• Électricité : pour éviter un blackout, l’Etat prêt à tester une limitation forcée de la consommation
    https://www.latribune.fr/climat/energie-environnement/electricite-pour-eviter-un-blackout-l-etat-pret-a-tester-une-limitation-fo

    Effrayé à l’idée de devoir opérer des coupures tournantes si le courant venait à manquer pendant l’hiver, le gouvernement envisage de réduire la puissance électrique des clients résidentiels, afin d’alléger la pression sur le réseau. Dans un projet de décret consulté par La Tribune, celui-ci prévoit ainsi de mener un test grandeur nature, consistant à limiter la demande d’électricité de quelque 200.000 Français équipés d’un compteur #Linky, sans recours ni indemnisation possible. Les ménages en question devraient se contenter d’un « seuil de puissance minimal permettant de faire fonctionner les équipements courants peu énergivores » pendant une durée maximale de 4 heures, sur une période courant jusqu’au 31 mars 2024.

  • Électricité : pour éviter un blackout, l’Etat prêt à tester une limitation forcée de la consommation
    https://www.latribune.fr/climat/energie-environnement/electricite-pour-eviter-un-blackout-l-etat-pret-a-tester-une-limitation-fo

    Dans un projet de décret consulté par La Tribune, celui-ci prévoit ainsi de mener un test grandeur nature, consistant à limiter la demande d’électricité de quelque 200.000 Français équipés d’un compteur #Linky, sans recours ni indemnisation possible. Les ménages en question devraient se contenter d’un « seuil de puissance minimal permettant de faire fonctionner les équipements courants peu énergivores » pendant une durée maximale de 4 heures, sur une période courant jusqu’au 31 mars 2024.

    • Objectif affiché : « déterminer s’il est possible techniquement de mettre en œuvre une nouvelle mesure hors marché [...] si la disponibilité des moyens de #production_d'électricité est moindre », peut-on lire dans le document. Et ce, pour « réduire ou éviter le recours au #délestage », c’est-à-dire l’organisation de coupures d’électricité localisées et réparties sur le territoire.

      il n’est pas envisagé semble-t’il d’utiliser cette possibilité de réduction de consommation chez les gros consommateurs (entreprises)

      #blackout #électricité #réseau_électrique #Linky

    • sur cette pratique de l’effacement (contre rémunération) je rajoute quelques références académiques récentes qui explique la mise en œuvre de cette pratique et les difficultés et dilemmes qui surgissent de son application
      Pellegrino M. et Rupeka M., 2023, Contribution des centrales électriques virtuelles à la résilience du réseau électrique, Flux, 132 (2), p. 22‑44. https://doi.org/10.3917/flux1.132.0022 (voir notamment les notes 8, 9 et 10)
      ainsi que Reverdy T., 2016, Construire la valeur d’un service énergétique : la trajectoire de l’effacement diffus en France, Colléner, étude de cas N° 19 [en ligne] (consulté le 11/10/22) Disponible à l’adresse https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01174292/file/Effacement%20diffus%2C%20note%20finale%202.pdf

    • Ahhh toujours l’affaire des petits porteurs qui se font arnaquer !

      L’entreprise Voltalis, créée en 2006, propose d’organiser l’effacement de la consommation des
      particuliers. C’est ce qu’on appelle l’effacement diffus. À l’aide d’un boitier électronique commandé à
      distance, Voltalis peut couper l’alimentation de différents appareils électroniques chez un petit
      consommateur (particuliers ou artisans, PME…) pour des petites durées. En installant son boitier
      chez de nombreux consommateurs, l’entreprise peut ainsi rendre disponible une quantité
      d’électricité suffisamment importante pour être prise en compte par RTE. Voltalis a choisi de ne pas
      rémunérer le consommateur pour sa participation, ce qui a pour avantage de réduire le coût pour
      l’entreprise, mais ce qui implique aussi que l’effacement n’ait pas de conséquences trop importantes
      sur le confort et l’usage de l’électricité, et donc limite les équipements concernés (chauffage,
      chauffe-eau) et la durée de l’effacement à une ½ heure. L’avantage du modèle de Voltalis est qu’il
      peut garantir à RTE une capacité d’effacement sur un délai court car l’entreprise commande
      automatiquement l’effacement, et non le particulier. Il est donc possible d’associer une baisse de la
      consommation à l’action de Voltalis et non à une pratique de consommation du particulier 4
      indépendante1. Le second avantage est que Voltalis n’a pas besoin de rémunérer le consommateur
      effacé : celui-ci n’a pas eu à payer la consommation effacée.

      (…)

      Il y a donc une importante différence avec les effacements des consommations industrielles. Les
      consommateurs industriels sont a priori des cibles privilégiées pour l’effacement, pour une raison
      simple, les faibles coûts d’investissement et de gestion relativement à la puissance qui peut être
      effacée (étant beaucoup plus importante que les consommateurs individuels). Néanmoins, ces
      consommateurs industriels exigent d’être rémunérés pour cette flexibilité, rémunération qui va en
      réduction du gain de l’agrégateur.

      page3

    • Quelle bande de menteurs !

      En fait, pour chauffer un volume x, t’as toujours besoin de la même quantité d’énergie. Elle est plus ou moins efficace, a plus ou moins de rendement selon la source, la méthode, mais au final, il te faut la même quantité.

      Donc, si le délestage forcé concerne que le chauffe eau ou le chauffage, le consommateur ne fait aucune économie.

      Pendant que le jus est coupé, son eau et son appart ne sont pas chauffés et donc, il faudra consommer + et plus longtemps ensuite pour récupérer l’énergie “en retard”.

      On va dire qu’au mieux, c’est neutre, mais l’inertie fait que ça peut au final lui couter plus cher de rattraper une baisse de température que de mettre un petit coup de jus de temps à autre pour maintenir la température constante.

      Bref, bien sûr qu’il faudrait dédommager l’utilisateur.

  • Linksextremisten verwüsten Straßenzüge in Berlin und zünden Autos an
    https://www.berliner-zeitung.de/news/berlin-mitte-linksextremisten-verwuesten-strassenzuege-in-berlin-un

    Le premier mai approche et la Berliner Zeitung en profite pour vendre sa définition de l’extrême gauche. Une petite trentaine de révoltés lui en fournit le prétexte en s’amusant dans un des quartiers de semi-riches construit sur l’ancienne frontière entre Berlin-Ouest et la capitale de l’état socialiste allemand.

    J’avoue que je ressens de la sympathie pour cette tentative de chasser les acteurs et profiteurs de la gentrification et de raser leurs baraques qui bloquent les perspectives visuelles que la guerre et le mur nous avaient laissées comme unique héritage. Sur le plan politique et humain ce genre d’action exprime la nullité de ses auteurs. Ils sont loin du mouvement populaire qui exprime sa colère en mettant à sac les quartiers de riches.

    29.4.2023 von Maria Windisch - In der Nacht flogen in Berlin-Mitte zahlreiche Steine. Autos wurden angezündet, Fenster eingeschlagen und es gab Farbanschläge. Das ist bisher bekannt.

    In der Nacht ist eine Gruppe mutmaßlicher Linksextremisten durch Berlin-Mitte gezogen. Nach einem Bericht von vor Ort randalierten mehr als zwei Dutzend Personen und hinterließen eingeschlagene Fenster und brennende Autos.

    Laut Zeugenaussagen zogen in Gänze etwa 30 Personen von der Seydelstraße bis zur Neue Grünstraße.


    Farbanschlag auf das Jobcenter in Berlin. Farbanschlag auf das Jobcenter in Berlin.Morris Pudwell

    Schneise der Verwüstung: Anwohner sind empört

    Bekannt ist bisher, dass die Personen ein Jobcenter großflächig mit roter Farbe bewarfen. Insgesamt gingen deutlich mehr als 20 Scheiben zu Bruch und über 18 Fahrzeuge wurden beschädigt. Die Feuerwehr konnte ein Ausbrennen der Autos dabei teilweise nicht verhindern.

