(COVID-19) Japon : levée de l’état d’urgence sanitaire dans les préfectures d’Osaka, Kyoto et Hyogo_French.news.cn
#Covid-19#migrant#migration#Japon#Etatdurgence#Osaka#Kyoto#Hyogo
▻http://french.xinhuanet.com/2020-05/21/c_139075732.htm
(COVID-19) Japon : levée de l’état d’urgence sanitaire dans les préfectures d’Osaka, Kyoto et Hyogo_French.news.cn
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Paysages olfactifs et paysages sonores
▻http://liminaire.fr/palimpseste/article/paysages-olfactifs-et-paysages-sonores
C’est par l’intermédiaire de Victor Fraigneau, architecte, doctorant en architecture à Paris 8 et à l’ENSAPLV que je découvre sur Twitter que le Ministère de l’environnement japonais met en valeur les paysages olfactifs et sonores, et s’occupe de l’observation des étoiles. Sachez aussi que le même bureau du Ministère de l’environnement japonais s’occupe des paysages sonores, et de l’observation des étoiles : ▻https://t.co/d5IP3nkAH1 C’est à la fois trop choupi, et hyper important— Victor (...)
#Palimpseste / #Ville, #Osaka, #Kyoto, #Tokyo, #Paysage, #Nature, #Sons, #Sensation, #Numérique, #Inventaire
« ▻http://www.paris-lavillette.archi.fr »
« ▻https://twitter.com/youpipouet »
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« ▻http://www.env.go.jp/air/kaori/index.htm »
« ▻https://www.env.go.jp/air/life/hoshizorakansatsu/index.html »
« ▻http://www.env.go.jp/air/life/nihon_no_oto/02_2007oto100sen_Pamphlet.pdf »
« ▻http://www.env.go.jp/air/kaori/pamph/full.pdf »
Batailles commerciales pour éclairer l’#Afrique, par Aurélien Bernier (Le Monde diplomatique, février 2018)
►https://www.monde-diplomatique.fr/2018/02/BERNIER/58354
Derrière les discours généreux...
Passée relativement inaperçue lors de la #COP21, qui s’est tenue fin 2015, l’Initiative africaine pour les énergies renouvelables (IAER) rassemble les cinquante-quatre pays du continent. L’objectif affiché par cette coalition, pilotée par l’Union africaine, est « d’atteindre au moins 10 gigawatts [GW] de capacité nouvelle et additionnelle de production d’énergie à partir de sources d’énergies renouvelables d’ici à 2020, et de mobiliser le potentiel africain pour produire au moins 300 GW d’ici à 2030 ». Cela reviendrait à multiplier par près de dix la production actuelle d’énergie renouvelable (cette augmentation devant contribuer à 50 % de la croissance totale de la production d’ici à 2040). Et à augmenter, sans recourir aux énergies fossiles, le taux d’électrification du continent (lire « Alimenter l’Europe ? »).
Le Japon, l’Union européenne et huit pays occidentaux (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède) ont promis de consacrer 9,4 milliards d’euros d’ici à 2020 au financement de l’Initiative, dont 3 milliards d’euros annoncés par Paris. En dépit de la provenance des fonds, le cadre fondateur de l’#IAER précise que les pays du continent doivent pouvoir choisir les projets financés et en maîtriser la mise en œuvre ; les entreprises africaines doivent être sollicitées en priorité. L’Initiative est dirigée par un conseil d’administration composé de hauts fonctionnaires majoritairement désignés par les États africains.
Pourtant, au mois de mars 2017, le professeur Youba Sokona, vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (#GIEC/#IPCC) chargé de l’unité « projets » de l’IAER, démissionne avec fracas. Le scientifique malien estime que les financeurs ont « mis sur pied une stratégie pour imposer aux Africains des projets automatiquement sélectionnés par les Européens ». Et de citer la première vague de dix-neuf dossiers validés malgré les réserves émises par des membres africains du conseil d’administration de l’Initiative. En parallèle, près de deux cents associations africaines signent une lettre ouverte intitulée « Stop au détournement de l’IAER par l’Europe ». Elles accusent plusieurs pays européens, et particulièrement la France, d’imposer des projets favorisant les intérêts directs de leurs multinationales de l’énergie et de leurs bureaux d’études. Dans un rapport présenté le 20 septembre 2016, Mme Ségolène Royal, alors ministre de l’environnement et présidente de la COP21, n’avait-elle pas identifié 240 projets et programmes dans diverses filières : hydraulique, géothermie, solaire, éolien (1) ?
