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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 13/01/2021
    1
    @veronique_petit
    1

    Covid-19 : au Liban, dix jours de confinement intégral dans un pays aux abois
    ▻https://www.lemonde.fr/international/article/2021/01/13/covid-19-au-liban-catastrophe-sanitaire-dans-un-pays-aux-abois_6066041_3210.

    https://img.lemde.fr/2021/01/13/418/0/3500/1748/1440/720/60/0/b183312_574932232-999622.jpg

    Pendant dix jours, les Libanais ne pourront donc pas sortir de chez eux, que ce soit pour aller travailler, faire des courses, faire de l’exercice physique ou promener leur animal domestique. Le ravitaillement des foyers dont les réserves s’avéreraient insuffisantes se fera par livraison à domicile. Le flux de voyageurs à l’aéroport sera réduit à 20 % de ce qu’il était avant l’apparition du virus. Certaines professions seulement, considérées comme essentielles, comme les boulangers, les pharmaciens et les travailleurs des secteurs médical et alimentaire, pourront continuer à circuler. Pour les Libanais, dont le niveau de vie s’est effondré, c’est un nouveau coup de massue.« La tragédie à laquelle nous assistons dans les hôpitaux nécessite des mesures drastiques », a déclaré le président Michel Aoun. De fait, le système de santé est au bord de la rupture. Selon l’Organisation mondiale de la santé, le taux d’occupation des lits en unité de soins intensifs est de 95 %, et celui des lits standards de 85 %.
    Un hôpital complètement saturé a récemment contraint la Croix-Rouge, chargée du transport des personnes contaminées, à abandonner un malade dans la rue, devant la porte de l’établissement. Les soignants d’un autre établissement, également confronté à un manque de places, ont commencé à soigner des patients dans leur voiture. L’épidémie avait été maintenue sous contrôle jusqu’à l’été 2020, grâce à un premier confinement très respecté. A la veille de la tragique explosion dans le port de Beyrouth, le 4 août 2020, les autorités recensaient moins de deux cents cas par jour. Le pays passait pour un modèle dans la gestion de la maladie. Mais, sous la pression de la population, étranglée par les difficultés, le gouvernement a lâché la bride. Le deuxième confinement, à l’automne, trop court et mal respecté, n’a presque pas eu de répercussions.
    La levée de la quasi-totalité des restrictions pendant les fêtes de Noël et du Nouvel An a précipité la catastrophe. Le nombre de contaminations quotidiennes est passé d’une moyenne de 1 500 à 4 500 en quelques jours et, mardi 12 janvier, le pays a enregistré trente-deux décès. « On s’attend à un gros afflux de malades dans les hôpitaux, confie Firas Abiad, le directeur de l’hôpital public Rafic-Hariri de Beyrouth, à la pointe dans la lutte contre le SARS-CoV-2. Pourrons-nous accroître nos capacités pour y faire face ? Le manque de ressources humaines constitue un premier obstacle. Tous les établissements ont perdu un nombre non négligeable d’infirmiers et de médecins, qui ont migré vers l’étranger, en quête de stabilité, ou sont tombés malades.Les hôpitaux privés, qui représentent 80 % de ce secteur, rechignent aussi à augmenter le nombre de lits réservés aux patients atteints du Covid-19, tant que l’Etat ne s’acquitte pas de sa dette à leur égard. Et on voit mal comment, dans un pays en quasi-banqueroute, les tiers payants publics pourront rapidement régler ces arriérés, qui se chiffrent en milliards de livres libanaises.

    #Covid-19#migrant#migration#liban#personnelmedical#emigration#sante#medecin#infirmier

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 10/01/2021

    Paul Khalifé sur Twitter : « Le #confinement3 battu en brèche au #Liban. Du Nord au Sud souks bondés, matchs de football... le pays se dirige vers un couvre-feu total, un bouclage complet et la fermeture des frontières. #coronavirus #COVID19 » / Twitter
    ▻https://twitter.com/Khalifehpaul/status/1348323584985477120

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
    • @loutre
      Loutre @loutre 10/01/2021

      Arthur Sarradin
      @ArthurSarradin
      🇱🇧▻https://twitter.com/ArthurSarradin/status/1348385472695988228

      Au #Liban, cette photo terrifiante de soignants épuisés par l’augmentation exponentielle des nombres de cas de Covid, ici le pays peut pas faire face au virus. Il n’en a tout simplement pas les moyens.

      Loutre @loutre
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 8/01/2021
    1
    @simplicissimus
    1

    Israeli Navy ship enters Lebanese waters, fires at fishing boats - report - The Jerusalem post
    ▻https://www.jpost.com/breaking-news/israeli-navy-ship-enters-lebanese-waters-fires-at-fishing-boats-report-654627

    #criminels #impunité #Liban #sionisme

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @justiceinfo
    JusticeInfo @justiceinfo via RSS 8/01/2021
    1
    @simplicissimus
    1

    Tribunal spécial pour le Liban : une montagne qui a accouché d’une souris
    ▻https://www.justiceinfo.net/fr/les-debats-justiceinfo/opinions/46417-tribunal-special-liban-montagne-accouche-souris.html

    https://www.justiceinfo.net/media/k2/items/cache/99367ee5c64a9e8b851165cb72ce5ee2_S.jpg

    Le mois dernier, le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), basé à La Haye, a prononcé sa première peine depuis sa création, il y a 13 ans. L’avocat et militant libanais Habib Nassar a suivi de près ce tribunal depuis le début. Il décrit pourquoi les Libanais moquent ce jugement, le qualifiant d’absurde et politisé. Et comment ce tribunal a illustré le pire des institutions de justice internationale.