    Dabei sollen Parolen wie „Kampf der Inflation“, „Raus zum 1. Mai“ und „Bonzen jagen“ kundgegeben und an Wände geschmiert worden sein. Eine Anwohnerin erklärte: „Das sind Parolen, von gescheiterten Existenzen.“

    Von vor Ort heißt es weiter, dass mehrere Personen von der Polizei festgenommen werden konnten. Diese hatten unter anderem Pyrotechnik wie Bengalos bei sich. Der Staatsschutz hat die Ermittlungen übernommen.

    #Berlin #Mitte #Seydelstraße #Neue_Grünstraße #Spittelmarkt #Friedrichswerder #Luisenstadt #Krawall #linksextrem

  • Intelligence artificielle et administration publique numérique
    Cour de cassation
    Cycle 2022 « L’intelligence artificielle : quelle intelligence juridique ? »

    #surveillance #contrôle_social #inégalités_sociales #précarité
    Un véritable florilège de la marche forcée de la société à l’ère de l’administration numérique.

    Toute la vidéo vaut la peine d’être écoutée, voici un extrait si vous voulez des preuves pour refuser les compteurs intelligents
    #linky #gazpar et autres saloperies de surveillance

    https://youtu.be/ppeDpCBYOkk?t=5673

    compter le nombre de douches des chômeurs #belgique

    #Algorithmes #IA

  • Sahra Wagenknecht : Von links bis heute
    https://www.telepolis.de/features/Sahra-Wagenknecht-Von-links-bis-heute-7535727.html?seite=all

    Comprendre Sahra Wagenknecht. Dans un livre David Goeßmann publie une critique de gauche de la politicienne. Le présent article en contient une introduction et un chapître qui décrit quelques points communs avec Melenchon.

    5.3.2023 von David Goeßmann - Wagenknecht will nicht mehr für die Linke kandidieren. Sie ist immer ihren eigenen Weg gegangen, mit klarem, eher konservativem Kompass in der Hand. Ein Blick hinter die vielen Gesichter des linken Aushängeschilds.

    Sahra Wagenknecht hat angekündigt, bei der nächsten Bundestagswahl nicht mehr für die Partei Die Linke antreten zu wollen. Sie wolle sich aus der Politik zurückziehen und als Publizistin arbeiten, „oder es ergibt sich politisch etwas Neues“.

    Die Entfremdung Wagenknechts von ihrer Partei läuft schon seit Längerem, genährt vor allem durch ihre Haltung während der sogenannten „Flüchtlingskrise“ und der Coronapandemie.

    Auch bei der Bewertung des Ukraine-Kriegs kam es erneut zu Spannungen. Die Linken-Spitze kritisierte vor allem den Aufruf zu einer Kundgebung im Anschluss an dem mit Alice Schwarzer verfassten „Manifest für den Frieden“. Sie habe sich dabei nicht ausreichend von Russland und rechten Kräften distanziert, hieß es.

    Ob Wagenknecht sich an einer Parteineugründung beteiligen werde, wie zuletzt immer wieder vermutet wurde, ließ sie offen. Dass sie in Zukunft weiter politisch aktiv sein wird, in welcher Form auch immer, sollte außer Frage stehen, wenn man ihren Lebensweg und ihren „Willen zum Politischen“ beachtet.

    Wohin die Reise konkret geht, ist sicherlich ungewiss. Aber wer sich ihre intellektuellen und politischen Konzepte jenseits des parteipolitischen Alltagsgeschäfts vergegenwärtigt – entfaltet in ihren zahlreichen Büchern –, erkennt ein klares, gefestigtes Koordinatensystem.

    Denn Wagenknecht ist nicht nur eine Politikerin, eine öffentliche Reizfigur im Nachwende-Deutschland, sondern auch eine politische Denkerin, deren Glaube vor dreißig Jahren durch den Fall der Mauer „obdachlos“ wurde. Während sie den Schock zu absorbieren suchte, kämpfte sie in einem ständigen politischen Ringkampf um intellektuelle Balance. Die Frage ist: Welche Werte haben sie dabei bis heute angeleitet? Denn wie sie selbst sagt:

    Jeder Mensch hat ein weltanschauliches Grundraster, mit dem er sich in der Welt orientiert. Die Frage ist, in welchem Maße dieses Raster den wirklichen Zusammenhängen entspricht.

    Es folgt ein Auszug aus dem Buch „Sahra Wagenknecht. Von links bis heute“ von David Goeßmann.

    Sahra Wagenknecht hat viele Gesichter. Sie gilt als standfeste Kommunistin und Sozialistin, scharfe Kritikerin des Neoliberalismus und gefeierte Parteiikone der Linkspartei.

    Sie verteidigte die DDR nach ihrem Untergang, heute kämpft sie für die soziale Marktwirtschaft und einen „kreativen Sozialismus“. Idealistin und Realpolitikerin in einem mischt sie die linke Szene immer wieder auf und avancierte dabei zu einer der populärsten Politikerinnen der Republik.

    Auch wenn sie das politische Geschäft als Bürde wahrnimmt, geht sie voran, angetrieben von ihrem Willen, Ideen auch umzusetzen. Das Ergebnis: Aufstieg zur Fraktionsvorsitzenden der Linkspartei, meist eingeladene Politikerin zu Fernsehtalkshows, allseits anerkannte Ökonomin mit großer Fangemeinde – fast eine halbe Million Facebook-Fans –, rund ein Dutzend publizierte Bücher, darunter Bestseller, zahllose Vorträge und Reden.

    David Goeßmann: Sahra Wagenknecht. Von links bis heute. 192 Seiten. ISBN 978-3-360-01349-1

    Sie wird zu der ostdeutschen Spitzenpolitikerin neben der ehemaligen Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU). Seit einigen Jahren ist sie verheiratet mit dem ehemaligen Vordenker der deutschen Sozialdemokratie und Begründer der Linkspartei Oskar Lafontaine.

    Der Erfolgsmarsch durch die Nachwende-BRD war der Ostdeutschen Wagenknecht keineswegs in die Wiege gelegt worden. Im Gegenteil. Das ZDF nannte die „junge Frau“ 1994 einen „lebende(n) Anachronismus“. Die britische Times mutmaßte, dass die „Reformkommunisten der PDS“ wohl bald „Jagd“ auf die „introvertierte Studentin“ machen werden, die weiter DDR und Sowjetunion verteidige.

    Der damalige PDS-Vorsitzende Lothar Bisky spöttelte zur selben Zeit: „Wenn die so weitermacht, wird sie sich eines Tages in die wiedererstandene Rosa Luxemburg verwandelt haben. Sie beginnt in letzter Zeit sogar schon leicht zu hinken.“

    Als die DDR unterging, war es für sie die schlimmste Zeit ihres Lebens. Die welthistorische Tragödie schlägt in Sahra Wagenknechts Denken ein wie ein Komet. Seit dem Trauma des Untergangs des „ersten Sozialismus“ wühlt eine einzige große Frage in ihrem Kopf: Wie konnte das bessere System gegen das schlechtere verlieren und von der Geschichte zur Seite geschoben werden?
    Die linke Sackgasse

    Daraus entsteht ein spannender Kampf um politische Ordnung – im Kopf wie in ihrer politischen Arbeit. Sie beginnt, wie kaum eine andere in Deutschland, den Todeskampf des Kapitalismus in seinem vermeintlich letzten Stadium zu analysieren. Und entwirft einen Ausweg. Ein Konzept für eine radikal neue Wirtschaftsordnung, die Wiedergeburt eines „zweiten Sozialismus“ aus dem wiedervereinigten Deutschland. Eine Art soziale Marktwirtschaft Update 2.0.

    Ihr politischer Optimismus scheint trotz Voranschreitens des – wie sie es nennt – „Neofeudalismus“ ungebrochen. Sie will verändern, den neuen Sozialismus noch selbst erleben. Und ruft als Fraktionsvorsitzende der Linken eine außerparlamentarische Oppositionsbewegung ins Leben mit dem Namen Aufstehen. Burn-out und partieller Rückzug folgen.

