• [10] BD Regeneración - Arrestations, procès et emprisonnements
    https://www.partage-noir.fr/10-bd-regeneracion-arrestations-proces-et-emprisonnements

    Malgré les arrestations, les emprisonnements, les procès, les militants du PLM continuent de publier Revolución. #[BD]Regeneración-_Journal_indépendant_de_combat !_Les_anarchistes_dans_la_révolution_mexicaine

    / #IWW, #Librado_Rivera, #Ricardo_Flores_Magón, #Emma_Goldman, Fernando Palomarez

    #Fernando_Palomarez_

  • [09] BD Regeneración - Les tentatives insurrectionnelles de la junte échouent
    https://www.partage-noir.fr/09-bd-regeneracion-les-tentatives-insurrectionnelles-de-la-junte

    Les tentatives insurrectionnelles de la junte échouent : à Jimenez dans l’État de Coahuila ; à Acayucan, dans l’État de Veracruz ; et à Camargo dans celui de Tamaupilas. #[BD]Regeneración-_Journal_indépendant_de_combat !_Les_anarchistes_dans_la_révolution_mexicaine

    / #Ricardo_Flores_Magón, #Librado_Rivera, Révolution mexicaine (1910)

    #Révolution_mexicaine_1910_

  • [06] BD Regeneración - La fuite au Canada
    https://www.partage-noir.fr/06-bd-regeneracion-la-fuite-au-canada

    Aidés par les autorités nord-américaines les agents de Díaz continuent à poursuivre les Magónistes. #[BD]Regeneración-_Journal_indépendant_de_combat !_Les_anarchistes_dans_la_révolution_mexicaine

    / #Enrique_Flores_Magón, #Ricardo_Flores_Magón, Révolution mexicaine (1910), #Librado_Rivera

    #Révolution_mexicaine_1910_

  • [05] #BD #Regeneración - Fondation de la Junte organisationnelle du Parti libéral mexicain
    https://www.partage-noir.fr/05-bd-regeneracion-fondation-de-la-junte-organisationnelle-du

    Le 28 septembre 1905, la Junte organisationnelle du Parti libéral mexicain est fondée avec Ricardo comme président, Juan Sarabia comme vice-président, Antonio I. Villarreal comme secrétaire, Enrique comme trésorier, Librado, Manuel Sarabia et Rosalío Bustamante sont membres du comité. #[BD]Regeneración-_Journal_indépendant_de_combat !_Les_anarchistes_dans_la_révolution_mexicaine

    / #Enrique_Flores_Magón, #Librado_Rivera, #Ricardo_Flores_Magón, Révolution mexicaine (1910)

    #Révolution_mexicaine_1910_

  • [04] #BD #Regeneración - Aux Etats-Unis
    https://www.partage-noir.fr/04-bd-regeneracion-aux-etats-unis

    De nombreux militants ont suivit Ricardo et Enrique aux États-Unis. Aidés par Juan et Manuel Sarabia, le journal Regeneración (2e époque) paraît le 5 novembre 1904 à San Antonio (Texas). #[BD]Regeneración-_Journal_indépendant_de_combat !_Les_anarchistes_dans_la_révolution_mexicaine

    / #Ricardo_Flores_Magón, Révolution mexicaine (1910), #IWW, #Enrique_Flores_Magón, #Librado_Rivera

    #Révolution_mexicaine_1910_

  • Batailles en cours et à venir autour des données de paiement
    https://linc.cnil.fr/fr/batailles-en-cours-et-venir-autour-des-donnees-de-paiement

    Le secteur des moyens de paiement connaît d’importantes recompositions au travers desquelles la maîtrise des données de paiement est centrale. Si les services apportent des fonctionnalités aux consommateurs, ils soulèvent des enjeux en termes de protection des données personnelles. Les recompositions dans le secteur du paiement électronique sont majeures. Le développement du e-commerce a contribué à renouveler les solutions de paiement sur Internet. De nouveaux acteurs sont apparus, tels que Paypal (...)

    #Apple #Google #Samsung #Facebook #Paypal #WeChat #algorithme #cryptage #cryptomonnaie #Alipay #ApplePay #bitcoin #Libra #payement #WeChatPay #sexisme #discrimination #finance #CNIL #MasterCard #Visa #WesternUnion #carte #SociétéGénérale (...)

    ##BNP-Paribas ##géolocalisation ##BigData ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_

  • An elegy for cash : the technology we might never replace
    https://www.technologyreview.com/2020/01/03/131029/an-elegy-for-cash-the-technology-we-might-never-replace

    Cash is gradually dying out. Will we ever have a digital alternative that offers the same mix of convenience and freedom ? Think about the last time you used cash. How much did you spend ? What did you buy, and from whom ? Was it a one-time thing, or was it something you buy regularly ? Was it legal ? If you’d rather keep all that to yourself, you’re in luck. The person in the store (or on the street corner) may remember your face, but as long as you didn’t reveal any identifying (...)

