• La poupée Barbie, icône de Hollywood « née » avec des racines juives Cathryn J. Prince - Time of israel

    Depuis sa création par Ruth Handler, entrepreneuse atypique, avec sa capacité de s’adapter au temps qui passe, la poupée emblématique arbore certains signes distinctifs de la communauté

    Elle a eu 250 carrières – et ce n’est pas terminé. Elle a les pieds arqués depuis toujours et une maison de rêve. Et, le 21 juillet, elle prendra le volant d’une décapotable rose et blanche pour s’aventurer dans le « monde réel » dans le prochain film grandeur nature de Greta Gerwig.

    Il s’agit de Barbie, bien sûr – la création de moins de trente centimètres de Ruth Handler, entrepreneuse juive qui avait défié les conventions sociales.

    Vêtue d’un maillot de bain zébré, la poupée avait fait ses débuts au Salon du jouet américain en date du 9 mars 1959 – une époque où les Juifs des États-Unis, victimes de fortes discriminations, s’interrogeaient beaucoup sur le concept d’assimilation. Handler devait, de nombreuses manières, placer sa propre ambivalence dans Barbie alors que la poupée devait devenir un symbole de la grande Amérique, de la blanchité joyeuse et de l’émancipation des femmes.

    « Ruth Handler est aux poupées ce que Ralph Lifshitz a été pour les vêtements américains et ce qu’Irving Berlin a été aux chants de Noël. Qu’ils en aient été conscients ou non, ils ont tous entretenu une relation ambivalente avec l’idée de cette Amérique aux palissades en bois blanc si typiques du pays – mais ils ont aussi aidé à créer l’image de cette Amérique aux palissades en bois blanc », explique Emily Tamkin, qui a écrit le livre Bad Jews : A History of American Jewish Politics and Identities.

    Née en 1916, Handler était la plus jeune d’une famille de dix enfants. Ses parents étaient des immigrants juifs venus d’une région de Pologne yiddishophone. Son père, Jacob Mosko, était un forgeron qui avait déserté les rangs de l’armée soviétique. Sa mère, Ida, était illétrée. Quand Handler n’avait que six mois, sa mère était tombée gravement malade, incapable de s’occuper de l’enfant. Cela avait été sa sœur aînée, Sara, qui avait pris soin d’elle et qui l’avait élevée.

    A l’âge de 19 ans, Handler avait arrêté ses études supérieures et elle avait quitté Denver au volant de son coupé Ford, direction Hollywood. Elle s’était installée dans un appartement avec une amie et elle avait trouvé un emploi au sein des studios Paramount Pictures.


    Ruth et Elliot Handler posent devant une vitrine de leur bureau montrant les jouets créés par le couple, le 2 août 1951. (Crédit : AP Photo)

    Elle avait épousé son petit ami du lycée – un étudiant en art qui s’appelait Eliot Handler – en 1938. Le couple avait fait une première apparition sur le marché des jouets en fabriquant des modèles miniatures de l’avion Douglas DC-3, des miniatures que Douglas Aicraft avait à l’époque distribuées comme cadeau de Noël à ses employés.

    Six ans plus tard, Ruth et Eliot Handler, en partenariat avec leur ami Harold « Matt » Matson, avaient cofondé Mattel, Inc. Matson avait revendu ses parts en 1946, l’époque où Ruth était devenue la toute première présidente de l’entreprise.

    Selon plusieurs biographies, Handler avait eu l’idée de Barbie en observant sa fille Barbara – dont la poupée est devenue l’homonyme – en train de jouer avec des poupées en papier. Son idée s’était encore précisée à l’occasion d’un voyage en Suisse, en 1956, où elle avait découvert Bild Lilli , une poupée habillée à la pointe de la mode, au corps harmonieux, qui avait été directement créée à partir du personnage féminin d’une bande-dessinée pour adultes.

    Avec ses jambes incroyablement longues, sa poitrine généreuse et sa garde-robe de femme adulte et moderne, Barbie avait été l’antithèse des poupées qui conditionnaient les petites filles au mariage et à la maternité.

    « Cela avait été une idée radicale – l’idée que les petites filles ne joueraient plus à la maman. C’était une pensée transgressive dans la culture juive, à ce moment-là. La mère juive tient un tel rôle dans notre culture », explique Letty Cottin Pogrebin, fondatrice et rédactrice en chef de Ms. Magazine et autrice juive féministe.


    Letty Cottin Pogrebin, fondatrice et rédactrice en chef de Ms. Magazine et autrice juive féministe (Crédit : Mike Lovett)

    Pour Susan Shapiro, autrice de Barbie : 60 Years of Inspiration, la poupée a été, d’une certaine manière, la féministe originelle.

    « Elle a capturé l’imagination des petites filles à l’époque et elle le fait encore, parce qu’il est rare qu’une femme soit au premier plan. Quand elle est apparue sur le marché, les femmes devaient encore demander la permission à leur mari pour avoir une carte de crédit ou un compte bancaire. Les femmes étaient dans l’ombre des hommes », explique Shapiro, qui possède à elle seule 68 poupées Barbie et qui est professeure de rédaction à la New School.

    Rien n’a tenu Barbie dans l’ombre, dit-elle.

    « Barbie n’avait pas à demander la permission d’un mari, d’un rabbin ou d’un père pour quoi que ce soit. Et c’était aussi le cas pour Ruth Handler. Elle ne demandait pas la permission pour faire ce qu’elle voulait faire », ajoute Shapiro.


    Susan Shapiro, à gauche, lors d’un événement Barbie au Temple Israel, dans le Michigan, avec la rabbin Jennifer Kaluzny. (Autorisation : Susan Shapiro)

    Comme l’avait écrit Handler, qui s’est éteinte en 2002 à l’âge de 85 ans : « Barbie a toujours incarné le fait qu’une femme a des choix ».

    Elle pouvait être médecin, agricultrice, astronaute ou mathématicienne. Elle pouvait avoir sa propre voiture. Elle pouvait vivre seule, ou avec des amis. Dans une maison, ou dans une caravane. Elle pouvait avoir un petit ami, Ken – mais elle n’était pas dans l’obligation de se marier.

    Les différentes bandes-annonces du film, qui sortira au cinéma le 21 juillet, suggèrent que Barbie quitte Barbieland pour être une poupée plus imparfaite. Pour résumer, elle s’interroge à la fois sur son rôle et sur la signification du bonheur. Et, comme le rappelle Pogrebin, le questionnement est central dans le judaïsme.

    « Je pense que le film sera une sorte de midrash sur le féminisme », déclare Pogrebin, utilisant le terme en hébreu pour désigner une exposition rabbinique consacrée à la Bible.

    Même ainsi, Pogrebin a du mal à qualifier la poupée de réel symbole du féminisme. Après tout, la première mission de Barbie était de servir de modèle unique aux adolescentes.

    Mais depuis que Mattel a sorti sa première Barbie, il y a 64 ans, la firme a tenté de diversifier la poupée.

    En 1968, Mattel a fait entrer sur le marché Christie, sa première poupée afro-américaine. Et pourtant, réduite à tenir un second rôle auprès de la célèbre poupée mannequin, elle n’est jamais devenue une Barbie officielle. Un tournant qui ne s’est amorcé que dans les années 1980.

    Et ce n’est qu’en 2016 que l’entreprise a lancé sa liste Fashionista, avec des poupées aux corps, aux formes et aux couleurs différentes, aux multiples capacités. Sa première Barbie portant le hijab, inspirée de la championne olympique au sabre Ibthihaj Muhammad, a fait son apparition en 2017.


