• Libra de Facebook : « Ce projet est très malsain et doit être combattu »
    https://www.marianne.net/economie/libra-de-facebook-ce-projet-est-tres-malsain-et-doit-etre-combattu

    Interview d’André Orléan

    L’ambition du Libra est bien plus vaste puisqu’il s’agit de promouvoir une monnaie véritable, destinée aux échanges de marchandises et de services, pour toute la planète.

    Bien que sans précédent, cet événement n’est en rien une surprise car l’expérience du bitcoin est passée par là. Elle nous a appris qu’il est désormais possible de concevoir une monnaie internationale, indépendante des États. Néanmoins, en raison de son instabilité chronique, le bitcoin a échoué à devenir un intermédiaire des échanges efficace. Il n’a pas réussi à instituer un espace stable et profond de transactions marchandes. De fait aujourd’hui, cette cryptomonnaie est bien plus un actif spéculatif qu’une véritable monnaie. Cependant, on ne pouvait douter que de nouvelles propositions viendraient, tirant les conséquences de l’expérience bitcoin. Parmi elles, l’idée d’une monnaie adossée à un géant de la Toile s’imposait comme la plus sérieuse dans la mesure où elle associe les trois forces qui sont au cœur du capitalisme d’aujourd’hui : outre la puissance du capital, la puissance de la technique et la puissance des réseaux. Telle est la signification du projet Libra : concevoir la nouvelle architecture institutionnelle qu’appellent les modalités présentes de la production capitaliste. Pour mesurer la vigueur du défi qui est ici lancé au vieux monde néolibéral, observons que, dès à présent, Facebook à lui seul compte 2,4 milliards d’utilisateurs mensuels, ce qui représente 30% de la population mondiale, auxquels il convient d’ajouter les utilisateurs des autres sociétés participant au groupement Libra comme Uber, Visa, Booking.com, eBay, Spotify ou Paypal. Malgré cette énorme puissance de feu, n’oublions cependant pas l’ampleur des obstacles qui rendent ce projet des plus incertains.

    C’est cela qui est déterminant : chercher à constituer un écosystème d’activités économiques intégrées par le fait qu’elles partagent une même monnaie. N’est-ce pas précisément ce qui est recherché par Facebook et ses partenaires ? Par exemple, inciter à utiliser un transport Uber pour aller en vacances avec Booking.com et écouter de la musique avec Spotify en faisant valoir que tous ces services sont libellés en libras et disponibles aisément sur son téléphone portable. Plus généralement, faire du libra le moyen de paiement de référence sur un maximum d’applications. On peut même aller plus loin et considérer qu’à terme les sociétés participant au projet Libra encourageront leurs milliers d’employés à voir leur salaire payé en libras. Si cette dynamique est conduite à son terme, on verra alors se constituer une vaste économie déterritorialisée, libellée en Libra, qui viendra de facto défier les espaces Dollar, Euro ou Yen.

    Comme je l’indiquais, les forces qui sont à l’œuvre pour faire advenir le projet Libra ne sauraient être sous-estimées. Elles plongent leurs racines au cœur de notre modernité. Face à elles, quels arguments peuvent faire valoir les monnaies étatiques pour justifier le maintien de leurs prérogatives ? Pour le dire brutalement, deux manières de concevoir la solidarité avec autrui s’affrontent : via les réseaux sociaux et le smartphone versus via la nation.

    #Libra #Monnaie_numérique #Facebook

  • Libra, la cryptomonnaie de Facebook : comme un air de fin du monde…
    https://jcenglebert.weebly.com/blog

    Je soutiens ici que le lancement par Facebook de la cryptomonnaie Libra devrait faire dresser les cheveux sur la tête de n’importe quelle personne saine d’esprit. Je me base pour ma démonstration sur le travail que j’ai réalisé concernant les applications et implications environnementales de la technologie blockchain, technologie sous-jacente aux cryptomonnaies. Je vais tout d’abord revenir sur les caractéristiques majeures de Facebook et des blockchains. Ensuite, je vais donner un bref aperçu de la (...)

    #cryptomonnaie #domination #Facebook #Libra #profiling

    • Le scandale Cambridge Analytica a permis de révéler que les données personnelles de 57 millions d’utilisateurs ont été vendues à l’équipe de campagne électorale de Trump. Les activités sous-jacentes à ce scandale sont moins connues. Il s’agissait de faire apparaître sur le « mur » de l’utilisateur des « posts » fantômes (ne correspondant à aucun utilisateur) qui correspondent à ses peurs les plus profondes en vue d’orienter son choix électoral.

      «En attendant les robots», Antonio Casili, Fev. 2019, Seuil
      http://www.casilli.fr/tag/en-attendant-les-robots

      La blockchain est vue par l’économiste ultra-libéral Hernando de Soto comme une manière pour les pays du Tiers-Monde d’accrocher une valeur à leur patrimoine. Il s’est montré particulièrement enthousiaste concernant les utilisations de blockchain pour créer des cadastres inexistants. Cela permet, à partir de terres utilisées à des fins de subsistances, de créer des actifs immobiliers. Ces actifs peuvent être l’objet de transactions financières ou servir de gage à des crédits, hypothécaires par exemple.

