• #Pensez_sauvage

    Pensez sauvage vous propose des graines cousues main, faites dans le respect de l’environnement et du vivant. Des graines de ferme certifiées biologiques, reproductibles et qui sont produites artisanalement.
    Des semis aux sachets, tout est fabriqué à la main et sur la ferme.

    https://pensezsauvage.org
    #graines #catalogue #achat #graines #semences #tomates #fleurs #légumes

  • « La vraie #souveraineté_alimentaire, c’est faire évoluer notre #modèle_agricole pour préparer l’avenir »

    Professeur à l’université Paris-Saclay AgroParisTech, l’économiste de l’environnement #Harold_Levrel estime que le concept de « souveraineté alimentaire » a été détourné de sa définition originelle pour justifier un modèle exportateur et productiviste.

    Hormis les denrées exotiques, dans la plupart des secteurs, la #production_agricole nationale pourrait suffire à répondre aux besoins des consommateurs français, sauf dans quelques domaines comme les fruits ou la volaille. Or, les #importations restent importantes, en raison d’un #modèle_intensif tourné vers l’#exportation, au risque d’appauvrir les #sols et de menacer l’avenir même de la production. D’où la nécessité de changer de modèle, plaide l’économiste.

    Comment définir la souveraineté alimentaire ?

    Selon la définition du mouvement altermondialiste Via Campesina lors du sommet mondial sur l’alimentation à Rome en 1996, c’est le droit des Etats et des populations à définir leur #politique_agricole pour garantir leur #sécurité_alimentaire, sans provoquer d’impact négatif sur les autres pays. Mais les concepts échappent souvent à ceux qui les ont construits. Mais aujourd’hui, cette idée de solidarité entre les différents pays est instrumentalisée pour justifier une stratégie exportatrice, supposée profiter aux pays du Sud en leur fournissant des denrées alimentaires. Le meilleur moyen de les aider serait en réalité de laisser prospérer une #agriculture_vivrière et de ne pas les obliger à avoir eux aussi des #cultures_d’exportation. Au lieu de ça, on maintient les rentes de pays exportateurs comme la France. Quand le gouvernement et d’autres parlent d’une perte de souveraineté alimentaire, ça renvoie en réalité à une baisse des exportations dans certains secteurs, avec un état d’esprit qu’on pourrait résumer ainsi : « Make French agriculture great again. » Depuis le Covid et la guerre en Ukraine, la souveraineté alimentaire est devenue l’argument d’autorité pour poursuivre des pratiques qui génèrent des catastrophes écologiques et humaines majeures.

    Nous n’avons donc pas en soi de problème d’#autonomie_alimentaire ?

    Ça dépend dans quel domaine. Les défenseurs d’un modèle d’exploitation intensif aiment à rappeler que notre « #dépendance aux importations » est de 70 % pour le #blé dur, 40 % pour le #sucre, et 29 % pour le #porc. Mais omettent de préciser que nos taux d’auto-approvisionnement, c’est-à-dire le rapport entre la production et la consommation françaises, sont de 123 % pour le blé dur, 165 % pour le sucre, et 99 % pour le porc. Ça signifie que dans ces secteurs, la production nationale suffit en théorie à notre consommation, mais que l’on doit importer pour compenser l’exportation. Il y a en réalité très peu de produits en France sur lesquels notre production n’est pas autosuffisante. Ce sont les fruits exotiques, l’huile de palme, le chocolat, et le café. On a aussi des vrais progrès à faire sur les fruits tempérés et la viande de #volaille, où l’on est respectivement à 82 et 74 % d’auto-approvisionnement. Là, on peut parler de déficit réel. Mais il ne serait pas très difficile d’infléchir la tendance, il suffirait de donner plus d’aides aux maraîchers et aux éleveurs, qu’on délaisse complètement, et dont les productions ne sont pas favorisées par les aides de la #Politique_agricole_commune (#PAC), qui privilégient les grands céréaliers. En plus, l’augmentation de la production de #fruits et #légumes ne nécessite pas d’utiliser plus de #pesticides.

    Que faire pour être davantage autonomes ?

    A court terme, on pourrait juste rebasculer l’argent que l’on donne aux #céréaliers pour soutenir financièrement les #éleveurs et les #maraîchers. A moyen terme, la question de la souveraineté, c’est : que va-t-on être capable de produire dans dix ans ? Le traitement de l’#eau polluée aux pesticides nous coûte déjà entre 500 millions et 1 milliard d’euros chaque année. Les pollinisateurs disparaissent. Le passage en #bio, c’est donc une nécessité. On doit remettre en état la #fertilité_des_sols, ce qui suppose d’arrêter la #monoculture_intensive de #céréales. Mais pour cela, il faut évidemment réduire certaines exportations et investir dans une vraie souveraineté alimentaire, qui nécessite de faire évoluer notre modèle agricole pour préparer l’avenir.

    https://www.liberation.fr/environnement/agriculture/la-vraie-souverainete-alimentaire-cest-faire-evoluer-notre-modele-agricol
    #agriculture_intensive #industrie_agroalimentaire

  • « Nous aurons des années de rendement si faible que l’on ne pourra pas nourrir l’ensemble de la population »
    https://lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/vin-de-normandie-pates-de-sorgho-que-mangerons-nous-quand-leau-sera-rare-19

    « Tout ce qui est rare est cher », l’adage est bien connu. Or, avec les vagues de sécheresse inédites qui se succèdent en Europe, notamment en ce moment en Espagne , l’eau devient de plus en plus rare. Le #prix de l’or bleu pourrait donc s’envoler. Le ministère des Affaires étrangères néerlandais a voulu alerter sur cet avenir qui se dessine avec le site de vente en ligne The Drop Store (« le magasin de la goutte »). Sur ce site futuriste, la ressource est devenue si rare que chaque produit détaille la quantité d’eau nécessaire à sa production pour justifier son prix devenu exorbitant.

    Les denrées courantes deviennent en effet des mets précieux et leurs prix flambent. Par exemple, une fiole d’eau « très pure » de seulement 15 ml est vendue 182 euros ; un épi de maïs de 35 grammes, 129 dollars (118 euros) ; deux cubes de fromage, 109 dollars (100 euros) ; ou encore 4 carrés de chocolat, 3.600 dollars (3.200 euros) ! Pour chaque produit, une étiquette précise la cause de sa raréfaction : inondation, sécheresse, pollution…

    L’initiative choc reste une fiction, mais certaines des conséquences esquissées pourraient bien devenir réelles. Première activité consommatrice d’#eau en France, l’agriculture est en effet lourdement affectée par la baisse significative de la recharge des nappes phréatiques, de l’ordre de 10 % à 25 % en moyenne en France métropolitaine.

