• Le Reader Act jugé inconstitutionnel : un coup d’arrêt à la censure au Texas
    https://actualitte.com/article/127018/droit-justice/le-reader-act-juge-inconstitutionnel-un-coup-d-arret-a-la-censure-au-tex

    La justice fédérale américaine a mis un terme à l’un des textes les plus controversés adoptés ces dernières années dans la lutte idéologique autour de la lecture publique. Le juge Alan D. Albright, du tribunal fédéral du district ouest du #Texas, a rendu un jugement sommaire et prononcé une injonction permanente contre la loi HB 900, connue sous le nom de #Reader_Act. En déclarant le texte contraire au Premier Amendement de la Constitution, il met fin à un projet de régulation qui aurait imposé aux #libraires et #éditeurs de classifier les #livres vendus aux écoles selon leur contenu sexuel.

    Le Reader Act, signé en 2023 par le gouverneur républicain de l’État, Greg Abbott, entendait contraindre les vendeurs de livres à examiner des millions d’ouvrages destinés aux #bibliothèques_scolaires pour leur attribuer un commentaire, « sexuellement explicite » ou « sexuellement pertinent ». Cette classification devait être soumise à l’Agence d’éducation du Texas, qui aurait pu imposer ses propres évaluations, comme le détaille un document de la Texas Library Association, organisation de bibliothèques texanes. Les vendeurs refusant d’obtempérer risquaient d’être exclus des marchés publics.

    Sous couvert de protéger les enfants, la loi plaçait ainsi les professionnels du livre dans la position de censeurs, responsables du filtrage de la production littéraire. Le juge Albright, dans sa décision rendue publique le 22 octobre 2025, estime que la loi impose aux libraires de « parler au nom de l’État » et les force à diffuser un message qu’ils ne partagent pas, en violation du Premier Amendement. Il considère également que la mesure équivaut à une « censure préalable », empêchant la diffusion d’ouvrages avant toute évaluation judiciaire.

    La plainte, déposée dès juillet 2023 par les librairies BookPeople à Austin et Blue Willow Bookshop à Houston, avec le soutien de l’American Booksellers Association, de l’Association of American Publishers, de l’Authors Guild et du Comic Book Legal Defense Fund, dénonçait une atteinte directe à la liberté d’expression et une menace pour la viabilité économique du secteur.

    Le juge leur donne raison sur toute la ligne, confirmant une première injonction prononcée en septembre 2023 et validée par la Cour d’appel du cinquième circuit - une des treize cours d’appel fédérales des États-Unis, et deuxième niveau du système judiciaire fédéral, juste en dessous de la Cour suprême des États-Unis - en janvier 2025. Cette dernière avait déjà souligné que « les plaignants ont un intérêt à vendre des livres sans être contraints de relayer le message préféré de l’État ».

    ping @hlc

    • Texas Is the Reason: The Mavericks of Lone Star Punk | Pat Blashill
      https://bluewillowbookshop.com/book/9781935950172

      "Pat Blashill’s beautiful book of photos captures the poetics and energetic eccentricities of the post punk Austin, Texas music scene of the ’80s, things one will never get on the internet. Long live books and this one kicks ass"Kim Gordon

      "There’s certainly an art to photography"and there’s also an art to being in the right place at the right time. Pat Blashill demonstrates both of those things over and over again in Texas Is the Reason. Great bands come out of great scenes, so Blashill shoots not just the shows but the community. Even the intimate moments scream punk rock, and even the punk rock moments scream intimacy. ’Transcendent music is sometimes made by actual humans, ’ Blashill writes in his equally vivid essay. ’After you understand that, you don’t need rock stars anymore.’ Nailed it."Michael Azerrad, This Band Could Be Your Life.
      “A profound experience for me” Richard Linklater.

      https://seenthis.net/messages/1138776

  • Nord c’est noir
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/librairie-service-compris/nord-c-est-noir

    par Tomjo Suivez le guide. Tomjo nous conte l’étonnante et véridique histoire de la betterave à sucre, de la pizza machine et de la batterie électrique. De quoi vérifier sur place que l’énergie électrique, n’importe sa source, n’est ni « durable », ni décarbonée, et que la prétendue Giga-Transition ne poursuit en fait que la politique de la terre brûlée par d’autres moyens technologiques. Deux siècles d’industrie mortifère ayant remplacé les mines, les tissages et les aciéries, entre (…) Librairie/Service Compris

    #Librairie/Service_Compris

  • Librarians Are Being Asked to Find AI-Hallucinated Books
    https://www.404media.co/librarians-are-being-asked-to-find-ai-hallucinated-books

    Reference #librarian Eddie Kristan said lenders at the library where he works have been asking him to find books that don’t exist without realizing they were #hallucinated by AI ever since the release of #GPT-3.5 in late 2022. But the problem escalated over the summer after fielding patron requests for the same fake book titles from real authors—the consequences of an AI-generated summer reading list circulated in special editions of the Chicago Sun-Times and The Philadelphia Inquirer earlier this year. At the time, the freelancer told 404 Media he used #AI to produce the list without #fact_checking outputs before #syndication.

    (...)

    Taylor and colleagues have found #RAG doesn’t really help improve the accuracy of AI-generated summaries through beta testing AI tools in library tech for companies like Clarivate, Elsevier and EBSCO

    (...)

    The problem with that in a university #library is we’re trying to teach those #skills but we have tools that negate that necessity. And because those tools don’t work well, you’ve not learned the skill and you’re still getting crap results, so you’re never going to get better results because you didn’t learn the skill.

  • Enrique Flores Magón
    https://www.partage-noir.fr/enrique-flores-magon-1928

    Fidèle compagnon de son frère, la stature de Ricardo a tendance à l’éclipser. Et pourtant, s’il n’a pas ses talents d’écrivain, c’est un organisateur hors de pair et un orateur polyglotte. #Itinéraire_-_Une_vie,_une_pensée n°9/10 : « #Ricardo_Flores_Magón »

    / #Enrique_Flores_Magón, Ricardo Flores Magón, #Librado_Rivera, #Mexique, Révolution mexicaine (1910), Regeneración , #@narlivres, Itinéraire - Une vie, une pensée

    #Itinéraire_-_Une_vie,une_pensée_n°9/10:« _Ricardo_Flores_Magón » #Révolution_mexicaine_1910_ #Regeneración_
    https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/itineraire_magon2.pdf

  • « Je suis choquée et inquiète pour les personnes de la librairie » Violette & Co
    https://actualitte.com/article/125565/reportages/je-suis-choquee-et-inquiete-pour-les-personnes-de-la-librairie-violette-

    La librairie engagée Violette and Co, installée dans le 11ᵉ arrondissement de Paris, a récemment dénoncé une campagne d’intimidation et de dégradations liée à la présence en vitrine d’ouvrages sur la Palestine. Dès le 6 août, un groupe de cinq personnes serait venu les « intimider », puis, dans la nuit du 7 au 8 août, la vitrine a été taguée à la peinture à l’acide... ActuaLitté s’est rendu sur place pour constater les dégradations, et recueillir les témoignages de l’équipe et des fidèles du lieu.
    Première constatation : habitués et curieux répondent présents. Le café attenant affiche complet, tandis que les rayons de la librairie ne désemplissent pas.
    From the River to the Sea

    Florence, une habituée, nous confie malgré tout, au sujet des dégradations et autres menaces contre le lieu : « Comme beaucoup ici, je suis choquée et un peu inquiète pour les personnes de la librairie - on ne sait jamais ce qui peut arriver. » Mais de n’être pas vraiment surprise : « On sent bien que les tensions liées à l’extrême droite montent, et que le moindre prétexte est bon pour s’en servir, prétendument pour défendre certaines causes. »

    La nouvelle croisade de l’extrême droite, dans un retournement historique pour le moins saisissant, se présenterait comme la défense des juifs, prenant pour prétexte une vitrine dédiée à la question palestinienne. Au cœur des critiques d’une partie des médias et des internautes, un livre de coloriage intitulé From the River to the Sea, cosigné par Nathi Ngubane et Azad Essa.

    L’ouvrage entend initier les enfants à la cause palestinienne à travers des portraits à colorier accompagnés de courts textes explicatifs. Il s’inscrit dans le contexte de la procédure engagée par l’Afrique du Sud contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ), accusant l’État hébreu de génocide à Gaza.

    Paru initialement dans le pays de Nelson Mandela, il avait déjà suscité de vives polémiques en raison de son titre-slogan, From the River to the Sea, expression historiquement associée à l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), reprise plus tard par le Likoud puis le Hamas.

    Cette formule, qui désigne l’espace compris entre le Jourdain et la Méditerranée, divise : ses opposants l’interprètent comme un appel à la disparition d’Israël et donc à la haine ou au terrorisme. Le président du CRIF, Yonathan Arfi, a par exemple estimé que ce slogan « induit l’éradication de l’État d’Israël ».

    Tandis que ses partisans y voient la revendication d’un État unique garantissant l’égalité des droits à tous ses habitants. Rima Hassan, réfugiée palestinienne et députée européenne LFI, réclame pour sa part la création d’un « État binational démocratique et laïc », estimant qu’il n’y aura « pas de solution à deux États ».
    Une vitrine engagée et assumée

    La librairie nous explique : « Le livre est en dépôt chez nous depuis un an. On l’a mis en vitrine dans le cadre d’un ensemble engagé et assumé, consacré à la Palestine, mais aussi à la montée de l’extrême droite et à l’antiracisme. L’interprétation qui en a été faite, accusant d’un appel à l’antisémitisme, ne correspond en rien à notre intention. Ceux qui parcoureront l’ouvrage découvriront qu’il n’appelle pas à la disparition de l’Etat d’Israël, ni à la haine ou à la violence. »

    Florence, qui n’a pas lu – logiquement – ce livre de coloriage destiné aux enfants, a trouvé la vitrine « extrêmement bien conçue ». Elle « trouve positif que ce type d’ouvrage existe, pour permettre à de très jeunes enfants d’accéder à une information différente de celle que présentent certains médias ». Au sujet du titre, elle assure : « Il ne m’a pas choqué, car il renvoie à quelque chose de fort pour la Palestine. Pour moi, il ne signifie pas, comme certains l’affirment, l’exclusion d’Israël : ce n’est pas l’origine de l’expression. »

    Et d’ajouter : « La plupart des personnes qui s’autorisent ce type de réaction, à mon sens, ne connaissent pas l’histoire, qui remonte à plus d’un siècle. Cela me semble davantage relever d’une réaction épidermique et d’un prétexte qu’autre chose. »

  • Margarete Streisand | Stolpersteine in Berlin
    https://www.stolpersteine-berlin.de/de/eislebener-str/4/margarete-streisand

    Verlegeort: Eislebener Str. 4
    Bezirk/Ortsteil: Charlottenburg
    Verlegedatum: 23. April 2013
    Geboren: 05. August 1882 in Grätz / Grodzisk Wielkopolski
    Deportation: am 29. Oktober 1941 nach Łódź / Litzmannstadt
    Später deportiert am 06. Mai 1942 nach Chełmno / Kulmhof
    Ermordet 06. Mai 1942 in Chełmno / Kulmhof

    Margarete Streisand wurde am 5. August 1882 in Grätz (Grodzisk) im Raum Posen (Poznan) geboren. Der Vater war der Druckereibesitzer Louis Streisand, die Mutter hieß Clara. Margarete hatte drei Geschwister: Hugo, Willi (gestorben 1919 an Lungentuberkulose) und Bianka (geboren am 7. September 1881 in Grätz, nach Theresienstadt deportiert). Als sie am 17. Mai 1939 bei der Volkszählung in Berlin registriert wurde, war sie unverheiratet und von Beruf Buchhändlerin.