    #Alibaba #Apple #Facebook #WeChat #cryptage #cryptomonnaie #bitcoin #Libra #QRcode #WeChatPay #technologisme #BigData (...)

    ##discrimination

  • Contre le confinement morbide. Pour une #épidémiologie populaire - Marseille Infos Autonomes
    https://mars-infos.org/contre-le-confinement-morbide-pour-4946

    Nous pensons qu’à l’heure actuelle, il est tout aussi nécessaire de développer une épidémiologie #politique, critique et peut-être populaire pour pouvoir nous approprier la situation, que de nous opposer à l’infamie des techniques gouvernementales consistant à masquer leurs responsabilités dans cette catastrophe sanitaire en les faisant supporter par l’ensemble de la population. — <a href="https://my.framasoft.org/u/rouge-glace/?4K33XQ&quot ; title="Permalink">Permalink</a>

    #corona #coronavirus #luttes #pandémie #partage_collegues #santé

  • Pour le boycott d’Amazon ! Pour un soutien massif au secteur du livre ! - Libération
    https://www.liberation.fr/debats/2020/03/23/pour-le-boycott-d-amazon-pour-un-soutien-massif-au-secteur-du-livre_17827

    N’en déplaise au ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, face à la concurrence des mastodontes du secteur, il ne faut pas rouvrir les librairies mais les soutenir à tout prix.

    Pour le boycott d’Amazon ! Pour un soutien massif au secteur du livre !

    Tribune. Au quatrième jour de confinement, deux déclarations ministérielles sont venues tour à tour révéler les incohérences de la politique sanitaire et la confusion entretenue par le gouvernement. La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, s’est dite « scandalisée » que le syndicat des artisans du bâtiment ait appelé à fermer les chantiers. Or, ce qui est scandaleux, c’est justement que la ministre s’en indigne. Car c’est bien ce qu’il y a à faire : le confinement. Les démonstrations scientifiques solides et salutaires se multiplient pour démontrer son efficacité exemplaire afin d’enrayer l’épidémie. La protection de la santé vaut aussi pour les ouvriers. Au même moment, le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré réfléchir à rouvrir les librairies. Le Syndicat de la librairie française (SLF) a pourtant indiqué qu’il ne le souhaitait pas. La protection de la santé vaut aussi pour les libraires.

    Nous aimons les livres. Et nous aimons les libraires : leur accueil, leur savoir, leurs partages enthousiasmants. Elles et ils nous manquent, évidemment. La joie ne sera que plus grande de les retrouver quand l’épidémie sera vaincue. Notre solidarité envers les librairies et les maisons d’édition sera alors sans faille : elles en auront bien besoin. Peut-être cette crise grave permettra-t-elle de « changer de base » ? Peut-être sera-t-elle le révélateur décisif d’un système délétère qu’il faudra briser ? Nous l’espérons.

    A lire aussiCommerces essentiels ou pas ? Les libraires divisés

    D’ores et déjà, les débrayages, les grèves, le droit de retrait s’exercent en maints endroits. Et c’est le cas évidemment chez Amazon, cette terrible machine qui, elle, fonctionne à plein régime aux dépens de ses salarié·es, dont la santé est mise en danger. Des enquêtes serrées ont déjà largement démontré les conditions de travail effarantes qui y règnent en temps normal. Elles ont levé le voile sur une situation jugée critique tant les risques psychosociaux sont élevés. Les trois quarts du personnel souffrent de douleurs physiques et déclarent être en état de stress ; un tiers souffre d’insomnies ; un quart reconnaît qu’il lui arrive de pleurer en raison du travail. Au quotidien, la santé de celles et ceux qui travaillent dans l’entreprise d’e-commerce était déjà considérée comme abîmée par un management implacable avec traumatismes à la clé, d’humiliations en brimades et surveillance acharnée. Lors des « pics » de livraisons, comme pour les fêtes de fin d’année, l’entreprise exige de « surperformer », au mépris des règles élémentaires de sécurité. L’agression faite aux conditions de travail tel qu’il se mène aujourd’hui, en temps d’épidémie, est comme le prolongement exponentiel de ce scandale humain au nom d’une logique productiviste à tous crins.

