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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 13/07/2025

    L’Acte d’image en littérature : Un ouvrage collectif dirigé par Servanne Monjour et Anne Reverseau

    ▻https://liminaire.fr/creation/livre-lecture/article/l-acte-d-image-en-litterature

    https://liminaire.fr/local/cache-vignettes/L800xH454/capture_d_e_cran_2025-07-07_a_00.12_26-2490b.png?1751840051

    S’inspirant du mur d’images d’écrivains, cet ouvrage revendique une approche collective et expérimentale, entre exposition et publication savante. Issu d’un colloque, il rassemble des contributions courtes centrées sur une image, assemblées comme un parcours d’exposition autour de grandes thématiques (Braconnages, Bricolages, Métamorphoses, Révélations, Témoignages d’auteurs et d’autrices). Servanne Monjour et Anne Reverseau, directrices de cet ouvrage collectif, ont travaillé avec des outils numériques collaboratifs pour produire une version hybride, imprimée et en ligne, et explorer de nouveaux formats éditoriaux. Ce projet manifeste ainsi une volonté de casser les cadres traditionnels, de relier texte et image autrement et de valoriser les circulations inattendues entre données, idées et formes. Véritable laboratoire, l’ouvrage expérimente une autre manière de faire de la recherche et de la partager.

    (...)
    #Écriture, #Livre, #Lecture, #Photographie, #Art, #Littérature, #Mémoire, #Ecrivains, #Temps, (...)

    https://liminaire.fr/local/cache-vignettes/L900xH601/animasola1-c4a30.png?1751840354

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 4/07/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Pourquoi Pacifique » de Cécile Portier

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/pourquoi-pacifique-de-cecile-portier

    Ce livre fragmentaire explore le Pacifique comme un espace mental, poétique et politique plutôt qu’un lieu géographique. À travers un « voyage en canapé », l’autrice interroge l’inaccessibilité physique et symbolique de l’océan, devenu surface de projection des fantasmes, des catastrophes et des dominations. Le récit mêle critique de la colonisation, des ravages nucléaires, du capitalisme extractiviste et observation ironique de notre monde numérique, passif et vampirique. Le texte navigue par rebonds et pas de côté, entre observations géopolitiques, fictions, écologie et méditations sur le langage. Refusant toute structure linéaire, Cécile Portier propose une dérive littéraire où l’océan, comme l’écriture, devient fluide, éclaté, imprévisible, miroir instable des tensions humaines et planétaires.

    (...)
    #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Pacifique, #Temps, #Écologie, #Politique, #Planète (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_pourquoi_pacifique_ce_cile_portier.mp4

    ▻https://www.editions-l.fr

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @gorekhaa
    gorekhaa @gorekhaa via RSS 26/06/2025

    Sans titre
    ▻https://bsky.app/profile/gorekhaa.bsky.social/post/3lsiyzwks4g2l

    #GAMEOVER #LECTURES
    L’interview qui tue ! 👇

    "Plongée au cœur des enjeux environnementaux majeurs de notre époque avec Hélène Grosbois, une voix forte et visionnaire de l’écologie. Dans cet échange sans filtre, on explore les vérités cachées derrière la crise de la biodiversité, les [1/3]

    gorekhaa @gorekhaa via RSS
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 20/06/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Capsule Bakary » de Sébastien Smirou

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/capsule-bakary-de-sebastien-smirou

    Le roman de Sébastien Smirou retrace en six chapitres les derniers jours de Bakary qui transforme sa chambre en une capsule temporelle, destinée à témoigner de son existence à d’éventuels survivants. Le récit fragmentaire, tout entier contenu dans un espace clos, mêle introspection, souvenirs et obsessions morbides. Replié sur lui-même, Bakary construit un autel à sa solitude. Il y consigne pensées, souvenirs et hallucinations, hanté par ses parents. Il convoque ses héros imaginaires, ses objets quotidiens (un appareil photo, un frigidaire, un autoportrait, une licorne, la maquette d’une chambre de deux amoureux qui se donnent la mort), qui à leur tour racontent son histoire. Dans une langue lyrique et hantée, le récit explore la fascination pour la mort, les frontières entre réalité, fantasme et mémoire, affirmant une forme d’existence dans l’effacement.

