• Nord c’est noir
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/librairie-service-compris/nord-c-est-noir

    par Tomjo Suivez le guide. Tomjo nous conte l’étonnante et véridique histoire de la betterave à sucre, de la pizza machine et de la batterie électrique. De quoi vérifier sur place que l’énergie électrique, n’importe sa source, n’est ni « durable », ni décarbonée, et que la prétendue Giga-Transition ne poursuit en fait que la politique de la terre brûlée par d’autres moyens technologiques. Deux siècles d’industrie mortifère ayant remplacé les mines, les tissages et les aciéries, entre (…) Librairie/Service Compris

    #Librairie/Service_Compris

  • « Je suis choquée et inquiète pour les personnes de la librairie » Violette & Co
    https://actualitte.com/article/125565/reportages/je-suis-choquee-et-inquiete-pour-les-personnes-de-la-librairie-violette-

    La librairie engagée Violette and Co, installée dans le 11ᵉ arrondissement de Paris, a récemment dénoncé une campagne d’intimidation et de dégradations liée à la présence en vitrine d’ouvrages sur la Palestine. Dès le 6 août, un groupe de cinq personnes serait venu les « intimider », puis, dans la nuit du 7 au 8 août, la vitrine a été taguée à la peinture à l’acide... ActuaLitté s’est rendu sur place pour constater les dégradations, et recueillir les témoignages de l’équipe et des fidèles du lieu.
    Première constatation : habitués et curieux répondent présents. Le café attenant affiche complet, tandis que les rayons de la librairie ne désemplissent pas.
    From the River to the Sea

    Florence, une habituée, nous confie malgré tout, au sujet des dégradations et autres menaces contre le lieu : « Comme beaucoup ici, je suis choquée et un peu inquiète pour les personnes de la librairie - on ne sait jamais ce qui peut arriver. » Mais de n’être pas vraiment surprise : « On sent bien que les tensions liées à l’extrême droite montent, et que le moindre prétexte est bon pour s’en servir, prétendument pour défendre certaines causes. »

    La nouvelle croisade de l’extrême droite, dans un retournement historique pour le moins saisissant, se présenterait comme la défense des juifs, prenant pour prétexte une vitrine dédiée à la question palestinienne. Au cœur des critiques d’une partie des médias et des internautes, un livre de coloriage intitulé From the River to the Sea, cosigné par Nathi Ngubane et Azad Essa.

    L’ouvrage entend initier les enfants à la cause palestinienne à travers des portraits à colorier accompagnés de courts textes explicatifs. Il s’inscrit dans le contexte de la procédure engagée par l’Afrique du Sud contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ), accusant l’État hébreu de génocide à Gaza.

    Paru initialement dans le pays de Nelson Mandela, il avait déjà suscité de vives polémiques en raison de son titre-slogan, From the River to the Sea, expression historiquement associée à l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), reprise plus tard par le Likoud puis le Hamas.

    Cette formule, qui désigne l’espace compris entre le Jourdain et la Méditerranée, divise : ses opposants l’interprètent comme un appel à la disparition d’Israël et donc à la haine ou au terrorisme. Le président du CRIF, Yonathan Arfi, a par exemple estimé que ce slogan « induit l’éradication de l’État d’Israël ».

    Tandis que ses partisans y voient la revendication d’un État unique garantissant l’égalité des droits à tous ses habitants. Rima Hassan, réfugiée palestinienne et députée européenne LFI, réclame pour sa part la création d’un « État binational démocratique et laïc », estimant qu’il n’y aura « pas de solution à deux États ».
    Une vitrine engagée et assumée

    La librairie nous explique : « Le livre est en dépôt chez nous depuis un an. On l’a mis en vitrine dans le cadre d’un ensemble engagé et assumé, consacré à la Palestine, mais aussi à la montée de l’extrême droite et à l’antiracisme. L’interprétation qui en a été faite, accusant d’un appel à l’antisémitisme, ne correspond en rien à notre intention. Ceux qui parcoureront l’ouvrage découvriront qu’il n’appelle pas à la disparition de l’Etat d’Israël, ni à la haine ou à la violence. »

    Florence, qui n’a pas lu – logiquement – ce livre de coloriage destiné aux enfants, a trouvé la vitrine « extrêmement bien conçue ». Elle « trouve positif que ce type d’ouvrage existe, pour permettre à de très jeunes enfants d’accéder à une information différente de celle que présentent certains médias ». Au sujet du titre, elle assure : « Il ne m’a pas choqué, car il renvoie à quelque chose de fort pour la Palestine. Pour moi, il ne signifie pas, comme certains l’affirment, l’exclusion d’Israël : ce n’est pas l’origine de l’expression. »

    Et d’ajouter : « La plupart des personnes qui s’autorisent ce type de réaction, à mon sens, ne connaissent pas l’histoire, qui remonte à plus d’un siècle. Cela me semble davantage relever d’une réaction épidermique et d’un prétexte qu’autre chose. »

  • Margarete Streisand | Stolpersteine in Berlin
    https://www.stolpersteine-berlin.de/de/eislebener-str/4/margarete-streisand

    Verlegeort: Eislebener Str. 4
    Bezirk/Ortsteil: Charlottenburg
    Verlegedatum: 23. April 2013
    Geboren: 05. August 1882 in Grätz / Grodzisk Wielkopolski
    Deportation: am 29. Oktober 1941 nach Łódź / Litzmannstadt
    Später deportiert am 06. Mai 1942 nach Chełmno / Kulmhof
    Ermordet 06. Mai 1942 in Chełmno / Kulmhof

    Margarete Streisand wurde am 5. August 1882 in Grätz (Grodzisk) im Raum Posen (Poznan) geboren. Der Vater war der Druckereibesitzer Louis Streisand, die Mutter hieß Clara. Margarete hatte drei Geschwister: Hugo, Willi (gestorben 1919 an Lungentuberkulose) und Bianka (geboren am 7. September 1881 in Grätz, nach Theresienstadt deportiert). Als sie am 17. Mai 1939 bei der Volkszählung in Berlin registriert wurde, war sie unverheiratet und von Beruf Buchhändlerin.

    „Mein Großvater Hugo Streisand“, so berichtete seine Enkelin Renate, “gründete 1901 eine erfolgreiche wissenschaftliche Buchhandlung, später wurde sie ein Antiquariat. Er wohnte zuerst in einer kleinen Wohnung in der Eislebener Straße 6 und zog dann 1905 in die Eislebener Straße 4, dorthin zogen auch seine Mutter und seine Schwester Margarete.“ Die Wohnung lag im 2. Stock links, ein Zimmer war untervermietet an Elisabeth Behrend (geboren am 14. Februar 1863 in Kolberg, ermordet am 13. September 1942 in Theresienstadt), die Buchhandlung befand sich in der Nähe an der Augsburger Straße 38.

    Margarete muss ihren Neffen Joachim Streisand (1920-1980), den Vater von Renate Streisand, wie sie sich weiter erinnerte, „geliebt haben. Das zeigen Urlaubsansichtskarten aus den 1920er Jahren.“ Margarete hat demnach Reisen in Europa gemacht, die eine gewisse finanzielle Kraft voraussetzten.

    Die Streisands wären „eine normale bürgerliche Familie gewesen“, schätzt Renate, wenn es die Judenverfolgung nicht gegeben hätte. „Ich erinnere mich an meine Kindheit in der Eislebener Straße 4, wenn meine Großmutter Erna-Maria Streisand mir vor bestimmten familiären Anlässen sagte, es sei nicht nötig, den Tisch im Wohnzimmer ganz auszuziehen, es kämen nicht so viele Verwandte. … Die Familie Streisand war klein geworden, Ermordung und Exil hatten nur noch eine kleine Gruppe der Streisands in Deutschland leben lassen.“

    Der Buchhändler Hugo Streisand lebte in „privilegierter Mischehe“, wie es bei den Nationalsozialisten hieß, er war verheiratet mit Erna-Maria geb. Dunst. Seine Schwester Bianka, verheiratete und geschiedene Hassel, wurde am 9. Februar 1944 aus der Joachimsthaler Straße 24 mit der Nummer 97 nach Theresienstadt deportiert. Sie überlebte die Grauen des Ghettos, starb aber am 6. Juli 1945 an Herzschwäche, was sicherlich eine Folge der Haft war.

    Ergänzung 2022:
    Margaretes Bruder Hugo Streisand überlebte den Krieg und betrieb wieder seinen Buchhandel. Er starb 1955 und seine Witwe Erna führte das Antiquariat weiter.