    Amazon employees on strike gather outside the Amazon distribution center warehouse in Saran, near Orleans, France, March 18, 2020. Several hundred Amazon workers in France protested at one of its sites on Wednesday, calling on the online retailer to cease operations or make it easier for employees loath to work during the coronavirus (COVID-19) outbreak to stay away. REUTERS/Mourad Guichard NO RESALES. NO ARCHIVES

    Employés de l’entrepot Amazon de Saran en grève contre leurs conditions de travail face au coronavirus le 18 mars 2020. Photo Mourad Guichard. REUTERS

    Nous voulons dire à Bruno Le Maire : il ne faut pas rouvrir les librairies mais soutenir à toute force le secteur du livre contre cette concurrence monstrueuse qui côtoie l’indignité. Le soutenir bien au-delà des quelques promesses. Les chiffres annoncés sont bien maigres : 5 millions, vraiment ? Alors que les librairies et les maisons d’édition vont tellement souffrir de cette crise grave. Nous ne sommes pas experts en matière budgétaire mais nous connaissons quelques chiffres qui nous font réfléchir à l’ordre des priorités. De grosses entreprises, dont certaines émargent au CAC 40, engloutissent annuellement quelque 5 milliards via le CICE. Cinq millions pour le livre, nous dit-on ? Encore une fois, comparons : l’entreprise Total, dont les profits s’élèvent chaque année à 4 milliards environ et dont le PDG touche à lui seul entre 3 et 4 millions, empoche près de 30 millions grâce au fameux CICE. Nous pourrions aussi parler exonérations fiscales ou bien encore évasion du même nom, et tant d’autres milliards encore. Ou bien, pour évoquer les répartitions budgétaires aux hiérarchies confondantes, rapprocher les 5 millions aux 5 milliards que coûtera le prochain porte-avions.

    Comme lectrices et lecteurs, nous ferons tout pour aider les libraires et les maisons d’édition, par le boycott de mastodontes comme Amazon, par les précommandes, par nos retours heureux en librairie après l’épidémie. Mais cette solidarité élémentaire ne suffira pas. C’est aux pouvoirs publics de prendre des responsabilités à la hauteur de la crise et de faire des choix dignes. Toutes et tous, nous sommes en droit non pas seulement de l’espérer mais de l’exiger.

    Parmi les signataires : Michèle Audin, Étienne Balibar, Ludivine Bantigny, Esther Benbassa, Bertrand Bernard (Les éditions du Détour), Judith Bernard, Éric Beynel, Laurent Binet, Thomas Bout (Rue de l’échiquier), José Bové, Dominique Cabrera, Sophie Caillat (éditions du faubourg), Isabelle et Frédéric Cambourakis (éditions Cambourakis), Patrick Chamoiseau, Johann Chapoutot, Stéphanie Chevrier (La découverte), Vincent Charbonnier, Yves Citton, Dominique Cabrera, Déborah Cohen, Francis Combes (Le Temps des Cerises), Alexis Cukier, Clara Laspalas et Marina Simonin (La Dispute et Les Éditions Sociales), François Cusset, Pierre Dardot, Christine Delphy, Annie Ernaux, Johan Faerber, Dan Franck, Camille Froidevaux-Metterie, Bernard Friot, Anne-Marie Garat, Sylvain George, François Gèze (La découverte), Valentine Goby, Nacira Guénif, Béatrice Guillemard (Chant d’orties), Samuel Hayat, Edmond Janssen (Éditions Delga), Neil Jobard (La magicieuse), Bernard Lahire, Benoît Laureau (éditions de l’Ogre), Charles-Henry Lavielle (Anarchasis), Pierre Lemaitre, Camille Louis, Michael Löwy, Christian Mahieux (Syllepse), Juliette Mathieu (Les éditions du Détour), Gérard Mordillat, Corinne Morel Darleux, Fred Morisse (Le bas du pavé), Olivier Neveux, Gérard Noiriel, Ugo Palheta, Chloé Pathé (Anamosa), Joël Pommerat, Amalia Rama ( eXcès) , Denis Robert, Christian Salmon, Benjamin Stora, Françoise Vergès, Nicolas Vieillescazes (Amsterdam), Sophie Wahnich, Louis Weber (Les éditions du croquant).

    #Librairies #Amazon

  • Egyptian readers mourn ALEF bookstores
    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2020/02/egyptian-readers-lament-loss-of--alef-bookstores.html

    La grosse et très bonne chaîne de librairies Alef ferme ses portes en Egypte. Question très philosohique : vaut-il mieux de bonnes librairies financées par des capitaux islamiques ou pas de librairies du tout. Sissi a tranché.

    In the Cairo International Book Fair, the oldest and largest annual literary gathering in the Middle East, there is one conspicuous absence this year. ALEF, one of the regulars with a huge stand in the past, is no longer there to offer books from small publishers and budding writers. The bookstore chain closed the last of its 37 branches on Dec. 28 after allegations that it was linked to the Muslim Brotherhood.

    For Cairo’s bibliophiles, ALEF was a book lover’s paradise: a good and varied selection of books, good prices and good salespeople with a knack for finding requested books and suggesting new ones to suit customers’ taste.