    Sahra Wagenknechts Denken bildet dabei immer eine intellektuelle Brücke zwischen DDR und BRD, Ost und West. Sie ist Politikerin und politische Ökonomin zugleich, vereint Sachkompetenz mit radikaler Kritik.

    So hält sie seit drei Jahrzehnten das Bewusstsein wach, dass der Kapitalismus am Ende ist und über eine andere, bessere Welt nachgedacht werden sollte. Sie mahnt: Wir brauchen den Systemwechsel.

    Trotz aller Wandlungen von der DDR-Sozialistin zur Verfechterin von Markt, Wettbewerb und Leistung hat sich Sahra Wagenknechts inneres Koordinatensystem, ihr Kompass in den letzten dreißig Jahren nicht geändert. Sie bleibt auf Kurs. Und der ist keineswegs auf Umsturz ausgerichtet, sondern auf ein eher konservatives Programm.

    Von Goethe und Hegel, ihren geistigen Vätern inspiriert, kämpft sie um ökonomische Ordnung und Sicherheit, um nationalen Wohlstand und eine bessere Führung der Gesellschaft. Und um Reichtum mit weniger Gier, dem sich andere Werte wie Freiheit unterzuordnen haben. Illiberale Schwingungen waren in ihrem Denken immer präsent. Im Zuge der „Flüchtlingskrise“ kommen sie verstärkt wieder an die Oberfläche.

    Ihr großes Verdienst: Mit Sachverstand hebelte sie seit den 90er-Jahren die neoliberale Rhetorik aus, wo immer sie auftritt. Und sie legte den Finger in die Wunde einer immer weniger leistungsfähigen und unsozialen Volkswirtschaft. Sie blieb fokussiert und hat vielen Menschen mit ihrer Analyse und Kritik Mut gemacht.

    So wird sie trotz Widerständen gegen ihren „Kommunismus“ Stück für Stück zur Ikone der Linken, verbindet dabei fast spielerisch Kapitalismuskritik mit dem Alltagskampf für soziale Reformen. Das unterscheidet sie von den Helden der 68er-Proteste im Westen, die in ihrem Marsch durch die Institutionen den Kurs aus den Augen verloren haben.

    Sahra Wagenknechts Marsch durch die Nachwende-BRD verläuft anders. Sie bleibt auf Kurs, weil ihr Antrieb tiefer wurzelt. Und weil die Politikerin Wagenknecht mit der politischen Ökonomin Wagenknecht gemeinsam vorangehen.

    Sie vertritt dabei einerseits realpolitische Reformen mit ökonomischem Sachverstand, der weiß, wie der real-existierende Kapitalismus funktioniert. Ihr eigentliches Ziel ist aber der Systemwechsel. Denn, wie sie früh feststellt, stellen Lösungen innerhalb des kapitalistischen Systems keine Überwindung des Grundübels dar.

    Daher kreisen ihre Gedanken immer wieder um ein gesellschaftliches Alternativmodell zum Kapitalismus. Ihr Gegenentwurf besteht in einer sozialeren Leistungsgesellschaft, orientiert an maximalem Output und Wohlstand.

    Die Idee von Wagenknecht ist: Entmachtung des Großkapitals, langsame Ersetzung durch die „klugen Köpfe“ der Koordinierer-Klasse, die den Laden in Zukunft allein organisieren sollen, mehr Markt und Konkurrenz, während der geplünderte Teil der Welt grosso modo mit Versprechungen abgespeist wird.

    Doch damit werden der Kapitalismus und das darin enthaltene Ur-Übel nicht wie versprochen überwunden. Das moralische Dilemma von Freiheitsbeschneidungen, Ungerechtigkeiten und Machtballungen schwelt auch im „kreativen Sozialismus“ Wagenknechts weiter.

    Ihr umstürzender Sozialismus endet im Versuch, den Kapitalismus mit seinen eigenen Mitteln zu schlagen. Sie glaubt dabei nicht, wie Adam Smith in seinem Hauptwerk „The Theory of Moral Sentiments“, an Ergebnisgleichheit, sondern an gleiche Chancen, also Leistungsgerechtigkeit.

    Ihre Reform, die im Kern einen revolutionären „Enteignungsakt“ enthält, ermöglicht dabei keine Demokratisierung von unten, Freiheit und Gerechtigkeit. Ihre soziale Marktwirtschaft 2.0 befördert keineswegs, wie Wagenknecht meint, menschliche Kreativität und Vielfalt. Sie plädiert für Elitenkoordination, Märkte und Parteien, nicht für ihre Überwindung. An den Modellen für eine demokratische Planung oder regionalen Wirtschaftsdemokratie geht sie vorbei, wie viele Linke.

    Realpolitisch kann zudem davon ausgegangen werden, dass die revolutionäre Entmachtung des Großkapitals, wenn es denn dazu kommen sollte – mit seinen durchaus chaotischen und kämpferischen Abläufen – am Ende die Koordinierer-Klasse mit in den Abgrund ziehen wird. Und wenn nicht, dann wird diese neue tonangebende Klasse die „Masse“ genauso in Schach halten wie die vorherige, um Privilegien zu verteidigen.

    Wagenknechts Lob der „klugen Köpfe“ sowie die Entsorgung globaler Gerechtigkeit ist dabei keineswegs rein parteistrategisch begründet. Ihre Haltung wurzelt im Konzept einer Elitendemokratie und der Apologie nationalen Reichtums, mit diversen anti-libertären Schwingungen, die auch in linken und marxistischen Strömungen anzutreffen sind.

    Ihre geistigen Inspirationen stammen nicht zufällig von Goethe und Hegel, konservativ-bürgerlichen Denkern. Heute schließt sie an Intellektuelle wie Paul Collier oder Bernd Stegmann an, die Moral entsorgen und sich im Angesicht des kapitalistischen Weltsturms ins nationale Schneckenhaus der reichen Industriestaaten zurückziehen wollen.

    Eine wiederbelebte soziale Marktwirtschaft ist als Ziel aber eine Sackgasse, in die sich die Linke und die Sozialdemokratie seit rund hundert Jahren zunehmend verstrickt haben, wie Rosa Luxemburg schon vor hundert Jahren erkannte.
    Antiliberale Einstellungen und eine ermüdende Arbeiterschaft

    Dabei ist die Maxime: „Erst kommt das Fressen, dann die Moral“ eine toxische Ausgangsbasis, vor allem, wenn sie nationalegoistisch interpretiert wird. Die Geschichte des Scheiterns des gebändigten Markts und der marktsozialistischen Experimente sollte klarmachen, dass es eines anderen Fundaments und einer freiheitlichen Vision braucht, die wieder auf das zurückgreift, von dem aus der historische Kampf um die gesellschaftliche Emanzipation des Menschen aus der fremdverschuldeten Unmündigkeit startete und ihn vorantrieb.

    So sollte Wilhelm von Humboldt nicht nur gepriesen, sondern beim Wort genommen werden. Denn menschliche „Mannigfaltigkeit“ und Freiheit sind für klassische Liberale nicht nur Floskeln. Sie drängen auf gesellschaftliche Institutionen, die sie ermöglichen und fördern. Unter der Herrschaft freier Märkte und in einer Konkurrenzgesellschaft, wie immer gut sie reguliert sein mag, bleiben solche Grundwerte Abfallprodukte und Nebeneffekte. Wenn überhaupt.

    So haben Linke, Sozialdemokraten und Gewerkschaften ihre visionäre Zugkraft verloren und ziehen seit Jahrzehnten eine zunehmend ermüdende, atomisierte Arbeiterschaft hinter sich her, oft kleinbürgerlich auf Sicherheit bedacht, die vom neoliberalen Kapitalismus desillusioniert und mit Frustableitung auf Schwächere, Nicht-Einheimische, fremde „Kostgänger“ und „Störenfriede“ der nationalen Ordnung gefüttert wird.