    Au lendemain de la création du Tribunal spécial pour le Liban (TSL), en 2007, des collègues et moi-même avons écrit un article dans lequel nous concluions que « le TSL reste limité dans sa portée et ne peut être, tout au plus, qu’un premier pas vers l’avènement d’une culture de la responsabilité au Liban ». Plus d’une décennie plus tard, le premier jugement du tribunal dans l’affaire qui a déclenché sa création (...)

    #Opinions

    JusticeInfo @justiceinfo via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/01/2021

      #Tribunal_spécial_pour_le_Liban (#TSL) #Liban #Habib_Nassar #justice

      CDB_77 @cdb_77
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 1/01/2021

    EN IMAGES : Au #Liban, des producteurs de haschisch misent sur l’industrie du bien-être pour contrer la crise économique | Middle East Eye édition française
    ▻https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/liban-chanvre-producteurs-haschisch-industrie-bien-etre-crise-economi

    http://www.middleeasteye.net/sites/default/files/images-story/LebaneseClanMembersExploreHempPotential_ElizabethFitt_BodayLebanon%20%20%281%29.jpg

    Même si leur nouvelle offre [d’#aliments à base de #chanvre] est conforme à la législation libanaise du mois d’avril, qui légalise le commerce de chanvre pour des usages médicaux et industriels, les Chamas s’opposent à la nouvelle loi et y voient une manœuvre relevant de l’exploitation opérée par un gouvernement notoirement corrompu qui ferait n’importe quoi pour faire rentrer de l’argent afin de soutenir l’élite politique.

    « Nous sommes pour la légalisation mais nous sommes contre cette loi », soutient Talal Chamas, membre de la famille de Hamza. « Ce n’est pas une loi pour protéger les gens, c’est une loi pour faire du profit [en faveur des responsables politiques] ».

    Qu’il soit légal ou non de cultiver et de transformer les plantes, les Chamas étaient de toute façon prêts à emprunter cette voie, affirment-ils. Ils ne veulent pas que le gouvernement y participe : leur objectif est plutôt de construire leur propre économie circulaire locale.

    Les Chamas craignent que la nouvelle loi ne donne lieu à un monopole commercialisé de l’industrie par l’élite politique. « En tant qu’agriculteur, je devrai aller leur acheter des graines. Et plus tard, je leur achèterai [des insecticides et de l’engrais], puis je leur donnerai le produit et ils me donneront 1 000 dollars pour en gagner un million », déplore Talal.

    [...]

    [...] « Ce lait est fantastique », déclare Michel Cheblis. Enthousiasmé par le potentiel des nouveaux produits issus du chanvre pour le Liban, il prévoit une certaine résistance politique de la part des partis désireux de maintenir des zones rurales sous-développées – mais « il serait certainement judicieux de produire localement et d’exporter », estime-t-il.

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 13/12/2020

    How Business Cartels Prevent Lebanon from Rebuilding Its Infrastructure, Government, and Economy
    ▻https://foreignpolicy.com/2020/12/11/business-cartels-concrete-lebanon-infrastructure-economy-governance

    https://foreignpolicy.com/wp-content/uploads/2020/12/GettyImages-lebanon-concrete-cartel-1229472104.jpg?w=1000

    ... new economic realities are destabilizing some cartels on their own. A crumbling local currency could address Lebanon’s unhealthy addiction to imports, which are already down about 50 percent compared to last year. In rural Lebanon, a lack of foreign currency is shaking the foundations of a well-established potato cartel, which has long exploited small-scale farmers.

    #Liban

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @gonzo
    gonzo @gonzo CC BY-NC 30/11/2020
    1
    @loutre
    1

    https://twitter.com/Khalifehpaul/status/1333070683652452354

    Paul Khalifé sur Twitter : « En réponse à la demande officielle du #Liban de lui remettre les photos satellite du port de #Beyrouth lors de l’explosion du 4 août les autorités françaises ont dit que les satellites n’étaient pas opérationnels ce jour-là. #beirutblast #explosiondebeyrouth » / Twitter

    Les commentaires sont intéressants aussi.

    #liban

    gonzo @gonzo CC BY-NC
    • @gonzo
      gonzo @gonzo CC BY-NC 30/11/2020

      https://www.arabnews.fr/node/24486/monde-arabe

      article du 21/10

      Paris et Rome tardent à fournir les images satellites de l’explosion, rappelle Beyrouth

      Peu après l’explosion le président Michel Aoun n’avait pas exclu l’hypothèse d’une « action extérieure, avec un missile ou une bombe ». Il avait alors assuré avoir demandé au président français Emmanuel Macron des images satellites.

      Mardi, M. Diab a indiqué à des journalistes avoir lui aussi demandé au président français Emmanuel Macron des images satellites du port « avant, durant et après » l’explosion.

      Une requête similaire a été envoyée à l’Italie, selon le Premier ministre démissionnaire.

      « Ils devaient nous fournir » des images satellites, mais « cela ne s’est pas produit, je ne sais pas pourquoi », a ajouté M. Diab sans donner plus de détails.

