• Quand la #France et ses grandes entreprises investissaient dans l’apartheid
    http://www.multinationales.org/article223.html

    Une classe politique unanime, des médias focalisés sur la commémoration « planétaire » : les funérailles de Nelson Mandela suscitent l’union sacrée autour du combat que le militant de l’ANC a incarné. Pourtant, quand Nelson Mandela est jeté en prison à perpétuité, il n’en était rien. La France et ses grandes entreprises sont l’un des plus fidèles soutiens au régime raciste de Pretoria, lui vendant armements, centrales nucléaires et technologies industrielles, tout en contournant allègrement les sanctions des (...)

    #Enquêtes

    / France, Défense et sécurité, #Énergie, #Afrique_du_Sud, #EDF, #Areva, #ArcelorMittal, #Alcatel-Lucent, #Alstom, #Renault, #PSA_Peugeot_Citroën, #Total, #Groupe_Dassault, #Lagardère, #EADS, #armement, #campagne_citoyenne, #droit_international, #droits_humains, #éthique, solidarité (...)

    #Défense_et_sécurité #solidarité_internationale #Wendel #Safran
    http://www.bastamag.net/Hommage-a-Mandela-quand-la-France
    http://www.lacimade.org
    http://www.ritimo.org
    http://www.peuples-solidaires.org
    http://www.reseau-ipam.org/spip.php?page=rubrique&id_rubrique=47
    http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20120615182920
    http://www.24heures.ch/suisse/Rene-Felber-fustige-les-banques-suisses-sur-l-apartheid-/story/16707094
    http://www.flickr.com/photos/un_photo/3311470533/sizes/o/in/set-72157614394196933

    Flickr

    http://africanactivist.msu.edu
    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/tiers_0040-7356_1979_num_20_77_2853
    http://www.ilo.org/public/french/bureau/leg/download/apartheid-fr.pdf
    http://articles.latimes.com/1986-04-13/local/me-4509_1_shell-oil
    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/tiers_0040-7356_1979_num_20_77_2859
    http://www.business-humanrights.org/Categories/Lawlawsuits/Lawsuitsregulatoryaction/LawsuitsSelectedcases/ApartheidreparationslawsuitsreSoAfrica

  •  » [Reprise] Scandale EADS / AMF : selon que vous serez etc.
    http://www.les-crises.fr/reprise-scandale-eads-amf-selon-que-vous-serez-etc

    EADS : le rapport qui accuse dirigeants et actionnaires

    08 avril 2008 | Par Martine Orange

    Mediapart s’est procuré le rapport d’enquête de l’Autorité des marchés financiers sur EADS, dont la synthèse est téléchargeable sur notre site. Les enquêteurs y relèvent les ventes massives d’actions réalisées par la plupart des dirigeants d’EADS et ses actionnaires de contrôle, Lagardère et DaimlerChrysler. Des cessions qu’ils auraient dû s’abstenir de faire, alors qu’ils étaient détenteurs d’au moins trois informations privilégiées : un budget-plan qui montrait une nette dégradation de la rentabilité future d’Airbus dès juin 2005, des problèmes d’industrialisation de l’A 380, une révision complète du programme de l’A 350.

    C’est le rapport que tout le monde attend. Un long rapport de quatre-vingt-quatorze pages, dont Mediapart a pu prendre connaissance. Dans un style précis, les enquêteurs de l’autorité des marchés financiers (AMF) y retracent toutes les informations qui ont circulé chez EADS au cours de cette période décisive, entre le 1er mai 2005 et le 13 juin 2006 (lire en pièce jointe, la synthèse du rapport de l’AMF).

    Ils s’efforcent de démêler les écheveaux du connu et du plausible pour retrouver les faits. Avec une préoccupation constante : « Les actionnaires de contrôle et les principaux dirigeants du groupe EADS disposaient-ils, lorsqu’ils ont cédé leurs titres, d’informations que le marché n’avait pas et qui auraient dû les conduire à s’en abstenir ? Le cas échéant, le marché aurait-il dû, ou non, avoir ces informations ? »