    Eine Großnichte Ernas, Dr. Irina Metzler, schreibt uns:

    “Ich selber habe Tante Erna noch kennengelernt, als ich ein kleines Mädchen war und Erna ihr Antiquariat in einer für mich damals fürchterlich dunklen, staubigen und mit Büchern regelrecht zugestopften Wohnung hatte. Nach Ernas Tod Mitte der 80er-Jahre hatte meine Mutter den damals noch durch die Mauer getrennten Erben von Streisand die Buchexporthandlung abgekauft. Als “Buchexport Hugo Streisand Nachfolge Ursula Zilli” konnte die Firma 2001 noch das 100. Firmenjubiläum feiern, bevor sie von Berlin in die Nähe von Nürnberg umgezogen ist.”

    https://www.stolpersteine-berlin.de/sites/default/files/stolpersteine-media/dateien/dokumente-streisand.pdf

    Stolperstein Eislebener Straße 4 - Berlin.de
    https://www.berlin.de/ba-charlottenburg-wilmersdorf/ueber-den-bezirk/geschichte/stolpersteine/artikel.179820.php
    https://www.berlin.de/imgscaler/r4z4rDVUY5O_3HGAdUuSVO9JVVCo0mztkdqHl9FAspE/r3zu4/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya
    Hauseingang Eislebener Str. 4, Bild: Stolpersteine-Initiative CW, Bukschat&Flegel

    Der Stolperstein für Elisabeth Behrend wurde am 24.7.2012 auf Wunsch ihrer Nachkommen Christiane von Alten und Jens-Peter Behrend (Berlin) verlegt.

    Der Stolperstein für Margarete Streisand wurde am 23.4.2013 auf Initiative von Renate Iwainsky-Streisand (Berlin) verlegt.

    https://www.berlin.de/imgscaler/kQzqxPXEQ7HHrF6ztfhia6TQhE0Gw475DjX-TAZDSag/r4zu3/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya Stolperstein Elisabeth Behrend Bild: Stolpersteine-Initiative CW, Bukschat&Flegel

    HIER WOHNTE
    ELISABETH BEHREND
    JG. 1863
    DEPORTIERT 28.8.1942
    THERESIENSTADT
    ERMORDET 13.9.1943

    Elisabeth Behrend wurde am 14. Februar 1863 in Kolberg in Pommern geboren. Sie war Tochter des Arztes Moses Behrend und Ulrike geb. Gronau und hatte vier, möglicherweise fünf Geschwister. Ihr Vater Moses (Moritz) Behrend war Begründer des Behrendschen Solebads in Kolberg, das maßgeblich dazu beitrug, aus Kolberg einen Kurort zu machen. Über drei Generationen hinweg sollten die Behrends in Kolberg medizinische Heilbäder betreiben. Auch als ihr Bruder Felix als Medizinalrat die Aufsicht und Direktion über das Heilbad übernommen hatte, lebte die unverheiratete Elisabeth bei der Familie. Erst später, womöglich im Zuge der Deportationen, ging sie nach Berlin.
    Im Jahr 1938 , unmittelbar nach den Pogromen der sogenannten Reichskristallnacht, versuchte sie vergeblich, sich vor der Verfolgung zu retten, indem sie der Polizei folgende Mitteilung machte: „Ich versichere an Eides statt…, dass mein Großvater nach Angaben meiner Eltern als Wachtmeister eines Husarenregiments an den Freiheitskriegen 1813/14 teilnahm, Kriegsauszeichnungen erhielt und als Posthalter in Neustettin gelebt hat. Ich bin seine einzige heute noch lebende Enkelin und die Schwester des Geheimen Medizinalrats Dr. Felix Behrend. Kolberg, den 12. November 1938, Elisabeth Behrend“

    Deportiert wurde Elisabeth Behrend, die in der Eislebener Straße 4 im 2. Stock links als Untermieterin der Familie Streisand wohnte, am 28. August 1942 nach Theresienstadt, wo der fast 80-jährigen ein geruhsamer Lebensabend versprochen worden war. Sie wurde in ein verplombtes Abteil gesetzt, um sie herum 100 Jüdinnen und Juden, von denen fast alle älter als 70 waren. Die letzte Strecke bis zur Einfahrt des Ghettos mussten sie zu Fuß gehen. Ihnen war erlaubt, wenig Gepäck mitzunehmen. Diesen Transport überlebten nur drei. In Theresienstadt wurde fälschlich registriert, ihr „letzter Wohnort“ sei das Ostseebad Kolberg gewesen.

    Todestag von Elisabeth Behrend war der 13. September 1942. Auf dem Totenschein gaben die Ärzte als Todesursache „Darmkatarrh“ an, was eine Umschreibung für die Folgen der katastrophalen Ernährungs-, Gesundheits- und Hygieneumstände im Ghetto Theresienstadt war.
    http://www.holocaust.cz/de/opferdatenbank/opfer/5427-elisabeth-behrend

    Text: Jens-Peter Behrend mit Hilfe von Aufzeichnungen und Dokumenten von Christiane von Alten sowie des Archivs Theresienstadt, ergänzt von Helmut Lölhöffel

    https://www.berlin.de/imgscaler/srpG2YvfemsdvpGz9sUoc6XSXXTw-RlSZVfs6cAh1_w/r4zu3/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya Stolperstein Margarete Streisand Bild: Stolpersteine-Initiative CW, Bukschat&Flegel

    HIER WOHNTE
    MARGARETE
    STREISAND
    JG. 1882
    DEPORTIERT 29.10.1941
    ERMORDET IN
    LODZ / LITZMANNSTADT

    Margarete Streisand wurde am 5. August 1882 in Grätz (Grodzisk) im Raum Posen (Poznan) geboren. Der Vater war der Druckereibesitzer Louis Streisand, die Mutter hieß Clara. Margarete hatte drei Geschwister: Hugo, Willi (gestorben 1919 an Lungentuberkulose) und Bianka (geboren am 7. September 1881 in Grätz, nach Theresienstadt deportiert). Als sie am 17. Mai 1939 bei der Volkszählung in Berlin registriert wurde, war sie unverheiratet und von Beruf Buchhändlerin.

    „Mein Großvater Hugo Streisand“, so berichtete seine Enkelin Renate, “gründete 1901 eine erfolgreiche wissenschaftliche Buchhandlung, später wurde sie ein Antiquariat. Er wohnte zuerst in einer kleinen Wohnung in der Eislebener Straße 6 und zog dann 1905 in die Eislebener Straße 4, dorthin zogen auch seine Mutter und seine Schwester Margarete.“ Die Wohnung lag im 2. Stock links, ein Zimmer war untervermietet an Elisabeth Behrend (geboren am 14. Februar 1863 in Kolberg, ermordet am 13. September 1942 in Theresienstadt), die Buchhandlung befand sich in der Nähe an der Augsburger Straße 38.

    Margarete muss ihren Neffen Joachim Streisand (1920-1980), den Vater von Renate Streisand, wie sie sich weiter erinnerte, „geliebt haben. Das zeigen Urlaubsansichtskarten aus den 1920er Jahren.“ Margarete hat demnach Reisen in Europa gemacht, die eine gewisse finanzielle Kraft voraussetzten.

    Die Streisands wären „eine normale bürgerliche Familie gewesen“, schätzt Renate, wenn es die Judenverfolgung nicht gegeben hätte. „Ich erinnere mich an meine Kindheit in der Eislebener Straße 4, wenn meine Großmutter Erna-Maria Streisand mir vor bestimmten familiären Anlässen sagte, es sei nicht nötig, den Tisch im Wohnzimmer ganz auszuziehen, es kämen nicht so viele Verwandte. … Die Familie Streisand war klein geworden, Ermordung und Exil hatten nur noch eine kleine Gruppe der Streisands in Deutschland leben lassen.“

    Der Buchhändler Hugo Streisand lebte in „privilegierter Mischehe“, wie es bei den Nationalsozialisten hieß, er war verheiratet mit Erna-Maria geb. Dunst. Seine Schwester Bianka, verheiratete und geschiedene Hassel, wurde am 9. Februar 1944 aus der Joachimsthaler Straße 24 mit der Nummer 97 nach Theresienstadt deportiert. Sie überlebte die Grauen des Ghettos, starb aber am 6. Juli 1945 an Herzschwäche, was sicherlich eine Folge der Haft war.

    Text: Stolpersteine-Initiative Charlottenburg-Wilmersdorf auf Grund Aufzeichnungen von Renate Iwainsky-Streisand (Berlin), Großnichte von Margarete Streisand.

    https://www.berlin.de/imgscaler/hYa_zE_b-Obb0UODQee5Kj5AvRMYD8kV91MJQRgyx34/r3zu4/L3N5czExLXByb2QvYmEtY2hhcmxvdHRlbmJ1cmctd2lsbWVyc2RvcmYvdWViZXItZGVuLWJlemlya Hugo und Erna Streisand Bild: Privat

    Ergänzung 2022: Margaretes Bruder Hugo Streisand überlebte den Krieg und betrieb wieder seinen Buchhandel. Er starb 1955 und seine Witwe Erna führte das Antiquariat weiter.

