• The real cost of #transparency.
    https://hackernoon.com/the-real-cost-of-transparency-866f865315?source=rss----3a8144eabfe3---4

    When asked why he robbed banks, Willie Sutton famously responded, “Because that’s where the money is.” Similarly when creating a new product, we focused on enabling transparency, “Because that’s where the opportunity is.”At least, you’d think that’d be the case. Transparency as a concept appears to be widely accepted as a way for teams to be more effective. In fact if you look at the stated values of many newer companies, transparency is typically highlighted, as one of the 4 or 5 key attributes deemed critical to the success of the organization.Transparency just makes things . . . easier.However, we’re finding the day-to-day reality at most organizations is somewhat disconnected from their stated aspirations. I have been puzzled by why this should be the case. Why isn’t transparency more commonly (...)

    #leadership #cost-of-transparency #future-of-work #agile

  • Top Ukrainian justice official says US ambassador gave him a do not prosecute list | TheHill
    https://thehill.com/hilltv/rising/434875-top-ukrainian-justice-official-says-us-ambassador-gave-him-a-do-not-

    Ukrainian Prosecutor General Yuriy Lutsenko told Hill.TV’s John Solomon in an interview that aired Wednesday that U.S. Ambassador to Ukraine Marie Yovanovitch gave him a do not prosecute list during their first meeting.

    #etats-unis #leadership (#immiscions)

  • #technical Skills for Product Managers Decoded-An event by Advancing Women in Product (AWIP)
    https://hackernoon.com/technical-skills-for-product-managers-decoded-an-event-by-advancing-wome

    Credits: Sift Science Team, Advancing Women in Product Team-Linh Tran, Nancy Wang, Aakrit PrasadWhether you are an engineer or a product manager (PM), you are part of a product team. As engineers are technical, PMs need to have certain “technical skills” to work effectively in building a great product. But what are these technical skills? On July 31st, Advancing Women in Product (AWIP) hosted a panel discussion on technical skills for PMs, sponsored by Sift Science. The panel featured Megan Mann (Product Manager at Sift Science), Akshay Kannan (Product Manager at Google), and Pranava Adduri (Founding Engineer at Rubrik) and the discussion was moderated by Neetika Bansal (Engineering Manager, Stripe). Here are some key insights from a few questions asked.Is technical experience necessary (...)

    #leadership #technology #product-management #awip-partnership

  • #Crimes de #guerre présumés : Washington prive de visa des enquêteurs de la #CPI - Amériques - RFI
    http://www.rfi.fr/ameriques/20190316-crimes-guerre-afghanistan-visa-etats-unis-enqueteurs-cpi

    En septembre dernier, le conseiller à la sécurité nationale du président américain s’était livré une charge d’une violence inédite contre cette juridiction internationale, la qualifiant d’« inefficace, irresponsable et carrément dangereuse ». « La CPI est déjà morte à nos yeux », avait même déclaré John Bolton en promettant des sanctions.

    En plus des restrictions de visas, Washington menace également d’imposer des #sanctions, notamment économiques, si la CPI « ne change pas d’attitude », ajoute Mike Pompeo.

    #Etats-unis #brute_et_truand #leadership

  • In first, U.S. drops ’occupied’ from report on West Bank, Gaza and Golan Heights - U.S. News - Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/us-news/in-first-u-s-drops-occupied-from-description-of-west-bank-gaza-and-golan-he

    After scrapping ’occupied territories’ from human rights report headline in 2018, State Department drops ’occupied’ from entire text

    #états-unis #israel #droit #leadership

  • HABITER UNE ANCIENNE USINE À RIO DE JANEIRO. Les invasoes de l’#avenida_Brasil

    Depuis 2000, une nouvelle forme d’#habitat populaire et spontané surgit aux abords d’une ancienne #autoroute industrielle de Rio de Janeiro. Il s’agit de l’#occupation par des habitants des favelas d’anciens terrains d’usines abandonnées. A partir d’une recherche ethnographique, l’auteur dégage des aspects importants qui définissent ce type d’habitat : les formes d’#appropriation et de #régulation de l’espace, les caractéristiques de #leadership, les #conflits et #pratiques des habitants.


    http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=44497

    #livre #habiter #habité #Rio_de_Janeiro #Brésil #urban_matter #favelas #favela #urbanisme #géographie_urbaine

    • #Recension : Maíra Machado-Martins, Habiter une ancienne usine à Rio de Janeiro : les invasões de l’Avenida Brasil

      Le livre de Maíra Machado-Martins est tiré d’une recherche doctorale portant sur les occupations de locaux industriels abandonnés par des populations pauvres de la zone nord de Rio. Le thème est original et il n’y avait pas jusque-là de publication disponible en français. D’anciens habitants de favelas ou de quartiers défavorisés se sont concertés pour occuper et réaménager de vastes usines laissées à l’abandon par leurs propriétaires le long de la longue Avenida Brasil qui traverse la ville d’est en ouest. Le but de ce livre est avant tout d’offrir une description de ce phénomène à partir de trois cas étudiés lors de visites au cours des années 2000. On découvre ainsi dans les premières pages du livre comment s’est réalisée la recherche, puis comment ont évolué les zones d’habitat étudiées.