    Ibtihaj Muhammad tient une Barbie à son effigie lors de la remise des Glamour Women of the Year Awards de 2017 au Kings Theatre de New York, le 13 novembre 2017. (Crédit : Evan Agostini/Invision/AP)

    Pourtant, alors même que Mattel continue à décliner la marque – au mois de mai, l’entreprise a mis sur le marché une Barbie atteinte de trisomie 21 – la Barbie la plus populaire reste la « Totally Hair ». Plus de dix millions de poupées aux tresses couleur d’or ont été vendues jusqu’à présent.

    Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas eu de Barbie ayant été inspirées par de célèbres femmes juives. Ainsi, la compagnie avait vendu une poupée mannequin Diane von Furstenberg en 2006 et en 2020, elle avait proposé une poupée à l’effigie de la gymnaste Aly Raisman, double médaillée d’or.

    Conservant l’idée d’une Barbie apte à faire ses choix, Jen Taylor Friedman, une artiste juive orthodoxe, a créé « la Barbie à phylactères ». La poupée, mise à la vente sur le site Etsy, est aussi enveloppée dans un châle de prière, et elle tient un livre de prières à la main.


    La Barbie à phylactères. (Autorisation : Jen Taylor Friedman)

    « La Barbie Halloween Hip de Mattel portait une adorable jupe en jean frum, et elle ressemblait ainsi à la plus grande partie de mes amis. De la même façon, je me suis dit qu’elle devait porter des phylactères », dit le site internet de Friedman, utilisant le mot yiddish pour désigner les Juifs pratiquant au niveau religieux.

    Et si une célébrité juive dépeinte sous les traits d’une poupée Barbie n’est pas automatiquement une Barbie juive, ce n’est pas grave, estime Tamkin. « Parce que d’une certaine façon, elle est déjà juive. Elle a été créée par une femme juive et elle porte le nom de sa fille, qui était juive ».

    Un point de vue qui n’est pas partagé, de son côté, par Pogrebin. Toutefois, elle dit qu’elle décèle quelque chose de très Juif dans la façon dont Handler et Mattel ont su s’adapter au temps qui passe.

    « Ils ont fait ce que les Juifs ont fait pendant des milliers d’années : s’adapter à la culture dominante pour pouvoir survivre. Pour entrer dans le cadre, il faut savoir se réinventer tout en conservant en soi ce qu’on est essentiellement. C’est ce que Mattel a fait et c’est ce que Handler a fait, elle aussi », dit Pogrebin.

    #barbie #poupée #usa #symbole #femme #modèle #Mattel

    Source : https://fr.timesofisrael.com/la-poupee-barbie-icone-de-hollywood-nee-avec-des-racines-juives

  • Fabien Roussel : les raisons d’une dérive idéologique au PCF
    par Mathieu Dejean

    https://www.mediapart.fr/journal/france/140922/fabien-roussel-les-raisons-d-une-derive-ideologique-au-pcf

    En 2021, investi par le Parti communiste (PCF) pour l’élection présidentielle de 2022, Fabien Roussel se plaignait de partir « avec le handicap du manque de notoriété ». Depuis, en dépit des 2,28 % de suffrages exprimés en sa faveur, il a percé médiatiquement à grand renfort de polémiques savamment calculées pour se distinguer, notamment en prenant le contre-pied de ses rivaux à gauche, au premier rang desquels Jean-Luc Mélenchon.

    Malgré la fin de la séquence électorale, il persiste et signe, quand bien même le PCF s’est allié à La France insoumise (LFI) pour former la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale (Nupes). En substance, LFI a mené une campagne trop « Terra Nova » à son goût (du nom du think tank proche du PS qui conseillait à la gauche de se focaliser sur les classes moyennes en 2012), alors que lui s’échinerait à rendre son lustre à une « gauche authentique et populaire ».

    Ses récents propos à la Fête de L’Humanité, opposant la « gauche des allocs » à la « gauche du travail », s’inscrivent dans cette continuité, en montant encore en gamme. D’un côté, il a fait l’unanimité contre lui de la part des responsables de la Nupes, qui lui reprochent d’aller contre l’histoire de son propre parti et de faire sienne la rhétorique droitière de « l’assistanat ». De l’autre, il a reçu le soutien de François Hollande et fait l’objet d’éloges de la part d’éditorialistes de droite.

    Un discours « en décalage » avec l’histoire du PCF

    Le 14 septembre, le député du Nord a maintenu ses déclarations, dénonçant les attaques de « ceux qui défendent le droit à la paresse » (titre d’un livre de Paul Lafargue, gendre de Karl Marx) : « La gauche a entretenu ce système de revenu de substitution à vie pour certaines familles », dit-il, en aspirant à ce que le pays « garantisse à chacun de trouver sa place dans la société par le travail ».

    Déjà, dans son livre publié en 2021, Ma France , il critiquait « une société à deux vitesses, dans laquelle les uns, toujours les mêmes, pourraient travailler, se former à l’étranger, dans de confortables conditions, tandis que les autres seraient assistés, contraints d’accepter une allocation en forme d’aumône ».

    Cette exaltation de la « France du travail » par opposition à celle des « assistés » est « en décalage par rapport à l’histoire du PCF », affirme le sociologue Julian Mischi, auteur du livre Le Parti des communistes (2020), alors qu’« il y a toujours eu une intégration des chômeurs et des exclus de l’emploi dans la classe ouvrière » dans le discours des communistes. Et il n’est pas le seul à s’en étonner : plusieurs responsables communistes, comme les députés Elsa Faucillon et Stéphane Peu, ainsi que le cinéaste proche du parti Robert Guédiguian, ont manifesté leur désaccord. François Ruffin s’est pour sa part défendu de partager le même combat.

    Sur la viande, l’islam radical, la sécurité, le gouvernement d’« union nationale » avec Emmanuel Macron (auquel il ne fermait pas la porte) et désormais la « gauche des allocs », Fabien Roussel continue donc de jouer une petite musique dissonante à gauche, quitte à ce qu’au sein de son propre parti, certains se demandent s’il n’a pas perdu sa boussole idéologique.

    D’après les spécialistes du PCF que nous avons interrogés, cette stratégie n’est pourtant pas totalement inédite, ni surprenante compte tenu des dernières évolutions du parti. Élu secrétaire national du PCF en 2018, alors que pour la première fois le texte de la direction sortante de Pierre Laurent, qui avait travaillé à l’ouverture, n’était pas majoritaire, Fabien Roussel incarne un pôle identitaire.

    Le retour de Georges Marchais

    C’est le sens de ses références à l’héritage de Georges Marchais, l’ancien secrétaire général jusqu’en 1994 qui, à ses yeux, avait fait du PCF le « parti du monde du travail ». « Je souhaite que le Parti communiste français redevienne celui-là », écrit-il dans Ma France.

    Cette inscription dans la lignée du dirigeant communiste, lui aussi connu pour ses saillies médiatiques, fait sens avec la trajectoire biographique de Fabien Roussel. « Roussel entre dans l’arène politique et dans l’engagement militant à partir de 1985, c’est-à-dire le moment où le PC se clive après les élections européennes de 1984, qui ont été un camouflet », explique l’historien du communisme Roger Martelli, auteur d’un livre à ce sujet, L’Occasion manquée. Été 1984, quand le PCF se referme (2014).

    Après une série de reculs électoraux successifs, le PCF s’engage à cette époque dans un mouvement de rétraction interne, qui plonge le parti dans une crise profonde : « C’est l’ère des dissidences, et le moment où Marchais, l’homme qui a participé à la signature du programme commun, s’arc-boute sur de prétendus “fondamentaux” après l’échec de 1984. Fabien Roussel s’inscrit dans cette période-là », note l’historien.

