• [Moacrealsloa] #Laura_Agnusdei
    http://www.radiopanik.org/emissions/moacrealsloa/laura-agnusdei

    Laura Agnusdei is a saxophone player, electroacoustic composer, and improviser from #Bologna (IT). She holds a diploma in classical saxophone from the Conservatory of Bologna and a master degree with distinction in electro-acoustic music from #The_Institute_of_Sonology (NL), where she is currently research associate. In her youth, she was part of many experimental and underground rock bands in her hometown.

    Since 2014 she started her first solo project, based on the use of different sound sources by combining digital, analog and acoustic sonorities in a hybrid set up. The first compositional outcome of her solo project is “NIGHT/LIGHTS” a 4 track-ep released in September 2017 on limited edition cassette via the English label #The_Tapeworm. This work features the saxophone as the main voice (...)

    #Moacrealsloa #KyoKyoKyo #Trovarobato #Julie's_Haircut #Rocket_Recordings #Sex_With_Giallone #Moacrealsloa,The_Institute_of_Sonology,Bologna,KyoKyoKyo,Laura_Agnusdei,Trovarobato,Julie’s_Haircut,Rocket_Recordings,The_Tapeworm,Sex_With_Giallone
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/moacrealsloa/laura-agnusdei_08496__1.mp3

  • Nature morte anarchiste
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#tableau1

    Ce n’est pas fréquent de trouver un tableau intitulé « Plat du jour, 1894 » et décrit comme une « nature morte anarchiste » par un site de vente aux enchères. Cette huile sur toile de 61 x 50 cm est l’œuvre d’un certain Julien Dilly (1848 - après 1923), de son vrai nom Emile Eugène Dilly. Né le 29 août 1848 à Lille, il est surtout connu comme peintre décorateur (...)

    #anarchisme #peinture #JulienDilly #attentats

  • A #Montpellier, la campagne #municipale d’EELV vole en éclats - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/210120/montpellier-la-campagne-municipale-d-eelv-vole-en-eclats

    C’est complètement fou ! Je n’arrive pas à comprendre les tensions obscures qui me frappent. » Lundi 20 janvier, dans une conférence de presse transformée en meeting politique, Clothilde Ollier, candidate à la mairie de Montpellier, n’en revient toujours pas. « Aurait-on osé s’attaquer à moi de cette manière si je n’étais pas une femme, mère célibataire et infirmière aux urgences ? », s’indigne la jeune femme dans une brasserie remplie à craquer de militants proches de La France insoumise. « Je ne cèderai pas. Aidez-moi ! »

    La décision est tombée samedi soir abruptement. Comme l’a révélé Midi Libre, Europe Écologie-Les Verts (EELV) a retiré l’investiture accordée à Clothilde Ollier pour mener la campagne des municipales à Montpellier. Celle qui avait remporté une primaire contre l’ancien député Jean-Louis Roumégas ne pourra donc plus exploiter le logo de son parti. Sa photo disparaît aussi du local de campagne. Ses affiches seront nécessairement modifiées.

    [...]

    Par la suite, Manu Reynaud est écarté du dispositif. Au sein de Confluence, on pointe chez lui de « l’incompétence » et « une proximité trop importante avec le #Parti_socialiste, alors que la ville est gagnable sans ceux qui l’ont dirigée jusqu’à présent ». Par un communiqué de presse envoyé le 13 janvier depuis une adresse courriel créée pour l’occasion, en dehors du fichier d’EELV, Clothilde Ollier prend les adhérents du parti à contre-pied et évince Manu Reynaud de la direction de campagne. Elle nomme à sa place le professeur de sciences politiques non encarté Jean-Yves Dormagen (dont Le d’Oc a par ailleurs appris qu’il a rencontré ce dimanche le conseiller régional RN Djamel Boumaaz). Le but ? « Monter en puissance. »

    Une conférence de presse consacrée à la pollution de l’air est alors brutalement annulée deux heures avant sa tenue. Le sondage, commandé par #EELV et #Ensemble, plaçant #Clothilde_Ollier victorieuse dans toutes les configurations testées ne change rien : le jour de sa publication jeudi dernier, trois membres du bureau exécutif du parti tentent une médiation. En vain. Dans l’entourage de Clothilde Ollier, on dénonce une démarche « hors du cadre légal du parti ». Et on rejette les accusations selon lesquelles des thématiques écolos disparaîtraient du programme, ainsi que l’a annoncé #Julien_Bayou au terme de la médiation nationale d’EELV : « Clothilde n’a pas changé la moindre ligne au programme. C’est un petit clan autour d’un apparatchik local qui a réussi à convaincre le national qu’il y avait un problème. »

  • #Julie_Bindel : Pourquoi les gens sont-ils si disposés à croire que les femmes mentent à propos du viol ?
    https://tradfem.wordpress.com/2020/01/11/pourquoi-les-gens-sont-ils-si-disposes-a-croire-que-les-femmes-me

    Quoi qu’il en soit, la couverture médiatique disproportionnée des cas de femmes condamnées pour avoir fait de fausses allégations de viol peut donner à une bonne partie du public – et donc à ceux qui siègent dans les jurys de procès pour viol – l’impression que les femmes sont de dangereuses fabulatrices qui se font passer pour des victimes.

    On voit de plus en plus les hommes accusés de viol recourir à la défense d’un consentement que la plaignante aurait donné avec joie et enthousiasme au type de sexe correspondant à un récit pornographique populaire — par exemple, celui d’une orgie avec un tas d’étrangers de sexe mâle. Si la plaignante est soumise à un examen médico-légal et que l’on constate qu’elle présente une hémorragie interne, d’importantes ecchymoses et des signes de traumatisme grave, ces indices sont rejetés comme de simples traces d’une activité sexuelle vigoureuse.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://blogs.spectator.co.uk/2020/01/why-are-some-so-keen-to-believe-women-lie-about-rape

  • #Julie_BINDEL : « Pourquoi une femme oserait-elle signaler un viol après ce qui est arrivé à ma fille ? »
    https://tradfem.wordpress.com/2020/01/07/%e2%80%89pourquoi-une-femme-oserait-elle-signaler-un-viol-apres-c

    Le mois dernier, je me suis rendue à Chypre pour rencontrer l’adolescente britannique condamnée pour avoir fait de fausses allégations de viol.

    Lundi dernier, un tribunal local a déclaré cette jeune fille de 19 ans coupable de « méfait public » pour avoir apparemment inventé de toutes pièces l’allégation de son viol par 12 hommes israéliens alors qu’elle travaillait à Ayia Napa. Aujourd’hui, elle a été condamnée à quatre mois de prison avec sursis et serait sur le chemin du retour.

    Son épreuve a suscité l’indignation en Grande-Bretagne, le ministère des Affaires étrangères se disant « sérieusement préoccupé quant aux garanties d’un procès équitable dans cette affaire profondément pénible » où, selon les avocats de la jeune femme, des preuves médico-légales cruciales ont été soit non recueillies soit inexplicablement jugées irrecevables par le tribunal.

    Lorsque je les rencontre, l’adolescente et sa mère vivent dans un appartement loué dans un village de vacances qui, hors saison, ressemble à une ville fantôme. Les deux sont évidemment très proches et la mère me dit fièrement que sa fille est déterminée à se battre pour obtenir justice.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.telegraph.co.uk/women/life/mother-ayia-napa-teen-would-woman-dare-report-rape-has-happened
    #justice_patriarcale #viol #violences_masculines #déni_de_justice #Ayia_Napa #Chypre

  • #Julie_Bindel : Que faire lorsque l’on regrette sa transition sexuelle ?
    https://tradfem.wordpress.com/2020/01/06/que-faire-lorsque-lon-regrette-sa-transition-sexuelle

    Livia, 23 ans, vit comme transhomme depuis cinq ans. À 20 ans, elle a subi une double mastectomie, une hystérectomie et une ovariectomie (ablation des ovaires). Et elle le regrette aujourd’hui. Elle fait partie d’un panel de sept jeunes femmes qui discutent de leurs sentiments face à la transition lors de la toute première réunion du Detransitioner Advocacy Network (DAN) (Réseau de défense des droits des personnes en détransition, plus tôt ce mois-ci.