      2Les premiers chapitres retracent une description minutieuse, photos à l’appui, de la structure physique des usines, des conditions de leur occupation et des modes d’organisation de la copropriété. Ils permettent de constater que les invasões (invasions) ne débutent pas par hasard. Ce sont en général d’anciens salariés des usines ou d’anciens policiers qui sont à l’origine de l’opération. Les choses ont en principe été mûrement préparées. Selon la configuration du bâti, la délimitation des logements a varié : construction de maisons dans les espaces vides ou découpage des bâtiments en appartement le long des coursives déjà existantes. Les premiers arrivés se sont octroyé les meilleurs espaces ou les ont conservés pour les louer ultérieurement. Ils ont également, en général, fixé les conditions de fonctionnement de la copropriété par la mise en place de syndics.

      3On est loin donc, dans les cas étudiés, d’invasions improvisées de terrains nus par des gens démunis prêts à construire des cabanes. Des règles ont été fixées pour la couleur et la disposition des logements, les installations collectives et leur usage, les règles de vie et l’électricité. Il peut y avoir gardien, piscine, parkings et commerces. Les passages décrivant les modes d’organisation sont particulièrement intéressants et montrent les immenses capacités d’adaptation et d’initiatives des Cariocas des quartiers pauvres. Des conflits, cependant, opposent parfois les habitants au sujet des mauvais payeurs des taxes collectives, du bruit ou des dégradations occasionnées par les enfants. Comme dans les favelas, la solidarité et l’esprit de collectivité ne sont pas forcément un caractère distinctif de cette forme hybride de logement ; d’où l’importance des syndics qui sont en fait des sortes de leaders communautaires auto-affirmés, souvent sur la base de leurs liens avec les milices parapolicières. Ils règlent les conflits, recueillent le courrier à distribuer, imposent les règles collectives et surtout ferment les portes des locaux aux trafiquants et aux délinquants.

      4Selon le degré de confort accessible, les populations concernées sont plus ou moins désargentées, mais la plupart des occupants rencontrés ont eu une expérience de vie dans les favelas des quartiers Ramos ou Maré. Les habitants apprécient dans cette forme nouvelle d’installation la possibilité de devenir propriétaires de logements ressemblants à des appartements de grands ensembles, à l’abri des exactions des trafiquants et sur la base d’un mode de vie organisé de façon à favoriser le respect mutuel. Certains, pourtant, retournent vivre dans le complexe de la Maré, après quelques années dans une usine envahie, sans que l’auteure puisse expliquer le phénomène.

      5Les informations obtenues grâce à l’observation et à des entretiens offrent donc un tableau vivant et précis des arrangements physiques et organisationnels qui guident la vie dans ce type de logements collectifs. On peut cependant regretter que la profondeur de l’analyse soit limitée. L’une des raisons est sans doute que l’auteure a une formation d’architecte et non de sociologue. Ainsi, le livre n’est pas construit autour de questions sociologiques claires et susceptibles de faire avancer la sociologie de l’habitat populaire au Brésil. Par ailleurs, les références mobilisées pour mettre en évidence les spécificités de l’objet sont parfois peu convaincantes. Par exemple, la littérature française sur les squats ne semble guère appropriée pour comprendre les invasions brésiliennes, tant l’ensemble du contexte social et juridique diffère. Certaines remarques montrent également que l’auteure n’a pas saisi à quel point l’impensé de son milieu d’origine peut conduire à des traces d’ethnocentrisme de classe : l’ouvrage aurait ainsi gagné à ne pas considérer implicitement que la référence allant de soi est le logement de classe moyenne et que les favelas et autres invasions relèvent de l’anomalie.

      6Les problèmes que rencontrent les occupants sont spécifiques (la forme de l’espace, les réseaux d’eau ou d’électricité qu’il faut adapter), mais aussi plus généraux (le bruit et la gêne découlant de la promiscuité). Certaines questions adressées aux occupants, comme les conditions de leur appropriation symbolique du logement, ne sont pas particulièrement justifiées, dans la mesure où elles peuvent être posées partout ailleurs. Deux problématiques intéressantes auraient ainsi pu être mieux développées, comme l’importance de la construction d’un ordre de vie réglementé et le déroulement exact des invasions (qui, malheureusement, n’a pas pu être étudié). L’idéal aurait été de replacer de façon approfondie le phénomène dans le contexte de l’analyse des stratégies concrètes de logement des gens de classes populaires de la zone nord.

