• #Brésil : Qui a remis l’écharpe présidentielle à #Lula - Bolivar Infos

    Pendant ces dernières heures, on s’est posé des questions sur la personne qui serait chargée de remettre les attributs présidentiels au dirigeant du Parti des Travailleurs, parce que le président sortant s’est absenté.

    http://bolivarinfos.over-blog.com/2023/01/bresil-qui-a-remis-l-echarpe-presidentielle-a-lula.html

  • Le syndicaliste et le populiste. Retour sur ces dix-neuf dernières années pendant lesquelles l’opinion des Brésilien·nes a été manipulée.

    Thread by PaulMoreiraPLTV on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1586868578057437184.html

    1/ Qui est #Lula, le nouveau président du Brésil ? C’est un gosse de la misère, devenu métallo, puis leader syndicaliste. Lula s’est présenté trois fois aux présidentielles, il a été élu président du Brésil de 2003 à 2011. Il sort 30 millions de personnes de la misère.
    2/ Notamment un salaire universel pour les plus pauvres. Lula n’est pas un dictateur. Il ne remet pas en cause l’économie de marché, permet même aux entreprises brésiliennes de connaitre un bond en avant.
    3/ Il ne touche pas à la liberté d’expression et à la liberté d’entreprendre. Il quitte la présidence, en 2011, avec un taux de satisfaction de 87%. Du jamais vu dans l’histoire du pays. Sa proximité physique avec les gens de condition modeste touche au religieux.
    4/ Sous sa présidence, la corruption, fléau de la politique brésilienne, ne cessera jamais. Y compris dans son propre parti. Les marchés publics sont toujours attribués avec des dessous de table.
    Lula aurait-il aussi augmenté sa fortune personnelle ?
    5/ Dès 2007, alors qu’il est président, se forme un groupe de travail de juristes américains du Department of Justice consacré au Brésil. Ce réseau est créé officiellement dans le cadre de la lutte anti-terroriste.
    6/ Dans un message à Washington, révélé par Le Monde, l’ambassadeur américain à Brasilia, Clifford Sobel explique vouloir créer un réseau d’experts locaux en mesure de défendre les intérêts américains « sans avoir l’air d’être des pions ».
    7/ Ils ont identifié un groupe de magistrats brésiliens disposés à partager l’information de manière « informelle ». Une campagne efficace contre la corruption, disent-ils, doit s’incarner dans une offensive contre le « roi ». Il s’agit d’utiliser la puissance des médias.
    8/ Parmi ces magistrats brésiliens, un certain Sergio Moro. Mais pour l’instant, rien n’a commencé… Lula est remplacé à la présidence par Dilma Rousseff. C’est alors que le juge Sergio Moro va déclencher une enquête anti-corruption massivement médiatisée : Lava-Jato.
    9/ Entre 2014 et 2019, de nombreuses investigations impliquent une grande partie de la classe politique brésilienne. À l’origine de l’enquête, un système de pots-de-vin qui liait l’entreprise publique Petrobras et des groupes de BTP, des politiques, et des lobbyistes
    10/ Lula est accusé d’avoir accepté un appartement en échange de contrats publics. L’accusation repose sur une dénonciation individuelle. Dans un interrogatoire filmé, Lula exige de Moro le moindre document prouvant qu’il est propriétaire du triplex. Celui-ci ne répond pas.
    11/ Une puissante opération de manipulation de la perception créée le sentiment dans le public que les preuves sont abondantes. Le déferlement médiatique est hallucinant : TV Globo, les grands magazines, tous accablent Lula. Même en Europe, la presse sérieuse s’aligne.
    12/ Au Brésil, dans les grandes villes du sud-est, Rio, São Paulo, des manifestations massives, plutôt des classes moyennes supérieures blanches, déploient une haine phénoménale à son égard. En 2017, Lula est condamné pour corruption passive à près de 10 années de prison
    13/ Il finira ses jours en prison. Pourtant ces charges sont prononcées « pour des faits indéterminés ». C’est énoncé explicitement dans le document de 238 pages détaillant la décision de M. Moro.
    14/ Dans les annexes de la condamnation, le magistrat précise qu’il n’a « jamais affirmé que les montants obtenus par l’entreprise OAS grâce aux contrats avec Petrobras ont été utilisés pour payer des avantages indus pour l’ancien président ».
    15/ De nouvelles élections présidentielles sont organisées en 2018. Surgit Jair Bolsonaro, une sorte de Trump brésilien. Bolsonaro est aidé par Steve Bannon, le machiavel qui a propulsé Trump au pouvoir. La méthode est la même. Des vagues de fake news sur les réseaux sociaux.
    16/ Bolsonaro gagne. Pour la première fois depuis très longtemps, l’extrême droite retourne au pouvoir au Brésil. Sergio Moro, le juge qui a mené l’enquête contre Lula et l’a fait condamner, est nommé ministre de la justice par Bolsonaro.
    17/ En 2019, Rouge (Vermelho, en portugais) rentre en jeu, presque par accident. Rouge c’est le surnom d’un jeune hacker : Walter Delgatti. Il doit son surnom non pas à ses opinions politiques mais à la couleur de ses cheveux. Ce jeune rouquin, va changer le cours de l’histoire.
    18/ Rouge a pénétré les téléphones d’un magistrat qui l’incriminait dans une autre affaire, injustement d’après lui. Son affaire n’a rien à voir avec celle de Lula. Sauf que le juge hacké est en contact avec les magistrats ayant envoyé Lula en prison.
    19/ En pénétrant leur groupe Telegram, le hacker découvre des échanges, dans lesquels les magistrats reconnaissent que les preuves sont inexistantes et que, contre toutes les règles du droit, le juge collaborait secrètement avec le procureur. La partie était truquée.
    20/ Scandalisé, Rouge confie ses documents à un site d’investigation, The Intercept. Le monde découvre qu’il n’existait pas de preuves contre Lula et que celui-ci a été victime d’un coup d’état d’un genre nouveau : le Lawfare. Ou comment subvertir la loi et en faire une arme.
    21/ On apprend aussi que des conseillers américains du Department Of Justice et du FBI ont accompagné toute l’opération. Le réseau judiciaire américano-brésilien a nourri toute l’opération Lava-Jato.Le tribunal suprême ordonne la libération de Lula. Il sort blanchi de prison.
    22/ Le 30 octobre 2022, Lula est élu de nouveau président du Brésil.