    Eine Großnichte Ernas, Dr. Irina Metzler, schreibt uns:

    “Ich selber habe Tante Erna noch kennengelernt, als ich ein kleines Mädchen war und Erna ihr Antiquariat in einer für mich damals fürchterlich dunklen, staubigen und mit Büchern regelrecht zugestopften Wohnung hatte. Nach Ernas Tod Mitte der 80er-Jahre hatte meine Mutter den damals noch durch die Mauer getrennten Erben von Streisand die Buchexporthandlung abgekauft. Als “Buchexport Hugo Streisand Nachfolge Ursula Zilli” konnte die Firma 2001 noch das 100. Firmenjubiläum feiern, bevor sie von Berlin in die Nähe von Nürnberg umgezogen ist.”

    Dokumente Maegarete Streisand https://www.berlin.de/ba-charlottenburg-wilmersdorf/ueber-den-bezirk/geschichte/stolpersteine/assets/dokumente-streisand.pdf?ts=1646829302 PDF-Dokument (1.8 MB)

    Adresse
    Stolpersteine
    Eislebener Str. 4
    10789 Berlin

    Streisand Hugo Buchhandlung und Antiquariat Nachfolgerin Ursula Zilli im KÖNIGSTR. 61A, Berlin, Berlin 14109, Berlin: Kundenrezensionen, Öffnungszeiten, Wegbeschreibungen, Fotos usw.
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    Über Streisand Hugo Buchhandlung und Antiquariat Nachfolgerin Ursula Zilli im Berlin

    Unser Unternehmen Streisand Hugo Buchhandlung und Antiquariat Nachfolgerin Ursula Zilli befindet sich in der Stadt Berlin, Region Berlin. Die Rechtsanschrift des Unternehmens lautet KÖNIGSTR. 61A. Der Umfang des Unternehmens Einzelhandel, Grosshandel. Bei anderen Fragen rufen Sie 030/8053679 an.

    Joachim Streisand
    https://de.wikipedia.org/wiki/Joachim_Streisand

    Joachim Streisand (* 18. Oktober 1920 in Berlin; † 6. Januar 1980 in Ost-Berlin) war ein deutscher Historiker.

    Sein Vater Hugo Streisand betrieb im Westen Berlins eine Buchhandlung, die von bekannten Persönlichkeiten aus der Kunst, den Naturwissenschaften und der Schriftstellerei aufgesucht wurde. Sein Vater stand vor 1945 der Sozialdemokratie nahe und kannte u. a. Karl Kautsky, Eduard Fuchs und Dawid Borissowitsch Rjasanow (Dawid Borissowitsch Goldendach). Im Laufe der Jahre wandelte er seine Buchhandlung in ein wissenschaftliches Antiquariat um. Sein Vater verfasste auch Aufsätze wie über Ludwig Gall und die Gestalten der Geschichte der utopischen sozialen Konzeptionen. In diesem Umfeld wurde Joachim Streisand früh durch die Ansichten seines Vaters beeinflusst. Seine Schwester ist die Kirchenhistorikerin Rosemarie Müller-Streisand.[1]

    1938 erlangte Streisand das Abitur. Danach nahm er hauptsächlich ein Studium der Philosophie und Germanistik auf: von 1938 bis 1939 in Rostock,[2] danach von 1939 bis 1942 in Berlin. Daneben hörte er auch noch Vorlesungen in den Fächern Romanistik, Anglistik, Psychologie, Kunstgeschichte und Geschichte. Weiterhin entwickelte er ein Interesse für Mathematik, Physik und absolvierte zusätzliche Prüfungen in der lateinischen und griechischen Sprache. Auch moderne Sprachen interessierten ihn, so dass er die englische und französische Sprache fließend sprechen konnte. Zudem eignete er sich Kenntnisse der schwedischen, italienischen und spanischen Sprache an. Später lernte er die russische Schriftsprache, um russische Texte selbständig lesen zu können.

    Gemäß der Nürnberger Rassegesetze wurde er 1942 von der Universität vertrieben. Bei der Opta Radio AG arbeitete er von 1942 bis 1944 anfangs in Berlin, dann in Goldberg in Schlesien in einem Labor. 1944 wurde er in ein Zwangsarbeitslager nach Jena deportiert. Von dort flüchtete er im März 1945 nach Berlin und hielt sich dort versteckt bis Mai 1945 auf.

    Von Juni bis Dezember 1945 arbeitete er als stellvertretender Leiter des Schulamtes. Dann wechselte er an die Volkshochschule Berlin-Charlottenburg und hielt dort von 1946 bis 1948 Einführungsvorlesungen in den Fächern Philosophie, Soziologie und Probleme der Gesellschaftswissenschaften. Daneben leitete Streisand Arbeitskreise und -gemeinschaften über soziale und politische Bewegungen, die Französische Revolution, zu marxistischen Persönlichkeiten und zum dialektischen Materialismus. Seine eigenen Studien setzte er an der Universität Berlin fort und hörte Vorlesungen bei Alfred Meusel und Jürgen Kuczynski. Dabei wurde er Zeuge, wie es in Meusels Seminaren 1947 und 1948 zu großen politischen Disputen kam. Am Institut für Zeitgeschichte nahm er von September 1947 bis Juni 1948 eine Nebenbeschäftigung auf.

    1946 wurde Streisand Mitglied im Kulturbund, im April 1948 trat er der SED bei, was zur Entlassung aus der Volkshochschule führte. 1950 konnte er eine Stellung als Lehrbeauftragter für Musikgeschichte am Staatlichen Konservatorium antreten, danach als Lehrer beim DEFA-Studio für Gegenwartskunde. 1951 konnte er an der Humboldt-Universität als wissenschaftlicher Hilfsassistent Vorlesungen der neueren deutschen Geschichte wie die deutschen Einigungsbestrebungen im 19. Jahrhundert und später zur deutschen Geschichte von 1789 bis 1871 abhalten.

    1952 schrieb er seine Dissertation zum Thema Kritisches zur deutschen Soziologie, die sich hauptsächlich mit dem Soziologen Karl Mannheim beschäftigte. Die Gutachter dieser Arbeit waren Alfred Meusel und Heinz Kamnitzer. Die Arbeit und die mündlichen Prüfung konnte er mit der Bewertung summa cum laude abschließen. Da sein Betreuer Meusel zum Direktor des Museums für Deutsche Geschichte ernannt wurde, folgte Streisand ihm im Januar 1952 und übernahm als stellvertretender Leiter dort den historischen Zeitabschnitt von 1848 bis 1895. 1953 ernannte man ihn zum Abteilungsleiter. Weiterhin übernahm er Aufgaben im wissenschaftlichen Beirat der Wartburg. 1955 verließ er das Museum.

    Von 1953 bis 1957 wirkte er in Zusammenarbeit mit Fritz Klein an der Redaktion der Zeitschrift für Geschichtswissenschaft (ZfG) mit, da er zu den Begründern dieser Fachzeitschrift gehörte. Dabei betreute er die Veröffentlichungen zur deutschen und westeuropäischen Geschichte bis zum Ende des 19. Jahrhunderts.

    Von 1956 bis 1963 betätigte er sich als wissenschaftlicher Referent an der Akademie der Wissenschaften. Im Dezember 1962 hatte er seine Habilitationsschrift mit dem Thema Die deutsche Geschichtsschreibung in den politischen und ideologischen Auseinandersetzungen des 18. Jahrhunderts – Von der Frühaufklärung bis zur deutschen Klassik an der Martin-Luther-Universität Halle abgegeben. 1963 erhielt er an der Humboldt-Universität Berlin einen Lehrauftrag und wurde zum Direktor des Instituts für deutsche Geschichte ernannt. Von 1969 an lehrte er als ordentlicher Professor und übernahm als Direktor die neue Sektion Geschichte bis 1974. 1971/72 war er dort an der politisch motivierten Relegation und Maßregelung von 13 Studenten beteiligt.

    Von 1968 an wirkte er als Präsident der Historiker-Gesellschaft der DDR, die vorher von Ernst Engelberg und Gerhard Schilfert geleitet wurde. Diese Stellung übernahm er für die nächsten zwölf Jahre bis zu seinem Ableben. Seit 1975 war Streisand Ordentliches Mitglied der Akademie der Pädagogischen Wissenschaften der DDR.

    Seit 1945 war er mit der Schauspielerin Hildegard Lücke verheiratet, die später bei der Regie am Deutschen Theater zu Berlin mitarbeitete. Nach der Scheidung 1961 lebte er in einer Lebensgemeinschaft. 1969 wurde ihm der Nationalpreis der DDR verliehen.

    Von 1958 bis 1980 war er als Inoffizieller Mitarbeiter mit Decknamen „Montag“ für das Ministerium für Staatssicherheit tätig.[3]

    Die Schriftstellerin Lea Streisand ist Streisands Enkelin.