      7Cependant, la faiblesse principale du livre vient certainement de la maigreur relative des données qui ont essentiellement été recueillies par le système de visites courtes et de discussions avec un nombre réduit de résidents. Cela oblige l’auteure à étoffer ses analyses par des comparaisons et des descriptions empruntées à d’autres phénomènes (squats français, favelas ou condominiums fermés au Brésil). On mesure ici l’intérêt qu’aurait pu avoir une enquête par observation participante de longue durée, par exemple en s’installant sur place. Cette méthode de recherche est cependant encore très rare au Brésil et Maíra Machado-Martins inaugure peut-être un courant intéressant de recherche sur les formes non conventionnelles de logement au Brésil.

      https://journals.openedition.org/cal/4203

    • #Maira_Machado-Martins est prof invitée pour un mois à l’université Grenoble Alpes...
      Elle a donné aujourd’hui une super conférence...
      L’#espace_habité - Récits des formes d’appropriation à Rio de Janeiro

      La recherche porte sur le formes d’appropriation de l’espace par les usagers/habitants dans la ville de Rio de Janeiro, dans l’habitat informel et dans les logements sociaux construits récemment au Brésil. Ce travail interroge, entre autres, la relation entre les transformations physiques des espaces, les pratiques quotidiennes des habitants et leur sociabilité, pour aboutir une réflexion sur la construction de l’espace habité.


      https://www.pacte-grenoble.fr/actualites/l-espace-habite-recits-des-formes-d-appropriation-a-rio-de-janeiro

    • Brésil / Stratégies et transformations du territoire : la construction sociale d’une copropriété populaire à Rio de Janeiro

      Comme dans la plupart des villes, l’urbanisation de Rio de Janeiro a démarré, dès le XVIe siècle, par le centre-ville. La ville s’est étendue selon un modèle d’extension concentrique, tout en conservant un tissu orthogonal, gagnant progressivement les montagnes et les marais par remblaiement des terrains. Ensuite, le processus d’expansion de la ville a pu être caractérisé par deux axes principaux depuis la zone du centre-ville : un vers le Nord et l’autre vers le Sud. Ce dernier a abouti dans la zone balnéaire, qui a bénéficié d’une planification urbaine prévue pour accueillir la zone d’habitat la plus sophistiquée de la ville. Du côté de la zone Nord, l’urbanisation s’est faite sans planification. Par exemple, l’implantation par l’État de réseaux de voies ferrées reliant le centre-ville et la périphérie Nord au XIXe siècle et la création des zones industrielles dans les années 1930 n’ont pas été accompagnées d’une programmation de logements. Cette opposition des formes de croissance urbaine, aggravée par les déséquilibres d’investissement de toutes sortes de la part des pouvoirs publics, génère globalement1 deux territoires à Rio de Janeiro. La zone Sud est structurée, riche2 et consolidée par rapport à sa fonction urbaine principale et majoritairement résidentielle. À l’inverse, la zone Nord présente des transformations importantes et constantes en ce qui concerne l’usage des sols, la formation de zones d’habitat et les mouvements de population.


      http://www.revue-urbanites.fr/bresil-strategies-et-transformations-du-territoire-la-construction-s

  • Move the problem solvers closer to the problem to be solved
    https://hackernoon.com/move-the-problem-solvers-closer-to-the-problem-to-be-solved-fa516a581d98

    Give them the keys and let them solve the problem. Photo by rawpixel on UnsplashProblem solvers are best suited to solving problems. They come up with solutions, they soundboard them off each other and then they converge on what seems like the most viable, feasible and desirable solution based on the information that they have.Problem solvers in the software world include but are not limited to:Software & DevOps EngineersUI/UX DesignersProduct ManagersData FolkGive them context and I’d bet — with a little savviness in the team and close collaboration — 99 times out of a 100, they’ll come up with a fantastic solution to the problem framed based on the context they have around the problem to be solved.And, the times they don’t come up with a fantastic solution, it’s likely that they’ve got 2 or (...)

    #engineering #software-development #leadership #teams-and-teamwork #strategy

  • An Honest Review About The Benefits of CBD Products
    https://hackernoon.com/an-honest-review-about-the-benefits-of-cbd-products-b73c346443e0?source=

    Cannabidiol (CBD) is a naturally-occurring constituent of cannabis plants. It is the most abundant non-psychoactive cannabinoid found in cannabis and is being scientifically investigated for numerous reasons which we will further discuss.A huge hype is surrounding CBD products as it is believed to be able to treat anxiety, epilepsy, acne, pain, schizophrenia, and many other ailments. Nowadays, we can find a variety of products ranging from oils, wax, to CBD-infused foods. In fact, an entire site, CBDSailor, is dedicated just to ranking the best CBD products.Of course, not everyone is sold. With scant research on effectiveness or side effects, some doctors remain skeptical, and there are users who say they don’t feel a thing when using CBD products. The products also aren’t regulated by (...)

