• The Full Story Behind Sega Channel, Sega’s Precursor To Game Pass | Time Extension
    https://www.timeextension.com/features/the-full-story-behind-sega-channel-segas-precursor-to-game-pass

    The idea of video games on demand is something we’re all quite familiar with today thanks to subscription services like Xbox Game Pass and PlayStation Plus, but what you might not know - and might even struggle to believe - is that Sega attempted its own version of this business model back in the 1990s.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #rétro #vintage #sega #sega_channel #time_warner #console_megadrive #console_genesis #xbox_game_pass #playstation_plus #rétrospective #tv #sega_of_america #nintendo #tom_kalinske #doug_glen #delta_box #atari_2600 #tom_kalinske #stan_thomas #hbo #andy_rifkin #gaas #konami #michael_shorrock #

  • De mauvais traitements dénoncés en Autriche
    https://www.lessentiel.lu/fr/story/de-mauvais-traitements-denonces-en-autriche-980752325376

    Le Défenseur des droits autrichien dénonce dans un rapport les mauvais traitements subis par les résidents d’une maison de retraite en Autriche appartenant au groupe privé français Orpea, déjà au cœur d’un scandale en France.


    Le groupe privé français Orpea a exprimé « son profond regret aux familles concernées ». AFP

    Le Défenseur des droits autrichien dénonce dans un rapport les mauvais traitements subis par les résidents d’une maison de retraite en Autriche appartenant au groupe privé français Orpea, déjà au cœur d’un scandale en France. « Les résidents souffraient de malnutrition et étaient déshydratés, le soin des plaies était si médiocre qu’une odeur nauséabonde s’en échappait », a décrit sur la radio publique autrichienne Ö1, Bernhard Achitz, le Défenseur des droits.

    Il a dénoncé un criant manque de personnel dans cet établissement Orpea, situé à Salzbourg. Le rapport, rédigé après une visite inopinée le 21 avril, relève le cas d’une femme restant au lit toute la journée et souffrant de fortes douleurs. « Lors d’un changement de pansement, une odeur de putréfaction s’échappait de la plaie. On ne lui administrait aucun médicament ». Jugeant sa vie menacée, les rapporteurs ont préconisé son transfert immédiat à l’hôpital où elle est morte peu de temps après.

    Dans la tourmente depuis janvier
    Le rapport dénonce également le manque de réaction des autorités de la province de Salzbourg. Ce n’est qu’après de multiples avertissements du Défenseur des droits qu’elles ont décidé de prendre des mesures, dénonce-t-il. Dans un communiqué publié jeudi soir, le groupe privé français Orpea a exprimé « son profond regret aux familles concernées » et a assuré « tout » mettre « en œuvre pour comprendre et prendre des mesures correctives ». Le groupe a diligenté un audit, confié à une équipe chargée de produire un rapport « dans les plus brefs délais ».

    Présent dans 23 pays, Orpea est plongé dans la tourmente depuis la publication en janvier d’un livre-enquête intitulé « Les Fossoyeurs », dénonçant ses pratiques en France. Soupçonné de maltraitance institutionnelle et d’infractions financières, il y fait l’objet d’une enquête judiciaire.

    #or_gris #orpea #Autriche #ehpad #vielles #vieux #korian #retraite #vieillesse #fin_de_vie #hospice #civilisation #capitalisme #maisons_de_retraite #maltraitance

  • Community adaptation strategies in Nairobi informal settlements: Lessons from Korogocho, Nairobi-Kenya
    https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/frsc.2022.932046

    Informal settlements are often the hotspots of vulnerability as evidenced by the recurrent environmental and climate-related shocks and stressors. Despite this exposure and susceptibility, their role in spearheading disaster risk preparedness and response is often overlooked. This exploratory research profiles four local community initiatives for climate mitigation and adaptation within Korogocho informal settlement in Kenya. Findings from 10 purposefully sampled key informants and 30 stratified sampled residents across nine villages within the informal settlement demonstrated the impact of locally led initiatives in creating awareness and developing the absorptive, adaptive and transformative capacity of communities for climate resilience. The research findings elaborate on the (...)

  • « Le vrai scandale, ce n’est pas le karting, mais l’état lamentable de nos prisons », Dominique Simonnot, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté.

    C’est l’immense événement de la rentrée ! Non, pas la guerre en Ukraine, ni les feux de forêt, l’eau qui manque partout, ou les pauvres qui dorment à la rue, non, le vrai « scandale » de ces derniers jours est ce jeu organisé à la prison de Fresnes, une des plus vétustes de France, surpeuplée à 144 %. Un jeu nommé « KohLantess », en référence au programme télévisé « Koh Lanta ». Trois équipes – surveillants, détenus, jeunes voisins libres de la ville – s’affrontent autour d’un quiz de culture générale, dans une course en portant des bassines d’eau, puis, d’un côté et de l’autre d’un baquet, pompeusement nommé « piscine », ils tirent sur une corde jusqu’à faire tomber l’adversaire à l’eau.

    Enfin et c’est là tout l’objet du « débat », deux des 1 918 prisonniers de Fresnes (Val-de-Marne) participent dans la cour réaménagée de l’établissement à une course de kart.

    Le « team surveillant » a gagné, chaudement félicité par le « team détenus ». Et le directeur de la prison a distribué – c’était le but de la journée – des chèques venus de dons et de sponsors à trois associations caritatives œuvrant pour les enfants.

    Voilà le drame qui a déclenché une avalanche de déclarations indignées, furieuses, dénonçant des prisons « Club Med », « colonies de vacances », mettant en regard « les enfants qui ne partent pas à la mer » avec « des criminels » qui s’amusent en braillant, « sur le dos de nos impôts ». Une telle hypocrisie, c’est rare ! D’abord parce que cette journée n’a rien coûté aux contribuables, tous les frais ayant été réglés par la société de production. Ensuite, ces réquisitoires viennent d’élus et de responsables politiques qui, connaissant l’état honteux de nos prisons et leur surpopulation encore jamais atteinte dans notre histoire, osent, pour des raisons politiciennes, faire croire à nos concitoyens que la vie carcérale se résume à cette journée. Le vrai scandale, ce n’est pas le karting, mais l’état lamentable de nos prisons.

    Auraient-ils oublié le formidable rapport parlementaire « Prisons, une humiliation pour la République » [https://www.senat.fr/rap/l99-449/l99-4491.pdf], qui, en 2000, avait secoué la France, démontrant la vie affreuse du peuple des cellules. Un grand peuple de 72 000 habitants aujourd’hui entassés dans 60 700 places. Une partie d’entre eux, qui se trouvent dans des maisons d’arrêt (où sont détenus des condamnés à de courtes peines et des prévenus, donc présumés innocents), enfermés en cellule vingt-deux heures sur vingt-quatre, à deux, à trois, parfois même à six ou huit, voient cavaler des punaises de lit qui les piquent, des cafards qui leur galopent sur le corps.

    Les chantres de l’indignation

    Dans leur mauvaise foi, ces coryphées de la bien-pensance ignorent-ils que beaucoup parmi ces prisonniers renoncent à leur unique promenade quotidienne, laissant y partir leurs codétenus, pour se précipiter aux toilettes afin d’y être enfin tranquilles ? Ignorent-ils que 1 860 détenus dorment sur un matelas par terre, contraints de boucher leur nez avec du papier-toilette pour éviter d’aspirer les vermines ? Ignorent-ils qu’il faut attendre des mois pour voir un médecin, un psychiatre ? Des mois encore pour obtenir un travail ou ne jamais l’obtenir ? Et des mois encore pour accéder – ou ne jamais y accéder – à un atelier d’écriture, de théâtre, ou à toute autre activité donnant à apprendre, à savoir, à connaître, à vivre ensemble ? C’est-à-dire à préparer leur sortie, leur retour à la vie en société, afin que, comme le dit la loi, ils sortent meilleurs qu’ils n’y étaient entrés. Ignorent-ils, ces chantres de l’indignation calculée, que des prisonniers en viennent, faute de dentiste, à percer eux-mêmes leur abcès dentaire ?

    Ignorent-ils que des grabataires, des détenus âgés, gravement handicapés, ont été découverts par l’équipe du contrôleur général des lieux de privation de liberté à l’abandon, faute d’aides-soignantes et d’infirmières, baignant dans leurs excréments, incapables de se relever quand ils tombent ? Ignorent-ils que le médecin de la prison appelait à l’aide depuis des années et a fini, écœuré, par démissionner ?

    Savent-ils que plus de cent détenus se suicident chaque année en prison ? Ont-ils vu les rats qui grouillent dans les cours de promenade ? Ignorent-ils que ces conditions lamentables rejaillissent sur la mission des surveillants, devenue épouvantable ? C’est donc cela que ces moralistes nomment « colonies de vacances » ou « Club Med » !

    Chut ! Ni vu ni connu

    Plus sérieusement, et au-delà de son but caritatif, cette journée de Fresnes avait un côté récréatif, certes, mais prévu par la loi selon laquelle « l’administration pénitentiaire doit offrir aux détenus des activités récréatives ». Pourquoi ? Parce que s’amuser quelques minutes, voire quelques heures, au milieu d’une détention si dégradée, participe de la réinsertion.

    Et puisqu’il faut bien répéter l’évidence, à l’exception de quelques-uns, les détenus sont destinés à sortir un jour. Toutes les études le montrent : une sortie préparée, puis accompagnée par les services pénitentiaires d’insertion et de probation, réduit considérablement la récidive. Et s’il est un coût qui doit nous ébranler, c’est celui de 110 euros par jour et par détenu, pour végéter dans les conditions décrites plus haut.

    Qu’avons-nous vu sur cette vidéo de vingt-cinq minutes aujourd’hui supprimée en raison du « scandale » ? Des détenus et des surveillants riant ensemble, heureux que, pour une fois, tout se passe dans une ambiance bon enfant, sans heurts, ni tension, ni violences qui sont, hélas, le lot des journées carcérales.

    En fait, ces images, pour bien faire, auraient dû ne jamais être diffusées. Quelle hypocrisie ! Ainsi ne sont ni filmés ni connus les matchs de boxe, de volley, de football entre surveillants et détenus, les concerts de rap, de rock, ni les sorties en VTT, à escalader, à parcourir la forêt. Mais chut ! Ni vu ni connu, ça n’existe pas… Hypocrisie encore.

    Enfin, comment expliquer que nos voisins allemands, entre autres, réussissent avec vingt millions d’habitants de plus que nous à compter 13 000 détenus de moins, selon Prison Insider ? Parce qu’eux croient en la réinsertion dans les murs, avec de nombreuses activités, festives ou pas, et surtout à la sanction hors les murs, grâce à un taux d’alternatives à l’enfermement largement supérieur au nôtre.
    Que retenir de ce faux scandale du karting à Fresnes ? Sinon qu’il sert à masquer le vrai scandale du ratage total de notre politique pénale et pénitentiaire, et de cette innommable surpopulation carcérale. Pour faire plaisir, il faut donc que les prisonniers souffrent dans leur chair, s’ennuient à crever, et subissent, pour finir, ce qu’il faut bien nommer une forme de châtiment corporel.

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/08/24/dominique-simonnot-le-vrai-scandale-ce-n-est-pas-le-karting-mais-l-etat-lame

    jets privés et jet-skis pour les uns, pas de karting les autres

    #prison

    • @desdetenus, 9:09 PM · 24 août 2022
      https://twitter.com/desdetenus/status/1562517390105378816

      Pas d’eau courante à la prison de Nanterre depuis 11h ce matin. Pas d’eau du robinet, pas de possibilité de tirer la chasse d’eau …

      Update : à 23h38, toujours pas d’eau. Les matons ont distribués quelques bouteilles d’eau aux cellules qui réclamaient de l’eau via les interphones…
      La Fronseee en 2022 🤡

      Update bis : L’eau vient d’être rétablie à 13h10 à la maison d’arrêt de Nanterre.
      Durée de la coupure : 26h15 🤡

    • Derrière Kohlantess, la violence de la prison – L’envolée - 23 Août 2022
      https://lenvolee.net/derriere-kohlantess-la-violence-de-la-prison

      Le tsunami d’extrême droite qui s’est déversé dans les médias et sur les réseaux sociaux au prétexte d’une malheureuse animation à la prison de Fresnes achève de prouver que maintenant qu’il est ministre des prisons, l’ex-avocat Superdupont-Moretti n’assure plus la défense de grand-chose – si ce n’est celle de positions fascistes. Au-delà de cette drague éhontée, il est important de rappeler que les animations telles que « Kohlantess » – et les polémiques qu’elles suscitent – masquent avant tout la violence pénitentiaire et la nature mortifère de la prison.

