• Frédéric Chatillon, salarié borderline de la campagne de Marine Le Pen - L’Express
    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/fn/frederic-chatillon-salarie-borderline-de-la-campagne-de-marine-le-pen_18914

    « Personne n’est dupe. Il détourne les obligations du contrôle judiciaire mais reste formellement dans les clous » en n’agissant pas officiellement au nom de Riwal, estimait en septembre une source proche de l’enquête. « Il joue avec le feu mais sait très bien être borderline. »

    Un jeu avec le feu qui commence à donner quelques sueurs froides en interne. « On ne nous les montre pas mais nous savons que ce sont toujours les mêmes qui sont en piste sur le matériel », glissait en février à L’Express un membre du comité stratégique de Marine Le Pen au sujet de Frédéric Chatillon et de son proche, Axel Loustau, trésorier du micro-parti Jeanne.

    Ulcéré par le rôle présumé que l’ancien « gudard » joue toujours dans la mécanique FN, ce cadre disait avoir « engueulé » Marine Le Pen à ce sujet. « Elle m’a répondu : ’c’est un fournisseur’ », racontait-il. « Il a prouvé un certain nombre de compétences, ça veut dire qu’on a besoin de lui », justifiait un autre cadre frontiste, proche, lui, de Frédéric Chatillon.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN #Frederic_Chatillon

  • Frédéric Chatillon, ami de Marine Le Pen accusé d’antisémitisme, est... salarié du FN - L’Obs
    http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170321.OBS6938/frederic-chatillon-ami-de-marine-le-pen-accuse-d-antisemitisme-

    Un très proche de Marine Le Pen disait aussi récemment « comprendre en partie » les doutes de la communauté juive à l’égard de #Frédéric_Chatillon, qui « a été très loin dans le passé ».

    La députée Marion Maréchal-Le Pen et sa mère Yann Le Pen - sœur de Marine Le Pen et chargée des grandes manifestations au FN - l’évitent au possible.

    Louis Aliot, vice-président du FN et compagnon de Marine Le Pen, s’inquiète lui aussi parfois de la place des « gudards » dans le parti.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN

  • Préférence nationale : quand le FN avance masqué - Libération
    http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/03/20/preference-nationale-quand-le-fn-avance-masque_1557014

    Ce que le FN veut mettre en place aujourd’hui n’a strictement rien à voir avec ce qui se pratique actuellement.

    Aujourd’hui, les employeurs français doivent déjà s’acquitter d’une taxe auprès de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii). C’est ce qu’évoque Marine Le Pen lors de l’extrait ci-dessus. Cette taxe a concerné 36 000 travailleurs en 2015 (pour 31 millions d’euros). Cette taxe concerne effectivement les étrangers non-communautaires, puisque les Européens bénéficient de la liberté de circulation.

    Mais la grande différence avec ce que veut mettre en place le FN ne se situe pas là. La taxe actuelle est versée uniquement lors de la première entrée en France de cet étranger ou lors de sa première admission au séjour en qualité de salarié. Le FN souhaite, lui, mettre en place une mesure s’appliquant pour « toutes les embauches » et « tous les étrangers », y compris ceux présents en France. Si l’employeur d’un étranger en CDI ne devra pas payer de taxe rétroactive (pour un étranger déjà en poste), tout employeur embauchant un étranger (qu’il vienne d’arriver ou qu’il soit déjà résidant en France) s’acquittera donc de la taxe du FN. Ce qui change évidemment tout. Le projet du FN concerne donc potentiellement les quelque 1,7 million d’étrangers actifs en France, quand ils prendront un emploi ou en changeront. Bien au-delà de la taxe actuelle versée à l’Ofii, qui a donc concerné 36 000 immigrés en 2015.