    (...)
    #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Mort, #Temps, (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_capsule_bakary_se_bastien_smirou.mp4

    ▻https://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=978-2-8180-6283-8

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 13/06/2025
    1
    @vanderling
    1

    « Raconteries » de Charles Pennequin et « Disparitions, apparitions » de Joachim Séné : deux nouveaux livres publiés par les éditions Abrüpt.

    Une poésie qui déborde, refuse les normes, et fait du langage un lieu d’expérimentation et de transformation radicale.

    ▻https://liminaire.fr/creation/livre-lecture/article/raconteries-de-charles-pennequin-et-disparitions-apparitions-de-joachim-se

    https://liminaire.fr/local/cache-vignettes/L768xH432/da_3d.png-477e5.jpg?1749678809

    Ces deux ouvrages partagent une volonté radicale de faire éclater les cadres traditionnels de la littérature. Le texte de Charles Pennequin explore l’écriture comme geste vital, performatif, où le corps parle autant que les mots, dans une lutte contre l’aseptisation littéraire. De son côté, le recueil de Joachim Séné propose une poésie fragmentaire et sensorielle, mêlant le grotesque au numérique, où les corps se dissolvent et ressurgissent sous formes symboliques ou organiques. Tous deux défendent une écriture du vivant, traversée par le réel, la violence sociale, et une forme d’urgence — à dire, à crier, à exister autrement. Une poésie qui déborde, refuse les normes, et fait du langage un lieu d’expérimentation et de transformation radicale.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Corps, #Performance, #Société, #Voix, #Abrüpt (...)

    ▻https://abrupt.cc/charles-pennequin/raconteries
    ▻https://abrupt.cc/joachim-sene/disparitions-apparitions

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 6/06/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Membres fantômes / Temps mêlés » de Claude Favre

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/membres-fantomes-temps-meles-de-claude-favre

    Ce livre regroupe deux textes de Claude Favre qui se font écho. « Temps mêlés » confronte éclats du présent et réminiscences personnelles, tandis que « Membres fantômes » entremêle trois voix (publique, intime et poétique). Écriture de l’urgence et de la lucidité blessée, ses textes refusent l’apathie ambiante, les postures esthétisantes ou les silences complices. Claude Favre y affronte de plein fouet guerres, exils, ravages écologiques, et les fait entrer dans le langage. Elle écrit depuis un trop-plein du réel, une saturation d’horreurs où la poésie demeure pourtant un espace de résistance, de vérité, voire de consolation. Sa voix, radicale et dissidente, en colère, refuse de détourner le regard. Un appel vibrant à une parole vivante, risquée, essentielle, qui engage le corps, le souffle, et rend à la poésie sa puissance d’agir.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Histoire, #Politique, #Guerre (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_membres_fanto_mes_temps_me_le_s_claude_favre.mp4

    ▻https://editions-lanskine.fr/membres-fantomes-temps-meles

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 2/06/2025

    Empire Tartarie théorie complot créativité architecture steampunk
    ▻https://ledibbouk.net/L-Empire-Fantome-Comment-la-Tartarie-Revele-les-Reves-Secrets-de-Notre-Ep

    https://ledibbouk.net/IMG/logo/tartaria.jpg?1748880304

    L’histoire commence dans la Russie post-soviétique, dans le bureau d’Anatoly Fomenko. C’est un mathématicien respecté de l’université de Moscou, spécialiste de géométrie différentielle. Mais dans les années 1980, Fomenko développe une obsession qui va changer sa vie : l’idée que l’histoire conventionnelle est une vaste mystification. Il baptise sa théorie « Nouvelle Chronologie ». Selon lui, les événements attribués à l’Antiquité grecque, romaine ou égyptienne se seraient en réalité déroulés au Moyen Âge, mille ans plus tard que ce qu’enseignent les manuels.

