coupez le robinet des aides versées par exemple à Libération, et la situation de ce quotidien, qui n’est déjà pas exactement brillante, va tout de suite devenir beaucoup plus compliquée encore.

    • Depuis 1985, de très nombreux rapports, rédigés – à la demande, souvent, du gouvernement – par des magistrats de la Cour des comptes ou des parlementaires a priori peu suspects de vouloir s’aliéner la presse, ont très précisément documenté qu’il y avait là une gabegie chronique, et des gaspillages ahurissants. Est-ce que ces alertes à répétition ont été entendues ? Est-ce qu’une « réforme » a été envisagée ? Est-ce que Le Monde a publié des dizaines d’éditoriaux pour exiger qu’on la hâte ? Absolument pas. Quand les oligarchies exigent une réduction des dépenses publiques, il s’agit évidemment – on le vérifie encore ces jours-ci dans les saillies de MM. Valls et Macron relatives à la nécessité de « réformer » l’assurance-chômage, et dans les applaudissements nourris qu’elles suscitent dans l’éditocratie – des dépenses sociales, et pas du tout des millions d’euros dont Le Figaro continue d’être gavé.

      #éditocrates #oligarchie #justice_fiscale

    • Ah la la c’est terrible, je me sens déchiré. En même temps je suis d’accord que ces couvertures sont putassières et en même temps les discours de ceux qui critiquent ces couvertures m’emmerdent profondément.

      Et les journaux qui se disent totalement indépendants le seront-ils toujours le jour où ils recevront, enfin, les mêmes montants que Closer :)

      #jour_de_troll (mais heureusement ça ne dure pas)

    • Pourquoi continuer à subventionner ?

      La presse hebdo a fait ses preuves : racoleuse jusqu’à l’ignoble, d’une qualité déplorable, mettant en scène des événements mineurs, surchargée de publicité, entretenant des liens troubles entre annonceurs et politiques.

      Les subventions n’ont en rien aidé à l’amélioration de la qualité et à l’indépendance.

      Ce média hautement corrompu malgré les aides est mort. Il faut l’achever.

      Le principe à renforcer : je ne paie que ce que je consomme !

      Par ailleurs, les aides ne touchent pas que la presse d’opinion. Mais aussi la presse people, télévisuelle et de mode.

      Je ne lis pas Le Point, ni Elle, ni Télé 7 jours. Pourquoi devrais-je financer ces titres ?

      Il faut redéfinir les critères d’attribution de ces aides a-minima.

      Je veux bien aider à l’extrême limite le Monde Diplomatique ( d’une lourdeur idéologique bien connue), il y a du travail derrière les articles. Mais Le Point, non !

      Cette presse est tellement grotesque qu’il faut 2 s pour la parodier.

      Vous voulez la prochaine Une de Sciences et Vie ? Je vous la fais : « Ebola : et si tout venait de votre chien ? ».

    • Dés sa naissance la presse française a été conciliante avec les pouvoirs, puis elle s’est laissée corrompre. cela fait environ deux cents ans que cela dure ( on peut ajouter la presse sous l’Ancien régime) et s’amplifie, naturellement.

  • #Toulouse : l’antifascisme en #procès
    http://lahorde.samizdat.net/2014/07/20/toulouse-lantifascisme-en-proces

    Toulouse, samedi 5 avril 2014, alors qu’un nombre ridiculement petit de manifestants du #Jour_de_Colère se rassemble sur la place du Capitole, une contre-manifestation antifasciste s’organise. La #répression policière finira par arrêter 9 personnes (dont un mineur) indignées par la présence de néonazis. À ce jour, 8 personnes restent inquiétées par la justice pour [&hellip

    #Solidarité #antifa #police