    Non seulement Fabien Roussel fait partie de cette génération militante qui veut réaffirmer l’identité communiste (son slogan lors de sa première campagne, les cantonales de 2004, en témoigne : « Je vote communiste et je t’emmerde »), mais en plus il fait ses classes dans la fédération du Nord, une des plus enracinées dans le monde ouvrier et qui a toujours défendu « l’identité » du PCF contre les « liquidateurs » qui voulaient le réformer.

    Sans jamais entrer en dissidence, la fédération du Nord, longtemps dirigée par Alain Bocquet, que Fabien Roussel considère comme son mentor politique, a ainsi été critique vis-à-vis du tournant de Robert Hue en 1994, de même qu’à l’égard de la candidature de Marie-George Buffet à la présidentielle de 2007, avec des « comités antilibéraux » largement ouverts. Ce contexte historique et géographique n’est donc pas anodin dans l’orientation prise par Fabien Roussel à la tête du PCF.

    Le secrétaire national s’inscrit aussi dans les pas de Georges Marchais en matière de stratégie médiatique. « Georges Marchais était plus combatif que les autres, complètement intégré à l’univers médiatique », a dit de lui Alain Duhamel, qui l’a maintes fois interviewé. Selon le sociologue Bernard Pudal, auteur de Un monde défait. Les communistes français de 1956 à nos jours (2009), la connaissance de l’univers médiatique par Fabien Roussel n’est pas pour rien dans son ascension jusqu’au sommet du parti.

    Effets pervers d’une envolée médiatique

    Le nordiste est fils d’un journaliste à L’Humanité, et a lui-même été journaliste, à France 3 notamment. De même, lorsqu’il a travaillé au cabinet de Michelle Demessine, secrétaire d’État au tourisme sous Jospin, il était chargé de communication.

    « Sa particularité, c’est sa connaissance, son implication, son intégration au monde des médias, remarque Bernard Pudal. Mon hypothèse, c’est que ce qui a joué dans son élection, c’est la perception au sein du PC d’une sorte d’inadéquation entre la représentation du PCF à travers Pierre Laurent [l’ancien secrétaire national, dont on a parfois raillé le manque de charisme – ndlr] dans un champ politique qui fonctionne de plus en plus aux logiques médiatiques. »

    Mais la stratégie de la personnalisation et de l’agitation médiatique, si elle permet de faire parler de soi, a ses travers. À la fin de l’année 1980 et au début de l’année 1981, à l’approche de la présidentielle, alors que le PCF était fortement concurrencé par le Parti socialiste (PS), Georges Marchais avait investi cet espace.

    Dans une logique électoraliste, alors que le PS était irrigué par les courants de pensée de 68, il avait pris un tournant conservateur, en tenant un discours anti-immigrés. La destruction au bulldozer d’un foyer de travailleurs maliens à Vitry-sur-Seine et la campagne calomnieuse contre un travailleur marocain et sa famille à Montigny-lès-Cormeilles avaient marqué cette inflexion.

    « C’est un antécédent historique où il y a eu un jeu avec les médias de la part de la direction du PCF, alors que ce discours ne reflétait pas ce qui mobilisait les militants, estime l’historien Julian Mischi. Ce tournant conservateur était lié à la compétition électorale. De la même manière, pour se démarquer d’une France insoumise en dynamique, Fabien Roussel met en avant des thématiques comme l’assistanat, la sécurité, l’immigration dans une logique électoraliste et médiatique. »

    Pour Julian Mischi, il s’agit d’une « dérive idéologique », car « ce ne sont pas les orientations décidées par le dernier congrès ». Cette relative autonomie du premier dirigeant communiste vis-à-vis du collectif s’était déjà manifestée à l’époque de Georges Marchais. Les militants avaient appris par voie de presse que le PCF abandonnait la référence à la dictature du prolétariat, en 1976.

    Roussel incarne un versant de l’histoire communiste, qui n’est pas le plus propulsif dans l’histoire du communisme français.

    En 2021, les communistes ont peut-être ressenti une surprise comparable en apprenant la participation de Fabien Roussel à la manifestation des policiers devant l’Assemblée nationale – ce dont il avait dû s’expliquer dans L’Humanité, face au tollé. L’ami d’Olivier Marchais, fils du secrétaire général qu’il a connu au lycée à Champigny-sur-Marne, et qui est devenu son directeur de campagne, sait donc à quoi s’en tenir.

    De plus en plus, les sorties médiatiques du chef du PCF semblent pourtant dicter la ligne, preuve, selon Roger Martelli, que « l’organisation a perdu la main », au détriment d’une culture politique. Dans Ma France, Fabien Roussel confesse d’ailleurs avoir lu tardivement le Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels. « Roussel commence à militer dans les années 1990, quand les écoles du PCF déclinent. On est alors formé en interne, par sa propre famille ou la mairie, et non plus seulement par l’organisation. C’est possible que ce soit le reflet d’un éclatement idéologique chez les nouveaux dirigeants », affirme Julian Mischi.

    Une chose est sûre : le parti est à un tournant de son histoire, où l’équilibre interne entre la défense farouche de l’identité communiste et l’ouverture à la gauche anticapitaliste est brisé. « Je ne peux pas dire qu’il n’incarne pas l’histoire communiste. Il en incarne un versant, qui n’est pas le plus propulsif dans l’histoire du communisme français », conclut Roger Martelli.

    Ni ses oscillations à droite ni la surface médiatique importante acquise par Fabien Roussel durant la campagne n’ont en effet compensé l’absence d’un corps militant mobilisé.

    • Fabien Roussel suscite la polémique en déplorant l’absence de Michel Sardou à la Fête de l’Huma. #legorafi
      https://www.legorafi.fr/2022/09/15/fabien-roussel-suscite-la-polemique-en-deplorant-labsence-de-michel-sardou-

      À gauche, une polémique en chasse l’autre. Quelques jours seulement après avoir fustigé « la gauche des allocs » lors de sa prise de parole pendant un débat tenu à la Fête de l’Huma, Fabien Roussel fait de nouveau parler de lui. Plusieurs témoins rapportent des propos dans lesquels il joue la carte de la provocation en s’épanchant sur son regret de ne pas voir Michel Sardou dans la programmation.

      Pire, selon plusieurs personnes présentes dans le public, le secrétaire national du PCF aurait même profité d’un intermède entre deux concerts pour s’inviter discrètement sur la scène principale. Fabien Roussel aurait alors entonné plusieurs chansons de Michel Sardou, dont Les Ricains et Le Temps des colonies avant de lancer un « ça, c’est de la vraie musique de bonhomme » devant une foule partagée entre mécontentement et consternation.

      Évacué de force par la sécurité, Fabien Roussel aurait finalement quitté la scène en qualifiant l’événement de « rassemblement de gauchiasses et de bons à rien ». L’organisation de la Fête de l’Huma, qui fustige dans un communiqué l’intervention de Fabien Roussel, affirme avoir réussi à « éviter le pire » et à ramener le calme en diffusant instantanément des chansons de Tiken Jah Fakoly pour contenir la foule en colère.

    • « Entre le travail et les allocations, il y a la République sociale »

      Hadrien Clouet, député de la France insoumise, membre de la commission des Affaires sociales, répond à Fabien Roussel, qui assumait de « défendre le parti de travail » et défend les allocations.

      Voici sa tribune : « Juste avant la Fête de l’Humanité, la gauche avait imposé deux sujets dans le débat public : les surprofits scandaleux des grands monopoles privés et les vols d’affaire des ultrariches. Retournement de situation, avec la décision du secrétaire général du PCF, Fabien Roussel, d’incriminer le versement de minima sociaux par “la gauche des allocations” défenseuse d’un “droit à la paresse”, et l’opposer à l’occupation d’un emploi par “la gauche qui défend le travail”. Loin de se cantonner à cette opposition, il a mordu la ligne la plus réactionnaire en pointant un “système qui nourrit le chômage par les allocations-chômage”. Le plein-emploi dépendrait-il donc, logiquement, de la suppression des allocations-chômage ?