    #weird #tartaria #vf #lecture

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 23/05/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Le cours secret du monde », d’Hugues Jallon, paru aux Éditions Verticales en 2025

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/le-cours-secret-du-monde-d-hugues-jallon

    Dans "Le cours secret du monde", Hugues Jallon dresse un panorama déroutant de figures marginales ou influentes, ésotéristes, gourous, ingénieurs illuminés, agents doubles, spécialistes du développement personnel, pour explorer les zones troubles où l’occultisme, l’économie et le pouvoir s’entrelacent. À travers un montage d’anecdotes, d’extraits et de réflexions, il interroge le capitalisme comme système ésotérique, construit sur des promesses opaques et des récits à décrypter. Derrière les histoires singulières de ces « chercheurs de vérité » se dessine une logique du secret devenu norme. Le livre, constitué d’une juxtaposition d’éléments différents, nourri de colère et d’humour noir, évolue comme un labyrinthe mental où la lucidité politique flirte avec la paranoïa. Hugues Jallon y esquisse une critique du monde contemporain et un appel à rompre avec ses injonctions absurdes.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Histoire, #Politique, #Capitalisme, #Occultisme, (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_le_cours_secret_du_monde_hugues_jallon.mp4

    ▻http://www.editions-verticales.com/fiche_ouvrage.php?id=500

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 13/05/2025

    Le Dibbouk | Le Dibbouk
    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article3043

    https://ledibbouk.net/IMG/logo/la-sincerite-web.jpg?1747121123

    Et voilà Montaigne qui s’attaque à ce grand chantier de soi-même, avec la conviction naïve de pouvoir capturer ses pensées comme on attrape des papillons. Mais le filet est percé, et les idées s’échappent.

    #lectures

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 11/05/2025

    Le Dibbouk | Le Dibbouk
    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article3040

    https://ledibbouk.net/IMG/logo/level_-st-joshi.jpg?1746985335

    C’est là sans doute l’étrange vertu de cette époque, que d’avoir la patience de retourner la terre des lettres, d’en extraire ces fossiles oubliés que l’histoire littéraire avait recouverts de sédiments et d’oubli. À l’instar de Lovecraft, aujourd’hui réhabilité et célébré, Maurice Level réapparaît, figure pâle et énigmatique, preuve que le passé littéraire n’est jamais totalement clos et que l’ombre peut toujours retrouver sa place sous la lumière.

    #lectures

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 9/05/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Bassoléa ou de l’herbe dans le ventre » de Juliette Mézenc, paru aux Editions La Contre Allée en 2025.

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/bassolea-ou-de-l-herbe-dans-le-ventre-de-juliette-mezenc

    Bassoléa, c’est la voix d’une jeune femme « mise au vert » contre son gré. En colère contre le monde et ses absurdités, elle trouve refuge dans une véranda sous terre. Là, elle contemple champignons, bactéries, racines, protozoaires. Elle respire enfin. Curieuse, elle cherche « à traduire dans le monde des humains l’art de vivre des microbes. » Ce monologue haletant, à la croisée du récit initiatique et d’une forme de manifeste écopoétique, critique frontalement notre société du tout-travail, destructrice du vivant, et imagine un corps recyclable, sans trace, en célébrant l’élan vital d’une jeunesse en quête d’alternatives. De sa fureur naît un enthousiasme contagieux, une curiosité pour ce qui pousse, pour ce qui échappe à l’ordre dominant. Un chant vibrant, une parole libre, incarnée, profondément vivante.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Histoire, #Nature, #Écologie, (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_bassole_a_juliette_me_zenc.mp4

    ▻https://lacontreallee.com/catalogue/bassolea

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 8/05/2025

    Le Dibbouk | Le Dibbouk
    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article3034

    https://ledibbouk.net/IMG/logo/autofictio-web.jpg?1746687348

    L’autobiographie et la biographie se parent des atours d’une objectivité que l’autofiction, avec une honnêteté crue, dément. Toute écriture de soi est déjà une reconstruction, une mémoire reconfigurée, un passé ressaisi par les mots. L’historien Michel Pastoureau le sait bien : il admet volontiers que l’objectivité historique est une illusion, que la subjectivité imprègne inévitablement tout récit du passé. De même, les prétendues autobiographies et biographies, loin d’être des récits neutres, sont autant d’interprétations où le vécu se tord sous la pression du langage.