    Depuis la création du réseau, en octobre dernier, plus de 300 femmes qui regrettent d’être passées du statut de femme à celui de (trans)homme se sont manifestées pour obtenir du soutien et des conseils. C’est un nombre extraordinaire. Mais il n’est peut-être pas si surprenant quand on voit qu’au cours des dix dernières années, on a observé une augmentation de 3 200 % du nombre d’enfants qui se croient transgenres au Royaume-Uni, dont les trois quarts sont des filles. Une recherche rapide sur le site de sociofinancement GoFundMe montre que plus de 26 000 filles et femmes cherchent actuellement de l’argent pour subir la « chirurgie du haut » (une double mastectomie élective) afin d’acquérir une apparence plus masculine.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://unherd.com/2019/12/the-nhs-is-failing-trans-kids
    #détransition_transgenre #identité_de_genre #féminisme #transgenre

    • Il semble que Livia souffrait de dysmorphie corporelle, un désordre qui amène les gens à croire que leur corps est défectueux ; cette condition devient de plus en plus fréquente en raison de la pression exercée sur les jeunes femmes pour qu’elles se conforment à des stéréotypes féminins. Mais on l’a plutôt amenée à croire qu’elle souffrait d’une dysphorie de genre, un trouble où des gens en viennent à penser c’est leur sexe biologique qui n’est pas « le bon », ce qui conduit à vouloir subir une chirurgie irréversible, souvent à un âge jeune et impressionnable.

      Ayant fait son coming out en tant que lesbienne à l’âge de 11 ans, Evans se sentait mal à l’aise face à la réaction négative de garçons et de filles à l’école. Elle a enduré leur cruauté et leurs remarques homophobes pendant plusieurs années, puis, à l’âge de 14 ans, elle a découvert que plusieurs membres de son groupe d’amis passaient du statut de femme à celui d’homme, une perspective qu’elle dit avoir trouvée irrésistible.

      « J’ai suivi le mouvement », me dit Evans. « J’aime les autres filles et j’aime les armes, les camions et la boue, je n’aime pas avoir les cheveux longs et je suis vraiment bordélique, et ma chambre ressemble à une chambre de garçon, donc je dois être un garçon. »

      « Aujourd’hui, j’ai accepté celle que je suis vraiment : une femme non conforme à son sexe. Je ne crois pas que j’aurais dû vivre une transition médicale pour en arriver à ce constat. »

      #lesbophobie #homophobie #misogynie

  • 50 nuances de Green
    https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/le-journal-integral-de-julien-green



    A l’occasion de la parution du journal de Julien Green, dans sa version originale, c’est-à-dire non expurgée par l’auteur lui-même, « Mauvais Genres » reçoit l’écrivain et historien Jean-Luc Barré, et Guillaume Fau, conservateur au département des Manuscrits de la Bnf.
    Le siècle d’enfer de l’écrivain catholique et homosexuel Julien Green
    https://www.franceculture.fr/litterature/le-siecle-denfer-de-lecrivain-catholique-et-homosexuel-julien-green
    https://www.franceinter.fr/emissions/la-marche-de-l-histoire/la-marche-de-l-histoire-18-octobre-2019
    #Julien_Green #mauvais_genre

  • Éléments de langages de la #nov_langue_macronienne.

    Agnès Buzyn sur France Inter le 17 décembre 2019 interviewée par Nicolas Demorand et Léa Salamé de 8:20 à 8:45

    Redonner du sens

    Agnès Buzyn : Je sis la personne la mieux placé pour redonner du sens à l’hôpital public

    Je l’entends

    Pour renverser la tendance, il faut du temps, ils sont en colère et impatient et je l’entends

    Agnès Buzyn : Il faut du temps, ils sont en colère et impatient et je l’entends

    Irreprochables [république]

    Affaires non jugées

    Agnès Buzyn : Il faut impérativement que nous soyons irréprochables, mais beaucoup des affaires qui sont reprochées aux uns et aux autres n’ont pas été jugées. Aujourd’hui, on traite les gens comme s’ils étaient coupables.

    Partir dignement

    Agnès Buzyn : Jean-Paul Delevoye a pris toutes ses responsabilités, il part dignement. Il a mené à bien un très gros travail : le rapport qu’il a fourni est loué par les organisations syndicales. Maintenant il faut passer sur le fond.

    #nov_langue_macronienne

  • #Julie_BINDEL : Royaume-Uni : Les femmes font les frais du litige entre travaillistes au sujet de l’égalité des transgenres.
    https://tradfem.wordpress.com/2019/12/05/royaume-uni-les-femmes-font-les-frais-du-litige-entre-travaillist

    J’ai été agréablement surprise lorsque j’ai lu le nouveau Manifeste du Parti travailliste. Non seulement ce parti a-t-il promis de mettre fin aux « chambres mixtes » dans les hôpitaux, mais il s’est également engagé à « veiller à ce que les exemptions accordées à des espaces non mixtes par la Loi de 2010 sur l’égalité soient comprises et pleinement appliquées dans la prestation de services ».

    Aussitôt ce manifeste publié hier, un certain nombre de féministes ont tweeté leur soulagement et salué d’éloges cette promesse. Elle marquait un changement important par rapport au manifeste travailliste de 2017 dans lequel le parti avait promis de : « … réformer la Loi sur la reconnaissance du genre (LRG) et la Loi de 2010 sur l’égalité pour assurer la protection des personnes transgenres en changeant la caractéristique protégée de “réassignation de genre” pour en faire l’“identité de genre” et en supprimant d’autres termes périmés tels que “transsexuel”. »

    Beaucoup d’entre nous étions préoccupées par l’érosion des droits sexuels des femmes et des filles aux mains des talibans transgenres, une opération conçue par le lobby Stonewall et appuyée par Dawn Butler, secrétaire des dossiers des femmes et des égalités (sic) dans le cabinet fantôme du Parti travailliste.

    Je me demandais bien comment cette opération était passée d’une proposition visant à éradiquer complètement nos droits à une promesse de les respecter et même de les renforcer. C’est alors que Dawn Butler et ses copines de Momentum (NDT : un caucus radical au sein du Parti travailliste) ont commencé à tweeter leur version de la réalité. Je suppose qu’elles l’ont fait soit pour tenter d’apaiser la meute (des transactivistes) soit, pire encore, pour faire pression sur le parti afin de lui imposer une politique à laquelle il ne s’était pas officiellement engagé.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://blogs.spectator.co.uk/2019/11/women-are-the-losers-in-labours-trans-equality-fight
    #non-mixité #féminisme #Royaume-Uni #Parti_travailliste

    • –1 pour le concept de « talibans transgenre ». Déjà, traiter des ennemi·es politiques de talibans... mais encore moins quand le mot « transgenre » ne se réfère pas de manière évidente à des groupes de pression critiquables mais peut viser des personnes qui ont le simple tort d’être trans...

      Si la Loi sur l’égalité était réformée comme le veut Dawn Butler, cela pourrait signifier que tout homme souhaitant s’identifier en tant que femme, qu’il soit ou non véritablement dysphorique ou qu’il ait subi ou non un traitement quelconque, pourrait avoir accès à des espaces sûrs réservés aux femmes, comme des refuges et des services-conseil en cas de viol et, qu’en cas de contestation, l’on pourrait invoquer la loi sur les crimes motivés par la haine contre toute personne contestant cette politique, s’en plaignant ou cherchant à exclure un homme de ces lieux.

      Dans un contexte carcéral, il appert déjà que des délinquants sexuels violents et prédateurs sautent sur cette occasion pour être transférés dans des prisons pour femmes. Les détenues sont terrifiées. Nombre d’entre elles ont été victimes d’intimidation et d’agressions ; on sait que la population carcérale féminine est particulièrement affectée par des antécédents de maltraitance sexuelle, de viols et de violence familiale dans l’enfance.

      Il ne s’agit pas que d’un épouvantail ou d’un raisonnement par l’absurde : l’auto-détermination du genre, en plus d’être un non-sens social, est une menace bien concrète sur tous les lieux où la non-mixité, conquise de haute lutte, est vitale pour des femmes. J’ai mis ici quelques actes de violence misogyne (violences sexuelles qui vont de l’exhibition au viol de très jeunes enfants) perpétrés par des personnes se définissant comme femmes et auxquelles le droit permet de plier tout le monde à leur volonté, y compris mauvaise foi, haine pathologique des femmes, etc. J’ai entendu parler de 50 % de détenues transgenre en prison au Royaume-Uni pour crimes sexuels (contre 17 % de mecs cis) mais je ne garantis pas ce chiffre. Les mettre en prison avec les personnes de la classe de leurs victimes me semble raide dingue et jusqu’ici seule la NZ a posé des limites à l’auto-identification sur ce critère-ci : une femme trans ne peut pas aller en prison pour femmes si elle a été condamnée pour des crimes sur des femmes.

      https://seenthis.net/messages/803000

  • Why woke men fear real feminism - UnHerd
    https://unherd.com/2019/07/why-woke-men-fear-real-feminism

    I would wager that a hatred of feminists in the current climate is being fuelled by leftist men who claim to be “on the right side of history” but are, in fact, misogynists dressed up as progressives. Take Owen Jones, using his Guardian platform to regularly stick the boot into feminists who are fighting to retain sex-based rights. In one article, he dismissed my 40 years of activism to end male violence against women and girls, and reduced me to an anti-trans campaigner. This merry band of leftist puppets would have it that those many thousands of women attending public meetings to discuss the potential clash of rights between trans people and natal women if self-identification is introduced in Britain, are also, by default, homophobic bigots.