      La France et l’Italie n’ont pas confirmé publiquement leur intention de fournir de telles images au Liban.

      gonzo @gonzo CC BY-NC
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 28/11/2020

    Introduction du livre de Joseph Daher : Le Hezbollah Un fondamentalisme religieux à l’épreuve du néolibéralisme
    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/02/11/introduction-du-livre-de-joseph-daher-le-hezbollah-un-f

    #international #liban

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @cuisinelibre
    Cuisine-libre.org @cuisinelibre CC BY 28/11/2020

    Boulgour à la #Tomate
    ▻https://cuisine-libre.org/boulgour-a-la-tomate

    Plat #Végétarien libanais, parfumé et très facile à faire. Concasser les tomates : couper les tomates en petits dés ou les râper à l’aide d’une râpe à gros trous, pour n’en récupérer que la pulpe et le jus. Passer le boulgour à l’eau courante pour le laver puis l’égoutter. Émincer l’oignon et l’ail. Dans une sauteuse, faire revenir l’oignon avec l’ail dans un peu d’huile pendant 5 minutes. Ajouter les tomates. Assaisonner de sel, poivre, cannelle et cumin, mélanger et laisser mijoter 5 minutes. Ajouter le boulgour… Tomate, #Boulghour, #Pilafs, #Liban / Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans lactose, #Bouilli

    Cuisine-libre.org @cuisinelibre CC BY
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 28/11/2020
      @cuisinelibre

      Quelle idée de faire des trucs à la tomate fraiche (pas conserve) le 28 novembre… t’es tombée salade @cuisinelibre ? :p

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @cuisinelibre
      Cuisine-libre.org @cuisinelibre CC BY 28/11/2020

      Mais nan, les tomates, on peut en manger toute l’année : quand il n’y en a plus de fraîches sur les étals, il suffit de remplacer par une conserve ;)

      Cuisine-libre.org @cuisinelibre CC BY
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 28/11/2020

      héhé oui là c’est pour cuire alors ça va :)

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @aurelie1
    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 via RSS 27/11/2020

    #Liban : la portée et les limites du « hirak »
    ▻https://www.cetri.be/Liban-la-portee-et-les-limites-du

    Le mouvement social qui a secoué le Liban à la fin de l’année 2019 traduit l’épuisement d’un système économique et politique. Divisé entre libéraux et tendances de gauche, le « hirak » est sujet à tout type de récupération, notamment par des forces confessionnelles ou des puissances étrangères. La probabilité est grande de voir la crise actuelle déboucher sur la renégociation du contrat communautaire plutôt que sur son (...) #Alternatives_Sud_-_extraits

    / Liban, #Mouvements_sociaux, Relations entre mouvements sociaux & gouvernements, #Contestation

    #Relations_entre_mouvements_sociaux_&_gouvernements

    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 via RSS
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  • @aurelie1
    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 via RSS 27/11/2020

    Soulèvements populaires
    ▻https://www.cetri.be/Soulevements-populaires

    La simultanéité, l’ampleur et la radicalité des soulèvements populaires de l’automne 2019 au #Chili, en Équateur et au #Liban surprennent. Elles obligent à réévaluer d’autres mouvements, débutés plus tôt et toujours en cours – en #Haïti, au #Soudan, en #Algérie, à Hongkong… –, et à porter un regard plus attentif sur la conflictualité sociale dans le monde. Au-delà des affinités relevées, la coïncidence dans le temps et la diffusion dans l’espace marquent-elles un nouveau « printemps des peuples » ? Si les (...) #Alternatives_Sud

    / #Alternatives_Sud, #Homepage_-_Publications_à_la_une, Homepage - Menu « Découvrez », #Publications_en_vente_-_> ;_Shop, #Mouvements_sociaux, Relations entre mouvements sociaux & gouvernements, #Inde, #Indonésie, Liban, #Irak, #Iran, Algérie, Soudan, Haïti, Chili, Amérique latine & (...)

    #Homepage_-_Menu_« Découvrez » #Relations_entre_mouvements_sociaux_&_gouvernements #Amérique_latine_&_Caraïbes
    ▻https://www.cetri.be/IMG/pdf/as_pdf_complet_ultime_as_soule_vements_populaires.pdf
    ▻https://www.cetri.be/IMG/epub/as_epub_as_soulpop.epub

    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 via RSS
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  • @aurelie1
    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 via RSS 27/11/2020

    Soulèvements populaires : « révoltes logiques » ?
    ▻https://www.cetri.be/Soulevements-populaires-revoltes

    La démultiplication et simultanéité des révoltes à l’automne 2019 ont mis au-devant de la scène les soulèvements populaires. Ces mouvements massifs de #Contestation posent nombre de questions quant à leur dynamique, leur temporalité, leur composition et leurs significations. Ancrés localement, tenant à distance les acteurs politiques institutionnels, ouvrent-ils la voie à des transformations en profondeur, voire à un changement de « système » ? En octobre 2019, à quelques jours d’intervalle, l’Équateur, (...) #Alternatives_Sud_-_extraits

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Le_regard_du_CETRI, Relations entre #Mouvements_sociaux & gouvernements, Mouvements sociaux, Contestation, #Crises, #Coronavirus, #Inde, #Indonésie, #Liban, #Irak, #Iran, #Algérie, #Soudan, #Haïti, #Chili, Amérique latine & (...)

