• Communiqué de la direction de l’information de TV5MONDE
      https://presse.tv5monde.com/communique-de-la-direction-de-linformation-de-tv5monde

      Le 15 novembre dernier, l’un des porte-parole de l’armée israélienne, Olivier Rafowicz, était l’invité du journal quotidien « 64’, Le Monde en français » sur TV5MONDE, pour parler de l’opération militaire israélienne dans la bande de Gaza et plus particulièrement de celle menée contre l’hôpital Al-Shifa.

      A la fin de l’entretien mené par le présentateur de cette édition, Mohamed Kaci, les règles journalistiques, applicables à toute interview, n’ont pas été respectées. Ce qui a conduit à donner l’impression, dans la dernière question, que les modalités d’intervention de l’armée israélienne étaient équivalentes à la stratégie du Hamas, organisation considérée comme terroriste par de nombreux Etats.

      Par ailleurs, l’entretien ne s’est pas terminé selon les normes en vigueur de maîtrise de l’antenne mais de façon trop abrupte. Ce que la direction de l’information de TV5MONDE regrette profondément. Plus attentive que jamais depuis le 7 octobre à donner une information factuelle et équilibrée de la situation, sans céder à l’émotion ni aux pressions, tout en donnant la parole à toutes les parties, la direction de l’information de TV5MONDE redouble encore de vigilance sur ses antennes et ses supports numériques et prendra toutes les mesures nécessaires pour s’en assurer dans un contexte de grande tension.

      « information factuelle et équilibrée » : c’est-à-dire que quand un communicant d’une armée justifie ses propres crimes de guerre au motif que l’autre camp a commis des crimes de guerre, tu ne lui fais surtout pas remarquer.

  • #MDR La France demande à Berne de « régler » les problèmes de Credit Suisse letemps.ch

    La première ministre française Elisabeth Borne a demandé mercredi aux autorités suisses de régler les problèmes de la banque Credit Suisse, dont la situation suscite des inquiétudes sur les marchés financiers. Plusieurs établissements français, comme BNP Paris et Société Générale ont chuté dans le sillage de Credit Suisse : de 11,11% pour la première et 11,01% pour la seconde, selon les données disponibles vers 11h30.

    « Ce sujet est du ressort des autorités suisses. Il doit être réglé par elles », a affirmé devant le Sénat la première ministre française, lors de la séance des questions au gouvernement. Elle a précisé que le ministre français des Finances Bruno Le Maire « aurait un contact avec son homologue suisse dans les prochaines heures ». Ni Karin Keller-Sutter, conseillère fédérale chargée des Finances, ni le Conseil fédéral, n’a pour l’heure commenté l’information.

    Inquiétudes sur les marchés
    Les Bourses chutaient lourdement mercredi à cause de craintes sur la solidité du secteur bancaire et en particulier de la banque helvétique. Ces inquiétudes suivent de quelques jours la faillite d’une banque américaine, la Silicon Valley Bank (SVB). La cheffe du gouvernement français a réaffirmé que les banques françaises n’étaient pas affectées par cette faillite.

    « Je vous confirme, comme le ministre des Finances l’a rappelé hier, que les banques françaises ne sont exposées à aucun risque à la suite de la faillite de la SVB », a-t-elle dit.

    #banques #EnMarche #bourse #cac40 #Credit_Suisse #bruno_le_maire #SVB #krach #élisabeth_borne #finances #ridicule et #lamentable

    Source : https://www.letemps.ch/economie/france-demande-berne-regler-problemes-credit-suisse

  • Confusion sur l’organisation du pèlerinage à La Mecque
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/06/13/confusion-sur-l-organisation-du-pelerinage-a-la-mecque_6130038_3224.html

    Confusion sur l’organisation du pèlerinage à La Mecque
    Une nouvelle procédure d’obtention des visas, mise en place par l’Arabie saoudite, sème le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle.
    Par Cécile Chambraud
    Publié hier à 01h55, mis à jour hier à 09h37
    Après deux ans de suspension en raison de la pandémie de Covid-19, les autorités saoudiennes ont rouvert les portes du royaume aux musulmans étrangers pour le grand pèlerinage à La Mecque, qui aura lieu cette année du 7 au 12 juillet. Mais à moins d’un mois du début de l’événement, une nouvelle procédure d’obtention des visas, mise en place par le pays hôte, sème la confusion et le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle, que les musulmans qui en ont les moyens doivent accomplir une fois dans leur vie. Elle désorganise le fonctionnement habituel – d’ailleurs passablement opaque – du marché du hadj (aussi appelé « grand pèlerinage »). Déjà fragilisées par deux années de disette liées à la situation sanitaire, certaines des agences de voyages françaises spécialisées craignent de devoir mettre la clé sous la porte.
    Comme l’a révélé le site d’information SaphirNews, le ministère saoudien du hadj a en effet annoncé, lundi 6 juin, que, désormais, pour espérer obtenir un visa spécifique, les candidats au grand pèlerinage établis en Europe, en Amérique et en Australie (dans les pays musulmans, la régulation appartient aux pouvoirs publics) devraient obligatoirement passer par une plate-forme numérique unique, Motawif.
    Après une semaine de flottement, les inscriptions en ligne ont ouvert vendredi 10 juin dans la soirée, pour trois jours. Pour faire acte de candidature, il faut avoir moins de 65 ans et posséder un schéma vaccinal complet contre le Covid-19. Dès mardi 14 juin, un tirage au sort déterminera qui, parmi les inscrits, aura droit à un visa. Au nombre d’environ 9 200 cette année pour la France, les places sont plus rares qu’avant la pandémie, où le nombre de visas accordés oscillait entre 22 000 et 25 000. Il s’agit d’un changement de logique. Jusqu’à présent, les visas étaient accordés par les autorités saoudiennes par le biais des agences de voyages, pourvu que celles-ci aient obtenu un agrément, renouvelable chaque année auprès des autorités saoudiennes. Ces visas étaient répartis de manière inégale. Trois ou quatre grosses agences en obtenaient plusieurs milliers, les autres nettement moins. Certaines, d’ailleurs, en rétrocédaient quelques-uns à des sous-traitants, alimentant une économie souterraine.Mais les agences de voyages n’attendent pas d’obtenir l’agrément et les visas pour verser des acomptes et réserver les prestations qui figurent dans le forfait vendu aux clients, à savoir les billets d’avion pour Djedda, les nuits d’hôtel à La Mecque et à Médine, les places dans les tentes de Mina, où les pèlerins passent trois ou quatre nuits, et les transports en bus entre les hôtels et les différents lieux du pèlerinage. Pour couvrir ces frais, les agences demandent donc une avance aux clients, qui leur sont souvent apportés (moyennant une commission) par des « rabatteurs ». En espérant avoir les visas.Pour ces agences et pour les clients, les sommes avancées sont importantes. En 2019, les forfaits de base se montaient à 4 400 euros par personne pour quinze jours et 6 000 euros pour trois semaines – les séjours s’étendent au-delà du pèlerinage stricto sensu, avec notamment une extension à Médine. Les versions haut de gamme, avec des prestations supérieures, peuvent monter bien au-delà. Cette année, selon SaphirNews, les prix de base auraient grimpé autour de 8 500 à 9 500 euros. Comme tous les ans, les agences ont donc engagé des frais, mais elles ne savent pas, aujourd’hui, si elles pourront fournir les prestations promises à leurs clients. Elles n’ont en effet toujours pas reçu l’agrément et savent qu’elles n’auront pas les visas. Les pèlerins tirés au sort auront-ils encore recours, malgré tout, à leurs services, ou choisiront-ils ceux offerts par la plate-forme saoudienne ? Cette incertitude les inquiète. D’autant que les prix proposés, à titre indicatif, par Motawif, démarrent plus bas et s’étagent de 6 300 à 9 900 euros. Pourquoi les autorités saoudiennes ont-elles procédé de manière aussi brusque ? Pour Leïla Seurat, chercheuse associée au Centre de recherches sociologiques sur le droit des institutions pénales, qui a conduit une étude sur le marché du hadj à la demande du bureau central des cultes du ministère de l’intérieur, elles ont « sciemment voulu provoquer la désorganisation et la fermeture de certaines agences. C’est un moment de rapport de force, avec pour objectif de faire un grand ménage dans les agences occidentales afin, à terme, de faire du pèlerinage une occasion de développer le tourisme dans le pays et d’en privatiser la gestion ». Il y a deux ans, cette réorganisation avait déjà été appliquée à la oumra – le « petit pèlerinage », plus court et qui peut être accompli tout au long de l’année –, que les musulmans peuvent désormais organiser à leur guise sans passer par les agences. La chercheuse inscrit ces réformes dans Vision 2030, le programme de modernisation et de diversification impulsé par le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman. « Aujourd’hui, quelque 3 millions de personnes participent au hadj chaque année, indique-t-elle. Le projet est de porter ce nombre à 30 millions. » Et de les faire rester plus longtemps, en tant que touristes.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#lamecque#sante#pandemie#pelerinage#religion#visa#tourisme#economie

