• La seconde vie des livres
    https://laviedesidees.fr/La-seconde-vie-des-livres

    Les plateformes numériques ont transformé en profondeur le marché du #livre d’occasion. L’occasion pour Vincent Chabault de proposer une sociologie des intermédiaires culturels. À propos de : Vincent Chabault, Le Livre d’occasion : sociologie d’un commerce en transition, Presses Universitaires de Lyon

    #Société #culture #marché #sociologie_économique
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20230901_chabault.pdf
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20230901_chabault-2.docx

  • #Lireka

    Née de la rencontre entre une équipe d’entrepreneurs et la librairie Arthaud de Grenoble, Lireka est une librairie en ligne internationale qui propose aux lecteurs du monde entier plus d’un million de livres en français avec la livraison GRATUITE dans le monde (0,01 € en France métropolitaine) et les conseils de libraires professionnels.

    Lireka, c’est la contraction de «  Lire  » et «  Eurêka  », et c’est une nouvelle librairie en ligne qui fait rayonner la langue française en donnant aux lecteurs du monde entier accès à un vaste catalogue de livres : romans, livres pour enfants, essais, BD, mangas, guides de voyage…

    https://www.lireka.com

    C’est peut-être pas THE meilleure solution, car ça reste un gros machin qui ne passe que par une librairie (Arthaud de Grenoble, si j’ai bien compris), mais ça me semble une bonne solution pour les francophiles/phones qui habitent à l’#étranger pour qu’iels puissent avoir accès à des #livres en #français

    Je l’ai notamment signalé à @reka et @_kg_ -> iels ne feront des retours si jamais iels l’utilisent...

    #commande #alternative #livraison #livres_en_français

  • Il y a 180 ans — 1843-1844, adhésion de Marx au communisme

    Avec les #Jeunes-Hégéliens, il avait cru que l’Allemagne pourrait connaître une révolution semblable à ce qu’avait été la #Révolution_française de #1789. A Paris, il voit les choses autrement, en constatant que la haute #bourgeoisie au pouvoir sous #Louis-Philippe n’a plus rien de révolutionnaire, et que l’impulsion libératrice vient désormais d’une nouvelle classe, celle des travailleurs salariés que les socialistes et les communistes appellent le #prolétariat.

    Au cours de l’année 1844, l’#Allemagne est ébranlée ou, pour le moins, secouée par le soulèvement des tisserands silésiens qui, en proie au chômage et menacés de famine, organisent de grandes grèves et s’en prennent aux patrons, à leurs biens et à leurs livres de comptes jusqu’à ce que les troupes prussiennes viennent les écraser. #Heine écrit alors son #Chant_des_tisserands à l’inspiration duquel son ami Marx a peut-être eu une part.

    Dans le Vorwärts (En avant), revue d’émigrés allemands de Paris, Marx déclare : « Qu’on se rappelle d’abord le Chant des tisserands, cet audacieux mot d’ordre de combat où de prime abord le prolétariat crie d’une manière saisissante, brutale, violente, son opposition à la société fondée sur la #propriété_privée. La révolte silésienne commence précisément au point où s’achèvent les mouvements ouvriers français et anglais, c’est-à-dire la prise de #conscience_de_classe du prolétariat. D’où le caractère supérieur de l’action menée par ces #tisserands. Non seulement, ils détruisent les machines, ces rivales des ouvriers, mais aussi les #livres_des_comptes, ces titres de propriété, et tandis que tous les autres mouvements se dirigeaient tout d’abord et exclusivement contre l’#industriel, l’ennemi visible, ce mouvement s’est dirigé en même temps contre le #banquier, l’ennemi invisible. Enfin, aucune révolte ouvrière anglaise n’avait été menée avec un tel courage, une telle maturité d’esprit et une telle persévérance. »

    Ainsi, #Marx dépasse son ancienne position de démocrate radical pour adhérer à la cause du communisme. Ce dépassement s’effectue à partir de l’idée que la bourgeoisie a cessé d’être une force révolutionnaire et qu’elle est désormais incapable d’accomplir en Allemagne les tâches démocratiques qu’elle a autrefois remplies en Angleterre et, encore plus, en France. La nouvelle force révolutionnaire, capable de libérer la société des différentes formes de l’oppression, réside maintenant dans le prolétariat, à condition que celui-ci prenne conscience de ses #intérêts_de_classe et agisse de façon organisée, comme l’ont montré les tisserands silésiens.

    Il reste que Marx n’est pas satisfait par les doctrines socialistes des #saint-simoniens et des #fouriéristes qui sont plutôt des rêves d’organisation sociale que des instruments théoriques au service du prolétariat dans sa lutte contre la bourgeoisie. Il porte un jugement plus favorable à l’égard des partisans du communisme, comme le Français Cabet et l’Allemand Weitling, mais il leur reproche de réduire le #communisme à un idéal d’égalité et de #justice_sociale et de ne pas l’intégrer au devenir historique des sociétés.

    Dans ses #Manuscrits_économico-philosophiques de #1844 auxquels Marx n’a pas donné une forme achevée et qui ne devaient être publiés qu’en 1932, on peut lire une définition du communisme, « en tant que dépassement positif de la propriété privée, donc de l’auto-aliénation humaine »...

    « Ce communisme est un #naturalisme achevé, et comme tel un humanisme ; en tant qu’#humanisme achevé il est un naturalisme ; il est la vraie solution du conflit de l’homme avec la nature, de l’homme avec l’homme, la vraie solution de la lutte entre l’existence et l’essence, entre l’objectivation et l’affirmation de soi, entre la liberté et la nécessité, entre l’individu et l’espèce. »

    L’adhésion de Marx au communisme est ici exprimée en termes philosophiques. Mais, à travers leur lyrisme, il est à la recherche d’une connaissance objective qui permettrait au #socialisme et au communisme de passer de leur stade utopique au stade scientifique.

    [source : Marx, de Pierre Fougeyrollas, épuisé et non-réédité]

    #karl_marx #révolution_sociale #révolution_prolétarienne

    • À ce moment-là (1842-1843), le prolétariat anglais s’organise dans un puissant mouvement syndical et politique que l’on nomme le #chartisme, en raison de sa charte qui revendique simultanément la journée de travail de dix heures et le suffrage universel.

      #Engels rapporte de son séjour britannique son premier livre, La situation des classes laborieuses en Angleterre, dans lequel il écrit : « Seule est vraiment respectable cette partie de la nation anglaise inconnue du continent, les ouvriers, les parias de l’Angleterre, les - pauvres, malgré toute leur grossièreté et leur absence de morale. C’est d’eux quil faut attendre le salut de l’Angleterre. »

      Ainsi la connaissance des révolutions politiques de la France et celle de la révolution industrielle de l’Angleterre ont respectivement conduit Marx et Engels à des conclusions convergentes relativement au rôle historique révolutionnaire que le prolétariat commençait alors à assumer. C’est ce qui leur est sûrement apparu durant leurs entretiens parisiens de 1844.

      [source : idem]

  • Lire : Bruel, « L’aventure politique du livre jeunesse »
    https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Lire-Bruel-L-aventure-politique-du-livre-jeunesse

    Concentration des entreprises éditoriales, frilosité des structures invitant des auteurs et autrices (et leur procurant d’indispensables revenus « accessoires »), crainte de mobilisations polémiques sur les réseaux sociaux, expliquent le « nivellement idéologique », « une autorégulation plus ou moins consciente tant chez celles et ceux qui créent qu’au sein des maisons d’édition qui n’apprécient pas toutes d’être vilipendées, fût-ce par des imbéciles ».

    Il établi le constat que « le mot politique étant un répulsif puissant, l’association jeunesse et politique hérisse. Elle convoque aussitôt une légion de spectres : la propagande, la sournoise persuasion, l’embrigadement viral… » Aujourd’hui, « l’évitement des enjeux de la politique dans les publications jeunesse et un “enseignement moral et civique” programmé dans le secondaire concourent à la pérennisation de la démocratie représentative, système politique présenté comme idéal et sans alternative. » Aussi, lorsque les productions jeunesse prétendent aborder la politique, elles traitent avant tout et essentiellement des institutions de la Vè République  !

    #littérature #livres_jeunesse #culture #politique #politiquement_correct

  • Kerkeling, Zeh, Fitzek und mehr gegen „Zwangslizenzierung“ für Onleihe
    https://www.heise.de/news/Kerkeling-Zeh-Fitzek-und-mehr-gegen-Zwangslizenzierung-fuer-Onleihe-6220654.ht

    Un groupe d’auteurs de bestsellers allemands s’oppose au droit des bibliothèques publiques de prêter leurs livres. C’est honteux.

    18.10.2021, von Andreas Wilkens - Der Deutsche Bibliotheksverband meint, der Appell von Autorinnen, Autoren und Verlagen beruhe auf Falsch- und Fehlinformationen.

    Autorinnen und Autoren, Verlage und der Buchhandel haben sich anlässlich der Frankfurter Buchmesse und vor Bildung einer neuen Bundesregierung zusammengefunden, um gegen eine mögliche „erzwungene Online-Ausleihe zu Niedrigpreis-Bedingungen“ zu protestieren. Darunter sind diverse Bestsellerautoren und -autorinnen wie Sebastian Fitzek, Juli Zeh, Hape Kerkeling und Daniel Kehlmann. Sie antworten damit auf Bestrebungen des Deutschen Bibliotheksverbands, E-Books wie gedruckte Bücher zu behandeln und haben dies auch in großflächigen Anzeigen in Tageszeitungen kundgetan.