    #égypte #librairie

  • Un droit à la ville est peut-être possible - Nos rendez-vous - Librest.com
    https://www.librest.com/nos-rendez-vous/15-janvier-2020/4004-un-droit-a-la-ville-est-peut-etre-possible

    Rencontre - débat avec Mickaël Labbé pour son livre : Reprendre place, contre l’architecture du mépris (Payot)

    Présentation de l’éditeur :

    Caméras de surveillance tous azimuts, aires de jeux grillagées, bancs design segmentés en places individuelles, pics et pierres à l’entrée des immeubles... Autant de signaux de suspicion et de mépris que la ville nous envoie. Autant de symptômes d’un espace urbain malade qui se construit contre ses habitants. Un espace aujourd’hui hostile. Cette violence nous affecte tous : de l’exclusion pure et simple des « indésirables », au sentiment de plus en plus fort que la ville ne nous appartient plus, que nous sommes de passage alors que nous y résidons. La ville nous parle. Il est temps d’apprendre à décrypter son langage pour pouvoir reprendre notre place en son sein. Revendiquer notre droit à la ville et exiger de ceux qui la fabriquent - architectes, urbanistes et politiques en tête - qu’ils prennent en compte sa destination véritable : nous, ses habitants, qui peuplons ce lieu de vie que nous appelons notre ville.

    Liens vers la #librairie et son cycle de « causeries urbaines ».
    https://www.librest.com/cycles-evenements/4/les-causeries-urbaines
    https://youtu.be/aGBovMqJT_8

    Pour poursuivre sur l’#architecture_du_mépris #mépris #exclusion #ville #indésirables #surnuméraires

  • An elegy for cash: the technology we might never replace - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/614998/an-elegy-for-cash-the-technology-we-might-never-replace

    This is a feature of physical cash that payment cards and apps do not have: freedom. Called “bearer instruments,” banknotes and coins are presumed to be owned by whoever holds them. We can use them to transact with another person without a third party getting in the way. Companies cannot build advertising profiles or credit ratings out of our data, and governments cannot track our spending or our movements. And while a credit card can be declined and a check mislaid, handing over money works every time, instantly.

    We shouldn’t take this freedom for granted. Much of our commerce now happens online. It relies on banks and financial technology companies to serve as middlemen. Transactions are going digital in the physical world, too: electronic payment tools, from debit cards to Apple Pay to Alipay, are increasingly replacing cash. While notes and coins remain popular in many countries, including the US, Japan, and Germany, in others they are nearing obsolescence.

    This trend has civil liberties groups worried. Without cash, there is “no chance for the kind of dignity-preserving privacy that undergirds an open society,” writes Jerry Brito, executive director of Coin Center, a policy advocacy group based in Washington, DC. In a recent report, Brito contends that we must “develop and foster electronic cash” that is as private as physical cash and doesn’t require permission to use.

    The central question is who will develop and control the electronic payment systems of the future. Most of the existing ones, like Alipay, Zelle, PayPal, Venmo, and Kenya’s M-Pesa, are run by private firms. Afraid of leaving payments solely in their hands, many governments are looking to develop some sort of electronic stand-in for notes and coins. Meanwhile, advocates of stateless, ownerless cryptocurrencies like Bitcoin say they’re the only solution as surveillance-proof as cash—but can they be feasible at large scales?

    We tend to take it for granted that new technologies work better than old ones—safer, faster, more accurate, more efficient, more convenient. Purists may extol the virtues of vinyl records, but nobody can dispute that a digital music collection is easier to carry and sounds almost exactly as good. Cash is a paradox—a technology thousands of years old that may just prove impossible to re-create in a more advanced form.

    https://datawrapper.dwcdn.net/tBD3Z/2

    That’s why it would be a problem if Sweden were to go completely “cashless,” Söderberg says. He and his colleagues fear that if people lose the option to convert their bank money to government money at will and use it to pay for whatever they need, they might start to lose trust in the whole money system. A further worry is that if the private sector is left to dominate digital payments, people who can’t or won’t use these systems could be shut out of the economy.

    This is fast becoming more than just a thought experiment in Sweden. Nearly everyone there uses a mobile app called Swish to pay for things. Economists have estimated that retailers in Sweden could completely stop accepting cash by 2023.

    Creating an electronic version of Sweden’s sovereign currency—an “e-krona”—could mitigate these problems, Söderberg says. If the central bank were to issue digital money, it would design it to be a public good, not a profit-making product for a corporation. “Easily accessible, simple and user-friendly versions could be developed for those who currently have difficulty with digital technology,” the bank asserted in a November report covering Sweden’s payment landscape.

    The Riksbank plans to develop and test an e-krona prototype. It has examined a number of technologies that might underlie it, including cryptocurrency systems like Bitcoin. But the central bank has also called on the Swedish government to lead a broad public inquiry into whether such a system should ever go live. “In the end, this decision is too big for a central bank alone, at least in the Swedish context,” Söderberg says.