    #lectures

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 25/04/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Un lac inconnu » d’Éric Chauvier paru aux Éditions Allia, en 2025.

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/un-lac-inconnu-d-eric-chauvier

    Éric Chauvier propose une méditation dense et poétique sur l’histoire de l’humanité. Depuis l’émergence de la bipédie jusqu’à l’ère de l’intelligence artificielle, il retrace les grandes étapes du progrès humain : la maîtrise du feu, l’apparition du langage, l’invention de l’agriculture, le développement des technologies modernes. À travers ce récit épuré et philosophique, l’auteur interroge notre rapport au temps, à la finitude et au progrès. Chaque avancée est perçue comme une tentative de conjurer l’angoisse de la mort, un effort pour dominer l’incertitude inhérente à la condition humaine. Mais ces progrès nous apaisent-ils réellement ? En explorant cette quête illusoire d’un dépassement de soi, l’auteur invite à une réflexion profonde sur notre destin collectif et sur ce que signifie véritablement être humain.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Histoire, #Philosophie, #Humanité, #Temps, (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_un_lac_inconnu_eric_chauvier.mp4

    ▻https://liminaire.fr/Un%20lac%20inconnu%7D,%20%C3%89ric%20Chauvier,%20%C3%89ditions%20Allia

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 13/04/2025

    Le Dibbouk | Le Dibbouk
    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article946
    ▻https://ledibbouk.net/IMG/logo/le-miracle-web.webp?1744531065

    Il n’y avait personne dans le centre œcuménique. Personne sauf la poussière, le rideau entrouvert, et l’impression d’un regard sans origine. J’avais besoin d’un lieu sans voix, sans dogme. Je pensais au Kraken. Pas au monstre, mais au bocal. À ce que l’on conserve pour ne pas oublier. Ou pour ne pas croire que l’on a tout inventé.

    #lectures #weird

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 11/04/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Un carré de poussière » d’Olivia Tapiero paru aux Éditions du commun, en coédition avec les Éditions de la rue Dorion, en 2025.

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/un-carre-de-poussiere-d-olivia-tapiero

    « Un Carré de Poussière » explore la manière avec laquelle la philosophie occidentale s’est construite contre certains corps et certaines matières. Entre exploration poétique, témoignage personnel et enquête existentielle, le livre dénonce les violences genrées, les mécanismes de domination et les silences de l’histoire. Olivia Tapiero refuse toute assignation définitive en cherchant à déconstruire radicalement les cadres philosophiques et historiques de notre perception du réel. Elle instaure, dans ce poème qui pense, une nouvelle forme de connaissance et de relation au monde. Une exploration radicale du langage et du corps, un refus de l’effacement et de l’oubli.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Mémoire, #Visage, #Philosophie, #Corps, #Poésie, (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_un_carre_de_poussie_re_olivia_tapiero.mp4

    ▻https://www.editionsducommun.org/products/un-carre-de-poussiere
    ▻https://ruedorion.ca/un-carre-de-poussiere

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 7/04/2025

    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article930
    ▻https://ledibbouk.net/IMG/webp/le-roi-des-rats_.webp

    J’ai lu Le Roi des Rats comme on écoute un album qu’on n’a pas choisi. Quelqu’un vous l’a laissé sur la platine, vous ne savez pas très bien ce que c’est, et pourtant il tourne. Très vite, il est trop tard. Vous êtes pris.

    Ce roman n’est pas un roman, pas vraiment. C’est un air urbain qui s’insinue dans vos oreilles, une basse sale qui court sous la ville, sous la langue. Il commence comme une enquête — une mort étrange, un père, une flûte, un garçon qui fuit. Mais très vite, ce n’est plus une affaire. C’est une fable. Ou une conjuration. Ou autre chose encore.

    Ce n’est pas un livre sur les rats. C’est un livre sur ce que les rats savent. Et sur ce que nous ne voulons pas savoir.

    #lectures #weird #mieville

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 5/04/2025
    2
    @vazi
    @freakonometrics
    2
    @freakonometrics

    L’#IA va-t-elle nous rendre crétins ?