    „Mein Großvater Hugo Streisand“, so berichtete seine Enkelin Renate, “gründete 1901 eine erfolgreiche wissenschaftliche Buchhandlung, später wurde sie ein Antiquariat. Er wohnte zuerst in einer kleinen Wohnung in der Eislebener Straße 6 und zog dann 1905 in die Eislebener Straße 4, dorthin zogen auch seine Mutter und seine Schwester Margarete.“ Die Wohnung lag im 2. Stock links, ein Zimmer war untervermietet an Elisabeth Behrend (geboren am 14. Februar 1863 in Kolberg, ermordet am 13. September 1942 in Theresienstadt), die Buchhandlung befand sich in der Nähe an der Augsburger Straße 38.

    Margarete muss ihren Neffen Joachim Streisand (1920-1980), den Vater von Renate Streisand, wie sie sich weiter erinnerte, „geliebt haben. Das zeigen Urlaubsansichtskarten aus den 1920er Jahren.“ Margarete hat demnach Reisen in Europa gemacht, die eine gewisse finanzielle Kraft voraussetzten.

    Die Streisands wären „eine normale bürgerliche Familie gewesen“, schätzt Renate, wenn es die Judenverfolgung nicht gegeben hätte. „Ich erinnere mich an meine Kindheit in der Eislebener Straße 4, wenn meine Großmutter Erna-Maria Streisand mir vor bestimmten familiären Anlässen sagte, es sei nicht nötig, den Tisch im Wohnzimmer ganz auszuziehen, es kämen nicht so viele Verwandte. … Die Familie Streisand war klein geworden, Ermordung und Exil hatten nur noch eine kleine Gruppe der Streisands in Deutschland leben lassen.“

    Der Buchhändler Hugo Streisand lebte in „privilegierter Mischehe“, wie es bei den Nationalsozialisten hieß, er war verheiratet mit Erna-Maria geb. Dunst. Seine Schwester Bianka, verheiratete und geschiedene Hassel, wurde am 9. Februar 1944 aus der Joachimsthaler Straße 24 mit der Nummer 97 nach Theresienstadt deportiert. Sie überlebte die Grauen des Ghettos, starb aber am 6. Juli 1945 an Herzschwäche, was sicherlich eine Folge der Haft war.

    Ergänzung 2022:
    Margaretes Bruder Hugo Streisand überlebte den Krieg und betrieb wieder seinen Buchhandel. Er starb 1955 und seine Witwe Erna führte das Antiquariat weiter.

    Eine Großnichte Ernas, Dr. Irina Metzler, schreibt uns:

    “Ich selber habe Tante Erna noch kennengelernt, als ich ein kleines Mädchen war und Erna ihr Antiquariat in einer für mich damals fürchterlich dunklen, staubigen und mit Büchern regelrecht zugestopften Wohnung hatte. Nach Ernas Tod Mitte der 80er-Jahre hatte meine Mutter den damals noch durch die Mauer getrennten Erben von Streisand die Buchexporthandlung abgekauft. Als “Buchexport Hugo Streisand Nachfolge Ursula Zilli” konnte die Firma 2001 noch das 100. Firmenjubiläum feiern, bevor sie von Berlin in die Nähe von Nürnberg umgezogen ist.”

    https://www.stolpersteine-berlin.de/sites/default/files/stolpersteine-media/dateien/dokumente-streisand.pdf

    Stolperstein Eislebener Straße 4 - Berlin.de
    https://www.berlin.de/ba-charlottenburg-wilmersdorf/ueber-den-bezirk/geschichte/stolpersteine/artikel.179820.php
    https://www.berlin.de/imgscaler/r4z4rDVUY5O_3HGAdUuSVO9JVVCo0mztkdqHl9FAspE/r3zu4/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya
    Hauseingang Eislebener Str. 4, Bild: Stolpersteine-Initiative CW, Bukschat&Flegel

    Der Stolperstein für Elisabeth Behrend wurde am 24.7.2012 auf Wunsch ihrer Nachkommen Christiane von Alten und Jens-Peter Behrend (Berlin) verlegt.

    Der Stolperstein für Margarete Streisand wurde am 23.4.2013 auf Initiative von Renate Iwainsky-Streisand (Berlin) verlegt.

    https://www.berlin.de/imgscaler/kQzqxPXEQ7HHrF6ztfhia6TQhE0Gw475DjX-TAZDSag/r4zu3/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya Stolperstein Elisabeth Behrend Bild: Stolpersteine-Initiative CW, Bukschat&Flegel

    HIER WOHNTE
    ELISABETH BEHREND
    JG. 1863
    DEPORTIERT 28.8.1942
    THERESIENSTADT
    ERMORDET 13.9.1943

    Elisabeth Behrend wurde am 14. Februar 1863 in Kolberg in Pommern geboren. Sie war Tochter des Arztes Moses Behrend und Ulrike geb. Gronau und hatte vier, möglicherweise fünf Geschwister. Ihr Vater Moses (Moritz) Behrend war Begründer des Behrendschen Solebads in Kolberg, das maßgeblich dazu beitrug, aus Kolberg einen Kurort zu machen. Über drei Generationen hinweg sollten die Behrends in Kolberg medizinische Heilbäder betreiben. Auch als ihr Bruder Felix als Medizinalrat die Aufsicht und Direktion über das Heilbad übernommen hatte, lebte die unverheiratete Elisabeth bei der Familie. Erst später, womöglich im Zuge der Deportationen, ging sie nach Berlin.
    Im Jahr 1938 , unmittelbar nach den Pogromen der sogenannten Reichskristallnacht, versuchte sie vergeblich, sich vor der Verfolgung zu retten, indem sie der Polizei folgende Mitteilung machte: „Ich versichere an Eides statt…, dass mein Großvater nach Angaben meiner Eltern als Wachtmeister eines Husarenregiments an den Freiheitskriegen 1813/14 teilnahm, Kriegsauszeichnungen erhielt und als Posthalter in Neustettin gelebt hat. Ich bin seine einzige heute noch lebende Enkelin und die Schwester des Geheimen Medizinalrats Dr. Felix Behrend. Kolberg, den 12. November 1938, Elisabeth Behrend“

    Deportiert wurde Elisabeth Behrend, die in der Eislebener Straße 4 im 2. Stock links als Untermieterin der Familie Streisand wohnte, am 28. August 1942 nach Theresienstadt, wo der fast 80-jährigen ein geruhsamer Lebensabend versprochen worden war. Sie wurde in ein verplombtes Abteil gesetzt, um sie herum 100 Jüdinnen und Juden, von denen fast alle älter als 70 waren. Die letzte Strecke bis zur Einfahrt des Ghettos mussten sie zu Fuß gehen. Ihnen war erlaubt, wenig Gepäck mitzunehmen. Diesen Transport überlebten nur drei. In Theresienstadt wurde fälschlich registriert, ihr „letzter Wohnort“ sei das Ostseebad Kolberg gewesen.

    Todestag von Elisabeth Behrend war der 13. September 1942. Auf dem Totenschein gaben die Ärzte als Todesursache „Darmkatarrh“ an, was eine Umschreibung für die Folgen der katastrophalen Ernährungs-, Gesundheits- und Hygieneumstände im Ghetto Theresienstadt war.
    http://www.holocaust.cz/de/opferdatenbank/opfer/5427-elisabeth-behrend

    Text: Jens-Peter Behrend mit Hilfe von Aufzeichnungen und Dokumenten von Christiane von Alten sowie des Archivs Theresienstadt, ergänzt von Helmut Lölhöffel

    https://www.berlin.de/imgscaler/srpG2YvfemsdvpGz9sUoc6XSXXTw-RlSZVfs6cAh1_w/r4zu3/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya Stolperstein Margarete Streisand Bild: Stolpersteine-Initiative CW, Bukschat&Flegel

    HIER WOHNTE
    MARGARETE
    STREISAND
    JG. 1882
    DEPORTIERT 29.10.1941
    ERMORDET IN
    LODZ / LITZMANNSTADT

    Margarete Streisand wurde am 5. August 1882 in Grätz (Grodzisk) im Raum Posen (Poznan) geboren. Der Vater war der Druckereibesitzer Louis Streisand, die Mutter hieß Clara. Margarete hatte drei Geschwister: Hugo, Willi (gestorben 1919 an Lungentuberkulose) und Bianka (geboren am 7. September 1881 in Grätz, nach Theresienstadt deportiert). Als sie am 17. Mai 1939 bei der Volkszählung in Berlin registriert wurde, war sie unverheiratet und von Beruf Buchhändlerin.

    „Mein Großvater Hugo Streisand“, so berichtete seine Enkelin Renate, “gründete 1901 eine erfolgreiche wissenschaftliche Buchhandlung, später wurde sie ein Antiquariat. Er wohnte zuerst in einer kleinen Wohnung in der Eislebener Straße 6 und zog dann 1905 in die Eislebener Straße 4, dorthin zogen auch seine Mutter und seine Schwester Margarete.“ Die Wohnung lag im 2. Stock links, ein Zimmer war untervermietet an Elisabeth Behrend (geboren am 14. Februar 1863 in Kolberg, ermordet am 13. September 1942 in Theresienstadt), die Buchhandlung befand sich in der Nähe an der Augsburger Straße 38.

    Margarete muss ihren Neffen Joachim Streisand (1920-1980), den Vater von Renate Streisand, wie sie sich weiter erinnerte, „geliebt haben. Das zeigen Urlaubsansichtskarten aus den 1920er Jahren.“ Margarete hat demnach Reisen in Europa gemacht, die eine gewisse finanzielle Kraft voraussetzten.

