• Fade to pleasure 17.2
    http://www.radiopanik.org/emissions/ftp/fade-to-pleasure-17-2-

    Don’t waste words on a hollow breeze You have feet, have you not? Use them against the wind Walk or run as you please

    Cuthead Painquilizer Falty DL Discoko Craig Bratley Mannequin (feat. Penuckle) (Ewan Pearson #mix) Mehmet Aslan Mechanical Turk (Courtesy of Karpov not Kasparov) Rick Grant Loper Malala Savoir D Pulse Seen Today (Ron Basejam Remix) Maya Danon Dazed Yoko Zuna Chunky Munky Joey B - 911 feat. Medikal (prod. by Kuvie) (clean) Falty dl because you Mr. Fingers Praise to the Vibes (feat. Nicole Wray) Falty DL All In The Place Doc Scott Blue Skies (2015 Remaster)

    Keres Scherer illustration

    #techno #jungle #idm #deep #down_tempo #mix,techno,jungle,idm,deep,down_tempo
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/ftp/fade-to-pleasure-17-2-_06009__1.mp3

  • These People Did Something For This Show In 2018
    http://www.radiopanik.org/emissions/moacrealsloa/these-people-did-something-for-this-show-in-2018

    Tonight we will present you the music of a lot of musicians who did something (playing and/or interview) for Moacrealsloa in 2018, it is a random selection chosen from these participants :

    #Osilasi, #Jacques_Foschia, #Pak_Yan_Lau, #Aloysius_Suwardi, #Eduardo_Ribuyo, #Judit_Emese_Konopas, #Drew_McDowell, #Ka_Baird, Philip Jeck, #Han_Bennink, #Kurt_Overbergh, #Dirk_Serries, #Guy_Segers, #Chris_Corsano, #Joëlle_Léandre, #Niels_Van_Heertum, #Michael_Baird, #Charlemagne_Palestine, #Geoff_Leigh, #Xylourius_White, #Renaldo_and_The_Loaf, #Kanker_Kommando, #Weiland, #Stefan_Christensen, #Guillermo_Lares, #Stefan_Schneider, #Peter_Zummo, #Tomoko_Sauvage, #Hariprasad_Chaurasia, #Yoshio_Machida, #Lu_Edmonds, #Bruce_Smith, #Beatriz_Ferreyra, #Robin_Storey, #Ghédalia_Tazartès, #Walter_Robotka, #Lori_Goldston, #Ben_Bertrand, Fumihico (...)

    #SEF_III #Fumihico_Natsuaki #Red_Brut #Zarabatana #Jung_An_Tagen #Niels_Latomme #Philip_Jack #Transport #Tommy_De_Nys #Sandra_Boss #Frosty #YPY #Radian #Vomit_Heat #Jacques_Foschia,Guy_Segers,Ben_Bertrand,Kanker_Kommando,Han_Bennink,Chris_Corsano,Weiland,Stefan_Christensen,SEF_III,Fumihico_Natsuaki,Drew_McDowell,Beatriz_Ferreyra,Renaldo_and_The_Loaf,Tomoko_Sauvage,Michael_Baird,Geoff_Leigh,Dirk_Serries,Red_Brut,Eduardo_Ribuyo,Zarabatana,Jung_An_Tagen,Ka_Baird,Judit_Emese_Konopas,Niels_Latomme,Xylourius_White,Philip_Jack,Peter_Zummo,Ghédalia_Tazartès,Stefan_Schneider,Walter_Robotka,Pak_Yan_Lau,Transport,Tommy_De_Nys,Hariprasad_Chaurasia,Robin_Storey,Niels_Van_Heertum,Osilasi,Yoshio_Machida,Aloysius_Suwardi,Lori_Goldston,Guillermo_Lares,Sandra_Boss,Kurt_Overbergh,Charlemagne_Palestine,Lu_Edmonds,Bruce_Smith,Frosty,YPY,Radian,Vomit_Heat,Joëlle_Léandre
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/moacrealsloa/these-people-did-something-for-this-show-in-2018_05997__1.mp3

  • https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/communique-de-presse/2018/12/le-defenseur-des-droits-publie-son-rapport-exiles-et-droits

    Le Défenseur des droits publie son rapport « Exilés et droits fondamentaux, trois ans après le rapport Calais »

    À défaut d’une politique nationale assurant un véritable accueil des primo-arrivants, les collectivités locales et les associations caritatives sont contraintes d’agir seules, dans un contexte où se maintient une pénalisation de certains actes de solidarité. Le Défenseur des droits recommande donc d’élargir l’immunité pénale à tous les actes apportés dans un but humanitaire.

    Outre les effets de la politique migratoire de l’Union européenne qui contribuent à réduire de manière drastique les voies légales d’immigration en Europe, l’’externalisation de la frontière britannique en France demeure l’une des principales causes de la reconstitution des campements de fortune à Calais, Grande-Synthe ou Ouistreham, puisqu’elle empêche les exilés qui le souhaitent d’atteindre la Grande-Bretagne. Le Défenseur des droits recommande donc au gouvernement de dénoncer les accords conclus avec la Grande-Bretagne.

    #police #dublin #touquet #noborder #calais #état #raciste

    • Migrants : le Défenseur des droits dénonce une « dégradation » dans les campements depuis 2015

      Le Défenseur des droits Jacques Toubon a dénoncé mercredi une « dégradation » de la situation sanitaire et sociale des migrants vivant sur des campements en France depuis trois ans, avec « des atteintes sans précédents aux droits fondamentaux ».

      Face à une politique « non-accueil », les migrants « se retrouvent dans un état de dénuement extrême, dépourvus de tout abri et ayant comme première préoccupation celle de subvenir à leurs besoins vitaux : boire, se nourrir, se laver », déplore Toubon dans un rapport sur les campements de Calais, Paris, Grande-Synthe (Nord) et Ouistreham (Calvados). « Les difficultés à trouver des solutions durables aggravent le phénomène », estime-il, en déplorant des « stratégies de dissuasion et d’invisibilisation sur le territoire national menées par les pouvoirs publics ».

      En 2015 déjà, Toubon avait dénoncé dans un rapport sévère la situation des migrants dans le bidonville de la « Jungle » à Calais, qui comptait alors plus de 4 000 personnes, et a été démantelé depuis, de même que les grands campements parisiens.

      Mais « la situation s’est en réalité nettement dégradée », note le Défenseur, qui pointe les opérations d’évacuation régulièrement menées par les pouvoirs publics. « Loin d’être conformes aux exigences du droit à un hébergement inconditionnel », ces mises à l’abri « contribuent à la constitution de nouveaux campements » par leur caractère « non durable », assure-t-il dans ce document reprenant divers avis rendus depuis 2015.

      Toubon déplore aussi, pour ces mises à l’abri, le recours à des centres pour étrangers fonctionnant « comme des centres de transit » avec « des critères de tri ». « En lieu et place d’une véritable politique d’accueil, les pouvoirs publics ont préféré mettre en œuvre une politique essentiellement fondée sur la police des étrangers, reflétant une forme de +criminalisation des migrations », assure-t-il dans ce rapport publié au lendemain

      Il s’inquiète particulièrement des méthodes policières, avec des évacuations « pour empêcher tout nouveau point de fixation » et des contrôles d’identité « pour contrôler le droit au séjour ». « Pour servir ces opérations, différentes pratiques ont pu être observées telles que l’usage de gaz lacrymogène », assure-t-il dans ce rapport publié au lendemain de la journée internationale des migrants.

      Faisant état d’« une détérioration sans précédent de la santé des exilés », avec un « développement inquiétant des troubles psychiques », il s’inquiète particulièrement pour les mineurs, « laissés à leur sort » en raison du caractère « largement inadapté et sous-dimensionné des dispositifs » existants.

      Dans ce contexte Toubon souligne le rôle des collectivités locales « contraintes d’agir », et celui des associations qui « se substituent de plus en plus fréquemment aux pouvoirs publics » mais « sont de plus en plus empêchées d’agir ». Le Défenseur déplore enfin des « entraves persistantes à l’entrée dans la procédure d’asile » qui « viennent grossir les rangs des exilés contraints de vivre dans la clandestinité ».

      Mettant en garde contre une « logique d’externalisation de la gestion des flux migratoires », il formule plusieurs propositions, dont la suspension du règlement de Dublin confiant au pays d’enregistrement l’examen de la demande d’asile.

      https://www.liberation.fr/france/2018/12/19/migrants-le-defenseur-des-droits-denonce-une-degradation-dans-les-campeme

    • France: Police harassing, intimidating and even using violence against people helping refugees

      French authorities have harassed, intimidated and even violently assaulted people offering humanitarian aid and other support to migrants, asylum seekers and refugees in northern France in a deliberate attempt to curtail acts of solidarity, a new report by Amnesty International has found.