    Die Liste der erstunterzeichnenden Autorinnen und Autoren der Kampagne „fair lesen“ liest sich wie das Who’s Who der deutschsprachigen Gegenwartsliteratur: Zu den vier oben genannten gesellten sich unter anderem Charlotte Link, Maxim Biller, Navid Kermani, Peter Stamm, Benedict Wells, Thea Dorn, Sibylle Berg, Frank Schätzing, Andreas Eschbach, Florian Illies, Svenja Flaßpöhler, Bernhard Schlink und Eva Menasse. Sie meinen, „wenn aufgrund politischer Entscheidungen neue Werke ab dem Tag ihres Erscheinens in allen Bibliotheken in der nahezu kostenlosen Online-Ausleihe verfügbar gemacht werden müssen, gefährdet das einen seit Jahrzehnten funktionierenden Markt“; und ebenso die Existenzgrundlage von Autorinnen und Autoren, Übersetzerinnen und Übersetzern, Verlagen und Buchhandlungen.

    Im Januar dieses Jahres hatten 600 Leiter und Leiterinnen von Bibliotheken in Deutschland in einem offenen Brief an die Bundestagsabgeordneten eine rechtliche Nachbesserung beim Verleih von E-Books gefordert. Derzeit verweigerten die Verlage den Bibliotheken 70 Prozent der neu erscheinenden E-Books für die Ausleihe. „Lizenzen für die Ausleihe werden häufig erst nach monatelanger Wartezeit, oftmals auch gar nicht eingeräumt“, heißt es. Das fehlende Verleihrecht für E-Books im Urheberrecht höhle die Kultur- und Bildungsinfrastruktur der Öffentlichen Bibliotheken aus. Der freie Zugang zu Wissen und Information unabhängig von Bezahlschranken sei aber ein Grundrecht, meinen die Bibliotheken. Sie sehen sich vom Bundesrat unterstützt, der im April dieses Jahres eine Änderung des Urheberrechts angeregt hat.

    „Quelle von Wissen“

    Die Autorinnen und Autoren sehen sich selbst als Quellen von Wissen, Literatur und Debatte. Sie entgegnen dem Aufruf vom Januar, sie schätzten das Konzept der Bibliotheken, Menschen unabhängig von ihrer finanziellen Lage die Möglichkeit zum Lesen von Büchern zu geben. Gleichzeitig müssten sie sich auf gerechte Vergütung verlassen können und frei in ihren Entscheidungen bleiben. „Dafür sorgt der Buchmarkt, der zugleich Grundvoraussetzung für literarische Vielfalt ist.“

    „Heute finden bereits 46 Prozent aller E-Book-Nutzungen in Deutschland über die Bibliotheksausleihe statt“, heißt es in einem Whitepaper zur Kampagne „fair lesen“ (PDF). Damit würden aber lediglich 6 Prozent des gesamten E-Book-Umsatzes erzielt. Die Autorinnen und Autoren befürchten, dass schon bald mehr Bücher online verliehen als gekauft werden, während die Lizenzerlöse der Onleihe sehr niedrig sei.

    In Diskussionen über eine Zwangslizenzierung gehe es oft um die Titel der „Spiegel-Bestsellerlisten“, die mitunter nicht am Tag des Erscheinens in der Onleihe abrufbar seien. Diese seien die Basis für Mischkalkulationen in den Verlagshäusern und ermöglichten Investitionen in Nischenwerke und Debüts, heißt es in dem Whitepaper. Die Lizenzierung von Titeln einige Monate nach Erstveröffentlichung für die Onleihe sichere die Refinanzierung sowie stabile Verkaufserlöse auch der gedruckten Exemplare über den Buchhandel. Die Autorin Sibylle Berg betonte auf Twitter, es gehe vor allem um junge und unbekannte Autorinnen und Autoren, die kaum von ihrer Arbeit leben könnten.

    „Falsch- und Fehlinformationen“

    Der Deutsche Bibliotheksverband (DBV) schreibt in einer Erwiderung auf die Kampagne (PDF), der Appell beruhe auf Falsch- und Fehlinformationen: „Für jedes E-Book, das eine Bibliothek verleihen möchte, muss sie eine Lizenz erwerben. Zum Schutz des Buchmarktes gilt wie bei gedruckten Büchern: eine Kopie, ein Ausleiher.“ Die Lizenzen, die Bibliotheken erwerben, seien zeitlich befristet, „auch um die Abnutzung von Büchern zu simulieren“.

    Die E-Book-Ausleihe sei strikt begrenzt auf Menschen mit einem Bibliotheksausweis, den sie nur in der Bibliothek ihrer eigenen Kommune erwerben könnten. Dies seien in Deutschland 7,4 Millionen Menschen. Bei einer üblichen Ausleihfrist von zwei bis drei Wochen könne ein E-Book höchstens 18- bis 26-mal im Jahr ausgeliehen werden, schreiben die Bibliotheken weiter; sie zahlten zudem für die Lizenzen deutlich mehr als die private Kundschaft, da in den Lizenzen das Recht zum Verleih mitbezahlt werde.

    DBV-Bundesvorsitzender Andreas Degkwitz meint, die Kampagne „fair lesen“ vermittele den unzutreffenden Eindruck, dass die Öffentlichen Bibliotheken allein für Autorenvergütung und Marktentwicklung von E-Books verantwortlich seien. Die Versorgung mit Informationen und Literatur gehöre zum Auftrag der Bibliotheken. Wenn aktuelle E-Book-Veröffentlichungen zurückgehalten würden, werde die Infrastruktur zur Literaturversorgung der Bürgerinnen und Bürger ausgetrocknet. Aktuelle E-Books in Bibliotheken bereitzustellen sei dann komplett abhängig von Marktentwicklungsprognosen der Verlage.

    #Allemagne #droit_d_auteur #bibliothèques #livres_numériques

  • #Sylvia_Earle. La signora degli abissi

    Sylvia Earle, oceanografa di fama mondiale, è una leggenda vivente nell’esplorazione degli oceani. La vincitrice del Premio Strega ragazze e ragazzi 2016, Chiara Carminati, racconta questa donna determinata e tenace, arrivata là dove pochissimi osano scendere: gli abissi oceanici. In chiusura, l’intervista alla protagonista.

    New Jersey, anni ’30. Cresciuta in una fattoria assieme ai due fratelli e ai genitori, Sylvia ama profondamente la natura: ancora bambina, né è affascinata, la osserva, ci gioca, compie piccole indagini per scoprire la vita nello stagno vicino casa. È l’acqua, infatti, l’elemento che più l’attrae.

    In Florida, dove si trasferisce con la famiglia, trascorre ore nelle limpide acque del Golfo del Messico e sulla spiaggia, a osservare la vita che brulica tra i granelli di sabbia bianca. Durante l’ultimo anno delle superiori, frequenta un corso estivo di biologia marina alla Florida State University: il professore accresce il suo desiderio di conoscere e soprattutto la sprona a osservare gli organismi viventi nel loro ambiente naturale. Dalla sua prima immersione, Sylvia Earle risale con una certezza: quello doveva essere il suo mestiere!

    Si iscrive quindi all’università, dove studia biologia marina, specializzandosi in botanica. Tra un’immersione e l’altra, si sposa e ha due bambini. Non ancora trentenne, parte per una spedizione nell’Oceano Indiano, unica donna tra 70 uomini, ed è in attesa del terzo figlio quando si immerge, con il consenso del medico, a 38 metri di profondità nel mare delle Bahamas.

    Dopo il dottorato, la fama arriva con la partecipazione al progetto Tektite II, come capo spedizione di un equipaggio tutto al femminile: assieme ad altre quattro scienziate, vive per due settimane in uno speciale studio sottomarino, collocato a 15 metri di profondità. Quando riemergono, le ricercatrici sono accolte come eroine: è la prima volta che delle donne prendono parte a questa sensazionale progetto. Sylvia Earle approfitta dell’impatto sul grande pubblico per far conoscere al mondo l’importanza della ricerca e quanto la sopravvivenza della vita sulla Terra sia legata alla buona salute degli oceani: il cuore blu del pianeta, come lei stessa ama definirlo, va rispettato, e c’è ancora tantissimo da scoprire!

    La consacrazione giunge infine con la sua passeggiata sottomarina a 400 metri di profondità, mentre negli anni ‘80 raggiunge i 900 metri grazie a uno speciale sommergibile monoposto, che progetta assieme a un collega ingegnere. Nel 2009 vince il Premio Ted e, con i fondi ricevuti, dà vita all’organizzazione non-profit Mission Blue, con cui crea una rete di aree marine protette sparse in tutto il mondo, per salvaguardare la salute degli oceani.

    Dando voce a “Sua profondità” Sylvia Earle, Chiara Carminati ci regala dunque una storia di coraggio e determinazione e, assieme alle sognanti illustrazioni di Mariachiara Di Giorgio, ci immerge nel cuore blu del pianeta.

    https://www.editorialescienza.it/it/libro/la-signora-degli-abissi.htm

    #historicisation #femmes #science #océanographe #femmes_océanographes #livre #livres_pour_enfants #océans #exploratrice #femme_exploratrice

    • #Lise_Meitner. La forza nell’atomo

      La vita di Lise Meitner abbraccia tutto il Novecento: Lise lo percorre da protagonista, come fisica eccellente schierata a favore dell’uso pacifico della scienza.
      «La forza nell’atomo» racconta la sua storia, culminata nella scoperta della fissione nucleare. Sullo sfondo, i due conflitti mondiali, la persecuzione degli ebrei, il dibattito sulla bomba atomica e sull’applicazione bellica delle scoperte scientifiche.