      Soit Fabien Roussel n’a pas anticipé comment évoluerait le débat public, et c’est une erreur lourde. Soit il l’a anticipé, et il s’agit d’un propos politique indigne. Dans les deux cas, voilà l’extrême-droite en selle à partir d’âneries. Le rôle de chaque responsable politique est désormais de combattre le poison qu’il a diffusé, excitant absolument toutes les officines hostiles à la République sociale.

      Car depuis la Révolution française, notre pays a rompu avec l’idée d’un ordre divin inéluctable qui châtierait les pauvres, oisifs donc responsables de leur sort. La pauvreté dépend des politiques qui sont menées en matière de travail, d’emploi, de logement… Donc, le sort des plus pauvres est un choix politique. Donc, la pauvreté n’est pas une malédiction à subir : elle est un crime organisé à abolir. Elle n’est pas une peine individuelle méritée : elle est la condamnation collective de toute une famille, enfants compris, à la privation. Cette rupture fondamentale conduit les Révolutionnaires à créer dès 1793 une Caisse nationale de prévoyance, afin d’administrer les premiers versements aux femmes enceintes, aux familles, aux vieillards, soigner les pauvres ou protéger les enfants abandonnés. Et ce, parce qu’il n’y a pas de démocratie possible lorsqu’une partie de la population est tenue éloignée de la discussion publique, faute de temps, de repos et de tranquillité d’esprit pour s’y consacrer.

      Les propos incriminés sont d’autant plus effrayants qu’ils tournent le dos au drapeau tricolore et au drapeau rouge

      Les propos incriminés sont d’autant plus effrayants qu’ils tournent le dos au drapeau tricolore et au drapeau rouge. Ils abandonnent les principes fondamentaux du Parti communiste français, créateur de notre Sécurité sociale… avec l’idée d’abolir toute opposition entre salaire et allocations ! Les allocations familiales, par exemple, ne sont pas de la “solidarité nationale” mais bien un sursalaire. Lorsqu’il obtient en 1946 un vote unanime de l’Assemblée nationale en faveur de leur création, le ministre communiste Ambroise Croizat y voit “un moyen de transformer un salaire mesuré uniquement à l’importance des tâches fournies en un salaire social tenant compte des besoins de chacun”.

      Si l’opposition entre travail et allocs n’a pas de sens, c’est qu’une même personne passe régulièrement de l’un à l’autre. En effet, une partie conséquente des “allocs” en France… découle du travail ! On les appelle “contributives”, dans le sens où elles sont ouvertes à des individus qui ont préalablement cotisé, donc qui ont exercé un emploi. Pension de retraite, de réversion, d’invalidité, indemnisation du chômage, indemnités journalières pour maternité, maladie ou exploitants agricoles : toutes ne sont ouvertes qu’au titre de travailleur. Il est dès lors absurde d’opposer allocations et emploi, puisqu’il faut par exemple 6 mois de cotisation pour être éligible à une allocation-chômage. Le travail conduit donc aux allocations, en ce qu’il ouvre des droits sociaux. D’ailleurs, aujourd’hui, 13 millions de ménages (presque la moitié) perçoivent des allocations logement, des allocations familiales, des minima sociaux ou la prime d’activité !

      L’inverse est tout aussi exact : l’emploi est souvent au bout de l’allocation, d’où l’importance de les défendre avec acharnement, au nom du travail. C’est ce que montrent toutes les études sur la reprise d’activité et le parcours des allocataires. Une allocation suffisante permet de se rendre aux entretiens d’embauche, payer les transports, assurer la facture téléphonique… et donc rechercher un emploi dans de bonnes conditions. Les baisses d’allocation contrarient l’accès aux offres, car elles imposent de se concentrer sur la survie quotidienne au détriment de la poursuite de son projet personnel.

      En réalité, qui paie quoi dans notre pays ? Ce sont les pauvres et les classes moyennes qui subventionnent l’oligarchie

      En réalité, qui paie quoi dans notre pays ? Ce sont les pauvres et les classes moyennes qui subventionnent l’oligarchie. On l’oublie souvent, les 10 % les plus modestes s’acquittent de la contribution maximale : ils versent les deux-tiers de leur revenu primaire en cotisations sociales (22 %), impôts (6 %) et taxes (39 %). À l’inverse, les 10 % les plus riches ne mettent en commun que la moitié de leurs gains personnels. Personne ne fait plus d’effort que les pauvres ; personne n’en fait moins que les riches.

      Finalement, l’opposition entre allocation et travail rencontre une dernière limite essentielle : accéder aux allocations peut constituer un vrai travail, qui prend plusieurs heures par semaine ! C’est bien pour cette raison que le non-recours aux droits, c’est-à-dire le renoncement à une allocation alors qu’on y est éligible, est si fort dans notre pays. Prétendre qu’un allocataire du RSA représente le “camp de la paresse” est moralement indigne et pratiquement absurde – que Fabien Roussel tente de remplir un formulaire RSA afin de s’en rendre compte !

      Loin de ne concerner que les bénéficiaires, les allocations sociales protègent le pays tout entier. Chaque crise économique nous le rappelle amèrement. Lorsque les salaires reculent ou que le chômage augmente, ce sont les allocations qui maintiennent ouverts les magasins. Le fleuriste, la boulangère, ont besoin des allocataires en vue de conserver une clientèle et, donc, leur boutique ouverte ! Contrairement à celui des riches, l’argent les allocataires sociaux repart immédiatement vers les secteurs de l’économie les plus dynamiques. Puisque les allocataires n’ont pas les moyens de mettre beaucoup d’argent de côté, tout ce que l’on leur distribue alimente la demande auprès des entreprises.

      L’allocation de quelques-uns est le bouclier du plus grand nombre, qui force le patronat à des concessions

      Mais les allocations protègent aussi les salariés du pays. Pourquoi ? Car dès lors que l’on assure un filet de sécurité à une personne, celle-ci peut survivre sans exercer une multiplicité de petits boulots précaires. Elle peut refuser de travailler gratuitement, de conduire une demi-journée afin d’exercer un petit boulot ou d’enchaîner 15h par jour. Et ce qui est bon pour elle est bon pour tous, puisque les salariés en poste ne risquent pas d’être remplacés par des miséreux, prêts à faire la même chose en échange d’un salaire deux fois plus bas. L’allocation de quelques-uns est le bouclier du plus grand nombre, qui force le patronat à des concessions. Face à des chômeurs mieux indemnisés, donc forts d’un pouvoir de négociation et capables de comparer les emplois les uns aux autres pendant quelques semaines, les employeurs sont bien obligés de faire monter les enchères !

      Voilà notre histoire, voici la tâche toujours renouvelée de notre époque. Pour l’atteindre, il faut à la fois des emplois bien payés et la garantie que nul ne vive sous le seuil de pauvreté. Les deux vont de pair.

      La politique consiste à choisir les conflits que l’on entretient. Elle implique de distinguer ses alliés de ses adversaires. Fabien Roussel met son audience et son temps de parole au service d’un affrontement contre “la gauche”, “la paresse » et “les allocs” d’un même mouvement. Ce faisant, et en conséquence, il n’affronte pas la droite, les profiteurs de crise et les actionnaires. Pire, il reprend leurs mots et leur donne du grain à moudre. Chacun ses priorités. »

      https://www.lejdd.fr/Politique/tribune-entre-le-travail-et-les-allocations-il-y-a-la-republique-sociale-41355

  • Il est désormais scientifiquement établi que la planète sera détruite par l’action conjuguée des politiciens et des avocats.