    Car il faut bien tenter d’élucider les ventes d’actions par les dirigeants et les actionnaires d’EADS entre novembre 2005 et avril 2006, deux mois avant que le groupe ne fasse état des ses problèmes sur l’A380 et l’A350. Des cessions massives, comme le constate le rapport. « Entre le 19 juillet 2005 et le 13 juin 2006, sur les 21 membres des comités exécutifs d’EADS et d’Airbus, 17 ont cédé un montant total de 1.708.600 actions issues de l’exercice de leurs stock-options pour une plus-value brute de près de 20 millions d’euros. Parmi eux, 11 des dirigeants du groupe ont exercé l’intégralité de leurs options exerçables au 13 juin 2006, c’est-à-dire celles issues des plans d’attribution des exercices 2000 à 2003. »

    Avant de relever une étrangeté : « Pourtant, pour les dirigeants imposables en France, les options issues des plans de 2002 et 2003 étaient fiscalement indisponibles, puisqu’elles avaient été attribuées moins de quatre ans auparavant, si bien que la plus-value résultant de leur vente fut imposée en tant que salaire. » Une incongruité en regard des trésors d’imagination auxquels peuvent avoir recours les dirigeants pour ne pas payer un centime de trop au fisc.

    Autre observation surprenante : « 95% des titres cédés l’ont été soit entre le 9 et le 29 novembre, soit entre le 8 et le 24 mars [...] Aucune transaction n’est intervenue, en revanche, lors de la fenêtre suivante, ouverte du 16 mai au 5 juin 2006, et la fenêtre d’exercice précédente, ouverte du 27 juillet au 16 août 2005, n’a été que marginalement utilisée. » Interrogés lors de leur audition, plusieurs dirigeants ont avancé que lever leurs options à ces dates n’aurait pas été intéressant, le cours de l’action étant inférieur à celui de l’option.

    Ce que contestent partiellement les enquêteurs de l’AMF, au moins pour les options attribuées en 2000 et 2002. Ils remarquent aussi que si le cours du titre rendait la vente plus attractive à partir de novembre 2005, « le caractère massif des cessions observées pourrait aussi a contrario témoigner d’une absence de confiance dans la poursuite de la progression du cours ».

    2 milliards pour chacun des deux actionnaires de contrôle

    Le comportement des deux actionnaires principaux, les groupes Lagardère et DaimlerChrysler, suscite encore plus d’interrogations chez les enquêteurs de l’AMF. En avril 2006, chacun d’entre eux a réalisé une vente à terme « de plus de 61 millions d’actions EADS pour un montant proche de 2 milliards d’euros », écrit le rapport.

    Ces opérations, envisagées dès la fin du printemps 2005, ont été retardées en raison des discussions « avec le gouvernement français et la présidence de la République mais aussi avec le gouvernement allemand ». Finalement, ce n’est que fin mars 2006 que les deux groupes ont obtenu le feu vert.....

    #économie
    #AMF
    #EADS
    #actionnaires
    #Lagardère
    #Daimler-Chrysler
    #dirigeants

  • L’Europe investigue l’Allemagne : La Commission a-t-elle perdu le Nord ? | Démystifier la finance
    http://finance.blog.lemonde.fr/2013/11/13/leurope-investigue-lallemagne-la-commission-a-t-elle-perdu-le-n

    e sais, ce n’est peut-être pas sa faute et de grands Etats ont voulu se monter le col. Mais c’est une initiative qui stupéfie la planète entière sauf peut-être Milan et Paris. C’était à la Une des nouvelles en Nouvelle Zélande ! Que souhaite Monsieur Barroso ? José Manuel Barroso has launched an inquiry into whether Germany’s large current account surplus is harming the European economy, titre le Financial Times. Monsieur Barroso annonce une enquête sur les surplus commerciaux de l’Allemagne vis-à-vis des pays européens. . Ces surplus sont-ils mauvais pour l’économie européenne ? interroge-t-il.

    Au meme moment, la Commission annonce une croissance de 0,1% pour l’Eurozone. Le deuxieme trimestre était clairement anormalement élevépour une série de raisons techniques. Pour le troisieme trimestre, la France baisse de 0,1% et l’Allemagne augmente de 0,3%.

    http://im.ft-static.com/content/images/dc100398-4d22-11e3-bf32-00144feabdc0.img
    http://im.ft-static.com/content/images/8e6ae7d2-4d1a-11e3-bf32-00144feabdc0.img
    Nous nageons dans l’absurde pour plusieurs raisons.

    1. Rien dans aucun des traités ne permet à la commission d’investiguer, moins encore de « pénaliser » un Etat qui a un surplus avec les autres pays de l’Union Européenne. Il existe cependant une disposition dans les « scoreboards » de la Commission qui prévoit des amendes pour un pays dont le surplus dépasse 4% du PIB. L’Europe cherche-t-elle à pénaliser le succès ?...