      Lise Meitner nasce a Vienna nel 1878, terza di otto fratelli: la sua è una famiglia ebrea benestante e progressista, inserita in una tra le più internazionali e vivaci società dell’epoca. Curiosa e riflessiva, fin da piccola ama osservare i fatti del mondo e della natura, chiedendosi il perché delle cose. È appena una ragazzina quando esprime il desiderio di studiare fisica, ma il liceo e l’università sono preclusi alle donne. Con il sostegno della famiglia, prepara privatamente la maturità, per poi accedere finalmente all’istituto di fisica, dove nel 1906 ottiene il dottorato.
      Prosegue il suo percorso di studio e ricerca a Berlino, che sarà la sua casa per oltre trent’anni. Nel prestigioso ateneo berlinese Lise, tra difficoltà e umiliazioni (donna ed ebrea), sale i gradini della carriera accademica, diventando un nome noto nella comunità scientifica internazionale per i suoi studi di fisica nucleare: non solo ottiene, prima donna in Germania, il titolo di professore, ma le viene anche affidato il compito di fondare e dirigere l’istituto di fisica. Collabora e stringe amicizia con scienziati del calibro di Max Planck, di cui è assistente, Albert Einstein e Niels Bohr.

      Nel 1938, a causa delle persecuzione razziali, è costretta a lasciare la Germania: è proprio dall’esilio a Stoccolma che contribuisce a scoprire e a definire la fissione nucleare, alla quale stava lavorando con Otto Hahn e Fritz Strassmann a Berlino, prima di dover abbandonare la città. La notizia fa scattare la corsa alla bomba atomica sia da parte dei tedeschi che degli americani, ed entrambe le fazioni chiedono la collaborazione degli scienziati, rispettivamente nel Club dell’uranio e nel Progetto Manhattan. Lise si rifiuta, per lei la nuova energia deve essere usata a scopi benefici. Per questa sua grande scoperta, non verrà mai insignita del premio Nobel, che andrà ingiustamente soltanto a Otto Hann.

      Ritiratasi dalla ricerca sperimentale nel 1952, a 74 anni, continua a insegnare e spende le sue energie in giro per il mondo, per sostenere l’ingresso delle donne nella ricerca e, in generale, nei lavori intellettuali.
      Lise Meitenr, scienziata che non ha mai perso la sua umanità, si è spenta nel 1968, pochi giorni prima del suo novantesimo compleanno.

      Dopo l’intensa narrazione, «La forza nell’atomo» si conclude con approfondimenti sugli scienziati più vicini a Lise Meitner (Otto Hann, Ludwig Boltzmann, Max Planck e Niels Bohr), sulla bomba atomica e sulla fissione nucleare.

      https://www.editorialescienza.it/it/libro/la-forza-nell-atomo.htm
      #nucléaire

    • #Mary_Anning. La cacciatrice di fossili

      Un romanzo per ragazzi firmato da Annalisa Strada e dedicato a Mary Anning, la donna che ha portato alla luce i primi scheletri di animali preistorici e contribuito allo sviluppo di una nuova scienza, la paleontologia.

      Dorset, Inghilterra, 1811. Una ragazzina di 12 anni porta alla luce il corpo fossilizzato di un ittiosauro, il primo a essere rinvenuto. Mary Anning, questo il suo nome, è figlia di un falegname di Lyme Regis, un paesino arroccato tra le scogliere e il mare. Il padre arrotonda le scarse entrate cercando fossili sulle spiagge locali per venderli ai turisti, e Mary lo accompagna fin da bambina. La stagione migliore per le ricerche è l’inverno, dopo che le bufere hanno scatenato le onde contro le pareti rocciose, creando profonde fenditure e causando crolli e frane più o meno imponenti: è allora, quando la natura svela i propri scrigni, che per i due cercatori si spalancano nuove possibilità. È un lavoro duro il loro, al freddo e con il tempo a disposizione stabilito dall’innalzarsi della marea, un lavoro che richiede grandissima attenzione e precisione, non solo per individuare i fossili, ma anche per ripulirli e, se necessario, ricomporli. Mary si appassiona a queste ricerche e diventa sempre più abile: i suoi occhi individuano nella roccia ciò che altri non vedono, le sue mani svelano forme di antichi esseri viventi, la sua testa si riempie di mille domande sulle misteriose creature che porta alla luce. Autodidatta e dotata di un intuito spiccato, riesce a raffigurarsi la sagoma di un animale vissuto milioni di anni prima a partire dai frammenti che scova nella roccia.

      A 24 anni fa la seconda grande scoperta, individuando il primo scheletro di plesiosauro e, qualche anno più tardi, quello di uno pterodattilo. I suoi ritrovamenti suscitano scalpore e interesse, eminenti studiosi si recano a Lyme Regis per incontrarla. Di umili origini e con un’istruzione limitata, ma intelligente, intuitiva e tenace, Mary Anning riuscirà a farsi conoscere negli ambienti accademici non solo per l’abilità nel ricostruire gli scheletri di animali estinti, ma anche per la capacità di descrivere e disegnare con precisione i reperti ritrovati.

      Il volume porta dunque i lettori indietro nel tempo per conoscere una ragazzina curiosa e ostinata che, nonostante le ristrettezze economiche e un ambiente conservatore, riesce in un’impresa straordinaria. Il premio Andersen Annalisa Strada tratteggia con maestria la figura di Mary Anning restituendone un ritratto fedele, accompagnato dalle delicate illustrazioni di Daniela Tieni.

      https://www.editorialescienza.it/it/libro/la-cacciatrice-di-fossili.htm
      #paléontologie

  • Livre audio : les inadmissibles conditions d’Amazon, selon Cory Doctorow (@doctorow)
    https://www.actualitte.com/article/lecture-numerique/livre-audio-les-inadmissibles-conditions-d-amazon-selon-cory-doctorow/102703?origin=newsletter

    Engagé et militant depuis des années, l’écrivain de science-fiction Cory Doctorow a décidé de contourner le géant Audible pour la version audio de son prochain roman. L’auteur souhaite retrouver sa liberté et a choisi d’organiser un financement participatif pour la sortie de l’ouvrage dans ce format.

    Cory Doctorow

    Attack Surface, le prochain roman de Cory Doctorow, devrait sortir le mois prochain. Il sera facile au lecteur de se procurer une copie physique du roman puisque le titre sera disponible en librairie, mais aussi sur les grandes plateformes comme Amazon ou Kobo. Mais pour mettre la main sur le livre audio, l’entreprise risque de se révéler un poil plus compliquée.

    Le roman ne figurera en effet pas dans le catalogue d’Audible, le plus grand vendeur de livres audio du marché. Doctorow a choisi de vendre le livre sous ce format via une campagne Kickstarter.

    Le problème de Doctorow avec Audible trouve sa source dans la politique de l’entreprise : Amazon impose en effet l’application d’un DRM, un micro logiciel de protection, au sein des œuvres audio. Ce logiciel permet de mieux contrôler le bien et évite théoriquement le piratage ou la reprise d’extraits par le consommateur. Les DRM ne sont pas nouveaux, mais sont souvent présents à la demande des éditeurs et des auteurs . Qu’une entreprise décide directement de l’intégrer pose problème à l’écrivain :

    « Nous ne devrions pas vivre dans un monde où les fabricants décident de la manière dont vous utilisez leurs produits une fois que vous les avez achetés », rugit-il. Cette politique est d’autant plus incompréhensible qu’Amazon n’impose pas de DRM au sein de ses ebooks sur Kindle.

    Une alternative ?

    Opposé depuis des années aux DRM, Doctorow n’en est pas à son coup d’essai. L’auteur garde un droit de regard sur ses œuvres et dans le cadre de son accord avec l’éditeur Macmillan, propose des enregistrements audio de ses livres exclusivement via des plates-formes non affiliées à Amazon.

    Pour ce blogueur militant, les DRM ne sont pas qu’une simple technologie, mais « une loi », un appareil juridique qui interdit au consommateur de s’approprier l’œuvre qu’il vient d’acheter. L’écrivain affirme que ces logiciels constituent une nuisance pour les consommateurs qui essaient d’accéder à du contenu acheté légitimement, tout en étant incapable d’arrêter un pirate informatique digne de ce nom.

    NUMERIQUE : Amazon, Penguin et des auteurs
    lancés dans une chasse aux pirates de livres

    Doctorow a donc lancé une campagne de financement pour promouvoir le livre via ses propres moyens. Depuis son lancement mardi, la campagne a recueilli plus de 142.000 $ sur Kickstarter de la part de plus de 3500 contributeurs, le livre audio étant disponible pour ceux qui s’engagent à hauteur d’au moins 15 $. Ce succès, l’auteur l’explique en partie par la méfiance des gens envers Amazon, laquelle s’est transformée en colère suite aux profits que l’entreprise a enregistrés depuis le début de la crise sanitaire.

    Si l’initiative donnera certainement envie de faire des émules, il reste difficile pour un auteur débutant de se lancer dans un projet similaire. C’est en grande partie sa renommée qui permet à Doctorow ce genre de coup d’éclat.

    L’écrivain a lui-même participé à la production du format audio, travaillant via Zoom avec la réalisatrice Cassandra de Cuir de chez Skyboat Media et avec l’actrice Amber Benson chargée de lire le texte.

