Matter.js, a #2D physics engine for the web
▻http://brm.io/matter-js
Tags : #moteur #physique 2D #JavaScript #librairie
Matter.js, a #2D physics engine for the web
▻http://brm.io/matter-js
Tags : #moteur #physique 2D #JavaScript #librairie
croppic is an #image cropping #jQuery #plugin
▻http://www.croppic.net
“croppic is an image cropping jquery plugin that will satisfy your needs and much more” Tags: #Art_Direction Responsive Web Design (RWD) #crop #librairie plugin jQuery #JavaScript image #coupe
Clairement, notamment pour définir la vue rapprochée dans un contexte responsive de petite taille, qui passe pour l’instant par un upload supplémentaire, dans le plugin de Cédric
Mmmh, non il me semble que pour ce point là ce n’est pas ça. Le but à terme c’est plutôt de définir le « point d’intérêt central » de l’image. Et du coup, de faire des |image_recadre
et des |adaptive_images
qui contiennent toujours le point d’intérêt. Sans avoir besoin de définir plusieurs images différentes, que ce soit par upload ou par modif en ligne.
La technique du #focal_point c’est ce que j’avais suggéré à Cédric comme approche idéale, le #crop étant un pis aller déjà pas mal… ;-)
La prise en charge du focal point est faite dans Koken, qui est open source et en PHP… #jdcjdr
Smart Defaults: On Libraries & Frameworks - TimKadlec.com
▻http://timkadlec.com/2014/01/smart-defaults-on-libraries-and-frameworks
“I’ve worked on projects where some of the devices we needed to test on couldn’t load the page at all if #jQuery was present—it was just too much #JavaScript for the device to handle.” Tags: jQuery #librairie JavaScript #performance #webperf
Quand les #librairies tentent de faire front (www.lalibrairie.com)
...
Ici, au #Pays_Basque, six librairies adhèrent au réseau mutualiste : Berriketa et la Librairie de la plage à Hendaye, la librairie Louis XIV à Saint-Jean-de-Luz, la maison de la presse Carricart à Saint-Jean-Pied-de-Port, Amikuz’echos Borda et Amikuze à Saint-Palais. Certaines d’entre elles en ont eu écho via le réseau des maisons de la presse, pour d’autres c’est davantage par militantisme ou simplement en fouillant sur la Toile en quête de “la” référence introuvable.
Elles s’accordent sur plusieurs points, à commencer par la nécessaire préservation d’un commerce local et de proximité. “Le but est de se démarquer d’#Amazon”, avance Éric Soreau de la librairie Louis XIV : “Nous apportons en plus le conseil et le service.”
Mais pour l’heure, le constat est unanime : “Ça peine à décoller.” Le concept, trop peu connu au Pays Basque, reste marginal : “C’est très parisien comme concept”, lance Jacques Sinsou de la Librairie de la plage à Hendaye. “En un an, très peu de livres sont arrivés par ce biais. Il y a un gros travail de communication à faire là-dessus”, développe Éric Soreau. “Ça n’a pas d’impact sur ma zone”, rapporte madame Carricart de la maison de la presse de Saint-Jean-Pied-de-Port.
Un faible retentissement certes, mais faut-il y voir une carte à jouer ? Maika Iraola de Berriketa reste optimiste : “Il faut aller de l’avant. Pour ma part, j’ai des clients. À une petite échelle, mais ça peut marcher. Il faut se servir des systèmes et des outils que l’on nous met à disposition.” Éric Soreau revient sur l’évolution des modes de consommation : “Si Amazon s’est développé, c’est qu’il y avait un manque. On a loupé le coche d’Internet il y a une quinzaine d’années et aujourd’hui, on a un train de retard. Les gens aiment commander sur Internet, c’est là où aujourd’hui on a une carte à jouer.”
...
▻http://www.lejpb.com/paperezkoa/20131213/437631/fr/Quand-les-librairies-tentent-faire-front
HTML5 Canvas Basic Tutorials Introduction
▻http://www.html5canvastutorials.com/tutorials/html5-canvas-tutorials-introduction
Tutoriels pour l’utilisation de Canvas en HTML5 : traçage de lignes, formes, dégradés, utilisation des images et du texte...
+ utilisation des librairies js KineticJS et Three.js
#canvas #html5 #tutoriel #kinetic #three #javascript #librairie
PHP Markdown : Dingus
▻http://michelf.ca/projects/php-markdown/dingus
exemple d’utilisation de la librairie PHP Markdown (extra) : un convertisseur en ligne pour Markdown et/ou Markdown Extra
Propose d’avoir en sortie à la fois la visualisation HTML et son code source
#markdown #php #markdown #extra #librairie #api #web-based #convertisseur
Le petit problème d’Amazon résumé en un graphique | Rue89
▻http://www.rue89.com/2013/10/28/petit-probleme-damazon-resume-graphique-247014
Lorsque Jeff Bezos aura avalé toute la concurrence et se sera attaché les faveurs des clients grâce à sa générosité apparente, « je ne pourrai plus me rendre compte que les prix augmentent car je n’aurai plus aucun élément de comparaison », relève un client chef d’entreprise cité par le New York Times.