    #croissance
    #José-Manuel-Barroso
    #Europe
    #FESF
    #Lagarde
    #Euro
    #Evolution-économique
    #Finances
    #Finances-publiques
    #Fiscalité
    #Gouvernance
    #Marchés
    #Règlementation

  • Le mépris du Monde pour Courrier international
    http://www.marianne.net/Le-mepris-du-Monde-pour-Courrier-international_a233597.html
    http://www.marianne.net/photo/art/default/976002-1156699.jpg?v=1383560126

    La crise tend tout le monde, l’absence de stratégie du gouvernement n’inversera pas le mouvement. En Bretagne les ouvriers bretons en sont venus aux mains contre d’autres salariés du même groupe qui voulaient bloquer leurs abattoirs. Autres lieux, autres mœurs, dans le groupe le Monde on oublie de relayer certaines informations. A chacun ses armes.  
     
    Les lecteurs du quotidien Le Monde ne sauront rien de ce qui se passe à l’hebdomadaire Courrier international, filiale à 100%, depuis trois semaines ! Et pourtant, il s’en passe, des choses. Le 10 octobre, la direction annonce un plan de licenciements qui prévoit la suppression de 22 postes ’équivalent plein temps’ (26 selon le CE) sur un total de 79. Motif : la fin annoncée de Presseurop, un site d’information européen en dix langues financé par la Commission européenne ; Courrier International en est l’opérateur principal.

    Pour des raisons politico-budgétaires, la Commission a décidé, au terme d’un premier contrat de cinq ans, de ne pas renouveler l’appel d’offres. Mais Presseurop ne représente ’que’ 11 postes, soit deux fois moins que les 22 licenciements prévus. Seuls les lecteurs du Monde.fr auront vent de l’affaire par un article posté sur le site le 11 octobre. Depuis, silence radio. Les 15 et 16 octobre, les salariés de Courrier international se sont mis en grève, pour la première fois en 23 ans d’existence, Courrier international n’a pas été imprimé !....

    #Courrier-International
    #Express
    #Lagardère
    #Louis-Dreyfus
    #Ouest-France
    #suppression-de-poste

  • Les documents secrets du FMI sur la Grèce | Contrepoints
    http://www.contrepoints.org/2013/10/23/143633-les-documents-secrets-du-fmi-sur-la-grece

    Lors de la réunion du 9 mai 2010 du FMI, le conseil d’administration a approuvé le premier plan de sauvetage de la Grèce. Pourtant, il y a eu des désaccords considérables au sein même de l’institution et lors des différentes réunions. Néanmoins, Américains et Européens disposent de suffisamment de droits de votes pour pouvoir ignorer les autres avis, raison pour laquelle les pays émergents insistent de façon de plus en plus importante sur la réforme des institutions internationales.

    Le directeur exécutif suisse René Weber dira :

    « Nous avons des doutes considérables quant à la faisabilité du programme… Nous avons des doutes sur les hypothèses de croissance qui semblent être trop favorables.

    Même un petit écart négatif par rapport aux projections de croissance de base rendrait le niveau d’endettement insoutenable sur le long terme… Pourquoi la restructuration de la dette et l’implication du secteur privé dans le plan de sauvetage n’a pas été considéré jusqu’ici ?… »

    Pour une raison somme toute assez simple. « L’implication du secteur privé » , ce sont les banques commerciales. Restructurer la dette grecque, abandonner des créances impossibles à rembourser c’était amputer d’autant les bénéfices et les fonds propres des grands banques commerciales du vieux continent. Cela signifiait faire des augmentations de capital en urgence, voire même demander à chaque État d’aller renflouer directement ses banques respectives.

    Le directeur exécutif brésilien Paulo Nogueira Batista dira :

    « Les risques du programme sont immenses… À l’heure actuelle, les programmes risquent de substituer aux financements privés des financements officiels. En d’autres termes, ce programme peut être considéré non pas comme une opération de sauvetage de la Grèce, qui devra subir un ajustement déchirant, mais comme un plan de sauvetage des créanciers privés de la Grèce, principalement des établissements financiers européens. »
    « Notre décision d’aller dans le sens de ce programme problématique et risqué ne doit pas être interprétée comme signifiant que nous soutiendrons à l’avenir de telles politiques. À l’avenir, nous souhaitons nous assurer que le fonds monétaire international ne soit pas mené sur la voie d’approuver un programme qui peut se révéler mal conçu et finalement insoutenable. »