  • Dr Zoë Hyde sur Twitter : “I recently went to two Christmas parties. Not a single person was wearing a mask. And it was okay, because there’s no epidemic where I live. Western Australia has managed to sustain zero COVID for nearly 2 years. Eliminating #COVID-19 was always possible. The world chose not to.” / Twitter
    https://twitter.com/DrZoeHyde/status/1472927799602122753

    #choix #lamentable
    « #communauté_internationale »

  • Le #Danemark offre des #barbelés coupants à la #Lituanie pour sa clôture antimigrants

    A Copenhague, le gouvernement social-démocrate, qui s’est fait élire en 2019 sur la promesse d’une politique migratoire ultrarestrictive, défend la construction de #clôtures aux frontières de l’Europe.

    Quinze kilomètres de #fils_barbelés. Voilà le généreux #cadeau du Danemark à la Lituanie : une contribution certes modeste à l’échelle des 500 kilomètres de clôture que l’Etat balte est en train d’installer sur sa frontière avec la #Biélorussie, pour empêcher les migrants d’entrer sur son territoire. Mais une #contribution symbolique, de la part du royaume scandinave, dont la première ministre sociale-démocrate, #Mette_Frederiksen, en poste depuis 2019, s’est fixé comme objectif d’atteindre « zéro demandeur d’asile ».

    Le 28 septembre, son ministre de l’immigration, #Mattias_Tesfaye – lui-même fils d’un réfugié éthiopien –, s’est rendu en Lituanie, pour rencontrer la ministre de l’intérieur, #Agne_Bilotaite. Il en a profité pour aller inspecter la clôture. Les barbelés envoyés par le Danemark ne sont pas des fils classiques, mais un modèle spécial, en accordéon, couvert de #lames similaires à celles d’un rasoir, pouvant causer des blessures mortelles.

    En 2015, ce sont ces mêmes barbelés que la Hongrie de Viktor Orban avait déployés à la hâte, face à la Serbie : un #mur antimigrants alors fortement décrié en Europe. Six ans plus tard, Mattias Tesfaye a estimé sur la chaîne TV2 que les critiques contre Budapest n’étaient « pas correctes » et que, face à « l’#immigration_incontrôlée », la clôture était une solution « de #bon_sens ». Au passage, le ministre danois a remercié Vilnius de ses efforts pour « protéger les frontières de l’Europe et de l’OTAN ».

    Indignation des ONG

    Mattias Tesfaye n’en est pas à son premier coup d’éclat. C’est à sa demande que les services de l’immigration ont suspendu les titres de séjour de plusieurs centaines de réfugiés syriens ces derniers mois. Il est aussi à l’origine du projet de loi, voté au Parlement en juin, qui devrait permettre à Copenhague d’externaliser l’asile dans des pays tiers, en dehors de l’Europe – le Rwanda faisant figure de favori.

    Au Danemark, son soutien à la construction du mur lituanien a suscité l’indignation des ONG. Amnesty International a accusé le gouvernement danois de faire preuve d’un « déni de la réalité » face à la crise migratoire actuelle. Le quotidien de gauche Politiken a dénoncé, de son côté, le cynisme du Danemark, qui « envoie 15 km de barbelés », quand « les migrants pris au piège meurent dans la forêt ».

    Dans les rangs de la majorité de centre gauche, cependant, les opinions divergent. Alors que la Liste de l’unité (rouge et verte) s’est dite « profondément consternée », le parti social-libéral défend le principe d’un mur aux frontières de l’Europe : « Nous ne pouvons pas accueillir tous les gens du Moyen-Orient et d’Afrique qui veulent venir ici », a estimé Andreas Steenberg, un des responsables du parti.

    En 2020, le Danemark a reçu 1 515 demandeurs d’asile et 1 017 autres depuis le début de l’année. Ces chiffres ne semblent pas émouvoir Mattias Tesfaye, qui a annoncé que Copenhague allait verser 33 millions de couronnes (4,4 millions d’euros) à la Turquie, pour l’aider à protéger ses frontières.