      Targeting solidarity: Criminalization and harassment of people defending migrant and refugee rights in northern France reveals how people helping refugees and migrants in #Calais and #Grand-Synthe are targeted by the police and the court system.

      “Providing food to the hungry and warmth to the homeless have become increasingly risky activities in northern France, as the authorities regularly target people offering help to migrants and refugees,” said Lisa Maracani, Amnesty International’s Human Rights Defenders Researcher.

      “Migrants and refugees did not simply disappear with the demolition of the ‘Jungle’ camp in 2016 and more than a thousand men, women and children are still living precarious lives in the area. The role of human rights defenders who offer them support is crucial.”

      Two-and-a-half years after the destruction of the so-called ‘Jungle’ camp, more than 1,200 refugees and migrants, including unaccompanied children, are living in tents and informal camps around Calais and Grande-Synthe. They have no regular access to food, water, sanitation, shelter or legal assistance and are subject to evictions, harassment, and violence at the hands of the police.

      One Afghan man told Amnesty International that he was beaten on his back with a baton by police during a forced eviction, and another described how a police officer had urinated on his tent. An Iranian man told Amnesty International: “I left my country looking for safety, but here I face police abuse…The police come every day to take my tent and clothes.”

      The number of camps and tents destroyed in Calais and Grande-Synthe increased last year, with 391 evictions carried out in the first five months of 2019 alone. Once evicted, migrants and refugees are at increased risk of violence and abuse. One local woman who provides migrants with help, told Amnesty International that she witnessed police spray migrants with teargas in the face while they were sleeping in her garden.

      Verbal and physical abuse part of daily routine

      The increased number of evictions is a consequence of France’s “no attachment points” policy, which attempts to deter people from staying in the area by ensuring that camps are not set up. While authorities have put in place an outreach service to enable refugees and migrants access reception centres and asylum offices in France, these centres are a long way from Calais and Grande-Synthe and sometimes there is not enough capacity to accommodate them. In order to alleviate their suffering, human rights defenders have attempted to fill the gap and provide the essential support and services that the French state is failing to offer.

      Instead of recognizing the importance of their work, authorities have obstructed, intimidated, harassed and in some cases started baseless prosecutions and even used violence.

      Several human rights defenders told Amnesty International that acts of intimidation, threats of arrest and abuse have become “part and parcel of their daily work.” One humanitarian worker told Amnesty International that she was violently pushed to the ground and choked by police in June 2018 after she had filmed four officers chasing a foreign national in Calais.

      A report last year by four organisations found that there had been 646 instances of police harassment and abuse against volunteers between November 2017 and June 2018. There have been 72 recorded instances this year, but the real figure is likely to be much higher.

      Eleonore Vigny who took part in the Human Rights Observers project in Calais said that intimidation of volunteers had spiked last summer, with police employing new harassment techniques. “In April and May 2018 there were several body searches, especially of female volunteers, sometimes done by male officers. There was also an escalation in insults, and people have been pushed, sometimes to the ground…Recently we received more threats of legal suits, and threats of arrests.”

      When reporting mistreatment of refugees, migrants, and human rights defenders, complainants say that they are not taken seriously. Charlotte Head, a volunteer who made several complaints about police behaviour to the police’s internal investigatory body, was warned that her complaints were “defamatory in character” and could constitute a “crime”.

      One local human rights organization, Cabane Juridique, filed more than 60 complaints to different authorities and bodies between January 2016 and April 2019. In May 2019, the French Ministry of Justice told Amnesty International that regional courts had received just 11 complaints since 2016, and only one was being investigated by prosecutors.

      Stress, anxiety and the fear of prosecution

      Human rights defenders told Amnesty International that they feel the pressure on them is increasing and having a negative impact on all aspects of their lives. Some have experienced insomnia, stress and anxiety whilst others describe the impact of prosecutions as debilitating.

      Loan Torondel who had been working in Calais told Amnesty International: “I feel that I am caught between the acute needs of people I am trying to help and the intimidation of French authorities who are trying to hamper humanitarian activities and label our activities as crimes. This is not a sustainable working environment for us, and it is the people we help who pay the consequences."

      One human rights defender told Amnesty International: “For the volunteers it’s very difficult. They are scared. We brief them on security and the context and they get scared. We struggle to recruit new volunteers.”

      But despite the harassment, many of those interviewed by Amnesty International are determined to carry on with their vital work. One local volunteer told Amnesty International that she is thankful for the presence of the migrants and refugees: “They have made us more human, they have enriched our lives.”

      “Rather than attempting to make the lives of migrants and refugees as difficult as possible, French authorities should take concrete measures to alleviate their suffering and provide shelter and support to all those living on the streets,” said Lisa Maracani.

      “It is also time to defend the defenders. Rather than treating human rights defenders as the enemy, the authorities should see them as a vital ally, and celebrate acts of solidarity and compassion rather than criminalizing them.”

      BACKGROUND

      Human rights violations faced by human rights defenders must be viewed within the context of the treatment of the people whose rights they defend. It is essential that the rights of refugees and migrants are respected. This means improving the asylum and reception system in France, providing safe and legal routes to the UK and reforming the European asylum system to remove the requirement laid down in the Dublin rules that asylum-seekers seek protection in their first country of entry.

      https://www.amnesty.org/en/latest/news/2019/06/france-police-harassing-intimidating-and-even-using-violence-against-people
      #France

      Le #rapport:
      https://www.amnesty.org/download/Documents/EUR2103562019FRENCH.PDF

  • Les Vies volées par la dictature argentine révélées aux Grands-mères de la Place de Mai – Cases d’histoire
    http://casesdhistoire.com/les-vies-volees-par-la-dictature-argentine-revelees-aux-grands-meres

    #Vies_volées emmène le lecteur en #Argentine, 22 ans après le #coup_d’état du 24 mars 1976 de la #junte_militaire, pour suivre les pas de Mario sur le chemin de la vérité. Matz et Mayalen Goust nous livrent une fiction sur l’identité et les traumas de la #dictature qui pèsent encore aujourd’hui sur la société argentine.

    #bd

  • #beurk : 71 % d’Huile végétale, eau, amidon, sel, arôme, sel de fonte (E331 E341), colorant (E180a), anti agglomérant : cellulose. Le râpé du père Jean #Carrefour, #Leader_Price

    Le râpé du père Jean - Préparation à base de matières grasses végétales et de fromage.
    Imprimé sur le sachet : Ingrédients : Fromage > 28% , Huile végétale, eau, amidon, sel, arôme, sel de fonte (E331 E341), colorant (E180a), anti agglomérant : cellulose.

    Information trouvé sur : https://www.olivierdauvers.fr/2018/11/26/cher-alexandre

    « Quitte à me fâcher avec Orangina-Suntory (propriétaire de la marque), ce “Père Jean” est le “Canada Dry” du fromage râpé. Un ersatz. Tous les attributs en apparence mais si peu en réalité. Attardez-vous sur la composition, cher Alexandre : royalement 27 % de fromage. Le reste, 73 % quand même ? De l’huile (de palme !, allez-y soyez “provoc” jusqu’au bout…), de l’eau, de l’amidon de pomme de terre, etc. Bien loin d’un emmental râpé dont il reprend pourtant les codes. Ce que j’appelle “la zone grise de l’industrie agro-alimentaire”. Des produits légaux mais honteux. Surtout, le genre de produits qui nourrit légitimement la défiance alimentaire contemporaine. »

    La fiche produit est presque illisible sur #openfoodfacts , hélas. (probablement due à la mise à jour automatique de la fiche produit)
    https://fr.openfoodfacts.org/produit/3304100012251/la-rape-du-pere-jean-leader-price

    l’#ersatz est fabriqué par « Les Fromagers de Saint-Omer », à Campagne-lès-Wardrecques, Pas-de-Calais , entreprise subventionnée par la communauté d’agglomération du pays de Saint-Omer (voir la voix du nord).

     #malbouffe #capitalisme #alimentation #nécrotechnologies #huile_de_palme #industrie_palmiste #agrobusiness #obésité #junk_food #agro-alimentaire #emmental #France

    • Déjà, vendre le fromage déjà râpé est une folie emplastifiée. Après, c’est souvent moins cher que le bloc du même poids. Tout est dit ? Consommateur, économise et tais-toi.