    D’ici à 2050, la #tendance des températures « sera à la hausse et nous allons connaître d’importantes et nombreuses variations interannuelles. Et ce sera encore plus vrai avec la pluviométrie », confirme Christian Huyghe, directeur scientifique de l’Inrae.

    A cet horizon, le #climat de la #France se rapprochera de celui de la Tunisie. Or, le pays du Maghreb doit se mobiliser pour conserver une forme de souveraineté alimentaire et éviter de nouvelles émeutes de la faim. Cette indépendance a un prix puisque pour maintenir son #agriculture, le pays investit dans le retraitement des eaux usées et construit des stations de dessalement d’eau de mer. Ces installations et leur utilisation ont un coût qui pourrait bien se répercuter sur le prix des denrées.

    […]

    La clé d’une adaptation réussie repose aussi sur un changement des régimes alimentaires pour les orienter vers des produits moins consommateurs d’eau. Sans surprise, les chercheurs plaident unanimement pour une assiette plus végétale. « Vraisemblablement, notre #consommation de produits animaux diminuera avec un #régime_alimentaire qui passera de 60 % de protéines d’origine animale à 40 ou 50 % », avance Christian Huyghe de l’Inrae. « Il faudrait également multiplier notre consommation de légumineuses par cinq », avance Sylvain Doublet.

    Les #fruits et #légumes vont aussi évoluer. Les consommateurs devront s’habituer à des fruits et légumes aux calibres et aux goûts différents. Par exemple, avec moins d’eau, la taille des pommes de terre se réduira ainsi que celle des fruits qui seront aussi plus sucrés. Par ailleurs, avec des rendements agricoles en baisse, la lutte contre le #gaspillage va s’intensifier.

    Un monde où l’eau est rare

    10 % à 25 % : baisse moyenne de la recharge des #nappes_phréatiques en France.

    9 ans : c’est la durée moyenne actuelle pour créer une nouvelle variété agricole en France.

    2050 : le climat de la France sera comparable à celui de la Tunisie.

    40 % à 50 % : proportion de protéines animales dans le régime alimentaire en France en 2050, contre 60 % aujourd’hui.

    182 euros : le prix de 15 ml « d’eau pure », si l’on ne change pas de système alimentaire, selon la politique-fiction des #Pays-Bas.

    • Cinq grains de riz pour 80 euros : un magasin en ligne (fictif) alerte sur les conséquences d’un monde sans eau

      https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-est-a-nous/cinq-grains-de-riz-pour-80-euros-un-magasin-en-ligne-fictif-alerte-sur-

      Le site internet The Drop Store créé à l’initiative du gouvernement néerlandais est un site très particulier où l’on trouve une dizaine de produits alimentaires seulement. Et pour se les offrir, il faut avoir les moyens.
      Un petit bout d’épis de maïs, 35 grammes : 118 euros. Un petit sachet de cinq grains de riz : 80 euros.
      Un flacon d’eau pure, plus chère que du parfum : 180 euros les 15 ml (l’équivalent d’une cuillère à soupe). On trouve aussi de l’eau normale bien plus abordable, mais elle est marron et, prévient l’étiquette, « susceptible d’être polluée par divers produits chimiques ou pharmarceutiques ». Pour vos petits creux, un snack protéiné, très « crunchy » comme dit l’emballage : on dirait une barre de céréales, c’est un agglomérat d’insectes, mouches, cafards et vers : 138 euros. Un produit de substitution à la viande rouge.

      Mais vous pourriez préférer les pilules en forme de mini-pizza, goût margherita – on dirait une boîte de médicaments – 148 euros. Un avis client (factice, comme le reste) dit : « Je n’ai jamais mangé de vraie pizza, mais d’après mes amis qui en ont déjà goûté, ces pilules ont un goût très ressemblant ».

      Une personne sur trois n’a déjà pas un accès libre à l’eau potable

      Ce site est une fiction pure, ces aliments, évidemment, ne sont pas à vendre. Ils ont été imaginés par l’agence Publicis à l’occasion de la Conférence des Nations unies sur l’eau qui s’est tenue en mars 2023. Car c’est peut-être ce qui nous attend dans un monde sans eau. Un monde où, à cause du changement climatique, des sécheresses et de la hausse des températures, l’eau potable deviendrait une ressource rare, voire inexistante.

      Cela peut vous paraître de la fiction, mais c’est déjà une réalité pour plus d’une personne sur trois dans le monde, selon l’Unicef et l’Organisation mondiale de la Santé. En 2030 (autant dire demain) près de la moitié de la planète aura des difficultés d’accès à l’eau potable.

      Et ce que veulent montrer les Pays-Bas avec ce site The Drop Store, c’est que cette crise de l’eau aura un impact direct, un impact majeur sur nos modes de consommation dans les pays développés. Et donc que le riz, le maïs ou la margherita deviendront des produits de luxe. Parce que pour produire un kilo de maïs, par exemple, il faut au total 1 222 litres d’eau. Chaque aliment a sa fiche de consommation en eau, basée sur une étude scientifique, et le site nous explique pourquoi on risque d’en arriver à cette raréfaction.

      La riziculture utilise par exemple 40% de toute l’eau d’irrigation dans le monde. Le riz contribue au bouleversement climatique, mais il en est aussi victime. Pour la margherita, c’est parce que la sécheresse aura eu raison des récoltes de tomates, d’olives et de blé. Et parce qu’il faut beaucoup trop d’eau aussi pour nourrir les bufflonnes qui produiront le lait pour la mozzarella. Le manque d’eau entraînant de mauvaises récoltes, une réduction de la production et une augmentation des prix pour tout le monde. « De nombreuses choses que nous mangeons et apprécions aujourd’hui disparaîtront complètement, dit The Drop Store, ce qui réduira la diversité et la nutrition de notre alimentation ».

      Des actions concrètes au quotidien

      L’initiative, pourtant, ne se veut pas culpabilisante. Les Pays-Bas ont surtout voulu créer un choc de conscience, avec l’idée c’est que l’on peut encore agir pour protéger la ressource eau. « Les Nations unies voulaient que nous diffusions ce message à l’échelle mondiale pour que les gens comprennent la valeur de l’eau », dit Eduardo Marques, directeur d’exploitation de Publicis.