    Cash is already dying out on its own in China, thanks to Alipay and WeChat, the QR-code-based apps that have become ubiquitous in just a few years. It’s been estimated that mobile payments made up more than 80% of all payments in China in 2018, up from less than 20% in 2013.

    It’s not clear how much access the government currently has to transaction data from WeChat Pay and Alipay. Once it issues a sovereign digital currency—which officials say will be compatible with those two services—it will likely have access to a lot more. Martin Chorzempa, a research fellow at the Peterson Institute for International Economics in Washington, DC, told the New York Times in October that the system will give the PBOC “extraordinary power and visibility into the financial system, more than any central bank has today.”

    With Bitcoin, although transactions are public, users don’t have to reveal who they really are; each person’s “address” on the public blockchain is just a random string of letters and numbers. But in recent years, law enforcement officials have grown skilled at combining public blockchain data with other clues to unmask people using cryptocurrencies for illicit purposes. Indeed, in a July blog post, Libra project head David Marcus argued that the currency would be a boon for law enforcement, since it would help “move more cash transactions—where a lot of illicit activities happen—to a digital network.”

    Robleh Ali, a research scientist at MIT’s Digital Currency Initiative, says digital currency systems from central banks may need to be designed so that the government can “consciously blind itself” to the information. Something like that might be technically possible thanks to cutting-edge cryptographic tools like zero-knowledge proofs, which are used in systems like Zcash to shield blockchain transaction information from public view.

    However, there’s no evidence that any governments are even thinking about deploying tools like this. And regardless, can any government—even Sweden’s—really be trusted to blind itself?

    With no middleman like a bank attesting that a transaction took place, each transaction has to be validated by a majority of the nodes in a cryptocurrency’s network, which can number many thousands. But this requires an immense expenditure of computing power, and it’s the reason Bitcoin transactions can take more than an hour to settle.

    A currency like Libra wouldn’t have this problem, because only a few authorized entities would be able to operate nodes. The trade-off is that its users wouldn’t be able to trust those entities to guarantee their privacy, any more than they can trust a bank, a government, or Facebook.

    In summary, we have three avenues for the future of digital money, none of which offers the same mix of freedom and ease of use that characterizes cash. Private companies have an obvious incentive to monetize our data and pursue profits over public interest. Digital government money may still be used to track us, even by well-intentioned governments, and for less benign ones it’s a fantastic tool for surveillance. And cryptocurrency can prove useful when freedoms are at risk, but it likely won’t work at scale anytime soon, if ever.

    How big a problem is this? That depends on where you live, how much you trust your government and your fellow citizens, and why you wish to use cash. And if you’d rather keep that to yourself, you’re in luck. For now.

    #Monnaie_numérique #Bitcoin #Libra #Cash #Banques #Confiance

  • « Les banques face au tsunami des GAFA »
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/11/14/les-banques-face-au-tsunami-des-gafa_6019129_3234.html

    Après Apple et Facebook, Google souhaite se lancer dans les services bancaires. Le numérique est en train de déshabiller les banques de leurs métiers les plus essentiels, estime Philippe Escande, éditorialiste économique « au Monde ». Les banques peuvent-elles disparaître ? Elles semblent encore loin de ce scénario apocalyptique, mais elles sentent désormais dans leur cou le souffle des géants du numérique. Mercredi 13 novembre, le Wall Street Journal révélait que Google allait se lancer dans les (...)

    #Apple #Citigroup #GoldmanSachs #Google #Amazon #Facebook #cryptomonnaie #carte #Libra #domination #fiscalité #bénéfices #BigData #data #banque (...)

    ##fiscalité ##GAFAM

  • A-t-on enterré trop vite le cash ? Le Temps du débat par Emmanuel Laurentin - 30 Octobre 2019 - france culture

    "Bitcoin", "Lydia", "Libra" ... La disparition du cash est annoncée depuis plusieurs années, et dans certains pays (Chine, Suède) les espèces deviennent obsolètes. A-t-on encore besoin du cash ? Quels avantages, quels inconvénients ? A qui profite de la disparition des espèces, et qui en pâtit ?

    https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10175-30.10.2019-ITEMA_22189496-0.mp3

    Création récente de la monnaie virtuelle initiée par Facebook, la Libra, lancement possible d’une crypto monnaie en Chine, création d’un service Uber Money : toutes ces nouvelles récentes laissent présager le pire pour la survie des monnaies classiques telles que nous les connaissions sous leur forme papier ou métallique. Et une même petite musique laisse entendre que pour des raisons fiscales et de lutte contre le blanchiment en particulier les gouvernements voudraient se débarrasser du cash. Pourtant il y a dix jours, la Monnaie de Paris rendait un diagnostic exactement inverse, imaginant la survie du paiement en espèces.

