Poignante lanceuse d’alerte lâchée par tout le monde.
Houria Aouimeur
▻https://www.youtube.com/watch?v=01kRGTXvkLE&t=627s
#Houriaaouimeur
#lanceuse_d'alerte
#éthique
Poignante lanceuse d’alerte lâchée par tout le monde.
Houria Aouimeur
▻https://www.youtube.com/watch?v=01kRGTXvkLE&t=627s
Irène Frachon, médecin en alerte
CQFD | Vendredi 6 janvier 2023
▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-science-cqfd/grand-entretien-avec-irene-frachon-1445205
Irène Frachon, pneumologue, lanceuse d’alerte dans l’affaire du médiator nous raconte cette affaire aux aspects de polar qui a percuté sa vie dès les années 1990.
#Mediator #lanceuse_d'alerte
#le_monde_des_affaires (qui schlinguent)
Exclu : découvrez la bande-annonce de “La Syndicaliste”, avec Isabelle Huppert (qui interprète le rôle de Maureen Kearney)
▻https://www.telerama.fr/cinema/exclu-decouvrez-la-bande-annonce-de-la-syndicaliste-avec-isabelle-huppert-7
L’histoire vraie d’une élue syndicale d’Areva violée chez elle, puis accusée d’avoir menti. Ce film-dossier captivant de Jean-Paul Salomé sera présenté en avant-première lors du Festival cinéma Télérama, du 18 au 24 janvier, avant sa sortie en salles le 1er mars. En attendant, voici la bande-annonce.
D’autres articles en rapport avec "l’affaire Maureen Kearney" :
▻https://www.lecourrierdelatlas.com/le-saississant-laffaire-maureen-kearney-de-nina-robert
Dans cette mini-série documentaire pour France Televisions, la réalisatrice Nina Robert revient sur la vie et la difficulté de la lanceuse d’alerte, Maureen Kearney. Alors syndicaliste à Areva, elle va subir une agression et un viol qui ne seront jamais résolus. Pire, elle se voit reprocher une « dénonciation calomnieuse », un procès qu’elle gagnera en appel.
▻https://www.miroirsocial.com/participatif/la-syndicaliste-lhistoire-de-maureen-kearney-lanceuse-dalerte-agressee
L’enquête réalisée par Caroline Michel Aguirre est exemplaire par l’attention portée aux détails, à l’enquête précise et détaillée et à la fidélité des faits retracés dans le livre. Facile à lire mais parfois insoutenable par la dureté des faits relatés, il apporte un regard objectif sur la violente agression subie par Maureen Kearney un matin de décembre 2012 à son domicile. L’ouvrage est fidèle ; des témoignages et des documents expliquent une situation exceptionnelle par son déroulement et les implications économiques et politiques de l’affaire.
#lanceuse_d'alerte #syndicalisme #le_monde_des_affaires (qui schlinguent) #business (as usual) #culture_du_viol #culture_d'entreprise
L’affaire Maureen Kearney
▻https://www.france.tv/france-3/paris-ile-de-france/l-affaire-maureen-kearney
Go See “#Official_Secrets” Right Now
▻https://theintercept.com/2019/08/31/official-secrets-iraq-war-film
"Official Secrets", l’histoire d’une #lanceuse_d'alerte qui voulait la #paix | Euronews
▻https://fr.euronews.com/2019/08/27/official-secrets-l-histoire-d-une-lanceuse-d-alerte-qui-voulait-la-paix
L’histoire vraie de #Katharine_Gun, lanceuse d’alerte, arrive au cinéma. Peu de temps avant l’invasion de Irak, en 2003, une jeune traductrice du renseignement britannique révèle un dossier secret de la #NSA : il concerne une opération illégale d’espionnage anglo-américaine contre des membres du Conseil de Sécurité des #Nations_Unies. L’objectif de l’opération d’espionnage est d’influer sur leur vote et favoriser une invasion de l’#Irak.
Tempête médiatique sur les pesticides : le “Printemps Silencieux” de Rachel Carson [1/5] | Alexandra d’Imperio
▻https://troisiemebaobab.com/temp%C3%AAte-m%C3%A9diatique-sur-les-pesticides-le-printemps-silenc
En 1962, Rachel Carson choque les Américains en leur faisant découvrir la dangerosité des pesticides chimiques dans son livre “Printemps Silencieux”. Un demi-siècle plus tard, cette vieille polémique permet d’éclairer les controverses environnementales actuelles… Source : Le Troisième Baobab
‘I spent seven years fighting to survive’: #Chelsea_Manning on #whistleblowing and #WikiLeaks | US news | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/us-news/2018/oct/07/chelsea-manning-wikileaks-whistleblowing-interview-carole-cadwalladr
Perhaps the most revealing part of my conversation with Chelsea Manning is what she doesn’t say. What she can’t or won’t talk about. It’s not that she doesn’t have a whole lot to say – she does, particularly about technology and how it can be used against us. Her job as an intelligence analyst for the US army, using data to profile enemy combatants – to be targeted and maybe killed – gave her an acute understanding of its potential uses and abuses. She understood the power of Facebook to profile and target long before the Cambridge Analytica scandal erupted. “Marketing or death by drone, it’s the same math,” she says. There’s no difference between the private sector and the military. “You could easily turn Facebook into that. You don’t have to change the programming, just the purpose of why you have the system.”