    #health #lifestyle #efficiency #entrepreneurship #leadership

  • How To Build A Scalable Customer Success Strategy
    https://hackernoon.com/how-to-build-a-scalable-customer-success-strategy-578b160179c?source=rss

    From Square’s Head of Scalable CS, Caty KobeCaty KobeCaty Kobe is the Head of Scalable Customer Success at Square. She oversees a growing team of 25+ employees dedicated to blending insights, content, and technology to deliver proactive and reactive educational resources to customers at scale.Customer satisfaction is the ultimate validator for product success. And when one of your customers has a question or complaint, the manner and speed in which you respond matter immensely. In the early days, keeping a relatively small customer base happy is achievable with a small team.But maintaining that level of customer satisfaction as your base grows quickly becomes a daunting task for any #startup that doesn’t have a scalable customer success strategy in place. When implemented properly, a (...)

    #tech #business #customer-success #leadership

  • The adaptive cycle as a dynamic map for #resilience thinking
    https://hackernoon.com/the-adaptive-cycle-panarchy-as-dynamic-maps-for-resilience-thinking-793f

    The three aspects of resilience (persistence, adaptive capacity and transformability) describe important capacities of living systems: to resist collapse and maintain vital functions, to adapt to changing conditions (learn and self-organize) and in the case of Socio-Ecological Systems to apply foresight and anticipation to ‘design for positive emergence’ — to transform the system towards increased health and an improved capacity to respond wisely and creatively to disruptions and change.The theory of complex dynamic systems describes the periodic, rhythmic dance between order and chaos, between stability and transformation as a fundamental pattern of self-organization in complex (living) systems. As any system begins to mature, there is an accompanying increase in fixed and ordered patterns (...)

    #strategy #design #leadership #culture

  • 8 Ways To Start Becoming A Better Leader
    https://hackernoon.com/8-ways-to-start-becoming-a-better-leader-790722589fea?source=rss----3a81

    Being an effective business leader takes years of practice.The primary reason it takes so long is because effective #leadership means being able to balance a number of skills, all of which require their own learning curve. In fact, “skills” isn’t even the best word for it. They’re really more virtues than anything else.Though different leadership styles can be used at different times to build and run an effective business, these eight character traits should be universal in each and every leader:1. Self-awarenessOne of the most important characteristics of a business leader is self-awareness, and the ability to understand your own strengths and weaknesses.Very often, I run into leaders and aspiring entrepreneurs that make the mistake of going to great lengths to cover up their weaknesses —  (...)

    #company-culture #personal-development #productivity #teamwork

  • This is The CEO’s Most Important Job
    https://hackernoon.com/you-have-one-job-as-the-founder-or-ceo-6df382c643e3?source=rss----3a8144

    Jeff Seibert, co-founder of DigitsOver the past decade, I have founded and exited two companies — Increo and Crashlytics — and then stayed on to build large teams at the acquirers — Box and Twitter.By Jeff Seibert, co-founder of Digits, co-founder and former CEO of Crashlytics.Most people have a certain image in their minds when they think of a founder/CEO.They picture the boss in the corner office, standing behind her desk, gazing out over the city. They imagine someone calling all the shots, and everyone relying on their insight and wisdom — a visionary who is never wrong. They fear being grilled, berated, and guilted into working long hours — inevitable top-down command-and-control.When #startup founders take this approach today, they fail.In my experience, this couldn’t be further from the true (...)

    #leadership-development #leadership #entrepreneurship #technology

  • Gilets Jaunes, l’urgence de l’acte – Stathis Kouvélakis
    https://www.contretemps.eu/gilets-jaunes-urgence-acte-kouvelakis

    Ce qui caractérise à cet égard le mouvement des GJ, et révèle sa fragilité, c’est plutôt la profusion d’aspirants à la direction, à la fois au niveau local, régional et national. Pour l’instant, au niveau national, la corde semble être tenue par le trio, désormais scindé, de la France en colère Eric Drouet – Priscillia Ludosky – Maxime Nicolle. Le « serment du jeu de Paume » du 13 décembre, suivi par le rassemblement devant l’Hôtel de ville de Paris le 7 janvier, ouvert par la lecture d’une lettre adressée à Macron et suivi d’un cortège vers l’Assemblée, et, point d’orgue de la série, l’organisation réussie d’un rassemblement d’ampleur nationale à Bourges le 12 janvier sont autant d’initiatives qui témoignent d’une volonté évidente de conquérir une position de #leadership et de traduire sur le terrain de l’action de rue les succès acquis sur les #réseaux_sociaux. L’objectif est confirmé par la « scission » devenue à présent publique (via facebook naturellement) au sein de ce trio et qui semble relever exclusivement du jeu banal d’ambitions personnelles rivales[47].