    #Relations_entre_mouvements_sociaux_&_gouvernements #Amérique_latine_&_Caraïbes

    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 via RSS
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  • @rumor
    rumor @rumor CC BY-NC-SA 24/11/2020
    1
    @loutre
    1

    Le #Liban à la croisée des chemins
    A l’invitation du MUCEM dans le cadre du cycle Les lundis d’après, en réponse aux questions de Joseph Confavreux de Médiapart, je dialogue avec Ziad Majed sur les enjeux de la réponse à la #crise économique, financière et politique au Liban environ cent jours après l’#explosion du 4 août. Débat enregistré le 13 novembre 2020.
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=1R3IjpS0eXk&ab_channel=Mucem

    rumor @rumor CC BY-NC-SA
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  • @arno
    ARNO* @arno ART LIBRE 21/11/2020

    Liban. L’homme d’affaires Ziad Takieddine vient de passer 14 jours en prison
    ▻https://www.ouest-france.fr/politique/affaires/liban-l-homme-d-affaires-ziad-takieddine-vient-de-passer-14-jours-en-pr

    L’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine, un ancien témoin à charge contre l’ex-président Nicolas Sarkozy, a passé deux semaines en prison au Liban, sur fond de litige avec son ancien avocat.

    L’avocat libanais Hani Mourad, qui a intenté un procès contre Ziad Takieddine, a affirmé par ailleurs avoir pu consulter du temps où il défendait ce dernier des relevés de compte portant sur « des milliers de virements bancaires » depuis les comptes de Ziad Takieddine en Libye vers ses comptes au Liban puis vers des comptes de personnes et entreprises françaises et libanaises présentes en France. Il n’a pas fourni d’autres détails.

    Ziad Takieddine, 70 ans, s’était enfui à Beyrouth après avoir été condamné en juin en France dans le cadre de l’affaire Karachi sur des commissions occultes liées à des contrats d’armement avec l’Arabie saoudite et le Pakistan.

    ARNO* @arno ART LIBRE
    • @kassem
      Kassem @kassem CC BY-NC-SA 21/11/2020

      “Un pays ouvert à tous les vents” #Liban

      Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @rezo
    Rezo @rezo via RSS 19/11/2020
    5
    @odilon
    @simplicissimus
    @mad_meg
    @7h36
    @touti
    5

    « L’Arabe pour tous Pourquoi ma langue est taboue en France » | Les Oreilles loin du Front
    ▻http://www.loldf.org/spip.php?article864

    Cette semaine, on a discuté avec le journaliste Nabil Wakim de son livre « L’Arabe pour tous - Pourquoi ma langue est taboue en France » publié aux éditions du Seuil. Nabil Wakim dans son enquête personnelle raconte comment ila (plus ou moins) perdu l’usage de sa langue maternelle, la langue arabe, c’est aussi une enquête sur les raisons de ce désamour. Alors que l’arabe est la deuxième langue la plus parlée du pays, elle n’est enseignée que dans 3 % des collèges et des lycées à environ 14 000 élèves. Soit deux fois moins qu’il y a trente ans ! Durée : 1h21. Source : Fréquence Paris Plurielle

    ►http://www.loldf.org/archives/20.11.18.arabe.pour.tous.nabil.wakim.mp3

    Rezo @rezo via RSS
    • @perline
      Perline @perline CC BY-SA 19/11/2020

      Ouin ouin c’est la faute des autres.
      Toujours...
      En revanche, pourquoi le yiddish a été perdu, là on le sait, enfin on devrait le savoir, mais pas de ouin ouin, donc pas de grandes tirades.

      Perline @perline CC BY-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 19/11/2020

      Cette remarque est parfaitement mesquine (voire semi raciste ?). Quel rapport ? Quelles grandes tirades ? Quels parallèles historiques ? C’est pas du tout la même histoire ni les mêmes raisons. Ça parle en premier lieu de comment l’arabe est traité dans l’espace public là depuis quelques décennies en France, pas du yiddish 60 à 100 ans plus tôt…

      Par ailleurs le yiddish que parlait ma grand-mère (sauf qu’elle est polonaise) n’a jamais été la deuxième langue la plus parlé en France. Ce qui est le cas de l’arabe là, en 2020, avec quand même quasi 6% de la population entière qui le parle (!), pour 3% d’établissements où on l’apprend.

      Bref, ça me parait pas mal dégueu cette comparaison-compétition.

      ►http://www.loldf.org/archives/20.11.18.arabe.pour.tous.nabil.wakim.mp3

      #audio #radio #interview #Les_oreilles_loin_du_front #Fréquence_Paris_Plurielle #langues #France #arabe #Liban #Nabil_Wakim

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @rumor
    rumor @rumor CC BY-NC-SA 17/11/2020
    1
    @kassem
    1

    Le Liban dans l’urgence de trouver un remplaçant à Sonatrach
    ▻https://www.lecommercedulevant.com/article/30130-le-liban-dans-lurgence-de-trouver-un-remplacant-a-sonatrac

    https://s.lecommercedulevant.com/storage/attachments/31/043AEE9C-AA6A-4D7C-AB93-716ED1FD0C63-286-00000023DB15A8CA_381220_906393_large.jpg

    Intéressant article qui montre la diversité des réseaux d’intérêt lié au champ de l’énergie et de l’électricité, qui ne se limite donc pas au clan Bassil-Aoun. Même si l’article, ici, n’explique pas pourquoi les frères Rahmé sont controversés, et quelles sont leurs connexions politiques. Au-delà de Joumblatt on ne sait pas vers qui regarder...