    • « Le vrai scandale des prisons françaises », par #Didier_Fassin - 27 août 2022
      https://www.nouvelobs.com/societe/20220827.OBS62444/le-vrai-scandale-des-prisons-francaises-par-didier-fassin.html

      Dans ce futur imaginé où le ministre de la Justice bénéficierait de toutes ces informations, il trouverait peut-être des arguments à opposer à celles et ceux qui, par démagogie autant que par ignorance, considèrent qu’on en fait trop pour les prisonniers, plutôt que de les rejoindre dans leur feinte colère contre le supposé laxisme du monde pénitentiaire.

    • Commission des lois en visite à Fresnes : l’envers du décor
      https://oip.org/communique/commission-des-lois-en-visite-a-fresnes-lenvers-du-decor

      Mercredi 17 octobre, la commission des lois se réunira à la maison d’arrêt de Fresnes. Au moment où les députés sont appelés à adopter le projet de loi de finances 2019, ce déplacement inédit contraste avec la réalité des chiffres : la rénovation de cette prison, emblématique de conditions de détention particulièrement indignes, n’est toujours pas à l’ordre du jour.

      Cette visite se veut emblématique. La commission des lois réaffirme ici l’attention qu’elle porte à la question des prisons. Une initiative qui aurait de quoi réjouir si Fresnes n’était pas par ailleurs emblématique de l’inertie des politiques pénitentiaires successives : vétuste, insalubre, surpeuplé, cet établissement est pointé du doigt depuis des années pour ses conditions de détention particulièrement dégradées, a fait l’objet d’une récente décision de justice ordonnant des travaux de rénovation, est sous la menace d’une condamnation de la Cour européenne des droits de l’homme… sans qu’à aucun moment le changement demandé et attendu n’ait lieu. En 2000, la ministre de la Justice Elisabeth Guigou annonçait sa complète réhabilitation. Elle avait même « décidé et obtenu les crédits correspondants », selon ses déclarations. Et puis rien. Près de vingt ans plus tard, cette rénovation n’est même pas prévue dans le budget 2019 sur lequel les députés de la commission des lois auront bientôt à se prononcer. Certes, 0,5 million d’euros sont crédités pour des « études préalables ». Un montant qui fait pâle figure à côté des 678 millions d’euros prévus pour la construction de nouvelles prisons. Cette année comme chaque année, le budget pénitentiaire est englouti par les projets immobiliers au détriment de l’entretien et de la rénovation des établissements existants, contraignant les personnes qui y sont détenues à endurer des conditions de vie souvent inhumaines. À la maison d’arrêt de Fresnes, ce sont 2 575 prisonniers qui s’entassent dans un espace prévu pour 1 404 personnes, en présence de cafards, de punaises et de rats. Une situation intenable alors que, des années après l’annonce d’une rénovation complète, nous en sommes encore au stade des études.

      Fresnes - état des lieux (2017) #OIP
      https://seenthis.net/messages/648952
      Une caractéristique des prisons françaises est le manque d’activités hors cellule et l’oisiveté qui en découle.
      https://oip.org/en-bref/quelles-activites-sont-proposees-aux-personnes-detenues

    • Laélia Véron
      https://twitter.com/Laelia_Ve/status/1564668342958526464

      Les polémiques passent vite dans les médias mais elles ont des conséquences qui durent, elles. Suite à #Kohlantess dans la prison où je bosse (et sans doute ailleurs) la plupart des activité est sur pause. Par ex le Goncourt des détenus ou le module sur les violences familiale

      Ça fout en l’air un travail élaboré par beaucoup pendant des mois et des mois. Et tout ça pour une campagne entretenue par des personnes qui n’en ont sans doute pas grand chose à faire mais avaient juste besoin d’une polémique de fin d’été.

      Si on me demande pourquoi c’est sur pause : parce que tout le monde stresse, et tout le monde veut être sûr·e d’avoir 500 validations hiérarchiques avant de mettre en place lesdites activités.

      Il n’y a pas une grande autorité qui nous a demandé d’annuler ces activités ou de les mettre sur pause. C’est plus pernicieux que ça:la polémique a fait peur à tout le monde, et maintenant tt est bcp plus lent et compliqué à organiser (alors que ce n’était déjà pas facile avant !)

      Merci à toutes les personnes qui vont continuer à se battre pour maintenir ces activités par ex
      @LaFabOperaVDL qui vient présenter l’opéra en détention.
      Si vous voulez en savoir plus sur la prison il faut suivre l’
      @OIP_sectionfr et la revue Dedans/dehors

  • Three asylum seekers walked the wilderness out of Russia

    This is the second time this summer illegal crossings happen in the terrain from Russia to Norway.

    “The persons were detained by the border guards and handed over to the police. All three have asked for asylum and we can’t give further details,” says Chief of Staff with the Police in Finnmark, Tarjei Sirma Tellefsen, to the Barents Observer.

    It was Sør-Varanger Avis that first reported about this week’s illegal border crossings.

    The three foreigners were detained at #Korpfjell. The exact circumstances are still to be determined, and the police is formally still investigating it as “a possible illegal crossing,” Tellefsen says.

    In late June, a person came walking in the same northern sector of the 198 km border. Also he applied for asylum in Norway.

    It is strictly illegal to cross the border in the terrain, and such incidents happen rarely. Only a few times over the last three decades. Norway’s border with Russia is likely the least troubled among all external Schengen-borders in Europe.

    “Threat assessment in regards to illegal border crossings is low, and the fact that we have seen two incidents this summer doesn’t change the overall picture,” Tarjei Sirma Tellefsen says.

    Norway has military border guards patrolling the land border with Russia, but it is the police that formally is in charge of law enforcement.

    On the Russian side, a barbed wired fence stretches the entire area of a highly secured and surveilled border zone.

    There are several military camps in the Pechenga region, with the nearest only a 10-12 km from the border to Norway.

    Both the 200th Motorized Rifle Brigade and the 61. Naval Infantry Brigade are located in Pechenga. Soldiers from these brigades are currently fighting Russia’s brutal war on Ukraine.

    https://www.rcinet.ca/eye-on-the-arctic/2022/08/18/three-asylum-seekers-walked-the-wilderness-out-of-russia
    #frontières #asile #migrations #réfugiés #route_arctique #Norvège #Russie

    Sur la “route arctique”, voir (2018):
    https://seenthis.net/messages/714902

    ping @reka

  • Kölner Zahlen zur Kostenstruktur eines Taxibetriebs
    https://www.taxi-times.com/koelner-zahlen-zur-kostenstruktur-eines-taxibetriebs

    11.6.2022 von Axel Rühle - Anlässlich der zu erwartenden Tariferhöhung hat die Stadt Köln interessante Zahlen zur Kostenstruktur eines Taxis verraten.

    Ähnlich wie in vielen anderen Städten und Landkreisen soll es auch in Köln demnächst eine deutliche Tarifanpassung geben. Der Grundpreis steigt zum 1. September von 4,00 auf 4,90 Euro. Der Kilometerpreis für die ersten sieben Kilometer steigt von 2,10 auf 2,60 Euro. Danach wird der Kilometer 2,20 statt wie bisher 1,90 Euro kosten. Der Minutenpreis für Wartezeit bleibt bei 50 Cent.

    Noch interessanter sind allerdings Zahlen, die die Stadtverwaltung gegenüber der Kölnischen Rundschau genannt hat.

    Für jedes Taxi müsse ein Unternehmer für Versicherung, TÜV, Zinsen und Eichamt jährlich rund 8.300 Euro bezahlen. Die Abschreibung des Fahrzeuges über fünf Jahre koste ihn nochmals rund 7.500 Euro. Für die Verwaltung (unter anderem Steuerberater und Büro) werden je Auto rund 9.300 fällig. Hinzu kommen die Kosten für Kraftstoff, Reparatur, Inspektion usw., zusammen rund 12.000 Euro.

    Dazu wird angemerkt, dass die Rechnung auf einem Dieselpreis von 1,85 Euro pro Liter beruht. Schon bei diesem Preis hätte sich für die variablen Kosten von 2021 auf 2022 eine Teuerungsrate von rund 40 Prozent ergeben. Bei den aktuellen Treibstoffpreisen dürfte der Anteil noch steigen. Im Schnitt fahre ein Taxi 55.000 Kilometer im Jahr, davon 27.500 besetzt. Im Durchschnitt werden mit einer Fahrt 25,02 Euro eingenommen.

    Der Taxitarif ist zuletzt im September 2021 geändert worden. Die jetzt bevorstehende Anpassung fällt angesichts der Spritpreise und der Mindestlohnentwicklung deutlicher aus als zunächst geplant.

    Anlass für die Anpassung seien nicht in erster Linie die Kraftstoffpreise, sondern der steigende Mindestlohn. Treibstoff habe einen Anteil der Gesamtkosten von „nur“ rund neun Prozent während die Personalkosten 53 Prozent ausmachen.

    Im Vergleich zu Dortmund, Frankfurt am Main, München, Stuttgart, Berlin, Düsseldorf, Hannover und Hamburg kostet eine Referenzfahrt von sieben Kilometern Länge mit vier Warteminuten laut Stadtverwaltung in Köln mit 25,10 Euro künftig einen Spitzenpreis. Für die gleiche Fahrt bezahle man in Hamburg 23,10 Euro. In Berlin und Düsseldorf koste die Strecke 22,20 Euro, in München 20,70 Euro.

    Die Anzahl der Taxi-Konzessionen in Köln hat sich von 2019 bis heute von 1.184 auf 1.166 verringert, ein Rückgang von marginalen 1,5 Prozent. Zum Vergleich: In Berlin hat die Zahl der Konzessionen im gleichen Zeitraum um fast 30 Prozent abgenommen. Damit gibt es in Köln ein Taxi auf knapp 1.000 Einwohner. Laut Stadtverwaltung gibt es in Köln 538 Einzelunternehmer, „die erfahrungsgemäß selbst fahren“. Konkurrenz entstehe der Taxi-Branche somit nicht durch neue Unternehmer in der eigenen Branche, sondern durch das Mietwagengewerbe. Eine Zahl angestellter Taxifahrer liegt der Verwaltung nicht vor.

    Die Anzahl von konzessionierten Mietwagen habe sich in der Zeit von 2019 bis heute um knapp sechs Prozent von 658 auf 697 erhöht. Wie viele der Kölner Taxis elektrisch angetrieben werden, kann die Stadt nicht beziffern. Bekannt ist ihr nur, dass es in der Branche fünf E-Fahrzeuge gibt, die kabellos aufgeladen werden können. Kürzlich sind für sie am Bahnhof besondere Standplätze in Betrieb genommen worden.

    .

    KOMMENTARE

    Melinda Bokus 2 Monaten her
    Habt Ihr’s immer noch nicht gemerkt ?
    Konkurrenz entsteht dem Taxigewerbe nicht so sehr durch Uber & Co, sondern vor allem durch die neuen On-Demand-Dienste, für die die örtlichen ÖPNV-Unternehmen die Berechtigung zum Betrieb besitzen !
    Das sind PKWs, die als Linienfahrzeug zugelassen sind und überall halten, obwohl sie das nur an ausgewiesenen Haltestellen dürften, von denen es auch noch viel zu viele gibt (virtuelle Haltestellen).
    Die nehmen pro km 35 ₵ent und versprechen 24/7 innerhalb von 10 min beim Kunden zu sein.

    kehrentaxi 2 Monaten her
    Die Betriebskostenrechnung finde ich abenteuerlich. Die Verwaltungskosten ebenfalls.

    Die Konkurrenz durch taxiähnlichen Verkehr ist enorm hoch und auch nun bei Fahrgästen, weit über 60 Jahre, angekommen. Die ÖPNV-Shuttle tun ihr übriges dabei. Es wird und bleibt schwierig.

    Die Tariferhöhung wird das Sterben beschleunigen. Aus Fahrgastsicht, gibt es dann keine Begründung mehr, ein Taxi zu bevorzugen.

