#la_plus_grosse

  • La Russie annonce le premier tir d’essai de son missile balistique intercontinental Sarmat, arme de nouvelle génération que le président Vladimir Poutine qualifie de « sans équivalent ».
    https://www.liberation.fr/international/europe/guerre-en-ukraine-quest-ce-que-le-missile-sarmat-teste-par-la-russie-2022

    Après le missile Kinjal, utilisé un mois plus tôt par Moscou lors de la destruction d’un entrepôt souterrain d’armements dans l’ouest de l’Ukraine, une autre arme de type hypersonique est au centre de l’attention depuis ce mercredi : le missile Sarmat, également appelé « Satan 2 ». « C’est véritablement une arme unique qui va renforcer le potentiel militaire de nos forces armées, qui assurera la sécurité de la #Russie face aux menaces extérieures et qui fera réfléchir à deux fois ceux qui essayent de menacer notre pays avec une rhétorique déchaînée et agressive », a notamment déclaré Vladimir Poutine, lors d’une annonce diffusée à la télévision russe. Voici ce qu’il faut savoir sur cette arme capable de transporter jusqu’à douze ogives nucléaires est considérée comme l’une des plus puissantes au monde. Elle pourrait « rayer la France de la carte ».


    Intercontinental ballistic missile SS-18 Mod 5 (NATO reporting name : Satan)
    Par Michael — Nuclear silo, CC BY 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=12220573

    Le missile, « dont seuls des assemblages, des composants et des pièces de fabrication nationale ont été utilisés pour la création », dixit l’autocrate du Kremlin, peut contenir jusqu’à douze têtes nucléaires. Sa force de frappe pourrait rayer de la carte un territoire « de la taille du Texas ou de la France », selon les informations de la télévision russe. « Le RS-28 Sarmart /SS-X-30 /Satan II ne peut pas détruire toute vie sur Terre » , a toutefois tempéré Guy Martin, le rédacteur en chef du site sud-africain defenceWeb spécialisé dans les domaines de la défense et de la sécurité auprès de l’AFP.

    Nous voilà totalement rassurés...
    #missile_nucléaire

    • Des ogives nucléaires capables de détruire des territoires entiers, il en existe des milliers, depuis 50 ans au bas mot, et les retraits des américains des différents traités de limitation des armements nucléaires depuis 20 ans est à l’origine de cette nouvelle course à celui qui aura la plus grosse capacité de destruction.

      Ce qui est nouveau et exceptionnel, c’est la vitesse de l’engin, qui le rend impossible à intercepter. On pourrait aussi parler de sa conception, récente, contrairement aux engins des autres puissances, dont la technologie n’a pas été mise à jour depuis 20 à 30 ans en ce qui concerne les américains, par exemple.

    • Hormis ce missile trans-continental tout ce qu’il y a de normal... c’est tendu de faire des essais de missiles balistiques ces temps-ci.
      Il doit y avoir plus d’une chape de béton qui s’est ouverte et d’un SNLE qui a fait surface ce jour la.

    • dont la technologie n’a pas été mise à jour depuis 20 à 30 ans en ce qui concerne les américains, par exemple.

      La stratégie des states n’est pas d’avoir "la plus grosse" mais de disséminer leur technologie, façon puzzle, et de préférence loin de chez eux !