    Port du masque obligatoire dans les transports à Nice : un recours déposé devant le tribunal administratif
    https://www.bfmtv.com/cote-d-azur/port-du-masque-obligatoire-dans-les-transports-a-nice-un-recours-depose-devan

    Le juge doit examiner ce vendredi le recours en référé-liberté déposé par un juriste à l’encontre de la mesure annoncée ce jeudi par le maire de Nice, Christian Estrosi. La décision doit être rendue dans l’après-midi.

    Retour du masque à Nice : Éric Ciotti tacle Christian Estrosi qui « s’érige en épidémiologiste »
    https://www.bfmtv.com/cote-d-azur/retour-du-masque-a-nice-eric-ciotti-tacle-christian-estrosi-qui-s-erige-en-ep

    Le député des Alpes-Maritimes défend la « République une et unique » et renvoie la décision sur le retour du masque obligatoire aux « autorités sanitaires ». Éric Ciotti ajoute « ne pas être pour la contrainte après deux ans de cette crise ».

    « Les mesures coercitives n’ont pas été celles qui ont été les plus efficaces », poursuit l’élu des Alpes-Maritimes. « Je crois en la science, je crois en les vaccins », ajoute Éric Ciotti qui dénonce un « coup de com » de la part du maire de Nice.

  • Lego Star Wars: The Skywalker Saga has led to extensive crunch at development studio TT Games - Polygon
    https://www.polygon.com/features/22891555/lego-star-wars-the-skywalker-saga-has-led-to-extensive-crunch-at-tt-games

    late 2017, development studio TT Games began work on Lego Star Wars: The Skywalker Saga at a time when dozens inside the company were at odds with management. Citing frustration over tight development schedules, the company’s crunch culture, and outdated development tools, more than 20 current and former TT Games employees tell Polygon that calls for change over the years had largely been ignored.

    More TT Games Employees Speak Out After Skywalker Saga Report
    https://www.fanbyte.com/?p=124963

    In late January, roughly 30 current and former TT Games employees spoke anonymously to Polygon (and myself) about the culture of crunch and mismanagement at both its Knutsford and Wilmslow offices. The final report highlighted instances of premeditated crunch, mishandled projects, and allegations of sexual harassment that occurred under the company’s former management, in addition to complaints of micro-management under the new leadership that had arrived from Sony. Former employees claimed these factors were responsible for a large turnover of staff over the last few years, with at least forty people leaving the two studios since the beginning of 2021, though that number has since grown considerably.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #tt_games #ressources_humaines #crunch #harcèlement_sexuel #environnement_toxique #culture_toxique #sony #trouble_de_stress_post_traumatique #santé #jeu_vidéo_LEGO skywalker_saga #jeu_vidéo_lego_star_wars_the_video_game #giant_interactive #jon_burton #warner_bros #ea #electronic_arts #traveller_s_tales #david_dootson #paul_flanagan #rémunération #jeu_vidéo_lego_jurassic_world #jeu_vidéo_lego_city_undercover #jeu_vidéo_lego_the_incredibles #lego #assurance_qualité #tt_fusion #console_wii_u #unreal_engine #unreal #ntt #tom_stone #jeu_vdidéo_lego_marvel_superheroes #jeu_vidéo_god_of_war #michael_denny #martin_palmer #paul_flanagan #10_10_games #eric_matthews #mark_green #arthur_parsons #light_brick_studio #jeu_vidéo_lego_builder_s_journey #red_games #jeu_vidéo_lego_brawls #gameloft #jeu_vidéo_lego_legacy_heroes_unboxed #jeu_vidéo_lego_star_wars_castaways #leon_warren, #james_lay #robert_nicholds #népotisme #jeu_vidéo_gotham_knights #funko

  • Sony and KIRKBI Invest in Epic Games to Build the Future of Digital Entertainment - Epic Games
    https://www.epicgames.com/site/fr/news/sony-and-kirkbi-invest-in-epic-games-to-build-the-future-of-digital-enter

    Today Epic Games announced a $2 billion round of funding to advance the company’s vision to build the metaverse and support its continued growth. 

    This round includes investments from existing investor Sony Group Corporation as well as KIRKBI, the family-owned holding and investment company behind The LEGO Group, with each party investing $1 billion respectively.

    Sony et Lego investissent 2 milliards de dollars dans Epic Games
    https://www.afjv.com/news/10896_sony-lego-investissement-2-milliards-dollars-epic-games-metavers.htm

    Epic Games a annoncé le 11 avril un financement de 2 milliards de dollars pour faire avancer la vision de l’entreprise dans la construction du métavers et pour soutenir sa croissance continue.

    Ce cycle comprend des investissements de Sony Group Corporation, déjà présent au sein du capital de l’entreprise, ainsi que de Kirkbi, la société familiale d’investissement derrière le groupe Lego, chaque partie investissant respectivement 1 milliard de dollars.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #epic_games #sony_group_corporation #kirby #lego #investissement #finance #tim_sweeney #kenichiro_yoshida #søren_thorup_sørensen #métavers #metavers #metaverse

  • The LEGO Group and Epic Games Team Up to Build a Place for Kids to Play in the Metaverse - Epic Games
    https://www.epicgames.com/site/en-US/news/the-lego-group-and-epic-games-team-up-to-build-a-place-for-kids-to-play-i

    The LEGO Group and Epic Games today announced they are entering a long-term partnership to shape the future of the metaverse to make it safe and fun for children and families. The two companies will team up to build an immersive, creatively inspiring and engaging digital experience for kids of all ages to enjoy together.

    The family-friendly digital experience will give kids access to tools that will empower them to become confident creators and deliver amazing play opportunities in a safe and positive space.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #jouet #business #lego_group #epic_games #metavers #métavers #metaverse #enfant #enfance #adulte #niels_b_christiansen #tim_sweeney #superawesome #digital_child_safety_policy #unicef #vie_privée

  • La presse typographique de Gutenberg entre dans le monde de Lego
    https://www.actualitte.com/article/zone-51/la-presse-typographique-de-gutenberg-entre-dans-le-monde-de-lego/103444

    Quelles aventures folles vécues avec ces petites briques emboîtables ! Pour Michael Jasper, elles sont source de toutes les expérimentations, depuis les plus grandes banalités du quotidien, en passant par des éléments historiques. Cet Allemand a décidé de reproduire des saynètes de la vie de son pays et du monde, avec force détails. Et Gutenberg, évidemment, y tient une belle place.

    #Lego #Gutenberg

  • Chiffres YouTube – 2020
    https://www.blogdumoderateur.com/chiffres-youtube

    Nous rassemblons sur cette page les statistiques de YouTube. Nos sources sont les chiffres officiels transmis par Google, à travers des communiqués ou des événements, ainsi que ceux obtenus par des instituts spécialisés comme Médiamétrie. De quoi se tenir au courant de l’actualité de la plateforme avec les derniers chiffres communiqués. YouTube est la plateforme de vidéos en ligne de Google. Créée en 2005 par 3 anciens employés de Paypal, Steven Chenm, Chad Hurley et Jawed Karim, le service a été (...)

    #Google #Lego #YouTube #domination #bénéfices #SocialNetwork

  • Private sector pledges US$250 million in refugee assistance

    #Ikea, #The_Lego_Foundation and #Vodafone lead 30 organizations at the Global Refugee Forum promising education, training, jobs, legal services and #cash_assistance to refugees.

