#la-brique

  • La Brique N°53-Hiver 2017 - Y reste du gratin ! dans les Kiosques
    http://labrique.net/index.php/numeros/946-n-53-hiver-2017-y-reste-du-gratin

    L’élite se délite - Ecolo-Tratuferie - Lille néo coloniale - Saccage universitaire

    Au Sommaire :
    P2. Edito « Bilan de mi-molette ! »
    p3. Olieux - Expulse un peu, pour voir !
    p4-5. Il faut trouver le soldat Médine
    p6-7. Cyril Dion : Coli-briseur d’écologie
    p8. L’appel du rond-point
    p9. Pas de Paribas, pas de chocolat
    p10-11. S’il suffisait de parler
    p12-13. A vos marques. Prêt ? Fusionnez.
    p14. We don’t need no selection
    p15. Brèves
    p16-17. La mare aux crevard.es
    p18-19. Making Lille great again

    #La-Brique #HDF #Lille #Presse-alternative #médias #luttes #médias_libres #investigations

  • La Brique : N°52 L’ombre des statues - Le Lille City tour !
    http://www.campuslille.com/index.php/entry/la-brique-n-52-l-ombre-des-statues-le-lille-city-tour

    La Brique, le journal sans peur, sans reproche, sans publicité, sans subventions, sans concession, le collectif sur Radio Campus Lille.
    Interview depuis un des petits salons du Casinos Barrière, on fait le point sur le numéro 52.

    L’ombre des statues pourquoi ?
    Le City tour de Lille.
    L’Agence du médicament, le projet est quand même retenu.
    Lille Capitale du Design, à 500 000 euros. The World Design Organization (WDO) Le lien.
    Friches artistiques - Lieux sans nom.
    Pas d’outrage, pas de paye.
    La pirogue.
    Annonce du numéro 53 de La Brique.

    N°52 - AUTOMNE 2017 - L’OMBRE DES STATUES
    http://labrique.net/index.php/numeros/929-n-52-automne-2017-l-ombre-des-statues
P.2 Edito
P.3 Olieux - Gare sans sauveur
P.4-5 Pas d’outrage, pas de paye
P.6 Brèves
P.7 City-Tour...ne pas rond
P.8-9 L’Union fait la force
P.10-11 Squats : Partout chez nous
P.12-13 CCL : l’oppidum du peuple
P.14-15 Friche artistique - Lieux sans nom
P.16-17 LGBT : quand Lille sort du placard
P.18 Brèves
P.19 Bar "La pirogue"
P.20-21 BCE : quels intérêts
P.22-23 Un samedi à Bazancourt
P.24 Procès Hermant...à suivre.
    VISITE GUIDÉE SIGNÉE AUBRY DANS UN LILLE QUI BOUGE, l’article de la voix du Nord

    Martine Aubry transformée en guide de tour-opérateur, micro en main, à l’avant d’un bus de journalistes. C’était ce vendredi matin, un préambule très concret au lancement de sa communication à mi-mandat.
L’occasion de réviser ses basiques. Ici à Lille, on ne néglige pas les quartiers populaires, bien au contraire. La ville y facilite d’abord la circulation des voitures, des vélos, des piétons, sans oublier de meilleures connections au centre-ville. Elle donne envie d’y vivre en construisant (ou réhabilitant) des logements, des parcs, des écoles... ; puis donne l’envie d’y venir, via quelques équipements.


    Illustration à Moulins, avec la porte de Valenciennes, qui a notamment vu pousser la maison Stéphane-Hessel, inaugurée en février 2016. Elle abrite la Maison de l’économie sociale et solidaire, une auberge de jeunesse et une crèche de 70 places. Le secteur est encore en chantier, avec la livraison de 600 logements à venir à l’horizon 2019.
De Fives au projet Swam . . . . . . .

    EDITO N°52 - HISTOIRES À LUTTER DEBOUT.
    On vous a laissé.es cet été avec un bon gros numéro sur le travail qui écrase et qui tue. Il n’a pas pris une ride.

    On dénombre le seizième suicide d’un ancien de Goodyear tandis que les victimes de l’amiante ont été une fois de plus déboutées de leur procès. Cette rentrée ne nous prépare rien de mieux au vu du dézingage du droit du travail désormais tout à fait sur les rails, version XXL de la loi El Khomri. Même si on ne comptait pas sur les contrats précaires pour sauver les droits sociaux, on est tout de même abasourdi.es de voir que la majorité des assos’ locales et pas mal de structures d’aide sociale crèvent de ne plus avoir les contrats aidés pour survivre. Les coupes réglées dans les conquis sociaux s’incarnent très concrètement dans nos quotidiens déjà fragiles.