      Business-as-usual - almost a tag.

  • Ce que le Libra raconte du futur de Facebook en 5 scénarios
    https://usbeketrica.com/article/libra-raconte-futur-facebook-en-5-scenarios

    Mark Zuckerberg l’a annoncé le 18 juin : Facebook lancera en 2020 sa cryptomonnaie Libra. Un changement de stratégie qui nous a donné envie de réfléchir à ce que pourrait devenir le géant Facebook à horizon 2050. La stratégie de Facebook peut sembler intrépide. Malgré les scandales à répétition sur l’utilisation des données personnelles qui ont visé la plateforme ces dernières années, Mark Zuckerberg rehausse encore ses ambitions. Cette fois-ci, c’est une monnaie qu’il lance avec ses partenaires Uber, eBay, (...)

    #Iliad #MasterCard #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Libra #Paypal #Spotify #Uber #domination #BigData #bénéfices (...)

    ##profiling

  • Facebook ouvre l’ère des entreprises devenues puissances universelles
    https://www.lemonde.fr/emploi/article/2019/06/26/facebook-ouvre-l-ere-des-entreprises-devenues-puissances-universelles_548152

    A travers sa monnaie, il faut craindre que Facebook organise de nouveaux référentiels de ce qui est marchandisable ou pas, désigne les activités accessibles à sa monnaie et celles qui ne le sont pas, explique, dans sa chronique, le titulaire de la chaire Théorie et méthodes de la conception innovante, Armand Hatchuel. En annonçant la création d’une monnaie virtuelle pour ses 2,5 milliards de clients, Facebook a rompu avec l’un des codes majeurs des Etats modernes : le monopole de la monnaie. La (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #Libra #domination

  • Le libra de Facebook, une monnaie au service de groupes privés | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190619/le-libra-de-facebook-une-monnaie-au-service-de-groupes-prives?onglet=full

    Super article, basé sur des faits (la lecture du livre blanc de lancement du Libra), et qui dégonfle pas mal de baudruches. Peut être un peu trop optimiste, car négligeant les désirs politiques de Zuckerberg...

    Facebook va-t-il créer une monnaie mondiale ? Depuis l’annonce par le géant du numérique du lancement, prévu en 2020, d’une « cryptomonnaie », les fantasmes et les titres ronflants se succèdent. Mais le détail de ce lancement, rendu public le 18 juin sous forme d’un « livre blanc », ramène ce projet dans des limites plus raisonnables. Le « libra », cette nouvelle cryptomonnaie, n’aura guère les moyens de concurrencer le système monétaire international sur lequel, du reste, elle entend se fonder.

    La première est que la blockchain sera fermée. Il faudra disposer d’une permission pour y avoir accès : ce sera donc un protocole privé et non un système ouvert à tous comme l’est le bitcoin. Au lieu d’être fondé sur la collaboration de tous les participants à la blockchain, ce protocole sera centralisé par l’association Libra, qui gérera cette monnaie depuis Genève et sera constituée des partenaires de Facebook (aujourd’hui 28 entreprises dont Iliad, Uber, PayPal, Visa, MasterCard, eBay ou encore Spotify).

    Le « livre blanc » prétend vouloir passer, lorsque la technologie sera au point, à une blockchain ouverte. Le système ouvert est en effet plus lent, il nécessite une validation collective qui prend du temps. Une transaction avec le bitcoin prend environ une dizaine de minutes aujourd’hui (ce temps a déjà été fortement réduit ces dernières années). Or le libra se veut un instrument de paiement avant tout : les transactions doivent donc être instantanées.

    La deuxième différence concerne la valeur. La valeur du bitcoin ne repose sur rien d’autre que sur la confiance dans son algorithme. Celle du libra ne sera pas fixée par un « marché du libra », mais par un panier de devises dont la structure n’est pas précisée, mais qui devrait a minima comporter l’euro, le dollar des États-Unis, la livre sterling, le yen japonais et peut-être le renminbi (ou yuan) chinois. L’association Libra fixera la pondération de chaque monnaie dans ce panier et fixera ainsi la valeur du libra par rapport aux autres devises.

    C’est une méthode utilisée par exemple par le FMI pour établir la valeur de ses droits de tirage spéciaux (DTS), son unité de compte, mais aussi par la Banque centrale chinoise pour fixer le cours du yuan. La valeur du libra ne sera donc pas « fixe », mais elle évoluera en fonction des taux de change des devises du panier. La promesse de l’association est que, en choisissant des devises stables, la valeur du libra ne devrait évoluer qu’à la marge.