  • Mall Grab
    http://www.radiopanik.org/emissions/mix-delivery/mall-grab--2

    Dance music is supposed to be about fun,” 23-year-old Jordan Alexander tells us. “It’s such an issue these days. A lot of people aren’t willing to just enjoy themselves and focus on the moment – instead, they’re Snapchatting the whole night.”

    This no-nonsense approach, alongside killer releases and a busy schedule, has seen Mall Grab become the poster boy of the blossoming lo-fi house sound in 2016. Hailing from New South Wales, the 23-year-old Australian has been impossible to miss, and has relocated to London due to high European demand for his fun-filled, on-point DJ sets. Ready for a #jungle Special Retrospective selection (...)

    #jungle
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/mix-delivery/mall-grab--2_05739__1.mp3

  • Crossing the Trenches: The Jungle and its Contentions of the Image

    The image is the means by which we both avoid the Other and yet represent the Other. As the rights of movement in the global age demarcates who the Other is, a confrontation with the image becomes necessary to envisage a future based on an equal rights of movement. The Calais jungle over its two decades is a space that enables us to uncover the dimensions of that challenge and to cast another light on the entire edifice of our politics of representation.


    http://criticallegalthinking.com/2018/11/09/crossing-the-trenches-the-jungle-and-its-contentions-of-the-i
    #image #campement #jungle #représentation #images #représentations

  • l’histgeobox : Vie et légende du baron rouge, as des as de la grande guerre.
    http://lhistgeobox.blogspot.com/2018/10/vie-et-legende-du-baron-rouge-as-des-as.html

    Les chevaliers du ciel.
    « L’aviateur est une figure tissée d’images et de récits nés dans le creuset de la culture médiatique. » (source A p). En effet, le nouvel imaginaire médiatique contribue à alimenter la fascination grandissante pour la chasse et les « chevaliers du ciel ». Les journaux inaugurent des rubriques sportives où l’aéronautique figure en bonne place. La presse populaire, dont l’influence est alors considérable, contribue à cette fabrique des héros. Les pilotes deviennent de véritables vedettes dont les exploits s’apparentent aux joutes chevaleresques.
    Jeunes, presque tous promis à la mort, les premiers pilotes viennent à quelques exceptions près de l’aristocratie ou de la grande bourgeoisie. En favorisant l’entre-soi, cette situation contribue largement à forger un état d’esprit particulier chez les aviateurs. Jalousés par les troupes au sol, les pilotes jouissent très vite d’une grande popularité.
    La presse des différents pays belligérants décerne le titre « d’as » aux pilotes ayant abattu un certain nombre d’ennemis. En France, un pilote devient « as » de guerre s’il compte au moins cinq victoires. L’homologation d’une victoire est possible lorsque des témoins assistent à la chute d’un avion dans le camp « ami ». Un véritable palmarès s’établit à la tête duquel se trouve « l’as des as », l’aviateur ayant obtenu le plus grand nombre de victoires. En France, René Fonck, Charles Nungesser, Georges Guynemer deviennent des héros patriotiques, célébrés dans « la guerre aérienne illustrée », un hebdomadaire animé par l’ancien journaliste sportif Jacques Mortane.

    • Nell’ex fabbrica di penicillina, un #ghetto di Roma

      Oggi viene presentata la seconda edizione di “Fuori campo”, il rapporto di Medici Senza Frontiere sulla marginalità, secondo il quale “sono almeno 10.000 le persone escluse dall’accoglienza, tra richiedenti e titolari di protezione internazionale e umanitaria, con limitato o nessun accesso ai beni essenziali e alle cure mediche”. Una cinquantina gli insediamenti mappati dall’organizzazione in tutta Italia, 3500 le persone che vivono in occupazioni, baracche e “ghetti” nella sola Roma. Open Migration è entrata dentro il “gran ghetto” della capitale: un’ex fabbrica di penicillina in cui le condizioni di vita sono estreme.

      Appena finisce di spaccare le cassette della frutta e il legname di recupero, Alecu Romel entra nella casa in cui vive con la moglie Maria. Nella stanza d’ingresso, una luce fioca illumina il fornello, collegato ad una bombola a gas. A destra, in un locale spoglio, la coppia tiene una bicicletta e dei passeggini, riadattati per raccogliere ferrivecchi e oggetti abbandonati per strada. Sulla sinistra, una porta rossa separa dalla zona notte: una camera con due letti, la televisione e stampe colorate appese alle pareti.

      “Viviamo in questo appartamento da cinque anni e cerchiamo di tenerlo sempre in ordine”, dice Maria. A cedere loro lo spazio, un altro cittadino della Romania, che dentro la Ex-Penicillina, una delle più grandi aree industriali dismesse di Roma, si era inventato un angolo di intimità arredando alcuni dei locali più piccoli, che un tempo erano probabilmente uffici. In cinque anni di vita fra i capannoni scrostati, Alecu e Maria hanno visto cambiare l’insediamento. “Prima eravamo più rumeni e ci sono state anche famiglie italiane”, continua la donna, “mentre adesso gli abitanti sono cresciuti, e quasi tutti sono africani”.

      Oggi, come allora, il sogno di ricongiungersi con i due figli, affidati ai nonni in Romania, appare lontano: “questo non è un posto per bambini, ci sono topi e sporcizia, non ci si sente sicuri, ma almeno quei pochi soldi che guadagnamo ci permettono di mantenerli a casa, di fargli fare una vita migliore della nostra”, conclude Maria, la voce rassegnata.
      Fra i capannoni del “grande ghetto”

      Sempre più sogni si infrangono dietro la facciata del complesso, che costeggia via Tiburtina, una delle arterie più trafficate della città. Qui i cantieri per il raddoppio della carreggiata vanno avanti da anni: “finite ‘sti lavori!! più che una consolare sembra una via Crucis” è l’urlo che i cittadini hanno affidato ai cartelli affissi sui muri. Siamo all’altezza della periferia operaia di San Basilio, oggi nota alle cronache anche come base per lo spaccio di stupefacenti.

      Rifugiati e richiedenti asilo, arrivati in Italia negli ultimi anni e usciti dal sistema d’accoglienza, hanno infatti trovato qui un riparo precario, aprendo un nuovo capitolo nella storia del complesso, un tempo orgoglio dell’industria italiana. Aperta come Leo – Industrie Chimiche Farmaceutiche Roma, la Ex-Penicillina è stata la prima fabbrica italiana a produrre antibiotici. Una storia complessa, intrecciata ai piani di investimento del secondo dopoguerra, supportati dagli Usa, e alle speculazioni edilizie che avrebbero cambiato il volto della capitale.

      All’inaugurazione dell’impianto, nel 1950, fu invitato lo stesso sir Alexander Fleming, scopritore della penicillina. Un graffito, nello scheletro esterno della struttura, lo ritrae pensieroso: “ti ricordi quando eravamo i più grandi?”, recita la scritta. Il quotidiano “L’Unità” aveva dedicato un paginone all’evento, col titolo “la più grande fabbrica di penicillina d’Europa inaugurata a Roma”. Dagli oltre 1300 operai degli anni Sessanta, si passò però presto a poche centinaia, fino all’abbandono totale dell’attività, alla fine degli anni Novanta. Un altro sogno, quello di una cordata di imprenditori, che volevano demolirla per fare spazio a un maxi-albergo di alta categoria, si infranse di fronte ai costi per lo smaltimento di rifiuti chimici e amianto, tuttora presenti nell’area.

      “Questo posto lo chiamano il grande ghetto”, ci dice Ahmad Al Rousan, coordinatore per Medici senza frontiere dell’intervento nei campi informali, mentre entriamo dentro uno degli stabilimenti con una torcia, perché qui manca tutto, anche l’elettricità. Camminiamo tra spazzatura, escrementi e resti della vecchia fabbrica: ampolle, fiale, scatole di medicinali su cui c’è ancora la bolla di accompagnamento. “C’è un posto qui vicino, il piccolo ghetto, qui ci sono circa 500 persone, lì 150”, aggiunge. “Non solo chiamano questi luoghi ghetti, ma chi ci vive si sente anche ghettizzato”.

      In questa area industriale abbandonata ci sono persone che arrivano da diverse parti del mondo: nord Africa, Sub Sahara, Pakistan, Afghanistan, Romania, e c’è anche un italiano. La maggior parte sono titolari di protezione internazionale, altri in attesa di essere ascoltati dalla commissione territoriale che dovrà decidere sulla richiesta d’asilo, altri ancora hanno il permesso di soggiorno scaduto. Tutti sono fuori dall’accoglienza per qualche motivo.
      Il rapporto di Medici Senza Frontiere

      Come denuncia “Fuori campo”, l’ultimo rapporto di Medici Senza Frontiere, in tutta Italia ci sono almeno 10 mila persone in questa condizione, alloggiate in insediamenti informali con limitato o nessun accesso ai beni essenziali e alle cure mediche. Nella capitale la maggior parte si concentra proprio qui, nella zona est, tra la Tiburtina e la Casilina, passando per Tor Cervara. Edifici abbandonati, ex fabbriche e capannoni, sono diventati la casa di centinaia tra migranti e rifugiati. Che ci vivono da invisibili in condizioni disumane, senza acqua, luce e gas, spesso a ridosso di discariche abusive.