    Ajoutons que le montant de la taxe souhaitée par le FN n’a rien à voir non plus avec ce qui se pratique aujourd’hui. Versée une fois, elle varie de quelques dizaines d’euros à 55% du salaire mensuel brut (dans la limite de 2,5 smic) pour un contrat supérieur à douze mois avec un salaire supérieur à 1,5 smic. Le parti frontiste souhaite mettre en place une taxe d’un montant bien supérieur, puisque équivalent à 10% du salaire mensuel brut par mois. Soit un treizième mois. Un étranger présent en France depuis des années cherchant un emploi ou souhaitant en changer coûtera donc 10% de plus par mois à son éventuel nouveau patron. Un montant fortement dissuasif.

    Au final, la taxe frontiste n’aura pas pour seul (éventuel) effet de limiter l’immigration économique (qui pèse une partie marginale du flux migratoire) : elle devrait surtout contribuer à compliquer l’accès à l’emploi des étrangers résidants en France, en situation régulière, et qui connaissent déjà un chômage supérieur à celui des Français.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN #Préférence_nationale

  • Manifestation Anti-Linky le 22 mars 2017
    https://changera.blogspot.fr/2017/03/manifestation-anti-linky-le-22-mars-2017.html

    Manifestation Anti-Linky le 22 mars 2017 !
    RASSEMBLEMENT NATIONAL STOP-LINKY
    (et autres compteurs communicants)
    Mercredi 22 mars 2017 de 11h30 à 15h
    devant la maison de la Radio à Paris
    116 av du Pdt Kennedy

    Mercredi 22 mars 2017, l’Association des Maires de France (AMF) organise avec Radio-France et Public-Sénat une journée entièrement consacrée aux communes dans le cadre de la campagne présidentielle, et tous les candidats à l’élection présidentielle ayant déposé les fameux 500 parrainages seront reçus.
    Cf : http://www.amf.asso.fr/document/index.asp?DOC_N_ID=24303&TYPE_ACTU=1

    C’est l’occasion de faire entendre pour le mouvement Stop-Linky (Collectifs, associations, particuliers, élus municipaux, etc).
    En effet, une colère de plus en plus puissante gronde dans toute la France face aux passages en force d’Enedis et de ses sous-traitants qui tentent d’imposer leurs compteurs par la désinformation, les menaces, intimidations, etc.

    #linky

  • Présidentielle 2017 : Marine Le Pen a engagé Frédéric Chatillon pour sa campagne
    http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/03/21/presidentielle-2017-marine-le-pen-a-engage-frederic-chatillon-pour-sa-campag

    Ami proche de Marine Le Pen, président dans les années 1990 du Groupe union défense (GUD), syndicat étudiant d’extrême droite « antisioniste » et « anticapitaliste », @Frédéric_Chatillon a confirmé à l’Agence France-Presse (AFP) qu’il était bien salarié de la campagne présidentielle du Front national, mardi 21 mars, à la suite de révélations du Canard enchaîné.

    D’après l’hebdomadaire satirique, M. Chatillon est depuis le 2 novembre chargé de mission dans la campagne de Marine Le Pen pour 2 550 euros brut mensuels pour un mi-temps avec des fonctions de « coordinateur technique du print et du web ».

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

    Un dirigeant du parti avait déjà dit à l’AFP que M. Chatillon était salarié de la campagne, mais d’autres sources internes confirmaient simplement sa présence quasi quotidienne à L’Escale, le QG de campagne parisien de la candidate du parti d’extrême droite.
    Accusations d’antisémitisme

    Frédéric Chatillon est considéré par la justice comme le personnage central du système organisé par le FN depuis 2011 pour ses campagnes électorales, ce qui lui vaut, dans deux enquêtes distinctes, un renvoi en correctionnelle et une mise en examen.

  • Quand le FN décide du casting d’un plateau de France Culture | Le Club de Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/marine-turchi/blog/210317/quand-le-fn-decide-du-casting-d-un-plateau-de-france-culture

    Un dirigeant politique qui menace de ne pas venir en plateau si tel journaliste s’y trouve. C’est en France, sur une radio du service public.