      Le site renvoie vers des organisations partenaires comme le WWF ou le mouvement « Fill up the glass » qui propose aux jeunes des actions très concrètes dans la vie de tous les jours, comme limiter sa consommation de viande ou utiliser des protections hygiéniques réutilisables

    • #sorgho

      Le sorgho, une plante millénaire d’avenir

      Le sorgho est l’objet de toutes les attentions. La plante originaire de la région sahélienne constitue déjà l’aliment de base dans plusieurs régions arides et semi-arides. Cette céréale dotée d’un système racinaire profond peut en effet pousser malgré des températures élevées et un déficit hydrique important. La plante riche en protéines « possède des qualités nutritionnelles et énergétiques comparables à celles d’autres céréales », indique David Pot, du Cirad. Elle peut être consommée par les humains, mais aussi les animaux.

      Toutefois, si le sorgho est plus résistant que le maïs à la sécheresse, son rendement reste inférieur lorsque l’eau est abondante. « Cela résulte aussi d’investissements très importants de la recherche et des entreprises de sélection dans le maïs », précise David Pot. La céréale peu gourmande en engrais et en pesticides pourrait faire l’objet de recherche agrologique et d’investissements « laissant aussi présager des gains génétiques importants », indique le chercheur.

  • Une agricultrice contrainte d’arrêter sa production bio à cause de pesticides épandus il y a 30 ans
    https://basta.media/une-agricultrice-contrainte-d-arreter-sa-production-bio-a-cause-de-pesticid

    En fouillant un peu sur le Net, elle découvre que le même problème de #pollution à l’#aldrine est apparu dans le Bordelais, en 2016, avec des courgettes. À l’époque, plusieurs exploitations sont concernées, sur une superficie de plus de 150 hectares. Rebelote en 2018 dans le Finistère, avec des concombres. «  Cela signifie que les services de l’État savent ça et que nous, les producteurs, on n’est pas informés ? On nous laisse acheter des terres sans analyses préalables ? Faire des emprunts ? Prendre d’importants risques financiers ? Ce n’est quand même pas normal !  » s’indigne Delphine.

    [...]

    En même temps, une fois tracée la cartographie des pollutions, que pourrait faire l’État ? « Pour ces produits, comme pour le chlordécone [utilisé sur les plantations de bananes aux Antilles et responsable de multiples pollutions, ndlr] qui appartient à la même famille, il n’y a pas de technique de dépollution connue et efficace, explique Felix Lepers, chargé de la réglementation à la Fédération nationale de l’agriculture biologique (Fnab). La seule piste, c’est d’augmenter la quantité de matière organique pour diluer les polluants. »

    Autre technique à l’étude : le contournement de la pollution en travaillant sur des variétés qui ne fixent pas les organochlorés – des #légumes ou fruits qui ne les garderont pas. C’est d’ailleurs le conseil qu’a donné le préfet de Gironde aux producteurs et productrices touché.es par la pollution à l’aldrine, en 2016. Faudra-t-il donc bientôt choisir ce que l’on mange en fonction de ce que l’#agro-industrie aura épargné ?

    « La rémanence des ces produits est vraiment un problème pour nos producteurs, qui cultivent sans #pesticides, mais qui en retrouvent quand même dans leurs produits », insiste Felix Lepers, de la Fnab, précisant qu’il y a un effet « loupe » sur les fermes bios qui sont davantage surveillées que les autres.

    « Quand on est victime de pollution aux pesticides, on n’est jamais indemnisé en tant qu’agriculteur ou agricultrice, précise Dominique Dubrueil, président du Groupement d’agriculteurs biologiques du Morbihan (Gab 56). Ces dernières années, des collègues ont dû détruire toute leur production de pommes à cause d’une pollution au prosulfocarbe épandu par leurs voisins ». Le prosulfocarbe est un herbicide utilisé comme désherbant en #agriculture conventionnelle, notamment sur les cultures de céréales. Il s’agit du quatrième produit phytosanitaire le plus utilisé en France. Ces producteurs «  n’ont jamais été indemnisés  ».

  • Cake au thon et petits #Légumes
    https://www.cuisine-libre.org/cake-au-thon-et-petits-legumes

    Cuire à la vapeur environ 10 min des légumes frais variés coupés en bâtonnets. Sinon, utilisez une macédoine de légumes en conserve ou un reste de légumes déjà cuits, qui s’assortissent bien avec le poisson. Pendant ce temps, dans une poêle huilée, faites fondre 10 min à feu doux l’échalote finement découpée. Ajouter ensuite les légumes cuits avec les herbes (aneth, ciboulette, persil). Mélangez et salez à votre goût. Arrêtez la cuisson et réservez. Dans un grand saladier, fouettez les œufs. Puis, tout en… Légumes, #Cakes, #Farine_de riz / #Sans gluten, #Sans viande, #Sans lactose, #Four

  • Cake au thon et petits #Légumes
    https://www.cuisine-libre.org/cake-au-thon-et-petits-legumes-8474

    Cuire à la vapeur environ 10 min des légumes frais variés coupés en bâtonnets. Sinon, utilisez une macédoine de légumes en conserve ou un reste de légumes déjà cuits, qui s’assortissent bien avec le poisson. Pendant ce temps, dans une poêle huilée, faites fondre 10 min à feu doux l’échalote finement découpée. Ajouter ensuite les légumes cuits avec les herbes (aneth, ciboulette, persil). Mélangez et salez à votre goût. Arrêtez la cuisson et réservez. Dans un grand saladier, fouettez les œufs. Puis, tout en… Légumes, #Cakes, #Farine_de riz / #Sans gluten, #Sans viande, #Sans lactose, #Four

  • Oulado (potée tarnaise)
    https://www.cuisine-libre.org/oulado-potee-tarnaise

    Dans le Tarn, l’oulade est richement garnie de viandes diverses : oreilles de cochon, jarret, oie… Dans l’oule de terre ou de fonte brute garnie d’eau, mettre l’os avec les épices et les #Légumes, sauf les pommes de terre qui seront ajoutées seulement une heure après le démarrage ; compter 2 heures et demi de frémissement ; à ce moment là, plonger les 3 confits, groins, oreilles, jarrets, ficelés ensemble pour ne faire qu’un, et trois quart d’heure supplémentaires de frémissement. Dans chaque assiette… Légumes, #Porc, #Potées, #Béarn / #Sans œuf, #Sans lactose, #Bouilli