    #Cory_Doctorow #Audible #Livres_audio #DRM

  • La vallée aux merveilles

    Après une rupture amoureuse douloureuse, Jeanne, 16 ans, est envoyée chez sa tante dans la vallée de la Roya. Elle y découvre, stupéfaite, que cette dernière est une militante active, venant en aide aux migrants qui tentent de passer la frontière italienne pour entrer en #France.

    https://www.lerouergue.com/catalogue/la-vallee-aux-merveilles

    #migrations #asile #réfugiés #Roya #Vallée_de_la_roya #frontières #Italie #frontière_sud-alpine #livres #livres_pour_enfants #livres_pour_adolescents

  • Le #Genre dans la crise du covid
    https://www.cetri.be/Le-genre-dans-la-crise-du-covid

    La grève des femmes du 8 mars dernier portait un double message. Un appel à la protestation pour la reconnaissance de leur travail et de leurs droits et un appel à la mobilisation et à la solidarité. Trois mois plus tard, avec la crise du covid-19, démonstration est faite que le care, l’une des composantes les plus exploitées et les moins valorisées du travail, assuré en grande partie par des femmes, est central pour préserver la vie et favoriser une sortie de crise. Prise de conscience sans lendemain (...) #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, Genre, #Coronavirus, #COVID_19, Livres & revues divers

    #Livres_&_revues_divers

  • Contre le confinement morbide. Pour une #épidémiologie populaire - Marseille Infos Autonomes
    https://mars-infos.org/contre-le-confinement-morbide-pour-4946

    Nous pensons qu’à l’heure actuelle, il est tout aussi nécessaire de développer une épidémiologie #politique, critique et peut-être populaire pour pouvoir nous approprier la situation, que de nous opposer à l’infamie des techniques gouvernementales consistant à masquer leurs responsabilités dans cette catastrophe sanitaire en les faisant supporter par l’ensemble de la population. — <a href="https://my.framasoft.org/u/rouge-glace/?4K33XQ&quot ; title="Permalink">Permalink</a>

    #corona #coronavirus #luttes #pandémie #partage_collegues #santé

  • 17 Nonfiction Books Feminists Should Read in 2020 | Bitch Media
    https://www.bitchmedia.org/article/bitchreads/most-anticipated-nonfiction-books-2020
    https://www.bitchmedia.org/sites/default/files/styles/facebook_ratio/public/open-graph/Screen+Shot%202020-01-09%20at%204.26.42%20PM.png?itok=Oq42k7yl

    Boys & Sex: Young Men on Hookups, Love, Porn, Consent, and Navigating the New Masculinity

    Quelques bonnes lectures. Celle qui me fait le plus envie :

    Boys & Sex - Peggy Orenstein - E-book
    https://www.harpercollins.com/9780062666994/boys-and-sex

    The author of the groundbreaking New York Times bestsellers Girls & Sex and Cinderella Ate My Daughter now turns her focus to the sexual lives of young men, once again offering “both an examination of sexual culture and a guide on how to improve it” (Washington Post).

    #livres_féministes

  • Cinq beaux livres pour enfants qui parlent d’#homoparentalité

    Expliquer l’homoparentalité aux enfants, qu’il s’agisse d’#adoption, de #GPA ou de #PMA, peut parfois sembler compliqué. C’est pourtant le défi que se sont donnés ces cinq petits #livres_illustrés, sélectionnés par TÊTU !


    https://tetu.com/2019/04/12/cinq-beaux-livres-pour-enfants-qui-parlent-dhomoparentalite/amp
    #livres #livres_pour_enfants #homosexualité #parentalité

  • L’avenir du #Travail vu du sud : critique de la « quatrième révolution industrielle »
    https://www.cetri.be/L-avenir-du-travail-vu-du-sud

    L’« avenir du travail » est le sujet du moment dans le petit monde de la « gouvernance mondiale ». Toutes les organisations internationales, ou presque, en ont fait une priorité, sans parler des think tanks et autres cabinets de conseil. Leur point commun : penser cet avenir sous l’angle étroit de la « quatrième révolution industrielle » – avec ses robots, ses imprimantes 3D et ses plateformes numériques – pour mieux vendre des (dé)régulations du travail. Mais de quel travail parle-t-on exactement ? À qui (...)

    Livres & études

    / Livres & revues divers, Travail, #Homepage_-_Publications_à_la_une, #Enjeux_numériques

    #Livres_&_études #Livres_&_revues_divers
    https://www.cetri.be/IMG/pdf/table_des_matieres.pdf
    https://www.cetri.be/IMG/pdf/couv._avenir_du_travail_dans_le_sud-1.pdf

  • Il est temps pour moi de faire une #recension sur #appropriation_culturelle et #Palestine, qui recouvre des sujets aussi larges que : #Houmous #Hummus #rrroumous #Chakchouka #falafel #couscous #Shawarma #zaatar #Nourriture #Cuisine #Danse #dabke #vêtements #langage #arabe #Art #Cinéma #Photos #Littérature #Poésie #Photographie #Documentaire ...

    Le Rrrizbollah aime le rrroumous
    @nidal, Loubnan ya Loubnan, le 10 octobre 2008
    https://seenthis.net/messages/97763

    Israel’s cuisine not always kosher but travelling well
    Stephen Cauchi, The Age, le 22 mai 2011
    http://seenthis.net/messages/493046

    Make Hummus Not War
    Trevor Graham, 2012
    https://seenthis.net/messages/718124

    NYC Dabke Dancers respond to ZviDance "Israeli Dabke"
    Dabke Stomp, Youtube, le 3 août 2013
    http://seenthis.net/messages/493046
    https://www.youtube.com/watch?v=JM9-2Vmq524

    La Chakchouka, nouveau plat tendance (PHOTOS)
    Rebecca Chaouch, HuffPost Maghreb, le 15 avril 2014
    http://seenthis.net/messages/493046

    Exploring Israel’s ‘ethnic’ cuisine
    Amy Klein, JTA, le 28 janvier 2015
    http://seenthis.net/messages/493046

    International Hummus Day : Israeli Entrepreneur’s Middle Eastern Food Celebration Is Still Political For Some
    Lora Moftah, IB Times, le 13 mai 2015
    http://seenthis.net/messages/493046

    Israel’s obsession with hummus is about more than stealing Palestine’s food
    Ben White, The National, le 23 mai 2015
    http://seenthis.net/messages/493046

    Palestine : étude d’un vol historique et culturel
    Roger Sheety, Middle East Eye, le 15 juillet 2015
    https://seenthis.net/messages/646413

    La « guerre du houmous »
    Akram Belkaïd, Le Monde Diplomatique, septembre 2015
    https://seenthis.net/messages/718124

    L’appropriation culturelle : y voir plus clair
    LAETITIA KOMBO, Le Journal En Couleur, le 31 août 2016
    https://seenthis.net/messages/527510

    Hummus restaurant
    The Angry Arab News Service, le 5 novembre 2016
    https://seenthis.net/messages/539732

    Le Houmous israélien est un vol et non une appropriation
    Steven Salaita, Al Araby, 4 September 2017
    https://seenthis.net/messages/632441

    Looted and Hidden – Palestinian Archives in Israel (46 minutes)
    Rona Sela, 2017
    https://seenthis.net/messages/702565
    https://www.youtube.com/watch?v=0tBP-63unME


    https://www.youtube.com/watch?v=KVTlLsXQ5mk

    Avec Cyril Lignac, Israël fait découvrir son patrimoine et sa gastronomie
    Myriam Abergel, Le Quotidien du Tourisme, le 27 janvier 2018
    http://seenthis.net/messages/493046

    Why does Virgin find “Palestinian couscous” offensive ?
    Gawan Mac Greigair, The Electronic Intifada, le 10 février 2018
    https://seenthis.net/messages/668039

    Maghreb : une labellisation du couscous moins anodine qu’il n’y paraît
    Le Point, le 13 février 2018
    https://seenthis.net/messages/764021

    Medieval Arabic recipes and the history of hummus
    Anny Gaul, Recipes, le 27 mars 2018
    https://seenthis.net/messages/744327

    Que font de vieilles photos et de vieux films de Palestiniens dans les archives de l’armée israélienne ?
    Ofer Aderet, Haaretz, le 2 juillet 2018
    https://seenthis.net/messages/612498

    En Israël, une exposition montre des œuvres arabes sans le consentement des artistes
    Mustafa Abu Sneineh, Middle East Eye, le 17 juillet 2018
    https://seenthis.net/messages/708368

    Yalla
    https://seenthis.net/messages/716429

    Houmous, cuisine et diplomatie
    Zazie Tavitian, France Inter, le 21 août 2018
    https://seenthis.net/messages/718124

    Pourquoi un éditeur israélien a-t-il publié sans agrément un livre traduit d’essais en arabe ?
    Hakim Bishara, Hyperallergic, le 13 septembre 2018
    https://seenthis.net/messages/723466

    La nouvelle cuisine israélienne fait un carton à Paris
    Alice Boslo, Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle, Le Figaro, le 26 septembre 2018
    https://seenthis.net/messages/725555

    Cuisine, art et littérature : comment Israël vole la culture arabe
    Nada Elia, Middle East Eye, le 3 octobre 2018
    https://seenthis.net/messages/726570

    Pins Daddy - Israel Costume
    https://seenthis.net/messages/726570

    Shawarma, the Iconic Israeli Street Food, Is Slowly Making a Comeback in Tel Aviv
    Eran Laor, Haaretz, le 8 janvier 2019
    https://seenthis.net/messages/493046

    What is Za’atar, the Israeli Spice You Will Want to Sprinkle on Everything
    Shannon Sarna, My Jewish Learning, le 7 mars 2019
    https://seenthis.net/messages/767162

    #Vol #appropriation_culinaire #racisme #colonialisme #Invisibilisation #Histoire #Falsification #Mythologie #Musique #Musique_et_Politique #Boycott_Culturel #BDS

    ========================================

    En parallèle, un peu de pub pour la vraie cuisine palestinienne ou moyen-orientale :

