• L’IA a tendance à opter pour la violence et les frappes nucléaires dans les simulations de guerre, révèle une étude
    https://trustmyscience.com/ia-tendance-opter-violence-frappes-nucleaires-simulations-guerre

    L’adoption de l’IA dans les stratégies militaires et diplomatiques s’accompagne d’un potentiel d’escalade conflictuelle, révèle une étude. Les résultats montrent que les simulations de guerre utilisant des agents IA autonomes ont une tendance à l’escalade, y compris vers l’usage d’armes nucléaires — avec des justifications parfois troublantes. Face à ces constats, les chercheurs insistent sur la nécessité d’adopter une approche mesurée et réfléchie quant à l’intégration de l’IA dans les processus décisionnels liés à la sécurité et à la défense.

    #selon_une_étude_récente #it_has_begun et #skynet_existe déjà

    Juste pour de rire, le paragraphe de conclusion, où on te dit que OpenAI autorise les usages militaires, sauf si ça devient trop méchant. Très #lol.

    Récemment, OpenAI a adapté sa politique pour permettre l’usage de ses technologies dans le secteur militaire, à la stricte condition de ne pas causer de préjudice aux individus et d’éviter la création d’armements. Toutefois, l’étude souligne les dangers liés à l’emploi de l’IA générative dans le conseil et la gestion de l’information. Des collaborations entre OpenAI et les forces armées seraient en cours, notamment dans le domaine de la cybersécurité.

  • L’Azerbaïdjan nomme le ministre Mukhtar Babayev, ancien de la compagnie pétrolière nationale, président de la COP29
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/lazerbaidjan-nomme-le-ministre-mukhtar-babayev-ancien-de-la

    AFP parue le 05 janv. 2024 - 13h39

    L’Azerbaïdjan a nommé son ministre de l’Ecologie et des Ressources naturelles Mukhtar Babayev, ancien de la compagnie pétrolière Socar, comme président de la 29e conférence de l’ONU sur le climat, qui se tiendra en novembre à Bakou.

    Le #lol, je te dis pas.

  • Et maintenant au tour du Sud de Gaza.

    #Gaza : L’armée israélienne appelle les habitants de certains quartiers de #Khan_Younès à évacuer | Moyen-Orient
    https://www.yenisafak.com/fr/international/gaza-larmee-israelienne-appelle-les-habitants-de-certains-quartiers-de-kh

    Le texte du communiqué a explicité l’avertissement : « Aux habitants des quartiers orientaux de Khan Younès, Al-Qarara, Khuza’a, Bani Suhaila et Abasan, pour votre sécurité, vous devez évacuer immédiatement votre lieu de résidence et vous rendre dans les abris connus ».

    Il convient de noter qu’il n’y a pas d’abris dans la bande de Gaza et qu’il n’y a aucun endroit sûr à cause des bombardements israéliens qui s’étendent sur toute la bande.

    L’armée a affirmé dans son message que « les actions du Hamas » l’obligeaient « à agir dans votre zone de résidence », sans fournir de plus amples précisions. La radio militaire a déclaré que des discussions se tiennent autour d’"une étape importante qui indique une expansion attendue des opérations de l’armée israélienne" vers le sud de la bande de Gaza.

    #génocide

  • Faites vos premiers pas avec #LaTeX, un système de préparation de documents conçu pour produire des documents de grande qualité.

    https://www.learnlatex.org/fr

    Les objectifs de Learn LaTeX

    Ce site web a pour but de vous aider à faire vos premiers pas avec LaTeX, un système de composition de documents conçu pour produire des documents de grande qualité. LaTeX peut faire un peu peur aux nouveaux utilisateurs car il ne ressemble pas à un traitement de texte, et parce qu’il n’est pas constitué d’un programme unique. Notre objectif est de vous aider à démarrer, sans forcément tout vous montrer d’un seul coup.

    Pour ce faire, nous avons pris 16 des concepts les plus importants dont vous aurez besoin, et nous les avons transformés en 16 courtes leçons. Chaque leçon est très ciblée, et ne devrait donc pas prendre trop de temps à suivre. Dans chaque leçon, nous avons donné des exemples de ce que vous pourriez avoir à écrire, et vous pourrez tester ces exemples directement en ligne. Pour en savoir plus sur le fonctionnement des exemples, consultez l’aide.

  • Covid-19 : la surveillance des eaux usées intégrée aux indicateurs épidémiques
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/10/05/covid-19-la-surveillance-des-eaux-usees-integree-aux-indicateurs-epidemiques

    Dans la boîte à outils de SPF pour la surveillance du virus, Sum’Eau va rejoindre trois autres indicateurs employés de longue date : les passages aux urgences et les hospitalisations rapportés par le réseau Oscour, les signalements émanant des associations SOS médecins, et le réseau Sentinelles qui fait remonter les cas signalés par des médecins libéraux.
    Dès le début de la pandémie, des chercheurs ont exploré la possibilité de suivre la circulation du SARS-CoV-2 à partir de la présence du virus dans les selles humaines et donc dans les eaux usées. La France a fait partie des pays pionniers en la matière, avec le réseau de chercheurs Obépine qui a publié des données entre l’été 2020 et le printemps 2022, issues de 200 stations d’épuration représentant 40 % des Français. Des membres d’Obépine ont d’ailleurs participé à la conception de Sum’Eau.

    Le système de surveillance repose à ce stade sur les prélèvements réalisés dans douze stations d’épuration en France métropolitaine, soit une par région à l’exception de la Corse, « sélectionnées sur des critères de population et de représentativité territoriale », selon SPF. A plus long terme, « nous avons identifié une centaine de stations qui seraient intéressantes à suivre », précise Damien Mouly, le coordinateur national de Sum’Eau.
    Les prélèvements hebdomadaires sont transmis au laboratoire d’hydrologie de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) à Nancy. SPF précise que des « travaux exploratoires » sont en cours pour évaluer la possibilité de séquencer les virus trouvés dans les eaux usées de manière à y distinguer les différents variants en circulation, avec de « premiers résultats concluants ».