    Le 1er mars, coup de fil de l’émission « L’Atelier du pouvoir » sur France Culture pour m’inviter en studio, deux jours plus tard, en tant que journaliste couvrant le Front national. Le thème : « l’organisation du Front national, son fonctionnement ». « Et on abordera aussi l’affaire des assistants parlementaires du FN », me dit-on. L’un des dirigeants du FN, Jean-Lin Lacapelle, un vieil ami de Marine Le Pen qui occupe le poste stratégique de secrétaire national aux fédérations, a été invité, ainsi qu’un ou une chercheur/chercheuse. Je refuse d’abord, j’ai un rendez-vous déjà calé cette matinée-là. Mon interlocuteur insiste. Je finis par accepter.

    Le lendemain, nouveau coup de fil. Il s’excuse platement mais il est « contraint d’annuler » mon invitation. Le motif ? Jean-Lin Lacapelle ne viendra pas si je suis en studio. Je ne suis pas sûre d’avoir bien entendu. Je lui fais répéter. « Vous comprenez, avec les temps de parole, il faut qu’on invite le FN », m’explique mon interlocuteur. Je tombe de ma chaise. Depuis quand un dirigeant politique, qu’il soit du Front national ou d’un autre parti, choisit-il les invités ?

    En fin de journée, texto de Thomas Wieder, le journaliste du Monde qui co-anime cette émission diffusée le samedi midi sur France Culture. Il tient « à [s’]excuser de cette annulation ». Je lui demande des explications sur les raisons fournies par Jean-Lin Lacapelle, et par cette décision pour le moins incroyable de France Culture. « Comment pouvez-vous annuler la venue d’une journaliste sur volonté d’un dirigeant du FN ? ». « Ça n’a évidemment rien à voir avec le fait qu’il soit FN. Il arrive que des invités déjà bookés réagissent ainsi dans tous les domaines », me répond-il. Ah bon ?

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • Des #chatbots contre le terrorisme ? Surtout pas !
    http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/des-chatbots-contre-le-terrorisme-surtout-pas

    Quel meilleur moyen pour repérer les terroristes que recourir à l’intelligence artificielle ? Dans un article pour le site Lawfare, Walter Haydock, spécialiste du terrorisme, suggère d’utiliser des chatbots susceptibles de discuter en ligne avec divers interlocuteurs et de rapporter aux autorités ceux qui pourraient avoir des tendances à l’agressivité et (...)

    #A_lire_ailleurs #Débats #intelligence_artificielle #sécurité

  • Quelles sont les intentions de Enedis- (ex) ERDF avec le #compteur_linky ?

    Sexy, Linky ? - Le site du journal L’âge de faire | Le site du journal L’âge de faire
    http://www.lagedefaire-lejournal.fr/sexy-linky

    L’âge de faire publie « Sexy, Linky ? », un livre qui explique ce qui se cache derrière les nouveaux compteurs : questions sanitaires, enjeux industriels, problématique environnementale, etc. Nous en publions ici un extrait consacré au recueil d’informations.

    • L’âge de faire publie « Sexy, Linky ? », un livre qui explique ce qui se cache derrière les nouveaux compteurs : questions sanitaires, enjeux industriels, problématique environnementale, etc. Nous en publions ici un extrait consacré au recueil d’informations.