    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/10/02/le-danemark-offre-des-barbeles-coupants-a-la-lituanie-pour-sa-cloture-antimi

    #cadeau #murs #barrières_frontalière #externalisation #fermeture_des_frontières #murs_frontaliers #barrières_frontalières

    –-

    Sur le mur entre la Lituanie et la Biélorussie :
    https://seenthis.net/messages/920493

  • Covid-19 : l’Arabie saoudite va rouvrir ses frontières aux pèlerins vaccinés
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/08/covid-19-l-arabie-saoudite-va-rouvrir-ses-frontieres-aux-pelerins-vaccines_6

    Covid-19 : l’Arabie saoudite va rouvrir ses frontières aux pèlerins vaccinés
    L’Arabie saoudite va rouvrir les portes du pèlerinage de l’oumra (petit pèlerinage) à la Mecque aux pèlerins de l’étranger vaccinés contre le Covid-19, a rapporté, dimanche, l’agence de presse saoudienne officielle. Les autorités saoudiennes commenceront à accepter les demandes d’entrée dans le pays à partir de lundi, précise l’agence. Les frontières avaient été fermées il y a quelque dix-huit mois en raison de la pandémie.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#sante#religion#islam#pelerinage#lamecque#frontiere#circulation#vaccination#pandemie

  • Olivier Cyran à la manif aujourd’hui :
    https://twitter.com/OlivierCyran/status/1337839372763271169

    On a donc manifesté aujourd’hui à Paris comme on marche à l’abattoir, entre deux haies de troopers qui nous ont consciencieusement éclaté la gueule sur tout le parcours.

    Premier carrefour, première charge. Les flics foncent dans le tas, défoncent le cortège, frappent au hasard, piétinent des gens à terre, sèment la panique et provoquent des mouvements de foule. Puis ils se replient, en traînant parfois un gusse chopé dans la masse et dont la dégaine ne leur revient pas. Rebelote au carrefour suivant, et encore à celui d’après.

    On en a fait quelques-unes, des manifs sous doctrine PLGPPUR (plein la gueule pour pas un rond), mais à ce degré de pure brutalité mécanique, c’est une première. Les sacro-saintes vitrines n’étaient pas menacées, les flics encore moins : la seule rationalité de ce dispositif tient à la jouissance de faire mal et de faire peur. Et peut-être à l’intention plus ou moins inconsciente, allez savoir, de transformer le plus papa-cool des manifestants en un black-bloc à lui tout seul.

  • Des terrasses partout, une fausse bonne idée ?
    https://ieb.be/Des-terrasses-partout-une-fausse-bonne-idee?suivi=2020-07-02&noix=45229

    Ces dernières semaines, une idée a circulé dans les médias, puis a été lentement mise en œuvre. Face à la crise sanitaire et économique, pourquoi ne pas étendre les terrasses pour permettre aux établissements de reprendre enfin leurs activités économiques. Ce nouveau principe d’aménagement de l’espace semble mettre tout le monde d’accord : les travailleur·euse·s pourraient récupérer l’ensemble de leurs revenu, certains tenancier·e·s pourraient éviter la faillite tandis que le/la flâneur·euse, en manque de contact social, pourrait à nouveau profiter des douceurs de la vie. Mais derrière cette image d’Épinal, se cache sans doute une réalité plus complexe. L’espace public est un territoire où les usages rentrent en concurrence et un arbitrage spécifique peut engendrer l’exclusion de certain·e·s. Sans avoir la prétention de trancher la question, ce texte envisage certains risques et tente de les illustrer.

    #espace_public #post-confinement #déconfinement #crise #lamerdedapres

    • Je suis allée en ville tout à l’heure et j’ai constaté que les tables des cafés de la Place du Jet d’eau s’étalaient largement sur la place jusqu’à obstruer l’accès à l’escalier qui mène au Vieux-Mans. Je me suis faufilée entre les tables en râlant ! Je suis redescendue par une autre rue, dite à une époque « Rue de la soif », pareil, c’est une ruelle déjà étroite et là, à la hauteur d’un des cafés, il y a juste la place pour une personne de passer. Grrr

    • Bel arbitrage ! En France les terrasses ont plutôt pris de la place au stationnement automobile. Mais aller jusqu’à prendre l’espace de circulation piétonne et qu’il n’en reste plus...

      Penser l’espace public au-delà de l’économique

      D’une certaine façon, l’extension de l’horeca dans l’espace public est la poursuite de décisions politiques gouvernementales actuelles qui ont permis de se rassembler dans les centres commerciaux avant de revoir sa famille. C’est faire le choix de ce qui semble nécessaire parce que cela rapporte des points de PIB, sans que soit discuté ce qui apparaît indispensable aux personnes qui seront impactées par ces décisions.

    • En fait, c’est les deux. Quand il y a de la place sur la chaussée, c’est sur la chaussée que les terrasses s’étalent. Mais souvent, ce n’est pas le choix qui est fait. Dans certaines rues, c’est à devenir dingue, entre les chaises et les gens, impossible par exemple, de passer en fauteuil. L’autre jour, je me suis engueulée avec des gens qui râlaient après un livreur...

  • Coronavirus : le grand pèlerinage de La Mecque maintenu, mais avec un « nombre très limité » de pèlerins
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/06/22/coronavirus-le-grand-pelerinage-de-la-mecque-maintenu-mais-avec-un-nombre-tr

    La pandémie due au nouveau coronavirus touche l’un des plus importants rassemblements religieux au monde. L’Arabie saoudite a annoncé, lundi 22 juin, le maintien, à la fin de juillet, du grand pèlerinage musulman de La Mecque, l’un des cinq piliers de l’islam. Mais le nombre de fidèles sera limité à un millier de personnes, de toutes nationalités, « se trouvant à l’intérieur du royaume » saoudien, conformément aux mesures de précaution pour contenir la propagation du Covid-19. En 2019, le grand pèlerinage dans la ville sainte de l’ouest de l’Arabie saoudite avait attiré 2,5 millions de fidèles. Les autorités tablaient sur 2,7 millions de pèlerins pour 2020, selon le ministère chargé de l’organiser. C’est la première fois dans l’histoire moderne du pays que les musulmans étrangers doivent renoncer au pèlerinage annuel

    #Covid-19#migration#migrant#arabiesaoudite#lamecque#pelerinage#etranger#sante#propagation#pandemie

  • Comment l’Iran continue de défier les Etats-Unis avec son programme d’armement
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/comment-l-iran-continue-de-defier-les-etats-unis-avec-son-programme-d-arme


    L’Iran a récemment inauguré un sous-marin capable de tirer des missiles de croisière, réaffirmant ainsi sa volonté d’autonomie en matière de défense
    HANDOUT

    L’Iran a lancé avec succès un missile de croisière depuis un sous-marin de la classe Ghadir dans le cadre de manœuvres navales près du détroit d’Ormuz.

    L’Iran a lancé avec succès ce dimanche un missile de croisière dans le cadre de manœuvres navales près du détroit d’Ormuz, a rapporté l’agence de presse officielle Irna, sur fond de tensions avec les États-Unis. « Au troisième jour des (...) exercices, un sous-marin de la marine iranienne de la classe Ghadir a lancé avec succès un missile de croisière », a annoncé Irna. Les autres sous-marins iraniens, le Tareq et le nouveau Fateh (Conquérant), construit dans le pays, ont la même capacité anti-navire, a précisé Irna, qui cite un communiqué de l’armée. Une centaine de navires participent aux manœuvres en cours dans une vaste région qui s’étend du détroit d’Ormuz à l’océan Indien, selon les médias iranien.