    Um die Einheit Deutschlands – Die Revolution 1848/49. Berlin 1953.
    Der Kampf von Marx und Engels für die demokratische Einigung Deutschlands. In: Zeitschrift für Geschichtswissenschaft (ZfG). Heft 2, 1953, S. 242.
    Bismarck und die deutsche Einigungsbewegung des 19. Jahrhunderts in der westdeutschen Geschichtsschreibung. In: ZfG. Heft 3, 1954, S. 349.
    Die Wartburg in der deutschen Geschichte. Berlin 1954.
    mit Fritz Klein (Hrsg.): Beiträge zu einem neuen Geschichtsbild. Zum 60. Geburtstag von Alfred Meusel. Berlin 1956.
    Deutschland von 1789 bis 1815. Von der Französischen Revolution bis zu den Befreiungskriegen und dem Wiener Kongreß. Berlin 1959; Neudruck 1981.
    Deutschland und Frankreich am Ende des 19. Jahrhunderts. In: Historische Forschungen in der DDR. Analysen und Berichte (= ZfG. Sonderheft), Berlin 1960.
    Deutschland 1789–1815 – Lehrbuch der deutschen Geschichte (Beiträge). Berlin 1961.
    als Hrsg.: Studien über die deutsche Geschichtswissenschaft. Band I: Die deutsche Geschichtswissenschaft vom Beginn des 19. Jahrhunderts bis zur Reichseinigung von oben. Berlin 1963; 2. Auflage, Berlin 1969.
    Geschichtliches Denken von der deutschen Frühaufklärung bis zur Klassik. Berlin 1964.
    Deutsche Geschichte in 3 Bänden. Band I: Von den Anfängen bis 1789. Band II: Von 1789 bis 1917 (Leiter des Autorenkollektivs), Berlin 1965.
    als Hrsg.: Die bürgerliche deutsche Geschichtsschreibung von der Reichseinigung von oben bis zur Befreiung Deutschlands vom Faschismus. Berlin 1965.
    Geschichtliches Denken – Von Der Deutschen Frühaufklärung bis zur Klassik. Berlin 1967.
    Lehrbuch der deutschen Geschichte (Beiträge). Band 6: Deutschland 1815–1849. Von der Gründung des Deutschen Bundes bis zur bürgerlich-demokratischen Revolution. Berlin 1967.
    Deutsche Geschichte in einem Band. Ein Überblick. Berlin 1968.
    als Hrsg.: Deutsche Geschichte. Band 3: Von 1917 bis zur Gegenwart. Berlin 1968.
    Deutsche Geschichte von den Anfängen bis zur Gegenwart – Eine marxistische Einführung. Köln 1970, 4. Aufl. 1983, mit Beitrag von Georg Fülberth.
    Geschichtsforschung und Geschichtsschreibung auf dem Wege zur sozialistischen Menschengemeinschaft. In: Helmut Meier, Walter Schmidt (Hrsg.): Geschichtsbewusstsein und sozialistische Gesellschaft. Berlin 1970.
    Kritische Studien zum Erbe der deutschen Klassik. Frankfurt am Main 1971.
    mit Jürgen Kuczynski: Parteilichkeit und Objektivität in der Geschichte. Berlin (West) 1972 (= Kategorien und Perspektiven der Geschichte. Reprint aus: Zeitschrift für Geschichtswissenschaft, Berlin 1956, 1957, 1958).
    Alfred Meusels Weg vom bürgerlich-demokratischen Soziologen zum marxistisch-leninistischen Historiker. In: ZfG. Heft 9, 1975, S. 1029.
    Über Begriffsbildung in den Geschichtswissenschaften. In: Wolfgang Küttler (Hrsg.): Probleme der geschichtswissenschaftlichen Erkenntnis. Berlin 1977.
    mit Jürgen John u. a.: Historischer Führer, Stätten und Denkmale der Geschichte in den Bezirken Erfurt, Gera, Suhl. Leipzig 1978.
    Frankreich im Geschichtsbild des deutschen Faschismus. In: Revue d’Allemagne. Heft 4, 1978, S. 528.
    Herders Geschichtsdenken. In: Walter Dietze (Hrsg.): Herder-Kolloquium 1978. Weimar 1980.
    Die historische Stellung von Johann Gottfried Herders Theorie menschlicher Kultur. In: ZfG. Heft 5, 1980, S. 415.
    Kultur in der DDR. Studien zu ihren historischen Grundlagen und ihren Entwicklungsetappen. Berlin 1981.
    mit Horst Bartel, Lothar Berthold, Helmut Bock, Ernst Diehl, Dieter Fricke, Heinz Heitzer, Joachim Hermann, Dieter Lange und Walter Schmidt: Deutsche Geschichte in zwölf Bänden. Berlin 1982.

    Ilko-Sascha Kowalczuk: Streisand, Joachim. In: Wer war wer in der DDR? 5. Ausgabe. Band 2. Ch. Links, Berlin 2010, ISBN 978-3-86153-561-4.
    Deutsche Biographische Enzyklopädie, Band 9, Saur, München 1998.
    Hans Schleier: Joachim Streisand 1920 bis 1980. In: Heinz Heitzer, Karl-Heinz Noack, Walter Schmidt: Wegbereiter der DDR-Geschichtswissenschaft – Biographien. Dietz, Berlin 1989, ISBN 3-320-01055-7.
    Lea Streisand: Im Sommer wieder Fahrrad, Ullstein Verlag, Berlin 2016, ISBN 978-3-5500-8130-9.

    Literatur von und über Joachim Streisand im Katalog der Deutschen Nationalbibliothek

    ↑ Hanfried Müller: Erfahrungen – Erinnerungen – Gedanken. Zur Geschichte von Kirche und Gesellschaft in Deutschland seit 1945. GNN Verlag, Schkeuditz 2010, ISBN 978-3-89819-314-6, S. 40.
    ↑ Immatrikulation von Joachim Streisand im Rostocker Matrikelportal.
    ↑ Vgl. Kowalczuk: Streisand, Joachim.

    Personendaten
    NAME Streisand, Joachim
    KURZBESCHREIBUNG deutscher Historiker
    GEBURTSDATUM 18. Oktober 1920
    GEBURTSORT Berlin
    STERBEDATUM 6. Januar 1980
    STERBEORT Ost-Berlin

    Scherls Straßenführer durch Berlin Ausgabe 1930 (Public Domain) - Digitale Landesbibliothek Berlin
    https://digital.zlb.de/viewer/image/34296031_1930/46-47

    Das Haus Augsburger Straße 38 war das dritte Haus auf der Südseite ab Rankestraße Richtung Westen. Die Lage entspricht der heutigen Hausnummer 39 und ist Teil des Dorint-Hotelkomplex an der Joachimstaler Straße (seit 22.07.2014 Joachimsthaler Straße) und Ausgburger Straße. Im Jahr 1930 galt die Hufeisen-Zählweise, bei Neugestaltung des Viertels wurde der von der Südtangente (Lietzenburger Straße) abgetrennte östliche Teil der Augsburger Straße zwischen Eisenacher und Passauer Straße in Fuggestraße umbenannt und die Hausnummern der westlich verbleibenden Augsburger Straße in sich gegenüberliegende gerade/ungerade Paarungen ab Passauer Straße bis Joachimsthaler Straße, rechts gerade, links ungerade, umsortiert.

    Der Kaupert zeigt die heutige, etwas verwirrende Nummerierung:

    Ehemaliger Bezirk
    Nr. 1-13 ungerade Wilmersdorf
    Nr. 2-18 gerade Schöneberg
    Nr. 19-43 ungerade, 20-44 gerade Charlottenburg

    #Berlin #Charlottenburg-Wilmersdorf #Charlottenburg #Eislebener_Straße #Shoa #librairie #histoire
    #Renate

  • Édition : les trois-quarts du secteur entre les mains de cinq grand groupes - Basta !
    https://basta.media/edition-trois-quarts-du-secteur-entre-les-mains-de-cinq-grands-groupes-Boll

    Comme pour les médias, l’édition souffre d’un grave problème de concentration : cinq groupes détiennent trois quarts du secteur. On y retrouve aussi #Bolloré parmi les puissants propriétaires. Mais les éditeurs indépendants ne baissent pas les bras.

    https://blogs.mediapart.fr/desarmer-bollore/blog/170525/ne-laissons-pas-bollore-et-ses-idees-dextreme-droite-envahir-les-man
    Déborder Bolloré, ouvrage collectif, coédition collective, 2025
    https://dev.deborderbollore.fr/le-recueil
    #éditions #librairie #imprimeureuses

  • [Clisson] Rencontre avec Fabien Lebrun autour du livre Barbarie numérique
    https://nantes.indymedia.org/events/146207/rencontre-avec-fabien-lebrun-autour-du-livre-_barbarie-numerique_

    Rencontre avec Fabien Lebrun autour du livre Barbarie #Numérique. Une autre histoire du monde connecté”, aux éditions l’échappée. Une enquête implacable sur la tragédie que vit le #Congo, cœur des industries numériques et objet de toutes les convoitises. À partir des années 1990, l’explosion de la production de biens électroniques, caractéristique…

    #Dématerialiser #Guerre #Rencontres #librairie_les_villes_invisibles_clisson

  • Editions Allia - Livre - L’Art d’en sortir
    https://www.editions-allia.com/fr/livre/1069/l-art-d-en-sortir

    Tour à tour cinéaste, metteur en scène, chef de troupe et tête chercheuse : ces entretiens nous embarquent à la poursuite de l’insaisissable Marc’O !