    André Schäfer 2 Monaten her
    Wenn Taxi noch teurer wird können die Fshrer und Internehmer dich in die Sonne legen oder Mtorrad fahren.
    Weil Taxi fährt keiner mehr.

    Die Löhne insämtlichen Branchen etwas anzupassen macht keiner, aber alle wollen vom normalen Arbeiter noch mehr kassieren.

    Wann reagieren endlich mal die Gewekschaften???
    Hier gehören saftige Warnstreiks her…

    #Betriebskosten #Köln #Taxitarif #Taxi

  • Helping asylum seekers in Northern Cyprus

    Asylum seekers coming to Cypriot shores is a direct result of violent pushbacks against refugees at the EU’s borders

    On May 24, 2021, three Cameroonian asylum seekers left the north of Cyprus in an attempt to reach the south. They were denied protection, triggering widespread international condemnation, and were stranded in no man’s land for nearly seven months after the Cypriot authorities refused to recognise their asylum request.

    Their predicament stemmed partly from the island’s de facto division since 1974. Crossing the United Nations-controlled Green Line separating the internationally recognised Republic of Cyprus (RoC) and the Turkish-controlled Northern Cyprus (recognised only by Turkey) is considered illegal if not authorised, even for those seeking asylum.

    The RoC authorities argued that granting the three Cameroonians asylum would encourage others to cross the Green Line, and have accused Turkey of encouraging an influx of refugees from Syria and Sub-Saharan Africa. But the reality is more complex.

    The university island

    Since 2018, Cyprus has become a major destination for refugees. As routes into the European Union via Greece close and refugees’ living conditions in countries like Turkey and Lebanon worsen, traffickers are instead offering Syrian refugees a risky crossing to Cyprus. Many arriving on the island live in dire conditions in overcrowded reception centres, while government ministers stoke anti-refugee sentiment. Some land in Northern Cyprus and mistake it for the RoC.

    The increase in the number of asylum seekers in Northern Cyprus reflects both new arrivals by boat and the ‘university island’ model. A recent study by the student group VOIS Cyprus shows a correlation between the growing number of university students in the north and the increase in asylum seekers, with 4.5 per cent of the 763 respondents (mostly third-country nationals) citing war or conflict in their home country as their reason for studying there. There are currently 21 universities in Northern Cyprus, with students from some 100 countries. For the 2021-22 academic year, there were 14,000 Turkish Cypriot students, 43,000 from Turkey, and 51,000 from third countries.

    Unfortunately for most of the refugees from the Middle East and Sub-Saharan Africa, the government in Northern Cyprus has not assumed responsibility for providing asylum to persons in need of protection. This is despite the fact that international human-rights instruments such as the UN’s 1951 Refugee Convention, the International Covenant on Civil and Political Rights, and the Convention Against Torture are part of the north’s domestic legal framework.

    In fact, there is no specific domestic legislation regarding refugee protection, and no differentiation between persons in need of protection and other migrant groups. Refugees arriving in Northern Cyprus by boat are often detained and deported. It is a similar story for students who are unable to regularise their stay due to financial difficulties and then, fearing persecution and/or war in their home countries, seek asylum.
    Who’s responsible?

    Responsibility for offering protection should lie with the UN Refugee Agency (UNHCR). But the UNHCR’s mandate in Northern Cyprus has diminished since 2014, because the lack of established rules with the local authorities have left the agency unable to offer refugees meaningful protection. The UNHCR’s mandate previously allowed for determination of refugee status in the north to be part of the procedure for deciding whether a person needed protection. Its current mandate, however, enables it to provide asylum seekers only with protection letters recognising them as ‘persons of concern’ (PoCs). In theory, this document prevents PoCs from being deported, and gives them access to the labour market, health care, and (in the case of children) education. But the absence of a comprehensive mechanism to offer even basic protection to refugees in Northern Cyprus is a concern.

    In fact, there is no official agreement between the Refugee Rights Association (RRA, which acts as the implementing partner on the UNHCR’s behalf) and the Turkish Cypriot authorities, and hence no legal basis for the UNHCR protection letters. It is simply an informal arrangement that the authorities can rescind at any time, which explains why they have made no concerted efforts to offer PoCs meaningful protection.

    Some therefore regard crossing the Green Line to the RoC as their only option, despite the RoC’s poor track record with refugees. Being recognised internationally as refugees would at least be preferable to the limbo they experience in the north.
    The EU’s and UNHCR’s failure

    It is difficult to know who exactly is to blame for asylum seekers’ plight in Northern Cyprus. But desperate people will continue making their way to Northern Cyprus, regardless of whether they are aware of its unrecognised status. International actors, particularly the UNHCR and the EU, must therefore take concrete steps to offer them meaningful protection.

    Far too often, the UNHCR has claimed that it is unable to establish relations with Northern Cyprus because it is a territory under occupation. But for many asylum seekers languishing in undignified conditions, the question of effective control does not matter. To offer them meaningful protection, the UNHCR must seek innovative ways of communicating with the authorities in the north. Giving the RRA more money and manpower to do this would be a good start.

    The EU, meanwhile, should push the RoC government to re-establish and recognise claims of protection for those who cross the Green Line and to collaborate with the authorities in the north. In addition, it should investigate the RoC’s increased and reportedly inhumane border policing, increase its support to the RRA, and encourage the Turkish authorities to pressure their Turkish Cypriot counterparts to uphold their human-rights commitments.

    More importantly, other EU member states must acknowledge their role in this debacle. The fact that asylum seekers are now opting for Cypriot shores is a direct result of violent pushbacks against refugees at these countries’ borders. The EU can – and should – provide asylum seekers safer humanitarian corridors, visas, and resettlement packages. Desperate people must not suffer more than they already have for the prospect of a better future.

    https://www.ips-journal.eu/topics/democracy-and-society/helping-asylum-seekers-in-northern-cyprus-6122
    #Chypre #asile #migrations #réfugiés #Chypre_du_Nord #frontières #responsabilité #ligne_verte #Turquie #université #étudiants #étudiants_universitaires #Kokkinotrimithia

  • Atari Jaguar - The Death Rattle Of A Pioneer | Time Extension
    https://www.timeextension.com/features/ultimate-guide-atari-jaguar-the-death-rattle-of-a-pioneer

    Atari may have been instrumental in the genesis of arcade and home video gaming, but by the time the 1990s rolled around, its glory days were arguably long behind it. The video crash of 1983 had effectively killed the ’old’ Atari, with parent company Warner Communications offloading the consumer electronics and home computer divisions to former Commodore boss Jack Tramiel in 1984 – an event which led to the birth of the new ‘Atari Corporation’.

    Histoire de la Jaguar, et donc forcément d’Atari, avec des témoignages exclusifs liés au développement de la console et des jeux développés sur cette plateforme.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #atari #atari_corporation #business #rétrospective #histoire #préservation #jack_tramiel #warner_communications #commodore #console_atari_2600 #console_5200 #console_7800 #atari_st #atari_falcon #atari_panther #atari_jaguar #console_jaguar #commodore_amiga #atari_lynx #console_lynx #sinclair_research #martin_brennan #john_mathieson #epyx #r_j_mical #dave_needle #flare_technology #flare_one #flare_ii #gremlin_graphics #microprose #ocean #titus #us_gold #maxis #time_warner #sega #nintendo #ibm #3do_interactive #ea #electronic_arts #john_skrutch #rebellion_developments #jason_kingsley #jeu_vidéo_gridrunner #jeu_vidéo_attack_of_the_mutant_camels #attention_to_detail #fred_gill #jeu_vidéo_cybermorph #console_megadrive #console_snes #console_philips_cd-i #console_cd-i #console_saturn #console_sega_saturn #jeu_vidéo_alien_vs_predator #jeu_vidéo_tempest_2000 #jeff_minter #jeu_vidéo_doom #john_carmack #id_software #magazine_edge #console_playstation #ted_hoff #august_liguori #console_retro_vgs #darryl_still #jeu_vidéo_zero_5 #llamasoft #john_skrutch #tempest_x3 #john_skrutch #imagitec #jeu_vidéo_missile_command #jeu_vidéo_asteroids #jeu_vidéo_centipede #jeu_vidéo_breakout #jeu_vidéo_star_raiders #jason_kingsley #jeu_vidéo_chequered_flag #jeu_vidéo_virtua_racing #atd #fred_gill #jeu_vidéo_titanfall #jeu_vidéo_apex_legends #jeu_vidéo_virus #david_braben #jeu_vidéo_super_sprint #konix_multisystem #john_skruch #sam_tramiel #leonard_tramiel #jeu_vidéo_battlemorph #jeu_vidéo_space_invaders #jeu_vidéo_combat #jeu_vidéo_et #jeu_vidéo_pac-man

  • »Frankreich liebt uns doch«
    https://www.jungewelt.de/artikel/430291.korruption-frankreich-liebt-uns-doch.html

    Ein neoliberaler Staatspräsident agiert als Wasserträger eines US-Konzerns. Wen wundert’s? Was seit Jahrzehnten offensichtlich stattfindet ist eine völlige Abkehr vom Unabhängigkeitskurs des Charles de Gaulle. Ein Président de la République française ist heute auch nicht mehr besser als das Gespenst des Washington-hörigen Bundeskanzlers Adenauer und sei es seine weibliche Inkarnation.

    12.07.2022 von Hansgeorg Hermann - Ein Minister als Lobbyist: Macrons geheime Geschäfte mit dem Fahrdienstvermittler Uber

    »Meeting mega top mit Emmanuel Macron heute morgen; Frankreich liebt uns doch!« – Die Uber-Bosse sind zufrieden

    Die Nachricht sorgt für viel Wirbel: Der französische Staatschef Emmanuel Macron hat sich in den Jahren 2014 bis 2016 als Wirtschaftsminister des damaligen Präsidenten François Hollande offenbar regelmäßig als Lobbyist für internationale Großkonzerne einspannen lassen. Das Internationale Konsortium für investigativen Journalismus (ICIJ), dem unter anderen die britische Tageszeitung The Guardian und die französische Le Monde angehören, veröffentlichte am Wochenende Auszüge aus rund 124.000 Dokumenten, die beweisen, wie Macron dem kalifornischen Fahrdienstvermittler Uber im Winter 2014/2015 dabei half, sein Geschäftsmodell in Frankreich zu installieren – offenbar gegen den ausdrücklichen Willen Hollandes und von dessen Premierminister Manuel Valls.

    Bereits im vergangenen März hatten die Journalisten Gérard Davet und Fabrice Lhomme, beide Chefreporter bei Le Monde, in ihrem Buch »Le Traître et le Néant« (Der Verräter und das Nichts) Macrons zwielichtige Rolle beim Verkauf eines Teils des Staatsunternehmens Alstom an den US-Multi General Electric im November 2014 angeprangert. Auch bei der Veräußerung anderer »strategisch wichtiger« Konzerne an ausländische Käufer habe sich der damalige Minister Macron gegen die Interessen des Landes als geheimer Vermittler profiliert. Die Autoren, die sich in ihrer 600 Seiten langen Analyse des politischen Aufstiegs Macrons der Aussagen von mehr als hundert Zeugen bedienten, lassen dort immer wieder anklingen, wie der heutige Staatschef sich auf diese Weise wohl die Unterstützung mächtiger Industriekapitäne für seine Kandidatur zur Präsidentschaftswahl im Mai 2017 sicherte.

    Die höchst aufschlussreiche Kommunikation zwischen Hollandes Wirtschaftsminister Macron und den Anführern des Transportpiraten Uber zeigt nun, wie aus der gegenseitigen Sympathie am Ende ein »geheimer Deal« zugunsten des kalifornischen Unternehmens entstand. Ein Handel, wie Le Monde einen »Repräsentanten« Ubers zitiert, »der gewissermaßen garantiert, dass Frankreich für Uber arbeitet und dass Uber in und für Frankreich arbeiten kann«. Eine Formel, die Macron in »vielen geheimen Treffen, keines war in seinem Terminkalender verzeichnet«, mit Ubers Europachefs und dem Gründer des Unternehmens, Travis Kalanick, gefunden habe.