    « Système multi-sources »

    Les trois indicateurs publiés jusqu’à présent par SPF sont liés à l’examen clinique. De fait, ils ne peuvent rien dire des personnes asymptomatiques ou de celles qui pensent avoir contracté le Covid mais ne se font pas tester. Ce public, en revanche, est capté par l’analyse des eaux usées. En termes plus triviaux : si toutes les personnes infectées ne sont pas systématiquement dépistées, toutes, en revanche, passent régulièrement aux toilettes. « Cette indépendance par rapport aux comportements de dépistage ou à l’accès au soin est très intéressante », selon Caroline Semaille, la directrice générale de SPF.

    L’analyse des eaux usées ne peut cependant donner aucune information sur l’âge ou le sexe des personnes contaminées, et ne renseigne pas davantage sur la forme sévère ou non de la maladie. Il n’est donc aucunement question qu’elle remplace les autres indicateurs, selon Bruno Coignard, directeur de la division des maladies infectieuses de SPF, qui souligne les vertus du « système multi-sources » actuel « qui permet d’explorer les différentes caractéristiques d’une épidémie ».
    Vincent Maréchal, professeur de virologie à la Sorbonne et l’un des principaux artisans d’Obépine, se félicite de l’annonce de SPF, tout en appelant à ne pas trop demander à l’approche qu’il a popularisée. Selon lui, en l’état actuel des connaissances, un volume connu de virus dans les eaux usées ne permet pas de se faire une idée du nombre de personnes contaminées, car on ne sait pas quelle quantité de virus est excrétée par chaque malade en fonction de l’âge, du variant contracté, du statut vaccinal… « En trois ans, nous avons essayé de monter sur le sujet cinq études au moins avec des cliniciens, et des projets de collaboration », rappelle M. Maréchal, sans résultat probant à ce stade. Le chercheur souligne toutefois l’intérêt des #eaux_usées pour la surveillance des tendances de l’épidémie, à un coût beaucoup plus faible que le dépistage en population réelle.

    #Covid-19

  • Vladimir Putin’s Russia Claims to Be Fighting Nazism, but It’s Persecuting Anti-Fascists
    https://jacobin.com/2023/09/russia-azat-miftakhov-political-repression-putin

    26.9.2023 by Dan Storyev - On a chilly morning, September 4, Elena Gorban stood outside a Russian prison. She was waiting for her husband to be released from jail after four years behind bars. Yet the mood was sour. She knew that the jailed anti-fascist Azat Miftakhov was likely to be immediately rearrested.

    Azat came out wearing a prison uniform. Burly men in plain clothes, one of them masked, then made it clear to Elena, along with Azat’s mother and stepfather, that the anarchist mathematician wouldn’t be going free. They proceeded to inform the family that they would only have five minutes together. Elena, who said she already wrote everything she wanted through her letters, simply embraced her husband. She held him until he was taken back into custody — and driven away for a transfer.

    As authorities continue their inhumane treatment of the soft-spoken mathematician and anti-fascist activist, Vladimir Putin’s decades-long war on human rights and the Left is ever more evident.
    Police Vendetta

    Born in the small town of Nizhnekamsk, Tatarstan, Azat excelled in math since kindergarten, participating in countrywide competitions. He did his undergraduate study at the prestigious Moscow State University and then started his PhD in mechanical mathematics in 2015.

    A committed anarcho-communist, Azat supports international struggles against capitalism and opposes the police state. In his 2019 court statement, as he faced trial, Azat said he “participated in opposition rallies and marches, distributed anarchist leaflets. . . . I was also involved in the fight against dishonest bosses and criminal realtors.” Azat concluded that his activism prompted “revenge” by the police.

    Azat had been arrested on trumped-up charges on February 1, 2019, right before his birthday. Cops claimed he planned to blow up a gas pipeline. They beat Azat to the point where he slit his own wrists to avoid further punishment. They also rounded up six more people, one of whom told journalists that cops tortured him through beating and tasering, aiming to get a false confession.

    On February 7, 2019 — the date Azat’s imprisonment was legally over — he was immediately rearrested, this time for supposedly breaking a window in the office of Russia’s omnipresent United Russia party.

    The charges were visibly fabricated. A witness, who died a year later, appeared out of nowhere, claiming that seeing Azat on the news had jogged his memory. In 2021, Azat was sentenced to six years in prison for a broken window. His supposed coconspirators, who received far lighter punishment, deny Azat’s presence at the scene.

    Left-wing figures from all over the world, including Slavoj Žižek and Noam Chomsky, advocated for Azat; some 3,500 mathematicians signed a letter calling for his release. But to no avail — the authorities were adamant that Azat serve his sentence. While he was imprisoned, his jailers lost no time to harass him further. For instance, they leaked Azat’s intimate photos to ensure that he was cast down to the very bottom of the brutal prison hierarchy.

    Azat was meant to be released this September 4. But as the sentence drew to an end, it became apparent that the Kremlin was determined to keep Azat in prison. In August, it added him to a list of “extremists and terrorists” and opened another case against him.

    Sure enough, once Azat was released, authorities only gave him five minutes to talk to his wife and family, and then they took him right back into custody. He is accused of “justifying terrorism” for allegedly cheering on a suicide bombing of an FSB office while watching TV with other inmates — a charge he denies. He might get five more years in prison under the new case.