    Marc-Gilbert Guillaumin, dit Marc’O avait 6 ans de moins en 2019 soit 92 ans.
    https://seenthis.net/messages/790992
    #histoire #Allia

  • [Livres] «Temps d’arrêt» | Yapaka
    https://www.yapaka.be/professionnels/page/temps-darrets

    [Livres] "Temps d’arrêt"

    La collection Temps d’arrêt met à disposition des intervenants des textes de référence sur des sujets relatifs à l’#enfant et à l’#adolescent au sein de la #famille et dans la société. Chaque #publication présente un état de la question, une réflexion alliant un questionnement clinique et des repères théoriques.Le but de la collection est d’aider le professionnel à penser la complexité à l’œuvre plutôt qu’ enseigner comment « faire ».

    Edités 8 fois par an à 8.000 exemplaires, ces #livres sont diffusés gratuitement auprès de chaque institution concernée ainsi que dans les #bibliothèques de la Communauté française. Ces livres ne sont pas disponibles à la demande mais les textes sont téléchargeables et disponibles en versions EPUB pour iPad et liseuse.

    Quelques livres en #librairies quand même
    http://www.fabert.com/editions-fabert-etranger/Collection-Temps-d-Arr%C3%AAt-Lectures.45.html

    @jacotte
    https://www.yapaka.be/livre/livre-prendre-soin-des-lieux-daccueil-de-la-petite-enfance

    #belgique

  • [Clisson] Rencontre avec Ana Pich autour de autour de “Garde à vue : Petit guide pratique pour celles et ceux qui luttent pour leurs droits”
    https://nantes.indymedia.org/events/138643/rencontre-avec-ana-pich-autour-de-autour-de-garde-a-vue-petit-guid

    Rencontre avec Ana Pich autour de son dernier livre Garde à vue : Petit guide pratique pour celles et ceux qui luttent pour leurs droits, aux éditions Massot, mais aussi de son précédent Chroniques de l’injustice ordinaire, chez le même éditeur. Ce guide pratique dessiné s’appuie sur des expériences vécues…

    #GAV #Justice_de_classe #Rencontres #Répression #librairie_les_villes_invisibles_clisson

  • Notre Bibliothèque Verte
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/librairie-service-compris/notre-bibliotheque-verte

    par Renaud Garcia Ce que l’on désigne du mot d’écologie, forgé au XIXe siècle par Ernst Haeckel, est à la fois notre façon native d’être au monde, un sentiment et une pensée, illustrés depuis Hésiode et Epicure par une infinie chaîne d’auteurs et d’artistes ; et la seule idée neuve apparue en politique depuis plus d’un demi-siècle - en France, grâce à Pierre Fournier et Alexandre Grothendieck parmi tant d’autres. Cette défense indissociable de la nature et de la liberté (…) Librairie/Service Compris

    #Librairie/Service_Compris

  • Frais de port du livre : une “bataille culturelle se joue sous nos yeux”
    https://actualitte.com/article/120489/tribunes/frais-de-port-du-livre-une-bataille-culturelle-se-joue-sous-nos-yeux

    À l’approche des fêtes de fin d’année, Amazon a tenté un coup de poker. S’affranchir des frais de port obligatoires de 3 € sur les expéditions de livres, quand les commandes sont retirées dans des supermarchés ou hypermarchés disposant d’un rayon livres, qu’il considère comme « un commerce de vente au détail de livres ». Une interprétation de la loi qui exaspère ses concurrents : le Syndicat de la librairie française, celui des Distributeurs de Loisirs Culturels et Fnac Darty s’unissent dans une tribune, publiée originellement dans Le Monde et reproduite ci-dessous.

    Publié le :

    22/11/2024 à 10:54

    On entend beaucoup parler de souveraineté économique, alimentaire, sanitaire, écologique. Il est un domaine trop rarement évoqué, et pourtant aujourd’hui dangereusement menacé : celui de la culture, et singulièrement du livre.

    Nous avons la chance de vivre dans un pays qui compte le réseau le plus dense au monde de librairies. C’est la preuve de la pertinence et de l’efficacité de la loi Lang de 1981, qui garantit un prix identique du livre, sur internet comme en librairie, dans une grande métropole comme dans le village le plus reculé. Cette régulation vise à assurer l’égalité des citoyens devant le livre, le maintien d’un réseau très dense de distribution et le soutien au pluralisme dans la création et l’édition. C’est la pérennité de cette loi vertueuse qui est véritablement en cause aujourd’hui.

    En effet, l’équilibre trouvé par la loi sur le prix unique, à maintes reprises copiée chez nos voisins européens, a été malmené à l’orée des années 2000 par l’irruption sur le marché de géants extra- européens du numérique qui utilisaient le livre comme un produit d’appel pour conquérir des parts de marché, et offraient une promesse client terriblement alléchante, mais économiquement dispendieuse, écologiquement désastreuse, et surtout, impossible à dupliquer pour les plus petits acteurs.

    Par deux fois, le législateur a tenté de corriger la distorsion croissante de concurrence entre libraires physiques et vendeurs en ligne, entre petits acteurs et mastodontes, que cette politique de « dumping » générait. D’abord en 2014, avec l’interdiction d’expédition gratuite de livres à domicile. Echec. Amazon s’est empressé, alors que l’encre de la loi n’était pas encore sèche, d’établir ses frais de livraison à 1 centime d’euro…

    Naturellement, la pratique du leader du marché digital a immédiatement et très efficacement vidé la loi de sa substance. Sept ans plus tard, le législateur a tiré les leçons de ce revers, et cette fois décidé d’assortir l’interdiction d’expédition gratuite de livres d’une grille de tarification de frais minimaux correspondant au tarif en vigueur pour la majorité des autres produits, en prévoyant une exemption pour les commandes retirées dans des commerces de vente au détail de livres, avec l’objectif de soutenir ces derniers pour le rôle qu’ils jouent sur nos territoires.

    Amazon a combattu avec virulence cette « loi Darcos », ajustement de la loi Lang qui a, malgré tout, été adoptée à l’unanimité des deux chambres, au terme d’un vaste débat public.

    Sans même attendre le sort de ses propres actions juridiques contre cette loi Darcos qu’elle est bien évidemment en droit de contester, Amazon s’arroge aujourd’hui le pouvoir d’interpréter le droit à son profit et de fouler aux pieds la loi votée par le Parlement souverain.

    Un an après l’entrée en vigueur de la disposition en effet, l’annonce de l’utilisation massive de points de retraits, essentiellement des casiers jaunes, situés dans des galeries commerciales d’hypermarchés et qui permettront aux clients de récupérer gratuitement leurs commandes, accrédite de manière frappante l’idée qu’Amazon se fait d’elle-même : un géant tout-puissant, cinquième entreprise mondiale forte d’une valorisation de 2000 milliards de dollars, qui s’estime au-dessus de la volonté du législateur français, lequel avait pourtant expressément, dans les débats parlementaires, exclu ces fameux casiers du champ des exemptions.

    Nul besoin d’arguties juridiques pour comprendre qu’un vulgaire casier, quand bien même installé dans la galerie marchande d’un hypermarché disposant bien souvent d’un micro-rayon livre, n’est évidemment pas un commerce de vente au détail de livres.

    Nul besoin non plus de décodage pour comprendre ce qu’est en train de faire Amazon : poursuivre sa stratégie de prédation, qui consiste à détricoter toutes les dispositions qui font obstacle à l’extension de son empire ; se comporter en « cow boy » qui piétine allègrement, en toute impunité, le vote des élus, qui avaient clairement exprimé leur volonté de préserver un modèle culturel diversifié et ancré dans les territoires.

    À LIRE - Amazon et les frais de port du livre : l’analyse du Médiateur attendue en janvier

    Ces méthodes ne sont pas simplement le fait d’une entreprise américaine qui aime jouer avec les règles et qui a établi son siège européen au Luxembourg pour ne pas payer d’impôts.

    C’est une authentique bataille culturelle qui se joue sous nos yeux et nous attendons des autorités qu’elles mettent immédiatement fin à ce trouble à l’ordre public culturel.

    C’est un enjeu de souveraineté pour notre pays que de faire respecter une loi qui, par ailleurs, depuis un an, a fait montre de son efficacité. Car, contrairement à ce que prétendent les études opportunément commandées par Amazon, le marché du livre est stable, en volume et en valeur. Mais il est exact que les expéditions de livres ont diminué au profit des visites en librairie, pratique plus vertueuse pour nos territoires, pour le lien social et pour l’écologie. Les équilibres entre canaux de distribution ont singulièrement évolué, en défaveur des acteurs de la vente en ligne et en faveur des librairies physiques et indépendantes. Ce qui était précisément l’objectif de la loi. Mauvais perdant, Amazon ?