    Au-delà de l’aspect technique, le régime monétaire du libra est, donc, in fine, très archaïque. C’est celui de l’étalon monétaire appliqué à un panier de devises, où une banque centrale disposait de réserves exactement équivalentes à ses créances monétaires. Le libra est donc l’équivalent d’une pièce de 20 francs-or de jadis : on savait qu’il y avait dans cette pièce 5,801 grammes d’or fin. Et lorsque l’on disposait d’un billet de cent francs, on pouvait aller l’échanger aux guichets de la Banque de France contre 5 pièces de 20 francs disposant de ce poids d’or.

    Ici, l’association libra promet qu’un libra aura une valeur donnée en dollars ou en euros et qu’à tout moment, on pourra l’échanger contre sa contre-valeur parce qu’elle dispose dans ses réserves du montant exact de ses créances en libras.

    À quoi servira le libra ?

    C’est un système extrêmement sûr, mais bien peu utile dans un régime économique où l’on doit investir dans l’avenir, prendre des risques et faire face à des besoins qui croissent plus vite que l’activité économique. C’est le revers de l’absence de spéculation : il n’y a pas non plus de vraie capacité d’investissement. La lecture du livre blanc montre que l’association cherche surtout à faire du libra une réserve de valeur, ce qui en réalité traduit un biais commercial.

    En faisant du libra un instrument de portage d’actifs liquide et relativement stable, l’association veut favoriser certains usages qui correspondent à l’intérêt des membres les plus puissants de l’association : le transfert de fonds à bon marché, le portefeuille électronique et, in fine, la consommation de biens et services proposés par les partenaires du système. On comprend pourquoi Facebook a attiré des entreprises commerciales dont beaucoup sont spécialisées dans les systèmes de paiement (Visa, MasterCard, Stripe, PayPal ou Lyft).

    Des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient

    Facebook, non, a répondu Mark Zuckerberg dans un message publié ce mardi : « Chaque information partagée avec Calibra [la filiale dédiée au libra – ndlr] sera conservée séparément des informations que vous partagez sur Facebook. »

    Ou encore : « À l’exception de cas limités, Calibra ne partagera pas les informations de compte ou les données financières avec Facebook ou toute autre tierce partie sans votre consentement », affirme un communiqué. « Les infos [recueillies par Calibra – ndlr] ne seront pas utilisées pour le ciblage publicitaire sur Facebook », réaffirme à Mediapart un responsable de la communication de la compagnie pour l’Europe.

    Pour David Marcus, ancien dirigeant de PayPal qui supervise le projet pour Facebook et s’est s’exprimé sur Twitter, « une des raisons de créer Calibra est d’avoir une entité dédiée et régulée, qui s’engagera fermement à protéger la vie privée de ses clients, car nous avons entendu haut et fort que vous ne vouliez pas que les données sociales et financières soient mélangées ».

    Cette collecte et sa monétisation sont au cœur du savoir-faire de Facebook, WhatsApp, Instagram… On imagine mal que sa nouvelle filiale soit durablement privée de ces talents. Olena Havrylchyk, professeure d’économie à l’université Paris I-Panthéon Sorbonne, s’interroge : « L’histoire a montré que le modèle économique de Facebook avait déjà changé dans le passé, passant de la protection de la vie privée (lorsque Facebook n’avait pas de parts de marché) à la surveillance (après, devenu un monopole). Peut-on s’attendre à une évolution similaire dans le modèle de Libra ? »

    Facebook ayant préempté toute la communication sur le projet, sans compter son architecture technique, on ignore quel usage les autres membres de l’association feront des données récoltées. Uber pourra-t-il adresser des publicités spécifiques à ses clients utilisateurs de libra ? À leurs amis ? Des ristournes ? Visa et MasterCard pourront-ils collecter des données que jusque-là ils ne possèdent pas, comme les relations des détenteurs de cartes de crédit ?

    Que pourront faire exactement les utilisateurs ? Plafond de dépenses, de rechargement en libras, d’envoi d’argent : on n’en sait rien à ce stade. Quiconque a utilisé PayPal ou d’autres moyens de transfert d’argent sait qu’il ne suffit pas d’avoir un compte créditeur pour que ça passe.

    Le problème du libra n’est pas réellement le fait qu’une entreprise privée crée une monnaie, puisqu’il n’y aura pratiquement aucune autonomie de création monétaire. Il est d’ailleurs piquant, de ce point de vue, de voir beaucoup d’observateurs prétendre que Facebook, avec sa monnaie privée, viendrait sur le terrain d’une prérogative des États. C’est doublement faux.

    D’abord parce que Facebook ne va pas vraiment « battre monnaie », puisque chaque libra sera couvert par le montant équivalent en devises émises par les banques centrales.