    L’Iran a inauguré le 17 février un sous-marin capable de tirer des missiles de croisière, réaffirmant ainsi sa volonté d’autonomie en matière de défense dans un contexte de tensions avec les Etats-Unis. « Aujourd’hui, la République islamique devient complètement autosuffisante sur terre, dans les airs et sur la mer », avait déclaré le 11 février le président iranien Hassan Rohani au cours d’une cérémonie dans le port de Bandar-Abbas (sud), à laquelle ont assisté des hauts gradés de l’armée et des membres du gouvernement. Selon lui, « la pression des ennemis, la guerre (entre l’Iran et l’Irak, de 1980 à 88) et les sanctions » ont poussé l’Iran à devenir autosuffisant en matière de défense.

  • Les barbelés de clôtures, abandonnés par l’#Espagne mais maintenus par le #Maroc ?

    Alors que le gouvernement espagnol a annoncé vendredi qu’il abandonnera les barbelés de clôtures séparant #Ceuta et #Melilla du Maroc, ce dernier serait en train de mettre en place une nouvelle clôture autour des deux enclaves..

    Le gouvernement espagnol a approuvé vendredi un plan de modernisation visant à supprimer les barbelés de clôtures séparant Ceuta et Melilla du Maroc.

    Selon le média espagnol Info Libre, cette annonce intervient sept mois après que le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, s’était prononcé contre ce dispositif. La même source rappelle que ces barbelés de clôtures causent de graves blessures aux migrants qui tentent d’accéder illégalement aux deux enclaves espagnoles.

    Le gouvernement espagnol pour des moyens « plus surs mais moins sanglants »

    « Le retrait des clôtures et leur remplacement par de nouveaux équipements avec une technologie de pointe permettra de renforcer la sécurité sans blesser » ces migrants, poursuit-on de même source. Cette opération concernera d’abord les « zones frontalières les plus vulnérables ».

    Malgré l’insistance de l’opinion publique espagnole, Grande-Marlaska n’a pas précisé en quoi son ministère rendrait les clôtures plus sûres, mais il a cité un rapport technique du gouvernement de Rajoy. Ce document, cité par les médias espagnols, avait établi que les barbelés n’étaient plus dissuasifs pour les migrants, ce qui justifie la décision de les remplacer par des moyens « plus sûrs mais moins sanglants ».

    Toutes les actions seront développées en coordination avec le Royaume du Maroc, chargé de la surveillance de l’autre côté de la frontière, a précisé le ministre. Ce dernier a indiqué aussi que les travaux commenceront cette année par l’installation d’un nouveau système de surveillance en circuit fermé.

    « L’amélioration du réseau de fibre optique ou l’extension du circuit fermé de vidéosurveillance jusqu’au territoire marocain sont également prévues, tout comme l’adaptation des zones de transit de personnes à Tarajal (Ceuta) et d’autres passages frontaliers et l’installation de dispositifs de reconnaissance faciale », poursuit le média espagnol.

    Les « concertinas » maintenus par le Maroc ?

    Avec ces actions, le gouvernement montre sa volonté de prendre « très au sérieux la sécurité des migrants et le respect des droits de l’Homme », a déclaré Grande-Marlaska. Cette mesure intervient dans le cadre d’un large plan annoncé par le gouvernement pour l’amélioration des infrastructures de sécurité de l’Espagne, conclut Info Libre.

    De son côté, le média local Ceuta Actualidad a rapporté ce samedi que le Maroc serait en train d’installer, au niveau sa frontière avec Ceuta, une clôture avec des fils barbelés concertinas. « Pour le moment, les travaux ont commencé dans la région de Finca Berrocal. La clôture, plus petite que celle des Espagnols, sera située à quelques mètres de celle-ci », précise-t-il.

    « Avec cette mesure, un migrant qui veut accéder à Ceuta devra d’abord franchir la barrière marocaine puis un deuxième obstacle. De cette manière, il sera très difficile pour un migrant de pénétrer sur le territoire espagnol sans être intercepté à mi-parcours », détaille-t-il.

    Et Ceuta Actualidad de conclure : « Désormais, les #concertinas (#fils_barbelés, ndlr) seront placées du côté marocain » de la frontière.

    https://www.yabiladi.com/articles/details/73546/barbeles-clotures-abandonnes-l-espagne-mais.html

    #murs #barbelés #barrières_frontalières #frontières #asile #migrations #réfugiés #fil_barbelé

    • Le Maroc remplace les #lames_coupantes retirées des clôtures espagnoles de Ceuta et Melilla

      « Il sera désormais presque impossible pour les immigrants d’arriver à Ceuta ou à Melilla, et avec l’argent européen, nous protégeons nos frontières », a déclaré une source autorisée du ministère de l’Intérieur à El Mundo. Et pour cause, révèle la même source, le financement de 140 millions d’euros promis par l’Union européenne au Maroc et dont plus de 30 millions ont d’ores et déjà été injectés dans le budget du « cordon de sécurité », servira en priorité à ériger une double barrière hérissée de lames coupantes et d’un profond fossé en amont de la clôture espagnole.

      Le ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, avait, quant à lui, annoncé que les lames, qui avaient suscité une vive polémique en Espagne après de graves blessures infligées à des migrants subsahariens, seraient retirées des « zones les plus vulnérables » des clôtures de Ceuta et Melilla.

      Comme l’avait expliqué Marlaska, le système de protection espagnol « sera renforcé, mais sans moyens sanglants », simplement parce-que ces « moyens sanglants » sont désormais pris en charge… par le Maroc. « Nous sommes prêts à jouer à nouveau le mauvais rôle tant que l’Espagne et l’Europe respectent ce qu’elles ont promis. Si elles ne veulent pas d’immigrants, elles doivent nous procurer plus d’argent, de moyens et de formation », a expliqué à El Mundo, le haut responsable du ministère de l’Intérieur. Résultat : les lames de la partie espagnole vont disparaître. Mais le Maroc les remplace…


      https://mobile.ledesk.ma/encontinu/le-maroc-remplace-les-lames-coupantes-retirees-des-clotures-espagnoles

    • Migration : l’Espagne augmentera la #hauteur des #clôtures frontalières à #Ceuta

      Le ministère espagnol de l’Intérieur a annoncé samedi 23 février sa volonté de renforcer sa frontière à Ceuta en élevant la hauteur de sa clôture. “La hauteur de la clôture sera augmentée de 30%, atteignant les dix mètres, là où se sont produites le plus d’entrées”, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, lors d’une visite à Ceuta, selon un communiqué de son ministère.