Amazon et la librairie - La Vie des idées
►http://www.laviedesidees.fr/Amazon-et-la-librairie.html
L’objectif de cet article consiste, non pas à prédire le déclin inéluctable des librairies indépendantes face à la puissance du détaillant américain, mais de souligner que ces deux canaux de vente peuvent coexister à condition que l’emploi qualifié en librairie, indispensable à sa légitimité [3], soit soutenu.
Carrefour lance sa liseuse : le pari de la démocratisation des e-books
▻http://www.rue89.com/2013/10/11/carrefour-lance-liseuse-pari-democratisation-e-books-246516
Il y a un petit parti-pris technofan dans le titre, sauras-tu le retrouver ? Histoire d’insister au niveau de l’édition, il figure également comme intertitre.
Quand Carrefour essaie de vendre des tomates sans goût, Rue89 crie au scandale. Quand Carrefour essaie de refourguer des simili-livres faisant crever au passage toute la chaîne du livre (des éditeurs aux metteurs en page en passant par les libraires et les imprimeurs), par contre, Rue89 (et Pierre Haski, son red-chef) crient aux héros de la démocratie. Rien de moins. No limit elle s’appelle la liseuse de Carrefour…
C’est sans doute le signe le plus sûr que le livre numérique est sur le point de connaître une croissance importante, en France aussi : Carrefour, le géant de la grande distribution, attentif aux grandes masses et pas à l’avant-garde « geek », lance sa propre liseuse numérique. Avec un argument choc : ce sera la moins chère du marché.
La liseuse Carrefour, la « Nolim » (pour « no limit »...) qui sera mise en vente le 14 octobre, à temps pour les fêtes de fin d’année dans lesquelles le cadeau électronique tient une part croissante, sera vendue avec une centaine de titres gratuits (des classiques tombés dans le domaine public), et un accès à une bibliothèque numérique de quelque 100 000 livres.
L’article est un condensé de la rhétorique classique des technofans : si les gens sont réfractaires, c’est qu’ils ont pas compris, mais de toutes façons ça va finir par marcher quoi qu’on fasse alors vaudrait mieux s’incliner, et saluer Carrefour, qui nous guide vers l’avenir de la démocratisation du savoir.
Voilà qui va réveiller une partie du monde de l’édition, et tous ceux qui prédisent l’échec de la lecture sur écran.
Pour les technofans, le monde se divise en deux : les visionnaires et ceux qui dorment (!!), et pire les oiseaux de mauvais augure… La technologie étant neutre, il n’y a pas d’arguments à lui opposer mais des superstitions.
La librairie en ligne sera gérée et animée par les libraires de Carrefour
Oui, oui, pour Haski, il s’agit bien de #librairie et de libraires…
@intempestive : je ne suis pas d’accord. En l’occurrence tu parles du contenu (l’œuvre ou l’ouvrage) pouvant être diffusé sur différents médias ou supports dont on peut apprécié les qualités. L’arnaque lexicale consiste à appeller livre un fichier numérique dont les qualités (de lecture, sociales, etc.) sont dégradés par rapport à l’objet inital que le terme désignait. On n’appelle pas « orchestre électronique » un mp3 par exemple ;)
L’avantage pour les industriels de parler de livre électronique, c’est que ça permet à Pierre Haski (et à plein d’autres) de parler de librairie et de libraires dans le cas de Carrefour et d’Amazon. Donc je continuerais à dire simili-livre et simili-libraire et simili-librairie ;-)
@intempestive : c’est un problème plus large que le seul travail des éditeurs ou libraires indépendants. On trouve dans certains rayons de Fnac des libraires très compétents. Pour le reste, j’entends la distinction, qui permet par exemple de parler de livre audio. C’était certainement une erreur, puisqu’on n’a plus dans ce cas de terme spécifique pour désigner le support papier, et par conséquent défendre ses spécificités qui dépassent largement la seule lecture. #Bouquin ?
Oui c’est intéressant pour construire une réflexion :) Sur la question industrielle, il faudrait voir comment les publications indépendantes sont tributaires de l’organisation de la production et de la diffusion des publications « dominantes », ou de divertissement.
On a le cas par exemple pour la presse papier : Article11 est tributaire de la diffusion de Modes&Travaux à travers l’organisation du système de distribution Presstalis (ou MLP pour Article 11). Pour les livres « indépendants », l’organisation industrielle fait que les livres sont moins chers si des ouvrages de faible intérêt (pour nous) restent imprimés sur papier (parce qu’on imprime souvent chez les mêmes imprimeurs, ou qu’on bénéficie d’une culture des métiers du livre, ou d’un réseau de diffusion, etc. quel que soit ce qui est imprimé).