    Voilà qui est limpide de clarté. Je rappelle que nous sommes le 9 mai 2010 et que déjà tout est parfaitement connu et anticipé concernant les conséquences délétères des politiques de rigueur menées en Grèce. Non seulement c’est connu, mais c’est en plus dit, écrit et acté sans que cela ne change rien aux décisions prises par nos gouvernants européens.
    (...)
    Cette année, en juin 2013, Christine Lagarde, directrice générale du FMI, revient sur le dossier de la Grèce en sortant l’inaltérable « on ne pouvait pas savoir » expression fourre-tout servant surtout à exonérer de toute responsabilité des gens qui sont censés pourtant en exercer.

    « En mai 2010, nous savions que la Grèce avait besoin d’un plan de sauvetage, mais pas qu’il faudrait une restructuration de la dette… Nous n’avions aucune idée que la situation économique générale allait se détériorer aussi rapidement qu’elle l’a fait… »

    Et nous, nous devrions croire Madame Lagarde qui ne savait pas ce que n’importe quel économiste de comptoir pouvait parfaitement prévoir dès le plan d’aide à la Grèce connu.

    #FMI #Lagarde

  • Le grand (dés)ordre monétaire s’impose aux Assemblées du FMI. | Démystifier la finance
    http://finance.blog.lemonde.fr/2013/10/13/le-grand-desordre-monetaire-simpose-aux-assemblees-du-fmi

    http://www.zcommunications.org/media/graphic/1296/view/238.jpg?1253756417

    Washington s’était mis aux couleurs du jour : triste, morne, privé de ses musées et de ses parcs, pluvieux et froid. Une zone pluvieuse est restée au-dessus de la capitale américaine pendant les trois jours de ces réunions. Le climat économique et monétaire était en effet lugubre. 

    L’inquiétude sur la dette américaine.

    Meme si l’hypothèse d’un défaut de paiement de la trésorerie des Etats-Unis est évoquée, c’est pour repousser cette situation dont les conséquences mondiales seraient catastrophiques. Je ne crois pas que l’irresponsabilité politique sera à ce point suicidaire.

    Le parti républicain est de plus en plus déchiré : Le Président (républicain) de la Chambre des Représentants n’ose même plus mettre au vote une résolution qui approuverait le budget et augmenterait le plafond d’endettement. Les modérés de son propre camp la voteraient, tant est forte leur colère de voir le Grand Old Party piégé par les extrémistes du Tea Party.

    Dans les milieux internationaux, des questions de plus en plus persistantes sont ouvertement posées. A l’inquiétude chinoise -le premier créancier des États-Unis- fait écho la question de Mohamed El Erian, le patron du fonds obligataire PIMCO : devons nous nous habituer à une crise d’instabilité tous les ans aux Etats-Unis ?

    Lors d’un débat organise par APCO, la firme internationale de communication et de stratégie, auquel j’ai participe, je me suis fermement opposé aux anciens parlementaires (mes collègues de l’International Advisory Council d’APCO). Convaincus que le problème se résoudrait, ils traitaient les conséquences américaines et mondiales de la fermeture de l’Etat fédéral comme une escarmouche politique, en toute complaisance et irresponsabilité.

    Le Fonds Monétaire International divisé et dépassé.

    La structure des institutions dites de « Bretton Woods » est ouvertement mise en question par les pays émergents. Avec la moitié des voix pour 10% des habitants de la planète, le FMI, de même que son institution-sœur, la Banque Mondiale, ne peut plus prétendre à une autorité sur l’ordre monétaire mondial. Créé à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, il ne répond plus aux rapports de force, qu’ils soient politique ou économique, de la planète.

    Les déclarations de Christine Lagarde, son Directeur General, sur les erreurs commises en Grèce et ailleurs, ont inutilement mis de l’huile sur le feu au sein de l’Eurozone. Cherche-t-elle a se dédouaner par rapport aux pays émergents ?

    Le FMI, disait le Gouverneur de la Banque Centrale du Nigeria, est une institution qui est devenu un repoussoir tant il est inacceptable de continuer à imposer un ordre monétaire occidental au reste du monde.

    Certaines révisions ont eu lieu, mais le fait que l’Europe, un de ses piliers, est devenu un continent assisté par le FMI, affaiblit la voix occidentale. Il n’est plus possible de continuer à gérer l’ordre monétaire mondial sans donner aux grands pays émergents un poids plus proche de la réalité présente. .