    Cette évolution relève incontestablement du processus très classique de constitution et d’institutionnalisation d’un groupe. A ceci près que, du fait de l’unanimisme identitaire du mouvement des GJ, redoublé du refus (pour l’instant du moins) de toute autre forme de coordination que les réseaux sociaux, fait de ces questions l’objet d’une dénégation de principe. A l’évidence, rien ne déplairait plus à Maxime Nicolle ou Eric Drouet, et sans doute aussi à leurs nombreux « followers », que d’admettre leurs ambitions de leader, fût-ce dans un cadre différent que celui d’un parti politique. Pourtant, ce serait là faire œuvre de clarté, qui permettrait, entre autres choses, de les questionner sur leurs orientations, leur confusionnisme idéologique, leur rôle dans la propagation des théories délirantes d’un Philippe Argillier[48], ou dans la diffusion de propos racistes et complotistes sur le pacte de Marrakech, le rôle des « lobbies » et de « la finance », ou la caution apportée à la pancarte antisémite qui décorait la tribune du rassemblement de Bourges du 12 janvier etc. En réalité, il y a fort à parier que, s’il veut se prémunir de dérives trop prévisibles, et se doter d’une pérennité et d’une efficacité, le mouvement est condamné à réinventer la roue, à savoir trouver des formes de structuration, créer des #espaces_de_délibération et de coordination, bref se soumettre aux lois universelles d’une #action_collective démocratique. Les tentatives en cours de structurer à l’échelle nationale un processus de délégation émanant d’assemblées générales, une « assemblée des assemblées » telle que le propose notamment l’appel des GJ de Commercy[49], représente à l’évidence un enjeu crucial. Leur succès serait un pas vers un mouvement qui pourrait contribuer à la reprise en main de leur vie par les opprimé.e.s et les exploité.e.s, et s’ouvrir, sans garantie aucune, à une perspective émancipatrice.

    Les forces de la #gauche sociale et politique peuvent y contribuer, la question de l’utilité de leur existence même ne manquerait pas de se poser s’il en allait autrement. Il y a toutefois des conditions à cela, dont la satisfaction, disons-le, paraît assez lointaine à l’heure actuelle. L’attitude des directions syndicales, qui confine à l’aveuglement, est particulièrement alarmante. Au lieu de voir dans le mouvement, au minimum, une occasion pour s’affronter avec le macronisme et arracher de véritables concessions, bien au-delà de l’annulation de deux taxes injustes, elles se sont confinées dans le rôle parfaitement illusoire de médiation avec un pouvoir autoritaire et discrédité, allant même jusqu’à lui prêter main-forte au moment où celui-ci apparaissait le plus en difficulté[50]. Quant à la gauche politique, celle qui ne rechigne pas à aller au combat, lorsqu’elle ne s’est pas coupée du mouvement, elle refuse de se saisir de ces contradictions et de les politiser, se contentant de surfer sur les affects qu’il suscite ou de projeter sur lui des schémas, si ce n’est des fantasmes, manifestement inopérants et dépassés. Ce mouvement n’est certainement pas le modèle de toute mobilisation future, mais on peut parier que nombre de ses innovations, et des questions qu’elles posent, resurgiront, sous une forme ou une autre, dans la période à venir. Ne pas comprendre qu’il peut en sortir tout autre chose que tout ce à quoi les mouvements sociaux de la période antérieure nous ont habitué revient à s’exposer à de terribles déconvenues. Or, il convient d’y insister, compte tenu de la profondeur de la crise politique, le temps est dense, ce qui est une autre façon de dire qu’il est compté. On ne saurait accorder trop d’importance aux enquêtes d’opinion, mais on ne peut écarter d’un revers de main les indices qui suggèrent que seule l’#extrême-droite semble pour l’instant profiter de la situation. On le peut d’autant moins que le profil de la plupart des porte-paroles et aspirants leaders des GJ, et la persistance de certains symboles dans les actions les plus emblématiques du mouvement[51], a de quoi susciter l’inquiétude.

     

    Passer à l’acte

    Dans l’hypothèse, peu probable, qu’il s’arrête ou décline rapidement sans laisser de traces durables, qu’aura appris d’utile le mouvement des GJ à celles et ceux pour qui le combat social et politique n’a pas commencé le 24 novembre dernier ? Au moins ceci : qu’il est possible de gagner un soutien majoritaire, d’ébranler en profondeur un pouvoir autoritaire en étant dix fois moins nombreux dans la rue que dans une manifestation syndicale et sans passer par la case des journées de grève « saute-mouton » (ou annoncées comme sur un planning d’examens) comme celles que nous avons connu depuis maintenant de trop nombreuses années. Qu’il est légitime, n’en déplaise aux belles âmes, de se défendre face au déchaînement répressif de l’État et que la contre-violence de celles et ceux qui luttent n’est pas toujours contre-productive, que ses effets dépendent d’une perception de la situation qui relève avant tout d’une compréhension politique. Que l’initiative d’une mobilisation d’envergure peut être prise, pas toujours mais en certaines occasions du moins, par des novices, qui manquent d’expérience, qui feront inévitablement des erreurs, mais qui sont également dépourvus du poids des routines bureaucratiques et des défaites intériorisées qui inhibent la pensée et l’agir des plus aguerris. Qu’il faut aussi commencer par s’organiser là où on peut et comme on peut, qu’un rond-point ou un parking peuvent devenir un foyer d’action collective, mais garder également à l’esprit que, pour gagner, il faut également savoir en sortir, aller voir ailleurs et rencontrer autrui pour construire une lutte commune.