Enfin, il faudrait réfléchir à dans quelle mesure des usages très minoritaires mais intéressants participent à la diffusion de nouveaux objets à la nuisance potentielle beaucoup plus importante, comme c’est le cas pour les #drones :p (la raison pour laquelle je trolle un peu – gentiment – sur cette question @reka et @fil, qu’ils m’en excusent d’ailleurs).
en effet, je ne sais pas dans quelle mesure on peut séparer nettement « participer à la diffusion d’objets » et « participer à la diffusion de la connaissance d’objets » ; certains, qui ont la science infuse, peuvent se permettre de trancher plus facilement :)
C’est la raison pour laquelle je ne m’enthousiasme pas pour les arguments de Biagini : il a décidé de la conclusion, puis s’emploie à la démontrer.
Si on peut et on doit critiquer tout ça, il me semble contre-productif de s’appuyer pour ce faire sur des amalgames grossiers et des informations fausses.
Deux exemples rapidement :
– la 4ème de couv du bouquin de Biagini : « Multinationales du high-tech, start-ups ou hacktivistes, tous prétendent construire un monde sans conflit (...) une forme de marché idéal. » (amalgame) ;
– l’« argumentaire » de La face cachée du numérique, chez le même éditeur : « une recherche sur Google produit autant de CO2 que de porter à ébullition de l’eau avec une bouilloire électrique » (faux).
Je ne comprends pas ta question ; qu’est-ce qui est une préoccupation assez faible, et pour qui ? Pour moi, quand on emploie des arguments faux, on prend le risque de discréditer tout ce qu’on écrit.
L’histoire de la bouilloire a été réfutée presque immédiatement. Qu’on en parle au comptoir du café parce que « ça tourne », je comprends bien. Qu’on répète ça dans des livres sans faire de vérification, juste parce que ça va dans le sens de l’argumentation qu’on défend, c’est juste foireux.
Official Blog : Powering a Google search
▻http://googleblog.blogspot.fr/2009/01/powering-google-search.html
In fact, in the time it takes to do a Google search, your own personal computer will use more energy than Google uses to answer your query.
Recently, though, others have used much higher estimates, claiming that a typical search uses “half the energy as boiling a kettle of water” and produces 7 grams of CO2. We thought it would be helpful to explain why this number is many times too high.
(Ouais, quand on décide d’appliquer le prix libre, je pense qu’il est vraiment important d’afficher très lisiblement les frais réels occasionnés.)
Juste un truc sur la critique des technologies : les erreurs ou approximations de Cédric Biagini ne peuvent pas discréditer toute approche prudente sur le développement de tel ou tel nouvel objet susceptible de modifier profondément notre environnement, de la même manière que les errements de PMO sur la société ne modifient en rien la justesse de leurs alertes sur les nanotechnologies.
Pour les drones comme pour les liseuses on peut au minimum être sceptique ou évoquer un principe de précaution. Il semblerait que le rouleau compresseur des évolutions technologiques puisse dorénavant s’imposer avant même qu’on ait pu se poser la question de leur nocivité potentielle.
Heureusement qu’on n’a pas demandé aux opposants aux nucléaires des années 70 d’avoir le niveau de connaissance d’un ingénieur nucléaire pour s’opposer à la prolifération nucléaire, ou aux opposants aux OGM d’être des biologistes.
Au Metropolitan Museum of Art à New York, le prix d’entrée est libre. La caisse affiche le prix « conseillé » de 25 dollars mais on paye ce qu’on veut. Comment - sur 25 dollars - calculé le coût réel :) ?
Moi j’ai proposé 10 dollars, le caissier m’a tiré une gueule longue comme Manhattan. J’en déduis que mon prix proposé ne couvrait pas les frais réels, donc.
@ari tout à fait d’accord : ces erreurs ne devraient discréditer que leurs auteurs (et leurs fan-clubs). Mais on risque toujours d’être affaibli quand ses alliés écrivent des bêtises. On prend aussi le risque de les répéter si personne ne fait jamais attention, au prétexte qu’on serait d’accord globalement avec le fait d’être critiques.
Pour le reste de ta remarque, je suis mitigé : bien sûr, il faut défendre le droit pour tout un chacun de porter une critique contre un système technique ou juridique complexe, sans nécessairement être un spécialiste du domaine. Mais ceux qui s’érigent en leaders d’opinion doivent à leurs lecteurs de faire un minimum d’effort de véracité et d’honnêteté dans l’information qu’ils leur apportent. La mauvaise foi et l’approximation sont des poisons politiques.