      Da novembre 2017, l’Ong ha avviato un intervento con un’unità mobile composta da un medico, uno psicologo e un mediatore culturale, e da qualche settimana il camper è arrivato anche all’ex Leo. Quella di Msf è l’unica presenza esterna negli spazi dell’occupazione: gli operatori vengono qui una volta alla settimana, dal primo pomeriggio alla sera, per portare assistenza medica e psicologica agli abitanti. Un piccolo gazebo allestito nella parte esterna degli edifici fa da ambulatorio, la sala d’attesa è, invece, lo spazio antistante, un tavolino da campeggio, qualche sedia pieghevole e una lampada. Per chi abita qui questo momento è diventato un rito, c’è chi viene per la prima volta, chi torna per un controllo, chi viene solo per chiacchierare.

      Un ragazzo si avvicina con aria timida: “they rescued me”, ci dice, raccontando di aver riconosciuto il logo di Msf sul gazebo, lo stesso visto sulla pettorina delle persone che lo avevano soccorso nel mezzo del Mediterraneo, nel 2016. Ora, due anni dopo l’approdo in Italia, è sbarcato anche lui all’ex fabbrica della penicillina. Entra e inizia la sua prima visita: lamenta mal di testa frequenti. La dottoressa misura la pressione e compila una scheda.

      “I problemi di salute qui sono legati soprattutto alle condizioni di vita: non ci sono servizi igienici e c’è solo una presa d’acqua fredda, per centinaia di persone”, spiega Al Rousan. La patologia più comune, aggiunge “è quella respiratoria dovuta al freddo o all’aria che respirano; l’unico modo che hanno per scaldarsi è accendere il fuoco, con tutti i rischi connessi: qualche giorno fa abbiamo assistito una persona completamente ustionata, in modo grave. Ha aspettato il nostro arrivo, non ha voluto andare a farsi vedere in un ospedale”. Di incendi qui ce ne sono stati diversi, come rivelano i muri anneriti di interi spazi. L’ultimo, a fine gennaio 2018, ha richiesto l’intervento dei vigili del fuoco, dopo l’esplosione di una bombola del gas. Quando cala la sera, le luci dei fuochi accesi e le fiammelle delle candele spezzano il buio totale degli edifici.

      “Questo è un posto estremo, dove l’esclusione è totale”, sottolinea Al Rousan. Dopo aver subito vari traumi nel viaggio e poi in Libia, trovarsi in questa condizione significa vedere infranto il sogno di potersi integrare, di costruirsi una nuova vita. Lavoro da tanti anni in situazioni simili, ma non ho mai visto una cosa del genere. E non pensavo potesse esserci un posto così a Roma”.
      La normalità dell’esclusione

      La fabbrica è occupata da diversi anni, e come in tutti gli insediamenti informali, gli abitanti hanno ricostruito una parvenza di normalità. Lamin, che viene dal Gambia, gestisce un piccolo market all’ingresso di uno dei capannoni principali. I prodotti li acquista al mercato di piazza Vittorio, dove si trovano i cibi di tutto il mondo. Qui vende aranciata, farina, zucchero, fagioli, candele e i dadi marca Jumbo, indispensabili – ci dice – per preparare qualsiasi piatto africano.

      Ha poco più di vent’anni e prima di arrivare qui viveva a via Vannina, in un altro stabile occupato, poco lontano. Nel violento sgombero del giugno 2017, è volato giù dalle scale e ancora, dice, “ho dolori frequenti alle ossa”. La fabbrica è diventata la sua nuova casa.

      Victor, 23 anni, è arrivato invece all’ex Penicillina dopo un periodo trascorso in un centro di accoglienza a Lecce, mentre era in corso la sua domanda d’asilo. Ottenuto lo status di rifugiato ha deciso di spostarsi a Roma per cercare lavoro, ma non parla neanche una parola di italiano. Il suo sogno è fare il giornalista. Nel suo paese, la Nigeria, ha studiato Comunicazione: “sono grato al governo italiano per quanto ha fatto per me”, dice, “ma non pensavo che una volta arrivato in Italia mi sarei trovato in questa situazione: quando sono arrivato a Roma ho vissuto un periodo alla stazione Termini. Faceva freddo e la temperatura di notte arrivava quasi allo zero. Un connazionale mi ha parlato di questo posto, mi ha detto che qui almeno potevo farmi una doccia. Invece, una volta arrivato ho scoperto che c’era solo una fontanella per l’acqua”. Come tutti, spera di andarsene presto. “Questo luogo cambia le persone, rallenta ogni aspirazione e io, invece, il mio sogno lo vorrei realizzare”, ci dice con uno sguardo vivace.

      Nel reticolo di capannoni, corridoi e cortili, ci sono altri piccoli bar e negozi: l’ultimo è stato aperto pochi giorni fa. Sulla facciata troneggia la bandiera giallorossa della squadra di calcio della Roma. Raffigura la lupa capitolina che allatta Romolo e Remo: qui è quasi un paradosso, quell’immagine simbolo di mamma Roma, patria dell’accoglienza.


      http://openmigration.org/analisi/nellex-fabbrica-di-penicillina-il-grande-ghetto-di-roma
      #Rome

    • Il sistema di accoglienza italiano verso il default organizzativo e morale

      Sono pubblicate da tempo le relazioni della Commissione di inchiesta della Camera dei deputati sui Centri per stranieri. Relazioni che censuravano l’utilizzo degli Hotspot come strutture detentive e chiedevano la chiusura del mega CARA di Mineo. Ma il governo e le prefetture non hanno svolto quel lavoro di pulizia con la estromissione del marcio che risultava largamente diffuso da nord e sud. Una operazione che sarebbe stata doverosa per difendere i tanti operatori e gestori dell’accoglienza che fanno il proprio dovere e che avrebbe permesso di rintuzzare uno degli argomenti elettorali più in voga nella propaganda politica delle destre, appunto gli sprechi e gli abusi verificati da tutti ormai all’interno dei centri di accoglienza, soprattutto in quelli appaltati direttamente dalle prefetture, i Centri di accoglienza straordinaria (CAS), la parte più consistente del sistema di accoglienza italiano.

      https://www.a-dif.org/2018/02/27/il-sistema-di-accoglienza-italiano-verso-il-default-organizzativo-e-morale

    • Ventimiglia. Prima della neve. Un report del gruppo di medici volontari del 27 febbraio scorso tratto dal blog Parole sul Confine

      Sabato 27 febbraio è stata una giornata di lavoro intenso sotto al ponte di via Tenda.

      Avremmo fatto almeno 40 visite.

      Rispetto alla scorsa estate ci sono più persone che vivono sotto al ponte del cavalcavia lungo al fiume, con un numero senza precedenti di donne e bambini anche molto piccoli.

      L’insediamento sembra sempre più stabile, con baracche costruite con pezzi di legno e teli di plastica. Le persone che vivono lì sono prevalentemente eritree e sudanesi. Al momento, tutte le donne sole e le madri sono eritree.