    Alexandra Charroin Spangenberg, Présidente du Syndicat de la librairie française

    Pierre Coursières, Président du Syndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels

    Enrique Martinez, Directeur Général de Fnac Darty

    #Edition #Librairie #Amazon

  • Ne laissons pas Bolloré et ses idées prendre le pouvoir sur nos librairies !

    Face à la puissance tentaculaire du groupe Bolloré dans l’édition et le monde du livre, un ensemble de librairies indépendantes s’engage dans « la bataille des imaginaires » pour contrer « cette entreprise de conquête hégémonique ». « Au jour le jour, l’indépendance des librairies se construit dans ses choix : les ouvrages présents et mis en avant. Mais elle s’affirme aussi dans ses refus. Le refus d’être l’outil de propagande des forces réactionnaires. »

    En cette fin d’année, dans nos librairies indépendantes, il sera peut-être moins évident de trouver certains livres. Ils ne seront pas mis en avant, ni sur table ni en vitrine, et peut-être même tout simplement absents. Et cela pour une raison, ils font partie des livres édités par les maisons du groupe Hachette et appartiennent donc maintenant à l’empire de Vincent Bolloré.
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/21/resister-a-loffensive-de-vincent-bollore-une-urgence-democratique/#comment-63157

    #extremedroite #librairie

  • Agir ici et maintenant avec Floréal ROMERO
    https://bascules.blog/2024/09/05/agir-ici-et-maintenant-avec-floreal-romero

    Le 26 septembre 2024 à 18h00 au Mans La #Librairie_Thuard a le plaisir d’accueillir Floréal M Romero pour une #Conférence-débat autour de son ouvrage « Agir ici et maintenant – Penser l’écologie sociale de Murray Bookchin »1. Cet événement est l’occasion unique de plonger dans la pensée révolutionnaire de Murray Bookchin, un pionnier de l’écologie sociale […]

    #Evènements #Communalisme #Ecologie_Sociale #Le_Mans #Sarthe


    https://2.gravatar.com/avatar/2cef04a2923b4b5ffd87d36fa9b79bc27ee5b22c4478d785c3a3b7ef8ab60424?s=96&d=

  • Agir ici et maintenant avec Floréal ROMERO
    https://ecologiesocialeetcommunalisme.org/2024/09/04/agir-ici-et-maintenant-avec-floreal-romero

    Le 26 septembre 2024 à 18h00 au Mans La #Librairie_Thuard a le plaisir d’accueillir Floréal M Romero pour une conférence-débat autour de son ouvrage « Agir ici et maintenant – Penser l’écologie sociale de Murray Bookchin ». Cet événement est l’occasion unique de plonger dans la pensée révolutionnaire de Murray Bookchin, un pionnier de l’écologie sociale […]

    #Évènements #[VF] #Le_Mans #Sarthe


    https://2.gravatar.com/avatar/2cef04a2923b4b5ffd87d36fa9b79bc27ee5b22c4478d785c3a3b7ef8ab60424?s=96&d=

  • Faut-il une trêve des nouveautés pour faire la guerre à la surproduction ?
    https://actualitte.com/article/117652/librairie/faut-il-une-treve-des-nouveautes-pour-faire-la-guerre-a-la-surproduction

    Environ 300 nouveautés par jour. C’est le chiffre lâché par le Syndicat de la Librairie française, à l’occasion d’une conférence anticipant les principales thématiques des Rencontres nationales de la librairie. « Nous avons besoin d’une prise de conscience [des] effets non vertueux [de la surproduction] par les éditeurs, les distributeurs et les diffuseurs : une baisse drastique de la production, collective, serait très saine. Elle nous permettrait de faire notre métier d’une manière plus qualitative que quantitative », lançait Amanda Spiegel, vice-présidente du SLF et présidente de sa commission commerciale.

    Le malaise de la profession est réel, mais pas vraiment récent. Depuis plusieurs années, la question de la surproduction obsède la chaine du livre, qui ne trouve pas de réponse définitive à ce dilemme. La profusion des publications serait un signe de la bonne santé du secteur, de la diversité éditoriale et de la liberté d’expression, mais elle est en réalité le fait des grands groupes éditoriaux, qui inondent le marché pour garantir la profitabilité de leur entreprise.

    Les chiffres du Syndicat national de l’édition lui-même — pourtant piloté par les grands groupes — fournissent tout de même une indication : l’inflation de la production serait principalement imputable aux groupes éditoriaux avec le plus important chiffre d’affaires, de Hachette à Editis, en passant par Gallimard, Albin Michel et consorts, plus qu’aux créations d’une multitude de petites structures.

    Les données remontent à 2012 et 2013, révélées en 2015, mais elles restent sans doute pertinentes : « [E]ntre 2012 et 2013, le nombre de nouveautés produites par les cinq plus importantes maisons d’édition adhérentes au SNE a augmenté de 23,3 % contre 0,3 % en moyenne pour les autres. »

    #Librairie #Edition #Surproduction #Ecologie_livre

  • Taxe sur les livres d’occasion : « parlons-en avant d’improviser ! »
    https://actualitte.com/article/116957/economie/taxe-sur-les-livres-d-occasion-parlons-en-avant-d-improviser

    « On va mettre en place au moins une contribution qui puisse permettre de protéger le prix unique et permettre à nos auteurs, éditeurs et traducteurs d’être mieux aidés. » En visite au Festival du Livre, Emmanuel Macron a annoncé vouloir mettre en place une taxe sur les livres d’occasion. La Bourse Aux Livres réagit dans cette tribune à la déclaration du Président de la République.

    #Edition #Livre_occasion #Librairie

    • Oui, mettons en place des taxations pour aider les jeunes artistes désargentés…
      https://www.lejdd.fr/culture/pagny-biolay-hallyday-la-cour-des-comptes-sinterroge-sur-la-legitimite-de-ces-

      Pourtant décédé en 2017, Johnny Hallyday a fait partie des bénéficiaires des aides à la création entre 2019 et 2022, récoltant 333 890 euros.

      Sinon, l’article est entièrement orienté sur cette histoire de rémunération des auteur·ices (parce qu’ils ont été mal rémunérés la première fois qu’on a vendu le bouquin), alors qu’à ma connaissance, le prix unique du livre est destiné à protéger les « petites » librairies face aux chaînes et aux supermarchés, pas à protéger les artistes désargentés qui vendent trois exemplaires par mois. (D’ailleurs si on commence à se demander comment on redistribue l’argent de la taxe sur les occassions, et comme la logique est tout de même, avec les droits d’auteur, d’une certaine proportionnalité en fonction des ventes, alors évidemment c’est Musso qui va toucher le poignon, pas les auteur·ices qui vendent 1 exemplaire en occaz par mois chez Gibert.)

  • Veras Welt - Wer verdient was an einem Buch?
    https://www.vera-nentwich.de/coni/vera/verablog.nsf/dx/wer-verdient-am-buch.htm

    Wenn man als Selfpublisherin beginnt, sich mit dem Buchhandel zu beschäftigen, wird man schnell mit recht hohen Rabattwerten konfrontiert. Von 50% ist dort die Rede. Von 40% für einzelne Buchhandlungen. Im Gegenzug dazu erwarten andere, dass man vom Buchverkauf sehr schnell reich würde. Fakt ist, dass der Buchhandel durch Buchpreisbindung und über Jahrzehnte gewachsene Prozesse sehr stark organisiert ist und man tut gut daran, die Zusammenhänge zu kennen, wenn man mit dem Handel in Kontakt kommt. Ich versuche, dies ein wenig aufzuschlüsseln.

    Um die Zahlen anschaulich zu gestalten, nehme ich als Rechenbeispiel ein Taschenbuch mit 250 Seiten, s/w, das für einen Preis von € 10,- angeboten werden soll.

    Zuerst ist da der Zwischenhandel: das Barsortiment.

    Lediglich die Apotheken verfügen über eine ähnlich organisierte Struktur wie der Buchhandel. Diese Abläufe stellen sicher, dass ein Kunde ein bestelltes Buch im Regelfall bereits am nächsten Tag im Geschäft abholen kann. Garanten für diese Lieferkette sind die sog. Barsortimenter. Die wesentlichen Vertreter am deutschen Markt sind KNV, Libri und Umbreit. Diese halten tausende Titel in ihren Lagern verfügbar und liefern die Bestellungen täglich aus. Diese Logistik kostet und so kalkulieren die Barsortimenter mit einem Anteil von ca. 15% an jedem verkauften Buch.

    Ein Buchladen will finanziert sein.