Les recherches (sérieuses) ont en effet l’air assez rares ; le mieux que j’aie trouvé jusqu’ici c’est ce livre : Impacts écologiques des technologies de l’information et de la communication, du Groupe Ecoinfo (coordonné par Françoise Berthoud) ►http://www.monde-diplomatique.fr/2013/02/RIVIERE/48775
@intempestive : un argument de plus pour « Le papier, l’avenir des sites participatifs d’info locale » cf. ▻http://seenthis.net/messages/160905 Quand t’animes un site, c’est parfois rageant de voir la ventilation des visites par rubrique thématique. Genre la rubrique « antifascisme » versus la rubrique « écologie ».
Merci, et un tag #plook pour toutes vos références sur l’#économie_énergétique des ntics.
@thibnton, je mets #plook lorsque cela recroise la philosophie de ce petit CMS sous GPL que j’ai moi-même conçu et codé il y a dix ans.
Mon but était multiple :
– dépenser le moins de ressources possibles
– afficher rapidement les pages si la liaison était sans adsl
– être facile pour tous pour l’installation ou la rédaction
– permettre un accès direct aux fichiers sans nécessiter de bdd
– être multilingue
– peser moins de 100ko
Comme d’autres ont repris l’idée de plook (en 2004 les CMS avaient toujours une base de données) avec des perspectives de dropbox et que le ministère français de l’industrie m’a refusé son aide financière pour continuer à le développer correctement (nan je blague, je suis au RSA), je garde ce tag quand cela m’évoque ses principes.
@aude_v @fil, @ari, à propos des coûts énergétiques, ce récent documentaire :
►http://seenthis.net/messages/268666
Les échelles sont tellement énormes et les acteurs, patrons, mairies, qui promeuvent les datacenters sont tellement eux-mêmes explicitement et ouvertement d’accord que ça dépense un max d’électricité, que je ne saisis pas l’intérêt de savoir exactement combien coûte telle ou telle requête. Se battre à propos de ça est à mon avis une perte de temps.
À propos d’un site internet très léger (commandité par Biocoop) :
►http://seenthis.net/messages/358061
Parution de « Cabane d’hiver » de Fred Griot / pré-commandes
►http://www.larevuedesressources.org/parution-de-cabane-d-hiver-de-fred-griot-pre-commandes,2591.ht
Parution le 25 septembre 2013 de Cabane d’hiver de Fred Griot aux éditions ERR Causse... un mois, sous yourte… écrire, méditer, marcher, casser mon bois pour le poêle, quelques gestes simples… les buis, les grandes collines bombées, les grandes herbes, dolines, avens, les colonnes de roches ruineuses comme des chapelles romanes de cailloux secs, les pierres claires concassées des sentes, les pins sous la neige, les hommes... une terre pour laquelle je pourrais lutter. se réveiller la bouche (...) (...)
Cal-#heatmap : #javascript #calendar heatmap for time series data
▻http://kamisama.github.io/cal-heatmap
Cal-Heatmap is a javascript module to create a calendar heatmap.
L’#odeur du #chocolat dope les #ventes de livres
▻http://fr.myeurop.info/2013/07/24/l-odeur-du-chocolat-dope-les-ventes-de-livres-11700
Quentin Bisson
Des chercheurs belges de l’université de Hasselt ont eu du flair. Pendant dix jours, ils ont diffusé une odeur de chocolat dans une #librairie du pays. Surprise : leur drôle d’étude prouve que ce parfum booste la vente des livres.
Voici une nouvelle qui fleure bon pour les libraires en mal (...)
#Insolites #Société #Économie #Belgique #achats #consommateurs #inconscient #marketing_olfactif
Ca ressemble a du #neuromarketing
il y a un exemple ici
▻http://seenthis.net/messages/125850
avec macDo qui voulait un parfum champêtre dans ses #toilettes et ses produits ménagers pour implanter une image plus « verte » dans l’esprit des gens. Ils avaient fait faire leurs études en GB car en France le docu dit que c’est interdit le neuromarketing. C’est légal en Belgique comme le montre cette étude.
Il me semble qu’on utilise pourtant déjà les odeurs dans les commerces en France. Par exemple les boulangeries qui ne font pas leur pain genre dans le metro, diffusent une sorte de parfum beurre synthetique peu rassurante.
C’est de l’#éthologie. Maintenant, vous savez pourquoi je rame : je n’ai pas voulu que la science que j’avais étudié avec passion serve seulement à tromper les gens au profit de quelques multinationales. Sinon, y a le pschitt de « neuf » dans les voitures d’occase qui fait tu as l’impression que la voiture vaut plus cher qu’en vrai, les choix des couleurs des revêtements muraux, pour favoriser certains comportements.
Mais y a aussi des chouettes trucs, comme la resonorisation des lieux de passages et transports en commun, pour limiter le stress et l’agressivité, ce genre de truc.
Je connait plutôt l’éthologie appliqué aux non-humains, mais c’est logique que cette science s’applique à l’homme, mais dans ce cas je pensait qu’on dirait #anthropologie. Par rapport à ce qu’on appel le #neuromarketing, est ce que c’est pas le mélange de plusieurs domaines (#marketing_olfactif, #design_sonore, #ergonomie, #éthologie, #psychologie...) ? Domaines qui ont en commun de pouvoir servir à vendre à travers l’inconscient individuel et collectif. C’est pas un nouveau mot pour dire #subliminal ?