      Le persone che abbiamo visitato erano giovanissime. Tantissime affette da scabbia. Spesso con sovra-infezioni molto importanti. Grazie alla nostra disponibilità di farmaci e grazie alle scorte di indumenti stivati presso l’infopoint Eufemia abbiamo potuto somministrare il trattamento anti scabbia a molte persone, dopo esserci assicurati che avessero compreso come eseguire correttamente tutta la procedura.

      http://www.meltingpot.org/local/cache-vignettes/L440xH294/parole-sul-confine-tende-ponte-roia-3ad5b.png?1520066845
      http://www.meltingpot.org/Ventimiglia-Prima-della-neve.html
      #froid #hiver

    • Purgatory on the Riviera

      Ventimiglia is idyllic. It sits just across the Italian border from the French Riviera. The piercingly blue waters of the Mediterranean churn against its rocky beaches, and its buildings, painted in earthy pastels, back up against the foothills of the Alps. On Fridays, the normally quiet streets are bustling with French tourists who cross the border by car, train, and bicycle to shop in its famous markets where artisans and farmers sell clothes, leather items, fresh produce, truffles, cheeses and decadent pastries. Families with young children and elderly couples stroll along the streets and sit at sidewalk cafes or eat in one of the many restaurants along the shore.


      https://www.irinnews.org/special-report/2017/12/04/purgatory-riviera

    • Ex Penicillina. Dall’evacuazione alla bonifica: 4 mosse per uscire dal ghetto

      La proposta degli abitanti per evitare lo sgombero coatto, più volte annunciato dal ministro Salvini. All’interno circa 200 persone, tra cui alcuni italiani. “Va data a tutti un’alternativa e la fabbrica bonificata e riconsegnata alla città”


      http://www.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/606113/Ex-Penicillina-Dall-evacuazione-alla-bonifica-4-mosse-per-uscire-da

    • Nell’ex fabbrica di penicillina, un ghetto di Roma

      Oggi viene presentata la seconda edizione di “Fuori campo”, il rapporto di Medici Senza Frontiere sulla marginalità, secondo il quale “sono almeno 10.000 le persone escluse dall’accoglienza, tra richiedenti e titolari di protezione internazionale e umanitaria, con limitato o nessun accesso ai beni essenziali e alle cure mediche”. Una cinquantina gli insediamenti mappati dall’organizzazione in tutta Italia, 3500 le persone che vivono in occupazioni, baracche e “ghetti” nella sola Roma. Open Migration è entrata dentro il “gran ghetto” della capitale: un’ex fabbrica di penicillina in cui le condizioni di vita sono estreme.

      Appena finisce di spaccare le cassette della frutta e il legname di recupero, Alecu Romel entra nella casa in cui vive con la moglie Maria. Nella stanza d’ingresso, una luce fioca illumina il fornello, collegato ad una bombola a gas. A destra, in un locale spoglio, la coppia tiene una bicicletta e dei passeggini, riadattati per raccogliere ferrivecchi e oggetti abbandonati per strada. Sulla sinistra, una porta rossa separa dalla zona notte: una camera con due letti, la televisione e stampe colorate appese alle pareti.

      “Viviamo in questo appartamento da cinque anni e cerchiamo di tenerlo sempre in ordine”, dice Maria. A cedere loro lo spazio, un altro cittadino della Romania, che dentro la Ex-Penicillina, una delle più grandi aree industriali dismesse di Roma, si era inventato un angolo di intimità arredando alcuni dei locali più piccoli, che un tempo erano probabilmente uffici. In cinque anni di vita fra i capannoni scrostati, Alecu e Maria hanno visto cambiare l’insediamento. “Prima eravamo più rumeni e ci sono state anche famiglie italiane”, continua la donna, “mentre adesso gli abitanti sono cresciuti, e quasi tutti sono africani”.

      Oggi, come allora, il sogno di ricongiungersi con i due figli, affidati ai nonni in Romania, appare lontano: “questo non è un posto per bambini, ci sono topi e sporcizia, non ci si sente sicuri, ma almeno quei pochi soldi che guadagnamo ci permettono di mantenerli a casa, di fargli fare una vita migliore della nostra”, conclude Maria, la voce rassegnata.
      Fra i capannoni del “grande ghetto”

      Sempre più sogni si infrangono dietro la facciata del complesso, che costeggia via Tiburtina, una delle arterie più trafficate della città. Qui i cantieri per il raddoppio della carreggiata vanno avanti da anni: “finite ‘sti lavori!! più che una consolare sembra una via Crucis” è l’urlo che i cittadini hanno affidato ai cartelli affissi sui muri. Siamo all’altezza della periferia operaia di San Basilio, oggi nota alle cronache anche come base per lo spaccio di stupefacenti.

      Rifugiati e richiedenti asilo, arrivati in Italia negli ultimi anni e usciti dal sistema d’accoglienza, hanno infatti trovato qui un riparo precario, aprendo un nuovo capitolo nella storia del complesso, un tempo orgoglio dell’industria italiana. Aperta come Leo – Industrie Chimiche Farmaceutiche Roma, la Ex-Penicillina è stata la prima fabbrica italiana a produrre antibiotici. Una storia complessa, intrecciata ai piani di investimento del secondo dopoguerra, supportati dagli Usa, e alle speculazioni edilizie che avrebbero cambiato il volto della capitale.

      All’inaugurazione dell’impianto, nel 1950, fu invitato lo stesso sir Alexander Fleming, scopritore della penicillina. Un graffito, nello scheletro esterno della struttura, lo ritrae pensieroso: “ti ricordi quando eravamo i più grandi?”, recita la scritta. Il quotidiano “L’Unità” aveva dedicato un paginone all’evento, col titolo “la più grande fabbrica di penicillina d’Europa inaugurata a Roma”. Dagli oltre 1300 operai degli anni Sessanta, si passò però presto a poche centinaia, fino all’abbandono totale dell’attività, alla fine degli anni Novanta. Un altro sogno, quello di una cordata di imprenditori, che volevano demolirla per fare spazio a un maxi-albergo di alta categoria, si infranse di fronte ai costi per lo smaltimento di rifiuti chimici e amianto, tuttora presenti nell’area.

      “Questo posto lo chiamano il grande ghetto”, ci dice Ahmad Al Rousan, coordinatore per Medici senza frontiere dell’intervento nei campi informali, mentre entriamo dentro uno degli stabilimenti con una torcia, perché qui manca tutto, anche l’elettricità. Camminiamo tra spazzatura, escrementi e resti della vecchia fabbrica: ampolle, fiale, scatole di medicinali su cui c’è ancora la bolla di accompagnamento. “C’è un posto qui vicino, il piccolo ghetto, qui ci sono circa 500 persone, lì 150”, aggiunge. “Non solo chiamano questi luoghi ghetti, ma chi ci vive si sente anche ghettizzato”.

      In questa area industriale abbandonata ci sono persone che arrivano da diverse parti del mondo: nord Africa, Sub Sahara, Pakistan, Afghanistan, Romania, e c’è anche un italiano. La maggior parte sono titolari di protezione internazionale, altri in attesa di essere ascoltati dalla commissione territoriale che dovrà decidere sulla richiesta d’asilo, altri ancora hanno il permesso di soggiorno scaduto. Tutti sono fuori dall’accoglienza per qualche motivo.
      Il rapporto di Medici Senza Frontiere

      Come denuncia “Fuori campo”, l’ultimo rapporto di Medici Senza Frontiere, in tutta Italia ci sono almeno 10 mila persone in questa condizione, alloggiate in insediamenti informali con limitato o nessun accesso ai beni essenziali e alle cure mediche. Nella capitale la maggior parte si concentra proprio qui, nella zona est, tra la Tiburtina e la Casilina, passando per Tor Cervara. Edifici abbandonati, ex fabbriche e capannoni, sono diventati la casa di centinaia tra migranti e rifugiati. Che ci vivono da invisibili in condizioni disumane, senza acqua, luce e gas, spesso a ridosso di discariche abusive.

      Da novembre 2017, l’Ong ha avviato un intervento con un’unità mobile composta da un medico, uno psicologo e un mediatore culturale, e da qualche settimana il camper è arrivato anche all’ex Leo. Quella di Msf è l’unica presenza esterna negli spazi dell’occupazione: gli operatori vengono qui una volta alla settimana, dal primo pomeriggio alla sera, per portare assistenza medica e psicologica agli abitanti. Un piccolo gazebo allestito nella parte esterna degli edifici fa da ambulatorio, la sala d’attesa è, invece, lo spazio antistante, un tavolino da campeggio, qualche sedia pieghevole e una lampada. Per chi abita qui questo momento è diventato un rito, c’è chi viene per la prima volta, chi torna per un controllo, chi viene solo per chiacchierare.

      Un ragazzo si avvicina con aria timida: “they rescued me”, ci dice, raccontando di aver riconosciuto il logo di Msf sul gazebo, lo stesso visto sulla pettorina delle persone che lo avevano soccorso nel mezzo del Mediterraneo, nel 2016. Ora, due anni dopo l’approdo in Italia, è sbarcato anche lui all’ex fabbrica della penicillina. Entra e inizia la sua prima visita: lamenta mal di testa frequenti. La dottoressa misura la pressione e compila una scheda.