    Ein Ladenlokal kostet. Dazu kommen die Kosten für Personal und andere Dinge. All dies muss durch den Verkauf der Bücher gedeckt werden. Der Buchhandel hat im Regelfall Lieferverträge mit einem oder mehreren Barsortimentern. Die üblichen Rabatte liegen zwischen 30 und 40%. Große Verlage beliefern Buchhandlungen auch schonmal direkt und bieten im Regelfall auch 40%. Lediglich bei sehr hochpreisigen Büchern, wie Fotobänden o.ä, können es auch schonmal 25% sein. Wenn wir unser Beispieltaschenbuch zugrunde legen, wird der Buchhandel kaum mit 25% zufrieden sein.

    Die Hälfte ist schon weg: der Nettoerlös.

    Nehmen wir die genannten Werte, ca. 35% Buchhandel und 15% Barsortiment, ergeben sich die oft zu hörenden 50% für die Lieferkette eines Buches. In Verlagsverträgen liest man im Regelfall vom Nettoerlös. Dieser ergibt sich daraus und ist daher im Regelfall ebenfalls 50%. Die Mehrwertsteuer von 7%, die auf ein Buch anfällt, habe ich hier der Einfachheit halber vernachlässigt. Von diesen 50% muss also Druck, Lektorat, Cover, Marketing, Versand etc. bewältigt werden. Die Tantieme für Autor oder Autorin soll genauso noch übrigbleiben, wie ein Gewinn für den Verlag.


    So verteilt sich der Buchpreis.

    So verteilt sich der Rest.

    Der Standardverlagsvertrag sieht eine Tantieme von 8 bis 12% vom Nettoerlös für Autorin oder Autor vor. Wenn wir 10% annehmen, ergibt dies bei unserem Beispielbuch einen Betrag von € 0,50.
    Meine Taschenbücher haben etwa den Umfang des Beispielbuches. Je nach Auflage kostet der Druck um € 2,50. Gehen wir mal davon aus, dass ein Verlag womöglich eine höhere Auflage druckt und einen Preis von € 2,- realisieren kann. Nach Abzug von Druck und Tantieme blieben dann noch € 2,50. Einen großen Anteil verschlingt dann noch der Versand, der im Regelfall zu Lasten des Lieferanten geht. Bei mir bestellen die Barsortimenter eher kleine Stückzahlen. Mal sind es drei Bücher oder mal sind es vier. Drei Bücher kann ich noch als Maxibrief zu € 2,70 versenden. Dies ergibt € 0,90 je Buch an Versandkosten. Bleibt also ein Erlös von € 1,60 für den Verlag. Nun berechne ich für mich nicht die Kosten für Lagerhaltung, Verpackungsmaterial und den Aufwand des Versandes. Würde ich dies von einem Dienstleister machen lassen, würde dies noch einmal mit ca. € 1,- je Buch zu Buche schlagen.

    Nachdenken bei der Preisfestsetzung

    Meine Entscheidung, meine Taschenbücher für € 9,95 anzubieten, war also nach betriebswirtschaftlichen Gesichtspunkten nicht durchdacht. Der Buchhandel mag ebenfalls höhere Preise lieber.
    Für Selfpublisher stellen die Dienstleister Kalkulatoren zur Verfügung, die einem angeben, welcher Betrag beim Verkauf über den Buchhandel übrigbleibt.

    Bei BoD würde mein Beispielbuch € 1,49 Marge ergeben.
    Bei tredition blieben noch € 0,98 übrig.
    Bei epubli blieben € 0,77 als Marge.

    Was also tun?

    Natürlich sind Rabatte nicht festgeschrieben und können immer frei verhandelt werden. Ein Buchhandel wird sich vielleicht im Einzelfall auch mal auf einen geringeren Rabatt einlassen, um einen Kunden zufriedenstellen zu können. Allerdings wird dies kaum eine Basis für eine längere Geschäftsbeziehung sein und eher die Vorurteile über die unprofessionellen Selfpublisher verstärken. Besser ist es also, bei der Festlegung des Verkaufspreises die Kalkulation im Auge zu behalten. Letztlich entscheidet der Verkaufspreis nur in geringem Maße über Kauf oder Nicht-Kauf eines Buches, so lange sich der Preis im normalen Rahmen bewegt. Es macht also Sinn, einfach mal durch den Buchladen zu schlendern und sich anzusehen, was vergleichbare Bücher kosten und sich danach zu richten.

    Falls du vorhast, bei Buchhandlungen vorstellig zu werden, habe ich dir meine Rechnungsvorlage zur Verfügung gestellt.
    https://www.vera-nentwich.de/coni/vera/verablog.nsf/dx/vorlage-rechnung-buchhandel.htm

    #Allemagne #édition #librairies #self_publishing

  • La vie dans les restes
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/librairie-service-compris/la-vie-dans-les-restes

    par Yannick Blanc Il paraît que les textes ici réunis – La vie dans les restes, Et moi je hurle avec les loups, Dans l’homme tout est bon (homo homini porcus) – résonnent entre eux et aux oreilles des lecteurs. C’est du moins ce qu’ont dit certains, suggérant leur publication en recueil. Contrairement à ce que leurs titres laisseraient croire, il ne s’agit ni d’épitaphes ni d’actes de reddition à la Machine. Non que l’on prétende « se battre », comme tant de bavards de comités – tout au plus se débattre afin de ne pas mériter la fosse qui nous engloutit. Qu’avons-nous donc à sauver, sinon notre deuil incu- rable, la mémoire à vif de ce qui fut et ne sera plus jamais. Car ce monde était beau, savez-vous ? C’était même son nom, mundus, avant que les volontés de puissance n’en fassent (...)

    #Librairie/Service_Compris

  • Fin d’année en librairie
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#findannee

    Les éditions Atelier de création libertaire (ACL) soldent à 50 et 60 % leurs titres jusqu’à la fin du mois, le calendrier du Centre international de recherches sur l’anarchisme (CIRA) de Marseille est consacré à des femmes du mouvement anarchiste, sélection de livres pour jeunes z’anars ou futurs par Anarlivres, trois abonnements au Passager clandestin pour 2024, le catalogue de la librairie Publico est disponible...

    #anarchisme #libertaire #édition #librairie #livres

  • Le Dilettante, éditeur orpailleur - Quilombo Boutique-Librairie
    https://librairie-quilombo.org/le-dilettante-editeur-orpailleur

    Concernant la situation que vit le peuple du livre aujourd’hui, Antonin se montre optimiste malgré tout. « Quand je rentre dans une #librairie je ne sais où donner de la tête tant il y a à lire, et des choses pointues, et originales, et bien faites. […] Beaucoup de bêtises aussi mais ça c’est depuis toujours », selon lui. « Comment continuer de se faire une place dans ce maelstrom, c’est toute la question […]. Si on ne croit pas au rôle prescripteur du libraire les gens achètent tous la même chose car les éditeurs publient trop, remplissent les tables pour cacher la concurrence quand ils ne la rachètent pas carrément... »
    À l’approche de leur quarantième anniversaire, que ce soit parmi les ouvrages d’une bibliothèque oubliée ou dans les centaines de manuscrits reçus, Le Dilettante, éditeur-orpailleur, n’a pas fini de fouiller.

    #édition #livres #le_dilletante

  • Librairies libertaires
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#combat

    Heurs et malheurs ! D’un article de « Livre Hebdo » à quelques épisodes de la difficile vie des librairies libertaires confrontées aux agressions de groupes fascistes mais aussi à l’intolérance de certains proches, ce n’est pas un long fleuve tranquille que de propager une littérature de combat...

    #librairie #libertaire #anarchisme #intolérance

  • Une #université a tué une #librairie

    Une université vient de tuer une librairie. Le #libéralisme a fourni l’arme. Les codes des marchés ont fourni la balle. Et l’université, après avoir baissé les yeux, a appuyé sur la détente.

    Cette université c’est “mon” université, Nantes Université. Cette librairie c’est la librairie Vent d’Ouest, une librairie “historique”, présente dans le centre de Nantes depuis près de 47 années et travaillant avec l’université depuis presqu’autant de temps.

    Une université vient de tuer une librairie. Nantes Université travaillait, pour ses #commandes d’ouvrages (et une université en commande beaucoup …) avec principalement deux #librairies nantaises, Durance et Vent d’Ouest. Pour Vent d’Ouest, cela représentait une trésorerie d’environ 300 000 euros par an, 15% de son chiffre d’affaire. Une ligne de vie pour les 7 salariés de la libraire. Et puis Vent d’Ouest perd ce marché. Du jour au lendemain. Sans même un appel, une alerte ou une explication en amont de la décision de la part de Nantes Université.

    À qui est allé ce marché ? Au groupe #Nosoli, basé à Lyon, qui s’auto-présente comme le “premier libraire français indépendant multi-enseignes” (sic) et qui donc concrètement a racheté les marques et magasins #Decitre et #Furet_du_Nord (et récemment Chapitre.com) et dont le coeur de métier est bien davantage celui de la #logistique (#supply_chain) que celui de la librairie.