    Die Chefs der ausgebeuteten Fahrer, denen Hollande, Valls und Macrons Vorgänger Arnaud Montebourg mit äußerstem Misstrauen begegnet waren, konnten ihr Glück offensichtlich kaum fassen: »In einem Wort – spektakulär«, jubelte Ubers Gesandter Mark MacGann nach dem Termin beim Minister, »Meeting mega top mit Emmanuel Macron heute morgen; Frankreich liebt uns doch!« Die Ergebnisse der Geheimgespräche konnten sich in der Tat sehen lassen. Dem jungen Wirtschaftsminister gelang es, die im kurz zuvor verabschiedeten »Gesetz Thévenoud« (Name des parlamentarischen Berichterstatters) beschlossene harte Regelung des Taxibetriebs per Dekret weitgehend zu verwässern. So blieben etwa von den verlangten 250 Stunden Ausbildung für einen Fahrer am Ende nur sieben Stunden übrig – ein Affront gegen die professionellen Taxichauffeure, die draußen vor Macrons Ministerium protestierten.

    Dass man in Kalifornien zufrieden war mit Macrons »Intervention« gegen die eigene Regierung mochte MacGann seinem wichtigen Verbündeten freilich nicht vorenthalten: »Travis ist sehr dankbar für die Fortschritte(…) Sie müssen wissen, dass Travis Ihr Vertrauensverhältnis sehr ernst nimmt.« Nicht nur die »Verhöhnung der Regierung« (Le Monde) dürfte Travis und seinem Cheflobbyisten in Paris gefallen haben: Im Oktober 2015 wagte es der Präfekt der Region Bouche-du-Rhône, Laurent Nunez, den Uber-Limousinen nicht nur den Bahnhof und den Flugplatz von Marseille, sondern gleich das gesamte Zentrum der Hafenstadt zu verbieten. Ein Anruf der Kalifornier bei Macron – und drei Tage später hob Nunez seine Anordnung wieder auf. Geschadet hat ihm sein verspätetes Verständnis für den Fall Uber nicht. Macron, inzwischen Präsident, holte ihn im Juli 2020 als Chefkoordinator der Geheimdienste nach Paris.

    Juristisch angreifbar ist Macron derzeit nicht. Als Staatspräsident genießt er volle straf- und zivilrechtliche Immunität.

    #Frankreich #Taxi #Uber #Korruption

  • Urteil des Landgerichts Frankfurt/Main: Das Geschäftsmodell von Uber ist rechtswidrig - Politik - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/politik/urteil-des-landgerichts-frankfurt-main-das-geschaeftsmodell-von-uber-ist-rechtswidrig/25354296.html
    EIn mittlerweile zweieinhalb Jahre altes Urteil wird nicht durchgesetzt.

    Interessant daran ist der Umstand, dass dies keine Ausnahme sondern die Regel im deutschen Rechtsbetrieb darstellt, wenn es um Klein gegen Gross geht. Da kann Klein noch so Recht haben und bekommen, es nützt nichts, wenn Gross am längeren Hebel sitzt. Die deutsche Justiz ist immer dann am wirkungsvollsten, wenn sie über leicht zu verständliche Konflikte zwischen Gleichen kümmert: Nachbar gegen Nachbar, Bäcker gegen Bäcker. Bus- gegen Autofahrer.

    Kenen Sie Heinrich von Kleists Richter Adam aus dem Theaterstück Der zerbrochne Krug? Das Königlich Bayerische Amtsgericht im Zweiten Deutschen Fernsehen? So etwas kann die deutsche Justiz gut und die Streitenden halten sich in der Regel an ihre Urteile, weil sie anderenfalls mit ausreichend harten Sanktionen belegt werden.

    Multinationnale Konzerne rufen eher private Schiedsgerichte an. Bevor es dazu kommt, verhandeln die Justiziare aller Seiten, denn Krähen hacken sich bekanntlich nicht gegenseitig die Augen aus. Die Bundesrepublik Deutschland hat große Teile dieser privaten Gerichtsbarkeit anerkannt, und sich damit zum Spielball privatwirtschaftlicher Interessen gemacht. Die Leiter von Strukuren wie Uber gehen deshalb davon aus, dass sie und ihre Vertreter vor Ort nur dieser überstaatlichen Privatjustiz unterstehen, und rechtsstaatliche Entscheidungen, sei es von Amts- Land- oder Verfassungsgerichten oder sogar durch den EUGH, für sie keine Bedeutung haben.

    Beispiele für diese Haltung gibt es genug, und wir begeben uns hier in Gefahr, vom Thema Uber vs. Taxi abzukommen.

    – Mit dreckigen Dieselkisten geprellte Autokäufer vs. VW/BMW/Mercedes und andere : die Industrie zahlt und produziert ihre Raum- und Umweltfressenden Kisten einfach weiter.
    – Von Contergan-. Geschädigte vs. Pharma: die Firma zahlt, aber Big und Small Pharma injizieren der Menscheit einfach weitere krankmachende Gifte.
    – Haftung von Anstiftern von Lohnraub in der Baubranche durch Subunternehmer: das funktioniert so gut wie nie.
    – Noch wirkunsgloser sind die Haftungsregeln im internationalen Textilbusiness: kein Gericht der Welt setzt hier Schadensersatz oder gute Arbeitsbedingungen gegenüber den Konzernen durch.

    In keiner Subbranche der individuellen Personenbeförderung in deutschsprachigen Raum wird Mindestlohn gezahlt, wobei interessante Ausnahemn die Regel bestätigen. Die Ausnahmen sind deshalb interessant, weil sie beweisen, dass existenzsichernde Löhne auch in diesen Branchen möglich sind. Wenn unter Milo-Niveau gezahlt wird, handelt es sich auf Seiten der Unternehmer ausnahmslos um Fälle von Gier gepaart mit Abwesenheit von Rechtsbewußtsein.

    Liebe Leserin, Sie haben die Pointe verstanden: Es gibt keinen Unterschied zwischen „bösen“ Großkonzernen und „guten“ Kleinunternehmern. Ob ein selbst fahrender Taxiunternehmer mehr oder weniger als den Milo verdient spielt keine Rolle. Wenn er seine Angestellten nicht richtig entlohnt und beschäftigt, also entsprechen dem Milo-Gesetz, dem Artbeitszeit- und Arbeitsschutzgesetz, sondern wie üblich Angestellte zum Akzeptieren von Sub-Milo-Einkommen zwingt, dann verkürzt er Steuern, die Abgaben an Berufsgenossenschaft und Sozialversicherung, und macht sich strafbar.

    Kräht ein Hahn danach? Nein. Die Zuständigen (Hähne) heiraten auf Sylt und lassen durch ihre Untergebenen erklären, dass bei der Durchsetzung des Schutz der Arbeitnehmer vor Ausbeutung alles zum Besten stehe.

    Zurück zu Uber vs. Taxi.

    Seit Uber vom Landgericht München und damit quasi für ganz Deutschland das Vermittlungsgeschäft untersagt wurde, passiert genau das, was wir immer wieder beobachten können, wenn die Ziviljustiz betrügerische Unternehmer zu Zahlungen an kleine Handwerker, Arbeitnehmer und Verbraucher verurteilt: Es geschieht zuunächst nicht. Sollte das verurteilte Großunternehmen in die Berufung gehen können, wird es das tun, um möglichst viel Zeit zu gewinnen. Die Berufungsgerichte sind gut ausgelastet und es vergeht viel Zeit, manchmal ein Jahr und länger, bis ein Termin in der Sache zustande kommt. Im Berufungsverfahren kann wieder auf Zeit gespielt werden, so dass zwischen ursprünglicher Klage und endgültigem Urteil Jahre liegen können.

    In dieser Zeit werden von den Beklagten immer wieder Änderungen am Klagegenstand, am liebsten „der App“ gemacht, so dass bei jedem Verfahrensschritt vorgebracht werden kann, dass die Klage hinfällig sei, weil der beklagte Umstand bzw. das beklagte Verhalten abgestellt wäre bzw. nicht mehr vorliege. Damit soll ein neues Verdahren erzwungen werden, das sich erneut über Jahre hinzieht. Zum Glück enthält das neue PBefG mit § 6 (Umgehungsverbot) einen Passus, der es erlaubt, aus dieser Endlosschleife auzubrechen. Es wird intelligentes und mutiges Handeln von Politik und Justizverwaltung brauchen, um das Urteil von 2019 durchzusetzen.

    Im Fall der Geschäftstätigkeit von Uber ist die Sache im Grunde klar. Es gibt eine Uber Germany GmbH, 10179 Köpenicker Straße 126, eigetragen beim AG Charlottenburg unter „HRB 146780 B“, die vermutlich für alle Gesetzesverstöße ihrer Erfüllungsgehilfen, vulgo „Uber Fahrer“ und „Mietwagenunternehmen“ verantwortlich ist. Als „Beförderer“ unterliegt sie den Regeln und Sanktionen des PBefG. Da diese Firma und alle ihre Konzern- und Partnerunternehmen seit Jahren immer wieder gegen alle erdenklichen deutschen Gesetze und europäischen Richtlinien und Urteile verstoßen, sollte ihre Zuverlässigkeit grundsätzlich in Frage gestellt und der Konzern genauso verboten werden wie ein Rockerklub aus der traditionellen Halbwelt. Soweit die Idee die von kompetenten Juristinnen mit Sicherheit in Verwaltungshandeln übersetzt werden kann.

    Wie wäre es mit einem europäischen Haftbefehl gegen sämtliche Uber Vorstände und Manager der Welt? Die Mißachtung der staatlichen Gerichtsbarkeit und damit auch der deutschen Rechtsstaatlichkeit vertreten sie allesamt.

    Der vorstehende Text ist keine kabarettistische FIngerübung und kein amateurjuristisches Sich-Luft-Machen. Es geht um die zehntausenden Uber- und Taxifahrer und Fahrinnen, denen der Mindestlohn und damit ein menschenwürdiges Leben durch die Praktiken des Uber-Konzerns vorenthalten wird.

    Wenn es nicht gelingt, das Grundsatzurteil des hohen Gerichts eines Bundeslandes durchzusetzen, wie soll es dann gelingen, die Voraussetzungen für die wirkliche Zahlung des Mindestlohns für jede geleistete Arbeitsstunde in Mietwagen und Taxis zu schaffen?

    Wir brauchen offensichtlich tiefgreifende Reformen der Aufsichtsbehörden, neue politischen Herangehensweisen und ein Bewußtsein für Gute Arbeit, um das Verharren im Elend vor allem in Berlin zu beenden.

    19.12.2009 von JANA KUGOTH - Ein Gerichtsurteil untersagt dem Fahrdienst Uber die Vermittlung von Beförderungsaufträgen. Der App-Dienst will weitermachen, obwohl das Verbot ab sofort gilt.

    Schlappe für Uber: Das Landgericht Frankfurt am Main hat dem App-Dienst untersagt, in Deutschland Beförderungsaufträge an Mietwagenunternehmer nach dem bisherigen Verfahren zu vermitteln. Das Gericht gab in dem am Donnerstag verkündeten Urteil damit der Unterlassungsklage von Taxi Deutschland, einem Zusammenschluss verschiedener deutscher Taxizentralen, statt.

    Die mit dem heutigen Urteil (Az.: 3-08 O 44/19) ausgesprochene Untersagung der Fahrvermittlung durch Uber gilt ab sofort, teilte das Landgericht mit. Uber habe wegen einer vorangegangenen Abmahnung und anderer gerichtlicher Verfahren mit einer Untersagung rechnen müssen, sagte eine Justizsprecherin.

    Das heißt jedoch nicht, dass Uber-Kunden den Dienst nun nicht mehr nutzen können: „Wir werden die Urteilsbegründung genau prüfen und dann die notwendigen Schritte einleiten, um unseren Service in Deutschland weiterhin zuverlässig anbieten zu können“, sagte ein Uber-Sprecher.

    Aus Sicht von Uber wurden lediglich einzelne Aspekte des Vermittlungsmodells beanstandet. Die Firma betont, dass man in Deutschland nur mit professionellen und lizenzierten Mietwagen- und Taxiunternehmen zusammenarbeite.

    Laut Urteil ist Uber als „Unternehmer im Sinne des Personenbeförderungsgesetzes“ anzusehen, der zur Geschäftstätigkeit über eine entsprechende Konzession verfügen müsse. „Diese Konzession hat Uber unzweifelhaft nicht“, sagte die Vorsitzende Richterin Annette Theimer in der Urteilsbegründung.