    Ensuite parce que le système actuel est déjà un système de création monétaire privée. Ce sont les banques commerciales qui aujourd’hui, dans les contraintes fixées par la Banque centrale tant sur le plan monétaire (le niveau des taux) que sur celui de la régulation (les ratios de solvabilité et le montant des réserves obligatoires), émettent l’essentiel de la monnaie en circulation par la distribution de crédits. Lorsqu’une banque émet un crédit, elle n’a pas cet argent dans un coffre, comme le libra devra l’avoir : elle crée la monnaie ex nihilo.

    #Facebook #Libra #Monnaie_numérique #Cryptomonnaie #Economie_monétaire

  • Quand Facebook devient un État | L’Echo
    https://www.lecho.be/entreprises/technologie/quand-facebook-devient-un-etat/10139091.html
    https://images.lecho.be/view?iid=dc:150957912&context=ONLINE&ratio=16/9&width=640&u=1561153098000

    Un bon papier qui soulève des questions... et interroge des gens connus de nos services : Ah ces prophètes, toujours les mêmes qui seront démentis dans quelques années, comme d’habitude :

    Certains n’ont pas hésité à parler de révolution, comme l’économiste Bruno Colmant, qui a réagi sur Twitter : « La création du libra, la monnaie de Facebook, est l’événement monétaire d’un demi-siècle après la fin de l’étalon-or décidé par les USA. C’est même la plus grande révolution depuis l’invention de la monnaie papier : une monnaie universelle, privée et digitale ! Facebook devient un État. Le libra est une véritable révolution monétaire et socio-politique. »

    « L’arrivée de nouvelles monnaies met à jour l’archaïsme des banques, nous dit pour sa part Laurent Alexandre, spécialiste des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle. Les banques se sont endormies. Il faut penser le rôle de la banque de demain. Et la question majeure est celle de la cybersécurité. Il faudra sortir des dizaines de milliards : on voit mal BNP ou ING le faire. Or, les Gafa sont capables de faire de la cybersécurité. »

    Le libertarisme (voir l’encadré) hante en effet les Gafa. Pour le comprendre, il faut se replacer dans le contexte des années 60. Dans son ouvrage, « Aux sources de l’utopie numérique. De la contre-culture à la cyberculture », Fred Turner a remarquablement montré comment les communautés hippies de l’époque, faute de pouvoir réaliser leurs utopies, vont progressivement, dans les années qui suivent, se réincarner à travers la constitution de communautés alternatives par le biais de la cybernétique. Une rencontre étonnante a ainsi eu lieu entre illuminés notoires, artistes, hackers, scientifiques et activistes de gauche. Cette collusion a forgé le système de pensée dans lequel évoluent aujourd’hui les représentants de la Silicon Valley. Un personnage clé comme Stewart Brand a formulé la perspective générale du mouvement : libérer l’individu en créant des réseaux qui permettent d’améliorer la vie de ceux qui y participent, sur la base d’un système autorégulé, sans l’aide de l’État. Mais cette idéologie libertaire, plutôt de gauche à la base, va entrer progressivement en lien avec un libertarisme de droite, c’est-à-dire un hyperlibéralisme : « Le libertarisme vise à tout transformer en marchandise, en objet échangeable sur un marché, précise Guillaume Vuillemey. Dès qu’un nouveau marché planétaire se crée, c’est un succès du libertarisme. » En mettant à mal nos libertés, Facebook semble néanmoins s’éloigner de toutes les formes de libertarisme : « Facebook n’est pas un rêve libertaire, estime Louis Larue, chercheur à la chaire Hoover de l’UCL. Le libertaire veut la libre concurrence, alors que Facebook fonctionne comme un monopole. C’est l’enfer des libertaires. Tout est centralisé. À mon sens, c’est une entreprise capitaliste classique qui a simplement plusieurs domaines d’activité. »

    #Facebook #Libra #Monnaie_numérique #Cryptomonnaie

  • Ne plus croire Facebook sur parole
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/06/20/ne-plus-croire-facebook-sur-parole_5478897_3232.html

    Les précédentes erreurs de l’entreprise américaine doivent inciter les régulateurs financiers à surveiller de près le lancement de la monnaie électronique « libra ». « Votre argent m’intéresse », disait sans ambages la publicité d’une grande banque française. Facebook n’est pas aussi direct, mais l’intention est la même. Après s’être soucié de savoir qui nous fréquentions, où nous voyagions, ce que nous aimions manger ou pour qui nous votions, le réseau social a désormais l’ambition d’avoir un œil sur notre (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #Libra #manipulation #domination #BigData #données

  • Facebook urged to pause Libra crypto-currency project (https://www....
    https://diasp.eu/p/9233510

    Facebook urged to pause Libra crypto-currency project

    HN Discussion: https://news.ycombinator.com/item?id=20222267 Posted by headalgorithm (karma: 5935) Post stats: Points: 95 - Comments: 120 - 2019-06-19T11:01:15Z

    #HackerNews #crypto-currency #facebook #libra #pause #project #urged HackerNewsBot debug: Calculated post rank: 103 - Loop: 264 - Rank min: 100 - Author rank: 68

  • Libra : four reasons to be extremely cautious about Facebook’s new currency
    https://theconversation.com/libra-four-reasons-to-be-extremely-cautious-about-facebooks-new-cur

    Facebook has unveiled libra, a cryptocurrency that will enable users to make international payments over Messenger and other group platforms like WhatsApp – perhaps from as soon as 2020. Here’s how it looks likely to work : a user would buy libra and keep a balance of the currency in Facebook’s digital wallet, called Calibra. The user could either transfer currency to another user – say a family member in another country – or purchase items or services from a participating online retailer. (...)