Je me demande aussi où est la limite de la manipulation dans ce cas. Par exemple je suis libraire et je met de l’encens dans ma boutique pour que sa sente bon, ou je propose du chocolat chaud tous les mercredi en hivers ou n’importe quelle idée conviviale pour rendre mon commerce plus sympas. Histoire que les clients reviennent et que les ventes augmentent. A quel moment je glisserait dans la manipulation ? Sans avoir besoin de faire une étude neuromachine, je me doute bien que si je pète derrière mon comptoir ça ne fait pas monter les ventes et que si ca sent bon le chocolat sa met de bonne humeur (enfin si on est pas la toute la journée, pour les salariés ca peut être aussi lourd que les musiques automatiques).
Je part encore en digressions mais comme ca se passe toujours en #europe #myeurope ne m’en voudra pas ;)
Sur la musique dans les commerces, j’ai eu pour la première fois à faire à une musique anti-squat dans un café à Bastille. C’était une toute petite musique discrète, très courte et répéter en boucle sans arrêt pendant les deux heurs que j’ai du passer dans le bar. J’ai pensé d’abord que c’était pour faire des économies à la #sacem mais je croi qu’en dehors de cet avantage, ca a fait tourner les clients. Elles m’ont incommoder ces 3 notes répétées sans fin, et pourtant j’aime la musique répétitive, mais là c’était un genre de boucle d’ascenseur insupportable. J’ose pas imaginer l’effet sur les serveurEs si deux heurs ont suffit à me faire fuir.
Pour l’éthologie, y a mon site... qu’il faudrait que je mette un peu à jour : ▻http://www.ethologie.info
Dans le même ordre d’idée de trucs répétitifs qui rendent fou, je me demande quel est l’effet des milliers de validation des cartes navigo pour les conducteurs de bus, validation signalée par un son caractéristique et déjà, à petite dose, assez désagréable.
@baroug le compostage de billet fait pas un bruit génial non plus. Je ne sais pas ce qui est pire.
@monolecte très interessant ton site, je vais m’y régaler :p
Sur google book il y a quelques ouvrages disponibles sur le sujet par exemple ceci
▻http://books.google.fr/books?id=zWyDobqWQooC&printsec=frontcover&dq=ethologie&hl=en&sa=X&ei=sS
et puis j’ai trouvé aussi ceci que j’ai pas encore lu et que tu référence peut être déjà ▻http://ethologie.unige.ch/etho1.01/4.Controle.du.cpt.Mecanismes.organisateurs.htm
cette fois je suis totalement #hors_sujet j’espère que @myeurop ne me grondera pas ;)
Nous sommes vraiment très fâchés de tous ces débats et échanges que nous avons créés à l’insu de notre plein gré, @mad_meg
L’#information, c’est comme la #richesse, cela doit seulement ruisseler depuis les hautes sphères vers la piétaille assoiffée ;-)
Le neuromarketing, de l’IRM à l’acte d’achat
▻http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/73482.htm
Eline de Vries, chercheuse au CIC, a récemment donné une masterclass à la RUG sur un domaine actuellement en pleine expansion : le neuromarketing.
Selon Eline van Vries, 80% des nouveaux produits mis sur le marché chaque année échouent à cause d’un mauvais marketing. Les conclusions présentées mettent en avant trois constats principaux :
– le comportement des acheteurs est principalement déterminé par l’activation de deux zones du cerveau, celle liée à la douleur et celle liée à la récompense ;
– si la zone liée à la récompense est d’avantage sollicitée, les consommateurs auront tendance à acheter le produit ;
– l’activation de la zone liée à la récompense par rapport à celle liée à la douleur peut également fournir une indication importante quant au prix de vente optimal du produit.
▻http://www.unifocus.nl/site/pagina.php?id_item=256&tab=journaals
Ah, je sais bien que vous m’en voulez gravement pour tous les hors sujet que j’aime faire sur les postes de @myeurop ^^ C’est votre faute quant même, faut pas proposer des sujets si inspirants !
Nous le notons : ne proposer que des sujets roboratifs pour décourager le troll @mad_meg ;-)
@supergeante La raison principale qui fait que 80% des nouveaux produits échouent, c’est surtout parce qu’il s’agit de merdasses inutiles dont personne n’a besoin, sauf les mecs qui veulent conditionner les gens à les acheter quand même, juste pour leur remplir les fouilles.
Du coup, bosser pour les entreprises qui entendent forcer les gens à acheter des choses contre leur gré est à mon sens une perversion majeure de l’esprit scientifique.
@myeurop c’est pas gagné, je suis capable d’aimer le roboratif...