    Sichtweise der Fahrgäste entscheidend

    Zur Feststellung der Unternehmereigenschaft sei dabei die „Sichtweise der Fahrgäste“ entscheidend. Uber nehme die Aufträge entgegen, entscheide über die Auswahl der entsprechenden Fahrer und bestimme den Fahrpreis. Dass sich Uber selbst nur als Vermittler von Dienstleistungen an selbstständige Mietwagen-Unternehmer sehe, entnehme man lediglich dem Kleingedruckten, was den normalen Fahrgast aber in der Regel nicht interessiere.

    „Wir begrüßen das Urteil, denn das Landgericht Frankfurt hat klargestellt, dass das System Uber in Deutschland rechtswidrig ist“, erklärte der Geschäftsführer des Bundesverbandes Taxi und Mietwagen, Michael Oppermann. „Wir fordern Uber auf, seine illegale Tätigkeit unverzüglich einzustellen.“ Betreibt Uber sein derzeitiges Geschäftsmodell weiter, drohten pro Verstoß Ordnungsgelder im sechsstelligen Bereich.

    Die Daimler- und Mietwagen-Tochter Free Now operiert ähnlich wie Uber. In Berlin und fünf weiteren deutschen Städten vermittelt das im Zuge der Fusion der Mobilitätsdienste von Daimler und BMW umbenannte Unternehmen (früher: Mytaxi) Mietwagen über seine Plattform. Das Uber-Urteil hat jedoch keine Konsequenzen für diesen Dienst – dafür müsste erst jemand separat gegen Free Now klagen.

    Verhindert Ubers neues Geschäftsmodell ein Verbot der App?
    https://www.taxi-times.com/verhindert-ubers-neues-geschaeftsmodell-ein-verbot-der-app

    1.10.2020 - Antwort des Bundesfinanzministrium auf eine Anfrage der Linken zu Kontrollen durch die Finanzkontrolle Schwarzarbeit
    https://www.bundestag.de/webarchiv/presse/hib/2020_10/795922-795922

    ZDF - Königlich Bayerisches Amtsgericht
    https://de.wikipedia.org/wiki/K%C3%B6niglich_Bayerisches_Amtsgericht

    Heinrich von Kleist - Der zerbrochne Krug
    https://de.wikipedia.org/wiki/Der_zerbrochne_Krug

    Gerichtssendung
    https://de.wikipedia.org/wiki/Gerichtssendung#Vorl%C3%A4ufer

    Contergan-Skandal
    https://de.wikipedia.org/wiki/Contergan-Skandal

    Insektenkiller - Wie Chemieriesen unser Ökosystem zerstören (verfügbar bis zum 3.8.2022)
    https://www.arte.tv/de/videos/098073-000-A/insektenkiller

    Es hagelt Spott und Kritik an Lindner-Hochzeit auf Sylt: Merz im Privatjet angereist
    https://de.euronews.com/2022/07/09/es-hagelt-spott-und-kritik-an-lindner-hochzeit-auf-sylt-merz-im-privatj

    #Uber #Deutschland #Recht #Justiz #Urteil #Verbot #Konzerne #Disruption #USA

  • Assassinat de Shinzo Abe : le studio de jeux vidéo Kojima Productions condamne les « fausses informations » accusant son président
    https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/assassinat-de-shinzo-abe-le-studio-de-jeux-video-kojima-productions-con

    Après l’assassinat de l’ancien Premier ministre japonais Shinzo Abe, plusieurs fausses informations ont circulé. L’une d’elles identifiait l’auteur des tirs comme Hideo Kojima, célèbre créateur de jeux vidéo comme Metal Gear Solid ou encore Death Stranding. Elle a notamment été reprise par Damien Rieu, ex-candidat du parti d’extrême droite Reconquête ! aux élections législatives, vendredi 8 juillet.

    Dans un tweet désormais supprimé, Damien Rieu a répondu à la députée LFI Clémentine Autain, qui réagissait à la mort de Shinzo Abe. "L’extrême gauche tue", avait écrit Damien Rieu, avec des photos de Hideo Kojima posant avec des photos du Che Guevara. L’élue insoumise a alors estimé qu’il était « en roue libre » et en « plein délire raciste ».

    Hideo Kojima Misidentified As Shinzo Abe Assassin By News Media
    https://kotaku.com/shinzo-abe-assassin-killer-kojima-greek-news-confusion-1849157839

    Earlier today, former Japanese Prime Minister Shinzo Abe was shockingly assassinated. Then the internet did its usual shitty thing of making bad jokes out of current events, and that eventually led to a news station in Greece misidentifying famous game developer Hideo Kojima as the assassin.

    Shortly after today’s assassination, some shitty people in a dank corner of the internet joked that Abe’s suspected killer looked like Kojima. Eventually, this reached Twitter, where far-right French politician Damien Rieu—perhaps not understanding that it was a joke—retweeted images of Kojima with a comment that translates to “The extreme left kills,” helping spread it more. While Rieu did eventually delete the tweets, it seems the damage was already done and might have helped mislead at least one news station in Greece that covered the assassination.

    KOJIMA PRODUCTIONS (Eng) sur Twitter :
    https://twitter.com/KojiPro2015_EN/status/1545751079685484544

    #KojimaProductions strongly condemns the spread of fake news and rumors that convey false information. We do not tolerate such libel and will consider taking legal action in some cases.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #faitsdivers #assassinat #shinzo_abe #japon #tetsuya_yamagami #désinformaton #mésinformation #fausses_informations #fake_news #mauvaise_blague #mdr #blague #confusion #kojima_productions #hideo_kojima #damien_rieu #jeu_vidéo_metal_gear_solid #jeu_vidéo_death_stranding #france #grèce #extrême_gauche #extrême_droite #politique #télévision #justice

  • Russia hikes oil exports from major Eastern port to help offset EU ban | Reuters
    augmentation des exports de pétrole au départ du terminal de Koz’mino, dans la baie de Nakhodka, 50 km à l’Est de Vladivostok

    https://www.reuters.com/markets/commodities/exclusive-russia-hikes-oil-exports-major-eastern-port-help-offset-eu-ban-20
    https://www.reuters.com/resizer/FDODKHCXh2PqFsQt8nsJL2bOeBg=/1200x628/smart/filters:quality(80)/cloudfront-us-east-2.images.arcpublishing.com/reuters/DW2N5475PVJ47LBIH3IR477XSU.jpg
    A general view of an oil terminal of the Transneft – Kozmino Port near the far eastern town of Nakhodka, Russia November 15, 2017.
    REUTERS/Yuri Maltsev

    Russia is ramping up oil exports from its major eastern port of #Kozmino by about a fifth, aiming to meet surging demand from Asian buyers and offset the impact of European Union sanctions, three sources familiar with the matter told Reuters.

    Moscow has said it hopes to reroute energy exports from the West to Asia, but doing so via long tanker voyages from European sea ports is expensive and complicated by Western sanctions over the conflict in Ukraine, such as on shipping.

    Russia’s pipeline monopoly Transneft has already increased the amount of crude pumped to Kozmino on its main Asian oil route, the East Siberia Pacific Ocean (ESPO) pipeline, by 70,000 barrels per day (bpd) by using chemical additives to speed up oil flows, the sources said, speaking on condition of anonymity.

    Transneft did not immediately reply to requests for comment.

    Moscow also plans to send an extra 80,000 bpd of so-called ESPO Blend crude to Kozmino via rail from Meget, a route previously used to supply Kozmino and domestic refineries when the ESPO pipeline was being built, the sources said.

    The additional supplies will allow Kozmino to increase overall loadings to some 900,000 bpd in the months ahead, from an average of around 750,000 bpd so far this year, they added. In 2021, Kozmino loaded about 720,000 bpd (35.1 million tonnes).

  • BERLIN SOUTH
    https://www.hitlerpages.com/page98.html


    #Sieghtseeing, #Sehenswürdigkeiten, Wilmersdorfer Tennishallen, Brandenburgische Strasse Ecke Konstanzer Strasse, built in 1930. On January 27, and February 10, 1932 Hitler spoke at the tennishall .

    Berlin South

    Berlin South here is the area south of the #Bismarckstraße, the #Straße_des_17_Juni and south of it and south of the Karl-Marx-Allee/Frankfurter Allee.

    1.Bar Alois Hitler
    2. Hotel Rheingold
    3. Wilmersdorfer Tennishallen
    4. #Fehrbelliner_Platz
    5. Wehrtechnische Fakultät
    6. #Ernst Reuter Platz
    7. Technischen Hochschule
    8. Opel dealer were William Patrick Hitler worked
    9. Flakturm
    10. Zoologischer Garten
    11. Kaiser-Wilhelm-Gedächtniskirche
    12. Bar Alois Hitler
    13. Siegessäule
    14. Albert Speers Streetlights
    15. Bendlerblock
    16. Haus des Deutschen Fremdesverkehrs
    17. Hotel Sanssouci
    18. Hotel Excelsior
    19. Anhalter Bahnhof
    20. Sportpalast
    21. Grossbelastungskörper
    22. Arc de Triomphe
    23. South Station
    24. Tempelhof 42a. Neue Welt
    25. Reichsbank
    26. Görlitzer Bahnhof
    27. Treptower Park
    28. or 29. Kameradschaft der Deutschen Künstler (?)
    30. Villa Ribbentrop
    31. Leibstandarte Adolf Hitler
    32. Practice Theo Morell 1919 -1935
    33. Practice Theo Morell 1935 - 1945
    34. House of Leni riefenstahl
    35. Office Goebbels
    36. Villa Von Ribbentrop
    37. Address Goebbels and Angriff
    38. Bahnhof Grunewald
    39. Practice Dr. Dermietzel
    40. Berliner Alte Philharmonie
    41. Feurich-Saal

    #Karl-Marx-Allee #Frankfurter Allee #Brandenburgische_Straße #Konstanzer_Straße
    #Geschichte #Tourismus #Nazis #WTF

  • Bienvenue en #Géozarbie

    #Enclaves, territoires prêtés, zones disputées, #micro-États, île fantasmée... il existe dans le monde quantité de petits bouts de terre aux frontières ou statuts bizarres ! Mêlant anecdotes loufoques et grands moments de l’Histoire, Bienvenue en Géozarbie nous fait découvrir 10 lieux où l’ubuesque se dispute à l’absurde !

    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-022365/bienvenue-en-geozarbie

    #géographie #géographie_politique #frontières #absurdité #série #arte #vidéo #ressources_pédagogiques #Absurdistan

    –—

    Le Mont blanc n’est pas en France

    Saviez-vous que l’île de la Conférence est administrée à égalité de temps par deux pays, la France et l’Espagne ? Que la principauté d’Arbézie, à cheval sur la frontière franco-suisse, est… un hôtel-restaurant ? Ou que la France possède des territoires à Jérusalem ?
    Ce sont ces bizarreries géographiques que nous raconte #Olivier_Marchon dans ce livre étonnant qui rassemble des dizaines d’histoires de ce type, des plus tragiques au plus loufoques : de petits morceaux de terre, enclavés, disputés, au statut à part, parfois étrange, qui chacun à leur manière racontent la grande histoire…

    https://www.editionspoints.com/ouvrage/le-mont-blanc-n-est-pas-en-france-olivier-marchon/9782757895757
    #livre

    ping @reka

  • Mietskasernenstadt Berlin: Als Wohnen todkrank machte
    https://www.berliner-zeitung.de/b-history/wohnen/mietskasernenstadt-berlin-als-wohnen-todkrank-machte-li.224536

    21.5.2022 von Dr. Michael Brettin - Ein Gefühl der Beklemmung beschleicht den Journalisten Albert Südekum, als er an einem Augusttag Mitte der 1890er-Jahre mit einem Arzt ein Hinterhaus in #Wedding betritt. Seine „erste Forschungsreise in das dunkle Land der Berliner Armenwohnungen“ – so umschreibt er den Besuch in dem „Massenmietshaus“ im Buch „Großstädtisches Wohnungselend“ 1908 – führt ihn in den dritten Stock, zu einer Familie, die das einzige Zimmer ihrer Wohnung notgedrungen untervermietet hat und in der Küche lebt.

