Un #salarié sur 4 est #retraité.
#Combrexelle (ex directeur de la direction générale du travail durant plus de 10 ans) s’est occupé de légaliser ces contrats. #CDI_à_temps_partiel #4.66_€_heure #temps_de_travail #travail_dissimulé #Prud'hommes
« On ne peut pas nous reprocher de DONNER du #travail » dit le patron, le coeur sur la main.
#Juliette_Guibaud #enquête_en_immersion #précarité
Des films en immersion sur le monde du travail
▻http://www.autourdu1ermai.fr/fiches/real/fiche-real-2645.html
#Nina_Faure utilise le pseudonyme lorsqu’elle réalise des #films en #immersion sur le monde du #travail.
C’est le cas pour les films Dans la boîte, Rien à foutre et La Dépêche du midi.
Plusieurs de ces films sont visibles en ligne, à voir et recommander. On peut commencer par Rien à foutre, franchement joyeux.
▻https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=RQSn3AyLnWU
▻https://twitter.com/ninafaure pour celleux qui utilisent cet oiseau
@simplicissimus et @fil, euh.... je comprends pas vos post....
Mouais... « Rien à foutre » me laisse une impression « très » mitigée. Comme toujours avec cette équipe, qui met en scène des sujets vrais et importants, mais toujours sur un mode que je trouve perso complètement affligeant et destructif (compte tenu du fait que l’exploitation au travail est déjà assez destructive comme ça, il y a d’autres moyens de se battre). J’aime bien son « journées des mortes » et quelques un de ses articles utiles, mais...
je n’avais pas réalisé que nina/juliette participe aussi à un film tout à fait indigne réalisé pour le compte du diplo sur le DIplo,
►https://www.youtube.com/watch?v=1xPHLaAdx3o
film aussi totalement affligeant de bassesse. Il y avait d’autres moyens de parler de ce journal, d’autre chose à dire, là c’est très très petit.
Ce n’est pas petit, c’est de l’humour méchant. L’humour n’est pas forcément gentil et mignon. Et on est pas obligé d’être toujours gentil (ou d’ignorer) les gens qui sont pour une bonne partie de belles raclures.
C’est comme sur une ZAD, si on veut : c’est bien de construire des cabanes et d’argumenter et de monter des dossiers intelligents, il faut le faire. Mais il faut aussi détruire les machines de l’ennemi car il continue d’avancer (et se moquer de lui au passage, car ça fait du bien). Une seule stratégie gentille et constructive n’est pas suffisante. Il faut multiplier les angles d’attaques.
Moi j’aime bien le film de promo du Monde Diplo. Même si
moi aussi je ne lis qu’épisodiquement le Monde Diplo et si je ne suis pas absolument toujours d’accord avec (d’ailleurs je lis aussi le Figaro et pareil je ne suis pas toujours d’accord avec).
Tous ces Califes qui monopolisent les canaux dominants d’information, il faudrait vraiment les enduire de plumes et de goudron.
Le libéralisme ce devrait être la concurrence des idées et pas toujours le même tout petit quarteron d’autoproclamés experts, tout le temps et partout, Monsieur Reynié !
D’ailleurs ils ont l’air d’être presque tous réac à Science Po Paris ? Pourquoi ?
@reka, à l’inverse de ce que tu dis, je trouve salubre que le management, l’exploitation, la précarité, l’emprise des normes, la culture d’entreprise, la concurrence en prennent pour leur grade, comme c’est le cas dans Rien à foutre avant de se faire virer. C’est plus que nécessaire, vital, en l’occurrence. Parce qu’il peut être joyeux de #détruire_ce_qui_nous_détruit. Et si il y a bien d’autres moyens de se battre, cela passe le plus souvent là aussi par des formes de renversement de l’ordre des choses (la grève n’est pas pour rien un arrêt du travail, la coalition, une échappée hors de la séparation, etc.). Il s’agit d’être en mesure de porter tort.
Quant au film Réponses diplomatiques, même quand comme moi on aime pas le MD (étatiste, tiers mondiste, mais... oui, il m’arrive d’en lire des morceaux), on peut apprécier de voir mis en lumière la veulerie des chiens de garde (l’expression n’est pas récente, c’était le titre d’un livre de Nizan en 1932).
Est-il besoin d’avoir été interdit bancaire pour se marrer en voyant ça ?