    The growing role of the private sector in mobilizing vital resources to support millions of refugees worldwide went on show today at the Global Refugee Forum in Geneva, where business leaders made US$250 million in pledges.

    The scale and reach of the assistance became clear in a pledge by the IKEA Foundation, Ingka Group and Inter IKEA Group to assist 2,500 refugees through job training and language skills initiatives at 300 IKEA stores and units in 30 countries through 2022.

    The commitment is boosted by the IKEA Foundation’s promise to provide 100 million euros in programme grants over the next five years.

    “It is good business to do good, and we at IKEA have the fortune to think in generations,” Tolga Öncu, retail operations manager at Ingka Group told a joint news conference with executives from The LEGO Foundation and telecoms heavyweight Vodafone.

    Öncu said IKEA sought to shape a positive narrative around refugees: “These are friends and colleagues, and tomorrow it can be myself, it can be you, it can be our children or grandchildren. I think we owe the refugees today to make sure that the narrative throughout the whole world becomes a positive narrative.”

    More than half of the world’s 25.9 million refugees are children. To improve their lives, The LEGO Foundation announced a US$100 million grant for play-based learning through #PlayMatters, an initiative to strengthen resilience and build the social, emotional, cognitive, physical and creative skills of young refugee children.

    “We are particularly focused on the early years of education,” said John Goodwin, CEO of The Lego Foundation. “We feel that it’s imperative that we do all that we can to provide those children with the start that they need, both to overcome the adversity that they have experienced and to put them on a trajectory for a successful, thriving life.”

    Stepping up to the plate, the Vodafone Foundation made a commitment to expand the high-quality digital education it provides throught its #Instant_NetworkSchools programme, from 85,000 young refugees to more than 500,000.

    It aims to boost the number of Instant Network Schools in Kenya, Tanzania and the Democratic Republic of the Congo, connecting students to educational resources and the wider online world. Other countries will follow by 2025.

    “There are four million refugee children who don’t have access to education,” said Joakim Reiter, Group External Affairs Director at Vodafone. “We need to close the education gap to make sure that all children, no matter where you were born, and whether you were unfortunate enough to be born in a refugee camp … have the right to shape their life as best seems appropriate.”

    The first-ever World Refugee Forum is meeting in Geneva through 18 December to find solutions for 70 million children, women and men uprooted from their homes globally by war, conflict, and persecution, including 25.9 million refugees, who have sought safety across international borders.

    “We need to close the education gap.”

    The three-day gathering brings together refugees, heads of state and government, UN leaders, international institutions, development organizations, civil society representatives and business leaders.

    Over 30 other organizations – small and medium enterprises, law firms, multinationals, social enterprises, private foundations, coalitions and investment networks – have come forward with pledges.

    These are centred around the goals of the #Global_Compact_on_Refugees, a framework for more predictable and equitable responsibility-sharing affirmed by the UN General Assembly a year ago. It is set to include specific commitments around education opportunities and training and creating jobs for refugees.

    “As old conflicts continue and new ones erupt, displacing millions of people, we need smart, inspiring, engaging and inclusive ways of helping refugees and host communities, and we can all play a role,” UN High Commissioner for Refugees Filippo Grandi said ahead of the announcement.

    He added: “The private sector, with its creativity, drive and commitment, has already stepped up, making important pledges at the Global Refugee Forum. And companies stand ready to do more.”

    Other pledges are around connectivity, pro-bono legal services, business development services, investment in refugee-led companies, innovative financing and cash assistance, as well as access to clean and safe energy.

    Chobani CEO Hamdi Ulukaya, who founded the #Tent_Partnership_for_Refugees in response to the global refugee crisis, spoke of employing refugees at his operations in upstate New York, and the transformation that wrought in their lives.

    “The minute they started working,” he said, “was the minute they stopped being a refugee.”

    https://www.unhcr.org/news/latest/2019/12/5df7ba8d4/private-sector-pledges-us250-million-refugee-assistance.html

    #privatisation #asile #migrations #réfugiés #éducation #Lego #secteur_privé #camps_de_réfugiés

    ping @karine4 @isskein @reka

    • A Paris, un projet spectaculaire pour l’île de la Cité, 2016
      https://www.lejdd.fr/JDD-Paris/A-Paris-un-projet-spectaculaire-pour-l-ile-de-la-Cite-833143

      Le parvis de Notre-Dame recouvert d’une immense dalle de verre au-dessus de la crypte archéologique ; aux pieds de la cathédrale, un débarcadère et des plates-formes flottantes accueillant piscine, cafés, restaurants, salles de concert ; le long de la Seine, une longue promenade végétalisée, débarrassée des voitures, reliant les pointes aval et amont de l’île ; deux nouvelles passerelles qui franchissent le fleuve ; un peu partout, des verrières, des passages couverts, des galeries souterraines, des atriums en sous-sol…

      Voilà quelques-unes des 35 propositions – spectaculaires – contenues dans le rapport remis vendredi soir au président de la République et à la maire de Paris dans les salons de l’Élysée. Ce document de 56 pages, que le JDD a consulté en avant- première, a été rédigé par l’architecte Dominique Perrault (le concepteur de la BNF, à Paris) et le président du Centre des monuments nationaux, Philippe Bélaval. Le tandem avait reçu en décembre 2015 une lettre de mission de François Hollande, « en accord avec Mme Anne Hidalgo », demandant une vision de l’île de la Cité « à l’horizon des vingt-cinq prochaines années ». Dans la lignée des grands projets présidentiels…

  • Meurthe-et-Moselle : chanson polémique dans une école, un syndicat de police porte plainte (Le Figaro)
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/03/29/01016-20190329ARTFIG00055-meurthe-et-moselle-chanson-polemique-dans-une-eco

    France Police a décidé de porter plainte contre l’Éducation nationale et le directeur d’une école primaire de Ludres à cause de la chanson choisie pour le spectacle de fin d’année. D’après le syndicat, les paroles « appellent à la haine ».

    Fichtre, de quoi s’agit-il exactement ?

    Dans la classe de CE1 de l’école primaire Jacques-Prévert à Ludres (Meurthe-et-Moselle), les enseignants et la direction ont choisi d’apprendre aux enfants des chansons de l’artiste Guillaume Aldebert pour le spectacle de fin d’année. Mais les paroles de l’une d’elles ont déplu à certains parents d’élèves.
    […]
    L’auteur de chansons pour enfants écrit aussi : « faire pipi sur un policier », « prendre en otage ma petite sœur », « faire sauter la salle de classe à la dynamite ».
    L’un des parents, qui s’est livré à L’Est Républicain, considère que ce texte est « contraire aux valeurs de la République telles que doit les promouvoir l’école ». Il estime également que « dans le contexte que nous vivons, apprendre ce texte à des enfants de 7 ans (...) semble pour le moins inapproprié. »

    #LeGorafi_encore_plagié

    #éducation #école #spectacle_de_fin_d'année

    Le communiqué du syndicat de policiers
    Source : https://www.facebook.com/SyndicatFrancePolice/posts/2094137410704702

    Syndicat France Police policiers en colère
    28 mars, 13:25 ·

    Le syndicat France Police - Policiers en colère dépose plainte contre le directeur de l’école Jacques Prévert à Ludres et l’Education Nationale en tant que personne morale pour incitation au terrorisme, provocation d’un mineur à commettre un crime ou un délit et diffamation.

    Dans cette école de la « République » de Meurthe-et-Moselle, l’Education nationale a décidé d’intégrer dans ses programmes pédagogiques, l’apprentissage aux enfants de « l’œuvre » d’un « artiste » très engagé.

    Voici les paroles que les enseignants font apprendre à leurs élèves :

    « Faire pipi sur un policier […], prendre en otage ma p’tite sœur […], faire sauter la salle de classe à la dynamite […] Pour louper l’école ».