    Antiwar Dissidents

    Azat’s case is illustrative of two currents in modern Russia: the brutal and humiliating treatment of political prisoners and the decades-long assault on leftist activists. While the Kremlin claims it is anti-fascist in its war on Ukraine, nothing could be further from the truth.

    OVD-Info, one of Russia’s largest human rights watchdogs, recently released an infographic on political prisoners, showing 226 people imprisoned for their antiwar activism alone. Political prisoners in Russia are subject to torture and humiliation. Political prisoners of all stripes can get brutalized at the Kremlin’s behest — they can be electrocuted, raped, beaten, or even tortured to death. OVD-Info knows of thirty-seven antiwar dissidents who have been tortured since the full-scale invasion in February 2022, and this is only the tip of the iceberg, as so much torture is covered up.

    The brutality of Putin’s state is often aimed at left-wing activists, who are persecuted for their antiauthoritarian, pro-labor, and anti-war stances. Take the recent case of Siberian anti-fascists. Cops detained six anarchists in three Siberian cities on bogus charges of trying to overthrow the government. One of the anti-fascists worked as a veterinarian, so the authorities claimed that he was going to provide a nonexistent militant group with medication. All six men went on the record about the horrifying treatment they received at the hands of the authorities: beatings, sleep deprivation, asphyxiation, threats of rape, and more.

    “They handcuffed my hands behind my back, and then taped a piece of paper onto my face so I couldn’t breathe or see,” anti-fascist Kirill Brik told his lawyer. Brik was then beaten for roughly three hours, with police forcing him to sign a false confession.

    This persecution is nothing new. Putin has spent decades suppressing anti-fascists in Russia and subverting the legacies of the Soviet fight against Nazism. While instrumentalizing the Soviet legacy in its propaganda, the Kremlin harshly crushes leftists at home.

    Going into the 2000s, Russia had a robust anti-fascist movement that fought against the voracious far right and the rising authoritarianism of the Kremlin. Hundreds of anti-fascists showed up to protests, and various groups popped up everywhere. But Putin’s administration, obsessed with what it calls a “power vertical” — strict political control and hierarchy — has tirelessly stamped out and subverted leftist opposition. Some were thrown into prison — like Ilya Romanov, who spent close to a decade in Russian prison for various forms of activism. Others were forced into exile — like Antti Rautiainen, a Finnish anarchist and publicist who lived in Moscow for over a decade.
    The Network Case

    Russian far-right groups have also contributed to the strangling of Russia’s left. Russia’s neo-Nazis are heavily linked with the Kremlin, and their most prolific and brazen collaboration went on in the first decade of the 2000s. Several anti-fascists were murdered then. Most famously, in 2009, neo-Nazis shot anti-fascist journalist Anastasia Baburova together with human rights lawyer Stanislav Markelov.

    In 2017, the FSB, Russia’s feared security agency, used a neo-Nazi agent provocateur in one of the most recent and well-known crackdowns on Russian anti-fascists, arresting eleven activists for belonging to an anti-government organization, “Network,” that most likely has never even existed. In 2020, the men were condemned to sentences of three to eighteen years. The jailed activists repeatedly said that the FSB agents tortured them and forced confessions. Dmitri Pchelintsev, sentenced to eighteen years, recounts: “They tried to put a gag in my mouth, but I didn’t open it, so they gagged me with duct tape. Last time [they tortured me], the gag chipped a lot of my teeth. They hardly spoke. When they stopped hitting me in the face and stomach, they gave me an electric shock.”

    Putin’s Kremlin has kept up its vendetta against anti-fascists for years. The Russian state is jailing, torturing and forcing activists into exile. If anything, the repression is ramping up, as the Kremlin is fearful of unrest brought about by the invasion. Mikhail Lobanov, an academic and a union activist, has been pressured into exile. Boris Kagarlitsky, a Marxist intellectual, has been arrested. Azat Miftakhov was rearrested minutes after release. All these cases are a part of the Kremlin’s war on Russia’s civil society, especially its progressive part.
    Failed Left

    While the Kremlin has been brutalizing anti-fascists for years, there is little solidarity shown by the “official left” within Russia.

    Russia’s largest communist party, the KPRF, has mostly joined forces with the Kremlin and does not behave as if it followed communist tenets. Its leadership supported the invasion of Ukraine, made friends with the state-controlled Russian Orthodox Church, and embraced nationalist and xenophobic rhetoric. Especially ironic was the KPRF leader Gennady Zyuganov praising the tsarist ancien régime — so much for the party’s nominal Bolshevik legacy — while arguing that ethnic Russians should be ascribed a “special role” within the Russian constitution. Barring few dissenters (like former member Dmitry Chuvilin, who was arrested for being a part of a Marxist reading group), KPRF is an active participant in the Kremlin’s attempt to reframe the Soviet legacies of communist and internationalist aspirations in imperial, “Great Russian” terms.

    In a state that decisively transgresses any kind of anti-fascism, and whose largest communist party has been captured by imperialists and nationalists, leftist activists have to rely on their grassroots mutual-aid networks and international solidarity. On the ground, activists can have an impact in a variety of ways, such as raising money for victims of the regime, as they did for the parents of the Network case defendants. And even though many are paying a high price for their activism — like union leader Denis Ukraintsev who spent almost a year in jail, partially for defending Azat on social media — they keep going. Despite brutal repression, Russian anti-fascists continue combating the Kremlin, especially its war against Ukraine.

    International solidarity through donations, letters, and raising awareness is also incredibly important for Russia’s hounded anti-fascists. While it might seem like slacktivism to some, solidarity campaigns are key to giving political prisoners hope. Azat’s wife, Yelena Gorban, says that “receiving letters is important and pleasant for him” — she said Azat was getting stacks of letters from all over the world.