  • #Manger_autrement : L’#expérimentation

    À #Grossenzersdorf en #Autriche, dans un champ de 4 400 mètres carrés, les chercheurs ont entrepris de cultiver la totalité de ce que mange un Européen moyen : les #céréales, les #légumes et les #fruits d’une part, de l’autre le #fourrage destiné au #bétail produisant sa consommation d’origine animale. Il est rapidement apparu que les cultures fourragères et les produits importés occupaient deux fois plus de surface que les produits végétaux et locaux. L’#expérience a ainsi démontré que nous accaparons une #surface deux fois supérieure à celle dont nous disposons, et que notre #alimentation rejette autant de #gaz_à_effet de serre que l’automobile. Comment #se_nourrir_autrement ? Trois familles ont alors essayé de réduire leur part de surface cultivable en adoptant une alimentation plus responsable, moins riche en #viande et alignée sur la production locale et saisonnière.

    https://www.youtube.com/watch?v=vlHJeAFN-38


    #film #film_documentaire #documentaire
    #alimentation #géographie #espace #élevage

  • Patates douces Hasselback
    https://www.cuisine-libre.org/patates-douces-hasselback

    Pour des patates douces parfaites et croustillantes à chaque fois. Préchauffer le #Four à 220°C. Nettoyer les patates sans les peler. Les trancher finement, de façon régulière, mais sans les couper complètement : jusqu’au 2/3. Mélanger beurre, huile et aromates dans un petit bol. En badigeonner les patates partout, jusqu’entre les tranches. Placer sur une plaque de cuisson. Enfourner et cuire jusqu’à ce que le centre des pommes de terre soit tendre et l’extérieur croustillant, de 50 minutes à 1 heure. À… #Patate_douce, #Légumes_rôtis / #Végétarien, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans viande, Four

  • Tomates au four
    https://www.cuisine-libre.org/tomates-au-four

    Coupez les tomates en rondelles dans un plat allant au four. Ajouter l’ail coupé en petits morceaux, des #Herbes_de Provence, saler et poivrer. Badigeonner de moutarde à l’ancienne. Recouvrir de fromage râpé. Mettre au #Four à 200°C pendant 30 minutes environ. #Légumes_rôtis, #Tomate_fraiche, Herbes de Provence / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans gluten, Four

  • Environnement : De plus en plus de résidus de pesticides sur les fruits vendus dans l’UE
    https://www.lessentiel.lu/fr/story/de-plus-en-plus-de-residus-de-pesticides-sur-les-fruits-vendus-dans-lue-7

    Les résidus de pesticides chimiques sur les fruits cultivés dans l’Union européenne ont augmenté entre 2011 et 2019, alors que les États membres auraient dû en limiter l’utilisation au profit de produits de substitution, selon une étude de l’ONG PAN Europe publiée mardi.


    L’étude, basée sur l’analyse de quelque 97 000 échantillons de fruits frais (pêches, fraises, cerises, pommes, etc.), affirme que près d’un échantillon sur trois (29%) était contaminé par des traces de pesticides chimiques contre 18% en 2011. Or depuis 2011, relève cette ONG spécialisée, les États membres sont censés encourager les produits de substitution pour limiter autant que possible le recours à ces pesticides de synthèse – herbicides, fongicides, insecticides – considérés comme les plus à risque et dont l’autorisation est plus strictement réglementée dans l’UE.

    Objectif : réduction de moitié d’ici 2030
    Au niveau national, cette autorisation doit notamment faire l’objet d’une évaluation comparative avec les produits de substitution, est-il rappelé. Les résultats de l’étude jettent une ombre sur l’ambition de Bruxelles, arrêtée en 2020, de réduire de moitié d’ici à 2030 le recours à ces pesticides les plus dangereux. « S’il n’y a pas de mesures fortes, on ne voit pas comment cet objectif pourrait être respecté », a dit Salomé Roynel, de PAN Europe, qui rappelle que la Commission a le pouvoir de rappeler à l’ordre les pays « défaillants sur ce sujet ».

    L’ONG cite parmi les produits autorisés dont il faudrait absolument limiter l’usage le Tebuconazole, un fongicide toxique pour la reproduction, dont des traces ont été fréquemment retrouvées sur des cerises produites en 2019, en Espagne entre autres. Destinés à détruire des organismes vivants jugés nuisibles, les pesticides sont susceptibles d’avoir des effets sur la santé humaine, en augmentant les risques de problèmes de fertilité voire de déclencher certaines maladies (Parkinson, cancers).

    Les légumes moins contaminés
    En 2021, une expertise de l’Institut français de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a conclu à « une présomption forte de lien entre l’exposition aux pesticides de la mère pendant la grossesse ou chez l’enfant et le risque de certains cancers (leucémies, tumeurs du système nerveux central) ».

    Dans son étude, PAN (Pesticide Action Network) assure que la moitié des échantillons de cerises étaient contaminés par des traces de pesticides en 2019 (contre 22% en 2011), plus du tiers (34% contre 16%) pour ceux des pommes, le fruit le plus produit sur le continent.

    Les fruits les plus contaminés sont les mûres (51% des échantillons), les pêches (45%), les fraises (38%), les cerises (35%) et les abricots (35%), sur les neuf années étudiées, ajoute l’ONG. Pour les légumes, la contamination est plus faible car ils sont moins sujets aux insectes et aux maladies : 13% des échantillons étaient concernés en 2019 (11% en 2011), les légumes les plus concernés étant le céleri, le céleri-rave et le chou kale (31%).

    #ue #union_européenne #Bruxelles #pac #politique_agricole_commune #pesticides #poisons #Fruits #Légumes #herbicides #fongicides #insecticide

  • Patates douces rôties au miel
    https://www.cuisine-libre.org/patates-douces-roties-au-miel

    Préchauffer le #Four à 375ºF/190°C. Laver les patates douces à l’eau froide et frotter avec une brosse pour enlever la saleté. Couper les patates douces en cubes de 1 cm et les étaler sur un plat allant au four. Cuire au four pendant 30 minutes jusqu’à tendreté. Transférer les patates douces dans une sauteuse à feu moyen. Mélanger avec de l’huile d’olive, du miel, de la #Cannelle et du piment de la Jamaïque. Cuire 10 minutes jusqu’à ce qu’elles soient dorées. Saupoudrer de sel si désiré. Servir… Cannelle, #Patate_douce, #Légumes_rôtis, #États-Unis / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans lactose, #Sans gluten, Four

  • Courge rôtie au bleu
    https://www.cuisine-libre.org/courge-rotie-au-bleu

    Préchauffer le #Four à 215°C/420°F.