      Le ministère espagnol de l’Intérieur a également indiqué que les barbelés au sommet des clôtures seraient remplacés par un autre matériel non blessant qui “garantira la sécurité sans blesser tout le long de la clôture”.

      Toujours selon la même source, les travaux de renforcement de cette clôture à Ceuta commenceront dans un mois et demi environ.

      Le but, selon le ministre, est d’avoir “une frontière plus sûre, plus moderne et dotée de moyens technologiques plus sophistiqués”. Ce dernier a évoqué notamment des systèmes de reconnaissance faciale aux passages frontaliers et l’amélioration des systèmes de vidéo-surveillance.

      Selon les chiffres du ministère espagnol de l’Intérieur, 726 migrants sont entrés illégalement dans les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla entre le 1er janvier et le 13 février par voie terrestre.

      Pendant la même période, 4.889 autres migrants ont accosté sur les côtes espagnoles à bord d’embarcations. Les côtes espagnoles constituent la principale voie d’entrée par mer dans l’Union européenne (UE) des migrants en situation irrégulière.

      Rappelons que Ceuta et Melilla ont été plusieurs fois le théâtre de passages en force de migrants africains qui souhaitaient pénétrer dans les enclaves espagnoles, constituant la seule frontière terrestre entre l’Afrique et l’UE.

      https://www.huffpostmaghreb.com/entry/migration-lespagne-augmentera-la-hauteur-des-clotures-frontalieres-
      #toujours_plus_haut #tout_aussi_inutile

    • ’A bloody method of control’: the struggle to take down Europe’s razor wire walls

      You could barely see that it was a finger. “The wound was large, with several deep cuts into the flesh. He had tried to climb the fence and was up there when he was caught by police in the middle of the night,” says András Léderer, advocacy officer for the Hungarian Helsinki Committee, a Budapest-based NGO.

      “He lost his balance. The wound was so horrific because as he fell, he tried to grab the razor wire – and also, he said, touched the second layer of the fence, which is electrified.”

      The unnamed Pakistani refugee in his 30s had attempted to cross the fence near Sombor, Serbia, to get into Hungary in 2016. The coils of metal that lacerated his finger are ubiquitous at the perimeters of “Fortress Europe” and can be found on border fences in Slovenia, Hungary, Macedonia, Bulgaria, Spain and France.

      Razor wire is cut from galvanised steel, and unlike barbed wire, which was devised to tangle and impede movement, it is designed to maim.

      It is one of the most visible symbols of the fortification of the EU’s borders. Thousands of migrants have already paid with their lives while attempting to get around those borders: by crawling through pipes, suffocating in the back of lorries, or drowning in the Mediterranean.

      In September 2005, a Senegalese man reportedly bled to death from wounds inflicted by deadly razor wire coils topping the fence in Ceuta, one of Spain’s two exclaves on the north African coast.

      Migrants from African countries regularly attempt to scale the six-metre high barriers separating these port cities from Morocco. They do so at great personal risk; after mass attempts to cross, Spanish medical staff regularly attend to deep cuts from razor wire, from which migrants’ bloodstained clothes are sometimes left dangling.

      Like the rest of Spain, Ceuta and Melilla have been under lockdown during the coronavirus pandemic. But tighter Moroccan border controls linked to the pandemic have not stopped migrants and refugees from coming: 1,140 people succeeded in crossing the frontier into Ceuta and Melilla in the first three months of this year.

      The Spanish authorities started removing the razor wire from these fences last December as part of a review of border security. The wire was first installed in 2005, removed two years later and restored by the centre-right government of Mariano Rajoy in 2013. The socialist government led by Pedro Sanchez had a chance to make good on repeated promises of a more humanitarian migration policy after June 2018. And throughout 2018 and 2019, Spanish officials stated their determination to remove the razor wire and, in the words of the interior minister, Fernando Grande-Marlaska, move beyond “bloody methods” of border control.

      Spain’s humanitarian policy has become largely redundant, though, given that Moroccan authorities have started installing razor wire along their own border fence with Ceuta. And Grande-Marlaska announced recently that fences around the two Spanish exclaves would be raised by 30 metres to deter incomers.

      These apparent double standards are part of a pattern, says Karl Kopp, of the German NGO Pro Asyl.

      “The European style is to outsource this more vicious, older style of border control with its razor wire and multiple fences to third countries. At home, it’s about drones, surveillance and technical cooperation to identify migrants approaching the EU border before they even reach it. Meanwhile, violent border policing is kept farther afield: out of sight, out of mind. So the Moroccans build an ‘ugly’ fence which can be criticised, while the Spanish create a more ‘humanitarian’ alternative,” says Kopp.

      Public pressure elsewhere has led some governments to reconsider the use of razor wire as experts brand it both inhumane and ineffective. Others even wonder about the legality of its use.

      “On the one hand, legislation about borders states that crossing anywhere other than an official checkpoint is illegal. On the other hand, the notion of crossing a border illegally is usually voided under international refugee law if making an asylum claim,” says Bernd Kasparek, a researcher at Border Monitoring, a German NGO that tracks pushbacks of refugees. “So there is a legal tension at the EU’s borders. Sometimes it is very necessary to cross the border irregularly in order to lodge an asylum claim. Fortified borders like these interfere with that legal right, particularly in places where it’s an open secret that 99% of asylum claims lodged with border guards are rejected,” Kasparek adds.

      Recent successful attempts at removing razor wire from Europe’s borders have not been motivated by legal or humanitarian concerns but by ecological ones. In Slovenia, environmentalists’ fears of the impact of razor wire on wildlife led in 2016 to the removal of the coils from sections of its border with Croatia. In light of legal constraints in several European states on the deployment of razor wire in rural areas, some manufacturers even indicate the wildlife-friendly credentials of their razor wire.

      One difficulty in mounting a challenge is the near impossibility of establishing the true scale of the injuries inflicted specifically by razor wire at borders. According to Kate Dearden, project officer at the I nternational Organization for Migration’s Missing Migrants Project, many governments only keep records on deaths at borders, rather than deaths that occur later as a result of injuries during attempts to cross them.

      Moreover, it can be hard to discover exactly which portions of Europe’s fences are topped by razor wire and who supplied it; in recent years many governments have classified detailed information about fences as state security issues. Nevertheless, some manufacturers have refused to sell to border fences on humanitarian grounds. In 2015, Talat Deger, director of the Berlin-based company Mutanox, refused to do a deal with the Hungarian government. In an interview last year, Deger’s successor, Efekan Dikici, said that he and his staff have kept to the principle.

      “We want to sell razor wire, of course, but only for the right purposes: to secure property, factories, jails, or for example on the railings of ships to prevent piracy. For those purposes it’s justified; but when it’s being used against humans who need help, that’s awkward,” said Dikici. “Most of our workers have a foreign background themselves, so I think we all feel this a bit more.”
      That stance is costly. Dikici stressed that it can be genuinely difficult for razor wire suppliers to establish the end use of their product, given that they often deal with middlemen and procurement agencies. “If you’re selling to a government, razor wire could be used for a prison or a border. But if a request for a really huge amount comes in, we do wonder whether it’s for a border fence. Even large private properties need a few hundred metres, not kilometres. I ask myself, if we got a request from the US for the Mexico border, would we give them a quote?”

