Accouchement : la masturbation comme antidouleur ? | Dorothée Duchemin
▻http://www.slate.fr/story/186887/accouchement-masturbation-antidouleur-clitoris
Le clitoris aurait le pouvoir de réduire considérablement les maux de l’enfantement. Un sujet qui reste encore très difficile à aborder pour les patientes comme pour les spécialistes de l’accouchement. Source : Slate
]]>Le « label bientraitance » du CNGOF : de la poudre aux yeux pour ne pas changer les pratiques
►http://marieaccouchela.net/index.php/2019/10/18/le-label-bientraitance-du-cngof-de-la-poudre-aux-yeux-pour-ne-pas-c
Le CNGOF vient de sortir son « label bientraitance » pour les maternités, à grand renfort de communication dans la presse.
Les gynécos auraient-ils compris les femmes, et prennent-il le taureau par les cornes pour changer de fond en comble les pratiques afin de respecter les accouchements ? Y aurait-il enfin une volonté de respecter les recommandations basées sur l’état de la science ? Les médecins se mettraient-il à appliquer la loi sur les droits des patients ?
Au risque de vous surprendre, la réponse est non.
Aujourd’hui, lorsqu’on examine le contenu des critères permettant d’obtenir ce label, se dégage un sentiment situé entre la stupéfaction de voir le piètre résultat de deux ans de travaux et le rire face au contenu de ces critères. Je vais vous les présenter.
Cette idée de label de bientraitance implique que les maternités qui n’ont pas ce label sont par définition des lieux de maltraitance.
#violences_gynécologiques #violences_médicales
Sinon je remarque que le Syngof à changé de nom,
(1) Paye (pas) ton gynéco - Documentaire - Nina Faure - 2018 - YouTube
►https://www.youtube.com/watch?v=fsRZ59Urc2I
▻http://marieaccouchela.blog.lemonde.fr/2018/07/10/un-examen-gynecologique-filme-en-camera-cachee-linterview-de-la-realisatrice-nina-faure/#xtor=RSS-32280322
Après les blogs, les réseaux sociaux, la presse écrite et les émissions radio, un nouvel outil de dénonciation des maltraitances gynécologiques et obstétricales émerge : le documentaire vidéo.
Il y a quelques jours, le court documentaire Paye (pas) ton gynéco a été mis en ligne, et a déjà été vu plus de 50 000 fois. Voici l’interview de sa réalisatrice Nina Faure.
Comment vous est venue l’idée de ce documentaire ?
Comme beaucoup de femmes, j’ai vécu des actes et des remarques désagréables dans le cadre de consultations gynécologiques, sans forcément me rendre compte que ce n’était pas normal. Par exemple, les médecins me demandaient systématiquement quand j’allais avoir un enfant. Ou encore, comme seule réponse à un problème de mycoses à répétition, un gynécologue m’a conseillé de changer de partenaire parce que la taille de son pénis était trop grosse et de sortir avec un asiatique (sic).
Puis il y a eu #PayeTonUtérus sur les réseaux sociaux. Beaucoup de témoignages rejoignaient ce que j’avais vécu, et j’ai pris conscience que le problème était bien plus vaste et plus systémique qu’une simple malchance de tomber sur un praticien mal intentionné ou incompétent.
]]>