    #Facebook #Libra #cryptomonnaie #domination #BigData

  • Facebook crée son propre écosystème d’affaires avec sa cryptomonnaie Libra
    https://theconversation.com/facebook-cree-son-propre-ecosysteme-daffaires-avec-sa-cryptomonnaie

    Face aux attaques internes (leadership, gouvernance, etc.) et menaces externes (concurrence, technologie, etc.), l’emblématique patron de Facebook a choisi de réagir de façon à la fois spectaculaire, technologique et massive. Mark Zuckerberg et ses 27 partenaires prestigieux – Uber, Visa, Booking.com, eBay, Spotify, PayPal ou Iliad (Xavier Niel) ont en effet commencé à communiquer depuis quelques semaines sur la naissance imminente de la fondation Suisse Libra Association qui aura la charge de (...)

    #Iliad #MasterCard #Stripe #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #Instagram #WhatsApp #WeChat #eBay #Facebook #booking.com #Libra #LinkedIn #Paypal #Pinterest #Spotify #Twitch #Twitter #Uber #YouTube #domination #BigData #bénéfices #marketing (...)

    ##profiling ##Kiva ##MercadoLibre ##Branch

  • Libra : « Jamais aucune société n’a eu autant de pouvoir que Facebook » | Les Echos
    https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/libra-jamais-aucune-societe-na-eu-autant-de-pouvoir-que-facebook-1030444

    Olivier Ertzscheid est maître de conférences et chercheur en sciences de l’information à l’Université de Nantes. Le lancement par Facebook de sa propre monnaie numérique positionne, selon lui, l’entreprise comme une puissance étatique. Un pouvoir qui pose la question de son démantèlement.

    Ce qui me frappe avec libra, c’est qu’il y a encore un peu plus d’un mois, Mark Zuckerberg demandait aux Etats d’introduire plus de régulation sur la publicité politique et les discours haineux sur sa plateforme. On va, avec le libra, au bout de la logique de la dérégulation avec la possibilité pour une société commerciale privée de battre sa propre monnaie. On a toujours l’impression d’un double discours avec Facebook, car c’est une société qui avance très vite et sur de multiples fronts.

    #Libra #Facebook #Olivier_Ertzscheid

  • Facebook’s Libra: Three things we don’t know about the digital currency - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/613801/facebooks-libra-three-things-we-dont-know-about-the-digital-curren

    If it’s not the most high-profile cryptocurrency-related event ever, Facebook’s launch of a test network for its new digital currency, called Libra coin, has been the most hyped. It is also polarizing among cryptocurrency enthusiasts. Some think it’s good for the crypto industry; others dislike the fact that a big tech company appears to be co-opting a technology that was supposed to help people avoid big tech companies. Still others say it’s not even a real cryptocurrency.

    Libra’s network won’t work that way. Instead, running a “validator node” requires permission. To begin with, Facebook has signed up dozens of firms—including Mastercard, Visa, PayPal, Uber, Lyft, Vodafone, Spotify, eBay, and popular Argentine e-commerce company MercadoLibre—to participate in the network that will validate transactions. Each of these “founding members” has invested around $10 million in the project.

    That obviously runs counter to the pro-decentralization ideology popular among cryptocurrency enthusiasts.

    Today’s public blockchains use too much energy and process transactions too slowly to elicit mainstream demand. This is probably the biggest obstacle to adoption of cryptocurrencies. It’s why Facebook chose not to use proof of work, the process that Bitcoin uses to reach agreement among the blockchain network’s nodes, citing its “poor performance and high energy (and environmental) costs.”

    If the high-powered roster of financial firms and technology companies beat Ethereum to the punch on proof of stake, it would be ironic: public blockchains are supposed to disrupt Big Tech, not the other way around.

    On top of all that, how serious is Facebook is about achieving decentralization and becoming a “real” cryptocurrency? Perhaps the fact it has made a big song and dance about being decentralized is simply a way of offsetting the firm’s appalling record on data privacy. But will users demand that the currency be more decentralized—or will many simply not care?