      “I problemi di salute qui sono legati soprattutto alle condizioni di vita: non ci sono servizi igienici e c’è solo una presa d’acqua fredda, per centinaia di persone”, spiega Al Rousan. La patologia più comune, aggiunge “è quella respiratoria dovuta al freddo o all’aria che respirano; l’unico modo che hanno per scaldarsi è accendere il fuoco, con tutti i rischi connessi: qualche giorno fa abbiamo assistito una persona completamente ustionata, in modo grave. Ha aspettato il nostro arrivo, non ha voluto andare a farsi vedere in un ospedale”. Di incendi qui ce ne sono stati diversi, come rivelano i muri anneriti di interi spazi. L’ultimo, a fine gennaio 2018, ha richiesto l’intervento dei vigili del fuoco, dopo l’esplosione di una bombola del gas. Quando cala la sera, le luci dei fuochi accesi e le fiammelle delle candele spezzano il buio totale degli edifici.

      “Questo è un posto estremo, dove l’esclusione è totale”, sottolinea Al Rousan. Dopo aver subito vari traumi nel viaggio e poi in Libia, trovarsi in questa condizione significa vedere infranto il sogno di potersi integrare, di costruirsi una nuova vita. Lavoro da tanti anni in situazioni simili, ma non ho mai visto una cosa del genere. E non pensavo potesse esserci un posto così a Roma”.
      La normalità dell’esclusione

      La fabbrica è occupata da diversi anni, e come in tutti gli insediamenti informali, gli abitanti hanno ricostruito una parvenza di normalità. Lamin, che viene dal Gambia, gestisce un piccolo market all’ingresso di uno dei capannoni principali. I prodotti li acquista al mercato di piazza Vittorio, dove si trovano i cibi di tutto il mondo. Qui vende aranciata, farina, zucchero, fagioli, candele e i dadi marca Jumbo, indispensabili – ci dice – per preparare qualsiasi piatto africano.

      Ha poco più di vent’anni e prima di arrivare qui viveva a via Vannina, in un altro stabile occupato, poco lontano. Nel violento sgombero del giugno 2017, è volato giù dalle scale e ancora, dice, “ho dolori frequenti alle ossa”. La fabbrica è diventata la sua nuova casa.

      Victor, 23 anni, è arrivato invece all’ex Penicillina dopo un periodo trascorso in un centro di accoglienza a Lecce, mentre era in corso la sua domanda d’asilo. Ottenuto lo status di rifugiato ha deciso di spostarsi a Roma per cercare lavoro, ma non parla neanche una parola di italiano. Il suo sogno è fare il giornalista. Nel suo paese, la Nigeria, ha studiato Comunicazione: “sono grato al governo italiano per quanto ha fatto per me”, dice, “ma non pensavo che una volta arrivato in Italia mi sarei trovato in questa situazione: quando sono arrivato a Roma ho vissuto un periodo alla stazione Termini. Faceva freddo e la temperatura di notte arrivava quasi allo zero. Un connazionale mi ha parlato di questo posto, mi ha detto che qui almeno potevo farmi una doccia. Invece, una volta arrivato ho scoperto che c’era solo una fontanella per l’acqua”. Come tutti, spera di andarsene presto. “Questo luogo cambia le persone, rallenta ogni aspirazione e io, invece, il mio sogno lo vorrei realizzare”, ci dice con uno sguardo vivace.

      Nel reticolo di capannoni, corridoi e cortili, ci sono altri piccoli bar e negozi: l’ultimo è stato aperto pochi giorni fa. Sulla facciata troneggia la bandiera giallorossa della squadra di calcio della Roma. Raffigura la lupa capitolina che allatta Romolo e Remo: qui è quasi un paradosso, quell’immagine simbolo di mamma Roma, patria dell’accoglienza.

      https://openmigration.org/analisi/nellex-fabbrica-di-penicillina-il-grande-ghetto-di-roma

  • Une découverte savoureuse !
    « L’Union n’est plus européenne, mais allemande »
    http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2018/09/10/une-allemagne-europeenne-dans-une-europe-allemande

    L’Allemand Manfred Weber, 46 ans, espère succéder au Luxembourgeois Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne. Le patron du groupe PPE (parti populaire européen, conservateur) au Parlement européen et vice-président de la CSU bavaroise, l’aile droitière de la CDU, a annoncé, mercredi, qu’il était candidat à la candidature pour devenir tête de liste (Spitzenkandidat, en allemand) de son parti aux élections européennes de mai 2019. S’il l’emporte, lors du congrès du PPE qui aura lieu à Helsinki les 7 et 8 novembre il aura alors toutes ses chances, le Parlement européen ayant imposé en 2014 que la tête de la liste arrivée en tête aux élections soit automatiquement désignée président de l’exécutif européen.

    La candidature à la candidature de Manfred Weber, adoubée par la chancelière Angela Merkel, tout comme les visées germaniques sur la Banque centrale européenne, est symptomatique de l’Europe allemande qui se met impitoyablement en place depuis la crise de la zone euro de 2010. Déjà, le social-chrétien Jean-Claude Juncker, sans être l’homme choisi par Berlin, est extrêmement proche des intérêts allemands, comme il l’était déjà lorsqu’il était ministre des Finances puis Premier ministre du Grand Duché. L’homme qui l’a propulsé à la tête de la Commission et dont il a fait le haut fonctionnaire le plus puissant de l’Union en le nommant secrétaire général de la Commission, Martin Selmayr, est lui-même Allemand. D’ailleurs, il est frappant de constater que trois institutions sur quatre ont des secrétaires généraux allemands : outre la Commission, le Parlement européen (Klaus Welle) et le Service européen d’action extérieure (Helga Schmid). Cela aurait pu être quatre sur quatre si l’Allemand Uwe Corsepius n’avait pas préféré quitter son poste au Conseil des ministres pour retourner à la chancellerie allemande en 2015 après quatre ans passés à Bruxelles… Mieux, le secrétaire général adjoint du Parlement est lui-aussi Allemand, une institution qui a été dirigée pendant cinq ans par un Allemand (Martin Schulz, 2012-2017). Sur huit groupes politiques, quatre, dont les deux plus importants (PPE et PSE), sont présidés par des Allemands. Pour compléter ce tableau, il ne faut pas oublier que les présidents de la Cour des comptes européenne (Klaus-Heiner Lehne), de la Banque européenne d’investissement (Werner Höyer), du Mécanisme européen de stabilité (Klaus Regling), du Conseil de résolution unique des crises bancaires (Elke König) sont Allemands tout comme le commissaire européen chargé du budget, le nerf de la guerre, Gunther Ottinger. Et bien sûr, tous sont membres ou proches de la CDU d’Angela Merkel.

    « Il ne s’agit pas d’une volonté délibérée, mais simplement les Allemands considèrent qu’ils sont les meilleurs Européens et donc qu’ils doivent faire le job pour pallier l’absence des autres capitales », explique Dany Cohn-Bendit, ancien député européen (Grünen). Et il est vrai qu’en dehors de la présidence de la BCE, que vise le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galau, les candidats allemands ne rencontrent aucune opposition sérieuse et organisée. « En 1953, Thomas Mann tint à Hambourg un discours devant un parterre d’étudiants qu’il implorait d’aspirer non pas à une « Europe allemande », mais à une « Allemagne européenne », résume l’historien anglais Timothy Garton Ash. « Nous avons cependant aujourd’hui affaire à une variante (…) : une Allemagne européenne dans une Europe allemande ». Question : les peuples européens sont-ils prêts à accepter d’être ainsi dirigés par l’Allemagne ?

    • L’Europe va dans le mur, Juncker appuie sur l’accélérateur !

      Le président de la Commission européenne prononçait aujourd’hui un discours sur l’État de l’Union européenne devant le Parlement européen. Il a annoncé sur plusieurs points son objectif d’aggraver la déconstruction des États et des démocraties.

      Sur les accords commerciaux, Jean-Claude Juncker a invoqué « la nécessité de partager nos souverainetés ». En réalité, la négociation et la signature récente de l’accord avec le Japon (JEFTA) sont le symbole d’un vol de la souveraineté des peuples. Les députés européens n’ont pas été associés, les Parlements nationaux ne seront même pas consultés. Le véritable visage de la « souveraineté européenne » de Macron, reprise par Juncker apparaît ici en pleine lumière. C’est le retour de la « souveraineté limitée » de Léonid Brejnev.