    Chemiser une plaque de papier cuisson. Laver, épépiner, peler et couper la courge en cubes moyens, de la taille d’une bouchée. Répartir sur la plaque de cuisson. Éplucher l’ail, couper chaque gousse en deux dans la longueur et répartir entre les morceaux de courge. Arroser d’huile. Saler, poivrer et saupoudrer de cannelle. Émietter la sauge et le thym. Concasser grossièrement les noix. Saupoudrer sur la courge. Enfourner et cuire 35 à 40 minutes. Avant de servir,… #Fromages_à pâte_persillée, #Bleue_de Hongrie, #Légumes_rôtis / #Végétarien, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans viande, Four

  • [ #RELOCALISATION ] - La FNSEA va-t-elle détruire l’agriculture Française ?

    https://www.youtube.com/watch?v=NFhtnFom_os

    Christiane Lambert, présidente de la FNSEA, est venue pleurnicher à la radio sur les conséquences du libre-échange, de la concurrence déloyal et des prix bas, qu’elle accuse d’être à l’origine de la perte de souveraineté alimentaire de la France.

    C’est pourtant son syndicat qui a promu ces politiques ces dernières décennies… et continue de le faire !

    [Plus d’infos] :
    Agriculture « Si rien n’est fait, en 2023, nous importerons plus que nous exporterons »
    https://urlz.fr/gqGc
    L’agrobusiness toujours plus d’argent, toujours moins de paysans
    https://urlz.fr/gqGe
    Médiapart révèle les salaires des dirigeants de la FNSEA payés par les cotisations des agriculteurs
    https://urlz.fr/gqGf
    Gaec Lambert Foulier:Un bâtiment délibérément conçu pour le confort des animaux. https://urlz.fr/gqGi
    Chiffres clés – Terrena
    https://urlz.fr/gqGj
    Tableau comparatif des syndicats agricole – coordination rurale- 2019.pdf
    https://urlz.fr/gqGl
    Christiane Lambert — Wikipédia
    https://urlz.fr/gqGm
    Politique agricole commune à la solde de la FNSEA
    https://urlz.fr/gqGn
    Réforme de la PAC Julien Denormandie se félicite de l’accord définitif obtenu à Luxembourg
    https://urlz.fr/gqGo
    Gestion des risques : la FNSEA travaille à faire payer les agriculteurs ! - (CR)
    https://urlz.fr/gqGp
    Que retenir du manifeste pour la souveraineté alimentaire solidaire de la FNSEA - (CR)
    https://urlz.fr/gqGq
    Il a dit, elle a dit... - (CR)
    https://urlz.fr/gqGr
    Rapport d’orientation FNSEA 2020. pdf
    https://urlz.fr/gqGt
    Pièces à conviction. FNSEA enquête sur un empire agricole - France 3 - 18 janvier 2017 https://urlz.fr/gqGu
    Détournements de fonds - Ce que révèle Pièces à conviction du 18 janvier 2017 France 3 - (CR)
    https://urlz.fr/gqGw

    #Agriculture #compétitivité par les #prix #ue #union_européenne #pesticides #brown_tech #eau #agro-industrie #agrobusiness #agroindustrie #france #impunité #pollution #environnement #alimentation #glyphosate #christiane_lambert #marché_mondialisé #compétitif #fermes géantes #productivité #productivité_agricole

  • #Lasagne de #Légumes
    https://www.cuisine-libre.org/lasagne-de-legumes

    Feuilles de lasagnes Faites bouillir une grande casserole d’eau salée puis faites cuire les lasagnes en suivant les instructions de l’emballage. Ajoutez quelques cuillères à café d’huile d’olive à l’eau pour que les feuilles ne collent pas entre elles. Égouttez-les puis posez-les à plat sur une feuille de papier d’aluminium. Préparer la sauce aux légumes Faites chauffer le #Four à 180°C. Huilez légèrement un plat de cuisson de 30 x 20 cm ou vaporisez-le d’un aérosol de cuisson antiadhésif. Faites chauffer… Légumes, #Ricotta, Lasagne, #Italie / #Sans viande, Four

  • Courge butternut rôtie au pesto de pistaches
    https://cuisine-libre.org/courge-butternut-rotie-au-pesto-de-pistaches

    Commencer par le pesto : pistaches et parmesan dans le bol d’un robot, un gros trait d’huile, mixer. Ajouter les feuilles des herbes, remettre un trait d’huile, le jus de citron et une poignée de sel de mer et mixer de nouveau (quelques impulsions). Mettre le pesto au frais. Préchauffer le #Four à 200°C. Enduire les quartiers de courge d’huile d’olive. Saler et poivrer généreusement. Mettre sur une plaque de cuisson tapissée de papier sulfurisé. Enfourner 45 à 50 minutes, jusqu’à ce que les quartiers… #Pistache, #Doubeurre, #Légumes_rôtis / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans gluten, Four

  • Petite et grande histoire des légumes - - Eric Birlouez (EAN13 : 9782759231973) | Librairie Quae : des livres au coeur des sciences
    https://www.quae.com/produit/1648/9782759231973/petite-et-grande-histoire-des-legumes

    L’histoire des #légumes, depuis leur #domestication jusqu’à nos jours, transporte le lecteur dans l’Antiquité, le Moyen Âge, la Renaissance ou l’époque industrielle. Elle montre l’impact profond qu’a eu, sur notre alimentation de tous les jours, la découverte il y a cinq siècles, dans le Nouveau Monde, de la pomme de terre, de la tomate, des piments, des haricots…. Le statut des légumes – aliments convoités ou méprisés – a beaucoup varié au cours des siècles. Les dimensions culturelles et symboliques, les usages courants en médecine et en cuisine notamment, les atouts en termes de nutrition et de santé ainsi que l’économie ne sont pas oubliés pour autant.

    Cette saga des légumes nous parle aussi de l’obstination des premiers horticulteurs à « domestiquer » les espèces sauvages et de l’invention de la cuisson ou de la fermentation qui ont permis de rendre comestibles des végétaux souvent toxiques à l’état sauvage.