@cdb_77 Je me demande si Chelsea Manning ne mérite pas le tag #lanceuse_d'alerte qu’elle n’aurait pas volé !
je pense que oui, mais je pense aussi que c’est bien d’avoir un tag unique pour des recherches
:-)
ça se discute, mais c’est pour une pure question de praticité
@cdb_77 Je propose alors de mettre les deux et cela quel que soit le sexe de la personne ou des personnes concernées par le signalement. Ou alors #lancement_d'alerte
Anne Cabau, lanceuse d’alerte du scandale du Distilbène, est morte
▻http://www.liberation.fr/france/2018/07/03/anne-cabau-lanceuse-d-alerte-du-scandale-du-distilbene-est-morte_1663686
Des citoyens qui changent le monde (7) : L’inspectrice du #travail de #Téfal
►https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/des-citoyens-qui-changent-le-monde-7-linspectrice-du-travail-de-tefal
#Laura_Pfeiffer raconte comment une inspection de l’entreprise Téfal, en Haute-Savoie, qui tourne au calvaire la conduit à devenir #lanceuse_d'alerte sur les pressions subies par sa profession.
Affaire Tefal : l’inspectrice du travail Laura Pfeiffer remporte une victoire contre sa hiérarchie (8 février 2017)
▻http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/02/08/affaire-tefal-l-inspectrice-du-travail-laura-pfeiffer-remporte-une-victoire-
►https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/des-citoyens-qui-changent-le-monde-7-linspectrice-du-travail-de-tefal
▻https://seenthis.net/recherche?recherche=tefal&order=date
et puis merci à elle parce que je crois qu’elle en a pris plein la gueule dans cette affaire.
Je crois que tout est fait (au-delà des discours larmoyants et hypocrites) pour que le message passe bien : « vas-y, Don Quichotte, fais-toi plaisir, mais voilà ce qui arrive aux blaireaux de ton espèce qui osent l’ouvrir contre nous ! »
J’ai retrouvé 16 ans plus tard le lanceur d’alerte d’un truc assez grave qui s’est passé près de chez moi. Le type, ils lui ont tout fait : bien sûr, le virer et le griller dans son métier, mais aussi faire pression sur sa femme, utiliser leurs relations pour le faire passer pour fou ; lors du procès instruit contre lui (pas contre les pratiques qu’il dénonçait, hein !), l’expert médical était la femme du type mis en question (si, si, c’est extraordinaire, quand même, tu vois le message : « on t’emmerde, on fait ce qu’on veut, on tient le coin ! »). Ensuite, quand sa femme a demandé le divorce (avait-elle le choix ? Je ne crois pas, vu qu’ils lui avaient conservé son job dans la structure qu’il dénonçait, si, si, c’est possible !), ce sont de nouveau ses ex-employeurs qui ont été experts auprès du tribunal et qui ont obtenu non seulement qu’il prenne tous les torts, mais aussi qu’il perde son autorité parentale sur son jeune fils. Au moment où je l’ai contacté pour le retour de l’affaire, ce fils venait d’avoir 18 ans et j’ai suivi leurs retrouvailles, avec un gosse qui découvrait que son père qu’il avait oublié n’était pas le salaud qu’on lui avait raconté.
Le mec s’est retrouvé black-listé dans mon département (pratique assez récurrente contre ceux qui se ne satisfont pas de la baronnie locale !) et bien au-delà dans son job qu’il a abandonné (au moment des faits, il avait 23 ou 25 ans et il se retrouvait sans rien dans la vie). Il a songé à se faire sauter le caisson, mais il est parti en Angleterre, puis il a totalement refait sa vie, changé de métier et s’est installé en Espagne où il a construit une nouvelle famille.