      Other companies do not appear to have these scruples – after all, there is a brisk trade to be done in razor wire, which is not to be confused with barbed wire. Razor wire is cut from single sheets of galvanised steel, and most commonly sold in folding coils known in the industry as concertinas. The sharp razors come in various sizes; most seen by the Guardian at four European border fences are of the BTO-22, BTO-20 and BTO-10 varieties – straight razor edges affixed to a metal coil.

      There are even more formidable options: CBT-60 includes “harpoon” style hooked razor heads that can embed themselves in the flesh of those trying to cross them. Some razor wire manufacturers seemingly flaunt the effects in their brochures; for example, Chinese manufacturer Hebei Jinshi advertises its CBT-65 long blade as a “vicious product” whose “extra long blade razors produce[s] [a] frightening effect.”

      However, some European producers have discovered that selling razor wire to border fences comes at the cost of bad press, even in times of rising xenophobic sentiment.

      When Hungary’s prime minister, Viktor Orbán, decreed in 2015 that a fence be raised on Hungary’s border with Serbia, the Malaga-based manufacturer European Security Fencing (ESF) provided the razor wire. ESF, a subdivision of Mora Salazar, has delivered coils for fences in Austria, Slovenia, Bulgaria and France, and proudly presents itself as one of Europe’s leading razor wire suppliers.

      Nevertheless, after the installation of its razor wire on the Hungarian border, ESF spokesmen told the Spanish press that they had been unaware of the product’s final use by the Hungarian clients. In September 2015, the company deleted its official Twitter account following the backlash provoked by a tweet boasting of ESF’s leading role in the European razor wire industry.

      Today, ESF appears to have competition in the form of Polish company GC Metal, which now refers to itself as Europe’s leading seller of razor wire. The company’s website indicates that it may have been involved in supplying concertina wire for the Bulgarian-Turkish border fence. Neither ESF nor GC Metal responded to requests for comment about the end use of their products or their humanitarian implications.

      Europe’s fortified borders are here to stay, even if borders in decades to come may be unrecognisable in comparison to today’s crude fences. Razor wire, much like fortified borders in general, is both inhumane and ineffective, concludes Kopp, though its removal may not necessarily be a bellwether for a more humanitarian migration policy. Seismic sensors, night vision cameras and surveillance drones have all come to play a greater role in border policing – with hi-tech solutions like these, will razor wire become redundant?

      “There’s a high symbolic value to razor wire, like fences,” says Mark Akkerman, a researcher at the Transnational Institute and author of a recent report on Europe’s border-industrial complex. “Simply put, they allow governments to show the public, the press, their voters, and the world that they’re ‘doing something’ about migration.”

      https://www.theguardian.com/global-development/2020/may/13/a-bloody-method-of-control-the-struggle-to-take-down-europes-razor-wire

  • Bécassine et le chat botté annoncés au Touquet en 2019 _ Kathleen Meneghini - 25 Novembre 2018 - chasseurs d’info - Le journal des Flandres.
    http://www.chasseursdinfos.fr/6406/article/2018-11-25/becassine-et-le-chat-botte-annonces-au-touquet-en-2019

    Chantal Goya, l’idole des enfants d’hier et d’aujourd’hui, se produira au Touquet dans le cadre des festivités de Noël.

    Voilà plusieurs années maintenant que la ville du Touquet propose un grand spectacle musical chaque début d’année dans le cadre de l’opération « Si Le Touquet m’était conté ». Après « La petite fille aux allumettes » il y a deux ans ou encore « Peter Pan » l’an dernier, la station accueillera, le 3 janvier prochain, Chantal Goya et son « monde magique ».

    #Le_Touquet #manu #brigitte_macron #Chantal_Goya #société_du_spectacle #lamentable #de_la_dyslexie_créative appliquée. #gloupgloup #société_du_spectacle (tombée bien bas).

  • #Lactalis : #Auchan et #Carrefour ont remis en rayon des produits rapportés par des clients
    https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/lactalis-auchan-et-carrefour-ont-remis-en-rayon-des-produits-rapportes-pa

    Nouvelles révélations dans la gestion de la crise Lactalis ce mercredi, concernant cette fois la grande distribution. Non seulement des produits Lactalis concernés par la procédure de rappel sont restés en rayon, mais en plus, des produits rapportés par des clients ont parfois été remis en vente.

    #lamentable #France

  • Police municipale dans les #écoles à Nice : « Une expérimentation qui commencerait prochainement », annonce #Jean-Michel_Blanquer
    https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/police-municipale-dans-les-ecoles-a-nice-une-experimentation-qui-commen

    Jean-Michel Blanquer indique par ailleurs que l’un des critères qu’il a jugé intéressant "est la #relation entre la #police et les #enfants, car le policier non armé à l’intérieur de l’école est quelqu’un qui va vivre au quotidien avec les enfants et va en fait s’intégrer dans leur vie".

    #charabia #France #lamentable

  • #Guerre_aux_pauvres sur Arte à 20h30
    Hier, 09/11/2017, à une heure de grande écoute, 28 minutes consacre une émission entière pour traiter les pauvres d’assistés et plaindre les riches qui sont mal aimés. Une des protagonistes jamais interrompue, affirme même que les pauvres sous conditions de ressources coutent 97 milliards d’aide social.

    (voir à 34mn)

    Luchini (FL)
    – Pas un média, pas un plateau télé ou on ne vend pas le pauvre comme un éblouissement … à part TF1 …
    – Est-ce qu’il faudrait encore plus payé pour que les gens ne soient plus pauvres ?
    Agnès Verdier-Molinié (AVM)
    – Mais c’est ça le sujet ! ce qui n’est pas dit c’est que la France est dans les pays les plus géééénéreux au moooonde
    – FL : Et ça c’est vrai ?
    – mais les plus généreuuux au mooonde.
    – FL : Et c’est vrai ou pas ?
    – AVM : Mais oui, on a ,on a (là Luchini ouvre la bouche estomaqué) plus de 97 milliards de dépenses de protection sociale, d’aide sociale, qui sont versés sur critères de reeessources.
    Elisabeth Quin, présentatrice qui intervient à peine
    – Et pourtant 9 millions de français sont sous le seuil de pauvreté
    – Arrêtons de culpabiliser les français, ça coute très cher cette protection sociale

    #pauvrophobie qu’explique Nadia sous le regard goguenard des invités qui est la seule à être outrée et se moquer du terme cancer de l’assistanat qui semble commun à ce « débat ».
    Luchini (invité spécial) est quant à lui absolument infect, mais tout à fait dans la peau de ses #acteurs_français qui squattent l’espace cinématographique/politique (maintenant que les deux ne valent plus rien) de leur morbidité et en font renoncer plus d’un·e à aller au cinéma.