    #livre qui a inspiré la chronique de Hervé Gardette
    Une bonne soupe de légumes et au lit !
    https://www.franceculture.fr/emissions/la-transition/une-bonne-soupe-de-legumes-et-au-lit

  • #Panais rôtis au fenouil
    https://cuisine-libre.fr/panais-rotis-au-fenouil

    Préchauffez le #Four à 210°C. Brossez soigneusement les panais sous l’eau. Coupez les extrémités et grattez les parties abîmées. Taillez les panais en quatre dans le sens de la longueur, en grosses frites, en ôtant le cœur s’il est dur et fibreux. Enrobez les panais avec l’huile, le vinaigre, le fenouil, le sel et le poivre. Déposez-les sur une plaque à cuisson recouverte de papier parchemin. Cuire au centre du four une vingtaine de minutes ou jusqu’à ce que les panais soient tendres et bien… Panais, #Légumes_rôtis / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans lactose, Végétalien (vegan), Four

    #Végétalien_vegan_

  • ’We pick your food’ : migrant workers speak out from Spain’s ’Plastic Sea’

    In #Almería’s vast farms, migrants pick food destined for UK supermarkets. But these ‘essential workers’ live in shantytowns and lack PPE as Covid cases soar.

    It is the end of another day for Hassan, a migrant worker from Morocco who has spent the past 12 hours under a sweltering late summer sun harvesting vegetables in one of the vast greenhouses of Almería, southern Spain.

    The vegetables he has dug from the red dirt are destined for dinner plates all over Europe. UK supermarkets including Tesco, Sainsbury’s, Asda, Lidl and Aldi all source fruit and vegetables from Almería. The tens of thousands of migrant workers working in the province are vital to the Spanish economy and pan-European food supply chains. Throughout the pandemic, they have held essential worker status, labouring in the fields while millions across the world sheltered inside.

    Yet tonight, Hassan will return to the squalor and rubbish piles of El Barranquete, one of the poorest of 92 informal worker slums that have sprung up around the vast farms of Almería and which are now home to an estimated 7,000-10,000 people.

    Here, in the middle of Spain’s Mar del Plastico (Plastic Sea), the 31,000 hectares (76,600 acres) of farms and greenhouses in the region of Andalucía known as “Europe’s garden”, many of El Barranquete’s inhabitants don’t have electricity, running water or sanitation.

    Hassan’s house, like all the others in El Barranquete, is constructed from whatever he could find on rubbish dumps or the side of the road; pieces of plastic foraged from the greenhouses, flaps of cardboard and old hosing tied around lumps of wood. Under Spain’s blazing sun, the temperature can reach 50C – at night the plastic sheeting releases toxic carcinogenic fumes while he sleeps.

    When he first arrived in Spain, Hassan was stunned by how the workers were treated on the farms. Like other workers in El Barranquete, Hassan says he earns only about €5 (£4.50) an hour, well under the legal minimum wage. “The working conditions are terrible,” he says. “Sometimes we work from sunup to sundown in extreme heat, with only a 30-minute break in the whole day.”

    Now, as Almería faces a wave of Covid-19 infections, workers say they have been left completely unprotected. “We pick your food,” says Hassan. “But our health doesn’t matter to anyone.”

    In August, the Observer interviewed more than 45 migrants employed as farm workers in Almería. A joint supply chain investigation by Ethical Consumer magazine has linked many of these workers to the supply chains of UK supermarkets including Tesco, Sainsbury’s, Asda, Lidl and Aldi.

    All claimed to be facing systemic labour exploitation before and throughout the pandemic such as non-payment of wages and being kept on illegal temporary contracts. Many described being forced to work in a culture of fear and intimidation. Some of those who complained about conditions said they had been sacked or blacklisted.

    Workers employed by Spanish food companies linked to UK supermarkets also claimed that throughout the pandemic they have been denied access to adequate personal protective equipment (PPE) that under Spanish law they are entitled to as essential workers. Many said they were not given enough face masks, gloves or hand sanitiser and have been unable to socially distance at work.

    One man employed at a big food company supplying the UK says that he has only been given two face masks in six months.

    In response to the investigation, the British Retail Consortium – members of which include Sainsbury’s, Asda, Lidl and Aldi – released a statement calling on the Spanish government to launch an inquiry.

    Commenting on the Observer’s findings, Olivier De Schutter, the United Nations special rapporteur on extreme poverty, says the situation facing migrant workers in southern Spain is a human tragedy.

    “The pandemic has exacerbated the unacceptable conditions facing migrant workers and the Spanish government must urgently act. But two-thirds of all fruit and vegetables consumed across Europe and the UK come from these greenhouses and all the companies and retailers up these supply chains have a responsibility to these workers as well,” he says.

    Spain is experiencing the highest numbers of new Covid-19 infections in Europe, with the province of Almería recording more than 100 new cases a day.

    Despite the local government in Almería claiming that the virus has not reached the plastic settlements, there have been multiple outbreaks on farms across the province and in the cortijos, the dilapidated housing blocks near the farms in which workers live.

    As Covid-19 infections rise, medical charities such as as Médicos del Mundo are supplying masks, gloves and temperature checks in the settlements in scenes more reminiscent of a disaster zone than one of the richest countries in the world.

    “People want to protect themselves, but they cannot”, says Almudena Puertas from the NGO Cáritas. “They are here because there is work and we need them.”

    In the past month, the local government in Andalucía has allocated €1.1m to create better health and safety conditions, but critics say they have yet to see any significant improvements.

    “I do not understand why these people are not being rehoused in better accommodation. Do we have to wait for them to get Covid instead of looking for a much more dignified place, with adequate hygienic conditions?” says, Diego Crespo, a Forward Andalucía party MP.

    Hassan knows that his work and living conditions make him vulnerable to becoming infected with Covid-19. When asked whether he is supplied with PPE at work, Hassan laughs. “Gloves and face masks in the greenhouse? Temperature checks?” he says. “They don’t give you anything.”

    Like many of the people living in the settlements, he say he is more scared of not being able to work than they of becoming ill. If he can’t send money home, his children don’t eat.

    One groups of workers say that they lost their jobs after testing positive for Covid-19 and quarantining at home. Muhammad, a farm worker from Morocco, said that when he and others had recovered and returned to work, some of them were told there was no work for them.

    “When I contracted Covid-19, I’d already spent two years working for this company without papers and two years on a temporary contract, but when I came back they said there is nothing for me here,” he says. He says he and the other workers who did not get their jobs back also did not receive the sick pay they were entitled to as essential workers.