    Alors quoi faire ? Bien sûr, on se joint dès qu’on peut aux centaines de milliers de personnes qui battent le pavé pour contester Macron et sa coupe réglée du droit du travail. L’ampleur réjouissante des mobilisations révèle en creux l’ampleur de la merde dans laquelle on est. Des manifs où beaucoup d’entre nous s’amènent avec la boule au ventre. Avec l’entrée de l’état d’urgence dans le droit commun, la répression des militant.es a de beaux jours devant elle. Des camarades prennent du ferme pour avoir osé militer. La rue ne peut plus ces temps-ci, sous les drapeaux colorés des syndicalismes divers, faire croire qu’elle est le terrain de jeux pacifié du « dialogue social ».

    Or, les combats actuels ont une continuité directe avec l’histoire des luttes passées. Depuis près de deux siècles, l’essor de l’industrie textile et la formation d’une classe ouvrière se sont faites au profit de quelques bourgeois. L’histoire et la mémoire légitimes ont toujours été façonnées au profit des possédant.es, au détriment de celle.ux qui l’ont faite et subie. . . . .
    La suite : http://labrique.net/index.php/thematiques/editos/930-edito-n-52-histoires-a-lutter-debout

    PAS D’OUTRAGE PAS D’PAYE !

    « All cops are bastards », « mort aux vaches », « un flic, une balle », « fumier » . Scandés en manifs ou tagués sur les murs de nos villes, ces (é)cri(t)s de rage contre la police fleurissent avec la rentrée sociale. Mais ils apportent un tas d’emmerdes à qui se risque à les exprimer, quand les flics en font leur treizième mois. . . . . . .


    La suite : http://labrique.net/index.php/thematiques/repressions/935-pas-d-outrage-pas-d-paye-3

    BAR LA PIROGUE : « DÉGAGE SALE PÉDÉ ! »

    Dans le Vieux Lille, La Pirogue est un bar traversant entre la rue de Weppes et la rue Jean Jacques Rousseau. Dans cet établissement ouvert depuis une vingtaine d’années, tous les ingrédients seraient réunis pour passer un bon moment si le personnel n’avait pas la cogne un peu facile, transformant le moment festif en cocktail explosif.


    Alertée par un lecteur, La Brique s’est penchée sur les drôles d’habitudes de la Pirogue. Le 16 août 2017 vers 23h, sortant du bar gay le Privilège, Emmanuel et son frère François de passage à Lille, vont terminer leur soirée à La Pirogue. Emmanuel connaît le bar depuis dix ans. Les deux frangins ne sont ni violents, ni ivres : Emmanuel concède « avoir bu seulement trois pils ». Rien d’extraordinaire dans un quartier où il n’est pas rare de croiser une faune largement plus éméchée.

    « Après notre entrée, l’un des barmen me donne la carte et sans raison apparente la refuse à mon frère en lui disant qu’il ne le servirait pas. » Drôle de situation et esprit peu commerçant. Les frères demandent la raison du refus et François récolte un... « Dégage sale pédé ! ». Emmanuel est abasourdi et fait entendre que « ces manières sont totalement inacceptables ». Ni une ni deux, le barman « saute par-dessus le bar » en furie. « Il nous a violemment mis à la porte avant de nous frapper tous les deux avec l’aide de l’autre barman, sous les yeux incrédules du videur présent pendant la scène. Mon frère a pris un coup de poing. Moi deux, avant que l’un d’entre eux me gaze avec une bombe lacrymogène ! » Que le barman vide à moins d’un mètre du visage d’Emmanuel.

    Les passant.es, les client.es et même le videur interviennent en donnant de l’eau et en appelant les pompiers. . . . . .
    http://labrique.net/index.php/thematiques/histoires-du-bocal/931-bar-la-pirogue-degage-sale-pede

    ACCOMPAGNEMENT MUSICAL :

    Naif, L’assureur militant. 
Mégacombi (Radio Canut) http://audioblog.arteradio.com/blog/3012947/megacombi
    Le petit jardin - Jacques Dutronc.
    https://www.youtube.com/watch?v=Z8O_XEggIMs


    Ch’ti Lyrics Les corons.
    https://www.youtube.com/watch?v=YC7ptWTm-LQ

    Les Ch’ti Lyrics - Odile et Odette Vandekaestecker, deux comédiennes chanteuses interprètent un spectacle musical a cappella.
    De "formation lyrique", ce duo propose un concert inspiré du répertoire de chansons
    régionales et plus particulièrement en « Ch’ti » : de l’immuable hymne du P’tit quinquinà la déchirante mélodie Les Corons, de l’originale musique
    de film Quand la mer monte à l’attendrissante ballade Tout in haut de ch’terril, mais également avec l’audacieuse reprise en ch’ti Tout di parèle (d’après le succès international My Way / Comme d’habitude), ...
    Elles explorent la mémoire de nos grands classiques. Leur virtuosité vocale couplée d’une polyphonie inventive permettra à la fois de reconnaître les plus grands tubes patoisants, et de dénicher des joyaux d’humour et de bon sens plus que centenaires.

    http://compagnieonoff.com/spectacle/chti-lyrics

    #La-Brique #HDF #Lille #Presse-alternative #médias #Audio #Radio #Radio-libre #Radio-Campus-Lille #luttes #médias_libres