    Die Streisands wären „eine normale bürgerliche Familie gewesen“, schätzt Renate, wenn es die Judenverfolgung nicht gegeben hätte. „Ich erinnere mich an meine Kindheit in der Eislebener Straße 4, wenn meine Großmutter Erna-Maria Streisand mir vor bestimmten familiären Anlässen sagte, es sei nicht nötig, den Tisch im Wohnzimmer ganz auszuziehen, es kämen nicht so viele Verwandte. … Die Familie Streisand war klein geworden, Ermordung und Exil hatten nur noch eine kleine Gruppe der Streisands in Deutschland leben lassen.“

    Der Buchhändler Hugo Streisand lebte in „privilegierter Mischehe“, wie es bei den Nationalsozialisten hieß, er war verheiratet mit Erna-Maria geb. Dunst. Seine Schwester Bianka, verheiratete und geschiedene Hassel, wurde am 9. Februar 1944 aus der Joachimsthaler Straße 24 mit der Nummer 97 nach Theresienstadt deportiert. Sie überlebte die Grauen des Ghettos, starb aber am 6. Juli 1945 an Herzschwäche, was sicherlich eine Folge der Haft war.

    Text: Stolpersteine-Initiative Charlottenburg-Wilmersdorf auf Grund Aufzeichnungen von Renate Iwainsky-Streisand (Berlin), Großnichte von Margarete Streisand.

    https://www.berlin.de/imgscaler/hYa_zE_b-Obb0UODQee5Kj5AvRMYD8kV91MJQRgyx34/r3zu4/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya Hugo und Erna Streisand Bild: Privat

    Ergänzung 2022: Margaretes Bruder Hugo Streisand überlebte den Krieg und betrieb wieder seinen Buchhandel. Er starb 1955 und seine Witwe Erna führte das Antiquariat weiter.

    Eine Großnichte Ernas, Dr. Irina Metzler, schreibt uns:

    “Ich selber habe Tante Erna noch kennengelernt, als ich ein kleines Mädchen war und Erna ihr Antiquariat in einer für mich damals fürchterlich dunklen, staubigen und mit Büchern regelrecht zugestopften Wohnung hatte. Nach Ernas Tod Mitte der 80er-Jahre hatte meine Mutter den damals noch durch die Mauer getrennten Erben von Streisand die Buchexporthandlung abgekauft. Als “Buchexport Hugo Streisand Nachfolge Ursula Zilli” konnte die Firma 2001 noch das 100. Firmenjubiläum feiern, bevor sie von Berlin in die Nähe von Nürnberg umgezogen ist.”

    Dokumente Maegarete Streisand https://www.berlin.de/ba-charlottenburg-wilmersdorf/ueber-den-bezirk/geschichte/stolpersteine/assets/dokumente-streisand.pdf?ts=1646829302 PDF-Dokument (1.8 MB)

    Adresse
    Stolpersteine
    Eislebener Str. 4
    10789 Berlin

    Streisand Hugo Buchhandlung und Antiquariat Nachfolgerin Ursula Zilli im KÖNIGSTR. 61A, Berlin, Berlin 14109, Berlin: Kundenrezensionen, Öffnungszeiten, Wegbeschreibungen, Fotos usw.
    https://berlin.city-advisor.de/streisand-hugo-buchhandlung-und-antiquariat-nachfolgerin-ursula-

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    Über Streisand Hugo Buchhandlung und Antiquariat Nachfolgerin Ursula Zilli im Berlin

    Unser Unternehmen Streisand Hugo Buchhandlung und Antiquariat Nachfolgerin Ursula Zilli befindet sich in der Stadt Berlin, Region Berlin. Die Rechtsanschrift des Unternehmens lautet KÖNIGSTR. 61A. Der Umfang des Unternehmens Einzelhandel, Grosshandel. Bei anderen Fragen rufen Sie 030/8053679 an.

    Joachim Streisand
    https://de.wikipedia.org/wiki/Joachim_Streisand

    Joachim Streisand (* 18. Oktober 1920 in Berlin; † 6. Januar 1980 in Ost-Berlin) war ein deutscher Historiker.

    Sein Vater Hugo Streisand betrieb im Westen Berlins eine Buchhandlung, die von bekannten Persönlichkeiten aus der Kunst, den Naturwissenschaften und der Schriftstellerei aufgesucht wurde. Sein Vater stand vor 1945 der Sozialdemokratie nahe und kannte u. a. Karl Kautsky, Eduard Fuchs und Dawid Borissowitsch Rjasanow (Dawid Borissowitsch Goldendach). Im Laufe der Jahre wandelte er seine Buchhandlung in ein wissenschaftliches Antiquariat um. Sein Vater verfasste auch Aufsätze wie über Ludwig Gall und die Gestalten der Geschichte der utopischen sozialen Konzeptionen. In diesem Umfeld wurde Joachim Streisand früh durch die Ansichten seines Vaters beeinflusst. Seine Schwester ist die Kirchenhistorikerin Rosemarie Müller-Streisand.[1]

    1938 erlangte Streisand das Abitur. Danach nahm er hauptsächlich ein Studium der Philosophie und Germanistik auf: von 1938 bis 1939 in Rostock,[2] danach von 1939 bis 1942 in Berlin. Daneben hörte er auch noch Vorlesungen in den Fächern Romanistik, Anglistik, Psychologie, Kunstgeschichte und Geschichte. Weiterhin entwickelte er ein Interesse für Mathematik, Physik und absolvierte zusätzliche Prüfungen in der lateinischen und griechischen Sprache. Auch moderne Sprachen interessierten ihn, so dass er die englische und französische Sprache fließend sprechen konnte. Zudem eignete er sich Kenntnisse der schwedischen, italienischen und spanischen Sprache an. Später lernte er die russische Schriftsprache, um russische Texte selbständig lesen zu können.

    Gemäß der Nürnberger Rassegesetze wurde er 1942 von der Universität vertrieben. Bei der Opta Radio AG arbeitete er von 1942 bis 1944 anfangs in Berlin, dann in Goldberg in Schlesien in einem Labor. 1944 wurde er in ein Zwangsarbeitslager nach Jena deportiert. Von dort flüchtete er im März 1945 nach Berlin und hielt sich dort versteckt bis Mai 1945 auf.

    Von Juni bis Dezember 1945 arbeitete er als stellvertretender Leiter des Schulamtes. Dann wechselte er an die Volkshochschule Berlin-Charlottenburg und hielt dort von 1946 bis 1948 Einführungsvorlesungen in den Fächern Philosophie, Soziologie und Probleme der Gesellschaftswissenschaften. Daneben leitete Streisand Arbeitskreise und -gemeinschaften über soziale und politische Bewegungen, die Französische Revolution, zu marxistischen Persönlichkeiten und zum dialektischen Materialismus. Seine eigenen Studien setzte er an der Universität Berlin fort und hörte Vorlesungen bei Alfred Meusel und Jürgen Kuczynski. Dabei wurde er Zeuge, wie es in Meusels Seminaren 1947 und 1948 zu großen politischen Disputen kam. Am Institut für Zeitgeschichte nahm er von September 1947 bis Juni 1948 eine Nebenbeschäftigung auf.

    1946 wurde Streisand Mitglied im Kulturbund, im April 1948 trat er der SED bei, was zur Entlassung aus der Volkshochschule führte. 1950 konnte er eine Stellung als Lehrbeauftragter für Musikgeschichte am Staatlichen Konservatorium antreten, danach als Lehrer beim DEFA-Studio für Gegenwartskunde. 1951 konnte er an der Humboldt-Universität als wissenschaftlicher Hilfsassistent Vorlesungen der neueren deutschen Geschichte wie die deutschen Einigungsbestrebungen im 19. Jahrhundert und später zur deutschen Geschichte von 1789 bis 1871 abhalten.

    1952 schrieb er seine Dissertation zum Thema Kritisches zur deutschen Soziologie, die sich hauptsächlich mit dem Soziologen Karl Mannheim beschäftigte. Die Gutachter dieser Arbeit waren Alfred Meusel und Heinz Kamnitzer. Die Arbeit und die mündlichen Prüfung konnte er mit der Bewertung summa cum laude abschließen. Da sein Betreuer Meusel zum Direktor des Museums für Deutsche Geschichte ernannt wurde, folgte Streisand ihm im Januar 1952 und übernahm als stellvertretender Leiter dort den historischen Zeitabschnitt von 1848 bis 1895. 1953 ernannte man ihn zum Abteilungsleiter. Weiterhin übernahm er Aufgaben im wissenschaftlichen Beirat der Wartburg. 1955 verließ er das Museum.

    Von 1953 bis 1957 wirkte er in Zusammenarbeit mit Fritz Klein an der Redaktion der Zeitschrift für Geschichtswissenschaft (ZfG) mit, da er zu den Begründern dieser Fachzeitschrift gehörte. Dabei betreute er die Veröffentlichungen zur deutschen und westeuropäischen Geschichte bis zum Ende des 19. Jahrhunderts.

    Von 1956 bis 1963 betätigte er sich als wissenschaftlicher Referent an der Akademie der Wissenschaften. Im Dezember 1962 hatte er seine Habilitationsschrift mit dem Thema Die deutsche Geschichtsschreibung in den politischen und ideologischen Auseinandersetzungen des 18. Jahrhunderts – Von der Frühaufklärung bis zur deutschen Klassik an der Martin-Luther-Universität Halle abgegeben. 1963 erhielt er an der Humboldt-Universität Berlin einen Lehrauftrag und wurde zum Direktor des Instituts für deutsche Geschichte ernannt. Von 1969 an lehrte er als ordentlicher Professor und übernahm als Direktor die neue Sektion Geschichte bis 1974. 1971/72 war er dort an der politisch motivierten Relegation und Maßregelung von 13 Studenten beteiligt.

    Von 1968 an wirkte er als Präsident der Historiker-Gesellschaft der DDR, die vorher von Ernst Engelberg und Gerhard Schilfert geleitet wurde. Diese Stellung übernahm er für die nächsten zwölf Jahre bis zu seinem Ableben. Seit 1975 war Streisand Ordentliches Mitglied der Akademie der Pädagogischen Wissenschaften der DDR.

    Seit 1945 war er mit der Schauspielerin Hildegard Lücke verheiratet, die später bei der Regie am Deutschen Theater zu Berlin mitarbeitete. Nach der Scheidung 1961 lebte er in einer Lebensgemeinschaft. 1969 wurde ihm der Nationalpreis der DDR verliehen.

    Von 1958 bis 1980 war er als Inoffizieller Mitarbeiter mit Decknamen „Montag“ für das Ministerium für Staatssicherheit tätig.[3]

    Die Schriftstellerin Lea Streisand ist Streisands Enkelin.