    • Entretien avec Manuel Valente, directeur de CoinHouse, pour le Journal du Net, le 05/07/2018
    • Entretien avec Jeanne Lazarus , « Les Français semblent mûrs » , Le Parisien le 23/08/2014
    • Sur la Monnaie de Paris et son PDG, Marc Schwartz : Monnaie de Paris : comment le nouveau patron veut consolider le modèle économique, Les Echos, le 17/05/2019 et La Monnaie de Paris ne croit pas à la disparition du cash, Les Echos, le 21/10/2019

    #argent #cash #banques #finances #blokchain #économie #monnaie #euro #argent #bitcoin #libra #économie #europe #union_européenne #contrôle #confiance #Suède #liberté #blockchain #flicage #crypto-monnaie #monnaie_numérique #confiance

  • Facebook’s Zuckerberg, Accused of Lying, Withstands a Washington ‘Beating’ - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2019/10/23/technology/facebook-zuckerberg-libra-congress.html

    Committee members questioned whether Facebook executives can be taken at their word.

    Representative Nydia M. Velázquez, a Democrat from New York, pointed to Facebook’s promise in its acquisition of WhatsApp in 2014 to keep the messaging app separate from the main Facebook platform. A few years later, Mr. Zuckerberg announced it would merge data between the two apps.

    “Do you understand why this record makes us concerned with Facebook entering the cryptocurrency space? Have you learned that you should not lie?” Ms. Velázquez said.

    “Congresswoman, I would disagree with the characterization,” he said before getting cut off by further questions.

    Representatives homed in on issues of national security, and the ways that bad actors have used cryptocurrencies to pursue illicit activity.

    “You’re creating a whole new currency, which could be anonymous, that could create a whole new threat to Americans and national security, which is a huge concern,” said Representative Carolyn Maloney, Democrat of New York.

    Representative Rashida Tlaib, Democrat of Michigan, clashed with Mr. Zuckerberg on Facebook’s desire not to fact-check political campaign advertising.

    Ms. Tlaib said the practice had resulted in widespread hate-mongering and a flurry of false information about her, personally. “It is hate speech, it’s hate, and it’s leading to violence and death threats in my office,” she said.

    Il y a évidemment l’argument clé : « si on ne le fait pas, les Chinois vont le faire ». Il a déjà servi pas mal, par exemple pour les OGM.

    “American innovation is on trial today in this hearing,” Mr. McHenry said.

    Mr. Zuckerberg spoke to that point, saying if American regulators managed to stop Libra, it would help countries like China develop their own cryptocurrency projects — efforts that could hurt the United States and the dominant role of the dollar.

    “While we debate these issues, the rest of the world isn’t waiting,” Mr. Zuckerberg said. “If America doesn’t innovate, our financial leadership isn’t guaranteed.”

    #Facebook #Libra #Hearing

  • Cryptomonnaies contre régulateurs : la guerre a commencé
    https://usbeketrica.com/article/pourquoi-les-pouvoirs-publics-ne-veulent-pas-des-monnaies-de-facebook-e

    Avec Libra, il s’agit de proposer une devise et une infrastructure financière aux personnes éloignées du système bancaire mais équipées d’un smartphone. D’après la Banque Mondiale, 1,7 milliards d’individus sont aujourd’hui exclus du système financier, soit 31 % de la population mondiale. Parmi ces personnes non bancarisées, 1 milliard possèdent un téléphone mobile et 480 millions ont accès à Internet.

    Mais cette initiative a vite suscité l’opposition frontale des instances gouvernementales et des banques centrales, qui voient dans la cryptomonnaie de Facebook un concurrent redoutable pour leurs propres devises et pour l’industrie de la banque, grande pourvoyeuse d’emplois. Sans oublier les craintes de blanchiment d’argent via la monnaie virtuelle.

    #cryptomonnaies #libra #gram #facebook #telegram

  • How the wheels came off Facebook’s Libra project
    https://www.theguardian.com/technology/2019/oct/18/how-the-wheels-came-off-facebook-libra-project

    Support for Mark Zuckerberg’s mission to reshape global finance is slipping away slowly but surely When Facebook announced plans to launch a digital currency earlier this summer, it added a full-blown revolution in global finance to its typically vaulting Silicon Valley mission statement : to create a digital currency alongside its efforts to bring the world closer together through networks. Over the past month, that mission has gone badly awry. The Libra cryptocurrency project now faces (...)

    #Facebook #cryptage #Libra #cryptomonnaie

    https://i.guim.co.uk/img/media/467898f2a9b4d32ae177dc8636ab4b35ccb8f2eb/27_0_3445_2068/master/3445.jpg

  • China’s Cryptocurrency Plan Has a Powerful Partner: Big Brother - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2019/10/18/technology/china-cryptocurrency-facebook-libra.html

    BEIJING — When Facebook announced plans this year for a cryptocurrency called Libra, it said its goal was to reinvent money for the internet age. What the company probably didn’t imagine was that its efforts might spur China to get there first.