      https://www.youtube.com/watch?v=iL_VS9MwdFU

      De nouvelles armes atomiques US en Europe. Plusieurs Etats du Vieux-Continent pourront les utiliser, sous contrôle américain, et des crédits sont engagés.
      Dans Le Canard 20/04 – Condensé d’un article de Claude Angeli (les grandes oreilles du Canard auprès de l’état-major de la grande muette).
      La direction de la politique nucléaire de l’Otan a redéfinie la stratégie américaine en Europe. A savoir : une nouvelle arme nucléaire ‒ la B-61 Model 12 ‒ sera bientôt stockée sur le sol européen et, progressivement (d’ici à 2030) les pays qui ont acheté des avions F-35 américains pourront l’utiliser contre un agresseur, sous le strict contrôle du Pentagone.
      Prélude au feu nucléaire. Bombe tactique, la B-61 possède une puissance nettement inférieure à celle qui, en quelques secondes, a détruit Hiroshima en 1945. Quelque 150 exemplaires de ce « tandem aéroporté » seront basés en Allemagne, en Belgique, en Italie, dans les Pays-Bas et, plus tard en Grande-Bretagne. Macron, qui, récemment encore, rêvait d’une « Europe de la Défense » un tant soit peu autonome, devra se faire une raison. Les pays voisins de la Sainte Russie préfèrent se protéger sous les ailes des USA et en l’occurrence de l’OTAN.

  • Manon Garcia : « La philosophie a implicitement écarté la moitié de l’humanité de sa réflexion »

    https://www.liberation.fr/idees-et-debats/manon-garcia-la-philosophie-a-implicitement-ecarte-la-moitie-de-lhumanite

    La philosophe Manon Garcia s’en est récemment agacée dans un tweet. « C’est pénible les classements de la Bibliothèque nationale de France : je découvre que mon livre et mon recueil de philosophie féministe sont classés en féminisme et non en philosophie. Le Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir est en littérature et en féminisme, pas en philo. La philosophie féministe n’est pas de la philosophie ? » L’anecdote illustre parfaitement ce que démontre le recueil Philosophie féministe (patriarcat, savoirs, justice), que l’autrice d’On ne naît pas soumise, on le devient (Flammarion, 2018) fait paraître chez Vrin. Alors que dans les pays anglo-saxons la philosophie féministe est valorisée comme un champ à part entière de la discipline, la France considère encore bien souvent que philosophie et féminisme ne peuvent aller de pair. Les dix textes majeurs ici rassemblés et présentés par cette spécialiste de Simone de Beauvoir, professeure à l’université de Yale à partir …

    #philosophie #phallosophie #sexisme #misogynie #féminisme #male_gaze #invisibilisation #femmes #paywall

    • très drôle la sculpture !

      Ça me donne l’occasion de poster ici sur le nommage des rues des philosophes féministes. Je crache pas dans la soupe, c’est bien qu’il y ait des noms de rues portées par des femmes et il n’y en aura jamais assez.
      Mais là à Cugnaux, banlieue de Toulouse, dans un quartier sorti de terre il y a moins de 50 ans (à vue d’œil), ça m’a fait doucement marrer que le #pâté_de_rues aux noms de femmes soit jouxté par l’avenue pompidou (quand même plus large une avenue, allez hop, un président couillu), à égalité avec le pâté de rues aux noms de fleurs, ou celui des rues aux noms de régions. Je me demande comme ce n’est pas loin du grand supermarché si il ne vont donner des noms de produits « rue du boudin blanc », « rue du dentifrice à deux couleurs », « rue des promotions », « Allée du moins 30% » pour égayer un peu leur ennui et stimuler leur créativité.

      il y a vraiment un truc à étudier là-dedans sur le mode de fonctionnement des élites.

      Tiens, promène toi par ici, tu vas rire !

      https://www.openstreetmap.org/#map=18/43.53198/1.34732

      #féminisme
      #quota_cantonné
      #Simone_Weill
      #phallocrate
      #la_plus_grosse

    • Yoan Capote
      Cuban, b. 1977•
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      Submitted by RJD Gallery