    Longtemps présenté comme un accord d’État à État, le contrat accordé de gré à gré en 2005 [à Sonatrach], et reconduit cinq fois en Conseil des ministres, était en réalité sous-traité à deux sociétés libanaises proches du pouvoir : BB Energy, de l’homme d’affaires Bahaa Bassatne, par ailleurs partenaire de Walid Joumblatt dans la société Cogico ; et ZR Energy, à partir de 2017, une entreprise de négoce d’énergie fondée par deux frères à la réputation controversée, Teddy et Raymond Rahmé, qui a remporté ces dernières années de nombreux contrats auprès du ministère de l’Énergie.

    #Liban #fuel #électricité #énergie #Bassil #CPL #Joumblatt

    rumor @rumor CC BY-NC-SA
    • @rumor
      rumor @rumor CC BY-NC-SA 17/11/2020

      Selon Al Arabiya, ZR Energy est une firme spécialisée dans l’importation de diesel pour les générateurs et serait proche de BAssil et du CPL
      ▻https://englishbeta.alarabiya.net/en/features/2020/05/14/Hezbollah-ally-embroiled-in-Lebanon-s-defective-fuel-scandal-

      Despite the FPM’s attempts to take credit for the investigation into the scandal, a second company headed by Teddy Rahmeh – who is reportedly close with the FPM’s Bassil – has also been charged in connection with the scandal.

      Rahmeh, who denies allegations he is close to Bassil, runs ZR Energy.

      ZR Energy SAL Holding (ZR Energy) is 50 percent owned by ZR Group, founded by Teddy and Raymond Rahmeh in Lebanon in 2005, according to the country’s commercial registry.

      A statement provided by ZR Group to Al Arabiya English said that “There are no contracts between ZR Group and the Lebanese government, and there never have been. ZR Energy SAL’s main commercial activity is the distribution of diesel for residential sectors in the north of Lebanon.”

      #générateurs

      rumor @rumor CC BY-NC-SA
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  • @rumor
    rumor @rumor CC BY-NC-SA 15/11/2020

    Thomas Piketty : « La planète est traversée par de multiples fractures inégalitaires, que la pandémie va encore aggraver » Le cas du #Liban et du #Moyen-Orient #Golfe
    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/11/14/thomas-piketty-la-planete-est-traversee-par-de-multiples-fractures-inegalita

    https://img.lemde.fr/2020/11/14/615/0/7349/3674/1440/720/60/0/9036b7a_5714504-01-06.jpg

    De façon générale, la carte des inégalités mondiales reflète à la fois les effets de discriminations raciales et coloniales anciennes et l’impact de l’hypercapitalisme contemporain et de processus sociopolitiques plus récents. Dans plusieurs des pays les plus inégalitaires de la planète, comme le Chili ou le Liban, les mouvements sociaux des dernières années portent l’espoir de transformations profondes.

    Le Moyen-Orient apparaît comme la région la plus inégalitaire de la planète, à la fois du fait d’un système de frontières concentrant les ressources sur les territoires pétromonarchiques et d’un système bancaire international permettant de transformer la rente pétrolière en rente financière éternelle. Faute d’un nouveau modèle de développement régional plus équilibré, social-fédéral et démocratique, il est à craindre que les idéologies totalitaires et réactionnaires actuellement à l’œuvre continueront d’occuper le terrain, comme en Europe il y a un siècle.

    rumor @rumor CC BY-NC-SA
    • @rumor
      rumor @rumor CC BY-NC-SA 15/11/2020

      INCOME INEQUALITY IN THE MIDDLE EAST
      ▻https://wid.world/fr/news-article/income-inequality-in-the-middle-east-2

      KEY RESULTS:
      The Middle East is the most unequal region worldwide: 56% of national income accrues to the top 10%, and only 12% goes to the bottom 50%.
      Gulf countries have been the most unequal of the region during the last three decades: 54% of national income accrues to the top 10%. (Bahrain, Kuwait, Oman, Qatar, UAE, Saudi Arabia)
      Extreme concentration at the top of the distribution: the top 1% income earners own 23% of total income in 2019, almost twice as high as the share earned by the bottom 50%.
      Inequality levels have remained extremely high for the last decades, with a slight decline in the top 10% income share from 60% in 2019, to 56% in 2019 due to the narrowing income gap between Gulf and Non-gulf countries.
      Despite the high levels of inequality, they remain underestimated. The lack of quality survey data with huge gaps between survey years leads to an underestimation of the share of national income accruing to the top 10% income earners.

      voir aussi : ▻https://wid.world/wp-content/uploads/2020/11/WorldInequalityLab_IssueBrief_2020_06_RegionalUpdatesMiddleEast.pdf

      rumor @rumor CC BY-NC-SA
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 1/11/2020

    Alexandra Tohme sur Twitter : “As a british - lebo, I get shafted by the Israelis living here next to them and if I move back to the UK my politicians are going to be co-opted by them. There’s no getting away from the evil! Makes me wonder, is Hezb enough? Do we need something stronger?” / Twitter
    ▻https://twitter.com/alextohme/status/1322842723737575424

    https://pbs.twimg.com/profile_images/1315092501196406786/gM4ZO1LD_normal.jpg

    #Liban #sionisme

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 1/11/2020
    1
    @veronique_petit
    1

    Cris de détresse pour sauver les domestiques ghanéennes du Liban - BBC News Afrique
    ▻https://www.bbc.com/afrique/monde-54748967

    https://ichef.bbci.co.uk/news/1024/branded_afrique/46C2/production/_115141181_ascre.jpg