    Um die Einheit Deutschlands – Die Revolution 1848/49. Berlin 1953.
    Der Kampf von Marx und Engels für die demokratische Einigung Deutschlands. In: Zeitschrift für Geschichtswissenschaft (ZfG). Heft 2, 1953, S. 242.
    Bismarck und die deutsche Einigungsbewegung des 19. Jahrhunderts in der westdeutschen Geschichtsschreibung. In: ZfG. Heft 3, 1954, S. 349.
    Die Wartburg in der deutschen Geschichte. Berlin 1954.
    mit Fritz Klein (Hrsg.): Beiträge zu einem neuen Geschichtsbild. Zum 60. Geburtstag von Alfred Meusel. Berlin 1956.
    Deutschland von 1789 bis 1815. Von der Französischen Revolution bis zu den Befreiungskriegen und dem Wiener Kongreß. Berlin 1959; Neudruck 1981.
    Deutschland und Frankreich am Ende des 19. Jahrhunderts. In: Historische Forschungen in der DDR. Analysen und Berichte (= ZfG. Sonderheft), Berlin 1960.
    Deutschland 1789–1815 – Lehrbuch der deutschen Geschichte (Beiträge). Berlin 1961.
    als Hrsg.: Studien über die deutsche Geschichtswissenschaft. Band I: Die deutsche Geschichtswissenschaft vom Beginn des 19. Jahrhunderts bis zur Reichseinigung von oben. Berlin 1963; 2. Auflage, Berlin 1969.
    Geschichtliches Denken von der deutschen Frühaufklärung bis zur Klassik. Berlin 1964.
    Deutsche Geschichte in 3 Bänden. Band I: Von den Anfängen bis 1789. Band II: Von 1789 bis 1917 (Leiter des Autorenkollektivs), Berlin 1965.
    als Hrsg.: Die bürgerliche deutsche Geschichtsschreibung von der Reichseinigung von oben bis zur Befreiung Deutschlands vom Faschismus. Berlin 1965.
    Geschichtliches Denken – Von Der Deutschen Frühaufklärung bis zur Klassik. Berlin 1967.
    Lehrbuch der deutschen Geschichte (Beiträge). Band 6: Deutschland 1815–1849. Von der Gründung des Deutschen Bundes bis zur bürgerlich-demokratischen Revolution. Berlin 1967.
    Deutsche Geschichte in einem Band. Ein Überblick. Berlin 1968.
    als Hrsg.: Deutsche Geschichte. Band 3: Von 1917 bis zur Gegenwart. Berlin 1968.
    Deutsche Geschichte von den Anfängen bis zur Gegenwart – Eine marxistische Einführung. Köln 1970, 4. Aufl. 1983, mit Beitrag von Georg Fülberth.
    Geschichtsforschung und Geschichtsschreibung auf dem Wege zur sozialistischen Menschengemeinschaft. In: Helmut Meier, Walter Schmidt (Hrsg.): Geschichtsbewusstsein und sozialistische Gesellschaft. Berlin 1970.
    Kritische Studien zum Erbe der deutschen Klassik. Frankfurt am Main 1971.
    mit Jürgen Kuczynski: Parteilichkeit und Objektivität in der Geschichte. Berlin (West) 1972 (= Kategorien und Perspektiven der Geschichte. Reprint aus: Zeitschrift für Geschichtswissenschaft, Berlin 1956, 1957, 1958).
    Alfred Meusels Weg vom bürgerlich-demokratischen Soziologen zum marxistisch-leninistischen Historiker. In: ZfG. Heft 9, 1975, S. 1029.
    Über Begriffsbildung in den Geschichtswissenschaften. In: Wolfgang Küttler (Hrsg.): Probleme der geschichtswissenschaftlichen Erkenntnis. Berlin 1977.
    mit Jürgen John u. a.: Historischer Führer, Stätten und Denkmale der Geschichte in den Bezirken Erfurt, Gera, Suhl. Leipzig 1978.
    Frankreich im Geschichtsbild des deutschen Faschismus. In: Revue d’Allemagne. Heft 4, 1978, S. 528.
    Herders Geschichtsdenken. In: Walter Dietze (Hrsg.): Herder-Kolloquium 1978. Weimar 1980.
    Die historische Stellung von Johann Gottfried Herders Theorie menschlicher Kultur. In: ZfG. Heft 5, 1980, S. 415.
    Kultur in der DDR. Studien zu ihren historischen Grundlagen und ihren Entwicklungsetappen. Berlin 1981.
    mit Horst Bartel, Lothar Berthold, Helmut Bock, Ernst Diehl, Dieter Fricke, Heinz Heitzer, Joachim Hermann, Dieter Lange und Walter Schmidt: Deutsche Geschichte in zwölf Bänden. Berlin 1982.

    Ilko-Sascha Kowalczuk: Streisand, Joachim. In: Wer war wer in der DDR? 5. Ausgabe. Band 2. Ch. Links, Berlin 2010, ISBN 978-3-86153-561-4.
    Deutsche Biographische Enzyklopädie, Band 9, Saur, München 1998.
    Hans Schleier: Joachim Streisand 1920 bis 1980. In: Heinz Heitzer, Karl-Heinz Noack, Walter Schmidt: Wegbereiter der DDR-Geschichtswissenschaft – Biographien. Dietz, Berlin 1989, ISBN 3-320-01055-7.
    Lea Streisand: Im Sommer wieder Fahrrad, Ullstein Verlag, Berlin 2016, ISBN 978-3-5500-8130-9.

    Literatur von und über Joachim Streisand im Katalog der Deutschen Nationalbibliothek

    ↑ Hanfried Müller: Erfahrungen – Erinnerungen – Gedanken. Zur Geschichte von Kirche und Gesellschaft in Deutschland seit 1945. GNN Verlag, Schkeuditz 2010, ISBN 978-3-89819-314-6, S. 40.
    ↑ Immatrikulation von Joachim Streisand im Rostocker Matrikelportal.
    ↑ Vgl. Kowalczuk: Streisand, Joachim.

    Personendaten
    NAME Streisand, Joachim
    KURZBESCHREIBUNG deutscher Historiker
    GEBURTSDATUM 18. Oktober 1920
    GEBURTSORT Berlin
    STERBEDATUM 6. Januar 1980
    STERBEORT Ost-Berlin

    Scherls Straßenführer durch Berlin Ausgabe 1930 (Public Domain) - Digitale Landesbibliothek Berlin
    https://digital.zlb.de/viewer/image/34296031_1930/46-47

    Das Haus Augsburger Straße 38 war das dritte Haus auf der Südseite ab Rankestraße Richtung Westen. Die Lage entspricht der heutigen Hausnummer 39 und ist Teil des Dorint-Hotelkomplex an der Joachimstaler Straße (seit 22.07.2014 Joachimsthaler Straße) und Ausgburger Straße. Im Jahr 1930 galt die Hufeisen-Zählweise, bei Neugestaltung des Viertels wurde der von der Südtangente (Lietzenburger Straße) abgetrennte östliche Teil der Augsburger Straße zwischen Eisenacher und Passauer Straße in Fuggestraße umbenannt und die Hausnummern der westlich verbleibenden Augsburger Straße in sich gegenüberliegende gerade/ungerade Paarungen ab Passauer Straße bis Joachimsthaler Straße, rechts gerade, links ungerade, umsortiert.

    Der Kaupert zeigt die heutige, etwas verwirrende Nummerierung:

    Ehemaliger Bezirk
    Nr. 1-13 ungerade Wilmersdorf
    Nr. 2-18 gerade Schöneberg
    Nr. 19-43 ungerade, 20-44 gerade Charlottenburg

    #Berlin #Charlottenburg-Wilmersdorf #Charlottenburg #Eislebener_Straße #Shoa #librairie #histoire
    #Renate

  • Édition : les trois-quarts du secteur entre les mains de cinq grand groupes - Basta !
    https://basta.media/edition-trois-quarts-du-secteur-entre-les-mains-de-cinq-grands-groupes-Boll

    Comme pour les médias, l’édition souffre d’un grave problème de concentration : cinq groupes détiennent trois quarts du secteur. On y retrouve aussi #Bolloré parmi les puissants propriétaires. Mais les éditeurs indépendants ne baissent pas les bras.

    https://blogs.mediapart.fr/desarmer-bollore/blog/170525/ne-laissons-pas-bollore-et-ses-idees-dextreme-droite-envahir-les-man
    Déborder Bolloré, ouvrage collectif, coédition collective, 2025
    https://dev.deborderbollore.fr/le-recueil
    #éditions #librairie #imprimeureuses

  • [Clisson] Rencontre avec Fabien Lebrun autour du livre Barbarie numérique
    https://nantes.indymedia.org/events/146207/rencontre-avec-fabien-lebrun-autour-du-livre-_barbarie-numerique_

    Rencontre avec Fabien Lebrun autour du livre Barbarie #Numérique. Une autre histoire du monde connecté”, aux éditions l’échappée. Une enquête implacable sur la tragédie que vit le #Congo, cœur des industries numériques et objet de toutes les convoitises. À partir des années 1990, l’explosion de la production de biens électroniques, caractéristique…

    #Dématerialiser #Guerre #Rencontres #librairie_les_villes_invisibles_clisson

  • Trump limoge Carla Hayden, directrice de la Bibliothèque du Congrès
    https://actualitte.com/article/123695/international/trump-limoge-carla-hayden-directrice-de-la-bibliotheque-du-congres

    Aux États-Unis, Donald Trump poursuit son entreprise de purge au sein de l’administration et des institutions publiques. Sa dernière victime en date n’est autre que Carla Hayden, nommée directrice de la Bibliothèque du Congrès par Barack Obama, en 2016. Première femme, mais aussi première personnalité afro-américaine à assumer cette fonction, Hayden a récemment été visée pour ses positions libérales en matière d’accès aux ouvrages, à l’encontre du mouvement de censure des livres encouragé par Trump.

    Publié le :

    09/05/2025 à 12:19

    Antoine Oury

    Ce jeudi 8 mai, la directrice de la Bibliothèque du Congrès a reçu un simple message électronique lui indiquant que « ses responsabilités [...] prenaient fin immédiatement », rapporte Politico, qui a consulté l’email en question. La Maison-Blanche a confirmé la décision et le départ de Hayden, mais sans apporter de commentaires supplémentaires.

    Nommée en 2016 par Barack Obama, Carla Hayden, première personnalité afro-américaine à diriger la prestigieuse institution, devait effectuer un mandat de dix ans, qui devait donc se conclure dans quelques mois seulement — il était toutefois renouvelable.

    Au moment de sa nomination, Hayden, forte de son expérience à Baltimore, avait notamment pour mission de moderniser la « Library of Congress », la bibliothèque nationale des États-Unis, dont les principales fonctions restent la promotion de la littérature et la lutte contre l’analphabétisme. Carla Hayden avait ainsi eu à cœur de rendre l’institution plus accessible et plus présente, par des actions délocalisées, auprès des populations.