      Yoan Capote is a Cuban sculptor of great talent, and one of his country’s most promising contemporary artists. Capote’s work is known to be “solid”, “irreverent”, “provocative”, “non-conformist”, and deals principally with interactions between individuals and their psychological experiences. His pieces often merge human organs with inanimate objects, rearranging the human body and reinventing the purpose of everyday life objects. Yoan Capote held many exhibitions all over the world.
      Yoan Capote
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      Racional, 2006
      Marble and metal
      33 3/10 × 15 1/2 × 10 7/10 in
      84.5 × 39.4 × 27.3 cm

      https://www.artsy.net/artwork/yoan-capote-racional-1

    • Les dix textes majeurs ici rassemblés et présentés par cette spécialiste de Simone de Beauvoir, professeure à l’université de Yale à partir de juillet 2021, prouvent exactement le contraire. Michèle Le Dœuff, Nancy Bauer, Sandra Harding, Geneviève Fraisse ou Christine Delphy expliquent pourquoi les femmes ont été si rares dans la discipline, se demandent si la philosophie est une science sexiste et ce que peut apporter le féminisme à la pensée (et pas seulement aux femmes). Certains textes s’opposent aussi, lorsqu’il s’agit par exemple de savoir si « le multiculturalisme nuit aux femmes ». Preuve que la philosophie féministe n’est pas un courant de pensée monolithe.

      On voit la philosophie comme une discipline objective et abstraite alors que le féminisme est du côté de l’engagement politique. Une philosophie féministe, est-ce que ça existe ? Comment la définir ?

      Il n’y a pas de contradiction entre philosophie et féminisme. Comme l’ont montré entre autres les philosophes féministes, c’est une illusion que de croire que la philosophie telle qu’elle a été pratiquée pendant près de deux millénaires était apolitique et objective. La position sociale dans laquelle on se trouve se reflète dans les questions que l’on se pose et l’histoire de la philosophie reflète les préoccupations de ceux qui s’y attellent. Par exemple, de Sénèque à Machiavel, certains philosophes ont été conseillers politiques, il est évident que cette position sociale a un effet sur la façon dont ils pensent le pouvoir. Et qu’ils vont nécessairement le penser différemment qu’une femme qui n’a pas le droit de participer à la vie de la cité parce qu’elle est femme. On peut dire que la philosophie féministe est une branche de la philosophie qui est informée par des considérations féministes et qui contribue aux combats féministes. C’est une certaine façon d’interroger le monde – comment est-ce que les rapports de genre structurent notre pensée, nos sociétés ? – qui conduit la philosophie à s’attaquer à de nouveaux objets ou à considérer ses objets traditionnels de façon nouvelle. Un exemple très simple : l’histoire de la philosophie a été marquée par une pensée binaire entre le soi et l’autre, mon corps et le monde extérieur. Une fois que l’on réfléchit à l’expérience de la grossesse, ces questions se posent différemment puisque mon corps peut alors inclure un corps étranger qui est à la fois moi et non-moi. Le fait que cette expérience ne soit pas entrée en ligne de compte dans la philosophie traditionnelle du corps, invite à se demander que faire du principe de non-contradiction ou des catégories binaires dont je parlais, mais ça peut aussi conduire à des questionnements philosophiques sur la façon dont le savoir est produit.

      Rousseau, Hegel ou Comte… leurs écrits ne sont pas tendres avec les femmes (1). La philosophie est-elle sexiste ?

      L’histoire de la philosophie est sexiste, oui, mais sans doute en grande partie parce que la philosophie est fille de son temps. Dans l’ensemble, la culture, la pensée, l’art ont été sexistes – mais aussi racistes, classistes – jusque très récemment. Pour autant, cela ne veut pas dire qu’il ne faille pas lire ces philosophes ou que la philosophie soit bonne à jeter à la poubelle. En revanche, il me semble important d’une part de les recontextualiser, c’est-à-dire de se demander ce que cela voulait dire de tenir de tels propos à cette époque. Par exemple, quand on pense au fait que Comte est contemporain de Mill [dans De l’assujettissement des femmes (1869), John Stuart Mill défend le droit de vote des femmes, ndlr] son sexisme est plus difficile à comprendre que lorsqu’on lit Rousseau à l’aune des théories du XVIIIe siècle sur les femmes. D’autre part, il faut se demander quelle place joue le sexisme dans leur système de pensée. C’est ce que montre la philosophe américaine Nancy Bauer dans un texte reproduit dans le recueil (2) : le problème, c’est de savoir si le sexisme est nécessaire à la pensée du philosophe en question. Le sexisme d’Aristote, par exemple, paraît moins indissociable de sa pensée que celui de Schopenhauer ou de Nietzsche de la leur.