    Eine explosive Mischung, die überall, in den USA, in europäischen Ländern, Brasilien, Russland, der Türkei oder in Israel zunehmend zu einem politischen Angriff auf erkämpfte liberale Werte, demokratische Institutionen und internationale Kooperation geführt hat.

    Der Kampf für eine andere Gesellschaft ist zudem nicht nur ein rein legislativer Vorgang, wie libertäre Sozialisten und Anarchisten herausstellen, bei dem ausschließlich eine neue Eigentumsordnung geschaffen werden müsse. Es ist zugleich ein Bewusstseinswandel, eine spirituelle Erneuerung, ein zu beförderndes Verlangen nach Freiheit und Gerechtigkeit in der Bevölkerung, aus dem die gesellschaftliche Neuorganisation erst resultiert.

    Ein solches politisches Bewusstsein liefert erst die nötige Kraft und Inspiration, um sich für den Aufbau von gesellschaftlichen Einrichtungen einzusetzen, die Freiheit, Kreativität, Gleichheit und Solidarität wiederum stimulieren.

    Aber Wagenknecht stutzt das gesellschaftliche Ideal, der sozialdemokratischen Tradition seit dem 2. Weltkrieg folgend, auf „Wohlstand für alle“ zurück, der von einer Koordinierer-Klasse in einer Marktgesellschaft organisiert werden soll. Es geht nicht mehr wie im klassischen Liberalismus, bei libertären Sozialisten und den Arbeiterbewegungen um „Kreativität für alle“, „erfüllende, gute Arbeit für alle“ und auch nicht um „volle Kontrolle der Arbeitenden über ihre Arbeit“.

    Daher können anti-libertäre und illiberale Einstellung an die Oberfläche gespült werden, wenn das primäre Ziel es zu erfordern scheint. Darin liegt der Grund für die „Volatilität“ in Wagenknechts Wertesystem, das Changieren in ihren politischen Positionen sowie ihr oszillierendes Moralverständnis.

    Es sind die Spannungen eines Programms, das moralisch motiviert ist, bei gleichzeitiger Abwehr von Moral. Denn ihr Denkgebäude, sosehr es von Ungerechtigkeit motiviert ist, wehrt Bestrebungen ab, die über eine Wohlstands- und Verteilmoral im nationalen Rahmen hinausgehen, und disloziert Freiheitsbestrebungen ins „Land Nirgendwo“, die gegen eine von oben gesteuerte Ordnung gerichtet sind – ob nun in der Ökonomie oder der Politik.

    Zugleich beginnt ihre sozialistische Politik in den letzten Jahren den moralischen Rückzug anzutreten. Sie hält Linken vor, sich mit ihrer Moral, ihren „versponnen“ und „anmaßenden“ Ideen gegen die Unterschichten zu stellen und die Arbeiter mit ihren Bedürfnissen zu verraten.

    Und das, während Politik und Medien Kleinbürgergeist und Sicherheitsbedürfnisse am Fließband produzieren, Einheimische gegen Minderheiten aufbringen und progressive Kräfte spalten, um von den eigentlichen Frustverursachern abzulenken. 1998 sagte Wagenknecht, dass die Lösung für die Krise „nicht in einer besseren Moral, sondern in einer veränderten Ökonomie“ liege. Doch was ist eine Ökonomie wert, die nicht auf Moral aufbaut?

    Was bleibt also unterm Strich von Wagenknechts alternativem ökonomischen und gesellschaftlichen Programm? Sie will wie Jean-Luc Melanchon in Frankreich, aber auch Jeremy Corbyn und Bernie Sanders in den USA und Großbritannien den Staat und die Gesellschaft gegen den Markt stärken und weitreichendere Eingriffe in die kapitalistische Ökonomie ermöglichen.

    Linke Parteien wie die Grünen und Sozialdemokraten dagegen haben diese Position, nicht nur in der Theorie, sondern in der Realpolitik längst aufgegeben (wie Wagenknecht zu Recht kritisiert) – trotz aller Rhetorik und politischer Kosmetik. Wagenknecht verteidigt demgegenüber seit dreißig Jahren das Eintreten für mehr soziale Gerechtigkeit und eine Antikriegshaltung.

    Sie befördert mit ihrer Kritik am neoliberal globalisierten Kapitalismus zugleich den Appetit auf eine andere, bessere Welt. Ihr Lob des freien Unternehmertums, eines Top-Down-Managements, der von Konkurrenz angetriebenen Leistungsgesellschaft, des Sicherheitsstaates, nationaler Autarkie, die Entsorgung von globaler Verantwortung sowie ihre Neigung zu populistischen Rhetoriken, um Arbeiter:innen und Kleinbürger:innen zu mobilisieren, sind aber kaum angetan, diesem Hunger jenseits von Reformzielen das geistige Mahl zu bereiten, dessen er bedarf, um nicht bei der erstbesten Abspeisung im politischen Alltagskampf wieder zu verschwinden.

    #Allemagne #nationalisme #populisme #politique #Linke #gauche

  • Linky : Enedis confirme enfin que le compteur connecté n’est pas obligatoire
    https://www.phonandroid.com/linky-enedis-confirme-enfin-que-le-compteur-connecte-nest-pas-obligatoi

    Cela fait maintenant un an que la Commission de régulation de l’énergie et Enedis l’annoncent : dès 2023, les Français qui refusent encore d’utiliser le compteur connecté Linky devront payer une enveloppe afin de “participer aux coûts globaux engendrés par la relève des derniers compteurs ancienne génération aux seuls clients générant ces coûts”. 

    Si le montant évoqué était auparavant de 8,30 € tous les deux mois (soit 49,80 € par an), la CRE l’a revu à la baisse. Comme l’a annoncé l’AFR dans une dépêche publiée ce 15 décembre 2022, les récalcitrants à Linky devront verser un total de 61 € par an à Enedis, soit à peu près 5 € par mois.

    Toutefois, il faut apporter une nuance de taille à cette information. En effet, il sera possible d’éviter de passer à la caisse, jusqu’en 2025 du moins, en réalisant soi-même le relevé de sa consommation électrique directement sur le site web d’Enedis ou bien par téléphone. De cette manière, vous ne nécessitez pas la venue d’un technicien pour procéder à la mesure, et par extension, vous ne participez pas aux surcoûts mentionnés plus haut par Enedis.
    Enedis confirme que le Linky n’est pas obligatoire

    Et à partir de 2025 ? Contrairement à ce qu’Enedis laisse à penser, rien ne vous obligera à passer au Linky. En effet et comme le font remarquer nos confrères du site Politis, dans cette déclaration, Enedis reconnaît donc que l’on peut légalement garder son ancien compteur, à condition de faire son auto-relève et de payer une facture modeste de 5 euros par mois, à partir de 2025. Par extension donc, Enedis confirme enfin que le Linky n’est pas obligatoire, une position défendue par de nombreuses associations et médias depuis des années maintenant.

    Pour rappel et depuis 2022, les foyers déjà équipés d’un compteur Linky doivent payer 130 € supplémentaires, répartis de manière progressive sur leurs factures annuelles (+ 10 € par an en moyenne). Cela correspond en réalité au prix du boitier à l’unité, fabrication et pose incluses. D’après la Cour des comptes, Enedis a investi 5,7 milliards d’euros pour équiper 90% des foyers français. 

    Pour ce faire, un prêt a été contracté par le fournisseur d’énergie auprès de la Banque européenne d’investissement. Via un mécanisme de différé tarifaire, Enedis a pu décalé le remboursement de cette somme. Néanmoins, 2 milliards d’euros devront être remboursés d’ici 2030, d’où l’application de ces coûts annexes sur les consommateurs.

  • Ce n’est pas très malin d’être intelligent - Marseille Infos Autonomes
    https://mars-infos.org/ce-n-est-pas-tres-malin-d-etre-6489

    (...) l’objectif des compteurs intelligents n’est pas du tout lié à l’efficacité énergétique ou au confort des utilisateurs. Un conseiller du gouvernement qui participait aux réunions avec le ministère du Commerce et de l’Industrie du gouvernement britannique de l’époque, développant le concept des compteurs intelligents, a déclaré au New Scientist en 2018, que le projet de compteurs intelligents n’a pas été conçu comme un moyen de faire des relevés de compteur à distance ou de rendre les choses plus faciles pour les clients.