    Feminists that campaign against abuse in the global sex trade are labelled as White Feminists, and, whether they are white or not, racist. No matter how many times black and brown feminists refuse to capitulate to the version of feminism that benefits men a damn sight more than it does women, they are vilified by the super-woke and publicly ‘cancelled’ – social media’s version of witch burning.

    When Vice, which has run an article entitled Ban Sex Work? Fuck off, White Feminism published a piece on the murder of the schoolgirl Charlene Downes, based on my investigation a decade ago, I was described as “The journalist Julie Bindel – these days better known for her divisive views on trans issues.” In one sentence, my entire body of work over the past 40 years, including four books on feminism, thousands of articles on rape, domestic violence, child abuse, and trafficking of women, and travelling the world to investigate human rights abuses, is reduced to my views on transgender ideology.

    Is it any wonder that so many young people watching this debate unfold want nothing to do with feminism, painted as a movement of bigots, transphobes and homophobes hell-bent on abusing an oppressed group, as opposed to liberating women? The most widely used slur to describe people thought to be anti-trans is Trans-Exclusionary Radical Feminist (Terf). Not, you may notice, “violent men”, the group most likely to hate and attack transgender people, but feminists.

    There is a war against feminists in the UK, and the so-called progressives are the ones throwing the grenades.

    During the 50-plus interviews I have done so far, I have been told by women from a range of backgrounds and circumstances that they feel under pressure to sign up to fun feminism, support “sex work”, stripping, porn, and to chant the mantra, “trans women are women!” They are being groomed into hating actual feminism, and adopting a faux-version that does not challenge men at all.

    Male Left-wing misogynists who hate feminism are too cowardly and inadequate to be open about it, and would rather rebrand feminism to suit them.

    #proféministes #féminisme #anti-féminisme (mais cool)
    par #Julie_Bindel

  • Don’t you dare ask my pronouns - UnHerd
    https://unherd.com/2019/10/dont-you-dare-ask-my-pronouns/?=frpo

    “My name is Jeremy Corbyn and my pronouns are he/him.”

    These were the opening words from the Labour Party leader at the Pink News Awards yesterday.

    Corbyn hadn’t want to miss an opportunity to virtue signal — on International Pronoun Day, no less. He has impeccable trans-inclusive politics, even supporting the inclusion of men who identify as women on all-female shortlists. Corbyn’s self-appointed advisor on all things trans, Owen Jones, has made it clear to the Labour leader that in order to be on the “right side of history” one must put male-bodied trans women before actual women.

    Indeed, this obsession with pronouns is extremely worrying. Especially now the police have joined in. The same week that government statistics were released showing rape convictions down to a shocking 1.4% of those reported, Deputy Chief Constable Julie Cooke of Cheshire Police found the time to make a video to mark IPD, telling us that for many people, “Being misgendered can have a huge impact on somebody and their personal wellbeing.” So can being raped, but let’s get our priorities right, shall we?

    For all those lesbians who are constantly told we “look like men” because we refuse to wear make-up, high heels and corsets, and dress for the benefit of men, it is offensive and deeply anti-lesbian to now get asked “what are your pronouns?” We have struggled for years to win respect and acceptance as women — why should we have to spell it out.

    #progrès #LGBT #femmes par #Julie_Bindel

  • « Si on est au SMIC, faut pas divorcer ! »

    Les propos de #Julie_Graziani ne sont pas un dérapage. Ils s’insèrent dans une stratégie : celle de l’#extrême_droite. Ils servent un objectif : la conquête du pouvoir.

    Décryptage de #Clément_Viktorovitch pour #CliqueTV

    https://www.youtube.com/watch?v=ldWRpySM1CM

    https://twitter.com/clemovitch/status/1191800330763288576

    Fenêtre d’Overton
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Fen%C3%AAtre_d%27Overton

    #rhétorique #Fenêtre_d'Overton

    • Julie Graziani « J’aurais dû faire comme Eric Zemmour et simplement dire du mal des musulmans »


      http://www.legorafi.fr/2019/11/07/julie-graziani-jaurai-du-faire-comme-eric-zemmour-et-simplement-dire-du-mal

      « C’est l’erreur bête, stupide, j’ai critiqué mon propre électorat » raconte-t-elle. « Alors que si j’avais juste dit du mal des musulmans comme Eric, personne n’aurait rien dit » ajoute-t-elle. « Regardez, quand il a dit qu’il était du côté d’un général qui massacrait les Algériens, personne n’a rien dit. Parce que c’est normal c’est tout. » souligne-t-elle, regrettant encore ses propos sur les mères célibataires. « Peut-être aurai-je dû dire des mères célibataires musulmanes et là tout de suite les gens ne se seraient pas scandalisés ! » reconnaît-elle. « Au contraire, j’aurai même été invitée à défendre mon idée chez Pascal Praud, cela aurait été la consécration ! », se prêtant alors à rêver que de tels propos lui auraient valu une condamnation pour appel à la haine raciale. « Et alors là, quand vous décrochez ça, vous avez votre émission sur CNews en prime time, c’est la récompense de beaucoup de travail, de beaucoup de haine quotidienne ».

      #le_gorafi

  • #Julie_Bindel : La vérité pure et simple à propos de la #violence_conjugale
    https://tradfem.wordpress.com/2019/10/28/la-verite-pure-et-simple-a-propos-de-la-violence-conjugale

    Hier, nous parlions partout de l’échec systématique de l’État à poursuivre et faire condamner les violeurs, et aujourd’hui, c’est l’augmentation des décès dus à la violence masculine qui fait la manchette à la BBC. Tandis que nous sommes tous et toutes, à raison, horrifié-e-s par les morts de jeunes gens agressés à l’arme blanche dans nos rues, nous semblons presque tenir pour acquis le nombre de femmes qui sont assassinées, souvent à l’arme blanche, par des hommes qui leur sont connus.

    Qui sont les violeurs ? Des hommes. Qui tue leurs partenaires intimes ? Presque exclusivement des hommes. Si nous demeurons incapables d’énoncer cette pure et simple vérité, nous faisons partie du problème. Cette semaine, nous avons appris que le très attendu « Domestic Abuse Bill » (Projet de loi sur la violence conjugale) est l’une des lois qui sont mortes au feuilleton quand le parlement britannique a été prorogé. La championne de ce projet de loi était la première ministre Theresa May, celle qui a décerné cette semaine un titre de Chevalier à Geoffrey Boycott, pourtant trouvé coupable d’avoir agressé une femme…

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://blogs.spectator.co.uk/2019/09/the-simple-truth-about-domestic-violence

  • Liste des personnes en situation migratoire mortes à la frontière dite « haute » (#Mongenèvre, #Val_Susa, #Col_de_l'Echelle, #Bardonecchia, #Oulx, #Briançon) entre la #France et l’Italie ces dernières années.

    Selon les informations collectées par Eva Ottavy et Lydie Arbogast, qui ont fait une mission de collecte d’info en octobre 2019 dans le cadre du projet de La Cimade « Personnes décédées et disparues aux frontières françaises » :

    5 cas de personnes décédées à la frontière franco-italienne haute ont été recensés dont 3 côté français (Matthew Blessing le 07/05/2018, #Mamadi_Condé le 18/05/2018 et Tamimou Derman le 07/02/2019) et 2 côté italien (Mohamed Fofana le 25/05/2018 et une personne non identifiée le 07/09/2019)

    Mise en garde des deux personnes qui ont fait un rapport intermédiaire de leur mission :

    Il est possible que ce chiffre soit en deçà de la réalité d’une part (difficultés pour mener de recherches dans la zone, possibilité que des personnes aient disparu sans laisser de trace…) et qu’un certain nombre de décès et/ou disparition ont pu être prévenus grâce aux maraudes

    Elles mentionnent notamment le cas d’une personne (nom mentionné dans le rapport, mais je ne le mets pas ici) :
    « Suite à l’appel de deux proches, inquiets d’être sans nouvelle de leur ami depuis le 15/11/2019 (date du dernier contact, lors duquel la personne disparue se trouvait à Oulx en Italie), la disparition de XXX a été signalée au procureur de la république à Gap (France) par l’’association Tous Migrants et au Comando del carabinieri à Oulx (Italie) par une militante italienne. Les recherches menées par les équipes de secours italiennes n’ont rien donné. A ce stade, aucune information n’a été transmise sur les suites données à ce signalement. »

    #frontières #mourir_aux_frontières_alpines #morts #décès #migrations #asile #réfugiés #Alpes #montagne #mourir_aux_frontières #violent_borders #frontière_sud-alpine

    Je vais ajouter à cette métaliste sur les morts à la frontière sud-alpine :
    https://seenthis.net/messages/758646

    • Sur les morts du printemps 2018...