    #économie
    #FMI
    #Lagarde.
    #dette-américaine
    #agences-de-notation
    #Banque-Centrale-Europeenne
    #deficit-budgetaire-americain
    #Draghi
    #emploi
    #Etats-Unis
    #Europe
    #federal-reserve
    #France
    #Grece,
    #Italie

  • Lagarde au FMI : même les écologistes russes n’en veulent pas ! | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/journal/international/020611/lagarde-au-fmi-meme-les-ecologistes-russes-nen-veulent-pas?onglet=prolonge

    Voici le texte intégral de la lettre adressée au FMI et à la commission européenne:
     
    To the International Monetary Fund

    To the European Commission

    From the Movement in Defense of the Khimki Forest (Russian Federation)

     

    Ladies and gentlemen!

    We learned that after the resignation of Dominique Strauss-Kahn heading the International Monetary Fund, French Minister of Economy and Finance, Christine Lagarde, emerged as the main candidate for this vacancy. Voting for a new head of the IMF should take place before June 30, 2011.

    We would like you to know that in our view, Christine Lagarde is an unacceptable candidate for such an important position due to following reasons.

    It was Lagarde in June 2009, who actively promoted the signing of an agreement between the French construction company Vinci and the Russian government about the French company’s participation in the construction of a section of the toll motorway Moscow – St. Petersburg 15 – 58 km across the Khimki Forest (and several other forests).

    Investigations show that this project is a pure corruption affair of French company Vinci and dishonest Russian officials. As a result, money transfers from the Russian federal budget and state-controlled banks to offshore havens of Lebanon, Cyprus and British Virgin Islands (http://bankwatch.org/documents/Vinci_oligarchs_taxhavens_Khimki.pdf). And independent expertise of Russian scientists (http://ecmo.ru/data/April2011/expert_examination_en.pdf) proved that among 11 possible routing options the worst one was chosen. The motorway construction through the Khimki forest does not only violate federal environmental legislation of Russia and destroy the unique ecosystem of Khimki Forest, it won’t solve the existing transport problem. This construction will harm at least 1 million of people, who receive oxygen from Khimki Forest, and will only serve the enrichment of a small group of high-ranking Russian officials and their privileged business partners.

    The project has already led to massive violations of human rights: severe beating, detainment and attempts to forge criminal charges against people defending the forest. Among the victims are also journalists.

    At the time, when Christine Lagarde backed the project (June 2009), one of the most active Khimki Forest defenders, journalist Mikhail Beketov, was already beaten by ‘unknown’ thugs and became totally disabled for the rest of his life. After this attack his comrades organized a demonstration in front of the French Embassy in Moscow, requesting France to quit the project.

    It’s hard to believe that Christine Lagarde didn’t know anything about this story. Probably the benefit from the deal outweighed any concerns about its impropriety?

    There are even more facts about dubious non-transparent agreements between Christine Lagarde and the Prime Minister of the Russian Federation, Vladimir Putin.

    We believe that a person suspected in corruption affairs, openly violating legislation and human rights, shouldn’t become the head of the International Monetary Fund.

    We request to recall the candidature of Christine Lagarde and don’t let her take part in the election of the International Monetary Fund director.

    With respect,

    Movement in Defense of the Khimki Forest, www.ecmo.ru , khimkiforest.org

    #FMI #Lagarde #casserole

  • #Lagarde devra-t-elle rembourser les millions de #Tapie ? | Rue89
    http://www.rue89.com/corinne-lepage/2011/05/18/lagarde-devra-t-elle-rembourser-les-millions-de-tapie-204487

    #Sarkozy, constitutionnellement irresponsable
    En effet, les seuls cas dans lesquels le Président peut être mis en cause pour des actes accomplis durant son mandat sont ceux visés par les articles 53-2 et 69. L’article 53-2 vise un crime de guerre ; l’article 69 la destitution. La Constitution rappelle :

    « Le président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en haute cour. »

    L’expression « manquement aux devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice du mandat » n’a évidemment fait l’objet d’aucune jurisprudence. C’est un manquement qui ne se résout pas aisément en une infraction pénale.

    Y avait-il vraiment besoin de préciser « constitutionnellement » ?
    Et dire que Lagarde est pré-sentie pour remplacer #DSK à la tête du #FMI... Affligeant.