    Il était plutôt considéré comme un moyen pour les fournisseurs d’énergie de modifier automatiquement et instantanément le prix payé par les clients en fonction des fluctuations de la demande. Il est donc plus difficile pour les gens d’établir un budget, car leurs factures peuvent changer sans qu’ils le sachent.

    Un autre spécialiste conseillant le gouvernement britannique et la Commission européenne sur le déploiement des compteurs intelligents a fait remarquer à l’époque que la principale préoccupation des fournisseurs d’énergie dans ces discussions n’était pas l’aide aux clients. Il s’agissait, en fait, du contrôle du système de paiement. Ils voulaient être en mesure de basculer plus facilement et plus rapidement les personnes ayant des dettes vers une offre prépayée.

    Et aujourd’hui, c’est précisément ce que les compteurs intelligents peuvent faire. Ils permettent aux entreprises de distribution d’énergie de passer à distance et sans délai à un système de prépaiement. En revanche, si vous disposez d’un compteur ordinaire, le passage à un compteur à prépaiement est un processus coûteux et long : le compteur à prépaiement doit être installé manuellement, ce qui peut prendre des semaines et nécessite des compétences spécifiques.

    Avec les compteurs intelligents, l’énergie peut être coupée numériquement plutôt que manuellement. Cela signifie que cela pourrait se produire à grande échelle, en cliquant sur un bouton, et rend beaucoup plus difficile pour les gens de se protéger et de se défendre collectivement contre une coupure d’énergie. À l’heure où le gouvernement propose d’instaurer des coupures de courant cet hiver, les compteurs intelligents pourraient-ils également être utilisés pour imposer des coupures à distance ?

    La servitude pour dettes

    Comme le savent déjà les utilisateurs de compteurs à pré-paiement, ce modèle de servitude pour dettes fonctionne comme une forme de chantage. Vous ne pouvez pas choisir librement de ne pas acheter cette marchandise indispensable à la vie ; si vous le faites, vous ne pouvez pas chauffer votre maison ou manger des repas chauds. Alors, vous vous endettez ailleurs.

    #Linky #compteurs_intelligents #électricité #offre_prépayée #prépaiement #dette #coupure

    edit ce que l’on fait avec le loyer, payer avant l’usage - à l’inverse du salaire, payé après que le prolo ait vendu sa force de travail -, se faisait déjà pour les assurances, les fluides, les impôts, par le truchement de la mensualisation, cette fois, on brutalise le rapport, on fait payer d’avance après coupure, ou sous la menace de coupure

    #toctoc

    • Après, c’est le modèle des familles bouseuses chauffées au fuel  : tu passe ton temps à économiser pour faire face à l’achat de ton énergie en avance, sachant que tu ne maitrise pas du tout le marché.
      Le pire, ça a été une recharge fin février-début mars 2020 où l’opérateur (Tatal) sentant arriver le confinement, à pratiquement doublé les prix entre ma commande et ma livraison, alors que théoriquement, c’est le prix à la commande qui est censé se pratiquer.
      «  c’est ça ou vous n’aurez rien  ».

  • Comment des fournisseurs d’électricité alternatifs s’en mettent plein les poches, et pourquoi la presse à leurs ordres ne communique que sur l’Apocalypse des coupures électriques ?

    Grâce à L’ARENH, Accès régulé à l’électricité nucléaire historique, EDF doit vendre à ses concurrents (en fonction de leurs nombres de clients de l’électricité à prix coûtant en fonction de la consommation de ses clients au prix de 46 euros seulement le MWh.
    La quantité affectée à chaque fournisseurs d’électricité alternatifs est calculée en été.

    Pour l’été, ces fournisseurs d’électricité alternatifs proposent des tarifs cassés attractifs en apparence.

    Quand la fin de l’été arrive, les fournisseurs d’électricité alternatifs augmentent leurs tarifs, soit disant à cause de la hausse des cours, et conseillent à leurs clients de rejoindre un autre fournisseur. Exemple, cité Ohm Energie.

    Les clients partent, les fournisseurs d’électricité alternatifs peuvent donc vendre leurs droits à l’électricité d’EDF à prix coutant (46 euros seulement le MWh) sur le marché.
    Pas mal la culbute.
    Les oligarques français s’enrichissent fabuleusement gràce à cette entourloupe, #EnMarche.

    En ce moment, le prix de gros de l’électricité en France dépasse 1 000 euros le mégawattheure, contre 85 euros il y a un an. Source : https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/08/26/le-prix-de-gros-de-l-electricite-en-france-depasse-1-000-euros-le-megawatthe

    Source de l’information La Tribune : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/la-debacle-des-fournisseurs-d-energie-met-en-lumiere-la-defaillance-de-l-o

    Il va sans dire que les médias aux ordres des bénéficiaires ne titrent que sur les pénuries possibles, afin de ne pas aborder le fond du sujet.

    #spéculation #bénéfices #marges #oligarques #électricité #énergie #nucléaire #france #edf #économie #privatisation #electricité #linky

    • Il va sans dire que la plupart des clients des fournisseurs d’électricité alternatifs qui augmentent leurs prix pour l’hiver, reviennent probablement chez EDF et au TRV, tarif réglementé de vente, ce qui force EDF à acheter de quoi fournir ceux ci sur le marché au prix fort, à la bourse à des prix pharamineux.

      A souligner : Avec ses quelque 40.000 abonnés particuliers, Plüm Energie maintient de son côté ouverte la souscription à son offre indexée au TRV, contre vents et marées, ce qui prouve que les augmentations de tarif des autres fournisseurs d’électricité alternatifs sont une arnaque.

  • Nach Sanktionen gegen russische Oligarchen: Linken-Politikerin fordert Baustopp des „Alexander Towers“ | rbb24
    https://www.rbb24.de/politik/thema/Ukraine/beitraege/ukraine-krieg-linke-forderung-baustopp-hochhaus-alexanderplatz.html

    Sa 05.03.22 - Nach Sanktionen gegen russische Oligarchen - Linken-Politikerin fordert Baustopp des „Alexander Towers“

    Die Berliner Linken-Politikerin Katalin Gennburg hat einen Baustopp für das Hochhaus eines russischen Investors am Alexanderplatz gefordert. Dort baut das Moskauer Unternehmen „Monarch“ den 150 Meter hohen „Alexander Tower“.

    Gennburg begründete ihre Forderung mit dem russischen Krieg gegen die Ukraine und die von der EU verhängten Sanktionen, unter anderem gegen sogenannte Oligarchen. „Darüber hinaus muss nun geprüft werden, ob sich Projekte russischer Immobilienunternehmen und -entwickler, die sich derzeit in Planung und Entwicklung befinden, nun stoppen lassen“, so Gennburg.

    Die Berliner Senatsverwaltung für Finanzen konnte auf Nachfrage des rbb nicht bestätigen, dass in Berlin zurzeit sanktionierte russische Unternehmer in Immobilien oder Bauprojekte investiert haben. Informationen dazu lägen nicht vor, hieß es.

    Berlin hat 2020 immerhin den BER eröffnet, im neuen Jahr warten weitere Großprojekte. Darunter sind auch viele Kulturbaustellen: Die umfassend umgebaute Neue Nationalgalerie soll etwa fertig sein. Und es gibt weitere Mammutvorhaben. Von Stefan Ruwoldt

    Der Alexander Tower wird seit November 2019 direkt neben dem Einkaufszentrum Alexa gebaut. In den unteren Geschossen sind laut der Sentasverwaltung für Stadtentwicklung Einzelhandels- und Büronutzungen geplant. Ab einer Höhe von 35 Metern sollen dann rund 370 Wohneinheiten entstehen. Die Gesamtbauzeit ist mit etwa vier Jahre veranschlagt. Mit 150 Metern Höhe soll der Alexander Tower Berlins erster Wolkenkratzer werden.
    Komplexe Firmengeflechte verschleiern oftmals Besitzverhältnisse

    Berlin ist schon länger ein Magnet für russische Investitionen, speziell in der Immobilienbranche. Die Besitzverhältnisse sind jedoch oft nicht eindeutig feststellbar, weil sich die Käufer hinter komplexen Firmengeflechten verbergen.