    Rudolf el-Kareh - Le Mezzé libanais : l’art de la table festive
    https://seenthis.net/messages/41187

    Marlène Matar - Ma’idat Marlene min Halab
    https://seenthis.net/messages/537468

    La cuisine palestinienne, c’est plus que ce qu’on a dans l’assiette
    Laila El-Haddad, Electronic Intifada, le 15 Juin 2017
    https://seenthis.net/messages/612651

    Palestine : la cuisine de Jerusalem et de la diaspora
    Alain Kruger, France Culture, le 25 février 2018
    https://seenthis.net/messages/671981

    La Palestine, ce n’est pas seulement de la géographie, c’est notre façon à nous de faire la cuisine, de manger, de bavarder
    Shira Rubin, Eater, le 9 novembre 2018
    https://seenthis.net/messages/737305

    Une écrivaine décrit la cuisine palestinienne et le monde qui l’entoure
    Mayukh Sen, The New-York Times, le 4 février 2019
    https://seenthis.net/messages/760255

    La Troika Libanaise
    https://www.facebook.com/LaTroikaLibanaise

    Les Ptits Plats Palestiniens de Rania
    https://lesptitsplatspalestiniensderania.wordpress.com

    Une Palestinienne à Paris
    https://unepalestinienneaparis.wordpress.com

    Hind Tahboub - Bandora
    https://www.bandoracuisine.com/bandora-cuisine

    Askini
    195 rue Saint-Maur
    75010 Paris
    https://www.facebook.com/askiniparis

    Ardi
    10 rue Lydia Becker
    75018 Paris
    https://www.facebook.com/ardiconceptstore

    Sharqi’s
    24 rue de l’Université
    34000 Montpellier
    https://www.facebook.com/Sharqis-1837468433036940

    La Palestine
    24 Rue Mazenod
    13002 Marseille
    https://www.lapalestine.fr

    #Livres_de_recettes #Restaurants #Traiteurs #Cheffes

  • #Haïti : agrobusiness et politiques publiques
    https://www.cetri.be/Haiti-agrobusiness-et-politiques

    « Financer l’agri-business en Haïti » ; tel était le titre du forum qui s’est tenu, dans le cadre du huitième sommet de la finance organisé par le Group croissance, à Port-au-Prince début avril 2018 . Il avait été précédé, quelques mois plus tôt (le 7 décembre 2017), d’un autre forum, celui de la Chambre de commerce haïtiano-américaine (AMCHAM) : « Moderniser l’agro-industrie, la clé du développement agricole durable ». Autant de démonstrations d’une actualité de l’agrobusiness en Haïti. Mais qu’entend-t-on (...)

    Livres & études

    / Livres & revues divers, Haïti, #Agrobusiness,_Agro-industrie, Agriculture & luttes pour la (...)

    #Livres_&_études #Livres_&_revues_divers #Agriculture_&_luttes_pour_la_terre
    https://www.cetri.be/IMG/pdf/etude2018-haiti-ft.pdf

  • « # Congolais Telema ! ». Petite sociologie de l’engagement en contexte congolais
    https://www.cetri.be/Congolais-Telema-Petite-sociologie

    Le maintien au pouvoir de Joseph Kabila a suscité au Congo une opposition populaire tenace, qui s’est traduite par l’investissement régulier de la rue : marches, émeutes, sits in et journées villes mortes se sont succédés depuis 2015, en dépit d’un contexte autoritaire de plus en plus oppressant. Qu’est-ce qui pousse certains Congolais à s’engager dans des actions collectives risquées contre le « glissement » du président Kabila ? Si les causes de la révolte paraissent aller de soi, dans un pays où la (...)

    Livres & études

    / #Analyses, #Le_regard_du_CETRI, Livres & revues divers, Congo (RD), #Mouvement_étudiant, #Luttes, Relations entre mouvements sociaux & (...)

    #Livres_&_études #Livres_&_revues_divers #Congo_RD_ #Relations_entre_mouvements_sociaux_&_gouvernements

  • Kommentar Jim Knopf - Eine verstörende Karikatur
    https://mobil.berliner-zeitung.de/politik/meinung/kommentar-jim-knopf---eine-verstoerende-karikatur-29911644


    C’est compliqué la vie, surtout quand nous ne regardons pas les choses précisément. Dans l’Allemagne d’aujourd’hui nous vivons ensemble avec le monde entier ce qui nous oblige à nous intéresser aux autres habitants de notre pays, à leur cultures et histoires. Ceci vaut autant pour les allemands dites « biologiques » comme pour les nouveaux arrivants. L’article cité est un exemple qui montre comment on peut se tromper.

    Dans mon enfance j’était un lecteur avide. Un de mes livres préférés était l’histoire de Jim Knopf , un orphelin noir qui quitte l’îlot où il a grandi. Cette île minuscule est trop petite pour un adulte supplémentaire. C’est son copain Lukas qui se porte volontaire pour partir afin d’éviter au jeune Jim de devoir quitter sa maman et ses autres amis.

    Jim ne veut pas perdre Lukas et l’obige de l’emmener avec lui, ce qui est une très bomme idée car Jim est très intelligent. Ensemble ils forment une équipe formidable qui surmonte les pires obstacles. Dans le livre il n’y a qu’une personne encore plus intelligente que Jim. C’est la princesse chinoise Li Si . Jim et Lukas la libèrent des griffes du dragon Frau Malzahn qui achète des enfants aux terribles 13 pirates afin de remplir les bancs de son école où elle torture les petits avec les mathématiques et la grammaire.

    Jim, Li Si et Lukas libèrent les enfants et aident le dragon vaincu à se transformer dans un bon dragon de la sagesse. Leur victoire est possible par la solidarité, parce qu’ils ne tuent pas et grâce à la force de Lukas, l’intelligence et le courage de Jim, et les bonnes connaissance de Li Si.

    Dans la deuxième partie de l’histoire (SPOILER ALERT) on apprend que les terribes 13 pirates sont eux aussi victimes obligés à exercer leur sombre profession parce qu’ils ne savent rien faire d’autre. Is ne savent même pas compter. En réalité ils ne sont que 12 et au fond pas terribles du tout.

    L’auteur Michael Ende publie cette histoire en 1960. On peut y identifier une critique de la pédagogie noire nazie (l’école du dragon Frau Malzahn), c’est un plaidoyer contre toute forme de racisme (la victoire est assurée quand tout le monde est solidaire sans égard de sa couleur de peau) et c’est une histoire qui donne envie d’apprendre car il faut avoir beaucoup de connaissance pour surmonter les obstacles dans les avantures fantastiques.

    Les personnages caricaturent les stéréotypes de l’époque. Michael Ende exagère les images de l’exotisme à un point où il devient évident pour chaque petit lecteur qu’on se trouve dans un monde imaginaire où il faut être solidaire et dépasser les apparences afin d’avancer vers l’essence humain de chaque personne et activer ses qualités particulières.

    Ce sont deux livres courageux qui partent du principe que les jeunes lecteurs à partir de huit ans sont capables d’ironie et savent se faire leur propre idée du monde.


    Couverture du livre

    A partir de 1961 le théâtre de marionettes Augsburger Puppenkiste produit des adaptations de livres de Michael Ende. Elles connaissent un succès tel qu’en 19756 on filme tout une deuxième fois en couleurs.
    https://www.youtube.com/watch?v=UVisP596s3U


    A 18:20 on rencontre le petit dragon Nepomuk victime die discrimantion raciale.

    Le dessin animé inspiré par les livres est une production dépourvue de ces qualités libératrices. C’est une aventure comme tant dautres qui se passent parfois en espace, parfois dans un pays de fées et pour Jim Knopf les créateurs de la série transforment les paysages de Michael Ende en terrain d’aventure standardisé. J’étais decu quand je l’ai regardé dans les années 1990 et 2000


    Version dessin animé de télévison

    D’après les critiques que j’ai pu lire le film qui vient de sortir est nettement plus réussi que le dessin animé sans pour autant posséder la qualité du spectacle de marionettes ou du livre.


    Affiche du film.

    Le Tagesspiegel publie une polémique contre le livre écrit par une femme qui ne l’a pas lu dans son enfance et qui n’a rien compris à la qualité des illustrations qui ont été crées suivant les mêmes principes caricaturales qui ont servi de repère à l’auteur du texte. Dans sa vision on est confronté il s’agit d’images qui ressemblent aux caricatures du juif éternel dans un journal de propagande nazi. Quelle erreur tragique de prendre comme insulte une expression artistique différenciée et libératrice.

    Fanon nous a enseigné que dans le contexte colonial la violence est omniprésente et qu’un masque blanc cache toujours une identité noire opprimée. Jim Knopf ne porte pas de masque. Il est un jeune noir qui lutte contre les injustices et surmonte tous les obstacles qu’il viennent de ses propres limites ou qu’ils se présentent comme de terribles pirates marchands d’enfants.

    Enfin, nous parlons de livres d’enfants qui datent d’une époque quand le rythme de la société était plus régulier et plus calme qu’aujourd’hui. Les goût changent en fonction de la situation des parents qui ont de moins en moins de disponibilité pour lire des livres aux petits. La qualitité et l’intensité des impressions qui nous bombardent font que notre regard est bien souvent moins attentif, alors les dessins et histoires aux traits plus simples nous pariassent plus abordables.