      En matière d’immigration, sa principale proposition pour l’Afrique est un « accord de libre-échange de continent à continent » ! Cela revient à appauvrir toujours plus les pays africains et aggraver les causes qui poussent des centaines de milliers de gens à l’exil.
      jlm

      http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Doctrine%20Brejnev/fr-fr

      #Europe_contre_les_peuples #Juncker #Macron

  • JUNGLE teaser on Vimeo

    https://vimeo.com/286599608

    https://lc.cx/performancejungle

    Performance audiovisuelle de Loup Blaster et NUMéROBé ( durée : 20 minutes )

    « Les 2 artistes Calaisiens, Loup Blaster et NUMéROBé, livrent un regard personnel sur la Jungle de Calais à travers leur performance JUNGLE.
    Basé sur les souvenirs et les rencontres, JUNGLE est une performance où le son et l’image dialoguent en temps réel, emmenant le spectateur dans un univers profond et onirique : un voyage personnel au travers de la Jungle de Calais. »

    #migrations #asile #jungle #calais

  • #DIE_ANTWOORD, #FATTY_BOOM_BOOM
    *en argo sud-africain, fatty boom boom est une insulte
    https://www.youtube.com/watch?v=AIXUgtNC4Kc


    publié le 16/10/2012
    consulté le 06/06/2018

    There’s a rumble in the #jungle I’m bubbling to beat em
    Not looking for trouble but trouble’s looking for me
    M’uppercuts’re fokken swollen with nothing just come for free
    I used to think I’d always kill this to hustle something to eat
    #South_Africa used to be a twangy’d, to notice me
    Suddenly you’re interested ’cos we’re blowing up overseas
    Make you #money money money

    « Il y a un grondement dans la jungle je bouillonne sur le beat
    Je ne cherche pas les problèmes mais les problèmes me cherchent
    Mes poches sont p*tain de remplies, mais rien n’arrive gratuitement
    Je pensais qu’il me faudrait toujours lutter pour me dégoter quelque chose à manger
    #Afrique_du_Sud, j’étais trop pouilleuse pour que vous me remarquiez
    Soudain vous êtes intéressés car nous déchirons à l’étranger
    Vous rapportant de l’#argent argent argent »

    Cette chanson, autant que son clip vidéo, se veut provocante et vulgaire ; elle vise à dénoncer les clichés du regard que pose le « monde occidental » sur l’Afrique du sud. La vidéo met en scène une pseudo Lady Gaga, qui perçoit l’Afrique du sud comme une « jungle » : la ville est sale, pleine d’animaux sauvages (panthère, hyènes, lion...) et semble contrôlée par des délinquants et des criminels.
    Le groupe sud-Africain Die Antwoord dénonce à la fois le regard biaisé et pédant des occidentaux qui se croient supérieurs, tout en mettant en scène, non sans une certaine ironie, Lady Gaga, elle même figure extrême de l’exubérance occidentale : pour couronner le tout, celle-ci finit par se faire dévorer par le lion, attiré par sa robe de viande.
    Les artistes reconnaissent cependant leur propre excentricité et ne nient pas leur appartenance à une classe sociale privilégiée en Afrique du sud : les #« white_negros ».

    L’art n’a pas ici pour but d’aider les populations sud-africaines, mais bien de dénoncer l’#occidentalocentrisme des pays « du Nord », persuadés de leur supériorité. L’art, en cherchant à choquer, permet de prendre conscience des clichés qui persistent dans un monde où, pourtant, les frontières entre les pays développés et les pays en développement tendent à s’effacer et doivent être redéfinies.

  • Cette #expédition du #CNRS en #Amazonie fait passer #Koh_Lanta pour une promenade de santé
    https://www.huffingtonpost.fr/2015/05/21/expedition-amazonie-geographique-koh-lanta-france-bresil-raid-7-borne

    #Jean_Baptiste_Duval écrit cet #article sur l’expédition dite « #Raid_des_7_bornes » le #21_mai #2015. Cette #mission du #Centre_National_de_la_Recherche_Scientifique a pour but de retrouver les #7_bornes marquant la #frontière entre la #Guyane et le #Brésil.

    Avec 25 à 30 kg de #matériel sur le dos, progressant difficilement dans la #jungle à la vitesse moyenne de 1 km/h, grimpant et descendant les incontournables #collines successives des #monts #Tumuc_Humac pour un #dénivelé total positif de 15.000 m, la colonne scientifico-militaire avançant sans #layonnage (coupes dans la forêt pour tracer un #sentier) entend atteindre après une quarantaine de jours, à raison d’une douzaine de kilomètres par jour, son objectif vers le 20 juillet, à la source du #fleuve #Oyapock .

    Cette expédition a un but #scientifique puisqu’elle enrichit l’inventaire de la #biodiversité et de la #flore sauvage déjà connues par l’Homme, mais aussi un but #géographique dans le sens qu’elle est à la recherche des traces des #explorateurs du passé qui ont posé ces bornes.

    Les monts Tumuc Humac auxquels va s’attaquer la colonne des « 7 bornes », ont déjà écrit une page funeste dans le grand livre de l’exploration française : en 1950, c’est au coeur de cette pieuvre verte que disparut à jamais le jeune #explorateur #Raymond_Maufrais (24 ans à l’époque), parti en solitaire pour une mortelle #traversée vers le Brésil.

    • soit plus précise cite le géographe à l’origine de ce raid. « François-Michel Le Tourneau, directeur de recherche au CNRS et docteur en sciences de l’information géographique, est à l’origine de ce raid, mené conjointement avec les légionnaires du 3e Régiment Etranger d’Infanterie basé à Kourou ».

  • Kangaroo attacks on tourists prompt warnings to stop feeding them junk food | Australia news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/australia-news/2018/may/02/kangaroo-attacks-on-tourists-prompt-warnings-to-stop-feeding-them-junk-

    The attacks have occurred while tourists attempt to feed the native animals inappropriate food such as carrots and corn chips, and even McDonald’s takeaway, tourist operators in the area say.

    #auto_défense #alimentation :)

  • Jun’ichiro Sekino

    http://www.artnet.com/artists/junichiro-sekino

    Je découvre cet artiste, une œuvre tout en beauté simpl. Magnifique.

    Junichiro Sekino was a Japanese printmaker best known for his portraits of kabuki actors, sumo wrestlers, and geishas. These subjects, along with his picturesque views of mountains and forest streams, were completed in a style that merged both Western and Japanese aesthetics, drawing inspiration from the art of Sharaku and Albrecht Dürer. Born in 1914 in Aomori City, Japan, Sekino befriended the artist Shiko Munakata, who also lived in Aomori City. Sekino died in 1988 in Tokyo, Japan. His works are in the collections of the Art Institute of Chicago, The Museum of Modern Art in New York, and the Museum of Fine Arts in Boston, among others.

    

    #art #peinture #japon #Junichiro_Sekino

  • La #jungle de #Calais, « un lieu où l’on pouvait réinventer sa vie »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/180418/la-jungle-de-calais-un-lieu-ou-l-pouvait-reinventer-sa-vie

    © Mediapart Rencontre avec Nicolas Klotz et Élisabeth Perceval, réalisateurs du documentaire L’héroïque lande, la frontière brûle, en salles depuis le 11 avril, qui porte un regard rare et précieux sur la ville monde, la ville du futur, qu’était la jungle de Calais.

    #France #migrants #réfugiés

  • The #campus is a food desert

    Comme je réside sur le campus, je mange sur le campus. Eh bien je peux vous dire que j’en ai marre et que ça me rend malade. Pour vous dire l’ampleur de la catastrophe : on y trouve pas d’eau minérale. Et même pas d’eau du tout. Par contre, il y a tout ce qu’il faut en termes de sodas et de boissons énergisantes. J’avoue que le premier matin, j’ai trouvé ça drôle de manger un southern american petit déjeuner. Mais le deuxième matin le muffin avait du mal à passer. Le jus d’orange en poudre m’a fait pouffer. Je n’ose vous parler de la confiture que l’on trouve uniquement dans une bouteille de plastique type bouteille de ketchup. D’ailleurs j’en suis au point où je me demande si je ne vais pas utiliser du ketchup plutôt que la confiture sur mes toasts de pain de mie le matin. Avec un peu de tabasco ça peut être pas mal en fait. Je suis à bout. Heureusement que je suis dans un hôtel ultra chic. Le midi, c’est encore pire. Il n’y a pas de restaurants universitaires ni de restaurants tout court d’ailleurs. Il y #Subway, #MacDo, une version low cost de #PizzaHot, … Bref, toute la #malbouffe est au rendez-vous. Je dépéris à vue d’oeil. Et le soir on remet ça. Même problème. J’en suis malade. Et dire que les étudiant-e-s n’ont pas d’autre choix toute l’année. Je pense à la quantité d’hormones qu’ils ingurgitent. J’en perds l’appétit (c’est dire chez moi). Ce midi par contre j’ai été sauvé par un collègue paysagiste qui m’a amené manger dans un resto vietnamien pas trop loin du campus. Quel plaisir de manger du riz blanc. Et ce soir, c’est une collègue de l’administration qui m’amène manger en ville. Peut-être aurais-je même un petit verre de vin ?


    https://onpartenlouisiane.wordpress.com/2018/04/06/the-campus-is-a-food-desert
    #fac #food_desert #désert_alimentaire #alimentation #junk_food #fast-food #université

  • « GOUVERNER, C’EST FAIRE CROIRE » La politique dans l’univers panoptique des reseaux - Luis Lazzaro - El Correo
    http://www.elcorreo.eu.org/GOUVERNER-C-EST-FAIRE-CROIRE-La-politique-dans-l-univers-panoptique-des

    Introduction

    L’ère de l’action coercitive de la communication et de la pression systémique de dispositifs capables de produire une réalité virtuelle sonne à la porte de la démocratie, afin de s’assurer qu’il existe encore du politique. Pour savoir s’il y a encore une vie. Pour voir si, dans les marges étroites de la souveraineté de l’Etat, il reste encore quelque chose qui tienne debout et rende possible la gouvernabilité en termes démocratiques.