(je fait partie de la secte des adoratrice de la patate par exemple ^^)
@supergeante & @monolecte
je tique en particulier sur ceci
– le comportement des acheteurs est principalement déterminé par l’activation de deux zones du cerveau, celle liée à la douleur et celle liée à la récompense
qui fait penser à du dressage canin ou autre.
▻http://www.youtube.com/watch?v=M3jkitf248c
Bon pour le dernier tiers des programmes TV, je suis moins au point, j’ai plus ce machin depuis quelques années alors peut être que ca a changer, mais la télé dite « télé réalité » me semble très typique je sais pas si j’en avais deja parler ici.
Un truc comme le Loft me semble parlant. Comme ca semble toujours rencontrer du succes, c’est que ca parle aux gens.
Voila comment je voie le truc :
Des gens sont enfermés et la punition c’est de leur donner la liberté, comme au paradis patriarco-monothéiste, l’idée c’est que le malheur c’est d’être libre*. C’est déjà un drôle de truc. On a des gens un peu comme tout le monde, c’est plus ou moins l’intention du dispositif ou ce qu’il veut faire croire au spectateurE. Je regarde des gens comme moi et plein de gens les regarde, c’est un peu comme si on me regardait. Ca fait plaisir, hop récompense.
Après la personne sera punis ou récompensé. Moi aussi un peu en passant, toujours par procuration. Celleux qui survivent au dispositif sont l’objet d’une sorte d’intérêt publique. On leur donne accès à la Jet set, au Show-biz, au club des domiants et tout le bazar. C’est quelqu’un comme moi qui deviens un peu grâce à moi un élu, ca me récompense de plusieurs manières.
La personne élu quant même n’est pas de « ce monde », et du monde se presse au portillon, on a pas arrêter de faire des émissions (perso une seule me suffisait amplement mais big brother ne me consulte pas !). Elle retombe vite dans l’anonymat, paf punition. Ca à l’aire de s’accompagner d’un tas de problèmes de dépressions et de toxicomanie. punition-punition-punition.
Après une période plus ou moins longue, l’ex-élu sort un bouquin témoignage sur la traversé du désert post loft ou sujet de ce genre. La télé l’invite, le spectatateurE peut cette fois savourer la phase punition. Comme si il fallait que les choses reviennent à leur place et que les « élus » payent le privilège qui leur fut accorder. Après tout il n’y avait aucune raison pour que cet « élu » le soi. C’est bien normal qu’ille soit punis et moi aussi par procuration.
Après la boucle peut reprendre, l’ex-élu peut refaire une télé-réalité et rejouer cette tragi-comédie du sado-maso.
bon c’est peut être fumeux tout cela. Il fait bin chaud alors je m’excuse d’avance si c’est n’importe quoi mes histoires.
*j’en avait fait un dessin à l’époque du Loft sur lequel j’avais plus ou moins écrit la réflexion dont je vous ai fait part ici. C’est l’Archange Loana chassant Adam & Eve du paradis télévisuel.
Ahlala en plus de flooder je fait du #shamless_autopromo !!!
La patate n’est pas roborative ! Blasphème !
Tu as raison @baroug je vais faire une tartiflette ce soir pour me punir de cette hérésie ^^
Digression suite - spécial cop culture 4 @mad_meg
►http://seenthis.net/messages/159934
@monolecte : je cite, je n’ai pas commenté. Si on suit le concept du neuromarketing, il s’agit bien de parler à la part non consciente, d’influencer via la part animale de l’être humain. Que les objets soient utiles ou pas n’est pas le sujet. Ce que je me demande quand même, c’est si ces méthodes fonctionnent aussi avec des esprits réfractaires à la consommation impulsive. Dans le reportage ▻http://seenthis.net/messages/159858 (digression n°2 suite à ce post) l’un des exemples montre bien une personne qui pense réagir à un certain stimuli d’une publicité alors qu’il s’avère que son corps trahit une réaction à un autre élément de la publicité : la photo du hamburger. C’est ce que dit l’expérience chocolat à l’origine de nos commentaires. Le neuromarketing agit là où on ne l’attends pas.
c’est gentil @intempestive, je vais fouiner la dedans. J’aime bien faire tourner ce livre.
@supergeante, chouette suites de digressions #Hakim_Bey je suis bien contente de le découvrir.