Pourquoi tant d’initiatives juxtaposées ? Toutes partagent ce constat : la sous-alimentation de l’Afrique en électricité entrave son développement (lire « Des pénuries incessantes »). Elles affichent toutes les mêmes images d’enfants dont le sourire est éclairé par une ampoule électrique. Elles proposent toutes plus ou moins les mêmes outils : des enceintes pour des discussions d’affaires, des fonds d’investissement ou de garantie, des prêts, des expertises… Et surtout, elles insistent toutes sur l’importance cruciale des partenariats public-privé.
La générosité des textes fondateurs de ces plates-formes cache des intentions souvent très prosaïques. Depuis les années 1980, les pays occidentaux ouvrent leurs marchés électriques à la concurrence, provoquant une intense guerre commerciale entre les grandes entreprises du secteur. Mais les systèmes électriques du Vieux Continent et ceux de l’Amérique du Nord demeurent en surcapacité de production. Dans ces régions, les perspectives de croissance restent donc relativement faibles. Ce qui n’est pas le cas pour des marchés émergents, comme celui de l’Afrique.
Afin de favoriser leur expansion, les compagnies étrangères bénéficient du processus de libéralisation engagé depuis près de trente ans sur le continent. Au cours du xxe siècle, la plupart des pays avaient créé des entreprises publiques disposant d’un monopole dans la production, le transport et la distribution du courant. Faute de moyens financiers suffisants, ces services nationaux sont souvent exsangues, incapables de garantir un approvisionnement de qualité. Plutôt que de les soutenir, la #Banque_mondiale, le #Fonds_monétaire_international ou encore la #BAD ont encouragé l’adoption de méthodes de gestion issues du privé et une ouverture progressive à la concurrence.
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Bon nombre d’entreprises françaises du CAC 40 se ruent sur le secteur. En juin 2017, le Sénégal raccorde ainsi au réseau la centrale solaire de Senergy, à 130 kilomètres au nord de Dakar. Il s’agit du plus gros projet de ce type en Afrique de l’Ouest. Aux côtés du fonds souverain sénégalais Fonsis, les propriétaires de la centrale sont le fonds d’investissement français Meridiam et le constructeur Solairedirect, filiale du groupe Engie. D’autres sociétés françaises interviennent sur le chantier : Schneider Electric, qui fournit les onduleurs et les transformateurs, Eiffage ou encore Vinci.
Pour rassurer les investisseurs, on peut également compter sur la finance carbone. Le protocole de #Kyoto, adopté en 1997, a posé les bases d’un système d’achat et de vente de « tonnes équivalent carbone » : les industriels qui dépassent un certain niveau d’#émission de #gaz_à_effet_de_serre doivent acheter des #droits_à_émettre ; à l’inverse, des projets peu #émetteurs se voient délivrer des crédits qu’ils peuvent vendre.
Poussés par les institutions internationales et les entreprises privées, les pays africains adoptent des législations ad hoc permettant le développement du marché du carbone. Le carbon trading commence à se développer, et avec lui des start-up prometteuses. En 2009, un jeune Français diplômé en droit fonde la société Ecosur Afrique. Établie à l’île Maurice, elle exerce trois activités : le conseil, le développement de projets et le négoce de crédits carbone. Aujourd’hui rebaptisée Aera, la société s’est délocalisée à Paris et revendique 263 millions d’euros de crédits carbone échangés depuis sa création. Un début, puisque, selon son fondateur, « l’Afrique est un réservoir de crédits de #carbone presque inutilisé ».
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C’est ainsi que s’explique le très controversé #barrage Grand Inga, en République démocratique du Congo (8). Dans un pays qui concentre près de 40 % des ressources hydroélectriques du continent (ce qui lui vaut le surnom de « château d’eau de l’Afrique »), il s’agit de construire un ouvrage deux fois plus imposant que le barrage chinois des Trois-Gorges, le plus grand du monde.