    China wants to start replacing the cash that people carry with a digital currency soon, a long-discussed project that went into overdrive after Libra was unveiled in June. Facebook has been fighting to defend its initiative against skeptical regulators, and key corporate partners have pulled out of the project. But Beijing’s ambitions appear to be moving ahead at full speed.

    The system emerging in China looks very different from Bitcoin and other cryptocurrencies that enthusiasts have championed as tools of emancipation from big banks and governments.

    A state-issued e-currency would help China’s government know more — much, much more — about how its citizens spend their money, giving it sweeping new powers to fight crime and manage the economy while also raising privacy concerns.
    Interested in All Things Tech?

    The Bits newsletter will keep you updated on the latest from Silicon Valley and the technology industry.

    “It’s extraordinary power and visibility into the financial system, more than any central bank has today,” said Martin Chorzempa, a research fellow at the Peterson Institute for International Economics in Washington.

    Not even half a year has passed since Facebook unveiled Libra, but the tech giant’s foray into finance has been met with a steady stream of doubts and questions.

    The Federal Reserve says it has “serious concerns.” European officials have threatened to block the project from moving ahead on the Continent. Mark Zuckerberg, Facebook’s chief executive, is set to appear on Capitol Hill next week to discuss the plans.

    For Beijing, Libra has provided another urgent motive for digitizing the currency. China blocks Facebook’s platforms within its borders, but Chinese leaders see in Libra the potential start of a new world financial system, one that could bulldoze the traditional authority of governments and central banks — China’s included.

    “If Libra is accepted by everyone and becomes a widely used payment tool, then after some time, it is entirely possible that it will develop into a global, super-sovereign currency,” Mu Changchun, a top official at China’s central bank, said in a recent online lecture. “We need to plan ahead to protect our monetary sovereignty.”

    Facebook says Calibra, its digital wallet for holding and spending Libra, will require ID verification, and the company is vowing to use your financial data responsibly. It says it will not, for instance, take note of your pain reliever purchases to push Instagram ads for clinics.

    China has suggested that it, too, will keep spending information away from marketers — but not from the authorities. The banks and electronic payment companies that will distribute the new digital currency already require users to authenticate their names and identities. And officials have made clear that the central bank will be able to view data on transactions.

    Chinese consumers have for years paid for everything with their phones, and the country’s two dominant mobile payment services, Alipay and WeChat Pay, have become pillars of the Chinese economy. Alipay says it has processed as many as 256,000 payments per second. By comparison, Visa says it can handle 65,000. Libra is promising to do 1,000, at least at the start.

    But many transactions on the Chinese platforms move exclusively between digital wallets, never making contact with the state-dominated banking system. That means the Chinese government has to go through the platforms’ privately owned parent companies, Ant Financial and Tencent, if it wants to track and scrutinize those movements.

    Not so with the new e-currency.

    #Monnaie_numérique #Libra #Chine #Surveillance

  • Les Européens veulent interdire le libra, la monnaie numérique de Facebook
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/10/19/les-europeens-veulent-interdire-le-libra-la-monnaie-numerique-de-facebook_60

    Plusieurs pays européens, dont la France, se préparent à mettre leur veto au projet de monnaie virtuelle libra, dangereux pour l’économie mondiale, selon le ministre français de l’économie, Bruno Le Maire. Chaque jour, le libra subit les foudres de ses opposants les plus farouches, les Etats. Le G7, le groupe des sept pays les plus industrialisés (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Italie et Japon), était déjà convenu jeudi, à Washington, que la condition sine qua non pour lancer les (...)

    #Facebook #cryptage #Libra #cryptomonnaie

  • PayPal pulls out of Facebook’s Libra cryptocurrency
    https://www.theguardian.com/technology/2019/oct/07/paypal-pulls-out-facebook-libra-cryptocurrency

    Payments company becomes first to withdraw from controversial digital project PayPal has become the first company to drop out of Facebook’s Libra cryptocurrency, as the embattled project continues to face queries from regulators around the world. Libra is technically an association backed by 28 – now 27 – multinational companies and nonprofits, although Facebook takes the lead, and a Facebook subsidiary, Calibra, is intended to be the main way consumers will interact with the project. Each (...)

    #Facebook #Paypal #cryptage #Libra

    https://i.guim.co.uk/img/media/c916117ae28bd8fc2db10be8aaf7019b6bff5b31/0_222_5058_3035/master/5058.jpg

  • Libra : PayPal n’investira finalement pas dans la future monnaie virtuelle de Facebook
    https://www.numerama.com/tech/558638-libra-paypal-ninvestira-finalement-pas-dans-la-future-monnaie-virtu

    PayPal devait investir plusieurs millions d’euros dans le projet de monnaie virtuelle Libra, développé par Facebook. PayPal était l’un des investisseurs attendus sur le projet de monnaie virtuelle de Facebook, Libra. Finalement, l’entreprise se retire, a fait savoir l’AFP ce samedi 5 octobre. L’entreprise avait indiqué qu’elle investirait au moins 10 millions de dollars (9 millions d’euros) dans Libra. C’est un coup dur de plus pour le réseau social, déjà en proie aux critiques. PayPal n’a pas (...)