      Pourtant des femmes philosophes ont existé : la penseuse cynique grecque Hipparchia (IVe siècle avant notre ère), la théologienne anglaise Mary Astell qui publie ses Réflexions sur le mariage en 1730… Pourquoi sont-elles si méconnues ?

      D’abord, la réalité est que les femmes n’étaient généralement pas considérées comme des êtres humains à part entière et donc dans leur immense majorité elles n’avaient pas accès à l’éducation, elles devaient se consacrer au travail manuel et au travail domestique ou, chez les plus favorisées, à l’organisation de la vie sociale. En tout cas, il était hors de question qu’elles soient des penseuses. Il y a par conséquent fort peu de femmes philosophes. Et dans les rares cas où des femmes ont pu accéder à la pensée, cela a très souvent été, comme l’a montré Michèle Le Dœuff, dans le cadre d’une relation amoureuse ou au moins amicale avec un penseur : Hipparchia, Héloïse, Elisabeth de Bohème, Harriet Taylor et d’une certaine manière Beauvoir. Elles sont ainsi passées à la postérité comme des compagnes. Et puis, prosaïquement, ces femmes ont souffert de tous les clichés sur les femmes savantes, leurs travaux ont été considérés comme mineurs si jamais ils portaient sur des sujets peu sérieux comme… les femmes. C’est un cercle vicieux !

      Quel est l’apport majeur de la philosophie féministe ?

      Son premier apport est sans doute de rendre visible le fait que la philosophie n’avait jusque-là pas pensé la féminité – ni la masculinité d’ailleurs. Quand Beauvoir ouvre Le Deuxième Sexe avec la question « qu’est-ce qu’une femme ? », ce qui saute aux yeux, c’est que cette question n’avait jusque-là jamais été sérieusement posée par la philosophie. Ça veut tout de même dire que la philosophie, avec son ambition universaliste, avait implicitement écarté la moitié de l’humanité de sa réflexion, ce n’est pas rien ! Plus généralement, on peut dire que la philosophie féministe est faite de trois grandes contributions : une critique du canon philosophique ; l’introduction de nouveaux objets pour l’analyse philosophique (le genre, mais aussi la vulnérabilité, les violences domestiques par exemple) ; le développement de nouvelles façons de penser des questions traditionnelles de la philosophie, comme je le montrais à partir de l’exemple de la grossesse qui renouvelle la façon de penser le corps.

      Pourquoi le concept d’« oppression » est-il central dans la philosophie féministe ?

      Le concept d’oppression n’a pas été inventé par les philosophes féministes mais elles l’ont transformé : alors que pendant longtemps, on ne parlait d’oppression que pour désigner les effets du pouvoir des tyrans, les Américaines Marilyn Frye et Iris Young ont montré qu’il y avait oppression dès lors que des phénomènes structurels et systématiques créent des groupes sociaux dont les membres de l’un ont du pouvoir sur les membres de l’autre par le simple fait d’appartenir à ce groupe. Par exemple, les hommes sur les femmes, les riches sur les pauvres, les blancs sur les non-blancs. Parler d’oppression c’est, sur le plan descriptif, montrer que la société est structurée par des contraintes institutionnelles injustes et inégales et, par conséquent, sur le plan normatif, mettre en évidence la nécessité d’un changement social vers une société plus juste.

      En prenant pour objet la sphère domestique, la philosophie féministe a montré que le privé est politique puisque s’y joue une grande partie de la domination sur les femmes.