    Fabrice Luchini est rejoint pour ce débat par Agnès Verdier-Molinié, économiste et directrice du think tank libéral iFRAP, Éric Heyer, économiste à l’OFCE, et l’essayiste Pascal Bruckner.

    https://www.arte.tv/fr/videos/075223-054-A/28-minutes

    #consternation #arte #lamentable #goebels #mais_pourquoi_je_tombe_que_sur_des_merdes #nombril_des_riches #morale_de_droite

    • https://data.oecd.org/fr/socialexp/depenses-sociales.htm

      Les dépenses sociales couvrent les prestations en espèces, les biens et services fournis directement et les allègements fiscaux à visées sociales. Les prestations peuvent être ciblées sur les ménages à #faibles_revenu, les #personnes_âgées, les #handicapés, les personnes #malades, les #chômeurs ou les #jeunes. Un programme social se caractérise par une redistribution des ressources entre les ménages ou une participation obligatoire. Les #prestations_sociales sont qualifiées de publiques lorsque les administrations publiques (administrations centrale et locales, administrations d’États fédérés et de sécurité sociale) contrôlent les flux financiers correspondants. Toutes les prestations sociales non fournies par les administrations publiques sont considérées comme privées. Les transferts privés entre ménages ne sont pas considérés comme sociaux et ne sont pas inclus ici. Les dépenses sociales nettes totales englobent les dépenses publiques et privées, et prennent en compte les effets de la fiscalité directe et indirecte et des allègements fiscaux à visées sociales. Cet indicateur est mesuré en pourcentage du PIB ou en Dollars US par habitant.

      2017 Dépenses sociales de la France : 11,5 milliards d’euros

    • @touti , tu leur en fait de la publicité !
      J’ai regardé une partie du machin, c’est vrai, ils sont dans la fosse, au plus bas, sans@touti , tu leur en fait de la publicité !
      J’au regardé une partie du machin, c’est vrai, ils sont dans la fosse, au plus bas, sans scepticisme.

      Des parisiens #hors_sol , qui ne peuvent faire que semblant d’être avec les moyens fournis par l’argent public, ici arte, la chaine germano francophone.

      Fabrice Luchini rappelle la collaboration d’alain finkielkraut (l’éructeur) à ce qu’il qualifie de spectacle.
      Des répugnants en marche vers l’insignifiance.

      Pour rappel, finkielkrau bave le Samedi matin sur rance culture avec l’argent des contribuables, on n’est pas obligé d’écouter non plus.

      Ce ne sont pas les seuls, je cite :
      Les capitales sont bien en rupture avec le reste de leur territoire national. Un article de Juin 2016
      « Indépendance » de Paris et Londres : réponse d’un géographe à Sadiq Khan et Anne Hidalgo
      http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/06/29/31002-20160629ARTFIG00322-independance-de-paris-et-londres-reponse-d-un-geo

      Anne Hidalgo, directrice du Travail et de primes de conseillère de cabinet. 116 000 euros pour un soit disant travail à a Mairie.
      http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/11/08/25001-20171108ARTFIG00117-selon-le-canard-hidalgo-a-beneficie-d-une-double-

      Attention, la #morale_de_droite c’est pour ceux qui n’ont pas de rolex.

    • @bce_106_6 tu m’accuses de leur faire de la pub alors que je dénonce ces pourritures ?
      en ce moment je lis le petit pamphlet génial de @aude_v #egologie je me moque aussi de ces ’militants’ qui ne veulent parler que des trucs cools qui ne perturbent pas le monde …
      Il faut faire honte à ces « répugnants en marche vers l’insignifiance » ! et je le fais pour les jeunes qui étaient avec moi hier et qui ne décryptaient pas de suite l’aspect dégueulasse du discours.
      Et je ne fais pas de confusion à la tous pourris, je montre clairement ceux qui profitent de leur position de dominants pour la renforcer. Ces sortes d’émission sont clairement là pour justifier la guerre sociale menée contre les pauvres, ce n’est pas un jeu, les conséquences de ces campagnes de propagande sont gravissimes.

    • Bonsoir @Touti !
      Du calme, du calme, je suis entièrement d’accord avec toi sur leur suffisance astronomique.

      Ton billet m’a fait prendre comprendre que Fabrice Lucchini était bon pour la poubelle, il est vrai que je ne suivais pas trop ce qu’il faisait.
      Il radotent comme d’habitude sur les Privilèges des prolos, afin de cacher les leurs.
      De moins en moins de gens y croient, la propagande, ça a des limites.
      En faisant mes courses, j’entends des propos dignes d’anarchistes entre clients ou caissières, dans les beaux quartiers des hauts de france.

      Ces « répugnants en marche vers l’insignifiance » , ne veulent qu’une seule chose, qu’on leur fasse de la réclame, c’est leur gagne pain à ces #baltringues.

      Une seule chose les terrifie , qu’on les montre dans leur réalité (L’inspirateur de Lucchini, chroniqueur sur rance Culture).
      https://www.youtube.com/watch?v=4lydlc16K0o

      Leur classe sociale semble avoir gagné, mais leur société est en train de s’effondrer, ça les rend obscènes, haineux, ils sont sans limites.

      Je suis souvent étonné de la violence des réactions sur seenthis, entre membres qui partagent 99 % de leurs idées.

    • Oui @touti, c’est à vomir.
      Ce petit entre soi, ultra libéral, décomplexé, la présentatrice (Elisabeth Quin) toujours aussi servile.
      Luchini pitoyable, caricature de lui même, beaucoup d’effet mais pas d’intelligence.
      Et l’autre propagandiste, Verdier Molinié, abonnée aux plateaux télé et à Radio Courtoisie, qui vient répandre son venin libéral.

      Il n’y a que Nadia Daam dans cette émission qui a tous les jours du recul et une vraie liberté de ton.

      Et encore, ça c’est sur Arte.
      Sur les autres chaines, y compris du service public, c’est pire (je pense aux émissions de Ruquier par exemple).

      #société_du_spectacle #guignols

  • The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: Long time Saudi regime propagandist gets an offer to write regularly for the Washington Post
    http://angryarab.blogspot.com/2017/10/long-time-saudi-regime-propagandist.html

    Jamal Khashoggi announced that he received an offer to write regularly for the Washington Post. He spent a career working as a propagandist for various Saudi princes. Do you think that a man who devoted a career for serving the propaganda of Bashshar Al-Asad or Iranian regime or Putin would get an offer writing regularly for a US newspaper?