    Years in isolation and the torturous conditions of Russia’s jails make letters especially valuable to prisoners. Readers can support Azat, or other jailed anti-fascists, through OVD-Info’s letter-writing tool, Letters Across Borders. It will translate all letters into Russian (as is required by law) and make sure the letters reach political prisoners across Russia. Supporting Azat and other Russian dissidents is the duty not just of leftists who want to see a truly anti-fascist Russia but of anyone with a conscience.

    #Russie #anarchisme #persécution

    • De notre côtè on a compris qu’il faut repartir ses crimes dans le monde entier, pour en diluer l’impact médiatique. Comme ça ta brutalité se fond dans la masse des abus commis par tes alliés et vaissaux, surtout quand tu delègues la plupart. des sales besognes aux « démocrates » locaux.

      Dans ce grand jeux de société où le gagnant récolte le prix de la grande puissance capitaliste la plus vertueuse c’est encore la Chine qui est en train de gagner. Nos amis chinois utilisent les fanatiques chrétiens, lamaïstes, islamiques et falun dafa (法轮大法) pour se faire accuser de crimes tellement invraisemblables qu’en fin de partie personne ne sait plus identifier les véritables abus.

      Le quatrième joueur à table, la bande de fascistes hindoues au pouvoir en Inde, utilise également une ruse efficace dans sa course pour le grand prix des droits humains. Ils cachent leurs cruelles activités dans une bureaucratie surcomplexe entrelacée avec les pratiques de caste et misogynes tellement omniprésentes qu’ils arrivent à vendre l’ensemble comme culture du pays et attraction touristique.

      Une chose est évidente : ce n’est pas la Russie qui gagne. Ses concurrents se disputent le palmarès.

      #guerre #droits_de_l_homme #lol #wtf

  • Zelenskyy, Trudeau Honor Actual 3rd Reich Nazi With Standing Ovation | ZeroHedge
    https://www.zerohedge.com/political/zelenskyy-trudeau-honor-actual-3rd-reich-nazi-standing-ovation

    Yaroslav Hunka, 98, fought in a Third Reich military formation accused of war crimes.

    On Friday, he was honored during a session of Canadian parliament in which Zelenskyy addressed the lawmakers to thank them for their support since Russia invaded Ukraine, saying that Canada has always been on “the bright side of history.”

    #lol

    • It is unclear whether Zelenskyy knew that Hunka fought with the unit. In 2021, the Ukrainian president joined the governments of Israel and Germany in denouncing a march honoring SS Galichina in Kyiv.

      Voilà la remarque qui distingue franchement Forward de ZeroHedge. Le même genre de remarque que j’apprécie de trouver dans les articles qui se penchent sur la positionnement de Corbyn, entre autres.

    • @biggrizzly Sur n’importe quel sujet, je crois que ça ne cherche même plus à discuter, juste à marquer des points sur le fait qu’« on » est affreusement tolérants avec l’antisémitisme de « la gauche » (LFI, Corbyn et Gérard Miller). Avec un whataboutisme parfaitement assumé, qui consiste à commenter un article sur un ancien Waffen SS en sortant Corbyn de son chapeau, cela au nom d’une approche « subtile » de l’information.

      Standing ovation du parlement canadien pour un nazi ? Oui mais Médine.

    • @ktche : Je ne sais pas ce qui peut être reproché à Zero Hedge, et je m’en excuse platement. Je ne voulais que collecter le fait, qui me semble difficile à interpréter différemment selon la source qu’on utilise. Je conviens que je fais toujours l’effort de trouver des sources alternatives à CNews ou Valeur Actuelle ; mais ils sont rarement productif d’informations originales. Mais pour les sources anglophones, je ne suis pas forcément aussi attentif. Et il m’arrive aussi de partager du Figaro, ou du Challenge. J’en suis à la troisième tentative de réponse à ton apostrophe, que j’efface. C’est dur. Beaucoup de temps passé à devoir se justifier.

    • Rassure-toi, je ne te demande pas de te justifier. J’ai vu matière à nourrir une discussion entamée ailleurs, tout simplement. Pas celle sur l’antisémitisme structurel (qui ne se limite pas à la chasse aux nazis), mais celle sur l’intérêt de commenter/contextualiser les sources pour distinguer celles auxquelles on ne devrait pas offrir de surface d’exposition, à mon sens. J’ai donné mon argument pour le cas ZeroHedge versus Forward.

    • Au Canada, le président du parlement démissionne après avoir rendu hommage à un ex-soldat nazi
      https://www.huffingtonpost.fr/international/article/au-canada-le-president-du-parlement-demissionne-apres-avoir-rendu-hom

      Lors de la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky à Ottawa, des députés avaient applaudi Yaroslav Hunka, ancien combattant d’une division de l’escadron de protection d’Hitler.

      INTERNATIONAL - Un dérapage diplomatique qui a provoqué un tollé outre-Atlantique. Le président de la Chambre des communes du Canada, Anthony Rota, a annoncé ce mardi 26 septembre sa démission après le scandale provoqué par l’hommage rendu à un vétéran ukrainien ayant combattu avec les nazis pendant la Seconde guerre mondiale. L’ovation demandée aux députés avait eu lieu lors de la visite du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à Ottawa.

      « C’est avec le cœur lourd que je me lève pour informer les membres de ma démission en tant que président de la Chambre des communes », a déclaré Anthony Rota devant le parlement, parlant de « ses profonds regrets pour son erreur ». Ajoutant que sa démission prendrait effet mercredi 27 septembre, « afin de permettre les préparatifs pour l’élection d’un nouveau président ».

