#lofofora

  • Vive ma liberté - #lofofora lyrics : Arno Hitjens
    https://www.youtube.com/channel/UCHoLcq_fhUH11gpL6cPs69Q
    https://yt3.ggpht.com/ytc/AKedOLSio4btClrZYmMEfSbNQUQMk7RCm-RQZJeXPP-yeA=s900-c-k-c0x00ffffff-no-rj

    Quel bruit fait mon cerveau quand je pense à rien Je n’suis pas malheureux mais je n’suis pas bien Merci, bonjour, salut, ça va ? Je suis jaune, vert, bleu, lilas La vie des autres c’est pas une vie pour toi Je chante une chanson de n’importe quoi Vive ma liberté, yeh, yeh, yeh Vive ma liberté, yoh, yoh, yoh Vive ma liberté, yeh, yeh, yeh Vive ma liberté Aili ailo je ne suis pas méchant Mais le pire de tout je suis content Je suis des boules de pétanque Qui se touchent en dansant le tour des romances La vie des autres c’est pas une vie pour toi Je chante une chanson de n’importe quoi Vive ma liberté, yeh, yeh, yeh Vive ma liberté, yoh, yoh, yoh Vive ma liberté, yeh, yeh, yeh Vive ma liberté Je chante une bête chanson à la française Avec des mots bêtes et artificiels Avec des mots branchés et intellectuels Je chante une bête chanson à la… Vive ma liberté, yeh, yeh, yeh Vive ma liberté, yoh, yoh, yoh Vive ma liberté, yeh, yeh, yeh Vive ma liberté Pour toi et le monde entier Pour toi et le monde entier.


    https://www.lofofora.com/medias

  • Concerts Regarde Les Hommes Tomber, The Great Old Ones, Hypno5e, Showcases, USé, Wild Classical Music Ensemble, Pleasure Principle, La Rumeur, Kacem Wapalek, Melan, Showcases, Jim Murple Memorial, The Ready-Mades, Showcases, LA JIMI - FESTIVAL DE MARNE
    https://jimifestivaldemarne.org/concerts
    https://jimifestivaldemarne.org/images/la-jimi-2020.jpg
    https://www.youtube.com/watch?v=DNMCGJPupPo


    https://www.facebook.com/jimi.festivaldemarne

    C’EST LA CA-TA ! Finito les concerts...

    Enfin pas tout à fait. La Laiterie à Strasbourg a testé un concert debout avec une jauge complète à 60 personnes au lieu de 870 en temps normal. Autant dire que le résultat a été mitigé. D’un point de vue financier d’abord, car il est impossible de s’en sortir avec seulement de la billetterie. Ensuite au niveau de l’ambiance. Toute personne ayant vécu un concert inoccupé au 4/5ème, avec un écart de 2 mètres entre chaque personne, un demi-cercle vide de 3 mètres devant la scène et un groupe se démenant tant bien que mal pour accrocher en vain le public sait de quoi nous parlons. Le public est aussi le concert !

    Nous aimons bien la démarche de la Gare jazz à Paris. Un concert d’une chanson, un spectateur, 100 concerts par soir. Plutôt que d’adapter le concert au protocole sanitaire, ils ont adapté le concept du concert au protocole sanitaire. Ce n’est pas tout à fait pareil. Malin.

    Nous sommes cependant loin d’un modèle viable pour le secteur. Artistes, labels, tourneurs, salles de spectacle, festivals, techniciens, médias, attachés de presse... le château de cartes commence à s’effondrer et ça ne va pas être joli joli.

    Qu’en est-il pour les indés ? Vont-ils survivre à cette crise ? Sont-ils une espèce en voie de disparition ? Enquête.

    Tout d’abord la majorité des indés ne gagnait pas beaucoup d’argent avant la crise. Ils ne vont donc pas en perdre beaucoup après ! Pas de bureaux, pas d’employés, pas de voitures de fonction, autant de charges fixes inexistantes pour la bourse de nos indés ! Manger des pâtes ça les connaît. Ils en ont un stock pour 6 mois à côté de la montagne de flyers non distribués en 2016 (qui peut servir de papier toilette en dernier recours – aie, non ça fait mal !).

    Leurs concerts avaient une jauge de 100 personnes, elle sera désormais complète à 10. Du coup pas de changement à signaler de ce côté-là si ce n’est l’opportunité de pouvoir écrire sur la bannière Facebook annonçant les dates de tournées le mot « COMPLET » à plusieurs reprises. La classe !

    Concernant les dates qui n’auront simplement pas lieu, c’est la chance de faire des « live stream » devant une fan base « otage » des réseaux sociaux. Pour l’indé que du bonheur : pas de transport en camion (éco-responsabilité), pas de sandwich triangle sur l’autoroute, pas d’attente interminable entre les balances et le concert, pas d’obligation à parler aux fans au merchandising après le show. Ouf ! L’accès aux grands médias ? Là aussi peu de changements, toujours inexistant.