    #Crypto_monnaie #Monnaie_numérique #Libra #Facebook

  • Le libra de Facebook, une monnaie au service de groupes privés
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190619/le-libra-de-facebook-une-monnaie-au-service-de-groupes-prives

    Facebook et 27 autres partenaires lanceront une cryptomonnaie en 2020, le libra, un système qui privilégie la stabilité et l’usage commercial. Si son poids dans l’économie fait l’objet de fantasmes nettement exagérés, l’irruption de Facebook dans le marché des paiements pose la question des données personnelles.

    #INTERNET #libra,_cryptomonnaies,_Facebook,_monnaie

  • Facebook : Libra, une monnaie pas si révolutionnaire
    https://www.alternatives-economiques.fr/facebook-libra-une-monnaie-revolutionnaire/00089666

    En 2020, les utilisateurs de Facebook pourront régler des transactions passant par le réseau social grâce à sa monnaie, le libra. C’est ce que devrait annoncer ce mardi 18 juin Mark Zuckerberg, le patron de Facebook. Uber, Spotify, Booking, eBay... sont de la partie : il devrait aussi être possible de payer chez eux en libra. Visa, Paypal, Mastercard en profiteront pour proposer des services financiers. Beaucoup d’éléments restent encore incertains quant aux conditions de lancement et d’utilisation (...)

    #MasterCard #Visa #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Uber #Spotify #Paypal #Libra (...)

    ##domination

  • #Solidarité avec la #librairie-Publico. | éditions-libertaires.org
    http://editions-libertaires.org/?p=1622

    Fait d’hiver politique consécutif à l’ambiance sociétale du moment (escalade des violences étatiques, matraquage médiatique contre les manifestations populaires) ou acte d’une personne déséquilibrée mentalement ? Peu importe ! La tentative d’assassinat dont a été victime un des animateurs de la librairie Publico (le siège social du Monde Libertaire) le 2 mai dans le XI ème arrondissement de Paris porte un coup rude à cet espace culturel et militant.

    Par delà les messages de solidarité qui affluent ce serait tout à l’honneur des librairies alternatives de lancer un appel pour se rendre à Publico afin d’y apporter un soutien moral voire d’y acheter des livres, des maisons d’édition d’offrir des livres à cette librairie associative dont la fragilité humaine et économique va encore être accentuée.

    D’avance merci !

    Les Éditions Libertaires. (Oléron le 3 mai 2019).

  • A quoi sert une #librairie ?

    https://www.franceculture.fr/emissions/le-billet-culturel/le-billet-culturel-du-vendredi-10-mai-2019


    À trouver ce qu’on ne cherche pas. Voilà une réponse qui en un sens « tue Amazon ». Elle est au cœur d’un petit livre violet, d’à peine 50 pages, signé de l’étymologiste anglais Mark Forsyth et intitulé « Incognita Incognita ».

    #lecture #savoir #connaissance

  • Un regard écosocialiste sur l’#effondrement

    J’étais le 20 mars dernier à Genève, dans le lieu auto-géré L’Écurie, à l’invitation du groupe écosocialiste de Solidarités. L’occasion d’échanger sur l’effondrement, ses implications politiques et sociales, en lien avec le système capitaliste. Un moment à la fois studieux et chaleureux, dans une salle qui frémissait encore des ondes punk-rock de Ludwig von 88, entre une affichette de soutien au Rojava et une collection de bicyclettes étonnante. Bref, un très chouette moment, à retrouver ci-après en podcast grâce à la radio indépendante Libradio. De quoi changer de regard sur la Suisse, merci à toute l’équipe ! Fichiers son ci-dessous, belle écoute à vous…


    https://revoirleslucioles.org/un-regard-ecosocialiste-sur-leffondrement
    #écosocialisme #collapsologie #audio #capitalisme #Corinne_Morel_Darleux

  • Envoi de livres français à l’international : la Poste augmente les coûts
    https://www.actualitte.com/article/monde-edition/envoi-de-livres-francais-a-l-international-la-poste-augmente-les-couts/92580

    La rentrée du ministre de la Culture, Franck Riester, commence fort : sollicitée par le député Michel Larive (France insoumise - Ariège), la rue de Valois revient sur la question des frais de port. Le député soulignait que « le tarif préférentiel qui permettait l’envoi à l’étranger de livres écrits en langue française et régionale est mis en péril et avec lui la diffusion de la culture française ».

    C’était en effet l’application d’un tarif du « Livres et bochures », qui fixait à 5 kg le poids maximal pour des envois à coût réduit. Mais la limite a été descendue à 2 kg, entrainant une hausse dès lors que le poids est dépassé. « Il en résulte une augmentation conséquente des prix d’envoi à l’étranger pour les livres en français. »

    Pour les libraires comme les éditeurs, cette hausse de la facture a pour conséquence de réduire les marges, tout en donnant le sentiment que le gouvernement favoriserait les « distributeurs de grande taille ».

    Réviser les prix pour respecter les règles

    Le cabinet du ministre apporte une réponse en demi-teinte. En effet, l’offre Livres et brochures à l’international est un service postal qui n’entrait pas dans le service universel tel que prévu par l’article 15-103 du règlement d’application de la Convention postale universelle.