      Au départ, les communicants de la boîte étaient sacrément fiers des nouvelles possibilités offertes par Linky, comme en témoigne ce dossier de presse daté de juillet 2015 : « ERDF a bâti un système évolutif utilisant des technologies de pointe, capables de gérer de très importants flux de données. Nous ne sommes encore qu’aux prémices de l’exploitation de toutes les potentialités de ce compteur : Big Data, usages domotiques, objets connectés… » Et Philippe Monloubou, patron d’Enedis-ErDF (1), de confirmer début 2016 : « Nous sommes déjà, à l’heure où je vous parle, un opérateur du Big Data. »
      Le Big Data (littéralement « grosses données ») n’est pas un fantasme pour auteur de science fiction. Quoique discrète, c’est une révolution qui a déjà bouleversé l’économie mondiale, comme l’explique Solange Ghernaouti, experte internationale en cybersécurité et membre de l’Académie suisse des sciences techniques. « Le nouvel El Dorado numérique est lié à la collecte massive d’informations. Tous les modèles économiques sont basés sur l’exploitation des données. Nous ne sommes plus dans une économie de service, mais dans l’économie de la donnée. Le but est d’en avoir le plus possible et de les exploiter. » Plus on en a, plus on est puissant, plus on gagne d’argent en s’assurant un avenir radieux : Google, Facebook, Amazon, Apple possèdent à eux quatre 80 % des données personnelles mondiales.
      Toute cette collecte va servir à faire du profilage. Elle va permettre de mesurer, classifier, quantifier, faire rentrer des personnes dans des catégories pour mieux les cibler, mais aussi de croiser les informations, déduire, interpréter, prédire et influencer.Solange Ghernaouti

      Toutes ces données, tous ces profils, se monnaient ensuite sur un marché mondial florissant. Exemple : une entreprise peut connaître votre âge-adresse-sexe pour 0,007 $, savoir si vous avez un projet de mariage (0,107 $), un projet d’enfant (0,187 $), une maladie du cœur (0,447 $) ou si vous envisagez de faire du sport pour maigrir (0,552 $) (2). Avec Linky, ErDF pourra dire à ses partenaires commerciaux si vous buvez beaucoup de café, si vous êtes plutôt casanier, si vous êtes un couche-tard, si vous regardez beaucoup la télévision ou si vous ne vous douchez qu’une fois par mois… Pour avoir une vague idée du jackpot que représentent ces données personnelles, il suffit de savoir qu’au niveau mondial, le marché du Big Data se calcule en milliers de milliards d’euros.

      Des données incontrôlables
      Enedis-ErDF, de l’aveu même de son patron, souhaite y prendre sa place. On retrouve d’ailleurs avec Linky le processus assez classique d’un outil conçu pour le Big Data, comme l’a noté Solange Ghernaouti.
      A chaque fois, l’intérêt premier pour l’utilisateur est mis en avant : payer moins cher, consommer mieux… C’est un jeu de dupe, un peu comme avec les cartes Fidélités. Quand vous achetez quelque chose, c’est enregistré et exploité à votre insu, mais vous obtenez un bonus. Au début, on peut trouver cela attrayant et avantageux. Le problème est qu’à plus long terme, cette collecte d’informations permet de surveiller et donc de contrôler les comportements, les déplacements, les activités des consommateurs. Linky va même bien au-delà car les données recueillies sont celles issues de l’intimité des foyers, des activités privées. Solange Ghernaouti.

      Car évidemment, ce n’est pas votre courbe de charge en tant que telle qui intéresse Enedis-ErDF, mais tout ce qu’on peut en déduire. Au lancement du Linky, l’entreprise laissait entendre qu’on pourrait savoir tout ce qui se passe chez vous grâce à ce nouveau compteur. Face aux critiques que n’a pas manqué de susciter cette intrusion dans la vie privée de chacun, Enedis-ErDF a changé son fusil d’épaule, en tentant comme toujours de brouiller les pistes. Ainsi, le 1er avril 2016, Bernard Lassus déclarait sur BFM TV que « Linky est un compteur qui mesure des courants électriques et qui ne sait pas reconnaître l’électron qui vient de la machine à laver, de la télévision, de votre fer à repasser ou autre… » Il aurait pu ajouter que Linky n’avait pas d’yeux et ne pouvait donc rien voir, ça aurait été du même tonneau.
      Les compteurs Linky sont techniquement capables de recueillir les index journaliers et la courbe de charge, c’est-à-dire un relevé de la consommation électrique de l’abonné, avec un pas de mesure de 10 minutes. Ces données permettent de déduire des informations sur les habitudes de vie des consommateurs.Sophie Nerbonne, de la Cnil (3)