    „Nur wenig ärmlicher Hausrat fand sich in dem unwohnlichen Raum“, schreibt Südekum. „Auf der kleinen eisernen Kochmaschine standen ein paar Töpfe, die nach dem letzten Gebrauch noch nicht gereinigt waren; den einzigen Tisch bedeckten ein paar Teller und Gläser, Zeitungsblätter, Kamm, Bürste und Seifenschale, eine Schachtel mit Salbe zum Einreiben, Teller mit Speiseresten und andere Gegenstände. Der geringe Kleidervorrat der Familie hing an den Wänden; ein paar halbverblaßte Familienbilder und ungerahmte Holzschnitte aus einer illustrierten Zeitung bildeten den einzigen Schmuck.“ Es gibt noch eine Kommode, einen Korblehnstuhl und zwei Holzschemel sowie ein Bett, „das eigentlich nur aus einem Haufen zerrissenen Zeuges auf einer knarrenden, buckligen Matratze bestand“.

    Es ist ein Urbedürfnis des Menschen: ein Dach über dem Kopf. Darunter findet sich Geborgenheit aber nicht von allein. „Ein Haus wird gebaut, aber ein Zuhause wird geformt“, wie das Sprichwort besagt. Ein Zuhause in Berlin war schon immer in vielerlei Hinsicht besonders.

    Fünf Menschen leben in dieser Küche: ein Ehepaar, seine 14-jährige Tochter und seine etwa sieben und vier Jahre alten Söhne. Die Frau liegt in dem Bett; sie ist, als sie Zeitungen austrug, auf einer Treppe umgeknickt, hat sich dabei einen Fuß verstaucht und eine Sehne gezerrt. Bettruhe kann sie sich nicht leisten. Ihre Familie ist auf das Geld, das sie als Zeitungsausträgerin verdient, angewiesen. Ihr Mann ist Gelegenheitsarbeiter und derzeit als Flaschenspüler bei einem Bierverlag (Getränkegroßhandel) tätig, sein Lohn ist dürftig. Der Unfall ist für die Eheleute ein Schicksalsschlag.

    „Jedesmal, wenn es schien, als ob es ihnen dauernd etwas besser gehe“, schreibt Südekum, „waren sie durch eine Krankheit oder durch ein, manchmal verfrühtes, Wochenbett – die Frau hatte im ganzen deren sechs durchgemacht – oder einen Todesfall wieder zurückgeworfen worden.“

    Berlin war zu jener Zeit dem Stadtbauexperten Werner Hegemann zufolge die größte „Mietskasernenstadt“ der Welt. Sie erwuchs aus dem „Bebauungsplan der Umgebungen Berlins“ vom 18. Juli 1862. Der aus der Feder von Regierungsbaumeister James Hobrecht stammende Plan sollte die stetig größer werdende #Wohnungsnot lindern. Die #Industrialisierung lockte immer mehr Menschen vom Land in die Stadt. Die Bevölkerung Berlins vergrößerte sich von etwas mehr als 170.000 im Jahr 1801 auf fast 550.000 im Jahr 1861. Über 15 Prozent der Bewohner mussten sich mit acht, neun oder gar zehn Personen ein Zimmer teilen.

    Der „#Hobrecht-Plan“ sah ein weitmaschiges Straßennetz und große Baublöcke vor. Die Grundstücke zogen sich tief in das Blockinnere; die Bauordnung erlaubte es, die fünfgeschossigen Häuser sehr nah beieinander zu errichten. Innenhöfe mussten nur 5,34 mal 5,34 Meter groß sein. Das entsprach der Fläche, die ein von Pferden gezogenes Feuerlöschfahrzeug zum Wenden benötigte.

    Die dichte Bauweise glich der einer Kaserne. Die Mietskaserne wiederum entsprach der Klassengesellschaft. Im Vorderhaus lockten großzügig angelegte und gut ausgestattete Wohnungen. Ihre Fläche erstreckte sich in den #Seitenflügel, ein Durchgangszimmer (#Berliner_Zimmer) führte dorthin. Im Hinterhaus (#Quergebäude) versteckten sich kleine, minderwertig gefertigte, sonnenlichtarme bis -lose Bleiben, die in der Regel aus einer Stube, einer Küche und einer Kammer bestanden.

    Die Wohnqualität nahm nach oben und unten sowie nach hinten ab. „An den beiden Endpunkten der räumlichen Einheit #Mietskaserne, im Keller und unterm Dach, finden wir die Ärmsten der Armen, die nur die geringstmögliche Miete bezahlen konnten“, schreibt die Historikerin Rosmarie Beier, „chronisch Kranke und Invalide, Tagelöhner, den schon sprichwörtlich gewordenen armen Schuster, abgearbeitete, verhärmte Näherinnen, Lumpensammlerinnen und Zeitungsfrauen, Witwen, die sich mit ihren Kindern mühselig durchs Leben schlugen.“
    Der Tod lauerte im Hinterhaus

    Eine Extremform des Wohnungselends war das „#Trockenwohnen“. Neubauten mussten etwa drei Monate lang austrocknen, bevor sie bezugsfertig waren. Die zeitweilige Vermietung der feucht-kalten Wohnungen an besonders arme Haushalte beschleunigte den Vorgang. „Trockenwohner“ umgingen die Obdachlosigkeit, ruinierten jedoch ihre Gesundheit.

    Wobei: Die Mietskaserne machte auch spätere Bewohner krank. Die Wohndichte, Licht- und Luftmangel, Feuchtigkeit und Schimmelbefall förderten Infektionskrankheiten wie #Tuberkulose und #Ruhr. Frauen, die hausindustriell beschäftigt waren, litten unter Augenbeschwerden, Kopfschmerzen, Durchblutungsstörungen, Bleichsucht (Blutarmut), Magenbeschwerden durch Stress. Und das täglich stundenlange Treten einer Nähmaschine führte zu Früh- und Fehlgeburten.

    Eine Statistik aus dem Jahr 1905 legt nahe, dass der Krankheitsverlauf eines Menschen davon abhing, ob er in einem Vorder- oder einem Hinterhaus wohnte. Demnach starben Mieter in einem Hinterhaus öfter an Diphtherie oder auch Kindbettfieber. Die Gefahr einer tödlich verlaufenden Masernerkrankung war dort dreimal so. Die Säuglingssterblichkeit lag in jenem Jahr im armen Wedding bei 42 Prozent, im wohlhabenden Tiergarten bei 5,2 Prozent.

    Nachteile seines Bebauungsplans sah James Hobrecht selbst schon 1868. „Mehr Raum für die Höfe!“, forderte er. „Das Vierfache der Dimensionen, welche die Berliner Baupolizeiordnung verlangt, ist nicht zu viel, ist kaum genug, wenn wir für unsere Hinterzimmer noch Sonne, Licht und Luft in genügender Qualität und Güte behalten wollen.“ Seine Forderung fand kein Gehör, die Wohnungsbauwirtschaft, komplett in privater Hand, stellte sich taub, allen voran die „Terraingesellschaften“: Deren Geschäft bestand darin, große Grundstücke zu kaufen, sie zu parzellieren und zu erschließen und die Parzellen gewinnträchtig zu verkaufen.

    Wohnungsnot und -elend nahmen mit der Hauptstadtwerdung Berlins infolge der Gründung des Deutschen Reichs zu. Die Stadt entwickelte sich zum Industrie- und Finanzzentrum Mitteleuropas. Die Zahl ihrer Bewohner wuchs von 825.000 im Jahr 1871 auf eine Million 1877 und auf 1,7 Millionen 1895. Mietskaserne auf Mietskaserne entstand.

    Die neuen Viertel zogen sich sichelförmig um die Innenstadt: vom Nordwesten bis in den Süden – von #Moabit über #Gesundbrunnen und #Wedding, Oranienburger und #Rosenthaler_Vorstadt, #Königsviertel und #Stralauer_Viertel bis #Luisenstadt. „Die Hauptmasse der Stadt macht den Eindruck, als wäre sie erst vorige Woche erbaut worden“, schrieb der Schriftsteller #Mark_Twain nach einem Besuch im Winter 1891/92. Berlin sei „das Chicago Europas“.

    Mitte der 1890er-Jahre bewohnten 43,7 Prozent der Berliner nur ein beheizbares Zimmer. Eine Gemeinschaftstoilette auf dem Treppenhauspodest (halbe Treppe) oder im Hof nutzten mitunter 40 Personen. Zahlen seien wenig aussagekräftig, schreibt Albert Südekum. Außenstehende könnten nicht ermessen, was es bedeute, wenn bis zu zehn Menschen zugleich „in sogenannten ,Wohnungen‘ hausen müssen, die nur aus einem jammervollen Loche bestehen, zu schlecht, als daß ein weichherziger Tierhalter seinen Gaul oder seine Kuh, ja seine Schweine hineinsperren möchte.“

    Meyers Hof in der #Ackerstraße 132/133 in Wedding gilt als Inbegriff der Mietskaserne: sechs Hinterhöfe, in denen auch mal Musiker aufspielen (hier 1932), 257 Wohnungen, in denen zeitweise 2100 Menschen lebten. Der letzte Block wurde 1972 gesprengt.

    Das Ehepaar, das der Journalist Südekum an jenem Augusttag aufsucht, kam Mitte der 1880er-Jahre aus einem Dorf in Pommern nach Berlin. Es ist seitdem durchschnittlich alle sechs Monate umgezogen, wegen der häufig wechselnden Gelegenheitsarbeitsstellen, bei denen der Mann mal mehr, mal weniger verdient. Dieses Schicksal teilt die Familie mit ungezählten anderen. Der Volksmund spottet: „Zehnmal umziehen ist wie einmal abgebrannt.“

    Das einzige Bett der Familie ist zu klein, als dass alle fünf darin schlafen könnten. Die drei Kinder nächtigen auf dem Küchenfußboden, auf ausgebreiteter Kleidung. Die Tochter kümmert sich tagsüber um den Haushalt und verdient als „Ausläuferin“ (Botengängerin) etwas Geld.

    Der Mann weilt nach Feierabend selten zu Hause. Es ist nicht bekannt, ob er sich in einer der zahlreichen Kneipen herumdrückt, wie so viele andere Männer, denen die leidende Familie auf die Nerven geht. Seine Frau hat wie alle Frauen, die Ehe- und Hausfrau, Mutter und Erwerbstätige in einer Person sind, nie Zeit für sich. Sie ist mit ihren Kräften am Ende, körperlich wie seelisch. Der Herr Doktor möge sie, fleht sie, in ein Krankenhaus schaffen und ihre Kinder in ein Waisenhaus bringen; sie fürchte, „den Verstand zu verlieren und sich aus dem Fenster zu stürzen“.
    Eine Familie haust zu elft im Keller

    Die Not der Arbeiterfamilien rückte in den 1890er-Jahren in das Blickfeld der Öffentlichkeit. Der Vorwärts, die #SPD-Zeitung, bei der Albert Südekum 1895 volontierte, veröffentlichte bis in das Jahr 1903 hinein fast wöchentlich Mitteilungen der Arbeiter-Sanitätskommission über menschenunwürdige und gesundheitswidrige Wohnungszustände.

    Und die „Wohnungs-Enquete“ der Ortskrankenkasse für den Gewerbebetrieb der Kaufleute, Handelsleute und Apotheker (ab 1914 hieß sie Allgemeine Ortskrankenkasse/AOK) dokumentierte von 1901 bis 1920 den Zusammenhang zwischen Wohnelend und Erkrankungen. Die Ortskrankenkasse wollte Politiker und andere Verantwortliche aufrütteln, wollte, dass sie gegen das Wohnungselend vorgehen, im Interesse der „#Volksgesundheit“, aber auch aus Eigennutz, bedeuteten doch mehr Kranke mehr Ausgaben.

    Die Enquete sammelte Daten über Bodenflächen, Höhenmaße und Kubikmeter Luftraum, über die Anzahl der Personen pro Raum und Bett sowie der Fenster, den Zustand der Zimmer, die Verfügbarkeit von Heizung und Toilette. Die fotografische Dokumentation durch die Firma Heinrich Lichte & Co. setzte 1903 ein; der erste Jahrgang erschien 1904, der letzte 1922.