      Tre morti in tre settimane, scoperto il cadavere di un altro migrante in Val di Susa

      Ancora un corpo che spunta tra le neve sporca e i detriti all’Orrido del Frejus.

      Le peggiori previsioni fatte nell’inverno si stanno rivelando fondate. Si scioglie la neve, si contano i cadaveri. È il terzo morto in poche settimane causato dalla militarizzazione della frontiera operata dalle forze dell’ordine in questi ultimi mesi, da quando la chiusura del passaggio di Ventimiglia ha spostato i flussi verso i valichi alpini. Archiviati i dissapori causati dall’invasione di campo della gendermerie a Bardonecchia, ormai dai due lati della frontiera è caccia al nero, con gendarmerie e polizia unite per respingere in Italia i migranti che vogliono arrivare in Francia. Anche a costo di ucciderli. Vittime collaterali dello spettacolo della frontiera, messo su per compiacere l’Unione europea e qualche cinico politico.

      Prima Blessing, una ragazza di 21 anni morta sulle sponde della Durance. Gli amici che erano con lei hanno raccontato che la gendarmeria francese l’ha inseguita di notte per i sentieri scoscesi fino a quando non è caduta nel torrente. Il suo corpo è stato ritrovato a valle qualche giorno dopo. Mamadou, un signore senegalese, invece è morto di sfinimento in montagna. Aveva provato a passare come i suoi coetanei con la pelle bianca in autobus ma la polizia l’ha rispedito indietro, con il nipote ha dovuto inerpicarsi sulla montagna per sfuggire alla battuta di caccia che i gendarmi lanciano ogni giorno e ogni notte, con visori notturni e motoslitte. Da aprile ad aiutare gli agenti sono arrivati i fascisti di Generation identitiare, che con droni ed elicotteri hanno messo in scena un blocco delle frontiere prima che un corteo di trecento valsusini li ridicolizzasse passando la frontiera con qualche decina di migranti. Sotto l’occhio benevole delle autorità francesi e col tifo dei fascisti nostrani, ora continuano di tanto in tanto le loro azioni spot, respingendo i migranti, obbligandoli a percorsi sempre più impervi e a rischiare la vita fino a perderla.

      Durante l’inverno tanti abitanti delle valli frontaliere hanno setacciato i sentieri ed accolto le persone in transito, dando informazioni, soccorrendo chi era in difficoltà anche a costo di denunce e processi. Tre di loro, Bastien, Théo ed Eleonora, sono ancora sottoposti a controllo giudiziario in Francia dopo un passaggio di diverse settimane nel carcere di Marsiglia, in attesa de loro processo che comincerà il 31 maggio. Chi quei sentieri li conosce aveva avvertito: la frontiera uccide. Voleva essere una denuncia, a fare qualcosa prima che fosse troppo tardi. Si è trasformata in una previsione che in questi giorni si è fatta dolorosa realtà.

      Dai due lati della frontiera è stato lanciato un appuntamento per una risposta collettiva, domenica 27 maggio alle 12:30 a Claviere, al rifugio autogestito chez jesus. Non vogliamo contare i corpi, non vogliamo che la Val di susa si trasformi in un cimitero a cielo aperto. Restiamo umani.

      https://www.infoaut.org/migranti/tre-morti-in-tre-settimane-scoperto-il-cadavere-di-un-altro-migrante-in-val

    • #Mohamed_Ali_Bouhamdi , citoyen tunisien, 37 ans.

      Septembre 2019, #Bardonecchia, corps d’un homme retrouvé dans la rivière #Dora :
      https://seenthis.net/messages/800830

      –-> Selon une personne avec qui j’ai discuté et qui habite dans la région et qui s’intéresse à la question, Mohamed ne serait pas décédé parce qu’il est tombé dans la rivière, mais il a probablement été tué ailleurs (crime raciste ? règlement de comptes ?) et son cadavre jeté dans la rivière.

    • Une 5ème victime de la frontière dans les Alpes (passage Bardonneccia/Briançon col de l’Echelle).

      Hier le corps d’un homme a été retrouvé dans le fleuve Dora, près de Bardonnecchia. C’est la cinquième personne tentant de traverser cette frontière, au niveau du col de l’échelle, qui est retrouvé décédée.

      « Ces dernières années tous les moyens ont été mis en place pour que ce genre de chose arrive : militaire en poste dans les forts autrefois abandonnés, gendarmes, police, douane, police en civils, laisser-passer pour les fascistes de génération identitaire venus épauler la flicaille. Les frontières se sont fermées pour les hommes et les femmes non-blanches.
      Les compagnon.n.e.s anarchistes subissent là-haut une répression féroce, les militant.e.s solidaires sont harcelé.e.s.

      All Cops Are Borders
      Burn the borders »

      https://www.facebook.com/collectifmigrants13/posts/2085425978430142?__xts__[0]=68.ARC3SUc6HicLfWSZMxbdmmf_CxCNvhE5BUP-usMmqYF

    • 15.02.2020

      Un groupe de migrants « disparus » récupérés grâce à un dispositif de secours...

      Montgenèvre : les Italiens déploient un important dispositif pour secourir des migrants

      Un groupe de migrants s’est perdu dans la montagne, samedi 15 février, en tentant de traverser la frontière franco-italienne, entre Claviere et Montgenèvre.

      Selon la presse transalpine, ces migrants portés disparus ont été retrouvés et récupérés à la mi-journée sur le sol français alors qu’un important dispositif de recherche avait été déclenché en Italie, dans la Val Susa : sapeurs-pompiers et bénévoles de la Croix-Rouge au sol appuyés dans les airs par l’hélicoptère Dragon pour inspecter les secteurs les plus hauts.

      https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2020/02/16/montgenevre-les-italiens-deploient-un-important-dispositif-pour-secourir

    • Juin 2021, disparition d’un Soudanais :

      Une enquête pour « disparition inquiétante » a été ouverte vendredi après plus de 48 heures de recherches infructueuses près de Briançon (Hautes-Alpes) pour retrouver un migrant soudanais qui arrivait d’Italie, a annoncé le parquet de Gap.

      Il faisait partie d’un groupe de quatre « jeunes hommes » partis dimanche du village italien d’Oulx pour passer la frontière, a expliqué Didier Fassin, sociologue français présent à Briançon pour aider les migrants et mener des travaux de recherche. C’est lui qui a alerté les secours.

      https://seenthis.net/messages/922630

      Les personnes solidaires à Briançon espèrent qu’il soit en vie :

      Nous avons l’espoir qu’elle a poursuivie sa route car elle n’avait pas de téléphone et donc pas de moyen de se signaler.

    • 06.02.2022, commémor’action des mortEs aux frontières à #Briançon, #La_Vachette :

      La Vachette, Hautes-Alpes, 6 février 2022 : Commémoration des migrant.e.s mort.e.s à la frontière entre l’Italie et la France suite à l’appel collectif à mobilisations dans plusieurs pays à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le régime de mort aux frontières et pour exiger la vérité, la justice et la réparation pour les victimes de la migration et leurs familles.


      https://hanslucas.com/jbenard/photo/52306
      photos de #Julien_Benard

    • Confine italo-francese: una frontiera dove si continua a morire. Appello alle autorità (11.02.2022)

      Le recenti morti di Fathallah Balafhail, 31enne di origine marocchina, trovato senza vita nei primi giorni di gennaio non lontano da Modane, in Francia, Ullah Rezwan Sheyzad, quindicenne proveniente dall’Afghanistan, e della persona deceduta a Latte, la cui identità non può essere accertata a causa delle modalità del decesso, testimoniano con forza la necessità di un cambio di rotta nella gestione dei confini. Le associazioni si appellano alle autorità francesi, italiane e locali attraverso un documento che denuncia la realtà della situazione al confine italo-francese.

      Questi episodi dimostrano chiaramente che malgrado l’aumento dei controlli, la volontà di portare a termine il progetto migratorio spinge le persone a individuare nuove rotte migratorie, a discapito della propria sicurezza, trovando anche la morte.

      Quanto accade nelle aree di frontiera, incluse le recenti morti, è secondo le associazioni firmatarie effetto collaterale di precise scelte politiche adottate tanto a livello locale e nazionale quanto a livello europeo. È necessario ed urgente un cambio di approccio al sistema di gestione delle frontiere interne ed esterne europee che faccia della tutela dei diritti fondamentali e del diritto di asilo il principio giuridico intorno a cui ripensare le politiche migratorie.

      Alle frontiere vengono lesi il diritto di asilo, anche di minori e soggetti vulnerabili, e altri diritti fondamentali quali il diritto alla salute e quello a poter avere accesso ad una anche minima forma di accoglienza così da evitare gravi forme di emarginazione. Viene inoltre leso il diritto alla verità nel momento in cui le persone decedute rimangono senza identità.