    Les effets du recours à l’#intelligence_artificielle sur les individus suscitent l’inquiétude d’un grand nombre de scientifiques. Ils expriment la crainte qu’elle affaiblisse la capacité de chacun à #penser par soi-même.

    En nous connectant à des contenus de piètre qualité ou en les générant à notre place, l’IA affaiblit notre #esprit_critique.

    Baisse des résultats des tests Pisa, évaluations alarmantes des #capacités_cognitives et effondrement de la #lecture. Ces jours-ci encore, ce constat du déclin de l’#intelligence des jeunes et des adultes alarme le Financial Times. L’état de tutelle des consciences par les écrans où président des IA n’est pas étranger à l’épidémie de #solitude grandissante, affectant aussi nos facultés émotionnelles et sociales. Quel est le rôle de l’IA dans tout cela ?

    L’#IA_prédictive, d’abord, optimise sans cesse nos interfaces numériques afin de nous rendre #accros. L’#économie_de_l’attention repose sur cette absorption du #temps conscient pour extraire des données et influencer les #comportements. L’ingénieur Andrej Karpathy, acteur de la Vallée du silicium, le dit sans détour : « Tiktok, c’est du crack digital qui a attaqué mon cerveau ! » L’#addiction est un fait générationnel. La moitié des adolescents aux États-Unis sont presque constamment connectés. Connectés à quoi ? La « #pourriture_cérébrale » ! Soit des contenus de piètre qualité qui détériorent les #capacités_mentales.

    D’ailleurs, l’expression a été élue mot de l’année par le dictionnaire d’Oxford. Gageons qu’elle rejoigne celle de « #crétin_digital » forgée par Michel Desmurget pour caractériser la surexposition aux écrans. L’IA générative, ensuite, crée du contenu sans #effort. Dans les années 1980, le philosophe Ellul écrivait que si « vous mettez un appareil entre les mains d’un imbécile, il ne deviendra pas intelligent pour cela ». L’actualité continue de lui donner raison. Même les consultants de McKinsey sont trompés par des résultats erronés de ChatGPT. Plus ils y recourent et moins ils sont moins performants et créatifs. Allant dans le même sens, une étude de Microsoft et de l’université Carnegie démontre que l’usage des IA génératives au travail diminue l’esprit critique.

    L’IA interactive, enfin, crée une relation avec l’utilisateur. L’université de Cambridge alerte sur l’essor de ces compagnons IA ouvrant la voie à la capture et la #manipulation de nos intentions. Ce n’est plus seulement l’#attention, mais l’#intention qui est l’objet de la machinerie algorithmique. Même les choix les plus ordinaires (quel film regarder ? quel cadeau offrir ?) sont délégués et toute faculté que l’on n’exerce plus finit par s’atrophier. Ces études ne sont pas anecdotiques, puisque le MIT a recensé pas moins de 777 #risques documentés scientifiquement de l’IA répartis en 23 catégories, dont la #dépendance_affective et la #perte_d’autonomie.

    Le « #capitalisme_numérique colonise tous les lieux que nous dés-habitons », écrit la philosophe Rouvroy. Il en est de même de nos esprits. Le temps d’écran est la continuation du temps de travail. La destruction de nos intelligences est le corollaire de la production au sein de ce #capitalisme. Pour nous maintenir dans un défilement morbide de pourriture cérébrale devant un écran, il faut d’abord nous transformer. La fainéantise d’Oblomov a remplacé le puissant Stakhanov.

    Alerte ! Après la télévision, les jeux vidéo, le rap, les réseaux sociaux numériques, voici la nouvelle innovation qui menace l’intelligence de l’humanité tout entière : l’IA. Les prophéties alarmistes réitérées à chaque nouveauté technologique, fleurissent sur la #crétinisation annoncée des masses, et encore plus sur celle d’une jeunesse déjà régulièrement qualifiée de crétine (digitale).