    Le mouvement nous aura également appris que si l’on veut obtenir « plus », ou plutôt : autre chose, que des annulations de taxes sur les carburants ou des hausses de CSG, si on aspire à des choses très immédiates et simples comme des augmentations de salaires, le rétablissement de la législation du travail et la remise en cause de son infinie précarisation, il faudra s’y prendre autrement.

    On en conviendra, ce n’est déjà pas si mal…

    On peut également formuler les choses ainsi : le mouvement des GJ peut se comprendre comme une critique en acte de cette impuissance de plus en plus insupportable dans laquelle la gauche sociale et politique s’est enferrée au cours de cette dernière période, et dont l’origine remonte aux défaites sur lesquelles s’est achevé le siècle passé. Il est illusoire de penser que ce mouvement apporte de lui-même des réponses d’ensemble. Dans ce qui a précédé, nous nous sommes efforcés de montrer en quoi il achoppe également sur des obstacles bien visibles et, pour une large part, bien prévisibles, qui prolongent certaines des tendances parmi les plus sombres de la situation présente. Mais l’événement crée également le besoin, et, pour une part, les conditions d’une nouvelle rencontre. En ce sens, son signifiant le plus important n’est sans doute pas celui, à vrai dire insignifiant, d’un gilet d’automobiliste fluorescent mais bien celui d’« acte » qui scande cette séquence depuis son commencement. Si ces « actes » doivent aboutir à autre chose qu’à une série qui s’étire vers un enlisement terminal, c’est bien cette rencontre qu’il s’agit de construire, pour que cette scansion devienne celle d’un véritable passage à l’acte.

    #Gilets_jaunes

    • Ce qui ressort en revanche clairement, c’est la mise en avant de l’#unanimité en tant que trait constitutif du mouvement. Elle se traduit par l’affichage de revendications pouvant faire immédiatement #consensus, le RIC en est l’exemple-type, et la mise et l’écart des points qui prêtent à controverse, ou sont susceptibles d’en créer. Certes, tous les mouvements sociaux mettent en avant des revendications unifiantes, c’est même leur geste fondateur et une condition indispensable à leur succès. Une telle unification n’est toutefois pas donnée d’emblée, elle se construit au cours de la mobilisation elle-même, par une combinaison de débats et d’effets en retour induits par l’action collective elle-même. L’unanimisme des GJ est d’un autre ordre, il relève d’une dimension proprement #identitaire. En l’absence d’espaces de délibération à l’échelle du mouvement, les revendications ne sont pas débattues, mais plutôt adoptées « par acclamation », ou son strict équivalent qu’est la propagation mimétique-sérielle sur les réseaux sociaux. Les GJ ne se conçoivent pas d’ailleurs comme un « mouvement », ils n’agissent pas en vue de convaincre ou d’entraîner d’autres secteurs du peuple – on remarquera du reste un désintérêt quasi-total à l’égard de toute idée d’extension ou d’élargissement du mouvement – car ils « sont » « le peuple », une croyance largement entretenue par la nouvelle forme d’« entre-soi » induite par le fonctionnement des réseaux sociaux. Et « le » peuple en question ne peut qu’être homogène et unanime. Le rejet de la représentation et de toute médiation s’effectue ainsi au profit de la présence, de l’immédiateté et de la transparence supposées qu’autorise le recours aux réseaux sociaux ou à l’interconnaissance informelle comme seuls outils de coordination et de communication.

  • The future of tech according to Mark Cuban, Zuck and Bill Gates is…liberal arts?!?
    https://hackernoon.com/https-medium-com-stevenchien-the-future-of-tech-according-to-mark-cuban-

    When these billionaire tech heavyweights speak, it’s worth a listen.We’ve all heard of the impending Robot-pocalypse, where robots come and steal everyone’s job.A sample of some fear-mongering headlines:JP Morgan just outsourced finance and legal work to a robot that can complete 360,000 hours of billable work in a few seconds.Mark Cuban predicts robots will soon be able to write better computer code than humans.Even some doctors may get displaced by smart toilets and other sensors that provide a more accurate diagnosis.Imagine that…Doctors, lawyers, accountants and engineers being displaced by Robots…it’s every Tiger Mom’s worst nightmare!Hold up! So what’s this all mean?Mark Cuban, the billionaire software developer and owner of the Dallas Mavericks says:“I personally think there’s going to be (...)