Quand l’affaire est ressortie du bois parce que rien n’avait changé depuis qu’il avait tiré la sonnette d’alarme et que les sales trucs continuaient à se produire et que d’autres salariés s’en sont émus, il a suivi ça de loin. Je l’ai retrouvé pour faire un article, on a discuté beaucoup et au vu de ce qu’il avait pris dans sa gueule, j’ai fini par décider de ne pas sortir d’article. Finalement, devant la tournure que ça prenait, il a décidé de retémoigner et il est passé par Le Monde (dommage pour moi, mais bon…)
À l’arrivée, après beaucoup de bruit jusque dans les ministères et l’envoi d’enquêteurs et d’administrateurs sur place, qui ont tous confirmé les faits, l’affaire est passée dans le même tribunal (avec un nouveau juge dont je suivais déjà l’étrange justice de classe) et hop… les charges ont été pratiquement toutes classées sans suite (alors que je le répète, les enquêtes administratives confirmaient tous les faits dénoncés !), le juge a même inventé une excuse de "gestion à l’ancienne" pour balayer la prise illégale d’intérêt (la corruption, donc) sous le tapis.
Les salopiots ont retrouvé leur niche écologique intacte et forts de leur nouveau verdict, ont attaqué le Monde et le vieux lanceur d’alerte pour diffamation, où, de nouveau, le même tribunal a pu faire preuve de toute sa "sévérité".
Là, le lanceur d’alerte a définitivement compris comment ça fonctionne en France, il a renoncé à sortir un article pour raconter cette partie de l’histoire, il a payé la facture et je pense que pour lui, la France est définitivement de l’histoire ancienne.
Oh, là là, la pauvre : elle s’est attaquée à l’usine Téfal de Rumilly !
J’ai grandi dans le bled à côté et bon, il était difficile de ne pas connaitre quelqu’un qui bossait pour Téfal. Quand tu as une grosse boite qui fournit autant d’emplois industriels, tout le monde est d’accord pour protéger la boite envers et contre tout, parce que si ça ferme, c’est grosse dépression économique en vue pour les alentours.
Ailleurs, je me suis retrouvée un jour avec des stats un peu bizarres qui venaient de l’une des plus grosses usines de mon département. Je travaillais à nettoyer la base de données entreprises et j’avais des soucis d’effectifs à la fois trop faibles et avec trop de variations. Bref, je ne sais plus comment, je me retrouve en contact avec des salariés de la boite qui commencent à me raconter de gros gros arrangements avec le droit du travail. Le truc classique : surconsommation d’intérimaires et de CDD renouvelés ad nauseam , non-déclaration des heures sup, violences hiérarchiques, etc.
Il se trouve qu’à l’époque, je n’avais que 10 mètres à faire pour me retrouver à l’inspection du travail. Donc, j’y suis allée et j’ai exposé la situation. Là, l’inspecteur m’a gentiment expliqué que l’usine faisait vivre un des bleds les plus importants du coin, sans compter les sous-traitants et qu’il fallait parfois avoir un peu de souplesse pour conserver l’emploi avant tout… y compris les nôtres.
Bref, je ne suis pas une héroïne, je sais voir quand je vais me retrouver à faire Don Quichotte comme une conne, seule contre tous. Et puis, voilà, le chantage à l’emploi, ça marche quand même super bien : qui voudrait plonger des tas de familles dans la merde, hein ?
Mais l’histoire a une suite.
La suite, c’est que le patron de cette usine était plutôt le genre d’autocrate qui s’est fait tout seul (en héritant du commerce de papa, mais en ayant tout de même la capacité de le développer très fort !) et qui est toujours un peu à la recherche de sa place dans le notoiriat du coin… sauf que les parvenus, même plutôt riches…
Bref, le type, il n’accède pas à la place à laquelle il aspirait dans la baronnie locale et il décide de se venger : il crée un petit journal satirique où il balance tout ce qu’il sait sur les petites magouilles des uns et des autres. Une sorte de lanceur d’alerte insider , mais plutôt catégorie "revanchard" et qui voulait tirer profit de sa position d’intouchable : en gros, il comptait utiliser le chantage à l’emploi dans l’autre sens.
Son canard marchait super bien. Dans ma boite, il était interdit, mais tout le monde en avait un exemplaire dans le tiroir.
Ce qui est amusant, c’est que les faits que j’avais rapportés quelque temps plus tôt ont brutalement cessé d’être protégés par le chantage à l’emploi. Le temps de le dire, il s’est tout pris sur la tronche : l’inspection du travail, les services fiscaux, tout… et bien sûr, ils avaient de quoi boire et manger.
Pour le coup, plus rien à foutre du principal pourvoyeur d’emplois industriels du coin, plus rien à foutre des familles, du chômage et tout ça.
Il a chargé, encore et encore et à la fin, sa boite a été revendue à la découpe, puis liquidée, avec tous les ouvriers à l’ANPE.
Lui, il était plus grillé qu’une merguez sur un barbecue de la CGT. Il a disparu des écrans radars.
Bon, pas totalement ruiné quand même : il a refait sa vie à Québec où il est consultant en entreprises.
Je n’ai servi à rien dans l’histoire, mais j’ai appris que « quand tu montes au cocotier, tu dois avoir le cul propre ».