    L’article en question évoque la possibilité d’une réduction des taxes d’affranchissements, qui ne peut pas aller au-delà de 50 % du tarif à appliquer. Et Franck Riester d’indiquer : « Les tarifs actuels de l’offre proposée par La Poste procurent une réduction nettement plus avantageuse que ce taux. » Si La Poste s’efforce de maintenir des « tarifs [qui] demeurent très abordables », cela ne peut se faire sans respecter les règles établies par la Convention.

    C’est ainsi, explique le ministre, que l’application des dispositions conventionnelles a donc conduit à modifier ses tarifs pour l’offre en question. Et augmenter les prix pour libraires et éditeurs qui y avaient recours.

    Des négociations sont prévues...

    Le ministre assure qu’il se rapprochera de Bercy pour évoquer les difficultés que posent ces nouvelles tarifications, « tant pour les envois à l’international qu’au national ». En effet, ce second point est plus violent encore pour l’interprofession : depuis la révision tarifaire de février 2015, les coûts ont lourdement augmenté.

    Si l’instauration d’un service Frequenceo éditeurs, pour les services de presse, a pu partiellement résoudre le point, les envois commerciaux (vente à distance), coûtent encore très cher.

    Cela dit, faire plier Bercy et La Poste, dont la situation financière est délicate, n’est pas un parcours de santé, tant les résistances sont fortes : « Dès lors, le maintien des offres commerciales avantageuses disponibles pour l’envoi de livres nécessite des efforts financiers partagés, tant de la part de l’entreprise avec la réduction de ses coûts, que de la part des usagers avec des augmentations tarifaires indispensables » indiquait le ministère de l’Économie et des Finances, interrogé sur le sujet en 2017.

    #Edition #Tarifs_postaux #Librairie

  • Benoît Quennedey placé en garde à vue Libraire Tropiques

    Lundi soir, Benoît Queneddey a été placé en garde à vue. Le président de l’Association d’amitiés franco-coréennes serait soupçonné d’espionnage pour le compte de Pyongyang. Les perquisitions ont été nombreuses durant la période d’Etat d’urgence et ont notamment visé des syndicalistes ou des ecolo-anarchistes. Sans compter tous ceux fichés S sur base d’obscurs critères. Par ailleurs, les intimidations se multiplient contre des partis politiques et les militants qui ne marchent pas dans le clous. La garde à vue de Benoît Queneddey est-elle une nouvelle manifestation de la chasse aux sorcières qui semble s’abattre sur la France ?

    Ses proches ont tenu mardi soir une conférence de presse à la Librairie Tropiques à Paris que vous pouvez visionner.
    https://www.youtube.com/watch?v=GnZ5HcsjKYs

    URGENCE civique
    http://www.librairie-tropiques.fr/2018/11/urgence-politique-benoit-quennedey-en-garde-a-vue.html

    Ce matin, Mme Quennedey, la maman de Benoit, http://www.librairie-tropiques.fr/tag/benoit%20quennedey m’a téléphoné de Dijon ...
     
    La police perquisitionnait chez elle ... au domicile familial de Dijon...
     
    Les agents - qui étaient encore chez elle lorsqu’elle m’a appelé- lui ont appris que son fils a été arrêté hier soir en rentrant à Paris, après avoir passé son week-end en famille à Dijon. Cette perquisition chez ses parents en province a donc lieu dans le contexte de sa garde à vue parisienne.

    Ses parents, sa famille, sont très inquiets et n’ont aucune nouvelle de Benoît qui étant en garde à vue ne peut être joint.
     
    Il est très probable, connaissant Benoît Quennedey, que cette interpellation, sa garde à vue, la perquisition au domicile de ses parents et tout ce que nous ignorons encore est en rapport avec les coréens (du sud) réfugiés politiques en France qui sont en eux-mêmes en rapport avec l’association d’amitiés franco-coréennes : http://www.amitiefrancecoree.org dont Benoît est président.
    ( plutôt que pour son adhésion politique au parti ... des Radicaux de Gauche ...)
     
    Il y a manifestement là un abus de pouvoir et des suites sans doute assez scabreuses à prévoir, vu la tournure des dispositions policières déployées et eu égard à la parfaite rigueur, honnêteté et respectabilité de l’intéressé, énarque sérieux, progressiste et consciencieux, travaillant au sénat et qui assume ses diverses responsabilités avec autant de prudence politique que de scrupule et de civisme...

    . . . .
    M. Benoît Quennedey a été arrêté à son domicile, à Paris, hier dimanche soir, au motif de « recueil et livraison d’informations à une puissance étrangère susceptibles de porter atteinte aux intérêts de la nation ».
    J’attends qu’on m’explique quels types d’informations un membre de la commission architecture du Sénat pourrait détenir.