#François_Maspero légendaire éditeur nous parle de son métier,derrière la caméra, un certain
« Les mots ont un sens »(1970)
▻http://www.youtube.com/watch?v=eNY-l7FuSnA
Les libraires de métier n’ont désormais plus voix au Chapitre - L’Humanité
▻http://new.humanite.fr/social-eco/les-libraires-de-metier-n-ont-desormais-plus-voix-541232
« On est devenus des commerces comme les autres, souffle une libraire. On fait le choix d’aller dans le secteur du livre, on sait qu’on ne va pas bien gagner notre vie, mais on est dans notre élément : le contact, la lecture, le conseil, le choix, la culture… Mais
Bertelsmann et Najafi nous ont transformés en boutiquiers. On a longtemps pensé qu’on n’était pas délocalisables, mais on a fini par comprendre qu’aux yeux de ces financiers on était dématérialisables. »
Ultime station en date sur ce chemin du calvaire : alors que l’actionnaire vient de confier les rênes de l’entreprise à une équipe de spécialistes en « management de la transition » – en clair, des nettoyeurs spécialisés dans les plans sociaux –, le projet « stratégique » d’Actissia, présenté aux syndicats il y a une dizaine de jours, prévoit notamment la multiplication de « corners » dans les magasins, qui vendront des produits cosmétiques et des compléments alimentaires. « Une constipation passagère, passez donc en librairie, on va vous aider », raille David Lucchetti, délégué CGT chez Arthaud, une librairie implantée depuis 1801 à Grenoble.
Renaissance du #scandale - L’#antiédition
►http://alainzannini.com/index.php?option=com_content&view=article&id=3040&catid=67:analyses&It
Mémoire de recherche en #littérature française par Christopher Bianconi
Un mémoire universitaire d’un étudiant sur le cas un peu particulier de #Marc-Édouard-Nabe et de sa nouvelle manière de s’éditer, #Nabe ayant récupéré les droits de tous ses #livres avant de monter sa propre plateforme.
#édition #Milieu #monde-des-lettres
L’Homme qui arrêta d’écrire de Marc-Edouard Nabe, dont nous allons retracer ici la conception, du manuscrit à l’édition, est un cas radical, tout à fait différent par bien des aspects, mais a provoqué dans le paysage littéraire français des secousses aussi importantes, mettant le doigt sur une plaie encore aujourd’hui ouverte. Car ce que Nabe remet en cause lorsqu’il publie son nouveau roman sous le concept d’anti-édition le 14 janvier 2010, c’est la place même de l’écrivain dans la société marchande. Lui qui a publié vingt-six livres dans le système traditionnel avant de se qualifier de worst-seller dans Le Vingt-Septième Livre connaît avec son vingt-huitième, sans contrat d’édition, son plus grand succès à ce jour. Succès financier lui permettant de continuer à vivre de sa littérature, et succès critique, car frôlant le prix Renaudot 2010 (à une voix près), une première pour un livre édité par son auteur. Succès obtenu sans être devenu un best-seller, avec un livre qui, de plus, n’existe dans aucune #librairie.
Et de Nabe :
Il vaut mieux avoir mille lecteurs qui vous comprennent que cent mille qui se servent de vous pour se croire intelligents.
Les libraires contre Amazon | Slate
►http://www.slate.fr/story/65611/librairies-amazon-e-commerce-web
Selon Matthieu de Montchalin, président du Syndicat de la librairie française (SLF), l’activité des libraires a reculé d’environ 1,5% depuis le début de l’année 2012. La grande distribution –qui écoule une BD sur 4– et les grandes surfaces spécialisées connaissent un recul encore plus fort de leurs ventes de livres : -5% pour la FNAC depuis début 2012, alors que Virgin annonce plusieurs fermetures.
et les autres distributeurs aussi... : ►http://bourgogne.france3.fr/2012/12/06/la-grogne-des-distributeurs-contre-amazon-159693.html
• La librairie Quilombo a 10 ans !
►http://www.librairie-quilombo.org/La-librairie-Quilombo-a-10-ans
Concert & débats
Concert à la Java le vendredi 23 novembre, 105 rue du faubourg du temple Paris XXe. M° Goncourt ou Belleville. Débats à la librairie le samedi 24 novembre, 23 rue Voltaire, Pars XIe. M° Rue des boulets / Nation
Merci pour ces précisions @speciale. Toujours un petit regret par rapport à SPIP (que j’utilise pour des dizaines de sites) : l’absence de boutique facile à mettre en place. Bien sûr d’autres logiciels sont dédiés à cela et le font très bien, mais on est obligé de séparer l’éditorial (SPIP) du commercial... Dans bien des cas, cela rendrait service.
Les commentaires en or du #Google ebookstore | Claire Berthelemy
►http://owni.fr/2012/10/02/les-commentaires-en-or-du-google-ebookstore
La librairie en ligne de Google a débarqué aux côtés d’#Amazon et d’Apple. Et reprend discrètement les commentaires des lecteurs d’autres sites marchands. Une pratique normale ou une anecdote qui cache un petit abus de position dominante ? #Enquête.
#Pouvoirs #édition_numérique #fnac #fnac.com #google_play #librairie_en_ligne
Librairies en littérature jeunesse
Quelques librairies où l’on trouve de bons ouvrages de littérature pour la jeunesse :
Librairie artazart : ►http://www.artazart.com/fr
Librairie Page 189 : ►http://www.page189.com
Librairie Le Merle Moqueur : ►http://www.lemerlemoqueur.fr
Librairie Équipages : ►http://www.ecolevitruve.fr/projets2000/equipage.html
Librairie Ombre Blanche : ►http://www.ombres-blanches.fr/rayons/jeunesse.html
Librairie Les Petits Papiers : ►http://www.lespetitspapiers.org
D’autres conseils ?