      Le organizzazioni firmatarie esprimono il loro sincero ed incondizionato sostegno alle famiglie dei defunti ed invitano le organizzazioni della società civile a promuovere ogni azione utile a contrastare le modifiche del Codice frontiere Schengen e, in senso più ampio, gli ulteriori strumenti previsti dalla Strategia Schengen che siano potenzialmente lesivi dei diritti fondamentali dei cittadini stranieri.

      Chiedono inoltre:

      – alle autorità italiane e francesi di modificare le politiche relative alla gestione delle frontiere interne, con particolare riferimento alle modalità con le quali i controlli di polizia e di frontiera vengono svolti, garantendo il pieno rispetto dei diritti fondamentali e dei principi riconosciuti, in particolare, dalla Carta dei diritti fondamentali dell’Unione europea nonché degli obblighi in materia di protezione internazionale e di non respingimento;

      – alle autorità locali di predisporre servizi adeguati a rispondere alle esigenze e al bisogno di protezione dei migranti presenti nei luoghi di frontiera garantendo in primo luogo accoglienza anche alle persone in transito.

      https://www.asgi.it/primo-piano/confine-italo-francese-una-frontiera-dove-si-continua-a-morire-appello

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      Si ritorna a morire alla frontiera Nord Ovest delle Alpi

      Fathallah Balafhail, 31 anni, è stato trovato morto il 2 gennaio 2022 al Barrage del Freney non lontano da Modane dopo aver cercato di varcare a piedi le Alpi. Veniva dal Marocco, anche lui aveva tentato il giro più lungo passando dalla Turchia e aveva attraversato i Balcani. Aveva vissuto per un certo tempo a Crescentino, paese vicino a Vercelli, poi la partenza, due tentativi falliti di arrivare in Francia, passando da Ventimiglia, e infine l’arrivo in Valle di Susa. L’ultimo suo messaggio alla famiglia risale alle 23.54 dalla stazione di Oulx. Forse aveva trovato un passeur per arrivare dall’altro lato del confine con una macchina. Il tentativo non è coronato da successo e forse matura lì la scelta del cammino in montagna, un percorso lungo e pericoloso, già sperimentato in anni passati e in seguito abbandonato per gli evidenti rischi. Rimane un buco di tre giorni prima del ritrovamento del cadavere. Molti particolari rimangono oscuri e inquietanti. I parenti non hanno avuto accesso ai risultati dell’autopsia. Anche il rimpatrio in Marocco è avvenuto frettolosamente senza attenzione alcuna alla sensibilità della famiglia e ai rituali funerari del paese d’origine. Si rimane invisibili anche dopo la morte. Poche righe su un giornale locale francese hanno liquidato il caso. Nonostante la presenza ricorrente di giornalisti in Alta Valle di Susa, il fatto è rimasto sotto silenzio.

      #Ullah_Rezwan_Sheyzad, 15 anni, afgano: come molti aveva lasciato la sua terra prima della frettolosa ritirata occidentale. Anche per lui, bambino, c’è un cammino lungo che lo porta ad attraversare l’Iran, la Turchia e da lì la scelta, perlopiù effettuata dai giovani che viaggiano soli, di attraversare la Bulgaria, la Serbia, la Croazia e la Slovenia fino ad arrivare in Italia. Come nel caso precedente il percorso scelto è quello più veloce, ma anche viabile solo per giovani o per piccoli gruppi. In meno di un anno arriva in Italia, viene fermato e accolto a Cercivento nella comunità Bosco di Museis, indi riprende il cammino e transita per la Valle di Susa: la meta è il ricongiungimento con la sorella a Parigi. Viene trovato il 26 gennaio 2022, travolto da un treno, lungo le rotaie che collegano Salbertrand a Oulx. Un ragazzo di 15 anni è dunque morto sotto un treno anche se poteva per legge valicare il confine e chiedere legittimamente protezione.

      Non sono la montagna e neppure i treni responsabili di queste morti, ma la frontiera con le sue ramificazioni che non si scollano dalla pelle di chi è catalogato migrante e da chi non può più tornare indietro e non ha terra che lo accolga. Nel 2021 possiamo indicare 15.000 presenze a Oulx; senza contare le persone che sono state registrate più volte dopo i respingimenti in frontiera, possiamo azzardare il passaggio di più di 10.000 persone. Da dicembre dello stesso anno al primo mese di gennaio del nuovo sicuramente i flussi sono diminuiti. I confini si sono moltiplicati anche in relazione a una congiuntura complessa. Le temperature artiche e le tensioni politiche nei Balcani, le difficoltà nell’utilizzo dei trasporti e le norme anticovid hanno sicuramente rallentato momentaneamente l’esodo. Soprattutto hanno reso più difficoltosi gli spostamenti per le famiglie numerose. Tuttavia, la tragedia attuale trova ragione nella militarizzazione alla frontiera e nella caccia all’uomo che si scatena ogni giorno sulle nostre montagne. Una farsa tragica che non ferma i passaggi, ma obbliga le persone in cammino a scegliere vie e strategie che mettono a rischio la vita. I più deboli vengono perlopiù respinti: famiglie numerose, donne gravide, nuclei parentali con bambini piccoli o con anziani. Non bisogna però dimenticare la criticità costantemente presente di un’urgenza vitale delle persone di passare nonostante problemi di salute e vulnerabilità. Nel 2021 abbiamo potuto documentare donne incinte al nono mese, persone con una sola gamba e con stampelle, anziani con problemi sanitari pregressi, donne con neonati che non hanno esitato a sfidare ogni rischio pur di continuare il cammino (si vedano i report precedenti di Medu sulla frontiera alpina del Nord Ovest). È inoltre opportuno ricordare le reiterate volte in cui persone, ancora in attesa di referti e di analisi mediche, sono scappate dagli ospedali pur di non prolungare le permanenze.

      In questo primo mese del 2022, coloro che sono morti di frontiera sono però giovani, che proprio in ragione della loro età e della loro prestanza fisica, credono di poter superare le prove più pericolose. Con il dispiegamento militare sul versante francese e la collaborazione tra polizie di frontiera (accordi europei e tra Italia-Francia), il risultato è stato quello di sponsorizzare l’attività degli smugglers (trafficanti), che in questi mesi sono pericolosamente ricomparsi o, addirittura, hanno occupato la scena. Mentre al rifugio “Fraternità Massi” di Oulx diminuivano le presenze, si consolidava la constatazione di nuove vie che si aprivano. Non si fermano i flussi che, come acque sorgive, quando incontrano sbarramento, deviano e trovano nuovi canali. Così la stazione di servizio di Salbertrand sull’autostrada, a sette chilometri da Oulx, è divenuta luogo per imbarcarsi sui Tir che lì sostano. Con ugual prospettiva, vie impervie sulle montagne a partire da Bardonecchia si sono riaperte. Anche la morte del giovane Ullah racconta come in un luogo geograficamente insensato per passare la frontiera si possa morire. Forse dopo un tentativo fallimentare di trovare un passaggio nel non lontano autogrill di Salbertrand, forse per evitare possibili controlli o forse addirittura nascosto sotto un treno merci, così come è uso fare nei Balcani, è maturato il tragico incidente. Di fatto ci tocca prendere atto che la militarizzazione e il moltiplicarsi degli sbarramenti hanno prodotto illegalità e morte.

      Il caso di Ullah apre un’altra questione, forse non nuova, ma di certo poco analizzata. Scappare dalla guerra gettata addosso e sopravvivere alla guerra che poi l’Europa continua ad effettuare contro chi fugge producono disastri a catena. Abbiamo documentato come con i flussi provenienti dai Balcani dal 2020 ad oggi si siano verificati cambiamenti significativi nella composizione di questi popoli in viaggio: famiglie allargate e presenza plurigenerazionale dei nuclei domestici. Il dato trascurato riguarda però la polverizzazione delle reti familiari e la loro disseminazione in tante nazioni. La disaggregazione di questi nuclei durante il cammino è un elemento significativo e aggiunge apprensione e urgenza nelle persone. Per essere più chiari vale la pena riportare un esempio tra i tanti: un padre con il figlio arriva a Oulx e poi dice a una volontaria “Ti affido il mio bambino di 14 anni affinché possa continuare il viaggio come minore, (consegnandosi alla gendarmerie, n.d.r.), e io ritorno in Grecia a prendere l’altra parte della mia famiglia”. Il viaggio può costare ai singoli e ancor di più alle famiglie cifre ingenti. Per esemplificare 8.000 euro per persona dalla Turchia all’Italia in barcone, 4.000 euro dalla Bosnia a Trieste, dai 20.000 ai 50.000 euro per famiglia dall’Afghanistan al nostro paese (la famiglia di Ullah aveva investito 6.000 euro, dato a reti di trafficanti, per permettere la partenza del figlio anche se ancora tanto giovane). Così alcuni passano prima, altri aspettano e confidano nell’aiuto che proviene da chi è arrivato. A volte sono le donne e i più vulnerabili ad aprire il cammino, altre volte può essere un minore che viene mandato fin dalla terra d’origine a cercare un altro orizzonte di vita. Sempre più spesso raccogliamo memoria di persone che arrivano e che hanno lasciato indietro parenti e non sempre il nucleo che approda alle Alpi è composto solo da consanguinei o affini, ma da aggregazioni solidali. Chi parte ha il peso e la responsabilità di una famiglia e non può fermarsi: è un’Odissea senza che si sappia se davvero esista in qualche luogo una Itaca. Così si muore, invisibili al mondo, sotto le ruote di un treno o scivolando in un lago montano.