    The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: The lousy journalism of Ben Hubbard: he defames Syrian football players: would he say that about Saudi football players?
    http://angryarab.blogspot.com/2017/10/the-lousy-journalism-of-ben-hubbard-he.html

    This is the trend in US journalism: you can get away saying the most absurd and ridiculous thing about a country if the regime of that country is not an ally of the US.

    The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: The case of Syrian opposition director who said he survived an assassination attempt in Istanbul: new developments
    http://angryarab.blogspot.com/2017/10/the-case-of-syrian-opposition-director.html

    you really can’t believe Western media on Syria because they are Pavlovian in regurgitating whatever is posted by Syrian rebels on their social media accounts—fabrications and lies and all.

    #msm #lamentable

  • Ubérisation du squat : « Ils entrent chez nous n’importe quand » - L’Obs
    http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20170530.OBS0068/uberisation-du-squat-ils-entrent-chez-nous-n-importe-quand.html

    Contrôle, surveillance, interdictions, soucis d’entretien, contrats de « résidence temporaire »... Bienvenue dans le monde des agences anti-squat.

    C’est une idée absolument capitaliste qui consiste à mettre des gens dans des lieux inoccupés pour protéger ces mêmes lieux des squatteurs.

    Un type d’hébergement court terme qui ne garantit ni les droits de locataires, ni les droits du code du travail tels que la sécurité ; et qui est fourni par des sociétés qui prennent de l’argent du côté des propriétaires et des résidents. Un double jackpot.

    La Ville de Paris applique elle aussi ce genre de méthode en concédant à des assos, des artistes des « espaces intercalaires », c’est-à-dire provisoirement non rentabilisés, de manière à disposer d’occupants qui font fonction de vigiles gratuits contre d’éventuelles occupations.
    Vigiles ? on dira que je force le trait. Pourtant, il n’est pas rare que la VP octroie une convention d’occupation de locaux à la condition (vérifiée par des contrôles réguliers) que seule une faible partie du bâti soit utilisée, quitte à blinder les accès aux parties d’immeuble qui doivent rester vides...

    #lameilleuredespolicesneportepasluniforme #logement #squat #gardiennage #patrimoine_intercalaire

    • Il y a des affrontements très violents quand des groupes tentent de prendre le squatt à ceux qui le tiennent. (je ne sais pas quel était le contrat) Du coup il faut veiller la nuit derrière la porte, faire des tours de ronde, fermer à clef et demander à chaque personne ce qu’elle vient faire là, en plus des chiens dressés à l’attaque dans la cour, histoire de montrer qu’on sait se défendre. C’est assez terrifiant, et tu penses bien que malgré les bonnes intentions vis à vis des femmes, l’ambiance de guerre se fait entre « hommes ».

  • Ta dose de Mégacombi pour pour les fêtes
    https://rebellyon.info/La-megacombi-a-reecouter-17312

    Petite sélection de numéros de la Mégacombi, le radiozine de Canut qui se la pète #LaMeilleureEmissionDeLaBandeFm. Chaque mercredi à 18h, un cocktail de reportages, de fictions, de montages et de pastiches en direct sur le 102.2 Mhz. Profitez de la fin de l’année pour réécouter et partager quelques épisodes du début de la saison 9.

    #Infos_locales

    / #Médias, Une

  • Les safaris-chasse de Benjamin de Rothschild impliqués dans des abus contre les « Pygmées » - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/11491

    Survival International a découvert qu’une opération de #safaris de #chasse_à_l’éléphant, conjointement détenue par le milliardaire français Benjamin de #Rothschild, a été impliquée dans la #violation des droits de « #Pygmées » #baka locaux et de leurs voisins. Parmi ces violations figurent des #expulsions illégales et des #tortures.

    L’opération est basée au #Cameroun, dans deux « aires protégées » louées par Benjamin de Rothschild. Elle offre aux touristes la possibilité d’abattre, contre la somme de 55.000 euros, un éléphant de forêt.

    Afin de créer cette opération de #chasse aux #trophées, les Baka ont été expulsés de leur #territoire ancestral — ce qui est contraire au droit international. Des #soldats, #policiers et #gardes_armés patrouillent le territoire ; les Baka ont maintenant été informés que les patrouilleurs tireraient à vue si les Baka pénétraient sur le territoire pour chasser afin de nourrir leurs familles, ramasser des plantes ou se rendre sur des sites sacrés.

    ...

    Le Fonds mondial pour la nature (WWF) est très actif au Cameroun où les « aires protégées » permettant la chasse aux trophées font partie de l’un de ses « paysages écologiques » clefs. Le WWF doit encore commenter ces allégations ou annoncer s’il compte prendre des mesures.

    #monde_civilisé #terres #lamentable

  • RFC 7999 : BLACKHOLE Community

    Lorsqu’on est soumis à une sérieuse #attaque_par_déni_de_service volumétrique, il faut parfois sacrifier la machine qui en est la cible, afin de préserver le reste des ressources réseau. On demande alors à son opérateur de jeter le trafic à destination de cette machine, avant qu’il n’emprunte la liaison qu’on veut préserver. Cela peut se faire manuellement mais c’est évidemment plus rapide et moins risqué si on le fait automatiquement, via une annonce #BGP vers le préfixe visé. Pour cela, on marque l’annonce BGP avec une communauté qui veut dire « poubelle donc tout ce trafic ». Ce nouveau #RFC normalise une communauté standard, « bien connue », pour cela, BLACKHOLE (0xFFFF029A). Ainsi, il n’y aura plus besoin d’utiliser une communauté différente pour chaque opérateur.

    http://www.bortzmeyer.org/7999.html

    #trou_noir

  • US teens often forced to trade sex work for food, study finds
    https://www.theguardian.com/us-news/2016/sep/12/teens-america-hunger-food-poverty

    Teenagers in America are resorting to sex work because they cannot afford food, according to a study that suggests widespread hunger in the world’s wealthiest country.

    Focus groups in all 10 communities analysed by the Urban Institute, a Washington-based thinktank, described girls “selling their body” or “sex for money” as a strategy to make ends meet. Boys desperate for food were said to go to extremes such as shoplifting and selling drugs.

    The findings raise questions over the legacy of Bill Clinton’s landmark welfare-reform legislation 20 years ago as well as the spending priorities of Congress and the impact of slow wage growth. Evidence of teenage girls turning to “transactional dating” with older men is likely to cause particular alarm.

    #Etats-Unis #pauvreté #lamentable

  • Juan Branco : « Des centaines d’enquêtes, des milliers de pages sur des scandales d’État en tous genre soudainement rendues au néant. »
    https://twitter.com/anatolium/status/754022509897474048

    Je viens de découvrir qu’avec la fermeture du site, toutes les archives de backchich.info ont disparu... c’est catastrophique.

    Des centaines d’enquêtes, des milliers de pages sur des scandales d’État en tous genre soudainement rendues au néant.

    (...) #faillite

    #presse #archivage_militant #caramba