    Asie Kabukie Ocansey du Centre Nekotech pour la migration de la main d’œuvre et président de l’Association de la jeunesse des Nations Unies au Ghana a mené une campagne pour mettre fin aux conditions potentiellement mortelles auxquelles les travailleurs domestiques peuvent être soumis.Selon elle, "les travailleurs domestiques migrants africains entrent dans une sorte de système domestique que l’Asie, les Philippines et l’Indonésie ont rejeté et ce système est appelé « Kafala ». « Le Kafala » qui signifie « adoption » a été créé dans les années 1950, lorsque le boom pétrolier a commencé au Moyen-Orient. Les ne sont pas autorisés à changer d’employeur, même si la situation est abusive, et ce n’est pas normal.
    En ce moment, il y a environ trois millions d’Africains dans cette région. Au Liban, où il y a eu l’explosion, nous avons réussi à faire venir deux mille deux cent soixante, deux (2262) des filles. Il y en a huit mille de plus.
    Selon elle, il y a beaucoup de travailleurs domestiques africains qui sont bloqués à Oman, au Liban et dans certains autres pays et à cause de Covid19 , c’est devenu une crise. Certaines des filles révèle-t-elle, ont déclaré qu’elles ont dû coucher avec des hommes dans la rue afin de réunir de l’argent pour acheter des billets pour rentrer chez elles, parce que leurs employeurs ont refusé de les payer et les ont jetées à la rue.
    Une campagne en ligne intitulée « Enddeadlyworknow » a été lancée pour sensibiliser le public à ce problème. Les dirigeants africains ont été invités à créer des opportunités pour les jeunes, afin de les empêcher de se rendre dans d’autres pays à la recherche d’un avenir radieux

    #Covid-19#migration#migrant#liban#ghana#afrique#travailleurmigrant#domestique#crise#vulnérabilite#prostitution#sante#retour#kafala

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @rumor
    rumor @rumor CC BY-NC-SA 27/10/2020

    Georges Haddad sur Twitter : “I was walking around Gemayze, Mar Mikhael, and Martyrs’ Square and took some pictures of graffitis and a couple of other things that pretty much illustrate the situation in #Lebanon. Thread. ▻https://t.co/SFHavMGeJg” / Twitter
    ▻https://twitter.com/Georges__Haddad/status/1321012140715757568

    Superbe thread, photos et commentaires très utiles. J’en sélectionne ici qqsunes, les autres à voir sur le fil.
    ▻https://threadreaderapp.com/thread/1321012140715757568.html

    https://pbs.twimg.com/media/ElQTax4WMAAcyQ8.jpg https://pbs.twimg.com/media/ElQYtcgXEAAj7w-.jpg https://pbs.twimg.com/media/ElQYFW_X0Ac5OLz.jpg https://pbs.twimg.com/media/ElQZRJxX0AAD86Z.jpg

    #Liban #révolte #révolution #jeunesse #art

    rumor @rumor CC BY-NC-SA
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 26/10/2020
    1
    @veronique_petit
    1

    Beirut’s migrant workers persist in the shadow of the blast | Gallery | Al Jazeera
    ▻https://www.aljazeera.com/gallery/2020/10/14/in-pictures-beiruts-migrant-workers-persist-in-the-shadow-of-th

    https://www.aljazeera.com/wp-content/uploads/2020/10/E72A7738.jpg?resize=1200%2C630

    The twin explosions in the Port of Beirut on August 4 exacerbated Lebanon’s deepening economic crisis, stranding thousands of destitute migrant workers without work and no clear route home. The International Organization for Migration (IOM) estimates 24,500 migrants lost their jobs, homes or were directly affected in other ways by the Beirut blasts.
    Lebanon’s 400,000 migrant workers hail from Ethiopia, the Philippines, Kenya, Sierra Leone, and Bangladesh, among other countries. They have taken great risks to work in Lebanon with hopes of earning US dollars and supporting their families back home. Many came to Lebanon through the kafala system, a sponsorship-based employment scheme used by many countries in the Middle East that allows one to work while their employer doubles as their sponsor, handling their visa and legal status. While the system is intended to open jobs to migrants, it also exposes them to exploitation by placing great power in the hands of employers, many of whom confiscate their employees’ passports, making it extremely difficult to leave.
    The economic crisis has now further destabilised the lives of many. The Lebanese pound has devalued by 80 percent since October 2019, leaving employers unable to pay wages and pushing migrant workers into debt, unable to pay for rent, food or other basic services, let alone send money to their families back home.The rising number of evictions has forced many migrants to sleep in the streets, while others have pooled their money to rent rooms so small it is impossible to maintain physical distancing, creating potential breeding grounds for the spread of COVID-19.
    Humanitarian agencies now worry the lack of sustainable employment and safe shelter will expose even more people to trafficking or abuse by their employers, forms of exploitation that already plagued the country’s migrant workers before the deadly blast.