    Le ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer n’a pour l’heure pas réagi ni d’ailleurs le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner.

    Notre syndicat étendra le champ de sa plainte pénale à la personne du ministre Blanquer pour complicité si ce dernier ne fait pas immédiatement cesser les infractions.

    Guillaume Aldebert serait, semble-t-il, un artiste de référence dans de nombreuses écoles.. Il est vrai que là il y a du niveau..

    Laisser l’école de la République se transformer en école de la haine témoigne du niveau de déliquescence de nos Institutions et du degrés de responsabilité ou d’irresponsabilité de nos politiciens.

    • Le syndicat France Police – Policiers en colère dépose plainte contre le directeur de l’école Jacques Prévert à Ludres et l’Education Nationale en tant que personne morale pour incitation au terrorisme, provocation d’un mineur à commettre un crime ou un délit et diffamation
      https://france-police.org/2019/03/28/le-syndicat-france-police-policiers-en-colere-depose-plainte-contre-l

    • Le texte ne s’adresse pas aux filles ni aux grandes soeurs, les paroles sont au masculin stricte et les références très virilistes (armée, gars, chatouiller une panthère...). Je ne voie aucun encouragement adressé aux filles dans ce texte, à part des encouragements à subir encore la violence des garçons dans l’espace publique et privée.
      J’ai été voire les paroles complètes. Je croyais que c’etait une vieille chanson de machos des années 80, mais vu la référence à Fortnite et au Wifi c’est du masculinisme bien contemporain.

      Paroles de la chanson Pour louper l’école par Aldebert
      Pour louper l’école
      Je ferais n’importe quoi
      Pour louper l’école
      Moi j’irais jusqu’à…

      Faire le tour de la maison
      En pyjama pour chopper froid
      Manger des tartines au goudron
      Pour avoir mal à l’estomac

      Faire mon service militaire
      Traverser la manche en bouée
      Chatouiller une panthère
      Faire pipi sur un policier

      Pour louper l’école

      Je ferais n’importe quoi
      Pour louper l’école
      Moi j’irais jusqu’ ?

      Pour louper l’école
      Je ferais n’importe quoi
      Pour louper l’école
      Moi j’irais jusqu’à…

      Devenir magicien
      Pour me faire disparaître
      Prier pour que les martiens
      M’enlèvent sur leur planète

      Prendre en otage ma p’tite sœur
      Terminer mes choux d’Bruxelles
      Manger des crayons de couleur
      Pour vomir un arc en ciel

      Sans arme contre un gladiateur
      Je serais prêt à me battre
      Imiter les cascadeurs
      Espérer finir dans le plâtre

      Avaler deux cents limaces
      Pour effrayer les instits
      Faire sauter la salle de classe
      A la dynamite

      Pour louper l’école
      Je ferais n’importe quoi
      Pour louper l’école
      Moi j’irais jusqu’à…

      Pour louper l’école
      Je ferais n’importe quoi

      Pour louper l’école
      Moi j’irais jusqu’à…

      Pour moi c’est pire que le bagne
      Et lorsqu’il l’eut inventé
      Ce sacré Charlemagne
      Aurait du rester couché

      Comptez pas sur moi les gars
      C’est sympa mais c’est sans moi !
      Oui j’ai eu cette idée folle
      Un jour d’éviter l’école

      – Bon allez là faut y aller maintenant
      – On n’veut pas y aller, on n’y va pas
      – Ha si si vous y allez
      – Mais pourquoi ?
      – Mais vous avez signé, vous y allez

      – On n’a rien signé du tout c’est faux, arrête !

      On veut pas y aller
      On préfère rester couchés
      Haut les mains, peau d’lapin
      La maîtresse en maillot d’bain

      On veut pas y aller
      On préfère rester couchés
      Les cahiers : au feux
      La maîtresse au milieu ! »

      jouer à Fortnite sur les mains
      Emménager à la cantine
      Chanter du Black M en latin
      Me faire tatouer les canines

      Passer la nuit sans WIFI
      Me parfumer au Roquefort
      Compter jusqu’à l’infini
      Faire la teuf en Corée du Nord

      Sauter dans l’compost tout nu
      Tester les Kebabs au chlore
      Siffler le gars d’la sécu
      Avoir comme coloc’ un croque-mort

      Courir dans l’désert de doudoune
      Faire mon anniv’ aux urgences
      Traiter Dark Vador de clown
      Regarder le tour de France

      Pour louper l’école
      Je ferais n’importe quoi
      Pour louper l’école

      Moi j’irais jusqu’à…

      Pour louper l’école
      Je ferais n’importe quoi
      Pour louper l’école
      Moi j’irais jusque .....là !

      –------

      Je n’apprendrais pas la chanson d’Aldebert

      Je ferais foiré le spectacle de fin d’année
      J’irais crevé les ballons de foot à la récré
      J’étranglerais mes camarades à la corde à sauté
      et je les enverrais tous se faire émasculer.

      Même sous qualifiés les gars serons mieux payer
      alors vous pouvez bien jouer à fortnite
      puisque vous aurez des bonniches gratuites
      une fois que vous nous aurez engrossés.

      Moi j’irais nulle part, même pas au spectacle de fin d’année.

    • OK sur le « les gars » peu inclusif mais je ne savais pas que chatouiller une panthère était réservé aux hommes... On a donc aussi hâte qu’après les flics, des associations féministes portent plainte aussi, et puis pourquoi pas des vegans, car c’est scandaleux évidemment de manger des limaces pour se faire vomir, sans parler d’embêter des panthères qui n’ont rien demandé. Je pense aussi que fort légitimement, les Nord Coréens seraient autorisés à s’émouvoir qu’on sous-entende des choses fort peu sympathiques sur leur compte. Sans compter les producteurs de choux de Bruxelles, de roquefort, de crayons de couleur, de goudron puis les descendants de Charlemagne, les instits et les tenanciers de kebab qui pourront se porter partie civile. #flic_de_la_pensée

    • OK sur le « les gars » peu inclusif mais je ne savais pas que chatouiller une panthère était réservé aux hommes... On a donc aussi hâte qu’après les flics, des associations féministes portent plainte aussi,

      Qui parle de porter plainte ??? Je donne mon analyse de ce texte qui n’est pas « peu inclusif » (non merci pour ta litote) mais explicitement masculiniste. Chose qui n’avait pas été remarqué, pas même par les profs qui ont choisi de faire chanter cette chanson sexiste.
      A part ca merci d’avoir mentionner que texte est aussi spéciste.

      #spécisme #déni #fraternité

    • explicitement masculiniste

      , rien que ça ! C’est vrai qu’il y a un appel à un féminicide, via un bûcher qui plus est ! Mais finalement, ces parents d’élève et les flics, ils ont carrément raison de s’insurger !
      #ironie
      @aude_v si on prend la chanson au pied de la lettre, oui forcément c’est horrible et dans le lot des femmes en prennent pour leur grade. Effectivement l’auteur est un homme et prend le point de vue d’un petit garçon lambda, c’est assez genré dans le style (mais vraiment pas au point de considérer ça comme masculiniste pour ma part) et oui c’est vrai, ce n’est pas un tract féministe (et pas d’écriture inclusive non plus, je ne l’utilise quasiment pas moi même donc ça me choque pas). La défense des enseignants par rapport à la plainte est juste, à mon sens : il s’agit d’étudier l’ironie et le second degré ici donc je suppose qu’en classe l’enseignant doit précisément expliquer à ces élèves qu’il ne faut pas faire ce que la chanson incite à faire. C’est quand même terrible (et ridicule) de devoir expliquer ça à des adultes... En plus je suis pas du tout fan d’Aldebert mais vraiment des procès d’intention comme ça, qu’ils viennent de flics ou autres adeptes de moraline dénués du moindre humour, c’est juste dégueulasse. Tiens y a ce hashtag aussi que personne n’a mis : #censure

    • pour la censure c’est en rapport avec la plainte et le fait que l’école a donc décidé de ne pas utiliser cette chanson pour éviter les coûts d’une procédure (ce que je peux comprendre). Sur le côté « boys will be boys », encore une fois, c’est aussi un préjugé d’associer tout acte violent à quelque chose de forcément masculin.