    #Facebook #Libra #Paypal #cryptage

    //c1.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/04/mark-zuckerberg-2.jpg

  • « Les Gafam défient désormais les principaux Etats du globe. Et ces derniers contre-attaquent »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/09/24/les-gafam-defient-desormais-les-principaux-etats-du-globe-et-ces-derniers-co

    La puissance et la richesse de Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft poussent l’Europe et les Etats-Unis à agir. Longtemps, le marché passé par les géants du Web avec le public est resté obscur. Forts de la promesse d’un monde sans frontières, vaste forum où toutes les libertés pourraient s’épanouir et les droits humains prospérer, où le travail serait enrichi par l’automatisation des tâches d’exécution, les promoteurs du numérique nous ont offert un univers fabuleux de messageries instantanées, de (...)

    #Apple #Google #Microsoft #Amazon #Facebook #algorithme #Alexa #GPS #manipulation #procès #domination #BigData #GAFAM #profiling #cryptage (...)

    ##Libra

  • Libra : Facebook face à la raison d’Etat
    https://www.alternatives-economiques.fr/libra-facebook-face-a-raison-detat/00090064

    Les régulateurs pourraient rendre caduques les promesses du projet de monnaie privée de Facebook. Mauvais temps pour Facebook. Après l’annonce fracassante le 18 juin dernier du lancement en 2020 d’une cryptomonnaie, la libra, les problèmes s’accumulent déjà pour l’entreprise. Réactions virulentes des régulateurs Les réactions immédiates des régulateurs montrent que le projet est pris très au sérieux. Le jour-même de l’annonce, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire déclarait à l’Assemblée nationale : « (...)

    #Facebook #cryptage #domination #cryptomonnaie #Libra

  • La libra, une fausse bonne affaire pour l’usager ? | L’Echo
    https://www.lecho.be/opinions/carte-blanche/la-libra-une-fausse-bonne-affaire-pour-l-usager/10143558.html
    https://images.lecho.be/view?iid=dc:150932911&context=ONLINE&ratio=16/9&width=640&u=1562668534000

    Le citoyen ordinaire, aux anges d’échanger de manière indolore et quasi gratuitement des libras dans la vie quotidienne, sera-t-il alors ravi d’apprendre qu’il subsidie par ses impôts en hausse les plus grosses entreprises du monde, les membres bienveillants de Calibra, gérant une merveilleuse monnaie privée en vue d’assurer à ses investisseurs comme il se doit, le rendement maximal ?

    Par Paul jorion
    Économiste et anthropologue

    Depuis le 17 juin nul n’ignore que Facebook, à la tête de Calibra, un consortium de très grosses entreprises où l’on trouve aussi Visa et Mastercard, s’apprête à battre monnaie. Si la libra voit le jour, il s’agira du premier cas d’une authentique monnaie privée, sans comparaison possible avec les simples « jetons commercialisables » que sont le bitcoin ou l’ether, abusivement qualifiés de crypto-monnaies.

    La libra serait en effet adossée à valeur égale à un panier de monnaies nationales garanties chacune par la richesse économique d’une véritable nation.
    « Un bras de fer serait engagé entre Calibra et l’archipel des banques centrales qui chercheraient certainement à maintenir au nom de la nation leur privilège d’émettrice de monnaie. »

    si Calibra devait adosser en quantité égale toute libra émise à des instruments de dette émis par de grandes nations, ce serait immanquablement elle (pensons aux 2,4 milliards d’usagers de Facebook) qui deviendrait le premier financier, le premier prêteur au monde des États, et ferait la pluie et le beau temps sur le marché obligataire international, déterminant selon son bon vouloir le niveau de coupon que les États consentiraient, autrement dit les taux d’intérêt dont ils devraient s’acquitter. Or qui verse de fait le coupon aux investisseurs sur le marché obligataire, si ce n’est le contribuable des nations emprunteuses ?

    Le citoyen ordinaire, aux anges d’échanger de manière indolore et quasi gratuitement des libras dans la vie quotidienne, sera-t-il alors ravi d’apprendre qu’il subsidie par ses impôts en hausse les plus grosses entreprises du monde, les membres bienveillants de Calibra, gérant une merveilleuse monnaie privée en vue d’assurer à ses investisseurs comme il se doit, le rendement maximal ?

    #Libra #Facebook #Monnaie_numérique