      Molti sono i minori non accompagnati che scelgono di non presentarsi alla Paf (Polices aux frontieres) con la conseguente protezione umanitaria che a loro spetta per legge e decidono di affrontare la traversata in modo clandestino pur di non perdere l’ausilio dei compagni di viaggio. L’esperienza insegna che non si deve rimanere mai soli. Quando i minori vengono “catturati” in montagna dalla gendarmerie, il respingimento è prassi. Non v’è spazio né volontà per accertamenti. La situazione si complica ancora, quando, così come abbiamo potuto documentare, il minore, nel porto italiano di entrata, viene indotto dalla polizia con maniere minacciose, a sottoscrivere la sua maggiore età, nonostante i suoi documenti provino il contrario. Il caso è stato vagliato anche dallo sportello legale della diaconia valdese in Oulx.

      Non è da sottovalutare il problema dei green pass e delle vaccinazioni. Istituzioni ed anche ONG spesso non affrontano con abbastanza decisione la questione. La mancanza di attestati che dimostrino il vaccino rende complicati i trasferimenti e, soprattutto, induce le persone in cammino ad accelerare il passo, accettando qualsiasi costo o rischio, pur di non rischiare di rimanere intrappolati e bloccati in tempi di attesa, vuoti quanto indefiniti. Rispetto al problema sostanziale dell’essere senza vaccino, tristemente s’afferma la prassi delle vite diseguali, anche quando in gioco non c’è solo la salute del “migrante” ma quella della collettività. Non ci dimentichiamo quando l’Italia era in fascia rossa e ogni assembramento era vietato per legge mentre in un container presso la stazione di Oulx di circa 18 metri quadrati si accalcavano più di 30 persone. Nessuno ha mai pensato di intervenire o di trovare soluzioni. Poi le persone tornavano al rifugio con rischi di contagio per tutti. Oggi vaccini e documentazione relativa sono una necessità inderogabile. Già solo il fatto che si obblighi a livello nazionale alla vaccinazione e ce ne si dimentichi per coloro che sono in cammino è indicativo di quanto con la categoria migrante pensiamo a “non persone”.

      In questo specchio di frontiera –e la valle di Susa ripropone logiche che si moltiplicano dal Mediterraneo al deserto, dai Balcani alla Libia,-scopriamo quanto valgono gli enunciati sui diritti umani, qui a casa nostra. Il reiterarsi di casi tragici lascia senza parole: arriva notizia di altra persona morta carbonizzata a seguito di folgorazione sul tetto di un treno a Ventimiglia: un’altra vittima che si aggiunge a quelle che hanno insanguinato la frontiera del Nord Ovest (https://www.ansa.it/liguria/notizie/2022/02/01/migrante-muore-folgorato-su-un-treno-per-la-francia_a16cb44f-ba45-4e7f-bff0-811; https://www.avvenire.it/attualita/pagine/migrante-muore-folgorato-su-treno-per-la-francia ).

      Medici per i Diritti umani:

      Chiede alle istituzioni e a tutti gli attori presenti in frontiera di intervenire affinché vengano rispettati i diritti umani delle persone in transito e garantita la loro incolumità e sicurezza.

      Auspica una collaborazione allargata per il monitoraggio dei diritti umani in frontiera.

      Denuncia che la condizione dei minori non accompagnati è affrontata non in base alla legge e alle convenzioni internazionali europee ma spesso con prassi tollerate che le violano.

      Chiede che i vaccini e i green pass siano garantiti alle persone migranti. Le istituzioni e tutti gli attori presenti sul territorio devono occuparsi della vaccinazione. La mancanza di questa non deve essere un’altra frontiera.

      https://mediciperidirittiumani.org/si-ritorna-a-morire-alla-frontiera-nord-ovest-delle-alpi

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      Ritorno sulla rotta alpina, dove il confine continua a uccidere

      Al confine tra Italia e Francia parte l’ultima tappa, la più dura, di un viaggio iniziato migliaia di chilometri prima e che spesso si chiude in tragedia. Come a Oulx dove, nelle ultime settimane, sono morte due persone nel tentativo di attraversare la frontiera. Ci torniamo insieme a Christian Elia per capire come sono cambiate le cose dopo un anno dalla nostra ultima visita.

      Fathallah aveva 31 anni, veniva dal Marocco. Ullah era afghano, aveva 15 anni. Sono morti di frontiera, al confine tra Italia e Francia.

      Il corpo di Balafhail è stato ritrovato il 2 febbraio scorso, al Barrage del Freney, nei pressi di Modane, in Francia. Un volo dal Marocco alla Turchia, che non richiede visti, per affrontare la rotta balcanica. Per un periodo, in questo viaggio che ti lascia scegliere solo l’inizio, si era anche fermato in Italia, in provincia di Vercelli, per tirare il fiato. Un sms alla famiglia, il 30 gennaio alle 23.54 dalla stazione di Oulx, è il suo ultimo segnale di vita. Poi il silenzio, il tentativo di passare a piedi le montagne, la morte di freddo.

      Ullah era ancora un bambino, ma con un’età adulta e feroce, costruita in frontiera. Iran, Turchia, Bulgaria, Serbia, Croazia e Slovenia prima di giungere in Italia, un viaggio lungo più di un anno, per raggiungere Parigi, dove vive sua sorella. È stato trovato il 26 gennaio, sui binari della linea ferroviaria tra Salbertrand e Oulx.

      Un anno fa Open Migration ha raccontato quella frontiere, le vite che la abitano, migranti e volontari che tentano di rendere umano l’inevitabile, di fronte a un discorso istituzionale che continua a negare quella che non è un’emergenza, ma resta una ferita dei sistemi democratici.

      https://twitter.com/MEDUonlus/status/1489615389172674562

      “Non sono la montagna e neppure i treni responsabili di queste morti, ma la frontiera con le sue ramificazioni che non si scollano dalla pelle di chi è catalogato migrante e da chi non può più tornare indietro e non ha terra che lo accolga. Nel 2021 possiamo indicare 15.000 presenze a Oulx; senza contare le persone che sono state registrate più volte dopo i respingimenti in frontiera, possiamo azzardare il passaggio di più di 10.000 persone. Da dicembre dello stesso anno al primo mese di gennaio del nuovo sicuramente i flussi sono diminuiti. I confini si sono moltiplicati anche in relazione a una congiuntura complessa. Le temperature artiche e le tensioni politiche nei Balcani, le difficoltà nell’utilizzo dei trasporti e le norme anti-covid hanno sicuramente rallentato momentaneamente l’esodo. Soprattutto hanno reso più difficoltosi gli spostamenti per le famiglie numerose. Tuttavia, la tragedia attuale trova ragione nella militarizzazione alla frontiera e nella caccia all’uomo che si scatena ogni giorno sulle nostre montagne. Una farsa tragica che non ferma i passaggi, ma obbliga le persone in cammino a scegliere vie e strategie che mettono a rischio la vita. I più deboli vengono perlopiù respinti: famiglie numerose, donne gravide, nuclei parentali con bambini piccoli o con anziani”, racconta l’ultimo rapporto di MEDU (Medici per i Diritti Umani): https://mediciperidirittiumani.org/si-ritorna-a-morire-alla-frontiera-nord-ovest-delle-alpi.

      Un sistema che offende nella sua inutile ferocia. Mentre ovunque, dalla Libia alla Turchia, si sommergono di denaro istituzioni compromesse per motivi molto differenti, che non rispettano i diritti umani, mentre si definiscono ‘paesi sicuri’ Afghanistan e Siria, riprendendo a espellere le persone verso la guerra, non si fa nulla per rendere meno pericolose rotte sempre più costose, sempre più pericolose.

      A Oulx convive una piccola comunità di persone che non lo accettano, connessi con altre realtà solidali della regione, e dell’altro versante della frontiera. Persone con storie differenti, che vengono dall’area antagonista, come dal mondo del volontariato cattolico, ma di fronte al loro impegno quotidiano c’è un silenzio assordante delle istituzioni e un atteggiamento sempre più duro di criminalizzazione della solidarietà.