      Anthony Rotaétait sous pression depuis le week-end dernier puisque tous les partis demandaient sa démission, y compris les ténors de son clan, les libéraux du Premier ministre Justin Trudeau. Ce dernier avait parlé d’un hommage « inacceptable » et « gênant ».
      Ovation pendant le discours de Zelensky

      Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, effectuait jeudi 22 septembre sa première visite d’État au Canada depuis le début de l’invasion russe. Un déplacement qui s’était déroulé sans accroc, du moins jusqu’à la visite de la Chambre des communes à Ottawa, où le chef d’État a été invité à applaudir Yaroslav Hunka, un combattant de la Seconde guerre mondiale. Un homme qui appartenait en réalité à une branche militaire du parti nazi.

      Lors du discours de Volodymyr Zelensky au Parlement, les députés ont donc été invités à applaudir chaudement Yaroslav Hunka. L’homme a été présenté comme « un vétéran de la Seconde guerre mondiale qui s’est battu pour l’indépendance de l’Ukraine contre les Russes, et qui continue aujourd’hui de soutenir les troupes, même à l’âge de 98 ans ». Le vieil homme a même été décrit comme « un héros ukrainien, un héros canadien » par le président du parlement Anthony Rota.

      Problème : Yaroslav Hunka est un ancien soldat d’une division nazie. Et cet incident n’a pas échappé à plusieurs organisations juives et de défense des droits de l’Homme qui ont condamné l’ovation, affirmant que le vétéran avait servi dans une unité militaire connue sous le nom de 14e division « Waffen Grenadier », appartenant à la SS.

      Anthony Rota, s’était confondu en excuses 72 heures plus tard. « Je tiens tout particulièrement à présenter mes excuses les plus sincères aux communautés juives du Canada et du monde entier », avait-il déclaré.

  • Microsoft publie accidentellement plus de 38 To de données privées - Le Monde Informatique
    https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-publie-accidentellement-plus-de-38-to-de-donnees-

    Des chercheurs en sécurité de Wiz ont trouvé un répertoire GitHub exposé sur le web appartenant à la division de recherche en intelligence artificielle de Microsoft. Ce dernier contient 38 To de données incluant des mots de passe, des clés privées et des messages Teams de 359 employés du géant américain.

    #lol :-)

  • @MartinSonneborn über Lügen der @vonderleyen
    https://twitter.com/MartinSonneborn/status/1695115224259469768?ref_src=twsrc%5Etfw

    #Digital_Services_Act #Europe #lol #wtf

    25.8.2023 In ihrem heutigen Post stellt Frau vonderLeyen die Behauptung auf, die Kommission bringe mit dem gerade in Kraft getretenen Digital Services Act „europäische Werte“ in die „digitale Welt“.

    Nach dem gerade in Kraft getretenen Digital Services Act melden wir diesen Fake-Inhalt hiermit den zuständigen Regulierungs- und Kontrollbehörden der EU, denn die inkriminierte Behauptung enthält eine den Leser bewusst irreführende „Desinformation“, die seinen Hass auf die EU in massgeblicher Weise schürt und damit geeignet ist, den asozialen Frieden in Europa zu gefährden.

    Bei Durchsicht aller 54 Artikel der Grundrechte der Europäischen Union, niedergelegt in der gleichnamigen Charta, ist uns kaum ein Artikel begegnet, der von der Kommission vonderLeyen noch nicht verletzt worden wäre.

    Nach einer vierjährigen Feldstudie ihres Amtsgebarens kommen dem Betrachter Dinge in den Sinn, die in stinknormaler Auslegung der EU-Charta als eindeutige Grundrechtsverstöße zu werten sind - insbesondere im Hinblick auf Artikel 41 „Recht auf eine gute Verwaltung“ (Lol!) sowie Artikel 42 „Recht auf Zugang zu Dokumenten“ - und zwar „unabhängig von der Form der für diese Dokumente verwendeten Träger“, was den intimen Kurznachrichtenverkehr mit Pharmabossen per SMS natürlich ausdrücklich einschließt.

    Mit der von der Kommission vonderLeyen betriebenen Einführung des DSA stehen nun darüber hinaus neben einer Reihe sekundär in Mitleidenschaft gezogener Grundrechte vor allem die folgenden in Frage:

    Art. 11 (1): Jede Person hat das Recht auf freie Meinungsäußerung. Dieses Recht schließt die Meinungsfreiheit und die Freiheit ein, Informationen und Ideen ohne behördliche Eingriffe und ohne Rücksicht auf Staatsgrenzen zu empfangen und weiterzugeben.

    Art. 11 (2): Die Freiheit der Medien und ihre Pluralität werden geachtet.

    Art. 10 (1): Jede Person hat das Recht auf Gedanken-, Gewissens- und Religionsfreiheit.

    Art. 6: Jeder Mensch hat das Recht auf Freiheit und Sicherheit.

    Art. 7: Jede Person hat das Recht auf Achtung ihres Privat- und Familienlebens, ihrer Wohnung sowie ihrer Kommunikation.

    Art. 8 (1): Jede Person hat das Recht auf Schutz der sie betreffenden personenbezogenen Daten.

    Wir weisen darauf hin, dass mit dem DSA diese verbrieften „europäischen Werte“ im Internet nicht ein-, sondern ausziehen, denn sie sind - vom Recht auf Gedanken- und Gewissensfreiheit über das Recht auf freie Meinungsäußerung bis hin zur Freiheit und Pluralität der Medien, in der anlasslosen Massenkriminalisierung der Ausübung grundrechtlich geschützter Freiheiten nicht nur ebensowenig enthalten wie in der (geplanten) anlasslosen Massenüberwachung (durch Chatkontrolle), sondern werden hier im Gegenteil sogar mit der allerfiesesten Zielgerichtetheit zerschlagen.