La Banque mondiale, la BAD et l’Usaid contribuent aux études de faisabilité de ce projet, dont le coût varie, selon les estimations, entre 80 et 100 milliards de dollars. Le G20 l’a inclus dans sa liste des onze grands chantiers structurants pour la « communauté internationale ». Seuls 20 % de la production seraient destinés à alimenter le marché national ; le reste serait exporté. Grand Inga nécessiterait non seulement d’inonder une superficie importante de terres arables (22 000 hectares), mais aussi de construire 15 000 kilomètres de lignes à très haute tension.
Il existe déjà des barrages dans cette région, mais les installations n’ont jamais fonctionné correctement, faute de suivi dans les investissements. Plusieurs turbines sont à l’arrêt. Deux projets sont en cours : moderniser les installations existantes et construire le gigantesque barrage de Grand Inga. Ses plus gros clients seraient les mines de la province congolaise du Katanga et celles d’Afrique du Sud, Pretoria connaissant depuis de nombreuses années de graves pénuries d’électricité. À la fin des années 1990, le gouvernement sud-africain envisage un temps la privatisation d’Eskom, l’entreprise publique de production et de distribution d’électricité. Malgré les avertissements de la direction, les autorités ne procèdent pas aux investissements nécessaires à la satisfaction d’une demande intérieure croissante. Les coupures se multiplient.
Le sang de la #Taxe_carbone
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/150216/le-sang-de-la-taxe-carbone
Amar Azzoug, #Samy_Souied, #Claude_Dray et #Albert_Taieb #Amar_Azzoug, Samy Souied, Claude Dray, Albert Taieb... Ces quatre hommes ont deux points communs : ils ont été assassinés et sont liés au magot ou à des acteurs de l’escroquerie à la taxe carbone, qui a coûté 1,6 milliard d’euros à l’État français. Leurs morts dessinent le visage d’une nouvelle mafia française face à laquelle juges et policiers sont démunis. Révélations.
#DataGueule - IRL
▻http://irl.nouvelles-ecritures.francetv.fr/datagueule-S4E8-1.html
Il y a 18 ans, en 1997, était signé le protocole de Kyoto. Son ambition ? Réduire d’au moins 5% les émissions de gaz à effet de serre des plus grands pays émetteurs à travers le monde. Alors que l’un des objectifs de la COP21 est de lui trouver un successeur, prenons le temps de faire un petit bilan.
#COP21 : l’accord de Paris sera-t-il contraignant, oui ou non ?
▻http://www.alterecoplus.fr/cop21/cop21-laccord-de-paris-sera-t-il-contraignant-oui-ou-non-201511280605-0
L’accord de Paris visant à contenir le réchauffement de la planète dans la limite des 2 °C et qui doit être adopté le 11 décembre par 195 Etats sera-t-il contraignant ? Beaucoup s’imaginent qu’il peut et qu’il doit l’être, si l’on en juge par le refroidissement de l’atmosphère provoqué par les propos de John Kerry deux semaines avant l’ouverture de la COP. Le ministre américain des affaires étrangères avait alors déclaré (le 12 novembre dans le Financial Times) : « Il n’y aura pas d’objectifs de réduction [des émissions de gaz à effet de serre] juridiquement contraignants, comme cela avait été le cas à Kyoto ». Cette perfide attaque des Etats-Unis, régulièrement présentés comme des délinquants climatiques alors qu’au chapitre de la transition bas carbone, leurs ambitions sont désormais comparables à celles de l’Union européenne1, avait aussitôt entraîné cette riposte cinglante du président des Français : l’accord de Paris sera « contraignant ou il n’y aura pas d’accord ».
A la veille de la COP 21, cette passe d’armes a quelque chose de #surréaliste. Ceux qui se sont émus des propos de John Kerry semblent avoir oublié (ou font semblant d’oublier) que cela fait exactement cinq ans, onze mois et deux semaines que le monde a tourné le dos au protocole de #Kyoto et a abandonné le principe d’un accord international sur la baisse des émissions juridiquement contraignant.