      Non dimentichiamo mai che si parla di persone, siano essi volontari o migranti, che non hanno mai commesso alcun reato. Sono uomini e donne, vecchi e bambini in viaggio e in fuga. E volontari che portano loro aiuto, ristoro, scarpe per la neve e mappe per non farli smarrire e, di inverno, morire di freddo.

      “Abbiamo documentato come con i flussi provenienti dai Balcani dal 2020 ad oggi si siano verificati cambiamenti significativi nella composizione di questi popoli in viaggio: famiglie allargate e presenza plurigenerazionale dei nuclei domestici. Il dato trascurato riguarda però la polverizzazione delle reti familiari e la loro disseminazione in tante nazioni. La disaggregazione di questi nuclei durante il cammino è un elemento significativo e aggiunge apprensione e urgenza nelle persone. Per essere più chiari vale la pena riportare un esempio tra i tanti: un padre con il figlio arriva a Oulx e poi dice a una volontaria “Ti affido il mio bambino di 14 anni affinché possa continuare il viaggio come minore, (consegnandosi alla gendarmerie, n.d.r.), e io ritorno in Grecia a prendere l’altra parte della mia famiglia” – denuncia MEDU – Il viaggio può costare ai singoli e ancor di più alle famiglie cifre ingenti. Per esemplificare 8.000 euro per persona dalla Turchia all’Italia in barcone, 4.000 euro dalla Bosnia a Trieste, dai 20.000 ai 50.000 euro per famiglia dall’Afghanistan al nostro paese (la famiglia di Ullah aveva investito 6.000 euro, dato a reti di trafficanti, per permettere la partenza del figlio anche se ancora tanto giovane). Così alcuni passano prima, altri aspettano e confidano nell’aiuto che proviene da chi è arrivato. A volte sono le donne e i più vulnerabili ad aprire il cammino, altre volte può essere un minore che viene mandato fin dalla terra d’origine a cercare un altro orizzonte di vita. Sempre più spesso raccogliamo memoria di persone che arrivano e che hanno lasciato indietro parenti e non sempre il nucleo che approda alle Alpi è composto solo da consanguinei o affini, ma da aggregazioni solidali. Chi parte ha il peso e la responsabilità di una famiglia e non può fermarsi: è un’Odissea senza che si sappia se davvero esista in qualche luogo una Itaca. Così si muore, invisibili al mondo, sotto le ruote di un treno o scivolando in un lago montano”.

      Una ferocia che sta segnando generazioni intere, a volte nate e cresciute sulle frontiere. “Figli che ormai conoscono più il cammino che la terra d’origine, una costruzione di umanità e di emozioni itinerante, che conoscono un’altra geografia, che non si limita agli stati nazionali”, raccontava a OM Piero Gorza, antropologo, in una breve pausa nel suo moto perpetuo tra la stazione di Oulx e il Rifugio Massi, o la Casa Cantoniera occupata, sgomberata con violenza, ma che ha dato un letto, un tetto e un pasto caldo a tanti Fatallah e Ullah. “E Oulx, di base, sta a guardare, senza eccessi di rifiuto o di accoglienza. Le persone passano, non si fermano. Portano con loro le relazioni del cammino, con quelle continuano per la loro meta, con la fretta di chi ha impegnato tutto, compresa la rete parentale, per quel cammino.”

      Un’indifferenza che non è solo di Oulx, che non riguarda solo imprenditori del turismo della zona che non vogliono avere lo stigma della ‘Lampedusa delle Alpi’, ma che riguarda tutti noi, come società civile, a Oulx e ovunque. Perché nel 2022 si muore di freddo e di frontiera, come i migranti di Pietro Germi nel film Il cammino della speranza, del 1950, solo che quei migranti erano italiani, ma avevano la stessa fame di futuro di Fathallah e Ullah.

      https://openmigration.org/analisi/ritorno-sulla-rotta-alpina-dove-il-confine-continua-a-uccidere

    • 31.05.2023 :
      NB : Attention : selon les dernières nouvelles reçues oralement par mes contacts à la frontière, personne ne serait décédé. Le corps n’a jamais été trouvé, malgré les recherches. Probablement le migrant qui a signalé le cadavre n’a vu que des habits.
      TRAGEDIA, MIGRANTE MUORE SULLE MONTAGNE TRA LA VALSUSA E LA FRANCIA, ALTRI 9 RECUPERATI DAI SOCCORRITORI
      https://seenthis.net/messages/1004806

  • [Dans tes oreilles !]
    Résistance ? Violence ? Pacifisme ? Collaboration ?

    Alors que le #G7 pérore et que le contre G7 s’endort, je viens d’enchainer 2 écoutes que je trouve plutôt complémentaires :

    Damasio, Dufresne, Lordon : Résistance, résistances
    https://ecrits-aout.fr/articles/damasio-dufresne-lordon

    G7 de Biarritz : le contre-sommet peine à déborder
    https://radioparleur.net/2019/08/25/g7-de-biarritz-le-contre-sommet-peine-a-deborder

    pitch du premier :

    C’est le Dictionnaire amoureux de la Résistance, de #Gilles_Perrault, qui sert de point de départ à cette rencontre. L’esprit de la Résistance peut-il encore nous être utile aujourd’hui ? Peut-on le voir à l’œuvre dans les #mouvements des peuples actuels ?
    Cette question qui leur est proposée, #Alain_Damasio, #David_Dufresne [@davduf] et #Frédéric_Lordon la débordent bien vite. Peut-on échapper à la #société-de-contrôle ou doit-on la renverser ? Est-il possible de construire un archipel de #dissidences qui résiste à la #répression ? Le Grand soir n’est-il qu’un fossile d’une pensée politique ensevelie ?

    pitch du second :

    Samedi 24 août, deux manifestations, l’une pacifique, l’autre plus radicale ont illustré les dissensions du contre-sommet du G7. Entre volonté de respecter un #consensus d’action non-violentes, #critiques #stratégiques réciproques et présence policière permanente, la journée a été mouvementée…
    [ lire aussi l’article qui retranscrit les journées]

    Je termine ces écoutes comme je le souhaitais, avec bien plus de questions que de réponses et c’est tant mieux. Mon expérience m’a appris que c’est lorsqu’on ne montre qu’une seule voie pour atteindre un but, pis encore, quand elle ressemble à une autoroute de la mi-août, qu’on va le plus souvent droit dans le mur. Je ne crois pas en une « masse critique » unie qui ferait basculer les choses et surtout les pouvoirs, fédérée par UNE parole, encore moins UNE personne.

    Et puis, objectivement, force est de reconnaître que l’injonction au #pacifisme, comme toute #injonction, est une #violence. Même combat, d’ailleurs, concernant l’injonction à la non-violence !
    Elle l’est d’autant plus que dans 90% des cas elle est un non-sens dû une méconnaissance historique (voire un #déni, une #dissonance_cognitive). Le pacifisme c’est croire en la #Paix, la rechercher et tout faire pour y parvenir. Qui peut actuellement dire que nous vivons en paix sauf à s’extraire de toutes les crasses et casses sociales locales, sauf à s’extraire de nos responsabilités internationales et ne pas reconnaitre les multiples chemins (#kyriarchie) de la domination ? Le pacifisme c’est résister pour la paix, et la #résistance, ne serait-ce que par l’auto-défense, implique parfois de se battre. Sinon nous basculerions dans un dogme du #sacrifice.

    C’est dans la reconnaissance de ces voie multiples des multitudes de luttes à mener que se situe, selon moi, ce #résistances avec un petit « r » et beaucoup de « s » auquel il est fait référence dans le premier enregistrement.

    Quand à la #non-violence, une fois encore je renverrai vers la tribune de #Juliette_Rousseau, qui a été la porte-parole de la Coalition climat 21, collectif de la société civile créé en 2014 pour préparer les mobilisations pendant la #COP21, et qui en a tiré cette leçon : La non-violence doit accepter la pluralité des formes de lutte
    https://archive.org/details/20170419_La_Non-Violence


    (https://seenthis.net/messages/591248)

    Et pour un peu de légèreté, ce mini clip du compte Illuminati Reptilien sera parfait en clap final : https://twitter.com/IllumiReptilien/status/1165255537652568064

  • #L’«Histoire_mondiale_de_la_France»_mise_en_examen (8/8): une histoire hégémonique?
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/050819/l-histoire-mondiale-de-la-france-mise-en-examen-88-une-histoire-hegemoniqu

    Pour l’historien Pierre Nora, Patrick Boucheron n’aurait rien fait de moins que de prendre l’Histoire en otage avec son projet d’"Histoire mondiale de la France. "L’équipe réunie par le professeur au Collège de France représente-t-elle la part hégémonique d’une discipline elle-même hégémonique au sein des sciences humaines ? Entretien avec Yann Potin, coordinateur de cet ouvrage.