    Selon l’universitaire basque Innerarity nous vivons une ère post-politique, l’époque de la démocratie sans politique. Et dans ce vide, ce qui est politique prend la forme d’un territoire scénographique pour des mises en scène – aussi bien officielles que oppositionnelles – ou pour de simples rituels symboliques. Il n’y circule que des émotions circonstancielles qui occultent plus qu’elles ne disent, avec des déclarations volontaristes et l’expression de vœux qui ressemblent davantage à des recettes discursives qu’à un énoncé organique et rationnel de la politique.

    Dans le monde globalisé, le politique prend généralement la forme d’une mobilisation à peine capable de produire des expériences constructives, se limitant à « ritualiser certaines contradictions envers ceux qui gouvernent, lesquels à leur tour réagissent en simulant un dialogue et en ne faisant rien »

    #junk_politic

    Ceci n’est pas sans me rappeler ce que j’avais lu dans un article de Chris Hedges à partir de la deuxième partie

    Democracy, a system ideally designed to challenge the status quo, has been corrupted and tamed to slavishly serve the status quo.

    https://www.adbusters.org/article/chris-hedges-zero-point-of-systemic-collapse

  • Junior developers guide to galaxy
    https://hackernoon.com/junior-developers-guide-to-galaxy-8c8e5108f495?source=rss----3a8144eabfe

    Starting software development may seem too hard and cumbersome task for many. Actually you only need a computer and a heck lot of interest in software development to get started. In this story I will go through all the basic stuff of software development and open some topics that you may not have thought before. While this story will not do the hardest work for you, it will still hopefully kick you just enough to get started.So buckle up your seat belts and let’s go!Abbreviations and definitionsFor especially junior developers there might be some words and abbreviations in this story you don’t understand. I have collected some of the to this list so in case you find a word you don’t understand you can always come back to this chapter.Programming language —Formal language that translates (...)

    #programming-languages #learning-to-code #programming #developer #junior-developer

  • AL HURRIYA الحریة - Freedom - Liberté

    Nous voici voisins, à Calais.
    Tu es de passage, en migration.
    Qu’as-tu vu ? Qu’as tu vécu ?
    Quelles sont tes impressions ?
    L’histoire se dessine et nous nous regardons.
    Hé toi ! Comment tu dis liberté ?

    https://vimeo.com/190769521


    #court-métrage #film #film_d'animation #migrations #liberté #asile #réfugiés #Calais #France #frontières #barrières_frontalières #barbelé #espoir #destin #camions #oiseaux #grillages #campement #jungle #démantèlement #destruction #al_hurriya
    cc @reka

  • Priya Fielding-Singh : « La nourriture permet d’atténuer les privations matérielles » - Libération
    http://www.liberation.fr/debats/2018/02/16/priya-fielding-singh-la-nourriture-permet-d-attenuer-les-privations-mater

    Pour la sociologue américaine Priya Fielding-Singh, expliquer la #malbouffe chez les plus pauvres par un défaut d’information ou le problème du coût est insuffisant : les parents défavorisés cèdent aux appels du soda car c’est le seul moyen dont ils disposent pour faire oublier les restrictions à leurs enfants. Il s’agit donc de changer la valeur symbolique de la nourriture.

    #alimentation #sociologie #éthologie #inégalités #pauvreté

    Elles supposent que la nourriture n’a pour nous qu’une valeur matérielle, que nous mangeons pour nous nourrir physiquement. Mais la nourriture est bien plus qu’un élément de survie : elle a une valeur émotionnelle, et même culturelle, très importante. Elle nous permet de signaler qui nous sommes, de montrer à nos proches que nous les aimons et prenons soin d’eux. Au cours de mes recherches, je me suis rendu compte que la nourriture prenait une valeur symbolique très différente pour les parents, selon qu’ils élèvent leurs enfants dans un contexte de pauvreté ou d’abondance. Pour les parents pauvres, dire non fait partie de la routine : pour de petites choses, comme une nouvelle paire de chaussures, ou pour des choses plus importantes, comme une inscription à l’université. Or dire non à ses enfants est difficile émotionnellement, et au milieu de cet océan de refus, la nourriture apparaît comme quelque chose auquel on peut dire oui facilement. Les enfants réclament tous des cochonneries, par imitation et parce qu’ils sont la cible première de la publicité pour ce genre d’aliments. Et les parents, même quand les temps sont difficiles, ont presque toujours un dollar qui peut être dépensé en bonbons, en paquets de chips ou en sodas. C’est valorisant pour eux parce qu’ils répondent aux demandes de leurs enfants. Et pour ces derniers, il s’agit d’une preuve tangible que leurs parents se soucient et s’occupent d’eux. La nourriture est une manière immédiate et peu coûteuse de créer une expérience positive dans un contexte difficile : elle permet d’atténuer les privations du quotidien. A l’autre extrême, pour les riches parents qui élèvent leurs enfants dans l’abondance, dire non au sujet de la nourriture est plus facile : ils peuvent dire oui à tellement d’autres choses… La nourriture devient même un moyen d’apprendre aux enfants certaines valeurs : la retenue, la patience, parfois même la récompense sous condition. Tous les parents que j’ai rencontrés partageaient un même souci d’œuvrer pour le bien-être de leurs enfants, d’être des parents nourriciers, aimants : c’est la manière d’y parvenir qui, selon leur statut économique, prenait des visages très différents.

    • De manière plus profonde, je pense que si nous voulons changer la valeur symbolique de la nourriture chez les parents défavorisés, il faut les sortir de la précarité et les amener à un stade où ils peuvent, de manière régulière, subvenir aux besoins de leurs familles. Il faut leur permettre davantage de stabilité et de dignité, de façon à ce qu’un paquet de chips ne soit pas un des seuls gestes à leur portée pour montrer à leurs enfants qu’ils s’occupent d’eux. J’ai pu constater par exemple que la précarité du logement favorisait les mauvaises habitudes alimentaires : quand vous ne savez pas si vous aurez un toit le mois prochain, vous mangez en recherchant une petite satisfaction immédiate, pas en pensant à votre santé sur le long terme. Paradoxalement, je crois que les mesures qui œuvrent le mieux pour l’égalité alimentaire sont celles qui n’ont rien à voir avec l’alimentation. Elles agissent par ricochet.

  • #Regarde_ailleurs

    #Arthur_Levivier a rencontré les exilés à Calais pendant et après le démantèlement de la « #jungle ». Durant plus d’un an, il a parlé avec des hommes et des femmes d’origine soudanaise, afghane, éthiopienne, érythréenne, mais aussi des habitants de Calais. Surtout, il a filmé ce que les médias mainstream ne montrent jamais : les violences policières, les injustices… et la force des réfugiés, leurs espoirs et leur capacité à rire de la situation, quoiqu’il arrive.

    https://vimeo.com/251551551?ref=fb-share

    #film #Calais #migrations #asile #réfugiés #violence_policière #injustice #police #documentaire

    pas encore regardé...
    cc @isskein

  • Regarde ailleurs
    https://vimeo.com/251551551

    Arthur Levivier a rencontré les exilés à Calais pendant et après le démantèlement de la « jungle ». Durant plus d’un an, il a parlé avec des hommes et des femmes d’origine soudanaise, afghane, éthiopienne, érythréenne, mais aussi des habitants de Calais. Surtout, il a filmé ce que les médias mainstream ne montrent jamais : les violences policières, les injustices… et la force des réfugiés, leurs espoirs et leur capacité à rire de la situation, quoiqu’il arrive.

    #démantèlement #exilés #Calais #documentaire #droits_humains_bafoués #on_n'arrête_pas_la_migration #jungle #France #police #violence_policière