( et accessoirement que même si tu l’as nickel chrome, si tu t’en prends à certains intérêts, ça ne va pas t’aider… rien ne va t’aider !)
Mais aussi que dans notre pays, les positions dominantes sont très fermement tenues. Très.
Merci @monolecte pour ces récits édifiants ! et merci @fil pour le signalement de l’émission.
#baronnie #domination #castes
Ces histoires sont juste effrayantes. Elles nous renvoient crument à la féodalité sinon à l’ordre mafieux...
C’est un peu pour cela que je cherche à changer de coin. Non pas qu’il n’y ait pas le même problème partout, mais au moins, j’ai une petite chance de ne pas y avoir encore trop de réputation…
Quel courage ! Mais je suis toujours étonnée par tant de naïveté. C’est touchant de l’entendre raconter sa souffrance liée à la perte de ses illusions d’une justice impartiale quand elle explique le moment où elle tombe en dépression, quand elle comprend que les valeurs qu’elle pensait servir ne sont que des mots. Ça me fait un peu penser à des anciens propos de Snowden quand il racontait le moment où il a compris ce qui se passait réellement à la NSA et à quel niveau, lui qui se disait auparavant patriote.
Ça me fait penser aux grèves Devaquet, quand on a été une poignée à débrayer le lycée et surtout que j’ai été la seule à bondir sur le trottoir pour aller à la manif dehors : les gus, ils veulent bien faire la révolution, mais à condition que quelqu’un d’autre endosse la responsabilité.
Ils ont suivi quand il a bien été établi que j’étais LA meneuse et que j’allai donc être sanctionnée prioritairement en rentrant au bahut… J’ai pris une belle leçon de vie, ce jour-là !
Cette histoire de meneuse @monolecte ça me rappelle qu’il y a quelques années, avant les présidentielles qui ont élu Hollande, on se retrouvait une semaine sur deux avec quelques voisins pour discuter politique. C’était parti d’une discussion où je faisais remarquer à deux de mes voisins qu’il était difficile de faire changer les choses alors que déjà entre voisins on ne partage rien et que je crois que ça commence par là. Donc on a commencé à se voir et peu à peu le cercle s’est un peu agrandi avec des personnes hors du quartier qui avait des choses à raconter. Mais cela restait dans une sphère privée, j’avais envie d’un lieu ouvert à tous. J’ai donc émis l’idée de faire une espèce de repaire, restait à trouver l’endroit. Je savais qu’il y avait eu un repaire de là-bas dans un café épicerie et je suis allée les voir. Là ils m’ont raconté que le repaire marchait assez bien mais qu’il avait pris fin avec le départ de la personne qui l’avait mis en place et que personne n’avait pris relai. Le mec me précisait que l’épicerie était partante pour relancer l’aventure. J’ai donc fait mon petit rapport auprès de mes potes en précisant que moi je ne serais pas meneuse, je n’avais pas envie de ça et que si on lançait une telle initiative, on devait la gérer collectivement. Le problème était que la fameuse épicerie était située loin du quartier, il fallait trouver un autre endroit. Finalement on a rien fait.
Brain Magazine - Interviews - Ovidie : « Le porno aujourd’hui, c’est un business de geeks et d’experts en montages financiers »
▻http://www.brain-magazine.fr/article/interviews/34645-Ovidie-Le-porno-aujourdhui-est-un-business-de-geeks-et-experts-
Ovidie : « Le porno aujourd’hui, c’est un business de geeks et d’experts en montages financiers »
Le documentaire est diffusé ce soir sur Canal+ (#paywall) mais son interview est déjà édifiante et choquante, sur la violence physique et financière de ce milieu.
Il s’était en fait passé quelque chose, en l’espace de trois ans, entre 2009 et 2012 : tout à coup, une très grande partie de l’industrie du X était tombée aux mains d’une seule entreprise, ManWin, devenue par la suite MindGeek. Un monopole détenu par une multinationale, cela n’était jamais arrivé auparavant dans l’histoire du X. Ce qui m’a posé question à ce moment-là, c’est que ce monopole avait été créé par des gens qui n’avaient quasiment jamais eu de contact avec le X auparavant. Ce n’était pas des producteurs, ni des anciens acteurs ou anciens réalisateurs, c’était des gens qui n’avaient jamais mis les pieds sur des tournages. C’était soit des geeks, soit des experts en montages financiers. Ils avaient atterri dans le porno parce que leur métier principal, c’est de générer du trafic. Et ce qui génère du trafic sur internet, c’est le porno. Si ce qui avait généré du trafic sur internet, c’était la recette des crêpes, ils se seraient lancés dans le business de la recette des crêpes. Leur métier, c’est de générer du trafic, coûte que coûte.