  • Legos have a surprisingly high price on the second-hand market - Vox

    https://www.vox.com/the-goods/2019/1/29/18202463/lego-resale-market-high-return-rate

    Comment je suis devenu un ultra-riche

    According to research from Russia’s Higher School of Economics, Lego boasts an extremely high value when sold secondhand — and it actually has a higher rate of return than gold, bonds, and stocks.

    The study, published last month by assistant professor Victoria Dobrynskaya, is titled “The Toy of Smart Investors.” Dobrynskaya studied 2,000 Lego sets that were released between 1980 to 2014. She then compared their retail cost to how much they’d yield on the secondhand market in 2015. Dobrynskaya was surprised to find that plenty of Lego sets yielded a return rate of 11 percent, while others could be flipped at a whopping 613 percent.

    #lego

  • https://www.arch2o.com/lego-architecture-story
    In 2013, Lego released the Lego Architecture “Studio” which is a product that does not belong to any of the series mentioned above. The Studio set comprises 1,210 white and transparent Lego Bricks. These bricks come with a book of 272 pages which do not typically provide instructions and steps, but general tips, exercises, and design techniques instead. The tips and techniques are supplied by architects from world famous architectural firms like Sou Fujimoto Architects, SOM, MAD Architects, Safdie Architects, REX Architecture, and Tham & Videgård Arkitekter. The lack of Lego’s famous color palette from this product makes it arguably adult-oriented. Also, the wide range of forms and sizes of the blocks makes gives a room for creativity and innovation with minimal restrictions.

    #lego_architecture #lego #lego_architecture_studio

  • https://www.arch2o.com/lego-architecture-story
    The Lego sub-brand has presented us, since 2008, with 32 models of world famous landmarks from different eras, like the Villa Savoye, the Big Ben, and the Leaning Tower of Pisa. The idea for the new line was naturally inspired by the initial purpose of these blocks as toy construction set. Lego Architecture, though, was not the brand’s first product range to deal with architecture.


    #Lego #Architecture

  • Amazon, vendeur de destruction massive
    https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2019/01/11/amazon-vendeur-de-destruction-massive_5407944_1655027.html

    Amazon organise la #destruction massive de ses #invendus. Près de 300 000 objets neufs ont été jetés en trois mois dans son entrepôt de Chalon-sur-Saône, le plus petit des cinq établis en France par le géant de la vente en ligne – les autres sont à Montélimar, Orléans, Amiens et Lille. Au niveau national, cela représente 3,2 millions d’objets manufacturés neufs jetés en 2018, selon les estimations d’élus CGT.

    Des boîtes de Playmobil, vendues 36 euros sur le site, de #Lego, de couches (31 euros), des machines à pop-corn, le tout dans leurs emballages d’origine, mis à la poubelle.

    #gaspillage #écologie

  • PRE-ORDER: Build the Wall (#MAGA building blocks toy)

    We are pleased to announce the launch of a brand new line of toys: MAGA building blocks! This set comes with more than 100 pieces including President Trump in a MAGA hard hat!

    A mob of 10,000 Central American migrants is marching through Mexico and heading toward El Paso, Texas. Mexican border agents attempted to stop them at the Mexican border, but to no avail.

    We understand why they want to flee Honduras and live and work in America. After all, we are the greatest nation on earth.

    In the interest of national security, however, we cannot allow just anyone and everyone to cross our borders. While there are good people attempting to enter our nation, there are also gangs, criminals, and terrorists. Everyone who wants to enter our country must enter legally for the safety of all.

    The wall must be built. The wall will keep America safe and strong. Only then will we be able to help those in need.

    We are pleased to announce the launch of a brand new line of toys: MAGA building blocks! This toy makes a great Christmas gift for your kids and grandkids!

    101 Pieces
    Includes President Trump figurine w/ a MAGA hard hat!


    https://keepandbear.com/products/build-the-wall
    #légo #enfants #enfance #jeu #jeux #murs #frontières #barrières_frontalières #fermeture_des_frontières #jouet #jouets

    • Children were told to ‘build the wall’ at White House Halloween party

      A Halloween party on Oct. 25 at the Eisenhower Executive Office Building featured candy, paper airplanes and — concerning for some attendees — a station where children were encouraged to help “Build the Wall” with their own personalized bricks.

      Photos of the children’s mural with the paper wall were provided to Yahoo News.

      The party, which took place inside the office building used by White House staff, included the families of executive-branch employees and VIP guests inside and outside government. Even though many of the attendees were members of President Trump’s administration, not everyone thought the Halloween game was a treat.

      “Horrified. We were horrified,” said a person who was there and requested anonymity to avoid professional retaliation.

      The Eisenhower Executive Office Building stands across from the White House and houses a large portion of the West Wing support staff and is home to the vice president’s ceremonial office. The “Build the Wall” mural was on the first floor, outside the speechwriter’s office and next to the office of digital strategy and featured red paper bricks, each bearing the name of a child.

      Large letters on the display spelled out “Build the Wall.” Kids dressed as superheroes and ninjas were given brick-colored paper cards and told to write their name with a marker and tape them to the wall. Alongside the paper wall were signs including one that read “America First,” a slogan often used by President Trump that had been criticized because it was previously employed by the Ku Klux Klan.

      Earlier in the week offices inside the EEOB had been instructed to put together kid-friendly displays for trick-or-treaters. The displays were supposed to be interactive and inspiring, and all were supposed to address the party’s theme: “When I grow up I want to be…”

      Photos posted on social media show Vice President Mike Pence was present for the Halloween party at the EEOB. However, a spokesperson for the vice president said he did not go beyond his office, which is on the second floor.

      https://news.yahoo.com/children-were-told-to-build-the-wall-at-white-house-halloween-party-1530

  • #Lego Wants to Completely Remake Its Toy Bricks (Without Anyone Noticing) - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2018/08/31/business/energy-environment/lego-plastic-denmark-environment-toys.html

    BILLUND, Denmark — At the heart of this town lies a building that is a veritable temple to the area’s most famous creation, the humble Lego brick. It is filled with complex creations, from a 50-foot tree to a collection of multicolored dinosaurs, all of them built with a product that has barely changed in more than 50 years.

    A short walk away in its research lab, though, Lego is trying to refashion the product it is best known for: It wants to eliminate its dependence on petroleum-based plastics, and build its toys entirely from plant-based or recycled materials by 2030.

  • Ariane Chemin : « Tout d’un coup, nous nous rendons compte qu’Emmanuel Macron dirige la France de manière assez opaque »
    https://www.franceculture.fr/politique/ariane-chemin-tout-d-un-coup-nous-nous-rendons-compte-qu-emmanuel-macr

    Entretien | La journaliste du Monde qui a révélé l’affaire Benalla se confie. Ariane Chemin évoque quelques coulisses de son enquête et réagit aux critiques d’Emmanuel Macron sur le travail de la presse. Un chef de l’Etat dont elle s’inquiète de « la petite équipe » pour diriger la France.

    Bon, elle se confie vite fait, hein !
    #benalla #police #journalisme #macron