    Die Aufnahmen sollten nicht Mitleid erregen, sondern Veränderung hervorrufen. Da ist das unter Blutarmut leidende 16-jährige Mädchen in der #Große_Hamburger_Straße: Die Wände ihrer Bleibe sind so feucht, dass Tapete von der Wand lappt und Holz der Fensterbretter fault. Oder der von Ekzemen geplagte 65-jährige Mann in der #Britzer_Straße: Das Klo über seiner Wohnung ist oft verstopft; wird das Rohr durchstoßen, sickern Fäkalien durch die Decke. Oder die elfköpfige Familie in einer Kellerwohnung in der #Friedrichsberger_S#traße: Der Vater ist an Tuberkulose gestorben; ein Mädchen, 15, ist wegen eines Lungenleidens erwerbsunfähig, ein anderes Mädchen und ein Junge sind ebenfalls lungenkrank.

    „Es ist nur ein ganz geringer Teil dessen, was wir an Wohnungselend kennen lernen“, schreibt Albert Kohn, Geschäftsführer der Ortskrankenkasse. Besonders bemerkenswert sei, dass „unsere Erhebungen bei Leuten gemacht wurden, welche zum grösseren Teile noch keine Armenunterstützung bezogen haben, sie erstrecken sich auch nicht auf die Arbeiterviertel allein.“ Zahlreiche Menschen würden „förmlich vegetieren“.

    Das Wohnungselend hielt an. Die 1895 einsetzende Hochkonjunktur, die bis 1913 die Reallöhne verdoppelte, kam un- und angelernten Arbeitern nicht zugute, auch weil sich die Lebensmittelkosten in jener Zeitspanne verdreifachten. „Sparsamkeit, das Rechnen mit dem Pfennig, selten eine Möglichkeit, finanzielle Rücklagen zu bilden, Verpfändung, Verschuldung und Mietrückstände im Falle von Krankheit und Erwerbslosigkeit – kurzum, Einschränkung, Entbehrung und Not kennzeichnen das Leben der Unterschichtsfamilien“, schreibt die Historikerin Rosmarie Beier. Die Mitarbeit von Frauen und Kindern sowie die Aufnahme von Untermietern („Schlafburschen“) habe das Leben „in vielen Fällen nicht wesentlich“ verbessert.

    Der Beginn der Weltwirtschaftskrise führte zu einer extremen Verelendung vieler Berliner Arbeiterhaushalte. Die Not trieb Familien 1932 in einen #Mietstreik. Es war nach 1919 der zweite in der Stadt. Ein Symbol für die hauptsächlich von Frauen getragene Streikbewegung wurde das zu einem Mietshaus umfunktionierte ehemalige Stadtgefängnis am #Molkenmarkt, genannt „Wanzenburg“. Die Monatsmiete für eine verwanzte Wohnzelle, knapp zwei Meter breit und viereinhalb Meter lang, betrug 21,50 Mark. Das entsprach etwa einem Drittel des Einkommens der dort Hausenden.

    Die Bewohner vieler Mietskasernen organisierten sich in Hausgemeinschaften, gaben die Parole „Erst Essen, dann Miete!“ aus und forderten, Mieten zu senken, Mietrückstände zu streichen, Klagen auf Exmission (Zwangsräumung) aufzuheben, Gebäude zu renovieren. Einige Proteste hatten Erfolg.

    Das Gefühl der Beklemmung beim Betreten der Mietskaserne in Wedding lässt Albert Südekum nicht los. Als Kommunalpolitiker und Reichstagsabgeordneter der SPD widmet er sich der #Wohnungspolitik. Er wünsche sich, schreibt er 1908, „eine helle Empörung über das furchtbare Wohnungselend der Großstadt mit all seinen Neben- und Folgeerscheinungen auszulösen“. Ein Vorwort zu seinem Buch soll dabei helfen, ein Spruch, der irrtümlich dem sozialkritischen Zeichner, Maler und Fotografen Heinrich Zille zugeschrieben wird: „Man kann einen Menschen mit einer Wohnung geradeso gut töten wie mit einer Axt.“

    Der Bau von Mietskasernen kam erst zu Beginn des Ersten Weltkrieges zum Erliegen. Die Weimarer Republik anerkannte die Wohnungs- und Krankenfürsorge als staatliche und kommunale Aufgabe. Berlin verbot 1925 den Bau von Mietskasernen mit Seitenflügeln und Quergebäuden in den Randbezirken.

    Das weitere Schicksal der fünfköpfigen Familie, die Albert Südekum an jenem Augusttag besucht hatte, ist nicht bekannt.

    #Berlin #Geschichte #Wohnen #Stadtentwicklumg #Kaiserzeit #Gründerzeit

  • fin mars 2022 : Cure detalji o tragediji na Kupi : ’Ušli smo u vodu, krenuli s pretragom i na jednom dijelu našli utopljenika’

    Traduction en ligne :
    –-> Cure détails sur la tragédie sur le Kupa : « Nous sommes allés dans l’eau, avons fait une recherche et avons trouvé un homme noyé dans une partie »

    La police croate, après un rapport de collègues slovènes, a arrêté un groupe de migrants en provenance du Congo. L’un est mort, malgré la réanimation, et un autre noyé a été retrouvé à Kupa

    La nuit dernière, la police slovène a informé ses collègues croates qu’un groupe plus important de migrants se trouvait à Kupa. Des policiers de Vrbovsko, des forces spéciales de Rijeka et avec eux des pompiers se rendent sur le terrain car le terrain est inaccessible. Après trois kilomètres de marche, ils trouvent cinq hommes figés qui disent que le sixième est proche.

    « La personne était inconsciente, alors ils l’ont aidé professionnellement, mais ils ont essayé de la réanimer, mais la personne est décédée. Lorsque l’ambulance est arrivée, ils ont constaté le décès de cette personne. le poste de police de Vrbovsko », a déclaré Tomislav Horvat , chef du service des migrations illégales de la police de Primorje-Gorski Kotar.

    La nuit était froide, la température de l’air moins 1 et le Kupa sauvage 7 degrés. 22 pompiers de cinq brigades de pompiers volontaires se sont rendus sur les lieux. Ils disent n’avoir jamais vu des gens aussi épuisés et hypothermiques. Bien qu’ils aient été noyés par des couvertures, ils tremblaient constamment sur des brancards. Et le tout premier qu’ils ont trouvé leur a annoncé une autre terrible nouvelle.

    "Des collègues ont dit d’où il venait, c’est-à-dire du Congo, donc il a aussi dit que son frère s’était noyé, c’est-à-dire qu’il avait disparu dans la Kupa", a déclaré Dalibor Mareković , commandant du DVD de Vrbovsko.

    Il va à la police et le GSS a commencé hier à rechercher son frère autour de Severin na Kupi.

    "C’est là que nous sommes allés dans l’eau et avons commencé à fouiller le terrain pour trouver le corps d’un noyé dont nous avons pris soin et transporté par l’eau. Ces villages sont abandonnés depuis longtemps, ce sont déjà des ruines, donc le terrain est totalement inaccessible, la jungle .", a déclaré Goran Tomac , chef de la station HGSS Delnice.

    Dans de rares endroits, vous pouvez vous approcher de la rivière, qui a gonflé de pluie et de neige jusqu’à 4 mètres la nuit du drame.

    "Avec un dériveur et une chienne, c’est un kayak debout, nous sommes partis tous les quatre et nous avons descendu un ou deux kilomètres jusqu’à lui", a expliqué Bruno Stipancic , membre de la station HGSS de Delnice.

    Cette fois, Kupa a coûté la vie à deux migrants.

    Il y a huit jours à peu près au même endroit un autre, un Camerounais qui a déjà été enterré.

    "En tant que ville, nous avons fourni certains fonds et nous avons une tombe commune pour toutes ces personnes et nous les enterrons jusqu’à ce que les proches se manifestent", a déclaré Drazen Muftić, le maire de Vrbovsko.

    Pour eux deux, c’était la fin du chemin vers une vie meilleure. Les cinq détenus d’ici la fin de la journée devraient être transférés dans un centre d’accueil à Zagreb. Ils auraient admis qu’ils étaient au moins 11 dans le groupe et qu’ils avaient tenté de traverser la Coupe avec un radeau improvisé, mais personne ne sait où se trouve maintenant le reste du groupe.

    https://www.rtl.hr/vijesti-hr/novosti/crna-kronika/4221832/cure-detalji-o-tragediji-na-kupi-usli-smo-u-vodu-krenuli-s-pretragom-i-na-jednom

    #Croatie #Slovénie #asile #migrations #réfugiés #frontière_sud-alpine #Alpes #montagne #décès #mort
    #Kolpa #Kupa

    –—

    Ajouté à cette métaliste des morts à la frontière Slovénie-Croatie :
    https://seenthis.net/messages/811660

    Elle-même ajouté à la métaliste des morts dans les Alpes :
    https://seenthis.net/messages/758646

  • 03.04.2022

    Plusieurs étrangers ont été trouvés le long de la rive de la Kupa près de Vrbovsko. L’un était mort dans la rivière, l’autre est mort malgré la réanimation

    This week, another man lost his life (https://www.novilist.hr/novosti/crna-kronika/vise-stranaca-pronadeno-uz-obalu-kupe-kod-vrbovskog-jedan-je-bio-mrtav-u-rijeci-drugi-preminuo-unatoc-reanimaciji/?meta_refresh=true), killed by unjust European policies. According to the report from the Slovenian police, people have been found in the area along the #Kupa River in the wider #Vrbovsko area. There, they found five people inaccessible terrain along the banks of the #Kupa_River, and after a short time, another man who was unconscious and hypothermic. He was assisted and the officers attempted to save him, but despite an attempt at resuscitation, the man died.

    #Croatie #Slovénie #asile #migrations #réfugiés #frontière_sud-alpine #Alpes #montagne #décès #mort
    #Kolpa

    –—

    Ajouté à cette métaliste des morts à la frontière Slovénie-Croatie :
    https://seenthis.net/messages/811660

    Elle-même ajouté à la métaliste des morts dans les Alpes :
    https://seenthis.net/messages/758646

    • –-> du coup, cet article mentionne deux morts (et non pas un) le 3 avril 2022

      La police croate, après un rapport de collègues slovènes, a arrêté un groupe de migrants en provenance du Congo. L’un est mort, malgré la réanimation, et un autre noyé a été retrouvé à Kupa

      La nuit dernière, la police slovène a informé ses collègues croates qu’un groupe plus important de migrants se trouvait à Kupa. Des policiers de Vrbovsko, des forces spéciales de Rijeka et avec eux des pompiers se rendent sur le terrain car le terrain est inaccessible. Après trois kilomètres de marche, ils trouvent cinq hommes figés qui disent que le sixième est proche.

      « La personne était inconsciente, alors ils l’ont aidé professionnellement, mais ils ont essayé de la réanimer, mais la personne est décédée. Lorsque l’ambulance est arrivée, ils ont constaté le décès de cette personne. le poste de police de Vrbovsko », a déclaré Tomislav Horvat , chef du service des migrations illégales de la police de Primorje-Gorski Kotar.

      La nuit était froide, la température de l’air moins 1 et le Kupa sauvage 7 degrés. 22 pompiers de cinq brigades de pompiers volontaires se sont rendus sur les lieux. Ils disent n’avoir jamais vu des gens aussi épuisés et hypothermiques. Bien qu’ils aient été noyés par des couvertures, ils tremblaient constamment sur des brancards. Et le tout premier qu’ils ont trouvé leur a annoncé une autre terrible nouvelle.

      "Des collègues ont dit d’où il venait, c’est-à-dire du Congo, donc il a aussi dit que son frère s’était noyé, c’est-à-dire qu’il avait disparu dans la Kupa", a déclaré Dalibor Mareković , commandant du DVD de Vrbovsko.

      Il va à la police et le GSS a commencé hier à rechercher son frère autour de Severin na Kupi.

      "C’est là que nous sommes allés dans l’eau et avons commencé à fouiller le terrain pour trouver le corps d’un noyé dont nous avons pris soin et transporté par l’eau. Ces villages sont abandonnés depuis longtemps, ce sont déjà des ruines, donc le terrain est totalement inaccessible, la jungle .", a déclaré Goran Tomac , chef de la station HGSS Delnice.

      Dans de rares endroits, vous pouvez vous approcher de la rivière, qui a gonflé de pluie et de neige jusqu’à 4 mètres la nuit du drame.