    The Soc-Sat union, which represents agricultural workers across Almería, says the failure to provide farm workers with basic PPE speaks to the culture of impunity that surrounds the mistreatment of Spain’s migrant workforce.

    “Around 80% of fruit companies in Almería are breaking the law,” says José García Cuevas, a Soc-Sat union leader. The union says that across the region, widespread fraud is being perpetrated on the farm workers. “People will work 25 days but their employers will only count 10,” he says. “Or when you look at the payslips, it says €58 a day, which is minimum wage but that’s not what the worker is receiving.” He says that according to figures from the General Union of Workers, workers lose out on up to €50m of wages every year.

    For decades, the exploitation and abuse of migrant workers in Spain has been widely condemned by UN officials and human rights campaigners, but to little effect.

    Soc-Sat says that in 2019 it dealt with more than 1,000 complaints from migrant workers about exploitation and working conditions. This year it also says it has helped workers file legal complaints against food companies in Almería for breaching labour laws and not providing adequate PPE.

    “If, under normal conditions, health and safety regulations are not followed, you can imagine what’s happening in the current situation with a pandemic,” says García Cuevas.

    In its statement, the British Retail Consortium (BRC) says its members have zero tolerance for labour exploitation: “Many grocery members have funded and supported the Spain Ethical Trade Supplier Forums ... We call on the Spanish government to launch an investigation into labour conditions in the Almería region to help our members stamp out any exploitative practices.”

    In a separate statement, Tesco says it was aware of the issues surrounding migrant workers in Southern Spain and that the company worked closely with growers, suppliers and Spanish ethical trade forums to ensure good standards.

    The Andalucían Ministry for Labour, Training and Self-Employment in Andalucía said that it had delivered training for businesses on how to protect workers against Covid-19. In a statement it says, “You cannot criminalise an entire sector that is subject to all kinds of controls by the labour, health and other authorities and that must also abide by strict regulations regarding the protection of workers’ rights and prevention and occupational health.”

    In two weeks, the greenhouses of Almería will be at their busiest as the high season for tomatoes, peppers and salad begins. Ali, a farm worker who has been in Spain for more than 15 years, doesn’t expect his situation to improve.

    “If you complain, they will say: ‘If you don’t want to work here then go home,’” he says. “Every worker here has a family, a wife and children, but the only thing that matters is that we work to get the vegetables to Germany or the UK. It’s like they have forgotten we are also human beings.”

    https://www.theguardian.com/global-development/2020/sep/20/we-pick-your-food-migrant-workers-speak-out-from-spains-plastic-sea
    #Espagne #agriculture #exploitation #asile #migrations #travail #alimentation #plastique #supermarchés #grande_distribution #migrants_marocains #serres #légumes #Tesco #Sainsbury’s #Asda #Lidl #Aldi #El_Barranquete #Mar_del_Plastico #Andalucía #Andalucia #travail #conditions_de_travail #esclavage_moderne #covid-19 #coronavirus #logement #hébergement #Soc-Sat #British_Retail_Consortium (#BRC) #Spain_Ethical_Trade_Supplier_Forums

    ping @isskein @karine4 @thomas_lacroix

  • Figues rôties au #Chèvre
    https://cuisine-libre.fr/figues-roties-au-chevre

    Retirer les pédoncules et couper les figues en croix à partir du sommet en n’allant pas jusqu’à la base. Les disposer sur une plaque de cuisson. Garnir chacune d’un peu de fromage de chèvre, d’une lichette de miel, saler et poivrer légèrement. Passer 10 minutes sous le grill du #Four, le temps que le fromage commence à fondre. Si vos figues sont très mûres réduisez le temps de cuisson. Servir aussitôt, en décorant chaque #Figue d’un cerneau de… Figue, Chèvre, #Légumes_rôtis / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans gluten, Four

  • Quiche ratatouille chèvre
    https://cuisine-libre.fr/quiche-ratatouille-chevre

    Faire cuire la ratatouille encore congelée dans un fait-tout sans matière grasse avec des herbes de Provence, environ 10 minutes. Dans un saladier casser l’œuf, ajouter la crème, le fromage de chèvre, puis mélangé énergiquement pour ramollir le fromage de chèvre. Ajouter le fromage râpé, saler et poivrer. Pour finir incorporer la ratatouille cuite, ajouter un peu de lait si la préparation vous semble trop compacte. Étaler votre pâte dans un moule, piquez-la avec une fourchette, mettre la préparation,… #Légumes-fruits, #Quiches / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Four

  • Salade de #Pâtes aux légumes
    https://cuisine-libre.fr/salade-de-pates-aux-legumes

    Cuire les pâtes selon les instructions du paquet.

    Égoutter et laisser refroidir. Pendant ce temps, couper le concombre en dès, les tomates en deux et le gouda en petits cubes. Égoutter le maïs. Préparer une vinaigrette relevée au fond d’un grand saladier. Ajouter les pâtes, mélanger. Ajouter les autres ingrédients. Saler et poivrer au goût et mélanger Garder au frais jusqu’au moment de… Pâtes, #Légumes-fruits, #Salades_de_pâtes / #Sans viande, #Sans œuf, #Végétarien, #Bouilli

  • #Coronavirus fears for Italy’s exploited African fruit pickers

    As panic buyers empty supermarket shelves across the world, are the agricultural workers who fill them being protected?

    As Italy’s north struggles to contain the spread of coronavirus, fears are growing in the south for thousands of migrant workers, mostly from Africa, who pick fruit and vegetables for a pittance and live in overcrowded tent camps and shantytowns.

    The health infrastructure in the south is not as advanced as that in the north, and a vast infection outbreak could be devastating.

    “Coronavirus cases have steadily increased also in other regions in Italy over the past weeks,” said public health expert Nino Cartabellotta. “There is a delay of around five days compared with the north, although we are witnessing the same growth curve across the country.”

    In the north, foreign farm workers hailing from Eastern Europe have returned to their home countries, choosing to risk poverty over disease, and there are no new arrivals.

    But fruit pickers in the south are stuck in camps, often lacking water and electricity and facing exploitation.

    Italy is not alone.

    Migrant workers are exploited across the European Union, forced to work endless hours and denied minimum wage or safety equipment, research by the EU Agency for Fundamental Rights shows.

    Now, the coronavirus pandemic endangers them further.

    In 2016, Coldiretti, a farmers’ group, estimated that there were around 120,000 migrant workers in Italy, mostly from Africa and Eastern Europe.