    Mais l’aspect le plus positif c’est certainement tout ce temps libre à disposition. Il sera parfait pour écrire le nouvel album concept qui taraude notre indé depuis tant d’années : une œuvre de 47 chansons de 38 secondes, ode au temps qui passe. Parfait aussi pour réfléchir à une nouvelle orientation stratégique de son label sweet-surf-pop-indus vers l’electro-euro-trap-à-souris pour évoluer avec son époque.

    En résumé, les indés post-covid seront comme les cafards après une explosion nucléaire : toujours là.

    Blague à part, les temps vont être rudes. Nous souhaitons beaucoup de courage à tous les acteurs du secteur. Serrons-nous les coudes et serrons bien les fesses !

    Dans l’attente de pouvoir sentir votre sueur aigre dans un pogo festif sous une pluie de pintes renversées, veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de notre profond respect.

    L’ÉQUIPE DE LA JIMI

    #concerts #musique

  • https://youtu.be/VbWFoAnaz6E

    Pour ceux qui découvrent ou feignent de découvrir le visage de l’Amérique après l’élection de Trump un petit rappel musical qui date de 1995

    http://quartierslibres.wordpress.com/2016/11/09/lofofora-nouveau-monde

    Everybody came here as free people
    Is only the African’s American men and women and child
    That came to the United States of America
    As slaves
    Sous le firmament éclatant d’une #bannière_étoilée s’évaporent les rêves des pionniers
    Epatés par tant de réussites de destins fantastiques
    Des mecs bénis des dieux pourtant pas plus malins qu’eux
    Sont montés si haut sans jamais faire appel aux génies aux malins
    Par prière lystiques ici c’est l’Amérique, la chimérique
    Celui qui a parlé sera châtié pour ne plus recommencer
    Pendu par la tête jusqu’à ce que mort s’en suive
    Ecartelé s’il récidive a la première tentative de la moindre initiative,
    Vous sera ôté le droit de voter pour élire en chœur
    Au suffrage universel un président plus con et plus cruel que le précédent,
    Déjà grand défenseur de la chaise électrique, hygiénique, économique
    Grand sauveur d’âmes égarées, de corps vautrés dans la luxure
    Tout juste bon à engendrer la pédophilie ;
    Merci Ronnie d’avoir interdit la fellation la sodomie
    USA est-ce que tu sais #USA combien je te hais
    USA tu me fais l’effet d’une pute asexuée
    Passé maître dans l’art et la manière de se comporter comme un flic planétaire
    Il s’agit d’un pays bâti à partir d’un génocide par des esclaves anéantis mas néanmoins lucides
    Qu’ils restent les premières victimes d’une dictature placide
    Mais quel est l’exemple à suivre dans cette parodie de démocratie ???
    On me dit : « le ku klux klan ? Mais voyons c’est du folklore
    Rien qu’une pittoresque partie du décor les nègres ont les aime bien
    Mais depuis qu’il n’y a plus d’indiens pour faire de l’exercice on en pend quelques uns
    Appeler ça du fascisme, la ce serait du vice la preuve : a la télé, y en a qui réussissent
    Bill Cosby, Eddy Murphy, Sammy d’Oncle Sam sont aussi les fils »
    Don’t worry be happy !!!
    Et le peuple noir brûle son dernier espoir dans le but d’écrire lui même son histoire
    Mais comment faire pour qu’il efface les coups et les traces
    Sans aucune certitude d’en voir un jour la fin
    Ce qui compte avant tout c’est d’avoir la bonne couleur ou t’es pile ou t’es face,
    Tout est question de race tu es le suspect n°1 su tu n’est pas des leurs
    USA est-ce que tu sais USA combien je te hais
    USA tu me fais l’effet d’une pute asexuée
    Paradis des cow-boys Shwarskof et Buffalo Bill
    Maboules mitrailleurs de poules éleveurs de pit bulls
    Toute l’intelligence Américaine tient dans un holster
    Pendant que l’un dégaine l’autre apprend à se taire
    Etat totalitaire détenteur de la vertu aux parties de jambes en l’air
    Préfère les jeux ou l’on tue si l’un tombe il s’agit surement d’un communiste fainéant
    Sur ça tombe on écrit : pas de place aux mendiants
    La dope ou le plomb reste le choix de l’expédiant
    Parce que la coke ou le crack c’est pas ça qui manque pourvu que tu banques
    Pendant qu’en Irak les tanks débusquent de leurs planques les ennemis de la coalition
    Association des amis de la nation performante, surpuissante
    La tempête à Bagdad en est la preuve flagrante
    America is the place love is dying
    America is the place where death is dreaming
    USA est-ce que tu sais USA combien je te hais
    USA tu me fais l’effet d’une pute asexuée.

    #lofofora