    La Bibliothèque du Congrès joue aussi un rôle culturel important en faisant régulièrement entrer des œuvres audiovisuelles et musicales dans ses répertoires dédiés. Elle reconnait ainsi leur influence durable sur la culture américaine, apportant une légitimité institutionnelle importante à certains genres négligés.
    « Il est temps de lui montrer la sortie »

    Quelques jours seulement avant le limogeage de Carla Hayden, le Daily Mail avait relayé le réquisitoire du président de l’American Accountability Foundation, Tom Jones, contre la directrice de la Bibliothèque du Congrès. « Le président et son équipe ont réalisé un incroyable travail, nécessaire depuis longtemps, de purge du gouvernement fédéral des libéraux de l’État profond », soulignait celui-ci. « À présent, il est temps de montrer la sortie à Carla Hayden et Shira Perlmutter [directrice du Bureau du Copyright, NdR] et de faire passer l’Amérique d’abord en matière de régulation de la propriété intellectuelle. »

    L’American Accountability Foundation se présente comme une sorte de groupe de réflexion conservateur dont le principal objet, à sa création en 2020, était la critique des personnalités nommées par Joe Biden dans l’administration américaine. La référence à l’« État profond », dans la bouche de son président, incarne cette théorie complotiste selon laquelle l’administration serait manipulée par des forces hostiles au peuple américain.

    #Bibliothèque #Library_of_Congress #Trump #Limogeage

  • Editions Allia - Livre - L’Art d’en sortir
    https://www.editions-allia.com/fr/livre/1069/l-art-d-en-sortir

    Tour à tour cinéaste, metteur en scène, chef de troupe et tête chercheuse : ces entretiens nous embarquent à la poursuite de l’insaisissable Marc’O !

    Marc-Gilbert Guillaumin, dit Marc’O avait 6 ans de moins en 2019 soit 92 ans.
    https://seenthis.net/messages/790992
    #histoire #Allia

  • #Data_rescue - Wikipedia
    https://en.wikipedia.org/wiki/Data_rescue

    Data rescue is a movement among scientists, researchers and others to preserve primarily government-hosted data sets, often scientific in nature, to ward off their removal from publicly available websites. While the concept of preserving federal data existed before, it gained new impetus with the election in 2016 of U.S. President Donald Trump.

    The concept of harvesting and preserving federal web pages began as early as 2008, at the conclusion of President George W. Bush’s second term, under the name “End of Term Presidential Harvest.”[1]

    Soon after #Trump's_election, #scientists, #librarians and others in the U.S. and Canada—fearing that the administration of Trump (who had denied the validity of the scientific consensus on the existence of climate change[2]) would act to remove scientific data from government websites[3]—began working to preserve those data.

    Quickly, the concept of data rescue became a grassroots movement, with organized “#hackathon” events at cities across the U.S. and elsewhere, often hosted at universities and other institutions of higher education.

    https://www.datarescueproject.org

    https://climatemirror.org

  • [Livres] «Temps d’arrêt» | Yapaka
    https://www.yapaka.be/professionnels/page/temps-darrets

    [Livres] "Temps d’arrêt"

    La collection Temps d’arrêt met à disposition des intervenants des textes de référence sur des sujets relatifs à l’#enfant et à l’#adolescent au sein de la #famille et dans la société. Chaque #publication présente un état de la question, une réflexion alliant un questionnement clinique et des repères théoriques.Le but de la collection est d’aider le professionnel à penser la complexité à l’œuvre plutôt qu’ enseigner comment « faire ».

    Edités 8 fois par an à 8.000 exemplaires, ces #livres sont diffusés gratuitement auprès de chaque institution concernée ainsi que dans les #bibliothèques de la Communauté française. Ces livres ne sont pas disponibles à la demande mais les textes sont téléchargeables et disponibles en versions EPUB pour iPad et liseuse.

    Quelques livres en #librairies quand même
    http://www.fabert.com/editions-fabert-etranger/Collection-Temps-d-Arr%C3%AAt-Lectures.45.html

    @jacotte
    https://www.yapaka.be/livre/livre-prendre-soin-des-lieux-daccueil-de-la-petite-enfance

    #belgique

  • [Clisson] Rencontre avec Ana Pich autour de autour de “Garde à vue : Petit guide pratique pour celles et ceux qui luttent pour leurs droits”
    https://nantes.indymedia.org/events/138643/rencontre-avec-ana-pich-autour-de-autour-de-garde-a-vue-petit-guid

    Rencontre avec Ana Pich autour de son dernier livre Garde à vue : Petit guide pratique pour celles et ceux qui luttent pour leurs droits, aux éditions Massot, mais aussi de son précédent Chroniques de l’injustice ordinaire, chez le même éditeur. Ce guide pratique dessiné s’appuie sur des expériences vécues…

    #GAV #Justice_de_classe #Rencontres #Répression #librairie_les_villes_invisibles_clisson

  • Annonce : sauver les #livres !

    Librarians and archivists, and frankly anyone who can offer space or storage, #LibraryRedAlert needs your help.

    Things are going to be getting very bad very fast.

    We need to coordinate and act quickly.

    If you are in a position to help get books out, or you’re in a position to receive books abroad, DM and we can start coordinating.

    https://chaos.social/@Aphrodite/113927178658032979
    #USA #Etats-Unis #extrême_droite #Trump #Donald_Trump #sauver_les_livres #danger #it_has_begun

  • Notre Bibliothèque Verte
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/librairie-service-compris/notre-bibliotheque-verte

    par Renaud Garcia Ce que l’on désigne du mot d’écologie, forgé au XIXe siècle par Ernst Haeckel, est à la fois notre façon native d’être au monde, un sentiment et une pensée, illustrés depuis Hésiode et Epicure par une infinie chaîne d’auteurs et d’artistes ; et la seule idée neuve apparue en politique depuis plus d’un demi-siècle - en France, grâce à Pierre Fournier et Alexandre Grothendieck parmi tant d’autres. Cette défense indissociable de la nature et de la liberté (…) Librairie/Service Compris

    #Librairie/Service_Compris

  • Frais de port du livre : une “bataille culturelle se joue sous nos yeux”
    https://actualitte.com/article/120489/tribunes/frais-de-port-du-livre-une-bataille-culturelle-se-joue-sous-nos-yeux

    À l’approche des fêtes de fin d’année, Amazon a tenté un coup de poker. S’affranchir des frais de port obligatoires de 3 € sur les expéditions de livres, quand les commandes sont retirées dans des supermarchés ou hypermarchés disposant d’un rayon livres, qu’il considère comme « un commerce de vente au détail de livres ». Une interprétation de la loi qui exaspère ses concurrents : le Syndicat de la librairie française, celui des Distributeurs de Loisirs Culturels et Fnac Darty s’unissent dans une tribune, publiée originellement dans Le Monde et reproduite ci-dessous.

    Publié le :

    22/11/2024 à 10:54

    On entend beaucoup parler de souveraineté économique, alimentaire, sanitaire, écologique. Il est un domaine trop rarement évoqué, et pourtant aujourd’hui dangereusement menacé : celui de la culture, et singulièrement du livre.

    Nous avons la chance de vivre dans un pays qui compte le réseau le plus dense au monde de librairies. C’est la preuve de la pertinence et de l’efficacité de la loi Lang de 1981, qui garantit un prix identique du livre, sur internet comme en librairie, dans une grande métropole comme dans le village le plus reculé. Cette régulation vise à assurer l’égalité des citoyens devant le livre, le maintien d’un réseau très dense de distribution et le soutien au pluralisme dans la création et l’édition. C’est la pérennité de cette loi vertueuse qui est véritablement en cause aujourd’hui.

    En effet, l’équilibre trouvé par la loi sur le prix unique, à maintes reprises copiée chez nos voisins européens, a été malmené à l’orée des années 2000 par l’irruption sur le marché de géants extra- européens du numérique qui utilisaient le livre comme un produit d’appel pour conquérir des parts de marché, et offraient une promesse client terriblement alléchante, mais économiquement dispendieuse, écologiquement désastreuse, et surtout, impossible à dupliquer pour les plus petits acteurs.

    Par deux fois, le législateur a tenté de corriger la distorsion croissante de concurrence entre libraires physiques et vendeurs en ligne, entre petits acteurs et mastodontes, que cette politique de « dumping » générait. D’abord en 2014, avec l’interdiction d’expédition gratuite de livres à domicile. Echec. Amazon s’est empressé, alors que l’encre de la loi n’était pas encore sèche, d’établir ses frais de livraison à 1 centime d’euro…

    Naturellement, la pratique du leader du marché digital a immédiatement et très efficacement vidé la loi de sa substance. Sept ans plus tard, le législateur a tiré les leçons de ce revers, et cette fois décidé d’assortir l’interdiction d’expédition gratuite de livres d’une grille de tarification de frais minimaux correspondant au tarif en vigueur pour la majorité des autres produits, en prévoyant une exemption pour les commandes retirées dans des commerces de vente au détail de livres, avec l’objectif de soutenir ces derniers pour le rôle qu’ils jouent sur nos territoires.

    Amazon a combattu avec virulence cette « loi Darcos », ajustement de la loi Lang qui a, malgré tout, été adoptée à l’unanimité des deux chambres, au terme d’un vaste débat public.

    Sans même attendre le sort de ses propres actions juridiques contre cette loi Darcos qu’elle est bien évidemment en droit de contester, Amazon s’arroge aujourd’hui le pouvoir d’interpréter le droit à son profit et de fouler aux pieds la loi votée par le Parlement souverain.

    Un an après l’entrée en vigueur de la disposition en effet, l’annonce de l’utilisation massive de points de retraits, essentiellement des casiers jaunes, situés dans des galeries commerciales d’hypermarchés et qui permettront aux clients de récupérer gratuitement leurs commandes, accrédite de manière frappante l’idée qu’Amazon se fait d’elle-même : un géant tout-puissant, cinquième entreprise mondiale forte d’une valorisation de 2000 milliards de dollars, qui s’estime au-dessus de la volonté du législateur français, lequel avait pourtant expressément, dans les débats parlementaires, exclu ces fameux casiers du champ des exemptions.

    Nul besoin d’arguties juridiques pour comprendre qu’un vulgaire casier, quand bien même installé dans la galerie marchande d’un hypermarché disposant bien souvent d’un micro-rayon livre, n’est évidemment pas un commerce de vente au détail de livres.

    Nul besoin non plus de décodage pour comprendre ce qu’est en train de faire Amazon : poursuivre sa stratégie de prédation, qui consiste à détricoter toutes les dispositions qui font obstacle à l’extension de son empire ; se comporter en « cow boy » qui piétine allègrement, en toute impunité, le vote des élus, qui avaient clairement exprimé leur volonté de préserver un modèle culturel diversifié et ancré dans les territoires.

    À LIRE - Amazon et les frais de port du livre : l’analyse du Médiateur attendue en janvier

    Ces méthodes ne sont pas simplement le fait d’une entreprise américaine qui aime jouer avec les règles et qui a établi son siège européen au Luxembourg pour ne pas payer d’impôts.