    #side-project #leadership #personal-development #entrepreneurship #side-hustle

  • “When You Get That Wealthy, You Start to Buy Your Own #Bullshit”: The Miseducation of Sheryl Sandberg | Vanity Fair
    https://www.vanityfair.com/news/2018/11/sheryl-sandberg-harvard-business-school-leadership

    ... it starts all the way back in 1977, when Sandberg was just eight years old and the U.S. economy was still recovering from the longest and deepest recession since the end of World War II. That’s the year that #Harvard #Business School professor Abraham Zaleznik wrote an article entitled, “Managers and Leaders: Are They Different?” in America’s most influential business journal, Harvard Business Review. For years, Zaleznik argued, the country had been over-managed and under-led. The article helped spawn the annual multi-billion-dollar exercise in nonsense known as the #Leadership Industry, with Harvard as ground zero. The article gave Harvard Business School a new raison d’être in light of the fact that the product it had been selling for decades—managers—was suddenly no longer in vogue. Henceforth, it would be molding leaders.

    [...]

    The truth is, Harvard Business School, like much of the #M.B.A. universe in which Sandberg was reared, has always cared less about moral leadership than career advancement and financial performance.

    The roots of the problem can be found in the Harvard Business School’s vaunted “Case Method,” a discussion-based pedagogy that asks students to put themselves in the role of corporate #Übermensch. At the start of each class, one unlucky soul is put in the hot seat, presented with a “what would you do” scenario, and then subjected to the ruthless interrogation of their peers. Graded on a curve, the intramural #competition can be intense—M.B.A.s are super-competitive, after all.

    Let’s be clear about this: in business, as in life, there isn’t always one correct answer. So the teaching of a decision-making philosophy that is deliberate and systematic, but still open-minded, is hardly controversial on its face. But to help students overcome the fear of sounding stupid and being remorselessly critiqued, they are reminded, in case after case—and with emphasis—that there are no right answers. And that has had the unfortunate effect of opening up a chasm of moral equivalence in too many of their graduates.

    #carriérisme #sans_scrupules

  • Knowledge Era #leadership Tips
    https://hackernoon.com/knowledge-era-leadership-tips-752b1104e48f?source=rss----3a8144eabfe3---

    By Dave Dame, Professional #scrum Trainer, Scrum.orgIn working in today’s knowledge work economy, it surprises me that many leaders still use traditional ways of leading their people. Leaders still put most of the focus on the work to be done instead of focusing on the people to create an environment where great work can be done.My suspicion it has to do with legacy industries and businesses. They still see work as straightforward and the leader has the most experience to break down and explain the work so many people can execute on it to finish it.In today’s complex, rapidly changing landscape the team you build better be supported to rapidly learn and have an environment that fosters continual validated learning if they have any hope to survive. The team needs to be more knowledgeable (...)

    #knowledge-era-leadership #agile #knowledge-era

  • My 5 Biggest #learning Being A Leader
    https://hackernoon.com/my-5-biggest-learning-being-a-leader-7dab73644ee2?source=rss----3a8144ea

    Last week, in the so-called „Heads Up“ meeting for my annual 360° performance review for 2018, I was asked to reflect on the things I liked about my current role and work at trivago. I think what still impresses me the most is that we were able to build a successful company around values and #team culture, while simultaneously handling the scale from a few hundered to over 1200 employees in only a few years.trivago‘s purpose, “Empower people to get more out of life“, is lived and breathed by all its employees (or “talents”, as we call them). During the last two years, I‘ve seen Software Engineers moving to our HR team, or people from Country Development moving into a Product role. This kind of job rotation might seem a bit strange or outlandish at first, but it really is about encouraging and (...)

    #leadership #company-culture #feedback

  • Anyone Can be a #servant-leader
    https://hackernoon.com/servant-leadership-101-empower-and-enable-others-e89a12e696d?source=rss-

    Servant #leadership 101:By Stephanie Ockerman, Professional #scrum Trainer, Scrum.orgThis is part of a series of posts about servant leadership to influence change and inspire greatness. My goal is to make servant leadership more understandable and actionable for everyone regardless of position, title, or status. Because this is the only way to create meaningful change in our complex world. Instead of feeding into division, fear, and disempowerment, we will lead by inspiring, enabling, and empowering.Now that we’ve covered the essentials of self-organization and intrinsic motivation, let’s dive into how you make decisions that enable and empower others.There is no recipe to follow. There is no map to navigate. You need a compass because your actions must be based on your specific context (...)

    #scrum-master #servant-leadership

  • #context Setting FTW
    https://hackernoon.com/context-setting-ftw-ee5e560272ae?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Photo by rawpixel on UnsplashThere is an old saying that “Content is King” and it is in the publishing/media/organic search world. Powerful content is a huge acquisition and retention tool — the better the content, the more likely it is to be picked up and syndicated, referred around between networks and then result in repeat visits.In the same way, context setting is a huge acquisition and retention tool but it applies to teams, not users. Teams and organisations built around the dissemination of critical information while leaving details to those closest to the source of the problem to solve (and hence who have the most context)are far more likely to solve real problems and not turn into feature factories better suited to assembly lines. The trick that most teams and organisations miss (...)