    Wir verbitten es uns daher, dass ausgerechnet Frau vonderLeyen, die von ihr selbst im Amt bis zur Unkenntlichkeit entstellten „europäischen Werte“ überhaupt in den Mund nimmt, sei es auch nur als inhaltsentleerte Propaganda-Floskel. Und erst recht verbitten wir uns deren Verkettung mit einer unter offensichtlicher Verletzung von Grundrechten erfolgten EU-Regulierung, die nachweislich nicht im Geringsten „europäischen Werten“ entspricht.

    Europäischen Werten entspräche es stattdessen, wenn Frau vonderLeyen nicht nur endlich einmal für die Verletzung von Art. 41 & 42 (s.o.), sondern schließlich auch dafür zur Rechenschaft gezogen würde, dass ihr Amtshandeln (sowohl exemplarisch im DSA als auch summarisch) den Tatbestand des Artikel 54 der EU-Charta „Verbot des Missbrauchs der Rechte“ erfüllt, in dem es heißt: „Keine Bestimmung dieser Charta ist so auszulegen, als begründe sie das Recht, eine Tätigkeit auszuüben oder eine Handlung vorzunehmen, die darauf abzielt, die in der Charta anerkannten Rechte und Freiheiten abzuschaffen oder sie stärker einzuschränken, als dies in der Charta vorgesehen ist.“

    Die Löschung der o.g. Behauptung vonderLeyens dürfte ja wohl das Mindeste sein, was wir zum Schutz der EU-Bürger durch von inhaltlich irreführenden Fakes zu „europäischen Werten“ ausgelöstem & daher anhaltend gerechtem Hass auf EU-Institutionen im Sinne des DSA erwarten dürfen.

    https://twitter.com/vonderleyen/status/1694979875034058876?ref_src=twsrc%5Etfw

  • Inflation : « le pic est passé »... La Première ministre Élisabeth Borne prédit un « ralentissement » de la hausse des prix à la rentrée - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2023/07/26/inflation-le-pic-est-passe-la-premiere-ministre-elisabeth-borne-predit-un-

    Des fournitures qui vont voir leurs tarifs augmenter de 4 à 5%, la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) chargée d’enquêter sur certaines hausses de prix... mais malgré tout, Élisabeth Borne se veut rassurante. Invitée sur BFMTV ce mercredi 26 juillet, la Première ministre a même anticipé un « ralentissement » de l’inflation d’ici la rentrée. « Je voudrais rassurer les Français sur le fait que sans doute le pic de l’inflation est derrière nous », a estimé la cheffe du gouvernement.

    #lol #pic

  • À Marseille, le RAID tire à vue - POLITIS
    https://www.politis.fr/articles/2023/07/nahel-mort-a-marseille-le-raid-tire-a-vue

    La cité phocéenne, secouée par des affrontements après la mort de Nahel, a vu le RAID déployé dans ses rues. Plusieurs vidéos montrent cette unité d’élite réaliser des tirs à des distances potentiellement létales. Un homme y est mort après un « probable » tir « de type flash-ball ».

    Des coups de feu, parfois très proches. Dans une rue marseillaise, peu après minuit, dans la nuit du 30 juin au 1er juillet, des gens courent, visés par des tirs à moins de quatre mètres. Certains s’effondrent avant de se relever et de fuir. Les munitions sont en réalité des « bean bags », des petits sacs de toiles remplis de billes de plomb. En face d’eux, des hommes en noir, casqués et armés de #fusils de #calibre_12, le même pour les fusils de chasse. Il s’agit du #RAID, une unité d’élite de la #police qui intervient en cas d’attaques terroristes, de prises d’otages et dans la lutte contre le grand banditisme. Ce soir-là, pas de terroristes ni de criminels de grandes envergures, mais de simples jeunes révoltés.

    Le lendemain de cette scène de traque, dans la nuit du 1er au 2 juillet, Mohammed décède d’un arrêt cardiaque dans le même quartier. Le parquet estime que le décès de ce livreur Uber Eats et jeune père de famille de 27 ans a probablement été causé « par un choc violent au niveau du thorax provoqué par le tir d’un projectile de type flash-ball ». Présent lors des affrontements, il n’était là que pour prendre des photos, d’après sa femme contactée par RTL. Le parquet de Marseille a annoncé ouvrir une enquête pour « coups mortels avec usage ou menace d’une arme ».

    Flash-Ball, #LBD ou #bean_bag, le type de blessure engendrée par ces armes est relativement équivalent, la munition étant sphérique et relativement molle. Mais, comme le montre la scène du 1er juillet au soir, des tirs à moins de trois mètres sont effectués par le RAID. Encadré, le LBD est prévu pour un usage optimal entre 25 et 30 mètres. « En deçà des intervalles de distances opérationnels, propres à chaque munition, cette arme de force intermédiaire peut générer des risques lésionnels plus importants », rappelle une circulaire de 2017 de la police nationale.

    Pourtant, des vidéos des dernières émeutes montrent des policiers tirer à moins d’un mètre, comme à Montfermeil le 30 juin. Pour l’utilisation des bean bags, alors qu’une autre victime est dans le coma à Mont-Saint-Martin après un tir du RAID (article de La Voix du Nord), les consignes de tirs sont inconnues. Contacté pour obtenir plus d’informations sur les règles d’emploi, le ministère de l’Intérieur n’a pas répondu à nos sollicitations.

    #militarisation #maintien_de_l'ordre

    • After the Riots, the Police Terrorize Marseille
      https://www.thenation.com/article/world/france-marseille-police-nahel

      Marseille, France—Many of the faces in the crowd were young and brown. It was June 29 in #Marseille. Two days prior in Nanterre, a cop fatally shot Nahel Merzouk, 17, in the head during a routine traffic stop. The police had claimed self-defense, but a video released by a witness showed an officer pointing and firing a gun directly into the youth’s car.