    Some 2,500 African crop pickers work in Calabria’s Gioia Tauro plain, a farming hot spot in the south known for tangerines, oranges, olives and kiwis and for being an infamous mafia stronghold.

    Agricultural employers often work by the “caporalato”, an illegal employment system in which labourers are exploited for little pay.

    Two weeks ago, the region had no known coronavirus cases. Today, there are at least 169.

    Last summer, the largest shantytown in the plain was shut down. Italian civil defence built a new camp with running water and electricity a few metres away from the old informal settlement, but equipped it with just 500 beds.

    This tent camp was eventually sanitised on Sunday, after repeated calls from humanitarian associations and the town’s mayor.

    Although hygiene conditions are better than in the nearby slums, strongly advised social distancing measures are almost impossible to implement.

    After the old shantytown was evacuated, its residents were not provided alternative housing, save for a small tent camp, forcing many to look for new improvised shelters somewhere else.

    In the neighbouring towns of Taurianova and Rizziconi, two overcrowded slums hosting 200 people each have emerged. Migrants live in shacks built from cardboard, wood, plastic and scrap metal.

    Potable water and electricity are nowhere to be found. Workers build makeshift toilets or simply relieve themselves in the fields.

    “This requires an immediate intervention from the authorities to put these people in a condition of safety and dignity,” Francesco Piobbichi, who works with Mediterranean Hope FCEI, a project run by Italy’s Evangelical Church Federation, told Al Jazeera. "These workers are key to fill supermarkets’ shelves with fresh fruits and vegetables. We cannot deny them protection amid the emergency.

    “Our protracted attempt of dismantling the slums now needs a drastic acceleration. We are telling the civil defence, the government and regional councils they need to provide these workers with a housing solution as soon as possible to avoid the spread of the infection.”

    There are some 35,000 empty houses in the agricultural plain. Aid agencies say that instead of investing in more camps, workers should be allowed to use these homes.

    Hand sanitiser has been distributed at settlements, said Andrea Tripodi, mayor of San Ferdinando, adding he also managed to secure gloves and finalised the purchase of cameras with a thermal scanning system to quickly identify people with a fever - one of the coronavirus symptoms.

    “We certainly need more measures and other devices amid this health emergency, also to prevent social tension from rising,” Tripodi said. “We are doing everything we can. We are also collecting soaps and shampoos to distribute among the workers. But we are left alone.”

    Aid groups, meanwhile, are busy raising awareness.

    “But it is really complex to explain to them that they need to wash their hands for about 25 seconds when they lack water in their settlements because the prefecture dismantled their camp’s illegal connection,” Piobbichi said, adding that the current nationwide lockdown restricts the movement of both aid workers and migrants.

    In the southern province of Foggia, 500 kilometres north of Gioia Tauro, thousands pick tomatoes, olives, asparagus, artichokes and grapes in the country’s largest agricultural plain.

    “The situation has become a race against the clock,” said Alessandro Verona, a health worker with the humanitarian group INTERSOS. “We are expecting a peak of the pandemic in Apulia towards the end of the month or beginning of the next.”

    Apulia has more than 200 infected patients. But like in Calabria, no infection has yet been confirmed among the migrant workers.

    “We are making blanket prevention activities across all settlements. We have reached around 500 people so far. Still, this is not enough.”

    In many of these settlements, water shortages are common and in emergencies people resort to farm water.

    “The only efficient prevention measure is to take these people out of the ghettos as soon as possible, especially from the most crowded ones. If not, we will face an unmanageable situation. But only the government and the institutions are capable of such a thing,” Verona said.

    In southern Campania, migrant workers are still gathering near large roundabouts of busy roads to meet their bosses. The region has now more than 650 infected patients.

    Jean d’Hainaut, cultural mediator with the anti-exploitation Dedalus cooperative, said among the people his association supports, many are waiting for their asylum requests to be completed - meaning they lack a residency permit and cannot access basic healthcare.

    Italy grants residency permits to migrant workers possessing contracts. But lengthy bureaucratic processes mean permits frequently arrive late, often towards their expiration. This process has been suspended amid the pandemic.

    In November 2018, Italy passed the so-called “migration and security decree” drafted by former Italian interior minister and far-right League party leader, Matteo Salvini - a move that pushed hundreds of vulnerable asylum seekers onto streets.

    The document cracked down on asylum rights by abolishing the “humanitarian protection” - a residence permit issued for those who do not qualify for refugee status or subsidiary protection but were deemed as vulnerable.

    “Over 90 percent of the people we meet at the roundabouts hail from Africa’s sub-Saharan countries. We are talking about a couple of hundred of workers, though numbers are difficult to pin down precisely,” d’Hainaut says.

    “We have been distributing a safety kit among workers for the past couple of years,” he says. “This has now turned to be very useful as it includes gloves, paper-made protective clothing and protective masks.”

    The agency has decided to remain on the street to keep offering its services to the migrant workers whose daily job means survival.

    “Last Thursday, I only saw around 20 people waiting for recruiters. The information campaign has been successful. Still, demand for workers has also decreased. I’ve asked the municipality to help distribute food,” d’ Hainaut.

    “This would further limit people’s presence on the street. I’d feel more reassured to tell workers to stay home while providing them with something to eat.”

    https://www.aljazeera.com/indepth/features/coronavirus-fears-italy-exploited-african-fruit-pickers-200318154351889.h
    #Italie #travail #exploitation #tomates #Campania #fruits #Gioia_Tauro #Calabre #Calabria #caporalato #Taurianova #Rizziconi #campement #baraccopoli #légumes #Pouilles #prévention

  • Tourte pascaline aux légumes
    https://cuisine-libre.fr/tourte-pascaline-aux-legumes

    Étaler finement la pâte à l’huile en deux disques. Étaler un premier disque sur dans une tourtière (ou foncer 6 cercles à tarte de 12 cm de diamètre, en laissant dépasser 1 cm de pâte tout autour. Tailler 6 disques de 14 cm de diamètre.) Disposer le tout sur une plaque à pâtisserie antiadhésive, couvrir d’un linge et conserver au frais. Ébouillanter les pois et les fèves. Retirer le pistil des fleurs de courgette et couper ces dernières en fines lanières dans le sens de la longueur. Ciseler toutes les…

    #Petits_pois, #Légumes_verts, #Fève, #Tourtes_et pâtés_en croûte / #Sans_viande, #Sans_lactose, #Four