    En même temps nous risquons d’appliquer un discours politique formaté aux oeuvres culturelles qui ne viennet pas de ce petit monde. Les dessins et expressions verbales compatibles avec le bon sens du monde des médias majoritaires sont normés et forcément incompatibles avec la fantaisie et l’émerveillement. On commet une erreur quand on utilise cette grille officielle pour catégoriser l’art.
    Après il est vrai que Michael End est mort et que notre regard sur ses oeuvres change. Il serait intéressant de commencer un échange sur ses histoires et leur rapport au monde d’aujourd’hui.

    23.03.18, Von Rose-Anne Clermont

    Als ich den Trailer zum neuen Film „Jim Knopf und Lukas der Lokomotivführer“ sah und ein völlig normal aussehender schwarzer Junge auf der Leinwand erschien, war ich erleichtert. Mir blieb die verstörende Karikatur erspart, die mich noch einige Jahre zuvor mit Glubschaugen aus dem Buch angestarrt hatte, das mein deutscher Mann unserem halbschwarzen Sohn vorlas. Damals sah ich auf dem Buchdeckel dieses Klassikers der deutschen Kinderliteratur einen dunkelhäutigen Jungen mit übergroßen Lippen, und ich fragte meinen Mann: „Wer zur Hölle ist das?“

    „Das ist Jim Knopf“, antwortete er mir. „Er ist die Hauptfigur des Buches, der Held der Geschichte.“ „Warum sieht er dann aus wie eine beleidigende Karikatur?“, fragte ich weiter. Ich stellte diese Frage später auch in meinem Blog, worauf mir zahlreiche Deutsche herablassend erklärten, was in Deutschland rassistisch ist und was nicht. Ich wurde immer wieder darüber informiert, dass meine Sensibilität im deutschen Zusammenhang unangemessen wäre, und dass meine Kritik eine Projektion aus amerikanischer Perspektive darstellen würde und insofern null und nichtig sei.
    Klassische deutsche Kinderliteratur?

    Deutsche Freunde versicherten mir, dass die Lektüre dieses Buches oder auch die des Buches „Die Kleine Hexe„ ihre Kinder ganz sicher nicht rassistisch beeinflussen würde. Ich fragte trotzdem weiter nach: „Wie würdet Ihr denken, wenn Eure Kinder schwarz wären?“ Ist das entscheidende Kriterium die rassistische oder nicht rassistische Absicht des Verfassers, oder die Tatsache, dass andersartige Personen verspottet oder beleidigt werden, und das auch so erleben? Offene Münder und lange Blicke bestätigten mir, was ich vermutet hatte: Menschen, die nie mit stereotypen Vorurteilen konfrontiert waren, können das mit dieser Erfahrung verbundene Gefühl nur schwer nachvollziehen.

    Eine schwarze Freundin von mir, die mit einem Deutschen verheiratet ist und deren Kind eine deutsche Schule in San Francisco besucht, schickte mir letztes Jahr eine verzweifelte E-Mail. Sie schrieb mir, dass ihre Tochter eine frühe Ausgabe eben dieses Buches mit Illustrationen eines schwarzen Jungen mit übertriebenen Rassemerkmalen nach Hause mitbrachte. Sie fragte mich um Rat, weil auch sie sich, als einzige schwarze Mutter an der Schule, mit ihrer Kritik nicht ernst genommen fühlte, und mit dem Hinweis, es handele sich um klassische deutsche Kinderliteratur, abgespeist wurde.
    Zeugnisse von Ausgrenzung

    Meine Freundin konnte sich mit ihren Einwänden schließlich Gehör verschaffen. In ihrer multikulturellen Schule fühlten sich auch Eltern mit anderem, z. B. asiatischem Hintergrund durch diverse „klassische“ deutsche Bücher beleidigt. Ihr deutscher Ehemann wurde beim Schulleiter vorstellig, andere Eltern unterstützten ihn und schließlich wurden die Bücher aus der Schulbibliothek entfernt.

    Ich bin nicht sicher, ob dieses Vorgehen die optimale Lösung des Problems darstellte. Als Schriftstellerin und Journalistin habe ich ein Problem mit Zensur und dem Verbot von Büchern. Aber ich glaube, dass problematische Literatur auf eine Weise verwendet werden kann und muss, die dem zeitgemäßen Kontext angemessen ist. Wem nützen museale Charakterdarstellungen in der Kinderliteratur, die am Leben erhalten, was wir heute mit gutem Grund als Zeugnisse von Ausgrenzung und Ahnungslosigkeit innerhalb unserer kulturellen Tradition betrachten?

    Augsburger Puppenkiste
    https://de.wikipedia.org/wiki/Augsburger_Puppenkiste#Die_1960er/70er

    https://de.wikipedia.org/wiki/Jim_Knopf_und_Lukas_der_Lokomotivf%C3%BChrer#%E2%80%9EJim_Knopf_und_di

    #Allemagne #enfants #racisme #littérature @supergeante

    • Cher @klaus, merci pour cette analyse.
      Ce que j’ai écrit il y a quelques semaines sur Jim Bouton devrait t’intéresser :
      http://seen.li/efac

      J’espère un jour pouvoir utiliser la figure de Monsieur #Tur_Tur dans un article scientifique ou de divulgation scientifique sur les #frontières.

      Petit anecdote vécu hier soir.
      Ma maman et sa cousine sont chez moi ces jours-ci, en visite. Fausta, sa cousine, et une maîtresse d’école primaire à la retraite. Elle vit et a travaillé à Lamone, au Tessin, en Suisse. On a parlé de Jim Bouton et elle a voulu que je lui passe le livre pour qu’elle le lise ces jours-ci.
      Elle a commencé à le lire, et elle est enthousiaste.

      Mais hier soir elle m’a dit : « Je crois savoir pourquoi aujourd’hui, on n’utilise plus ce livre à l’école, pourquoi on ne le propose pas comme lecture en classe. Et pourquoi du coup moi non plus, je ne le connais pas. Car si on le proposait aujourd’hui, certainement des parents d’élèves feraient de cette lecture une polémique. Trop actuel, trop parlant sur ce qui se passe aujourd’hui. Si on lisait ce livre en classe et que les élèves iraient en parler aux parents, les parents seraient chez nous le jour suivant pour nous réprimander sur le choix de nos lectures ».

      #école #éducation #pauvre_monde #tristesse_infinie #livre #livres_pour_enfants #livre_pour_enfants #Michael_Ende #Jim_Knopf #Jim_bouton

    • Je ne croyait pas que la culture solaire avait dégénéré à ce point.

      Si on lisait ce livre en classe et que les élèves iraient en parler aux parents, les parents seraient chez nous le jour suivant pour nous réprimander sur le choix de nos lectures

      Dans le cas présent ce sont sa bêtise pure et simple et un reflexe conditionné qui ont poussé l’auteur à nous livrer une dénonciation dont ses connaissances personnelles ne mesuraint pas l’importance. C’est la partie la plus intéressante du texte quand elle raconte les réactions de ses amis à son aggression contre les pauvres dessins.

      Pour mois il est important de savoir si on peut encore vendre du contenu solidaire, antiraciste et internationaliste aux enfants, c’est à dire aux parents qui doivent ouvrir leur porte-monnaie pour payer. Actuellement c’est en cliquant sur « J’achête » quil’s décident sur le contenu des livres qu’ils vont donner à leur progéniture, enfin s’ils leur achètents encore des livres. Ceci rajoute un élément de spontanéité à l’acte de l’achat. D’après ce que tu racontes et en analysant la polémique on risque de ne plus nous adresser à un public qui décide « aujourd’hui j’irai acheter de bons livres pour les gamins » mais à des gens qui surfent pendant la pause de midi ou qui sont en train de discuter entre mères la qualité du café latte dans tel ou tel café branché de Berlin-Prenzlauer-Berg . Il faudra trouver des dessins et titres qui feront doucement passer le message anticapitaliste, pacifiste et solidaire sans effrayer ces petites bourgeoises sensibles.

      En 1960 Michael Ende pouvait se permettre de faire passer son message d’une manière plus crue. La fin de la guerre et la déstruction des villes allemandes faisait partie d’un passé plus proche que le naufrage de la RDA / #DDR aujourd’hui. A 15 ans de la guerre on venait juste de nettoyer les villes des debris des maisons effondrées sous le bombes. Les trous entre les immeubles restés debout laissaient une vue libre sur le monde.

      Là nous arrivons à une distance de 75 ans de la guerre qui nous effraye quand nous assistons à l’arrivée des rescapés des villes détruites du Levant. C’est le moment de remettre les pendules à l’heure et de redécouvrir le riche héritage de la génération aui a directement souffert du nazisme. Ils n’ont été qu’une minuscule minorité à avoir eu la conscience, la force et le courage de créer des oeuvres anti-militaristes pour les gamins après 1945, et nous sommes dans l’obligation de nous inspirer de leur travail pour prévenir le pire et monter un avenir plus heureux pour nos enfants.

      Le théâtre de marionettes Augsburger Puppenkiste et quelques rédactions de la télévison publique ont contribué à populariser ces oeuvres. Pour eux les gens qui portent des armes sont comme dans les témoignages de mon père : Tous des idiots sanglants.

      Jim Knopf de Michael Ende est l’histoire la plus populaire de joueurs de marionettes, mais c’est Max Kruse l’auteur le plus décidément antimilitariste et prolifique mis à l’écran par eux.