    Die Bundesregierung hatte kürzlich mitgeteilt, noch keine Übersicht zu Vermögenswerten in russischem Besitz zu haben. In Hamburg hatte es zuletzt Verwirrung über eine Yacht gegeben, die angeblich einem sanktionierten Oligarchen gehören soll [tagesschau.de]. Berichte, dass das Schiff beschlagnahmt wurde, stellten sich als falsch heraus.

    Gennburg fordert, dass der Senat prüft, welche Möglichkeiten das Land Berlin hat, um Sanktionen durchzusetzen. Dazu gehöre mehr Transparenz auf dem Immobilienmarkt. „Es braucht dringend ein Mieten- und Liegenschaftskataster sowie eine verwaltungsseitige Zusammenführung der bestehenden Register“, so Gennburg. Sie verwies auf den Verkauf eines Villenensembles im Jahr 2014 durch den russischen Unternehmer Arkady Rotenberg. Dieser stand zum Zeitpunkt des Geschäfts bereits auf einer Sanktionsliste der EU.

    #Berlin #Alexanderplatz #Immobilien #Hochhaus #Stadtentwiclung #Linke

  • Link Shell Extension
    https://schinagl.priv.at/nt/hardlinkshellext/linkshellextension_fr.html

    Un utilitaire Windows pour ajouter à l’explorateur de fichier la gestion des liens symboliques, liens physique, jonctions, points de montage.
    Documentation FR très complète.
    Nombreuses possibilités annexes : « copies intelligentes », clonages, « copies Delorean » pour gérer des historiques de modifications de répertoires...

    A noter : la commande ln -s de GitBash sous Windows ne permet pas de faire des liens symboliques « à la Linux/MacOS » mais uniquement une copie complète de la source. Il faut donc utiliser la commande Windows mklink à la place.
    Voir :
    https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/administration/windows-commands/mklink : documentation de mklink pour la création de liens symboliques en ligne de commande avec cmd.exe
    https://stackoverflow.com/questions/18641864/git-bash-shell-fails-to-create-symbolic-links#comment53416744_2448245 pour l’utilisation de mklink avec GitBash / MSYS (échapper les slashs et anti-slash).
    Exemple pour créer un lien symbolique le_lien qui pointe vers le répertoire IMG :

    cmd //c mklink //d le_lien .\\IMG

    (l’option /d est nécessaire pour la création d’un symlink vers un répertoire)

    #Link_Shell_Extension #lien_symbolique #symlink #windows #utilitaire #gitbash #hard_link #jonction #copie_Delorean

  • #COP26 Member Consultation Group : 450+ members from 250+ organisations
    https://www.facebook.com/groups/batiamourtsou/posts/10159557344101125

    J’ai eu l’agréable surprise d’être sélectionné par Linkedin France dans la liste des personnes à suivre pour la COP26 ! #LinkedInTopVoices

    J’en profite donc pour raconter ce qu’il se passe à Greenwashing land, plus communément appelé ’COP26’.

    Désolé (encore une fois) de casser l’ambiance, mais c’est notre avenir à tous qui est en jeu.

    Voir des entreprises (ou des personnes) faire du greenwashing et du lobbying en zone verte, c’est non seulement dangereux, mais criminel, puisque cela pousse à l’inaction climatique.

    Vous serez alors ravis d’apprendre que :
    – Le Qatar vante ses stades écolos pour le mondial 2022 (6500 morts pour les construire)
    – Plusieurs écuries de F1 nous expliquent expliquer comment ils sont la solution pour le changement climatique (c’est bien connu, le bolide est propre, et les gens vont au Grand Prix à pieds).
    – Jeff Bezos est arrivé la larme à l’œil (en jet privé) pour donner 2 milliards et expliquer comment la technologie allait nous sauver.
    – HSBC parle de finance verte (la banque qui a financé 110 milliards les énergies fossiles entre 2016 et 2020, et qui cumule les scandales).
    – Les Etats continuent les promesses de neutralité carbone en 2050, 2060, 2070, sans plan d’action concret.
    – La presse s’enflamme parce que « bonne nouvelle », les Etats ont prévu d’arrêter la déforestation en 2030... On imagine Bolsonaro se rouler par terre de joie, il va pouvoir continuer sa petite entreprise encore 9 ans. (un article sur l’Amazonie arrive avec Bon Pote, c’est un massacre).

    PERSONNE ne doit être étonné(e) des lobbies et forces en présence. Les négociations internationales sont des négociations de pouvoir, et il n’est pas étonnant que des multinationales, parfois plus puissantes que des Etats, viennent y mettre le grain de sel.

    Je passe plusieurs heures par jour à analyser les discours et lire les documents après les « superbes » annonces, et le seul conseil que je puisse donner, c’est d’aller lire la source primaire : le diable se cache toujours dans les détails.

    PS : regardez ci-dessous la liste des entreprises présentent à la COP26, vous leur feriez confiance pour gérer notre avenir ?

    Image facebook (donc non affichable) :

    #greenwashing #écologie #climat #changement_climatique #marketing #multinationales #énergies_fossiles #environnement #énergie #pollution #décrypter #le_défi_du_réchauffement_climatique #Quatar #F1 #jeff_bezos #HSBC #bolsonaro #hypocrisie #capitalisme #lobbies

  • Electricité : « On s’est sentis trahis », témoigne l’un des clients de Leclerc Energie poussés vers la sortie
    https://www.leparisien.fr/economie/consommation/electricite-on-sest-sentis-trahis-temoigne-lun-des-clients-de-leclerc-ene

    Sébastien est l’un des 140 000 abonnés à l’offre de la filiale du géant de la grande distribution. Ce dernier a décidé d’interrompre cette activité et a demandé à ses clients de souscrire un nouveau contrat chez la concurrence d’ici ce vendredi. Sous peine de se voir privés l’électricité.

    « On nous l’a faite un peu à l’envers ! » Sébastien, 39 ans, ne cache pas son agacement lorsqu’il raconte la mésaventure vécue avec le fournisseur Leclerc Énergie. Comme lui, 140 000 abonnés à cette offre du fournisseur d’électricité de la filiale énergie du géant français de la grande distribution se sont vus signifier, par simple mail, la fin de leur contrat. Ils ont même jusqu’à ce vendredi pour trouver un nouveau fournisseur, sous peine de se retrouver sans électricité.

    #Leclerc #électricité #énergie #france #linky #économie #privatisation #client #commerce

  • Pulverisiert : Warum der Linken-Absturz bei der Bundestagswahl keine Überraschung war
    https://de.rt.com/meinung/124856-pulverisiert-warum-der-linken-absturz-keine-ueberraschung-war

    Ce commentaire sur de.rt.com contient plusieurs erreurs et en dit long sur le biais de l’auteur. Pourtant on y triuve des positions intéressantes qui exposent le mélange de faits irréfutables et préjugés plausibles qui constituent la vue de l’opposistion bourgeoise au courant transatlantique dominant l’Allemagne. Depuis l’interdiction des vidéos youtube en allemand de RT il faut lire attentivement les articles de l’agence d’information russe pour se faire une idée de ce courant politique.

    28.9.2021 von Kaspar Sachse - Die Linke hat es geradeso in den Bundestag geschafft – wegen dreier Direktmandate. Der Einbruch löst bei den Anhängern Entsetzen aus. Doch wer so eklatant seinen sozialen Markenkern vernachlässigt und mit inkompetentem Personal eine zweite grüne Partei sein will, braucht sich darüber nicht zu wundern.