    Selon plusieurs études récentes, l’IA séduirait la population, fascinée par les #performances de l’outil. Beaucoup de bruit pour une banale évidence : l’absence ou la fragile #éducation – ici, au numérique – nuit gravement à l’exercice d’un esprit critique. Immense boîte noire, nourrie par d’innombrables corpus de textes et d’images, bien souvent sans le consentement de leurs auteurs, l’usage de l’IA générative nous pousse à interroger notre rapport aux #sources, à l’#information, à la #propriété_intellectuelle. Elle nous rappelle combien l’éducation est la clé d’un regard distancié et critique, d’un pouvoir d’agir informé sur le monde. Mais l’IA ne porte aucune responsabilité. Aucune.

    Ont une #responsabilité les professionnels de l’information qui jouent aux apprentis sorciers, se pâmant devant une IA « trop forte », s’émerveillant de ses #performances comme s’ils assistaient à une démonstration de magie. Ont une responsabilité ceux qui s’évertuent à pointer les « erreurs » commises par une IA, surpris qu’un programme conçu pour générer du contenu à partir de #modèles_statistiques « se trompe », et lui reprochant de nous attirer dans les limbes des approximations, méprises et autres faussetés. Dans les deux cas est alimenté le fantasme d’une IA autonome, quasi divine, que nous utilisons, impuissants.

    Prenons le temps. Ne nous jetons pas à corps et esprits perdus dans les multiples potentialités et/ou affres de l’IA. Le procès en crétinisme évite le vrai procès, citoyen celui-ci : de quelle IA voulons-nous ? De celle qui récupère des données que nous cédons sur le Web à des industries sans éthique ? De celle qui, à l’empreinte écologique colossale, condamne un peu plus (vite) l’avenir de notre planète ? De celle à laquelle nous déléguons jusqu’à notre créativité singulière au profit de l’hégémonie d’un savoir standardisé, aseptisé et parfois, pour ne pas dire bien souvent, biaisé ? De celle que l’on utilise pour contribuer à cette accélération dénoncée par Hartmut Rosa qui nous asservit chaque jour davantage aux dogmes les plus avilissants qui soient ?

    Prenons le temps. Celui de mesurer des choix, vertigineux mais aussi passionnants, qui nous reviennent. Celui de prendre nos responsabilités, individuelles et collectives, en décidant de la place que nous souhaitons accorder à une #innovation qui n’est en aucun cas toute-puissante. Celui de faire société, en exerçant notre capacité à « penser d’après nous-mêmes » selon l’intemporelle pensée de Condorcet. L’IA n’a ni cerveau ni valeurs. Nous si. À nous de jouer. Sérieusement.

    ►https://www.humanite.fr/en-debat/citoyennete/lia-va-t-elle-nous-rendre-cretins

    via @freakonometrics

    CDB_77 @cdb_77
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 4/04/2025

    Poésie commune, une collection des Éditions MF : Un espace éditorial dédié aux voix poétiques contemporaines

    ▻https://liminaire.fr/creation/livre-lecture/article/poesie-commune-une-collection-des-editions-mf

    Poésie commune est une nouvelle collection des éditions MF, créée sous l’impulsion de Laure Gauthier et de Bastien Gallet, qui trouve son origine dans un constat et une volonté d’accompagner l’évolution de la poésie contemporaine, en particulier celle écrite par des femmes. Cette collection se veut un espace pour explorer le commun sous diverses formes : comme ressource linguistique et culturelle, comme ensemble de problèmes sociétaux auxquels la poésie se connecte, et comme pratique collective et partagée.

    (...) #Écriture, #Livre, #Lecture, #Poésie, #Littérature, #Édition, (...)

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    ▻https://www.editions-mf.com/collection/6/poesie-commune

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 28/03/2025
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    @02myseenthis01
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    Lecture d’un extrait du livre « Le masque de Hegel » de Thomas Hunkeler paru aux éditions du Seuil, dans la collection Fiction & Cie, en 2025.

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/le-masque-de-hegel-de-thomas-hunkeler

    Thomas Hunkeler mène une enquête littéraire et historique sur le masque mortuaire du philosophe allemand qui est conservé aux Archives littéraires allemandes de Marbach, près de Stuttgart. À partir d’une lettre d’André Breton à Paul Éluard mentionnant son existence, il interroge son authenticité et sa signification. Thomas Hunkeler révèle la fascination pour ces objets funéraires, tout en proposant une histoire parallèle du surréalisme. Entre mythe et réalité, ce masque s’avère trace du défunt aussi bien que projection de ceux qui l’observent. Dans cette mise en récit d’un essai, entre érudition et esprit d’investigation, Thomas Hunkeler éclaire un pan méconnu du rapport des avant-gardes à la mort et à l’héritage des figures intellectuelles, tout en s’attachant à montrer la « dimension collective de la poétique du masque mortuaire ».