      "Avec un dériveur et une chienne, c’est un kayak debout, nous sommes partis tous les quatre et nous avons descendu un ou deux kilomètres jusqu’à lui", a expliqué Bruno Stipancic , membre de la station HGSS de Delnice.

      –-> puis l’article parle d’un autre mort (fin mars 2022) :
      https://seenthis.net/messages/957547

      https://www.rtl.hr/vijesti-hr/novosti/crna-kronika/4221832/cure-detalji-o-tragediji-na-kupi-usli-smo-u-vodu-krenuli-s-pretragom-i-na-jednom

  • Le koraïste Ablaye Cissoko s’associe à l’instrumentiste itinérant Cyrille Brotto sur un Instant
    https://pan-african-music.com/ablaye-cissoko-cyrille-brotto

    L’un des plus grands ambassadeurs de la kora, le musicien et chanteur sénégalais Ablaye Cissoko, s’associe au polyinstrumentiste itinérant Cyrille Brotto. Ici, c’est l’accordéon que le français a choisi pour accompagner le jeu voluptueux du griot. Ils ont immortalisé leur rencontre musicale à travers dix titres qui forment un album, Instant, dont la sortie est prévue le 6 mai prochain.

    https://www.youtube.com/watch?v=zx50whlmHHo

    #musique #kora #accordéon #chanson #Ablaye_Cissoko #Cyrille_Brotto

  • Kaiser-Wilhelm-Platz 1-5 in Berlin - KAUPERTS
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Kaiser-Wilhelm-Platz-10827-Berlin

    So sah der Eintrag im Kaupert vor der Umbenennung aus.

    Kaiser-Wilhelm-Platz hat die Hausnummern 1-5, gehört zum Ortsteil Schöneberg und hat die Postleitzahl 10827.

    Allgemeines zu #Kaiser-Wilhelm-Platz
    Postleitzahl 10827
    Ortsteil #Schöneberg
    ÖPNV Zone A Bus M48, M85, 104, 106, 187, 204 — U‑Bahn 7 Kleistpark ♿, Eisenacher Straße — S‑Bahn 1 #Julius-Leber-Brücke
    Straßenverlauf an #Hauptstraße, #Kolonnenstraße und #Crellestraße
    Falk‑Stadtplan Planquadrat O 14

    Geschichte von Kaiser-Wilhelm-Platz
    Ehemaliger Bezirk Schöneberg
    Name seit 7.4.1892
    Gegen die geplante Umbenennung in #Richard-von-Weizsäcker-Platz zum 18.10.21 wurde Widerspruch eingelegt.
    Wilhelm I. (Friedrich Ludwig Wilhelm), deutscher Kaiser, König von Preußen, * 22.3.1797 Berlin, + 9.3.1888 #Berlin.

    Wilhelm I. wurde als zweiter Sohn des preußischen Königs Friedrich Wilhelm III. und der Königin Luise geboren. Mit nur 17 Jahren nahm er noch an den Feldzügen 1814 und 1815 gegen Napoleon teil. 1829 heiratete er Prinzessin Augusta von Sachsen-Weimar-Eisenach. Als 1840 sein kinderloser älterer Bruder als Friedrich Wilhelm IV. den Thron bestieg, erhielt er als Thronfolger den Titel „Prinz von Preußen“. Während der Märzrevolution von 1848 trat er für die militärische Niederwerfung der Revolution ein. Irrtümlich für den Artillerieeinsatz gegen Berliner Barrikaden am 18. März 1848 verantwortlich gemacht, erhielt er die Bezeichnung „Kartätschenprinz“. Sein hartes Vorgehen zwang ihn zur Flucht nach England, wo er sich einige Monate aufhalten mußte, bis sich die Wogen geglättet hatten. Er leitete im Jahr darauf die Niederschlagung des badischen und pfälzischen Aufstandes zur Durchsetzung der Deutschen Reichsverfassung. Bis Oktober 1858 war er mit verschiedenen Regierungsämtern in den westlichen Gebieten Preußens betraut, dann übernahm er die Regentschaft für seinen geistig erkrankten Bruder. Im November des Jahres leitete Wilhelm I. die Politik der Neuen Ära ein, die sich bald nach seiner Thronbesteigung im Jahr 1861 im Streit um die Heeresreform zum Verfassungskonflikt in Preußen ausweitete. Bereits an Abdankung denkend, setzten die Konservativen 1862 Bismarcks Berufung zum Ministerpräsidenten durch, der zunehmend Einfluß auf Wilhelm I. und damit auf die Politik Preußens gewann. Gleichwohl wußte sich Wilhelm I. seinen Platz neben Bismarck in der Geschichte zu sichern. Im Preußisch-Österreichischen Krieg von 1866 und im Deutsch-Französischen Krieg von 1870/71 übernahm er den Oberbefehl der Armee. Sein Beharren auf dem Legitimitätsprinzip, d. h. der Zustimmung aller Bundesfürsten zur Kaiserkrönung, und seine um Kooperation mit den deutschen Fürstenhäusern bemühte Politik nach der Reichseinigung beförderten wesentlich die Integration der deutschen Einzelstaaten in das neugeschaffene Deutsche Reich und die Festigung der monarchischen Staatsidee. Mit der Reichsgründung wurde Berlin kaiserliche Residenzstadt und Reichshauptstadt. Berlin expandierte, den Gründerjahren folgte der Gründerkrach. Berlin entwickelte sich zur Metropole von Weltrang. Aus dem „Kartätschenprinzen“ war ein „alter Herr“ geworden, den man in Berlin, sieht man von den zwei Attentatsversuchen im Jahre 1878 auf ihn ab, durchaus freundlich bei seinen Spazierfahrten grüßte. Seine Grabstätte befindet sich im Mausoleum im Charlottenburger Schloßpark.

    Die Benennung erfolgte nach Kaiser Wilhelm I., da sich auf dem Platz ein Denkmal für ihn befand. Die Grundstücke Hauptstraße 88, Bahnstraße 1-4 und Kolonnenstraße 67 wurden am 13. Juni 1893 in Am Kaiser-Wilhelm-Platz benannt, doch bereits 1895 ebenfalls als Am Kaiser-Wilhem-Platz ausgewiesen. Auf der Höhe des Kaiser-Wilhelm-Platzes befand sich früher die Grenze zwischen Alt- und Neu-Schöneberg. Über eine Umbenennung des Kaiser-Wilhelm-Platzes gab es nach dem Zweiten Weltkrieg wiederholt Diskussionen. 1962 war ursprünglich vorgesehen, ihn nach dem verstorbenen Schöneberger Bürgermeister Dickhardt zu benennen, 1973 nach dem ermordeten chilenischen Präsidenten Allende.

    Örtliche Zuständigkeiten für Kaiser-Wilhelm-Platz

    Arbeitsagentur Tempelhof-Schöneberg
    Jobcenter Tempelhof-Schöneberg
    Amtsgericht Schöneberg
    Grundbuchamt Schöneberg
    Familiengericht Schöneberg
    Finanzamt Schöneberg
    Polizeiabschnitt A 42
    Verwaltungsbezirk Tempelhof-Schöneberg

    • propre lien :

      https://www.heise.de/tp/features/Blaupausen-fuer-die-Ukraine-6527247.html

      [...]

      Genschers zentrale Rolle in der Zerschlagung Jugoslawiens wird anhand der Debatte aber schon deutlich. Und während ihn in Deutschland viele Jüngere gar nicht kennen, steht er in Kroatien auf vielen Sockeln als Denkmal. In Serbien stellt er eine Hassfigur dar.

      Die Frage, ob diese frühe Anerkennung ein essentieller Fehler war, taucht immer dann auf, wenn bei Krisen auf diesen ersten Schritt in Richtung Völkerrechtsbruch im damaligen Jugoslawien hingewiesen wird – so etwa im Nachgang zur Ukrainekrise von 2014/15, die die Regierung Janukowitsch durch eine andere ersetzte, mit viel Dollarunterstützung aus dem Ausland (fünf Mrd. laut Victoria Nuland), die die BBC dokumentiert, und einen weiteren Völkerrechtsbruch umschloss: die Annexion der Krim durch Russland.

      Während die Deutsche Welle 2016 nach Genschers „Anerkennung als Sünde“ fragt, lehnt die tageszeitung diese Deutung als „Zerstörer-Legende“ entschieden ab und stuft die Rolle Genschers in der Aufspaltung des Balkans als nicht so zentral herunter.

      Tatsächlich stellt dieser Schritt der Anerkennung 1992 den ersten Sargnagel Jugoslawiens dar und verstieß gegen die KSZE-Schussakte von Helsinki von 1975, die die Anerkennung der Grenzen in Europa festschrieb und die auch die beiden Deutschlands unterschrieben hatten. Mit Genschers Schritt verletzte die deutsche Regierung diese Vereinbarung.

      Einen Krieg und viele Tote später wurde schließlich das #Kosovo – aus „humanitären“ Gründen, um einen „Genozid“ zu verhindern – für unabhängig erklärt, was nicht nur einen klaren Völkerrechtsverstoß darstellte, sondern auch einen Hinweis auf die Perfidie der Kriegspropaganda wirft.

      Schließlich gab sogar Deutschland seinen Grundsatz „Nie wieder Krieg!“ auf, als der damalige Außenminister Joschka Fischer mit „Nie wieder Auschwitz!“ erfolgreich für den Kriegseinsatz der Bundeswehr warb. Bis heute hält sich die Mär vom serbischen Tyrannen Milosevic, wahrscheinlich auch darum, weil die wenigsten Journalisten den Text des Vertragswerks von Rambouillet lasen und somit nicht einschätzen können, warum der Krieg auf dem Balkan eskalierte.

      Heute sind die Zusammenhänge zwar gut aufgearbeitet (s.u.), aber auch diese Fakten muss man nicht unbedingt zur Kenntnis nehmen. Dann gelingt es in der aktuellen Krise einige Parallelen zu übersehen und nicht das Doppelmaß der Doppelzüngigkeit derjenigen, die von „Völkerrecht“ und „Freiheit“ reden, um Verhandlungen abzusagen und Soldaten zu mobilisieren, zu erkennen.

      Die große #Manipulation der öffentlichen Meinung erklärt der langjährige UNO-Korrespondent der tageszeitung, Andreas Zumach, in einer Analyse über die Verhandlungen um das Abkommen von Rambouillet. An der Aufklärung der Schande von Rambouillet, nämlich dem Nichtzustandekommen des nach dem Tagungsort benannten Abkommens, was schließlich den Auftakt des Nato-Angriffs auf Jugoslawien bedeutete, wird die aktuelle deutsche Regierungskoalition kein Interesse haben, denn FDP, SPD und Grüne waren maßgeblich daran beteiligt, uns in diesen Krieg zu lügen, wie es u.a. der WDR aufdeckte.

      Die Sachlage im unannehmbaren Annex B des Vertragsentwurfs von #Rambouillet, der eine Art Besatzungsstatut für die Nato in ganz Jugoslawien darstellte (s.o.), ist zwar eine andere, als in den Abkommen von Minsk zur Befriedung des Ukraine-Konflikts. Dennoch enthält der aktuelle Konflikt neben dem Genscher-Moment der Anerkennung unabhängiger Staaten – zuletzt durch Putin die selbst proklamierten Volksrepubliken #Donezk und #Luhansk – auch ein Moment, das #Minsk_II hier einreiht: nämlich die Forderung nach „Rückkehr zu Minsk II“ an Putin allein, ohne die Verletzung der Vereinbarungen durch die Ukraine in den letzten Jahren zu erwähnen.

      Das könnte an die Dämonisierung des serbischen Präsidenten #Milosevic erinnern, wenn man es nicht verdrängt hat, denn der – und das ist wichtig für heute – wurde mit seinen Anliegen nicht vergleichbar in der hiesigen Öffentlichkeit gehört wie die andere Seite; auch durch die damals noch gänzlich andere Mediensituation. Wobei wir inzwischen wissen, dass auch vielen entscheidungstragenden Politikern wichtige Details von „Rambouillet“ nicht mitgeteilt worden waren (siehe dazu den historischen Abriss von Andreas Zumach). Offensichtlich gab es Interessen an dem Krieg.

      [...]

      #Ex-Yougoslavie #Ukraine #Russie