    Groß war der Frust am Sonntagabend im Berliner Festsaal Kreuzberg. Statt in den ehemaligen linken Hochburgen in Ostberlin zu „feiern“, blieb die Linken-Führung, freilich unter Einhaltung strenger Corona-Regeln, im hippen und ach so bunten Kreuzberg unter sich. Die Gesichter der Linken-Chefinnen Janine Wissler und Susanne Hennig-Wellsow waren lang, der Bundestagsfraktionsvorsitzende Dietmar Bartsch meinte am Montag:

    „Wir waren zu sehr mit internen Auseinandersetzungen beschäftigt. Ab heute beginnt der Wahlkampf wieder.“

    Also „Vorwärts immer, rückwärts nimmer“? Seine Parteikollegin Sahra Wagenknecht hatte da bereits am Wahlabend eine bessere Analyse: Sie meinte, „dass die Linke sich in den letzten Jahren immer weiter von dem entfernt hat, wofür sie eigentlich mal gegründet wurde, nämlich als Interessenvertretung für normale Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmer, für Rentnerinnen und Rentner“, wie sie im Wahlstudio der ARD verriet. Wer es ausführlicher mag, kann das auch in ihrem Buch „Die Selbgerechten“ nachlesen. Das bereits erwähnte Spitzenpersonal hat das ganz bestimmt nicht getan.

    Weder Ost- noch Protestpartei

    Vorbei sind die Zeiten, in denen die Linke, damals noch als PDS, für die Interessen der Ostdeutschen stand und sich als Bollwerk gegen westdeutsche Kolonialisierung samt Treuhandunwesen und Massenarbeitslosigkeit bzw. Kurzarbeit zur Wehr setzte und den Herrschenden auf die Finger klopfte.

    Statt der Arbeiterschaft unterstützt man lieber das deutsche Kapital, das dringend billige Arbeitskräfte aus dem Nahen Osten und Nordafrika benötigt – auch wenn diese Menschen zumeist mit der propagierten gendergerechten Sprache und einem emanzipierten Frauenbild eher wenig anfangen können. Wer da nicht mitzieht, ist in null Komma nichts Nazi, fliegt raus und wählt beim nächsten Mal aus Frust die AfD. Dazu geht man der heiligen Greta auf dem Leim, will noch grüner als die Grünen sein und übersieht, dass das Narrativ vom Klimawandel – ob nun 100 Prozent „menschengemacht“ oder nicht, sei an dieser Stelle dahingestellt – in erster Linie dazu dient, die aktuellen Besitzverhältnisse zugunsten der herrschenden Klasse samt digitalem Überwachungs-Kapitalismus und der Abschaffung des Bargelds zu zementieren. Währenddessen wird der Großteil der Bevölkerung mit höheren Abgaben, Lebensmittel- und Strompreisen sowie immer stärkeren Freiheitseinschränkungen belastet.

    Die Haltung, in der „Corona-Krise“ noch autoritärer als der von Lobbyisten großer Konzerne durchseuchte „starke Staat“ zu agieren, hat für viele ehemalige Linken-Wähler das Fass zum Überlaufen gebracht. Das Propagieren freiheitsverachtender Aktionen wie ZeroCovid und NoCovid sowie die absolute Unterstützung des auf Masken-, Test- und Impfzwang aufbauenden in Deutschland seit März 2020 regierenden „Corona-Regimes“ (Herfried Münkler) haben jeden potenziellen Wähler im Osten verschreckt, der historische Erfahrung damit hat, wenn Regierende und Medien hin und wieder nicht so ganz bei der Wahrheit bleiben und persönliche Freiheiten wie das Reisen einschränken. Dazu kommt, dass im Westen das demokratische Vertrauen in das „beste Deutschland aller Zeiten“ (Frank-Walter Steinmeier) sowieso stärker ausgeprägt ist als bei den ewigen „Jammerossis“, daher wählt man dort lieber gleich SPD oder Grüne statt eine ostdeutsche Mischung aus beiden Parteien.

    Dieter Dehm:„Aber für die, die uns rote Kerne herausgenagt und durch herrschende Hysterien 2G/Corona, Migration, Klima und Gendern ersetzt haben, die, die wahlkampftechnisch so taten, als seien sie überrumpelt gewesen vom NATO-Fiasko in Kabul, ist das sicher ein Erfolgsbeleg.“ pic.twitter.com/6B8jBgXHv7
    — henning rosenbusch (@rosenbusch_) September 27, 2021

    Unterirdisches Personal

    Doch nicht nur das Verkennen der realen Probleme im Land hat zum katastrophalen linken Wahlergebnis beigetragen. So hat man die letzten politischen Realisten wie Sahra Wagenknecht, Oskar Lafontaine, Diether Dehm, Andrej Hunko, Sevim Dağdelen, Alexander Neu oder Fabio De Masi in den letzten Jahren systematisch ausgegrenzt und durch neue „Powerfrauen“ und „Identitätspolitik“ ersetzt. Beispielhaft steht hierfür die neue Co-Vorsitzende Hennig-Wellsow, auch bekannt als schlechte Thüringer Wahlverliererin mit nur groben Vorstellungen von den aktuellen Einsätzen der Bundeswehr und wenig konkreten Aussagen zur Ausgestaltung einer linken Vermögensabgabe für Superreiche.

    Dazu gesellen sich blutjunge, urbane Städter aus gut situiertem Hause, die meist irgendwas mit Medien, Politik oder Sozialem studieren und vom realen Leben gerade auf dem Land eher wenig Ahnung haben – die Alten dagegen mit ihrer DDR-Vergangenheit dürfen zwar noch wählen gehen, sollen sich ansonsten aber mit ihrer fehlenden Wokeness und ihrem Marxismus-Geschwätz bitte aus dem Parteigeschehen raushalten.

    Übrigens: für jede:n, der/die aBeR mErKeL sagt, finde ich euch 5 Frauen in der CDU, die aufgrund der sexistischen Strukturen ausgetreten sind. https://t.co/SiD35BBsLp
    — Rebekka Grotjohann (@grotjohannlsa) September 26, 2021

    Konsequenzen? Immer sind die anderen schuld!

    Unter dem Führungsduo Kipping/Riexinger hat sich in der Partei eine bestimmte Haltung etabliert: Nicht wir sind an der Misere schuld, sondern stets die anderen. Der innere, nach außen streng abgeschirmte Machtzirkel ist daran interessiert, seine Pöstchen zu behalten, da sind Netzwerker und Apparatschiks gefragt – fachliche Qualifikation oder gar intellektuelle Fähigkeiten sind da fehl am Platze. Nicht die berechtigte Kritik des Wagenknecht-Flügels an der Parteiführung und Vergrünung der Partei werden zur Kenntnis genommen oder gar berücksichtigt, nein, die vermeintlichen Renegaten dienen als Sündenbock für das eigene politische Versagen – so auch nach der Bundestagswahl.

    Könnt ihr mir erzählen was ihr wollt, aber die 5% sind erklärlich durch Wagenknecht und Lafontaine.
    — Sandra (@SandraausHGW) September 26, 2021

    Fuck, haben #Kipping und #Riexinger die #Linke runtergewirtschaftet. Und nun schieben die Linken es #Wagenknecht in die Schuhe. So kennt man die Woken.
    — neulandrebellen! (@neulandrebellen) September 27, 2021

    Bartsch führte das miese Wahlergebnis seiner Partei auch auf die „linke“ Konkurrenz zurück. Vor allem die SPD habe die Linken Stimmen gekostet: „Olaf Scholz ist mit einer Anti-Wahl nach oben gekommen.“ Er befürchtet, dass es „mit der Raute, die Olaf Scholz gezeigt hat, ein ’Weiter-so’“ geben werde. Damit hat er nicht Unrecht, aber Selbstkritik sieht anders aus. Denn ob Finanz-, Flüchtlings-, Klima- oder Corona-Krise – das völlige Versagen der Linken im Bereich des Sozialen und einer wirkungsvollen Kapitalismuskritik zeigt das Ende einer Partei auf, die sich über die Jahre völlig von ihrem Markenkern entfernt – und somit eindeutig überflüssig gemacht hat. Das muss man erst einmal hinbekommen.