    #Julien_l'Apostat,_Patrick_Boucheron,_Yann_Potin,_récit_national,_Histoire_Mondiale_de_la_France

  • Le gouvernement se prend encore les pieds dans les APL
    https://www.mediapart.fr/journal/france/100719/le-gouvernement-se-prend-encore-les-pieds-dans-les-apl

    Le premier ministre a acté sèchement le retard pris dans la réforme des APL, qui aurait dû engendrer 900 millions d’économie au gouvernement. Renvoyée au 1er janvier 2020, elle est présentée par les ministres comme une mesure de « justice sociale ». Mais cache en réalité une politique du logement purement budgétaire.

    #France #Julien_Denormandie,_Gérald_Darmanin,_Edouard_Philippe,_logement,_économies,_APL,_social,_budget

  • EELV cherche à élargir ses bases avant les municipales
    https://www.mediapart.fr/journal/france/090719/eelv-cherche-elargir-ses-bases-avant-les-municipales

    Six partis écolos se sont regroupés lundi sur une plateforme commune. Après le bon score d’EELV aux européennes, ils espèrent jeter les bases du rassemblement en vue des municipales, voire de la présidentielle.

    #ECOLOGIE #Julien_Bayou,_Yannick_Jadot,_Europe_Ecologie-Les_Verts,_antoine_waechter,_Ecologie,_Delphine_Batho

  • #Julie_Bindel : Andrea Dworkin est la féministe radicale et visionnaire dont nous avons besoin en ces temps difficiles. Voici pourquoi.
    https://tradfem.wordpress.com/2019/05/14/andrea-dworkin-est-la-feministe-radicale-et-visionnaire-dont-nous

    J’ai connu la vraie Dworkin, et notre amitié de dix ans m’a appris beaucoup plus sur l’amour que sur la haine. « Je conserve dans mon cœur les récits des femmes », me répondait-elle quand je lui demandais comment elle arrivait à demeurer saine d’esprit dans le travail qu’elle faisait. « Ces récits m’exhortent à continuer et à rester concentrée sur ce qui doit être fait. »

    Elle était motivée par un désir inné de débarrasser le monde de la douleur et de l’oppression. Si nous avions été plus nombreuses à écouter Dworkin pendant ses décennies de militantisme et à prendre son travail plus au sérieux, plus de femmes auraient adhéré à un féminisme intransigeant, par opposition au féminisme fun, qui se prête au genre de slogans qu’on peut lire sur les T-shirts de mode, celui qui vante le « girl power » individuel des filles et l’audace de porter le pantalon, plutôt qu’un mouvement collectif pour libérer toutes les femmes de la tyrannie de l’oppression.

    Nous nous sommes rencontrées en 1996. J’étais l’une des organisatrices d’une conférence internationale sur la violence faite aux femmes, et Dworkin était l’une des oratrices principales. Nous nous sommes tout de suite bien entendues, à cause d’un humour semblable et de quelques amies en commun. Le premier soir, nous sommes allées souper avec d’autres conférencières et nous avons rigolé haut et fort de nos différentes listes de souhaits sur des moyens de mettre fin au patriarcat. « Avez-vous remarqué, nous a dit Dworkin le lendemain matin, qu’on nous appelées « ladies » à notre arrivée, « you guys » quand ils ont pris notre commande, et qu’on a probablement été bannies à vie en repartant ? »

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2019/apr/16/why-andrea-dworkin-is-the-radical-visionary-feminist-we-need-in-our-ter
    #Andrea_Dworkin #féminisme_radical #misandrie #patriarcat #violences_masculines #femmes_de_droite

  • La liberté de manifester n’est déjà plus un droit à défendre, mais à reconquérir - J.Salingue
    https://archive.org/details/LiberteDeManifester_Salingue



    (photo : @val_k )

    La manifestation parisienne du 1er mai a été l’occasion, pour le pouvoir, de franchir un nouveau cap répressif. Une ville en état de siège, près de 18 000 contrôles préventifs, et des techniques de « maintien de l’ordre » qui apparaissent de plus en plus comme étant destinées à dissuader quiconque de revenir défiler dans la rue. À Paris et ailleurs, beaucoup se posent la question : pourra-t-on encore, demain, manifester en France ?

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    #opensource_audio #Repression

  • Lutter ensemble - Radio Zinzine
    http://www.zinzine.domainepublic.net/?ref=4055

    Lutter ensemble (60 mn) le 18 février 2019
    A l’occasion du passage par chez nous de l’autrice de Lutter ensemble, pour de nouvelles complicités politiques paru le 7 novembre 2018 aux éditions Cambourakis, nous évoquons avec #Juliette_Rousseau les thématiques développées dans son livre.

    De la ZAD à la Palestine, de la marche pour le climat de New York aux camps de réfugié·es de La Chapelle, Juliette Rousseau part à la rencontre de collectifs féministes, antiracistes, LGBT, de justice climatique, etc., qui interrogent les différents rapports de domination liés à la classe, au genre, à la race ou encore à la condition physique et mentale, à l’œuvre dans la société mais aussi dans les espaces militants.
    À partir de nombreux entretiens, ce livre invite à explorer les nouvelles formes d’organisation et de solidarité politique qui se nouent entre les personnes concernées par une même oppression et leurs allié·es ou complices.

    http://www.zinzine.domainepublic.net/emissions/SPX/2019/SPX20190223-LutterEnsemble.mp3
    –-
    La p’tite Blan
    Du Poil sous les bras - Juliette Rousseau
    (24 février 2019 - 55min)

    A propos des luttes collectives…
    Où l’on apprend que pour lutter ensemble, il va falloir se pencher sérieusement sur les oppressions qui traversent nos luttes, et c’est pas gagné !
    Autour du livre Lutter ensemble - pour de nouvelles complicités politiques (Editions Cambourakis)

    https://soundcloud.com/user-288683429/dpslb-juliette-rousseau

    (en haut à droite de l’image, on peut aussi cliquer sur le pictogramme pour télécharger l’émission, et ça donne https://api.soundcloud.com/tracks/580560123/download?client_id=Iy5e1Ri4GTNgrafaXe4mLpmJLXbXEfBR)

    Elle fait une tournée et sera présente « le 27 et 28/04, puis de nouveau le 1/05 à Arras entre autres pour le Salon du livre d’expression populaire et de critique sociale »

    Samedi 27 avril
    18h30 Grand Place, grand chapiteau – Rencontre avec Juliette Rousseau, le collectif comm’un (Notre-Dame-des-Landes), Thomas Azuelos
    https://www.coleresdupresent.com/agenda/ensembles-pour-le-vivant

    1er mai
    14h15-15h30 Chapiteau des débats 1
    Tisser nos luttes Les 27 et 28 avril, le Forum social régional d’Arras a réuni de nombreux militants qui oeuvrent chaque jour à la fabrication d’un autre possible. Avec Catherine Zambon, et Juliette Rousseau et des actrice·eur·s de ces deux journées, nous reviendrons sur ce que signifierait convergence, et ce que suppose Lutter ensemble. Un débat animé par Jean-Baptiste Jobard (CAC).
    https://www.coleresdupresent.com/les-debats

    (Tiré de https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10216209030112750
    via le compte facebook de Juliette Rousseau
    https://www.facebook.com/jmhrousseau)

    #audio #luttes #militer

    • Bientôt sur le site de http://www.loldf.org
      émission diffusée le 17 avril :
      « #CeSoir On reçoit Juliette Rousseau pour son livre Lutter ensemble @ECambourakis. Au programme : nommer les oppressions, #NDDL, @LesDegommeuses, @AssoLallab, et bcp d’autres collectifs et luttes ! »
      https://twitter.com/lesoreillesfpp/status/1118546701885878273

      Ajout :

      Cette semaine, on a reçu en plateau Juliette Rousseau à l’occasion de la sortie de son livre « Lutter ensemble » publié aux Éditions Cambourakis. De la ZAD à la Palestine, de la marche pour le climat de New York aux camps de réfugié·es de La Chapelle, elle est partie à la rencontre de collectifs féministes, antiracistes, LGBT, de justice climatique, etc., qui interrogent les différents rapports de domination liés à la classe, au genre, à la race ou encore à la condition physique et mentale, à l’œuvre dans la société mais aussi dans les espaces militants. À partir de nombreux entretiens, son livre invite à explorer les nouvelles formes d’organisation et de solidarité politique qui se nouent entre les personnes concernées par une même oppression et leurs allié·es ou complices.

      http://www.loldf.org/spip.php?article704
      http://www.loldf.org/archives/19.04.17.lutter.ensemble.juliette.rousseau.mp3