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Roman, #Visage, #Masque, #Surréalisme, #Hegel, #Art (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_le_masque_de_hegel_thomas_hunkeler.mp4

    ▻https://www.seuil.com/ouvrage/le-masque-de-hegel-thomas-hunkeler/9782021569124

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 25/03/2025

    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article839

    https://ledibbouk.net/IMG/jpg/halcyon-ridge-vue-aerienne.jpg

    On aurait pu croire à une opération de marketing viral pour un film dystopique de bas étage, ou à un ARG(1) mal ficelé par un ado insomniaque entre deux TikToks sur la fin du monde. Mais non : Halcyon Ridge est bien plus. C’est une invention collective, un conte moderne, un thermomètre médiatique coincé entre paranoïa numérique et nostalgie de l’invisible.

    – Genèse d’une entité cartographiquement incertaine

    Tout commence un 1er mars 2025, sur YouTube. Une vidéo nommée The Dark Secret of Halcyon Ridge — au montage approximatif, à la bande-son anxiogène — dévoile l’existence d’une île introuvable sur Google Maps, habitée par une organisation secrète : la Vanguard Initiative. On y parlerait de manipulations climatiques, de rituels occultes et, bien entendu, d’expérimentations humaines. La routine, quoi.

    En moins de trois semaines, l’affaire enfle. Forums conspirationnistes, comptes TikTok, mêmes Instagram, jusqu’à des articles bancals publiés sur des sites semi-légitimes comme « Lawyers Club India ». Internet fait ce qu’il sait faire de mieux : ériger un fantasme sur les ruines de la vérification.

    –Halcyon Ridge ou l’art de ne pas y être

    À l’heure où le GPS nous mène jusque dans les chiottes les plus reculés de la Creuse, Halcyon Ridge surgit comme un déni de géographie. Une île invisible mais omniprésente, qui hante les flux déréglés d’une réalité trop bien balisée. Elle devient alors un mirage, une allégorie de ce qu’on ne trouve plus : le mystère, le secret, l’ailleurs.

    #lectures #weird #mythologies

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 24/03/2025

    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article838
    ▻https://ledibbouk.net/IMG/webp/galen-dara-deep-ones.webp

    Je me souviens de la première fois où j’ai lu Lovecraft. J’ai eu l’impression d’entrer dans une pièce où quelque chose de terrible venait d’arriver. Pas le genre d’horreur avec du sang et des cris, non. Quelque chose de plus discret, de plus insidieux. Comme si la pièce se souvenait d’un événement que nous autres avions délibérément choisi d’oublier. Ce quelque chose, c’était peut-être le sexe. Ou son absence. Ou sa mutation impossible. Bobby Derie, dans son livre Sex and the Cthulhu Mythos, décolle le papier peint de l’univers de Lovecraft et trouve, derrière les dieux visqueux et les cités décomposées, l’ombre de quelque chose d’organique, d’indicible, et de familier.

    Lovecraft n’écrit jamais vraiment sur le sexe. Ce serait trop simple. Il le laisse plutôt hanter le récit comme une radiation de fond. On le sent dans la fausseté des choses, dans les suggestions de lignées hybrides et d’unions blasphématoires. Yog-Sothoth ne se contente pas de roder à la frontière : il la féconde. « Yog-Sothoth’s wife is the hellish cloud-like Shub-Niggurath, in whose honour nameless cults hold the rite of the Goat with a Thousand Young... He has begotten hellish hybrids upon the females of various organic species throughout the universes of space-time. » Ce que cela signifie n’est pas entièrement clair, mais cela devrait vous donner des frissons. « L’épouse de Yog-Sothoth est l’infernale Shub-Niggurath... Il a engendré d’atroces hybrides avec les femelles de diverses espèces à travers l’espace-temps. » Imaginez les matrices humaines comme des ports d’accueil pour des entités extradimensionnelles. La chair devient une interface. Une interface défaillante.