    RT DE bemüht sich um ein breites Meinungsspektrum. Gastbeiträge und Meinungsartikel müssen nicht die Sichtweise der Redaktion widerspiegeln.

  • Éditorial. Les escrocs de l’électricité | L’Humanité
    https://www.humanite.fr/editorial-les-escrocs-de-lelectricite-707439

    Que ne nous a-t-on pas raconté sur les avantages de la libéralisation du secteur de l’énergie ? Combien d’articles sur les bienfaits de l’ouverture à la concurrence ? Combien d’éditoriaux sur la modernité du démantèlement EDF-GDF ? Et que d’inventivité pour créer la concurrence. Si vous êtes un distributeur d’énergie, #EDF produit de l’électricité, vous la vend à prix cassé afin que vous puissiez la revendre moins cher à vos clients. Si vous êtes un producteur d’électricité, alors EDF est obligée de vous la racheter au tarif fort pour la vendre à son propre tarif aux clients. L’argument est toujours le même : créer de la concurrence fera baisser les prix pour le plus grand « bonheur du consommateur ». En vérité pour celui des nouveaux acteurs de ce qui est devenu le « marché » de l’électricité.
    Dans le même temps que les gouvernements construisaient artificiellement cette concurrence, le compteur #Linky faisait son apparition. Simple évolution technologique ? Oui, bien sûr, Linky, qui doit remplacer les anciens compteurs, n’aurait que des atouts, nous explique-t-on ! Il « facilite la vie des consommateurs » puisqu’il permet d’être facturé par rapport à sa consommation réelle, et non une estimation, et donc de « mieux la maîtriser pour faire des économies d’énergie », et protéger la planète bien sûr.
    En vérité, la libéralisation du secteur de l’énergie et le déploiement des compteurs ont comme principal objectif la « tarification dynamique ». Le tarif facturé aux clients suivra le cours du kilowattheure à la « Bourse européenne de l’électricité en gros » heure par heure. Ce mode de tarification sera le seul possible puisque, depuis juin 2019, une #directive_européenne l’impose « auprès de chaque fournisseur qui a plus de 200 000 clients finals ». Une directive transcrite telle quelle et sans débat par le gouvernement français. En clair, l’électricité coûtera très, très cher lorsqu’on en aura le plus besoin.

  • Sur Facebook, LinkedIn, Clubhouse… des fuites de données personnelles très problématiques
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/04/26/facebook-linkedin-clubhouse-des-fuites-de-donnees-personnelles-tres-problema

    Dans trois cas récents de publications de données personnelles de leurs utilisateurs, ces réseaux sociaux se sont défendus en expliquant qu’il n’y avait pas eu de piratage informatique. Le mois d’avril a été chargé en alertes pour les données personnelles : le 3 avril, une base de données contenant des données relatives à plus de 533 millions de comptes Facebook, dont les numéros de téléphone, était diffusée sur un forum fréquenté par des cybercriminels ; quelques jours plus tard, un membre de ce même forum (...)

    #Clubhouse_ #Facebook #LinkedIn #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #données #hacking #scraping (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##CNIL

  • Compteurs #Linky, ni à #Saillans, ni ailleurs !
    https://ricochets.cc/Compteurs-Linky-ni-a-Saillans-ni-ailleurs.html

    On y est, la campagne d’installation des compteurs Linky arrive sur Saillans et ses environs. Des installations que les habitant.e.s du village ont rejeté lors d’une votation citoyenne en 2018. Des installations qui ne sont absolument pas obligatoires et auxquelles nous nous opposons pour différentes raisons : par rapport à l’absurdité écologique de mettre au rebut 35 millions de compteurs en parfait état de marche sans compter l’installation de 700 000 concentrateurs supplémentaires Par rapport à la (...) #Les_Articles

    / Linky, Saillans

  • Quand l’administration fiscale peut vous surveiller sur les réseaux sociaux
    https://www.lemonde.fr/argent/article/2021/03/03/quand-l-administration-fiscale-peut-vous-surveiller-sur-les-reseaux-sociaux_

    Un décret vient d’être publié qui autorise les services fiscaux à exploiter les données publiées sur Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn… ou sur les plates-formes de vente en ligne. Depuis 2017, Bercy utilise un outil automatisé de ciblage pour les contrôles fiscaux des particuliers, dénommé « ciblage de la fraude et valorisation des requêtes ». Basé sur des techniques de « data mining », il repose sur la mise en œuvre d’algorithmes qui lui permettent de repérer les comportements frauduleux en collectant (...)

    #eBay #Facebook #Instagram #Leboncoin.fr #LinkedIn #Twitter #algorithme #fiscalité #fraude #législation #SocialNetwork (...)

    ##fiscalité ##surveillance

  • Le boom des algorithmes de recrutement et la difficulté de les évaluer
    https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/ia-machine-learning-iot/algorithmes-recrutent-masse

    Près de 40 % des services RH utiliseraient des algorithmes prédictifs. La bonne nouvelle c’est qu’ils commencent à être audités. La mauvaise est qu’il reste complexe de mesurer leur prétendue objectivité. Demander à un candidat de gonfler des ballons sur un jeu vidéo pour vérifier ses compétences. L’idée peut paraître absurde. Pourtant de grandes entreprises comme le cabinet de conseil Boston Consulting Group ou McDonald’s ont opté pour cette méthode. Le jeu en question fait partie de la dizaine de jeux de (...)

    #Google #Facebook #LinkedIn #Monster #algorithme #prédiction #recrutement #sexisme #discrimination (...)

    ##travail

  • Linky : la CNIL enterre la mise en demeure visant EDF
    https://www.nextinpact.com/lebrief/46068/linky-cnil-enterre-mise-en-demeure-visant-edf

    La CNIL a clos la procédure pesant sur EDF. En février 2020, elle mettait en demeure la société, sur fond de collecte des données de consommation issues des compteurs Linky. Elle lui reprochait notamment d’avoir précoché une case pour à la fois autoriser la collecte des données à la demi-heure, consulter l’historique de consommations à la journée et adresser des conseils personnalisés. Autre critique : des durées de conservation jugée excessives. « Les éléments de réponse apportés par la société ont (...)

    #EDF_ #Linky #santé #CNIL

    ##santé

  • Le compteur Linky bientôt partout, mais les résistances toujours vives
    https://reporterre.net/Le-compteur-Linky-bientot-partout-mais-les-resistances-toujours-vives

    Trente millions de compteurs communicants électriques Linky ont déjà été installés en France, sur les trente-cinq millions prévus. Le déploiement, longtemps qualifié de « marche forcée » par certains citoyens, devrait arriver à son terme comme prévu à la fin de l’année 2021. Reporterre fait le bilan. Dans la petite commune de Saint-Macaire (Gironde), des affichettes jaune vif contrastent avec le calme ambiant. Soigneusement scotchées sur les volets des maisons, ou placardées sur les portes d’entrée des (...)

    #ENEDIS #Linky #EDF_ #technologisme #consentement #santé

    ##santé

  • Amazon : un empire tentaculaire et insoupçonné
    https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/amazon-un-empire-tentaculaire-et-insoupconne-a159603.html

    Les acquisitions et prises de participation des Gafam offrent un aperçu de l’étendue de leur écosystème et leurs axes de développement. Qu’en est-il pour Amazon ? Sa sobriété en termes de rachats ne doit pas être confondue avec de la docilité. Sur les 30 dernières années, près de 770 entreprises ont été acquises par les Gafam. Parmi les rachats les plus importants figurent ceux de LinkedIn par Microsoft (26,2 milliards de dollars en 2016) et de WhatsApp par Facebook (22 milliards de dollars en 2014). En (...)

    #Google #Microsoft #Ring #WholeFoods #Amazon #AmazonWebServices-AWS #Deliveroo #Facebook #LinkedIn #WhatsApp #robotique #sonnette #voiture #domination #consommation #GAFAM #publicité #santé #sport (...)

    ##publicité ##santé ##vêtement