      La sphère privée est un des sujets centraux de la philosophie féministe. Par exemple, quand on réfléchit au consentement sexuel, on ne fait rien d’autre que d’analyser la façon dont les rapports intimes sont traversés par des rapports de pouvoir. Montrer que le pouvoir ce n’est pas seulement celui d’un gouvernement sur les citoyens mais que la société est un tissu de rapports de pouvoir et de domination qui viennent se déployer y compris dans la famille ou dans le couple est un des apports décisifs de la philosophie féministe.

      Si elle a émergé en France avec Beauvoir, la philosophie féministe s’est développée principalement dans les pays anglo-saxons depuis les années 70, où en est-elle aujourd’hui en France ?

      Elle a continué, bien après Beauvoir, à se construire en France, avec Michèle Le Dœuff, Colette Guillaumin et Sarah Kofman, par exemple. Mais c’est vrai que ces philosophes féministes en France ont été en quelque sorte mises en retrait de la vie universitaire et ont eu du mal à faire des émules. Puis est venue une nouvelle génération, notamment avec Elsa Dorlin et Sandra Laugier, qui a fait revenir la philosophie féministe en France, tant et si bien qu’elle est un des champs les plus dynamiques en ce moment, avec beaucoup de chercheuses comme Camille Froidevaux-Metterie ou Vanina Mozziconacci, mais aussi beaucoup d’étudiant·e·s et de doctorant·e·s qui s’intéressent à ce champ et en développent les possibilités.

      Depuis quelques années, des polémiques virulentes opposent les féministes « universalistes » et « intersectionnelles », ou « deuxième » et « troisième vague »… peut-on réconcilier ces deux camps ?

      Certes, il y a des désaccords parfois très forts parmi les féministes mais ils sont surtout la marque de la vitalité de la pensée féministe. Plus vous avez de gens différents qui luttent ensemble, plus il est probable que ces gens se disputent au sujet de leurs luttes ! C’est salutaire et cela nous permet à toutes d’avancer.

      L’intersectionnalité, en considérant la multiplicité des identités et des facteurs de domination, ne met-elle pas en péril le fait de penser « les femmes » ? Ne met-elle pas ainsi la philosophie féministe dans une impasse ?

      Pourquoi on ne pourrait plus parler « des femmes » ? On peut tout à fait parler d’elles sans postuler qu’elles ont exactement la même expérience du fait d’être des femmes. Je crois qu’il est très important d’arrêter de laisser l’extrême droite dicter nos façons de penser les concepts de la recherche en sciences sociales. Le concept d’intersectionnalité est un concept sérieux et, comme beaucoup de concepts de sciences sociales, tous les chercheurs et chercheuses ne s’accordent pas sur sa définition, sur son emploi. Mais il faut arrêter le fantasme qui consiste à en faire un cheval de bataille d’idéologies séparatistes et dangereuses, ce n’est tout simplement pas le cas ! Il faut lire les philosophes féministes qui travaillent sur ces sujets comme Uma Narayan, Serene Khader ou Soumaya Mestiri. Le discours consistant à dire que l’intersectionnalité interdirait de parler « des femmes » transforme une question réelle et importante – quel est le sujet du féminisme si on ne pense pas que toutes les femmes sont opprimées de la même manière ? – en une affirmation fausse, dont la fonction est simplement de faire peur aux gens en disant « regardez tous ces gens qui luttent contre de multiples oppressions, en fait ils veulent détruire la lutte des femmes ! » C’est du fantasme, et du fantasme raciste.

      (1) Hegel écrivait : « Les femmes peuvent avoir de la culture, des idées, du goût de la finesse, mais elles n’ont pas l’idéal » ; et Auguste Comte : « C’est afin de mieux développer sa supériorité morale que la femme doit accepter avec reconnaissance la juste domination pratique de l’homme… »

      (2) La philosophie féministe est-elle un oxymore ? de Nancy Bauer (2003).

      #intersectionnalité