    #lectures #lovecraft

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 17/03/2025

    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article823

    https://ledibbouk.net/IMG/jpg/madame-bovary-jean-renoir-1933.jpg

    Lorsqu’un auteur décrit un paysage désolé, un personnage tourmenté ou un sentiment diffus, se raconte-t-il lui-même ou joue-t-il avec l’interprétation de son lecteur ? Cette question est au cœur de la lecture critique et engage un débat ancien entre ceux qui voient la littérature comme une projection de l’écrivain et ceux qui estiment que le texte doit être analysé en lui-même, indépendamment de son auteur. Entre inférence littéraire et autoportrait dissimulé, la frontière est fine et mouvante.

    #lectures #littérature

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @patrick_blanchon
    patrick blanchon @patrick_blanchon 16/03/2025

    ▻https://ledibbouk.net/spip.php?article820

    https://ledibbouk.net/IMG/jpg/1280px-arnold_boecklin_-_island_of_the_dead__third_version.jpg

    La phrase lovecraftienne. Rampante. Tortueuse. Tentaculaire dans sa structure. Une chose informe, indistincte, qui s’étire et se distend, accumulant les clauses avec la patience d’un mal antique. Elle avance insidieusement, pesante, saturée d’épithètes comme autant de reliques insensées d’une langue morte, suspendue au seuil de l’indicible. Elle ne décrit pas, elle murmure, elle évoque, elle insuffle au lecteur un doute grandissant, un vertige lent et inexorable.

    Lovecraft bâtit ses phrases comme un architecte fou d’un royaume non euclidien, agençant leur ossature en un escalier qu’on descend toujours plus profondément vers l’abîme. Son langage ne livre pas l’horreur : il la suggère, il la distille goutte à goutte dans l’esprit du lecteur, transformant le silence même en un écho informe, porteur d’une chose qu’il vaudrait mieux ne pas comprendre.

    #lectures #lovecraft

    patrick blanchon @patrick_blanchon
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 14/03/2025

    Lecture d’un extrait du livre « Vivre tout bas » de Jeanne Benameur paru aux éditions Actes Sud, en 2025.

    ▻https://liminaire.fr/creation/radio-marelle/article/vivre-tout-bas-de-jeanne-benameur

    Jeanne Benameur donne une voix à une femme silencieuse, recluse au bord de la mer, à l’écart d’un village de pêcheurs, portée par un chagrin plus grand qu’elle la mort de son fils, le vide laissé par cette disparition. Sans jamais la nommer, elle nous la fait reconnaître : Marie, la mère de celui qui n’était pas seulement son fils. Ici, pas d’iconographie figée ni de parole divine, mais une femme incarnée, qui écrit, lit, et se reconstruit. À travers une prose lumineuse et sensorielle, l’autrice tisse un récit d’émotions et de résilience, où chaque geste, chaque rencontre, esquisse un chemin de renaissance. Dans la douceur du ressassement et le murmure des vagues, ce roman ouvre un espace de liberté, d’acquiescement au monde.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Roman, #Famille, #Portrait, #Femme, #Croyance (...)

    ▻https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_vivre_tout_bas_jeanne_benameur.mp4

    ▻https://actes-sud.fr/catalogue/litterature-francophone/vivre-tout-bas

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @academia
    academia @academia via RSS 7/03/2025

    Les IA génératives ou la pensée en bouillie
    ▻https://academia.hypotheses.org/60577

    Deux billets d’humeurs piquants au sujet des IA génératives écrits par des universitaires nord-américains ont été publiés ces derniers jours. Le premier, par le philosophe et poète Troy Jollmore, intitulé “Autrefois, mon métier était d’enseigner à des étudiant.e.s. A présent, … Continuer la lecture →

    ##ResistESR #En_partage #Lectures_/_Readings #Libertés_académiques_:_pour_une_université_émancipatrice #Pratiques_pédagogiques #Chatgpt #Intelligence_artificielle

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