      Donc, oui, Enedis-ErDF pourra tout connaître de vos habitudes de vie. La Cnil a tout de même obtenu que, avant de transmettre toutes ces données, ErDF devra avoir obtenu l’accord du client. Cela dit, ce dernier pourrait ne pas avoir tellement le choix : pour lui concocter une offre alléchante, les fournisseurs d’énergie lui réclameront immanquablement toutes ses données. S’il les fournit, on lui promettra de petites économies. Sinon, on lui expliquera qu’il est impossible de trouver l’offre correspondant à son profil. Le choix du consommateur de transmettre ou non ses données pourrait donc être plus compliqué qu’il n’y paraît. Surtout pour les petits budgets.

      Faites confiance au « marché »
      Dès que vous aurez donné votre accord, Enedis-ErDF aura vos données personnelles – si ce n’était pas déjà le cas – ainsi qu’un ou plusieurs fournisseurs d’énergie (il est toujours préférable de demander plusieurs devis, non ?). Comment s’assurer, alors qu’elles sont déjà entre les mains d’au moins deux acteurs, que vos données ne seront pas exploitées autrement que pour vous préparer une offre tarifaire ? Ou revendues, même discrètement, à d’autres sociétés ? La Cnil explique qu’elle sera particulièrement attentive à ce que « ces données ne soient communiquées qu’aux sociétés spécifiquement désignées par les personnes concernées et uniquement pour les finalités souhaitées par les abonnés ». On lui souhaite bien du courage !
      Et puis, vous connaissez les zigotos du gouvernement : cela fait cinquante ans qu’ils courent après cette sacro-sainte « croissance », et il y a malheureusement peu de chance que cela change dans un avenir proche. Alors, si cela peut « libérer la croissance », il se trouvera assurément des ministres « volontaristes » pour changer les règles et ainsi permettre à Enedis-ErDF de disposer à sa guise de toutes vos données.
      Votre réfrigérateur consomme trop d’électricité ? Cela se verra certainement en analysant la courbe de charge. Vous risquez alors d’avoir la visite d’un commercial en électroménager. Ces démarchages ciblés gonflent tout le monde. Ce n’est pourtant que le côté « gentil », presque désuet, de l’utilisation d’informations. Car avec le Big Data, on stocke dès aujourd’hui des quantités inimaginables de données, sans forcément savoir à quoi elles serviront demain. Et pour ne rassurer personne, on confie tout ça au « marché », comme l’a expliqué Philippe Monloubou : « Linky ouvre tout un écosystème, qui, lui, élargit un champ presque infini. Après, c’est le marché lui-même qui va décider des possibilités. » Le marché, Dieu du XXIe siècle, auprès duquel il est inutile de se confesser : il sait déjà tout sur vous.

      Nicolas Bérard

  • A lire ailleurs — Les humains derrière les chatbots - Bloomberg
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/143726977581/les-humains-derri%C3%A8re-les-chatbots-bloomberg

    Les assistants virtuels ou chatbots ne fonctionnent pas si bien, rappelle Bloomberg. Yann LeCun, directeur du laboratoire d’intelligence artificielle de Facebook et actuel titulaire de la chaire “Informatique et Sciences numériques” au Collège de France, ne disait d’ailleurs pas autre chose lors d’un récent débat organisé par France Stratégie. Rappelant que pour l’instant, ces formes d’IA sont très limitées et ne savent pas répondre à des questions ouvertes. Si aujourd’hui, nombre de startups se lancent sur ce créneau, beaucoup exagèrent leurs capacités. Pour l’instant, soulignait-il, ce sont des agents humains qui répondent à la plupart des questions, entraînant ces systèmes d’apprentissage encore imparfaits par leurs réponses et par le recueil des questions afin de mieux identifier les types de réponses à (...)