      Der Löwe ist los (1965) ridiculise l’armée.
      https://de.wikipedia.org/wiki/Der_L%C3%B6we_ist_los

      Blechbüchsenarmee der Augsburger Puppenkiste
      https://www.youtube.com/watch?v=8gvUajO7xPI

      Augsburger Puppenkiste - Gut gebrüllt Löwe (Folge 2 - Der Zweikampf)

      Urmel aus dem Eis (1969) est une série de pamphlets contre les chasseurs colonialistes
      https://de.wikipedia.org/wiki/Urmel_aus_dem_Eis
      https://www.youtube.com/watch?v=uf6yVWqQYUs

      Don Blech und der goldene Junker (1973) dénonce le phantôme de la guerre.
      https://de.wikipedia.org/wiki/Don_Blech_und_der_goldene_Junker

      Vorwärts! Die Straße frei! Mit Blechgeschäpper und Kriegsgeschrei
      Wir reiten nun über das Land
      Und setzen die Welt in Brand
      Ja, das ist eine Wonne
      Für Junker Hohlkopf und Scheppertonne
      Und sind auch die blechernen Hüllen lehr
      Wir jagen den Frieden vor uns her
      und werfen den Speer

      Vorwärts! Die Straße frei! Mit Blechgeschäpper und Kriegsgeschrei
      Und wenn uns nur einer sieht
      Erschreckt er sogleich und flieht
      Ja, das ist eine Wonne
      Für Junker Hohlkopf und Scheppertonne
      Wir jagen den Frieden vor uns her
      Und niemand stellt sich uns zur Wher
      Da ist es nicht schwer

      Vorwärts! Mit Kriegsgeschrei, mit Blechgeklapper und Schockerei
      Verbreiten wir Kummer und Not
      Und bringen Verderben und Tod
      Ja, das ist eine Wonne
      Für Junker Hohlkopf und Scheppertonne
      Wenn alles flieht, dann freu’n wir und sehr
      Wir jagen den Frieden kreuz und quer
      Im Tiefen Meer

      VICTORIA!

      On peut tous les acheter sur DVD et s’amuser à les regarder avec les petits ou se procurer les livres.


      Avec t Emil i Lönneberga (Michel aus Lönneberga), Fifi Brindacier (Pippi Langstrumpf) et Karlsson på taket (Karlsson vom Dach) d’Astrid Lindgren ils forment la bibliothèque d’enfants canonique de base pour une éducation libre et joyeuse.

      La littérature pour enfants qui défend une perspective libératrice a toujours été la cible d’aggressions par le droite. La protection des enfants est pour eux un cheval de guerre dans leur défense de la morale et de la famille traditionnelle.
      https://de.wikipedia.org/wiki/Astrid_Lindgren#Schriftstellerin_und_Lektorin

      Oetinger gab Pippi Langstrumpf in der Bundesrepublik Deutschland heraus, obwohl das Buch zu diesem Zeitpunkt sogar in Schweden noch stark umstritten war und zuvor von fünf anderen deutschen Verlagen abgelehnt worden war. Da er später auch alle weiteren Werke Lindgrens verlegte, wurde sein Verlag zum Wegbereiter skandinavischer Kinderliteratur in der Bundesrepublik Deutschland. Seine Tochter Silke Weitendorf berichtet in einem Interview, als Reaktion auf das Erscheinen Pippi Langstrumpfs auf dem deutschen Markt habe es Lob und Kritik gegeben. So seien von Rezensenten Bedenken geäußert worden, Pippi sei nicht „normal“ und ein schlechtes Vorbild für Kinder.

      Im April 1966 wurde in Berlin-Spandau die erste Schule nach ihr benannt. Heute tragen mehr als 150 Schulen ihren Namen, ebenso viele Straßen.

    • Encore une fois #merci @klaus !
      Malheureusement, j’ai l’impression que les livres de #Max_Kruse ne sont traduits ni en italien ni en français
       :-(
      Je lis l’allemand, mais c’est quand même pas si agréable que ça pour moi de lire en allemand, ne l’ayant fait que très rarement... Mais c’est peut-être l’occasion de m’y remettre !

    • Max Kruse en Bibliothèque rose

      Plodoc le diplodocus - Série - nooSFere
      https://www.noosfere.org/icarus/livres/serie.asp?numserie=2585

      La Bibliothèque rose n’a jamais eu la réputation de publier des ouvrages de très bonne qualité, ni même d’en surveiller la qualité d’écriture et d’illustration. Pourtant, par un de ces rares bonheurs de l’édition, une partie des Plodoc de Max Kruse (cinq volumes sur onze) est parvenue jusqu’au lectorat français dans une version soignée. Car il s’agit de romans allemands, publiés en RFA à partir de 1969, traduits par Michèle Kahn (devenue depuis écrivain pour la jeunesse) et publiés par Hachette entre 1974 et 1977.

       Le professeur Habakouk Tibatong habitait autrefois dans une petite maison de la ville universitaire de Blablatenstadt, en compagnie de son fils adoptif Tim. Ils s’enfuirent un jour pour l’île Titiwou, lorsque la municipalité décida de replacer Tim dans un foyer plus sérieux. Il faut dire que les expériences du professeur Tibatong (personnage de savant lunatique tout à fait typique d’une certaine imagerie populaire) quant à l’apprentissage de la parole aux animaux n’étaient pas toujours considérées d’un très bon oeil à Blablatenstadt : avoir une truie qui parle en guise de gouvernante n’était pas apprécié de tous les bourgeois. Au nombre des habitants de Titiwou peuvent également se compter un varan, un pingouin, un morse (quoi qu’il reste plutôt sur son rocher, au large), un pélican, et... un jeune dinosaure ! Ce dernier, Plodoc (Urmel dans la V.O.), arriva sur l’île sous la forme d’un oeuf resté bloqué dans un morceau d’iceberg, qui avait dérivé jusque là...

       Les protagonistes de cet univers pas franchement rationnel mais tout à fait réjouissant sont tous typés de façon marquée, d’une part par leur caractère (la truie est particulièrement amusante, caricature qu’elle est de nombreux humains style concierge ou femme de ménage), d’autre part par leur langage. Car Tibatong n’a pas résolu quelques problèmes liés aux palais de ses amis : le varan met des V partout, le morse sème ses phrases de O, le pingouin chéchaille, la truie ronfle et le pélican a l’accent d’un Italien d’opérette (la traductrice s’est visiblement bien amusée).

       En cinq volumes (pour la V.F.), Max Kruse a construit un petit monde gentiment délirant, bourré d’un humour facétieux et aimablement non-conformiste (voir par exemple le roi Zéro). C’est un illustrateur talentueux, Daniel Billon (élève de Jean-Claude Forest et auteur lui-même de quelques bandes dessinées), qui fut chargé d’accompagner ces textes, et il le fit avec exactement le grain de folie qui convenait : son style faussement « relâché », rococo et vaguement rétro, entre Forest et Steadman, collait formidablement à l’imaginaire de Kruse. Écrivain assez prolifique, Max Kruse (né en 1921) est également connu en Allemagne pour des séries historiques et pour la tétralogie In weiten Land der Zeit, retraçant l’évolution de l’humanité.

    • What is a border region ?

      A border region is not simply the extreme part of the sovereign territory of two or more neighbouring countries divided by a fixed jurisdictional line that separates them. It is here defined as a special area of fluxes and exchanges of a social, cultural, economic and political nature, a space where the development of multiple activities takes place and where the type and intensity of transactions have evolved in time.

      http://repositorio.ul.pt/bitstream/10451/6856/1/ICs_LSousa_Understanding_ARI.pdf

      voici une réponse typiquement turturienne... :-)

  • Nel mare ci sono i coccodrilli

    In questo libro Fabio Geda scrive la storia di Enaiatollah Akbari. Costui è un ragazzo afghano e appartiene alla minoranza degli Azara considerata inferiore in particolar modo dai talebani che hanno come loro obiettivo quello di colpirli. Egli racconta come suo padre sia morto, stava lavorando per un ricco signore, il cui carico del camion che guidava è andato perduto e Enaiatollah doveva esserne il risarcimento. Ad ogni ora del giorno i talebani bussano alla porta e lui deve correre a nascondersi. Ma sta diventando troppo grande per la buca in terra che sua mamma gli ha scavato nel campo di grano dietro casa. Così, un giorno, gli dice che deve intraprendere un lungo viaggio .

    All’età di undici anni la madre lo trasferisce in Pakistan, a Quetta, ed è qui che gli fa promettere di non rubare, di non drogarsi e di non usare armi. Poi, prima di lasciarlo, gli da un ultimo bacio in fronte.