    Je précise que M. Benoît Quennedey a toujours milité pour l’amitié entre les peuples, à commencer par les deux Corée, puis entre celles-ci et le nôtre. L’association qu’il préside a été fondée en 1969. 
    J’ai eu l’honneur de publier récemment son dernier ouvrage « La Corée du Nord cette inconnue » (éditions Delga, 2017) et je peux garantir que M. Quennedey met toutes ses compétences à apporter des informations non confidentielles sur la Corée du Nord, mais peu répercutées sur les médias et fort utiles, pourtant, à améliorer notre connaissance éclairée et pacifique de cette partie du monde.
    Me tenant à votre disposition pour plus d’informations, 
     
    Aymeric Monville,
    éditeur de Benoît Quennedey (éditions Delga)
    EXCLUSIF : les informations secrètes livrées à la Corée par l’espion du Sénat.
    http://www.librairie-tropiques.fr/2018/11/urgence-politique-benoit-quennedey-en-garde-a-vue.html

    Comme nous n’avons pas appris grand chose depuis hier soir ( voir urgence civique ), sinon que Macron « himself » était aux manettes ... Puisqu’en fait c’est nous qui avons révélé cette affaire à la presse, à la demande des parents de la victime. Nous avons jugé que pour désamorcer cette loufoquerie absurde et honteuse ( et très dommageable à notre ami Benoît qui reste au secret pour une durée indéterminée ), la chose décisive était de révéler à la presse la nature des « informations livrées à une puissance étrangère susceptibles de porter atteinte aux intérêts de la nation ».

    Les voici donc, puisqu’elles ne sont ni secrètes ni vraiment nouvelles (et encore moins « secret défense ») , ayant été diffusées il y a plus d’un an, au titre de bande annonce d’une des rencontres d’éducation populaire animées par Benoît à la librairie réfractaire (à la connerie politique et médiatique ambiante).

    Jugez vous-mêmes : Trailer Corée 1
    https://www.youtube.com/watch?v=Cy-iYJdtafc

    #Benoît_Quennedey #Librairie_Tropiques #Corée #répression #police #surveillance #France #Sénat

  • #Mobilisation-internationale des #libraires-anciens contre #Abebooks
    https://www.actualitte.com/article/monde-edition/mobilisation-internationale-des-libraires-anciens-contre-abebooks/91692

    D’Abebooks à Amazon : l’hégémonie qui plane

    Coup dur, pour la filiale d’Amazon, confrontée non à une simple révolte que l’on matte en distribuant de la brioche, mais bien à une révolution. D’anciens présidents du Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne (fondée en 1914) ont rappelé, loin des micros, qu’ils avaient mis en garde depuis longtemps contre la menace hégémonique que représente cette société.

    Henri Vignes, président du SLAM, l’expliquait à ActuaLitté en 2017 : « Nous n’avons pas de relations avec eux, même si certains libraires — j’en fais partie — vendent des livres sur cette plateforme. Abebooks a cherché à être reconnu officiellement par le SLAM, mais nous n’avons aucune envie de les soutenir. »

    C’est qu’en tant que vendeurs qualifiés, apportant de véritables garanties sur les ouvrages commercialisés, les libraires anciens sont particulièrement chouchoutés par Abebooks. Et préserver de bonnes relations avec l’ILAB est fondamental pour l’entreprise...

    Et l’observateur de conclure : « La réaction de solidarité qui se propage est incroyable : cette mobilisation globale reflète aussi la réalité du métier de chacun. Ce sont des gens qui subissent dans leur coin et se rendent compte qu’ils sont prisonniers de l’entreprise. Demain, Abebooks pourrait décider d’augmenter le pourcentage de sa commission, ou supprimer des comptes, sans contestation possible. »

    Plus que jamais, la nécessité d’alternative s’impose. En France, Livre Rare Book, société basée à Lyon, offre des solutions commerciales intéressantes : un abonnement modique pour les libraires qui vendent, et pas de commission. Plus attractif, surtout que la filiale d’Amazon depuis quelques années, encaisse désormais les ventes, et reverse par la suite aux libraires – prenant commission et frais de change, commissions bancaires, etc.

    Non sans subir, également, les attaques d’Abebooks-Amazon.

  • How to make wise choices in selecting #libraries
    https://hackernoon.com/how-to-make-wise-choices-in-selecting-libraries-4f292a7247cd?source=rss-

    Choosing a library is like choosing a wife, you have to stick with it and often changing one involves complicated process that is very expensive. So the best way to do this by analysis.Now a days most analysis of libraries involve the features of the library. So we won’t get into that. We will go through this problem by example choosing a model server library for machine learning. A model server library allows you to easily make a server for your machine learning model.Select the library which gives you the most featuresThis is a fairly obvious choice picking the one that gives you the most features. You look at your requirements and you see the library which gives you the minimal features you need.So i have shortlisted 4 libraries:Tensorflow servingClipper.aiModel Aerver for Apache (...)

    #github #bigquery #python