#la_casa_de_papel

  • l’histgeobox : « Casa del Mouradia », une chanson pour dénoncer le braquage de l’Algérie par le clan Bouteflika.
    http://lhistgeobox.blogspot.com/2019/11/casa-del-mouradia-une-chanson-pour.html
    https://lh3.googleusercontent.com/proxy/zFp4OnzKumdVj4QVkgz-3R1n9dqvA65QOaKy1OMqia5jmJvweyUQUxRhrYyj_

    La Casa del Mouradia évoque d’abord le désespoir de la jeunesse algérienne ("On en a assez de cette vie") dont un des principaux échappatoires reste la drogue ("je consomme à petites doses"). Puis les mandats d’Abdelaziz Bouteflika sont passés en revue comme les épisodes d’une série. Dans l’épisode pilote, en 1999, le nouveau président accède au pourvoir en manipulant une population traumatisée par la guerre civile ("ils nous ont eu avec la décennie noire"). Dès le second mandat, les Algériens identifient le double jeu des autorités ("l’histoire est devenue claire") : le clan Bouteflika a fait main basse sur le pouvoir et le quartier présidentiel. Tel un nuage de criquets s’abattant sur les récoltes, Boutef’ et sa clique détournent les ressources nationales à leur seul profit, obligeant la population à se serrer la ceinture. ["Le pays s’est amaigri / La faute aux intérêts personnels"]. Au quatrième, la « poupée est morte ».

  • Ah Bella ciao…
    http://lescenobitestranquilles.fr/2018/04/ah-bella-ciao
    Amis des « Cénobites tranquilles » et du livre de poche réunis, bonjour ! C’est donc en ce Lundi 30 avril de l’an de grâce 2018, onzième jour de Floréal dédié à la rhubarbe, qu’apparaît aux yeux du monde, béat d’admiration, cela va sans dire même si ça va mieux en l’écrivant, ce 4121è billet des « #cénobites tranquilles » que l’univers blogosphérique dans son entier nous envie…

    Ma doue benniget, « Ils » ne respectent plus rien ! Ainsi, la chanson Bella Ciao connaît un regain de popularité ces derniers mois mais en tant que… « la chanson de #La_Casa_de_Papel ».


    Cette série de #Netflix, dont la saison 2 vient de sortir, connaît un succès retentissant chez les ados, qui suivent le suspense haletant d’un incroyable braquage entrepris à Madrid par une bande d’illuminés sympathiques. Cette chanson reprise par les partisans qui voulaient libérer l’ #Italie des #Nazis était le chant des #femmes qui subissaient de lourdes conditions de travail. Bella ciao est le symbole de la lutte des femmes dans le monde. Chanson très ancienne qui dénonce les piètres conditions de travail des mondines ces femmes qui travaillaient dans les rizières de la plaine du Pô. Le mot ciao viendrait d une déformation de shiavo qui signifie en italien #esclave.

    https://www.youtube.com/watch?v=4CI3lhyNKfo

    Les #mondines étaient des saisonnières qui connaissaient de dures conditions de travail,courbées toute la journée dans l’eau jusqu’aux genoux. Le travail de la monda (le désherbage), consiste à retirer les mauvaises herbes qui poussent dans les rizières en gênant la croissance des jeunes plants. Il se déroule durant la période d’inondation des champs, de la fin du mois d’avril au début du mois de juin, période lors de laquelle les pousses délicates sont protégées, durant les premières phases de leur développement, des écarts de température entre le jour et la nuit. Il s’agit d’une tâche extrêmement fatigante, exécutée par des femmes des classes sociales les plus pauvres, venues d’ Emilie-romagne, de Vénétie et de Lombardie louer leur force de travail dans les rizières des provinces de Vercelli, Novara et Pavie. Les femmes sont dans l’eau jusqu’aux genoux, pieds nus et le dos plié durant des journées entières. Pour se protéger des insectes et du soleil, elles portent un foulard et un chapeau à large bord et des shorts ou de larges culottes pour ne pas mouiller leurs vêtements. Le film riz amer (Giuseppe de santos-1949) illustre ces conditions de travail, c’est le cinéma #néoréaliste du nom du mouvement cinématographique qui apparait en Italie pour illustrer la vie des italiens.

    Allez, merci pour la visite, portez vous bien et à bientôt peut-être.