Les exemples donnés dans l’article de France Info sont des gens des quartiers et/ou racisés à nouveau violentés, pas des classes moyennes des centre-villes qui trouvent que la police leur parle mal.
Par ailleurs le tout dernier paragraphe est :
« Dans certains quartiers, les citoyens ne sont pas traités de la même façon par la police pendant le confinement », s’indigne Amal Bentounsi. Cette figure de la lutte contre les violences policières a une vision diamétralement opposée de la situation. Pour elle, « ce qui se passe en ce moment n’est que la partie visible de l’iceberg ». Le confinement actuel ne ferait que le mettre en lumière. Elle ne décolère pas : « C’est encore et toujours cette population qui subit la violence. On stigmatise toujours les mêmes. »