    #Covid-19#migrant#migration#liban#travailleurmigrant#crise#moyenorient#kafala#humanitaire#vulnerabilite#economie#sante

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @rumor
    rumor @rumor CC BY-NC-SA 24/10/2020
    1
    @kassem
    1

    Une analyse critique des impasses de la révolution libanaise par Jamil Mouawad : « Au #Liban, le système s’impose en contrôlant l’imaginaire »
    ▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/10/23/jamil-mouawad-au-liban-le-systeme-s-impose-en-controlant-l-imaginaire_605711

    https://img.lemde.fr/2020/10/22/426/0/4984/2492/1440/720/60/0/3563d74_600549012-000-8tl4xw.jpg

    Le soulèvement a diminué en termes d’énergie et d’impact avant même l’épidémie de Covid-19, qui a entraîné un repli forcé. L’élan d’octobre 2019, quand les places publiques étaient occupées par des contestataires, de Tripoli [ville du nord du Liban] à Tyr [dans le sud], s’est essoufflé dès janvier. Le problème ne tient pas au manque de mobilisation, mais à l’absence d’une alternative politique sérieuse. Ce mouvement n’est pas parvenu à produire un programme, ni même un discours politique. Son principal slogan – « Tous, ça veut dire tous ! » – a d’abord permis de faire abstraction des communautés religieuses et des partis, mais son caractère trop général a mené vers une impasse. En outre, aucun leadership politique n’a été créé. Les manifestants voulaient des résultats tangibles. Après avoir perdu confiance dans la classe politique, ils ont perdu confiance dans la mobilisation de rue.
    [...]
    Parmi les changements notables, le soulèvement de 2019 a su recentrer le discours politique sur les problèmes du pays, à la différence des dirigeants qui posent toujours l’équation en termes régionaux. On a ainsi pu parler d’électricité, de corruption, d’espace public… Le mécontentement des citoyens envers la classe politique, jusqu’alors contenu dans l’espace privé, a déferlé sur la place publique. Pour autant, il n’y a pas eu de révolution, de rupture avec le passé.
    [...]
    Après le 17 octobre [2019], l’espace s’est organisé. A Beyrouth, chacun a planté sa tente, énoncé son discours. Cet espace a reflété la division, bien plus qu’une unité entre ces groupes. Beaucoup d’initiatives ont été menées, mais sans consensus sur les grandes questions.
    [...]
    Il faut discuter des sujets qui divisent : les armes du Hezbollah ; le laisser-faire économique libanais, etc. Sans ces débats, il ne peut pas y avoir de vision.
    Un autre écueil tient à la culture de « l’expertise » et des ONG, qui a dominé la société civile depuis l’après-guerre [à partir de 1990]. Prenons l’exemple des élections : s’arc-bouter sur la loi électorale est une erreur [le dernier scrutin législatif a eu lieu en 2018, avec une nouvelle loi électorale qui, comme les précédentes, a favorisé les grands partis communautaires]. Il ne s’agit pas seulement d’emporter des voix selon des conditions imposées par la loi, mais de savoir s’adresser aux électeurs. Les partis, eux, font appel aux appartenances communautaires, familiales… Une loi équitable ne peut pas, seule, changer le paysage politique. Il faut sortir des approches techniques et aller vers le contenu politique.
    [...]
    La période est très difficile, mais le Liban ne va pas disparaître. On a tout perdu matériellement, mais la structure sociétale libanaise existe toujours. Le risque est de voir la classe politique se présenter en sauveuse, en distribuant quelques aides – un peu de pain par-ci, un billet par là – qui entretiennent le système clientéliste. Il faut cesser de parler uniquement d’effondrement. Les Libanais doivent défendre l’idée de l’Etat et de la chose publique, et arrêter de dire que l’Etat n’existe pas. L’Etat existe, mais ses ressources ont été capturées par la classe politique. L’Etat n’est pas seulement une institution, c’est aussi un imaginaire.

    #révolution #thawra

    rumor @rumor CC BY-NC-SA
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 20/10/2020
    1
    @veronique_petit
    1

    Le bien-être et la sécurité des travailleurs migrants au Liban se détériorent davantage depuis l’explosion de Beyrouth | Organisation internationale pour les migrations
    ▻https://www.iom.int/fr/news/le-bien-etre-et-la-securite-des-travailleurs-migrants-au-liban-se-deteriorent-d

    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/lebanon_0.jpg?itok=1bNqFxET

    Les communautés de travailleurs migrants étaient déjà aux prises avec les effets néfastes de l’aggravation de la crise économique et de la crise de la COVID-19 avant même que les explosions ne se produisent. À l’époque, l’OIM estimait que 24 500 travailleurs migrants avaient été directement touchés par l’explosion - ayant perdu leur emploi, leur maison ou leurs moyens de subsistance. Depuis, la situation s’est détériorée pour beaucoup d’entre eux.L’analyse d’une évaluation des besoins coordonnée par la Croix-Rouge libanaise avec le soutien de la DTM indique que les besoins post-explosion des familles de ressortissants étrangers - qui englobent les travailleurs migrants - divergent de ceux des ménages libanais.
    Les ressortissants étrangers ont déclaré que leurs besoins principaux sont l’argent et la nourriture, indiquant leur besoin urgent de services de base. En comparaison, le besoin le plus important des ménages libanais est la réparation des abris.
    Dans un autre sondage de la DTM ciblant uniquement les travailleurs migrants, 91 pour cent ont fait état de difficultés financières - beaucoup affirmant qu’ils ont besoin d’un soutien accru pour payer leur loyer et qu’ils ont du mal à trouver du travail dans un environnement économiquement de plus en plus précaire. Soixante-dix pour cent des personnes interrogées ont indiqué qu’elles souhaitaient retourner dans leur pays d’origine dans les trois prochains mois. « De plus en plus de travailleurs migrants se retrouvent à dormir dans la rue ou sont contraints de rester dans des lieux clos, souvent dans une seule et même pièce. Nous sommes très inquiets que la COVID-19 se répande parmi cette population », a déclaré Mme Godeau. Une évaluation de suivi - qui était centrée sur les migrants originaires du Bangladesh, d’Égypte, d’Éthiopie et du Soudan - a également révélé qu’un nombre croissant de migrants ne pouvaient pas accéder aux soins de santé, surtout par rapport aux Libanais qui sont également touchés.