La librairie du MK2 quai de Loire, bien que petite, a un choix plutôt pas mal de livres pour enfants (Paris toujours, désolé, métro Jaurès).
Librairie L’herbe rouge rue d’Alesia Paris 13ème ►http://www.herberouge.com
et aussi Le rideau rouge qui déménage rue de Torcy Paris 18ème ►http://lerideaurouge.com, rue Riquet le rayon jeunesse était assez petit mais devait s’agrandir, je n’y suis pas retournée depuis le déménagement.
Extinction de la voix du « Village » - Libération
►http://www.liberation.fr/culture/2012/07/04/extinction-de-la-voix-du-village_831204
La célèbre librairie américaine ferme à Paris, et c’est toute une communauté qui la pleure.
(...) les raisons du plongeon sont claires : la vente en ligne, les #ebooks, et la crise.
D’autant que l’établissement ne vend que des livres importés, qui ne sont pas soumis au prix unique des livres français. Et la concurrence est rude. « Les gens viennent chez nous et comparent en direct les prix sur Internet. A 40% moins cher, même s’ils sont fidèles, le porte-monnaie compte aussi. »
La monstrueuse littérature jeunesse (Slate)
►http://www.slate.fr/story/57755/monstrueuse-litterature-jeunesse-peur-france
Outre-Atlantique, les parents veulent nourrir leur progéniture d’émotions positives, d’imagerie heureuse, en s’appuyant sur le « self-esteem ». Il faut dire sans cesse aux enfants qu’ils sont merveilleux, qu’ils doivent s’aimer.
[…] L’adulte, selon la conception anglo-saxonne, est prompt à croire que les enfants n’ont pas peur, n’ont pas de questionnements graves sur le monde, pas encore de véritables émotions.
#éducation #littérature_jeunesse #bibliothèque_municipale #librairie #parents #enfants
Aborder des sujets “difficiles” par les albums (Cqma)
►http://www.cqma.info/article72.html
« UN REGARD MODERNE » - MAGALI F. FOUQUET . : LaSpirale.org :.
►http://www.laspirale.org/photo.php?id=381
Des photos d’une des meilleures librairies qui soit
Pour faire suite à ►http://seenthis.net/messages/66574
Vous avez « Légume des jours » de Tolstoïeveski ? | La république des livres
►http://passouline.blog.lemonde.fr/2012/04/23/vous-avez-legume-des-jours-de-tolstoieveski/#xtor=RSS-32280322
Mais avec celui qui recherche un guide mais lequel, et qui précise « Un GuydeMaupassant », il faut renoncer. A propos, où rangez-vous les Capote ? Et vous savez qui est l’auteur du Journal d’Anne Frank ? Et Colombo de Mérimo, vous l’avez encore ? Pauvre libraire ! Lui aussi a le droit de décompresser en fin de journée : « Vous avez des nouvelles de Tchékhov ? – Mais cher Monsieur, il est mort ! ». Quant à Mme de Sévigné, inutile de la chercher : elle ne travaille plus ici.
LE REGARD MODERNE :: : Une librairie sans fard | Gonzai
►http://gonzai.com/le-regard-moderne-une-librairie-sans-fard/comment-page-1/#comment-30242
Quand j’ai commencé à faire le libraire il était évident – ouais ça devait être dans les années 60, que le quartier latin était vraiment LE quartier culturel, le cerveau de Paris tandis que les Halles étaient le coeur de la capitale et son circuit intestinal. Aujourd’hui cela a basculé, disons que c’est bien. Seulement ici les places sont tellement chères que l’on ne peut quasiment plus voir que des grandes enseignes à la mode. Les libraires indépendants ont affaire à des groupes de distribution où il n’y a aucune volonté de choisir, aucune conscience des livres à proposer ; on assiste à une sorte de laisser aller dans le travail.
Quant j’ai commencé, j’étais aux Yeux fertiles, à 50 mètres de là. La librairie a depuis été rachetée, j’ai continué à y vendre des livres mais il n’y a avait plus le même esprit . Et puis j’ai fait une rencontre merveilleuse avec un des derniers mécènes, Jean-Pierre Faur. Ce fut un partage pendant près de dix ans, avec une sorte d’affection portée sur ma personne, et le fait qu’il ait pu m’offrir une librairie m’enrichit encore le coeur. Il avait dans l’idée d’avoir une librairie, mais sans vouloir faire le libraire. C’est ainsi que je me suis retrouvé ici, au regard moderne rue Gît-le coeur ; la rue où meurt l’amour, la rue où tous les écrivains de la Beat génération comme Ginsberg avaient atterri.
Et pour ceux qui n’ont jamais vu l’endroit, des images.