    C’est une authentique bataille culturelle qui se joue sous nos yeux et nous attendons des autorités qu’elles mettent immédiatement fin à ce trouble à l’ordre public culturel.

    C’est un enjeu de souveraineté pour notre pays que de faire respecter une loi qui, par ailleurs, depuis un an, a fait montre de son efficacité. Car, contrairement à ce que prétendent les études opportunément commandées par Amazon, le marché du livre est stable, en volume et en valeur. Mais il est exact que les expéditions de livres ont diminué au profit des visites en librairie, pratique plus vertueuse pour nos territoires, pour le lien social et pour l’écologie. Les équilibres entre canaux de distribution ont singulièrement évolué, en défaveur des acteurs de la vente en ligne et en faveur des librairies physiques et indépendantes. Ce qui était précisément l’objectif de la loi. Mauvais perdant, Amazon ?

    Alexandra Charroin Spangenberg, Présidente du Syndicat de la librairie française

    Pierre Coursières, Président du Syndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels

    Enrique Martinez, Directeur Général de Fnac Darty

    #Edition #Librairie #Amazon

  • Ne laissons pas Bolloré et ses idées prendre le pouvoir sur nos librairies !

    Face à la puissance tentaculaire du groupe Bolloré dans l’édition et le monde du livre, un ensemble de librairies indépendantes s’engage dans « la bataille des imaginaires » pour contrer « cette entreprise de conquête hégémonique ». « Au jour le jour, l’indépendance des librairies se construit dans ses choix : les ouvrages présents et mis en avant. Mais elle s’affirme aussi dans ses refus. Le refus d’être l’outil de propagande des forces réactionnaires. »

    En cette fin d’année, dans nos librairies indépendantes, il sera peut-être moins évident de trouver certains livres. Ils ne seront pas mis en avant, ni sur table ni en vitrine, et peut-être même tout simplement absents. Et cela pour une raison, ils font partie des livres édités par les maisons du groupe Hachette et appartiennent donc maintenant à l’empire de Vincent Bolloré.
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/21/resister-a-loffensive-de-vincent-bollore-une-urgence-democratique/#comment-63157

    #extremedroite #librairie

  • Pour la deuxième fois, la justice italienne invalide la détention des migrants en #Albanie

    Un tribunal italien a infligé lundi un nouveau revers à la politique migratoire de la Première ministre d’extrême droite Giorgia Meloni. Les juges ont invalidé la détention du deuxième groupe de migrants envoyés vendredi en Albanie en demandant à la justice européenne de statuer sur leur rétention. En attendant, les sept exilés seront renvoyés en Italie, et les centres albanais demeurent vides.

    Nouveau camouflet pour la Première ministre italienne d’extrême droite. Lundi 11 novembre, un tribunal de Rome a suspendu la détention des sept migrants envoyés vendredi en Albanie, selon un accord signé fin 2023 entre Rome et Tirana qui prévoit l’externalisation des demandeurs d’asile.

    Les magistrats ne se prononcent pas sur la légalité de cette détention mais décident de saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) pour s’assurer que la législation italienne soit conforme aux textes européens.

    Pour des questions de délai légal, les sept migrants concernés « retourneront en Italie dans les prochaines heures », a indiqué lundi soir à l’AFP une source gouvernementale italienne.

    Au départ, huit personnes, originaires du Bangladesh et d’Égypte, avaient été envoyées en Albanie vendredi après avoir été interceptées en mer par les gardes-côtes italiens. Mais l’un des exilés a été transféré quelques heures plus tard en Italie en raison de sa vulnérabilité - constatée lors d’un examen médical dans le centre albanais.
    Bras de fer

    Depuis plusieurs semaines, les juges italiens et le gouvernement se livrent une bataille sémantique sur la définition de « pays sûrs ».

    Dans une affaire précédente remontant à trois semaines, des juges de la section des affaires migratoires du tribunal de Rome avaient annulé la rétention des 12 premiers migrants conduits en Albanie, invoquant un récent arrêt de la CJUE sur les pays de provenance considérés « sûrs » par les pays d’accueil.

    Le tribunal avait tranché qu’aux termes de cet arrêt, les 12 migrants ne remplissaient pas les critères de rétention en Albanie et qu’ils devaient être renvoyés en Italie.

    Pour contourner l’obstacle, le gouvernement de Giorgia Meloni avait adopté 48 heures plus tard un décret en inscrivant dans la loi 19 pays considérés comme « sûrs » par le gouvernement.

    Ce qui signifie que Rome espérait traiter en procédure accélérée depuis l’Albanie les demandes d’asile de migrants originaires de ces pays, avec à la clé une probable expulsion.

    Face à ce décret, des juges du tribunal de Bologne se sont déjà adressés il y a deux semaines à la CJUE lui demandant de clarifier la situation face aux « divergences évidentes » et aux « conflits d’interprétation » dans le système juridique italien.

    Ils ont également estimé qu’il n’était pas possible de déclarer des pays entiers sûrs lorsqu’il existe des preuves de la persécution de minorités. « On pourrait dire, paradoxalement, que l’Allemagne nazie était un pays extrêmement sûr pour la grande majorité de la population allemande : à l’exception des juifs, des homosexuels, des opposants politiques, des personnes d’origine rom et d’autres groupes minoritaires », ont-ils plaidé.
    « Un nouveau jugement politique »

    Le vice-Premier ministre Matteo Salvini, allié de Giorgia Meloni et chef du parti anti-migrants de la Ligue, a aussitôt réagi à cette décision en dénonçant « un nouveau jugement politique (...) contre les Italiens et leur sécurité ». « Le gouvernement et le parlement ont le droit de réagir pour protéger les citoyens et ils le feront », a-t-il estimé.

    « La justice démonte encore une fois la propagande du gouvernement italien », s’est félicitée de son côté l’ONG de sauvetage en mer Sea-Watch. « Combien de temps encore le gouvernement italien continuera cette farce inhumaine ? »

    Alors que Rome a déjà dépensé des dizaines de millions d’euros pour construire ces centres de rétention en Albanie ayant finalement ouvert en octobre avec des mois de retard, cet énième revers est embarrassant pour Giorgia Meloni.

    La cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia avait présenté ce projet comme un « exemple » pour les autres pays européens. Mais ces centres, initialement prévus pour accueillir des centaines de migrants, sont pour l’instant condamnés à tourner à vide.

    https://www.infomigrants.net/fr/post/61111/pour-la-deuxieme-fois-la-justice-italienne-invalide-la-detention-des-m

    #Albanie #Italie #externalisation #migrations #asile #réfugiés

    voir aussi :
    Sono riprese le operazioni della nave #Libra verso l’Albania
    https://seenthis.net/messages/1080714

    –-

    ajouté à la métaliste sur l’#accord entre #Italie et #Albanie pour la construction de #centres d’accueil (sic) et identification des migrants/#réfugiés sur le territoire albanais...

    https://seenthis.net/messages/1043873

    • 🔴 Il comunicato stampa del Tribunale di Roma sulla sospensiva del procedimento di convalida per i 7 trattenuti nella seconda missione Albania.

      TRIBUNALE ORDINARIO DI ROMA Sezione 18^ Civile Sezione per i diritti della persona e immigrazione

      COMUNICATO STAMPA

      Si comunica che in data odierna si sono svolte le udienze per l’esame delle richieste di convalida dei trattenimenti effettuati dalla Questura di Roma - ai sensi del Protocollo ItaliaAlbania - successivamente all’emanazione del decreto legge n.158/2024.

      I giudici hanno ritenuto necessario disporre rinvio pregiudiziale alla Corte di giustizia dell’Unione europea, formulando quattro quesiti, analogamente a quanto già disposto nei giorni scorsi da due collegi della stessa sezione in sede di sospensiva dei provvedimenti di rigetto di domande di asilo proposte da persone migranti precedentemente trattenute in Albania.

      Il rinvio pregiudiziale è stato scelto come strumento più idoneo per chiarire vari profili di dubbia compatibilità con la disciplina sovranazionale emersi a seguito delle norme introdotte dal citato decreto legge, che ha adottato una interpretazione del diritto dell’Unione europea e della sentenza della CGUE del 4 ottobre 2024 divergente da quella seguita da questo Tribunale - nel quadro della previgente diversa normativa nazionale - nei precedenti procedimenti di convalida delle persone condotte in Albania e ivi trattenute.

      Tale scelta è stata preferita ad una decisione di autonoma conferma da parte del Tribunale della propria interpretazione, per le ragioni diffusamente evidenziate nelle ordinanze di rinvio pregiudiziale.

      Deve evidenziarsi che i criteri per la designazione di uno Stato come Paese di origine sicuro sono stabiliti dal diritto dell’Unione europea. Pertanto, ferme le prerogative del Legislatore nazionale, il giudice ha il dovere di verificare sempre e in concreto - come in qualunque altro settore dell’ordinamento - la corretta applicazione del diritto dell’Unione, che, notoriamente, prevale sulla legge nazionale ove con esso incompatibile, come previsto anche dalla Costituzione italiana.

      Deve essere inoltre chiaro che la designazione di Paese di origine sicuro è rilevante solo per l’individuazione delle procedure da applicare; l’esclusione di uno Stato dal novero dei Paesi di origine sicuri non impedisce il rimpatrio e/o l’espulsione della persona migrante la cui domanda di asilo sia stata respinta o che comunque sia priva dei requisiti di legge per restare in Italia.

      In ragione del rinvio pregiudiziale i giudici non si sono pronunciati sulle richieste di convalida, ma hanno dovuto necessariamente sospendere i relativi giudizi in attesa della decisione della Corte di giustizia. La sospensione dei giudizi non arresta il decorso del termine di legge di quarantotto ore di efficacia dei trattenimenti disposti dalla Questura.

      Roma, 11 novembre 2024

      La Presidente di sezione
      Luciana Sangiovanni

      https://x.com/scandura/status/1856014653387571345

    • Migranti in Albania, altro stop dai giudici di Roma. Il Viminale si costituirà davanti alla Corte Ue

      Sospesa la convalida dei trattenimenti in attesa di una pronuncia sovranazionale, i 7 egiziani e bangladesi già ripartiti per l’Italia. La nota del tribunale: “I criteri per la designazione dei Paesi sicuri li decide l’Ue"

      Altro stop all’esperimento Albania. I giudici della sezione immigrazione del tribunale di Roma hanno sospeso il giudizio sulla convalida del trattenimento dei sette migranti trasbordati sulla nave Libra in Albania, rinviando la questione alla Corte di giustizia europea.

      Non essendoci dunque, entro le 48 ore previste dalla legge, la convalida dei fermi disposti dal questore di Roma, egiziani e bengalesi sono liberi e, non potendo restare in Albania come previsto dal protocollo siglato da Giorgia Meloni e Edi Rama, dovranno quindi tornare in Italia. Verranno riportati a Brindisi nelle prossime ore.

