• Le vilain petit secret : la majorité des journalistes morts (au nom de la liberté de la presse, donc) en 2014 sont des… musulmans.

    Let’s talk about the other dead journalists
    http://america.aljazeera.com/opinions/2015/1/charlie-hebdo-deadmuslimjournalistsfreedomofspeech.html

    However, this fight for freedom of speech is not always seen as a Muslim struggle. Yet the number of Muslim journalists killed defending journalism tells a different story. More than half of 61 journalists killed in 2014 were Muslims, many working in conflict-affected countries such as Iraq, Syria, Pakistan and Somalia. But few have received the recognition or commemoration accorded to Western journalists or a handful who worked for Western media outlets.

    (via Angry Arab)

    • Il n’est plus à démontrer que la mort de journalistes non-occidentaux passe inaperçu. Par contre comment sait-on que c’est des journalistes musulmans ?

      Dans la liste https://cpj.org/killed/2014 je ne vois pas une analyse statistique en fonction de la religion.

      Se sont ils dont basé uniquement sur les nom, prénom pour en déduire qu’ils sont musulmans ? Leur pays d’origine ? parceque je n’en vois pas d’autres.

      Si on suit la logique de Rafia Zakaria - associer une religion à nom ou bien à un pays ou une région du globe - Marcos de Barros Leopoldo Guerra, Pablo Medina Velázquez, Michael Tshele ou bien Camille Lepage ne peuvent être que Chrétiens pareil pour MVN Shankar qui ne peut être que Sikh. Bien sur il y a de fortes chances qu’ils le soient autant que Mohamed Taani ou bien Khaled Reyadh Hamad l’aient été aussi d’être musulmans. Mais cette logique, supprime totalement la possibilité que tous ces journalistes, peut importe leur origine et leur noms, soit athés ou agnostiques. Cette logique à mon avis, non seulement s’imisse dans l’intime des defunts journalistes mais en plus elle le récupère potentiellement à des fins politiques tout en discriminant encore plus.