      That first night, there were arrests and fires in cities around Nanterre, but the anger quickly spread across France. Police responded by sending helicopters, armored vehicles, tactical units, and the French equivalent of SWAT teams. Over six days, police arrested between 3,600 and 4,000 people. About a third of them were minors—some as young as 11. Many of the detained protesters were men and boys of color like Nahel, who was of Algerian and Moroccan descent. While the government promises “swift, tough, and systematic” sanctions for those arrested, the confrontations have left French cities reeling. Marseille, in particular, has become a flashpoint in the media coverage of riots and looting.

      The scale and swiftness of police repression that descended upon French cities has been shocking. French media and politicians across the spectrum have turned police officers and a mayor and his family who escaped “attempted assassination”—an event that may not be connected to the riots—into the main victims of the unrest. But several people have died, including a 27-year-old in Marseille whose death is seen as “probably” due to the impact of a “Flash-Ball type projectile” (a rubber or foam pellet), a 50-year-old shot by a stray bullet in French Guyana, and a young man who fell from the roof of a grocery store during a looting near Rouen.

    • Pour le RAID, les consignes de tirs sont inconnues. Contacté pour obtenir plus d’informations sur les règles d’emploi, le ministère de l’Intérieur n’a pas répondu à nos sollicitations.

      Politis compte attaquer le RAID au tribunal administratif pour non respect de la procédure de tir ? #LOL #MDR (et accessoirement d’un arrêt cardiaque dû au tir du RAID à l’insu de son plein gré #le_coup_est_parti_tout_seul)

      Le mieux est d’attendre la dissolution de l’ONU. Et superbe article de The Nation.

  • Ci risiamo: il ministro Lollobrigida ha detto che non esiste una “razza italiana” ma “un’etnia italiana” da tutelare, soprattutto attraverso le nascite.

    Dopo la “grande sostituzione”, eccoci qui con un’altra teoria di estrema destra – quella del “differenzialismo”.

    l tentativo è chiarissimo: evitare le accuse di razzismo evitando l’impronunciabile “razza” e usando il più neutro “etnia”.

    Lo usa anche la Treccani!

    In realtà, come ha scritto Pierre-André Taguieff in diversi libri, “etnia” è un modo ripulito di dire “razza”.

    Questa innovazione linguistica la si deve ad Alain De Benoist, l’ideologo della “Nouvelle Droite”.

    Invece che fondarsi sull’inservibile razzismo “biologico-scientifico”, De Benoist si è concentrato sulle “differenze etnico-culturali”; da qui la definizione di “differenzialismo”.

    La faccio breve: siccome ogni “etnia” è “culturalmente” diversa, la convivenza è impossibile.

    Per vivere in pace, dunque, è meglio stare separati e non “contaminarsi”.

    È una forma di “razzismo politicamente corretto”, diciamo così, che ricorda sinistramente l’apartheid.

    Il pensiero di De Benoist non è affatto marginale, almeno all’interno di questo governo.

    Matteo Salvini anni fa ci faceva i convegni insieme.

    Ora invece è stato elogiato pubblicamente dal ministro della cultura Sangiuliano, e sarà ospite al Salone del Libro di Torino.

    Lollobrigida dice anche che occuparsi di natalità è un modo di “difendere la cultura italiana” e il “nostro modo di vivere”.

    Tradotto brutalmente: devono esserci più bambini bianchi.

    Altrimenti arrivano quelli «diversi» e si finisce con la “sostituzione etnica”.

    Insomma: dopo tutte le polemiche delle scorse settimane, rieccoci qui.

    Magari anche questa volta si tirerà in ballo “l’ignoranza”, o si accamperanno scuse di vario genere.

    Ma la realtà è che si tratta di precise scelte lessicali – e dunque politiche.

    https://twitter.com/captblicero/status/1656718304273104910

    #race #racisme #ethnie #terminologie #mots #vocabulaire #Lollobrigida #Italie #grand_remplacement #ethnie_italienne #différentialisme #Alain_De_Benoist #Nouvelle_Droite #extrême_droite #ethno-différentialisme #Francesco_Lollobrigida

    • Lollobrigida, l’etnia italiana e la leggenda della nazione omogenea

      Ci risiamo con una pezza che è peggiore del buco. Agli #Stati_generali_della_natalità (già il titolo meriterebbe un trattato filologico) l’irrefrenabile Lollobrigida, dopo avere detto, bontà sua, che è evidente che non esiste una razza italiana, ha dovuto colmare questa insopportabile lacuna, affermando che: “Esiste però una cultura, una etnia italiana che in questo convegno immagino si tenda a tutelare”. Esisterà dunque anche un’etnia francese (lo dica a bretoni e corsi), una spagnola (lo spieghi a baschi e catalani), una belga (l’importante che lo sappiano fiamminghi e valloni) o una inglese (basta non dirlo a scozzesi, gallesi e irlandesi). Ma forse no, lo stabordante ministro dell’Agricoltura sostiene il principio della purezza indicato peraltro nel punto 5 del Manifesto della razza: “È una leggenda l’apporto di masse ingenti di uomini in tempi storici”.

      La cultura italiana sarebbe dunque completamente autoctona. In un libretto scritto nel ventennio dal fondatore del Museo di Storia Naturale di Torino, c’era un capitolo (credo fosse d’obbligo) sull’elogio della razza italiana, che si era conservata pura “nonostante qualche invasione”. Quasi commovente quel “qualche”, i nostri libri di storia sono pressoché un elenco di invasioni, ma forse, proprio per questo la cultura italiana ha toccato punte di eccellenza (non adesso) come nel Rinascimento. Proprio grazie alla sintesi di culture diverse, che si sono fuse in una proposta originale fondata sull’incontro con la diversità.