      A cinque di loro le commissioni territoriali competenti avevano momentaneamente già negato il diritto di asilo secondo le procedure accelerate di frontiera, per loro dunque le udienze sul trattenimento erano sostanzialmente inutili, come spiega Rosa Emanuele Lo Faro, avvocata esperta di diritto degli stranieri e politiche migratorie. Mentre sono ancora in valutazione le storie di altri due migranti, sui quali le commissioni territoriali non si sono ancora pronunciate. Alla luce della pronuncia del tribunale di Roma però anche loro non possono essere trattenuti oltre a Gjader.

      I sette saranno ospitati in un Cara, dove presenteranno presumibilmente ricorso contro il respingimento della richiesta di asilo avvenuto in Albania. Hanno 14 giorni di tempo per farlo e saranno assistiti da legali attraverso i mediatori presenti nel centro. Diversamente dalla struttura albanese di Gjader, i Centri italiani sono ’aperti’: gli ospiti in attesa dell’esito ricorso - si parla di mesi - possono cioè liberamente uscire durante le ore diurne e assentarsi anche per periodi più lunghi.
      Le mosse del governo tra propaganda e realtà

      Cosa farà ora il governo? La missione Albania serve come propaganda, meno nel concreto. Il Viminale, a quanto si apprende, si costituirà di fronte alla Corte di giustizia europea per sostenere le proprie ragioni dopo le decisioni dei giudici. Ma bastano pochi minuti dal deposito della sentenza che si scatena ancora una volta la bagarre politica. «Un’altra sentenza politica non contro il governo, ma contro gli italiani e la loro sicurezza”, attacca il vicepremier e ministro Matteo Salvini. Lo segue il collega alla Farnesina, Antonio Tajani: “Ci sono alcuni magistrati che stanno cercando di imporre la loro linea al governo. Questo non è veramente accettabile». “E’ stato passato il segno", affonda il leghista Claudio Borghi, “la prossima volta invece di portarli in Albania, li porteremo a casa di quel giudice”.

      Per questo Riccardo Magi di +Europa dice: “Siamo stati facili profeti. A questo punto, il governo ha l’obbligo di interrompere le deportazioni: non può e non deve esserci una terza missione prima del giudizio della Corte di Giustizia Ue sui paesi sicuri”. «E anche i sette… – aggiunge il senatore dem Filippo Sensi - Davvero incredibile l’inettitudine, l’incapacità, lo spreco, l’inutilità». «Li avevamo avvertiti – aggiunge Nicola Fratoianni di Avs - Siamo di fronte a un film già visto».
      Cosa dice la sentenza dei giudici di Roma

      Intanto, quel che era già accaduto con il primo gruppo di dodici persone soccorse in mare dalla guardia di finanza e rinchiuse nel centro di Gjader è accaduto di nuovo. Con una novità, anzi due: la sostanziale disapplicazione del decreto Paesi sicuri varato in fretta e furia dal governo tra il primo e il secondo trasferimento nella speranza di evitare un nuovo flop e di alzare la voce con i magistrati. E il rinvio pregiudiziale alla Corte di giustizia europea, autrice della sentenza con la quale il 4 ottobre scorso ha stabilito che, ai fini del trattenimento di un migrante, un Paese può dirsi sicuro solo se lo è in ogni sua porzione di territorio.

      Non è un unicum: alla Corte Ue si erano già rivolti in questi giorni il tribunale di Bologna, quello di Catania e ancora quello di Roma. Oggi la nuova decisione dei magistrati della sezione immigrazione della capitale. Un nuovo freno al progetto Albania, che sin qui è costato allo Stato migliaia di euro con centri vuoti seppur operativi da esattamente da un mese.
      “I criteri per la designazione dei Paesi sicuri li decide l’Ue"

      «Deve evidenziarsi – si legge in una nota del tribunale di Roma firmata dalla presidente della sezione immigrazione, Luciana Sangiovanni – che i criteri per la designazione di uno Stato come Paese di origine sicuro sono stabiliti dal diritto dell’Unione europea. Pertanto, ferme le prerogative del legislatore nazionale, il giudice ha il dovere di verificare sempre e in concreto - come in qualunque altro settore dell’ordinamento - la corretta applicazione del diritto dell’Unione, che, notoriamente, prevale sulla legge nazionale ove con esso incompatibile, come previsto anche dalla Costituzione italiana».
      L’Anm: “I giudici fanno il loro dovere”

      A chi racconta una altra versione, risponde l’Anm: “Di fronte alle nuove polemiche innescate dalle ultime decisioni dei giudici romani, mi preme solo ricordare che la primazia del diritto dell’Unione europea è l’architrave su cui poggia la comunità delle corti nazionali e impone al giudice, quando ritenga la normativa interna incompatibile con quella dell’Unione, di applicare quest’ultima o, in caso di dubbio, di sollevare rinvio pregiudiziale, cosa che è stato fatto in questo caso dal tribunale di Roma. Non ci si può quindi lamentare del fatto che i giudici fanno il loro dovere né dare loro la colpa di inciampi nel perseguimento di politiche migratorie che spetta ovviamente al governo decidere ma che non possono prescindere del quadro normativo europeo e sovranazionale nel quale si collocano", spiega il segretario generale dell’Associazione nazionale magistrati Salvatore Casciaro.
      Sospesi anche 4 “no” all’asilo per i primi migranti portati in Albania

      Non è tutto. I migranti del primo gruppo di dodici trasferiti a bordo della Libra avevano impugnato il rigetto delle loro domande di protezione internazionale. La stessa sezione per l’immigrazione del tribunale civile di Roma ha sospeso almeno quattro di questi “no” all’asilo per altrettanti migranti bangladesi e egiziani, uno dei quali assistito dall’avvocato Gennaro Santoro. La motivazione, riportata nel dispositivo, fa riferimento alla decisione che dovrà essere presa dalla Corte europea di giustizia a cui il tribunale romano si è appellato. Nel decreto, che fissa una nuova udienza per i migranti, si legge anche che “non è disponibile la videoregistrazione dell’audizione innanzi alla commissione territoriale”. Un’altra anomalia delle spese pazze dei centri di trattenimento e rimpatrio di Gjader: per le 22 aule per lo svolgimento delle udienze in via telematica è stato speso più di un milione di euro. Ma le videoregistrazioni non ci sono.

      https://www.repubblica.it/italia/2024/11/11/news/migranti_albania_tribunale_roma_rinvio_corte_europea-423611144

    • Melonis Asylpläne mit Albanien erneut durchkreuzt

      Bis zu 36.000 Asylanträge wollte Italiens Regierung pro Jahr prüfen - auf nicht-europäischem Boden. Jetzt haben Richter ihr Vorgehen bereits zum zweiten Mal gestoppt. Die Migranten dürfen vorerst ins Land.

      Ein italienisches Gericht hat erneut Pläne der rechten Regierung um Ministerpräsidentin Giorgia Meloni durchkreuzt, Asylverfahren außerhalb der EU-Grenzen in Albanien durchzuführen. Das Gericht hob die Inhaftierung von sieben Migranten aus Ägypten und Bangladesch in einem Lager in dem Balkanstaat auf. Die Männer dürfen nun nach Italien, ihrem ursprünglichen Ziel. Die italienischen Richter riefen zudem den Europäischen Gerichtshof (EuGH) an.

      Die Migranten waren vergangene Woche auf der Flucht aus Afrika nach Europa nahe der Insel Lampedusa von der italienischen Marine gestoppt worden. Ein Schiff brachte sie dann am Freitag nach Albanien, damit dort von italienischen Beamten über ihre Asylanträge entschieden werden kann. In fünf Fällen wurden die Anträge bereits abgelehnt, sodass sie eigentlich zurückgeschickt werden sollten. Das wurde nun aber von der Justiz gestoppt.

      Schon erster Versuch wurde von Gericht gestoppt

      Ein erster Versuch der Meloni-Regierung, dort über Asylverfahren im Schnellverfahren zu entscheiden, war schon Mitte Oktober gescheitert: Insgesamt 16 Männer aus Ägypten und Bangladesch durften schließlich doch weiter nach Italien, weil ein Gericht befunden hatte, dass beide Länder keine sicheren Herkunftsstaaten sind.

      Die Regierung in Rom legte daraufhin per Dekret eine neue Liste mit 19 vermeintlich sichereren Herkunftsländern fest - darunter wieder Ägypten und Bangladesch. Der EuGH hatte allerdings Anfang Oktober entschieden, dass ein Staat nur dann als sicheres Herkunftsland eingestuft werden darf, wenn dort nirgends Verfolgung droht. Darauf berufen sich auch die italienischen Gerichte.

      Meloni hatte große Pläne mit Albanien

      Eigentlich sieht Melonis „Albanien-Modell“ vor, dass in dem Nicht-EU-Land pro Jahr über bis zu 36.000 Asylanträge entschieden wird. Die zwei dafür gebauten neuen Lager stehen seit Wochen die meiste Zeit leer. Für die Vorsitzende der regierenden Partei Fratelli d’Italia (Brüder Italiens) ist die Entscheidung der Richter in Rom deshalb eine schwere Schlappe.

      Inzwischen hat sich ein heftiger Streit zwischen Regierung und Justiz entwickelt. Vize-Ministerpräsident Matteo Salvini schmähte die Richter bereits nach der ersten Niederlage als „Kommunisten“ und nannte den zweiten Richterspruch nun ein „politisches Urteil“, dass sich „gegen die Italiener und ihre Sicherheit“ richte. Nach dem Willen der Regierung soll das oberste italienische Gericht darüber entscheiden, und nicht der EuGH.

      Menschenrechte und Kosten im Fokus der Kritik

      Italien gehört seit vielen Jahren zu den Ländern, die von der Fluchtbewegung übers Mittelmeer besonders betroffen sind. Trotz eines deutlichen Rückgangs landeten auch dieses Jahr bislang wieder mehr als 50.000 Menschen an der italienischen Küste. Meloni war vor zwei Jahren mit dem Versprechen an die Regierung gekommen, die irreguläre Einwanderung massiv zu begrenzen.

      Melonis Pläne mit Albanien wurden zwar vielfach kritisiert, manche europäische Regierungen erwägen allerdings auch, sich daran ein Beispiel zu nehmen.

      Die Opposition hält das Modell für völlig überteuert und sieht auch die Gewaltenteilung zwischen Regierung und Justiz in Gefahr. Kritik gibt es auch an den Kosten: Laut Menschenrechtsgruppen fallen 20.000 Euro pro Flüchtling an. Inzwischen prüft auch der Rechnungshof, ob die Kosten angemessen sind.

      https://www.tagesschau.de/ausland/meloni-gericht-asyl-italien-100.html

    • Migrants en Albanie : la #justice italienne inflige un nouveau revers à la politique migratoire de Meloni

      La justice italienne a estimé ce lundi 11 novembre qu’il était préférable de se tourner vers la Cour de Justice de l’Union européenne pour s’assurer que la politique migratoire de la Première ministre était conforme aux textes européens. Sept migrants transférés en Albanie doivent donc retourner en Italie.