    Quando il mattino Enaiatollah si sveglia e cerca sua madre, non trovandola, chiede notizie al portinaio del dormitorio che gli risponde che è ritornata a casa. Il ragazzino ci rimane male, deve trovare un lavoro e riesce a convincere il portinaio ad assumerlo. Dopo tanti giorni di lavoro, incontra un signore che nota la sua bravura e l’intelligenza e gli propone di lavorare per lui. Enaiatollah deve comprargli la merce e poi venderla per la città. Il giorno dopo si mette a lavorare per le strade del Pakistan. Continua così finché non conosce un gruppo di ragazzini nelle sue stesse condizioni. Loro vogliono partire per arrivare in Iran e col cuore ricco di speranza, Enaiatollah si unisce a loro. Tra questi c’era anche Sufi. Dopo una settimana di ricerca vengono assunti come muratori in un cantiere dove costruivano case per i signori. Una volta arrivati il controllo della polizia e il ragazzino rischia di essere rispedito in Afghanistan. Allora il suo amico Sufi, preso dalla paura dei poliziotti, decide di andare in Iran e Enaiatollah dopo qualche giorno, lo raggiungerà. Anche lì trovano lavoro come muratori, nel cantiere li pagano bene e il venerdì, che era il loro unico giorno libero, come tutti gli altri bambini vanno a giocare. Enaiatollah conosce un altro gruppo di ragazzini che gli propone di andare in Turchia. Lui accetta ma Sufi decide di rimanere in Iran. Si salutano nella speranza che si possano rincontrare. I ragazzi attraversano a piedi le montagne per circa un mese e vivono al freddo con la paura dei lupi. Per non essere scoperti dalla polizia si nascondono per tre giorni di viaggio nel cassone di un camion con un doppio fondo alto poco più di cinquanta centimetri che li porta in Turchia. Scesi dal camion gli fanno male le gambe, la schiena e tutte le ossa poiché sono state in una posizione scorretta. Senza fare la pipì e senza bere e mangiare. Questo gli portò una grave infezione urinaria, e perde sangue per molti giorni. In Turchia vivono sotto un ponte, e la ricerca di un lavoro è vana, così Enaiatollah e i suoi amici partono di notte con un gommone, a remi, per la Grecia.


    https://it.wikipedia.org/wiki/Nel_mare_ci_sono_i_coccodrilli

    #livres_pour_enfants #livre #migrations #asile #réfugiés #réfugiés_syriens #parcours_migratoire #itinéraire_migratoire #livre_pour_enfants

    • “Eux, c’est nous” sensibilise les #jeunes à la situation des réfugiés

      À l’initiative d’une réflexion collective menée par plus de 40 grands éditeurs jeunesse, “Eux, c’est nous” amène les plus jeunes à réfléchir sur les problématiques migratoires, tout en les incitant à porter un regard bienveillant sur les personnes réfugiées. L’écrivain Daniel Pennac, déjà connu pour son engagement associatif, signe une nouvelle édition de ce livre d’une trentaine de pages illustré par Serge Bloch et préfacé par Christophe Deltombe, président de l’association La Cimade.

      Un livre porteur d’espoir et de solidarité

      Eux c’est nous est un ouvrage unique en son genre : rares sont les livres qui s’adressent aux plus jeunes en traitant d’une thématique aussi complexe que celles des réfugiés et des migrants. Souvent construits autour d’un portrait d’enfant, les quelques ouvrages livres sur le sujet traitent rarement la question de manière frontale, ou préfèrent s’adresser aux parents, à l’image du Petit guide de survie : répondre aux préjugés sur les migrations (éditions ritimo).

      Paru symboliquement en librairie le 20 novembre, Journée internationale des droits de l’enfant, la nouvelle édition du livre Eux, c’est nous, trois ans après sa première version, a été distribuée dans les écoles primaires, collèges, lycées et bibliothèques jeunesse. L’objectif : sensibiliser les jeunes à la situation des réfugiés, en leur expliquant de manière pédagogique le contexte et les enjeux du défi migratoire que connaît l’Europe depuis quelques années.

      Ce livre se veut être un outil pédagogique et un support de discussion pour inviter les jeunes à la réflexion avec leurs professeurs, leurs parents ou d’autres adultes. Comme lors de la première édition, l’intégralité des bénéfices de l’ouvrage, disponible en librairie au prix de 3 euros, sera reversée à La Cimade, une association qui œuvre pour aider les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile dans leurs démarches administratives.

      Un ouvrage collectif porté par l’engagement de Daniel Pennac

      L’écrivain Daniel Pennac, déjà connu pour son engagement envers les réfugiés (il soutient notamment l’association SOS Méditerranée et a participé aux levées de fonds pour les missions de son bateau l’Aquarius), a pris la plume bénévolement pour rédiger ce livre de 32 pages. Un engagement naturel, pour celui qui est né au Maroc dans les années 1940 et qui a vécu sa jeunesse sur plusieurs continents.

      Ancien professeur de français, Daniel Pennac se fait conteur et historien pour rappeler à ses jeunes lecteurs toutes les vagues migratoires accueillies par la France depuis plus d’un siècle. “Et ce sont eux, tous ces réfugiés du vingtième siècle, jugés chaque fois trop nombreux, qui font, avec nous, la France d’aujourd’hui”, souligne l’écrivain.

      Les auteures jeunesse Jessie Magana et Carole Saturno présentent ensuite un lexique pédagogique, construit autour des huit lettres du mot “Réfugiés” : Réfugié, Étranger, Frontière, Urgence, Guerre, Immigration, Économie, Solidarité. Les illustrations de Serge Bloch, simples mais frappantes, viennent compléter cet ouvrage engagé et solidaire.

      http://www.carenews.com/system/article/b9a33f884f3b8f60236486e97c4a6814d4c480bd.png?1546508392
      http://www.carenews.com/fr/news/12154-livre-eux-c-est-nous-sensibilise-les-jeunes-a-la-situation-des-refug

    • Pour adolescents à partir de 13 ans

      #Les_Étrangers

      Basile sait que de nombreux migrants passent dans la région. Il a entendu parler des camps et des trafics, des jeunes gens qui s’accrochent sous les camions et en meurent parfois. Il sait tant et tant de choses qui le concernent si peu ! Tout change lorsqu’il croise quatre garçons dans une gare désaffectée. Ils sont à cran, ils se cachent, la police les cherche depuis qu’ils ont fui le centre pour mineurs isolés.
      Quand l’un d’entre eux se fait enlever par des passeurs, Basile n’a plus le choix. Il s’embarque dans une nuit sans fin à la recherche de ce garçon qu’il ne connaît pas, cet étranger, prisonnier de la mafia.

      https://www.ecoledesloisirs.fr/livre/etrangers

  • Le choix de polluer
    http://www.laviedesidees.fr/Le-choix-de-polluer.html

    Dans une synthèse inédite d’histoire mondiale, François Jarrige et Thomas Le Roux explorent les sources politiques et scientifiques des pollutions et montrent que leur #mondialisation à l’âge industriel n’avait rien d’inéluctable.

    Livres & études

    / mondialisation, #environnement, #pollution, #industrialisation

    #Livres_&_études

  • Épistémicides. L’impérialisme m’a TueR
    https://www.youtube.com/watch?v=zK6hegi_wHE


    #épistémicide #Fatima_Khemilat
    #impérialisme #ethnocentrisme #post-modernisme #livres_d'histoire #histoire #sciences_non-occidentales #privilège_de_l'épistémè #cogito_ergo_sum #légitimité #disqualification #discrimination

    épistémicide = tuer la #science

    #Etat-nation -vs- #tribus #ethnies
    #civilisation -vs- #barbarie
    #culture -vs- #folklore #exotisme
    #mythes -vs- #croyance #religion
    #domination #pouvoir

    Citation de #Norbert_Elias :

    « La civilisation c’est la prise de conscience par les occidentaux de la supériorité de leur culture et de leur savoir sur les autres »

    La #découverte_de_l'Amérique...

    #reconquista #prise_de_grenade #chute_de_grenade

    #contreverse_de_Valladolid :

    La controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de #Las_Casas et le théologien Juan Ginés de #Sepúlveda en deux séances d’un mois chacune (l’une en 1550 et l’autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid, mais principalement par échanges épistolaires. Ce débat réunissait des théologiens, des juristes et des administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu’elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience.
    La question était de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser le Nouveau Monde et dominer les indigènes, les Amérindiens, par droit de conquête, avec la justification morale pouvant permettre de mettre fin à des modes de vie observés dans les civilisations précolombiennes, notamment la pratique institutionnelle du sacrifice humain, ou si les sociétés amérindiennes étaient légitimes malgré de tels éléments et que seul le bon exemple devait être promu via une colonisation - émigration.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_de_Valladolid

    #eugénisme #racisme #pureté_de_sang

    #objectivité_de_la_science

  • Tous collectionneurs !
    http://www.laviedesidees.fr/Tous-collectionneurs.html

    Luc Boltanksi et Arnaud Esquerre invitent à repenser les mécanismes sociaux de production de la valeur et soulignent l’importance du fait de constituer des collections dans la dynamique des #inégalités qui caractérise nos sociétés. En s’interrogeant sur les formes et enjeux de la marchandisation et de la formation des prix dans nos sociétés, ils montrent que l’insertion dans une #collection enrichit un bien.

    Livres & études

    / inégalités, #richesse, collection

    #Livres_&_études

  • Comment peut-on être certain ?
    http://www.laviedesidees.fr/A-propos-de-Marcos-Gleizer-Verite-et.html

    Peut-on interpréter les philosophes classiques à la lumière de la philosophie analytique contemporaine ? C’est le défi que relève avec brio M. Gleizer à propos de la conception spinoziste de la vérité et de la certitude, même si ce rapprochement peut laisser perplexe, sinon sceptique.

    Livres & études

    / vérité, #scepticisme, objectivité

    #Livres_&_études #vérité #objectivité

  • La patrie de l’égalité
    http://www.laviedesidees.fr/La-patrie-de-l-egalite.html

    Quand beaucoup voient l’Amérique comme une terre de liberté, Sean Wilentz s’interroge sur la passion pour l’égalité états-unienne. Il pose ainsi un nouveau regard sur la vie politique du pays et sur la profonde opposition aux partis qui s’y rejoue périodiquement.

    Livres & études

    / #parti_démocrate, égalité , #parti_politique

    #Livres_&_études #_égalité_

  • Grandes entreprises, petits arrangements
    http://www.laviedesidees.fr/Grandes-entreprises-petits-arrangements.html

    Alors qu’un dispositif inspiré de la procédure de plaider coupable vient d’être introduit en France, B. L. Garrett montre les avantages et les limites de cette pratique aux États-Unis. Si elle accélère le processus judiciaire et minimise les risques de déstabilisation de l’économie, les sanctions qui en résultent, souvent faibles, ne reflètent pas la gravité des transgressions commises.

    Livres & études

    / #entreprise, #justice, #corruption

    #Livres_&_études