    Pourquoi Nosoli a-t-il remporté ce #marché ? Et pourquoi Nantes Université va devoir commander à des librairies Lyonnaises des ouvrages pour … Nantes ? Parce que le code des #marchés_publics. Parce que l’obligation de passer par des #appels_d’offre. Parce le code des marchés publics et des appels d’offre est ainsi fait que désormais (et depuis quelques temps déjà) seuls les plus gros sont en capacité d’entrer dans les critères définis. Parce que les critères définis (par #Nantes_Université notamment) visent bien sûr à faire des #économies_d’échelle. À payer toujours moins. Parce que bien sûr, sur ce poste de dépenses budgétaires comme sur d’autres il faut sans cesse économiser, rogner, négocier, batailler, parce que les universités sont exangues de l’argent que l’état ne leur donne plus et qu’il a converti en médaille en chocolat de “l’autonomie”. Parce qu’à ce jeu les plus gros gagnent toujours les appels d’offre et les marchés publics. C’est même pour cela qu’ils sont gros. Et qu’ils enflent encore. [mise à jour] Mais ici pour ce marché concernant des #livres, ce n’est pas le critère du #prix qui a joué (merci Jack Lang et la prix unique) mais pour être parfaitement précis, c’est le critère du #stock qui, en l’espèce et malgré le recours en justice de la librairie Vent d’Ouest, et bien qu’il soit reconnu comme discriminatoire par le ministère de la culture (en page 62 du Vade Mecum édité par le ministère sur le sujet de l’achat de livres en commande publique), a été décisif pour permettre à Nosoli de remporter le marché. [/mise à jour]

    Alors Nosoli le groupe lyonnais a gagné le marché de Nantes Université. Et les librairies nantaises Durance et Vent d’Ouest ont perdu. Et quelques mois après la perte de ce marché, la librairie Vent d’Ouest va fermer.

    On pourrait s’en réjouir finalement, ou même s’en foutre totalement. Après tout, Nantes Université va faire des #économies. Après tout une librairie qui ferme à Nantes et 7 salariés qui se trouvent sur le carreau c’est (peut-être) 7 personnes du service logistique du groupe Nosoli qui gardent leur emploi. Et puis quoi, une librairie qui ferme à Nantes mais il y en a 6 qui ont ouvert sur les deux dernières années à Nantes. Alors quoi ?

    Alors une université vient de tuer une librairie. Et quand on discute avec les gens qui, à Nantes Université, connaissent autrement que comptablement la réalité de ce qu’était le #marché_public passé avec Durance et Vent d’Ouest, et quand on échange avec celles et ceux qui ont l’habitude, à l’université ou ailleurs, de travailler avec le groupe Nosoli, on entend toujours la même chose : rien jamais ne remplacera la #proximité. Parce qu’avec Durance et Vent d’Ouest les échanges étaient souples, réactifs, pas (trop) systématiquement réglementaires, parce que les gens qui dans les bibliothèques de l’université commandaient les ouvrages connaissaient les gens qui dans les librairies les leur fournissaient, et qu’en cas de souci ils pouvaient même s’y rendre et les croiser, ces gens. Et on entend, en plus de l’aberration écologique, logistique, et sociétale, que les commandes avec le groupe Nosoli sont usuellement et comme avec tout grand groupe logistique … complexes, lentes, difficilement négociables et rattrapables, sans aucune souplesse, sans aucune écoute ou connaissance des besoins fins de l’université “cliente”. Voilà ce que l’on entend, entre autres choses plus âpres et plus en colère.

    Une université vient de tuer une librairie. Et ça fait tellement chier. C’est tellement anormal. Tellement schizophrène. Le même jour que celui où j’ai appris l’annonce de la fermeture définitive de la libraire Vent d’Ouest, j’ai aussi reçu un message de Nantes Université m’informant que, champagne, l’université venait – comme 14 autres universités – de remporter un appel à projet de plus de 23 millions d’euros. La cagnotte lancée par la libraire Vent d’Ouest après la perte du marché de Nantes Université lui avait rapporté quelques milliers d’euros qui lui avaient permis de retarder sa fermeture de cinq mois.

    Vivre à l’université, travailler à Nantes Université, c’est être tous les jours, à chaque instant et sur chaque sujet, confronté au même type de #schizophrénie. D’un côté on collecte des dizaines de millions d’euros dans de toujours plus nébuleux appels à projets, et de l’autre on gère la misère et la détresse. Et on ferme sa gueule. Parce que ne pas se réjouir de l’obtention de ces 23 millions d’euros c’est être un pisse-froid et c’est aussi mépriser le travail (et l’épuisement) des équipes qui pilotent (et parfois remportent) ces appels à projets. Oui mais voilà. À Nantes Université on organise des grandes fêtes de rentrée et on donnez rendez-vous à la prochaine #distribution_alimentaire, la #fête mais la #précarité. Et l’on fait ça tous les jours. Toutes les universités françaises organisent ou ont organisé des #distributions_alimentaires, et toutes les universités françaises remportent ou ont remporté des appels à projet de dizaines de millions d’euros. Mais les financements qui permettraient de recruter des collègues enseignants chercheurs ou des personnels techniques et administratifs en nombre suffisant, et de les recruter comme titulaires, pour garantir un fonctionnement minimal normal, ces financements on ne les trouve jamais. Mais les financements qui permettraient d’éviter de fermer une librairie avec qui l’université travaille depuis des dizaines d’années et d’éviter de mettre 7 personnes au chômage, on ne les trouve jamais. Mais les financements qui permettraient à tous les étudiant.e.s de manger tous les jours à leur faim, on ne les trouve jamais. Mais les financements qui permettraient à l’UFR Staps de Nantes Université de faire sa rentrée on ne les trouve jamais. Mais les financements qui permettraient aux collègues de la fac de droit de Nantes Université de ne pas sombrer dans l’#épuisement_au_prix et au risque de choix mortifières pour eux comme pour les étudiant.e.s on ne les trouve jamais. Mais les financements qui permettraient aux collègues de l’IAE de Nantes Université de ne pas s’enfoncer dans le #burn-out, ces financements on ne les trouve jamais. Il n’y a pas d’appel à projet à la solidarité partenariale. Il n’y a pas d’appel à projet à la lutte contre la #misère_étudiante. Il n’y a pas d’appel à projet pour permettre à des milliers de post-doctorants d’espérer un jour pouvoir venir enseigner et faire de la recherche à l’université. Il n’y pas d’appel à projet pour sauver l’université publique. Il n’y en a pas.

    Il n’y a pas d’appel à projet pour la normalité des choses. Alors Nantes Université, comme tant d’autres, est uniquement traversée par des #régimes_d’exceptionnalité. #Exceptionnalité des financements obtenus dans quelques appels à projets qui font oublier tous les autres appels à projet où l’université se fait retoquer. Exceptionnalité des #crises que traversent les étudiant.e.s, les formations et les #personnels de l’université. Exceptionnalité des mesures parfois prises pour tenter d’en limiter les effets. Dans nos quotidiens à l’université, tout est inscrit dans ces #logiques_d’exceptionnalité, tout n’est lisible qu’au travers de ces #matrices_d’exceptionnalité. Exceptionnalité des financements. Exceptionnalité des crises. Exceptionnalité des remédiations.

    Une université vient de tuer une librairie. Cela n’est pas exceptionnel. C’est devenu banal. Voilà l’autre danger de ces régimes d’exceptionnalité permanents : ils inversent nos #représentations_morales. Ce qui devrait être exceptionnel devient #banal. Et ce qui devrait être banal (par exemple qu’une université publique reçoive des dotations suffisantes de l’état pour lui permettre d’exercer sa mission d’enseignement et de recherche), est devenu exceptionnel.

    Une université vient de tuer une librairie. Dans le monde qui est le nôtre et celui que nous laissons, il n’est que des #dérèglements. Et si celui du climat dicte déjà tous les autres #effondrements à venir, nous semblons incapables de penser nos relations et nos institutions comme autant d’écosystèmes dans lesquels chaque biotope est essentiel aux autres. Nantes Université a tué la libraire Vent d’Ouest. Le mobile ? L’habitude. L’habitude de ne pas mener les combats avant que les drames ne se produisent. L’habitude de se résigner à appliquer des règles que tout le monde sait pourtant ineptes. L’habitude du renoncement à l’attention à l’autre, au plus proche, au plus fragile, dès lors que l’on peut se réjouir de l’attention que nous portent tant d’autres. L’#habitude d’aller chercher si loin ce que l’on a pourtant si près.

    Une université vient de tuer une librairie. Le libéralisme a fourni l’arme. Les codes des marchés ont fourni la balle. L’habitude a fourni le mobile. Et l’université, après avoir baissé les yeux, a froidement appuyé sur la détente.

    https://affordance.framasoft.org/2023/09/une-universite-a-tue-une-librairie

    #ESR #enseignement_supérieur

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