    #leadership #context-setting-ftw #growing-teams #communication

  • My Principles for #life and Work
    https://hackernoon.com/my-principles-for-life-and-work-c78c863b750f?source=rss----3a8144eabfe3-

    One of the most impactful things that I did in 2018 was to write down a list of principles to become a better person at home and at work. These principles are inspired by my experience as a product manager, books that I’ve read (especially Ray Dalio’s book), and conversations with people who I respect. Although they’re straightforward, following them isn’t easy and requires daily discipline:Take ownershipUnderstand whyPrioritize and executeFind the truthBe radically transparent1. Take ownership1a. Be humbleStart with how you can improve instead of blaming others or making excuses. 1b. DetachTake ownership of your emotions. When you feel frustrated, take a deep breath, and communicate in a clear, calm manner. Don’t spread negative emotions to others. 1c. Build relationshipsTake ownership of (...)

    #leadership #product-management #life-lessons #self-improvement

  • Servant #leadership 101 : Vision, Values, Value, & Validation
    https://hackernoon.com/servant-leadership-101-vision-values-value-validation-2046b6946170?sourc

    The 4 V’s Create a Strong FoundationBy Stephanie Ockerman, published on #scrum.orgServant-leaders must create a strong foundation that helps people feel empowered to take action, enables them to move forward in a common direction despite uncertainty, and to feel inspired and resourceful during challenging times. The 4 V’s can help you establish this strong foundation: Vision, Values, Value, Validation.Vision“What do we want?”A strong vision helps people see where they are going and what they want to be true when they get there. While we may disagree on how to get there, it is likely we can find a common understanding of what we want to be true.A struggling team or organization may not agree on how to change their process of working or even on the right solutions for the problems they are (...)

    #agile #servant-leadership #scrum-master

  • 10 Key Aspects To Consider When Managing Tech Projects
    https://hackernoon.com/10-key-aspects-to-consider-when-managing-tech-projects-4a56f89f1c4f?sour

    Thoughts on dealing with the natural job progression as a software developer and how to keep doing what you loveNowadays there is a natural progression for senior software developers (either in startups or more corporate style companies) to make the jump from their current technical role to a more #leadership/management oriented role. This progression is usually motivated by several needs which arise from the evolution of the company/team/product and require the senior dev to dedicate his time to training/onboarding, planning/road mapping and leading the team, contributing to more macro level decisions and coaching while becoming less and less involved in day-to-day engineering activities.The title of the job is not always “Manager”. It’s usually something along the lines of VP of (...)

    #software-development #software-engineering #project-management #learning

  • 3 Capabilities For An Effective Team
    https://hackernoon.com/3-capabilities-for-an-effective-team-a0c694b2159a?source=rss----3a8144ea

    Source: Business StandardLeading and growing people/teams is a massively rewarding experience. It is also a challenge that places a large cognitive load on those leading teams. Why? Because leading people and teams is a complex (as opposed to just complicated) challenge because of the variance involved. Pick any given day and 7 different colleagues could have 7 different crises in their personal lives and they need to bring that into their professional lives. Whether they like it or not.Operating in complex environments requires adaptability, flexibility and responsiveness. Subject matter “experts” are doomed to fail due to the rate of change, for a snapshot of what that can look like take a look at how much change the team I lead at Carsguide/Autotrader needed to respond to in less than (...)

    #effectiveness #growth #agile #leadership #growing-teams

  • Why Outcomes Over Outputs ?
    https://hackernoon.com/why-outcomes-over-outputs-1735cc6c7b9a?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Why should teams create outcome/mission based roadmaps, converge on solutions later, focus on the problem-to-solve, experiment, limit planning inventories, avoid chasing story-point velocity, start together, limit handoffs, and [fifty other things] ?Better near, mid, and long-term business/customer/user/societal outcomes and a sense of impact…plain and simple. This is common sense (to some), of course, but I’m amazed by how often the calls for “outcomes over outputs” (and similar) ignore first principles. I fall into this trap often. The discussions are frequently framed in philosophy, “best practices”, maker advocacy, “theory of work”, and org design debates (e.g. “Teal”). This is important stuff, but almost orthogonal to outcomes over outputs. Or the talk is more “well, of course that’s how we (...)

    #product-management #agile #leadership #ux #outcomes-over-outputs

  • Get Out of Jail Free — OMNI Early Prisoner Release in Washington State
    https://hackernoon.com/get-out-of-jail-free-omni-early-prisoner-release-in-washington-state-de9

    Get Out of Jail Free — OMNI Early Prisoner Release in Washington StateThe 6th anniversary of the Washington State criminal tracking system bug resulting in early prisoner release offers an opportunity to reflect upon computer system defects, human error, process flaws, organizational mistakes, and the best principles and practices for solution delivery in the IT industry. In this blog and my upcoming book, Bugs: A Short #history of Computer System Failure, I will chronicle some important system failures in the past and discuss ideas for improving the future of system quality. As information technology becomes increasingly woven into Life, the quality of hardware and software impacts our commerce, health, infrastructure, military, politics, science, security, and transportation. The Big (...)

    #project-management #criminal-justice-reform #leadership #software-development