      Siamo tutti d’accordo che il pensiero occidentale deve molto (non tutto, ma molto) a quello dell’antica Grecia, ma nelle sue Lezioni sulla filosofia della storia, Hegel sostiene, giustamente, che “gli inizi della cultura greca coincisero con l’arrivo degli stranieri”. Il tratto costitutivo per la nascita della cultura greca è quindi l’arrivo degli stranieri, di cui i greci avrebbero mantenuto “memoria grata” nella propria mitologia: Prometeo, per esempio, viene dal Caucaso, e lo stesso popolo greco si sarebbe sviluppato a partire da una “#colluvies” , termine che originariamente significava fango, immondizia, accozzaglia, scompiglio, caos.

      Gli Stati si differenzierebbero da quelle che chiamiamo “tribù” o etnia, perché contengono diversità, non omogeneità. Per quanto riguarda l’etnia, vale una celebre affermazione dell’antropologo britannico Siegfried Nadel: “L’etnia è un’unità sociale i cui membri affermano di formare un’unità sociale”. I Greci, peraltro, non associavano il concetto di #ethnos a un territorio, si poteva infatti essere greco anche in terre lontane, come volle esserlo Alessandro. L’etnicità di un popolo sta nel progetto.

      La storia viene spesso manipolata dalle élite, e l’identità evocata da chi sta al potere si fonda spesso sulla storia, o meglio su una storia, quella storia. Perché, come affermava Ernest Renan, per costruire una nazione ci vuole una forte dose di memoria, ma anche un altrettanto forte dose di oblio: “L’oblio, e dirò persino l’errore storico costituiscono un fattore essenziale nella creazione di una nazione (…) Ora l’essenza di una nazione sta nel fatto che tutti i suoi individui condividano un patrimonio comune, ma anche nel fatto che tutti abbiano dimenticato molte altre cose. Nessun cittadino francese sa se è Burgundo, Alano, Visigoto; ogni cittadino francese deve aver dimenticato la notte di San Bartolomeo, i massacri del XIII secolo nel Sud”.

      Dobbiamo fingere di ricordare ciò che ci unisce e dimenticare quanto invece, del nostro passato, ci divide. Oppure accettare, come sostengono Julian S. Huxley e Alfred C. Haddon che: “Una nazione è una società unita da un errore comune riguardo alle proprie origini e da una comune avversione nei confronti dei vicini”.

      https://www.ilfattoquotidiano.it/2023/05/12/lollobrigida-letnia-italiana-e-la-leggenda-della-nazione-omogenea/7158926

      #nation #homogénéité #diversité #culture #culture_italienne #ethnicité #identité

  • Hanouna, Myriam Palomba et Florian Philippot impliqués dans un trafic d’adrénochrome !
    https://nordpresse.be/hanouna-myriam-palomba-et-florian-philippot-impliques-dans-un-trafic-dadr

    Selon des sources anonymes, les trois personnalités auraient été impliquées dans un réseau de trafic d’adrénochrome, une substance supposée être extraite de la glande pinéale des enfants.

    Le laboratoire impliqué dans cette affaire serait détenu par le célèbre homme d’affaires Vincent Bolloré. Selon nos sources, l’endroit aurait servi de lieu de production pour l’adrénochrome qui aurait ensuite été vendu à un réseau de consommateurs aisés à travers le monde.

    Les détails de cette affaire sont encore flous, mais il semblerait que Myriam Palomba, Florian Phillipot et Cyril Hanouna auraient été impliqués dans le trafic de cette substance rare et illégale. Bien que les trois personnalités aient nié ces accusations, les preuves qui pèsent contre eux semblent irréfutables.

    Le scandale a déjà fait les gros titres de la presse internationale et a suscité de vives réactions du public. Les partisans des personnalités impliquées ont vivement réagi, affirmant qu’il s’agit d’une conspiration contre leurs idoles. Cependant, les autorités compétentes ont déjà commencé à enquêter sur cette affaire et des mesures seront prises pour arrêter les coupables.

    Nous suivrons de près l’évolution de cette affaire et fournirons des mises à jour dès que de nouvelles informations seront disponibles.

    #MYRIAMPALOMBAPEDOSATANISTE

  • [OHNE TITEL] OHNE TITEL X-plore #les_jardins_de_malika de #badi_rezzak
    https://www.radiopanik.org/emissions/ohne-titel/ohne-titel-x-plore-les-jardins-de-malika-de-badi-rezzak

    C’est dans le project space #v2vingt, à Schaerbeek, que l’artiste Badi Rezzak nous reçoit dans le cadre d’une très belle exposition intitulée « Les Jardins de Malika ».

    Nous nous sommes à nouveau prêté‧es à un exercice que nous aimons particulièrement : visiter une exposition, découvrir les différentes oeuvres, les commenter, puis laisser le micro à l’artiste invité.

    Dans « Les Jardins de Malika » nous découvrons photographies, installations, textes, sculptures et nous discutons des inspirations, questionnements, recherches et moments forts vécus par Badi dans le processus créatif, et dans sa vie : le besoin de se recueillir en Algérie, la mémoire de sa maman, la douceur de son père, les dunes, les éléments graphiques et culturels de l’identité Amazigh : des éléments qui rendent son travail riche et profond. (...)

    #art_contemporain #lola_martins-coignus #art_contemporain,badi_rezzak,v2vingt,lola_martins-coignus,les_jardins_de_malika
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/ohne-titel/ohne-titel-x-plore-les-jardins-de-malika-de-badi-rezzak_15690__1.mp3