    #Covid-19#migrant#migration#liban#bangladesh#egypte#soudan#ethiopie#sante#refugie#economie#vulnerabilite#travailleurmigrant#retour

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @loutre
    Loutre @loutre 16/10/2020

    « Plutôt mourir en mer que rester » : les Libanais tentent de fuir vers l’Europe
    16 octobre 2020 / Ines Gil (Reporterre)
    ▻https://reporterre.net/Plutot-mourir-en-mer-que-rester-les-Libanais-tentent-de-fuir-vers-l-Euro

    https://reporterre.net/local/cache-gd2/fc/15ff47533c6fad00eda91414f6a891.jpg?1602832170

    Abattus par la crise économique, des Libanais quittent le pays à bord de bateaux de fortune, et cherchent à rejoindre l’île de Chypre. Ils sont, après les réfugiés syriens ou palestiniens, les nouvelles victimes du drame humanitaire en Méditerranée. (...)

    #Liban

    Loutre @loutre
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  • @loutre
    Loutre @loutre 15/10/2020

    En dépit du climat pesant, pas de risque de guerre civile au Liban
    Par Scarlett HADDAD, le 15 octobre 2020 L’Orient-Le Jour
    ▻https://www.lorientlejour.com/article/1236567/en-depit-du-climat-pesant-pas-de-risque-de-guerre-civile-au-liban.htm

    (...) En même temps, des incidents sécuritaires se sont multipliés, dans plusieurs régions, à Khaldé, à Tarik Jdidé et à Baalbeck-Hermel. Plus grave encore, la bataille en bonne et due forme qui s’est déroulée dans le nord du pays, opposant l’armée libanaise à des cellules de Daech. À ce sujet, il faut préciser que cette bataille, qui a commencé dans la foulée de la tuerie de Kaftoun, a duré plusieurs jours, des soldats et officiers de l’armée y sont tombés, mais elle a finalement abouti au démantèlement d’une cellule importante de Daech. Alors qu’habituellement les cellules de Daech, ou de ses semblables, sont composées d’au maximum 5 personnes, pour pouvoir être mobiles et se fondre plus facilement dans l’environnement populaire, celle-ci était formée de 32 personnes. Elle possédait des armes sophistiquées et disposait d’un plan de déstabilisation du pays à volets multiples, qui consistait à attaquer des lieux saints chrétiens et chiites, pour préparer le terrain à une discorde entre eux. Ensuite, des attaques contre des positions de l’armée étaient prévues pour paralyser cette dernière et l’empêcher de s’interposer entre les chiites et les chrétiens. Le chef de la cellule a été tué lors des affrontements mais un de ses adjoints est actuellement entre les mains de l’armée. Selon ses révélations, la cellule avait même planifié de lancer une attaque spectaculaire lors de la visite d’une personnalité importante au Liban, mais pour des raisons logistiques, cette idée a été abandonnée.

    Tous ces éléments mis bout à bout incitent certains à penser que le Liban serait à la veille de développements encore plus dramatiques que ceux qu’il a déjà vécus.

    Mais des sources sécuritaires bien informées affirment qu’il n’y a pas de véritable risque, actuellement, d’éclatement d’une nouvelle guerre civile au Liban. Selon ces sources, un tel projet exige, pour prendre forme, une décision internationale et un financement. Or, jusqu’à présent, rien n’indique qu’une telle décision internationale existe. Au contraire, l’initiative française montre qu’il y a une volonté internationale d’aider le Liban et d’empêcher son effondrement total. De même, il n’y a pas de financement extérieur pour alimenter une guerre civile au Liban. Daech et quelques groupes ont certes des moyens financiers, mais ce sont les leurs propres. Ces organisations ne bénéficient pas du soutien d’un État extérieur pour leur projet de déstabilisation du Liban. De plus, le fait que l’armée et les FSI (en particulier leurs services de renseignements), aient mené la bataille contre la cellule de Daech jusqu’à son démantèlement total, montre que la déstabilisation du pays reste une ligne rouge.

    Toujours selon les mêmes sources, les rapports de forces internes, dans le pays, sont en outre différents de ceux qui existaient en 1975, lors du déclenchement de la guerre civile. L’armée et les FSI continuent de bénéficier d’une couverture globale, même si en raison de l’effondrement de la livre par rapport au dollar américain, les salaires de leurs membres ont été dramatiquement réduits. Mais cela n’influe pas sur leur motivation ni sur leur détermination. L’armée libanaise d’aujourd’hui ne se divisera pas en brigades confessionnelles comme ce fut le cas dans le passé. Elle reste la garante de l’unité du pays. Enfin, le Hezbollah, avec l’expérience qu’il a acquise, est certainement une force avec laquelle il faut compter. Pour toutes ces raisons, il n’y a pas de risque d’une nouvelle guerre civile, estiment les sources sécuritaires précitées. Par contre, cela ne signifie pas que toutes les parties peuvent se livrer à leur activité favorite, la division et les insultes. Elles doivent donc assumer leurs responsabilités non seulement par rapport aux Libanais mais aussi par rapport à leur patrie. Plus elles sont divisées et plus les brèches sécuritaires peuvent se multiplier.

    #Liban

    Loutre @loutre
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