Fiasco du marché du carbone : qu’attend la France pour agir ?
▻http://www.bastamag.net/Fiasco-du-marche-du-carbone-qu-attend-la-France-pour-agir
Le marché du carbone devait permettre selon ses promoteurs d’accélérer la transition énergétique. Après dix ans de fonctionnement, il a montré toutes ses limites. Il est temps de remettre ce sujet sur la table des négociations climatiques, défend Jean-Michel Naulot, ancien banquier et membre du collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Et d’envisager une véritable taxe, pour sortir de l’inaction face au réchauffement climatique. Comme régulateur de marchés et comme citoyen, j’ai trop souvent été (...)
Climat : 10 défis et 10 questions pour François Hollande et le gouvernement
A prétendre disposer d’un « leadership en matière de lutte contre le changement climatique » avec les Etats-Unis et Barack Obama, on peut se demander si François Hollande a bien saisi les défis que pose le péril climatique. Des défis qui sont autant de questions pour un gouvernement qui multiplie les incohérences. Tour d’horizon.
▻http://blogs.mediapart.fr/blog/maxime-combes/170214/climat-10-defis-et-10-questions-pour-francois-hollande-et-le-gouvern
@rezo
#2020, #adaptation, #Areva, #Barack_Obama, #Climat, #climaticide, #conférence_bancaire, #COP, #EDF, #efficacité_énergétique, #émissions, #emplois, #énergies_renouvelables, #Etats-unis, #financements, #Flamanville, #François_Hollande, #fukushima, #gaz_de_schiste, #GES, #gouvernement, #grands_projets_inutiles, hydrocarbures, #investissements, #Kyoto, #leadership, #lobbies, #moratoire, #Notre-Dame_des_Landes, #Nucléaire, #Penly, #réduction, #relocalisation, #sommet_européen, #transactions_financières, #transition_écologique, #transition_énergétique, TTF, #Union_européenne, #Varsovie
Le Frp - extrême droite norvégienne (15 à 25 % selon les sondages) chosiria sans doute de dire non à Kyoto 2 (engagement pour lutter contre le changement climatique)
Frp-Amundsen : - Norge er ikke så rikt at vi kan kaste penger ut av vinduet - Aftenposten
▻http://www.aftenposten.no/nyheter/iriks/politikk/Frp-Amundsen---Norge-er-ikke-sa-rikt-at-vi-kan-kaste-penger-ut-av-vindue
Frp-Amundsen : - Norge er ikke så rikt at vi kan kaste penger ut av vinduet
Frp skal etter planen stemme over Kyoto 2 onsdag morgen. Miljøpolitisk talsmann Per-Willy Amundsen mener partiet bør si nei.
Acheter sa pollution : à revoir
►http://www.letemps.ch/Page/Uuid/e649639e-d8c7-11e0-b1b7-4b94de279dcf/Acheter_sa_pollution_%C3%A0_revoir
Prévu dans le cadre du Protocole de Kyoto, le mécanisme de compensation fonctionne bien mais présente trois problèmes. D’abord, il ne diminue pas les émissions de CO2 et encourage les pays du Nord à conserver leurs industries les plus polluantes. Ensuite, les rares transferts de technologie ne créent pas d’emplois locaux. Enfin, ce mécanisme est éthiquement discutable. Nous installons des cellules solaires dans les déserts en demandant à leurs habitants d’être respectueux de l’environnement alors que nous utilisons des centrales à gaz. Le mécanisme doit être repensé.
De nombreux projets verts ont été financés, partiellement, par la vente de crédits carbone. Les résultats sont contrastés. Premier exemple, des éoliennes espagnoles installées à Hawaria au nord du pays. Financées par des fonds européens, elles ont été livrées clés en main et n’ont occasionné aucun transfert de savoir-faire ni création d’emplois. Le projet a engendré avant tout une dette financière.
En Europe, notre conception du développement durable est basée sur des caractéristiques très économiques : création d’emplois, rentabilité financière. Notre grille de lecture est trop grossière. Les projets qui tiennent compte de la dimension sociale sont souvent les plus réussis et les plus durables.