      Enième camouflet pour Giorgia Meloni. Un tribunal de Rome a infligé ce lundi 11 novembre un nouveau revers à la politique migratoire de la Première ministre italienne en demandant à la justice européenne de statuer sur la rétention de migrants transférés en Albanie, lesquels, en attendant, reviendront en Italie. Les magistrats ont décidé de saisir la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) pour s’assurer que la législation italienne soit conforme aux textes européens. Pour des questions de délai légal, les sept migrants concernés - de nationalités égyptienne et bangladaise - « retourneront en Italie dans les prochaines heures », explique une source gouvernementale italienne.

      Le vice-Premier ministre Matteo Salvini, allié de Meloni et chef du parti antimigrants la Lega, a aussitôt réagi à cette décision en dénonçant « un nouveau jugement politique […] contre les Italiens et leur sécurité ». « Le gouvernement et le parlement ont le droit de réagir pour protéger les citoyens et ils le feront ». « La justice démonte encore une fois la propagande du gouvernement italien », s’est félicitée de son côté l’ONG de sauvetage en mer de migrants Sea-Watch. « Combien de temps encore le gouvernement italien continuera cette farce inhumaine ? »

      Des centres vides

      Alors que Rome a déjà dépensé des dizaines de millions d’euros pour construire ces centres de rétention en Albanie ayant finalement ouvert en octobre avec des mois de retard, ce nouveau revers est embarrassant pour Giorgia Meloni. La cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia avait présenté ce projet comme un « exemple » pour les autres pays européens. Ces centres, initialement prévus pour accueillir des centaines de migrants, sont pour l’instant condamnés à tourner à vide.Dans une affaire précédente remontant à trois semaines, des juges de la section des affaires migratoires du tribunal de Rome avaient annulé la rétention des 12 premiers migrants conduits en Albanie, invoquant un récent arrêt de la CJUE sur les pays de provenance considérés « sûrs » par les pays d’accueil. Le tribunal avait tranché qu’aux termes de cet arrêt, les 12 migrants ne remplissaient pas les critères de rétention en Albanie et qu’ils devaient être renvoyés en Italie. Alors que le droit européen prime sur le droit national, les juges italiens avaient invoqué cette décision stipulant que les Etats membres ne peuvent désigner comme « sûrs » que des pays entiers, et non certaines régions de ces pays.

      Tentative de contournement d’obstacle

      Pour contourner l’obstacle, le gouvernement de Giorgia Meloni avait adopté 48 heures plus tard un décret en inscrivant dans la loi 19 pays considérés comme « sûrs » par le gouvernement. Rome espérait ainsi traiter en procédure accélérée depuis l’Albanie, les demandes d’asile de migrants originaires de ces pays, avec à la clé une probable expulsion. Face à ce décret, des juges du tribunal de Bologne se sont déjà adressés il y a deux semaines à la CJUE lui demandant de clarifier la situation face aux « divergences évidentes »et aux « conflits d’interprétation » dans le système juridique italien. Ils ont également estimé qu’il n’était pas possible de déclarer des pays entiers sûrs lorsqu’il existe des preuves de la persécution de minorités. « On pourrait dire, paradoxalement, que l’Allemagne nazie était un pays extrêmement sûr pour la grande majorité de la population allemande : à l’exception des juifs, des homosexuels, des opposants politiques, des personnes d’origine rom et d’autres groupes minoritaires », ont-ils plaidé.
      Signé fin 2023 par Meloni et son homologue albanais, Edi Rama, l’accord entre Rome et Tirana, a une durée de cinq ans et concerne les hommes adultes interceptés par la marine ou les garde-côtes italiens dans leur zone de recherche et de sauvetage dans les eaux internationales. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, 58 504 migrants sont arrivés en Italie entre le 1er janvier et le 11 novembre 2024, contre 146 868 sur la même période en 2023.

      https://www.liberation.fr/international/migrants-en-albanie-la-justice-italienne-inflige-un-nouveau-revers-a-la-p

    • CPR in Albania. Ancora scontro tra governo e magistratura

      Nelle stanze del CPR a Gjader anche il secondo gruppo di migranti, appena giunto, non resta più di due giorni: come già successo per i primi dodici, anche i sette nuovi richiedenti asilo saranno trasferiti in Italia.
      Stavolta la sezione immigrazione del tribunale di Roma, di fronte al recente decreto sui Paesi sicuri, sospende il giudizio sulla convalida del loro trattenimento rimettendo tutto nelle mani della Corte di giustizia europea.
      L’aggiornamento della lista degli Stati di provenienza dei migranti ritenuti “sicuri”, elevata a norma primaria dopo la prima bocciatura dei giudici nel mese scorso, non ha quindi sortito gli effetti sperati dal governo, perché la norma UE stabilisce che non vi siano stati assolutamente sicuri.
      Ne abbiamo parlato con l’avvocato Eugenio Losco

      https://radioblackout.org/2024/11/cpr-in-albania-ancora-scontro-tra-governo-e-magistratura

  • Sono riprese le operazioni della nave #Libra verso l’Albania

    Un nuovo gruppo di persone migranti dovrebbe essere portato nei due centri di #Shengjin e #Gjader, ma non è chiaro come andrà a finire viste le ultime sentenze.

    Il ministero dell’Interno ha confermato che lunedì alcune persone migranti partite dalla Libia e soccorse in mare al largo di Lampedusa sono state imbarcate sulla nave Libra della Marina militare italiana, che nelle prossime ore dovrebbe trasferirle nei due centri albanesi di Shengjin e Gjader. Dopo quello di metà ottobre questo sarà il secondo trasferimento verso l’Albania previsto dal nuovo sistema di gestione dei migranti in arrivo verso le coste italiane voluto dal governo di Giorgia Meloni: come nel primo caso, tuttavia, non è chiaro se alla fine i tribunali convalideranno questi trasferimenti.

    Non è chiaro nemmeno quando la Libra partirà verso l’Albania. Il Messaggero scrive che nelle prossime ore alle persone già sulla nave potrebbero aggiungersene altre e che l’idea sarebbe quella di imbarcarne circa 30-40. Non è nemmeno chiaro quante siano quelle già a bordo: Sergio Scandura, corrispondente di Radio Radicale, ha parlato di 6 persone di nazionalità egiziana. Altri giornali hanno numeri simili, 6 o 8 persone, mentre altri ancora parlano di 12 persone dicendo che mancano informazioni sulla loro nazionalità. Lunedì sera, comunque, sono state fatte le prime verifiche sulle persone imbarcate sulla Libra per capire se abbiano i requisiti per essere fermate e trasferite nei centri in Albania.

    L’accordo tra il governo albanese e quello italiano prevede infatti che nei centri in Albania vengano portati migranti maschi adulti, soccorsi dalle navi delle autorità italiane e ritenuti non vulnerabili: in particolare, inoltre, devono venire dai cosiddetti “paesi sicuri”, ossia dove secondo il governo italiano vengono rispettati l’ordinamento democratico e i diritti delle persone.

    La lista di “paesi sicuri”, inseriti dal governo italiano in un discusso decreto-legge, è da tempo dibattuta e criticata da varie organizzazioni internazionali perché comprende paesi che difficilmente possono essere considerati “sicuri”, tra cui l’Egitto, il Bangladesh e la Tunisia. Ed è da settimane al centro di diverse sentenze.

    Il 4 ottobre la Corte di Giustizia dell’Unione Europea, il principale tribunale dell’Unione, aveva deciso che per essere considerato “sicuro” un paese doveva esserlo per tutte le persone che ci vivono e in tutto il suo territorio. Per effetto della sentenza della Corte tutte le persone che provengono da un paese che l’Italia considera “sicuro” ma che non lo è secondo i criteri specificati dalla Corte non possono essere trattenute, né nei centri italiani né nei centri albanesi.

    Proprio in virtù di quella sentenza il 18 ottobre un tribunale di Roma non aveva convalidato il trattenimento di 12 migranti provenienti da Egitto e Bangladesh, trasferiti con un primo viaggio sulla nave Libra dal governo italiano proprio in Albania: perché, sulla base della sentenza della Corte di Giustizia europea, non era possibile considerare quei due paesi come sicuri, dal momento che non era garantito il rispetto dei diritti fondamentali sulla totalità del loro territorio.

    Lunedì anche il tribunale di Catania ha emesso una sentenza con cui non ha convalidato il trattenimento di un migrante egiziano disposto il 2 novembre scorso dalla questura di Ragusa. La sentenza, firmata dal presidente della sezione specializzata nella Protezione internazionale Massimo Escher, riguardava un caso specifico, ma ha una valenza politica più ampia: di fatto è stata la prima con cui un tribunale ha scelto di non applicare il decreto-legge del governo per rendere operativi i centri per migranti costruiti in Albania.

    https://www.ilpost.it/2024/11/05/riprese-operazioni-nave-libra-albania
    #Albanie #Italie #externalisation #migrations #asile #réfugiés

    –-

    ajouté à la métaliste sur l’#accord entre #Italie et #Albanie pour la construction de #centres d’accueil (sic) et identification des migrants/#réfugiés sur le territoire albanais...

    https://seenthis.net/messages/1043873

  • Agir ici et maintenant avec Floréal ROMERO
    https://bascules.blog/2024/09/05/agir-ici-et-maintenant-avec-floreal-romero

    Le 26 septembre 2024 à 18h00 au Mans La #Librairie_Thuard a le plaisir d’accueillir Floréal M Romero pour une #Conférence-débat autour de son ouvrage « Agir ici et maintenant – Penser l’écologie sociale de Murray Bookchin »1. Cet événement est l’occasion unique de plonger dans la pensée révolutionnaire de Murray Bookchin, un pionnier de l’écologie sociale […]

    #Evènements #Communalisme #Ecologie_Sociale #Le_Mans #Sarthe


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  • Agir ici et maintenant avec Floréal ROMERO
    https://ecologiesocialeetcommunalisme.org/2024/09/04/agir-ici-et-maintenant-avec-floreal-romero

    Le 26 septembre 2024 à 18h00 au Mans La #Librairie_Thuard a le plaisir d’accueillir Floréal M Romero pour une conférence-débat autour de son ouvrage « Agir ici et maintenant – Penser l’écologie sociale de Murray Bookchin ». Cet événement est l’occasion unique de plonger dans la pensée révolutionnaire de Murray Bookchin, un pionnier de l’écologie sociale […]

    #Évènements #[VF] #Le_Mans #Sarthe


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