    Source : https://twitter.com/PaulMoreiraPLTV/status/1586868578057437184

  • À lire : Lutte de Classe n°226 https://mensuel.lutte-ouvriere.org
    (septembre-octobre 2022)

    Au sommaire :

    🍂 Le chaos du #capitalisme en #crise

    🍂 D’une #crise_économique à l’autre

    🍂 La #guerre en #Ukraine accélère la #militarisation. #france #allemagne

    🍂 Une vague de grèves inédite en #Grande_Bretagne. #mouvement_ouvrier

    🍂 #Brésil  : le duel #Bolsonaro - #Lula

    🍂 L’État chinois et la résurgence de la bourgeoisie (1978-2022) #chine

    🍂 #Renault et les grandes manœuvres dans l’automobile #exploitation

    🍂 Les mémoires de #Georg_Scheuer

  • « Les scores se stabilisent donc. Conclusions partielles : Lula au niveau prévu mais Bolsonaro extrêmement haut. L’extrême droite brésilienne fait mieux que résister. Elle peut l’emporter au second tour. » / Twitter
    https://twitter.com/brunomeyerfeld/status/1576725120110178304

    Les scores se stabilisent donc.
    Conclusions partielles :
    Lula au niveau prévu mais Bolsonaro extrêmement haut.
    L’extrême droite brésilienne fait mieux que résister. Elle peut l’emporter au second tour.

    La preuve que le bolsonarisme n’est pas une vague parenthèse mais un mouvement désormais enraciné qui séduit toujours près de la moitié de la population. A peu de chose près Bolsonaro répète son score de 2018.

    Lula a investi toute sa campagne à Rio et são paulo. Il est distancé dans les États, qui sont parmi les plus peuplés de la fédération.

    C’est une énorme claque pour la gauche et le lulisme. D’une manière ou d’une autre une page se tourne se voir. Enorme remise en cause à venir pour le PT

    Pire : les candidats d’extrême droite ont fait de très bons résultat au Congrès et aux gouvernorales. En témoigne la victoire symbolique de Claudio Castro à Rio. Un homme au bilan désastreux et sans doute criminel.

    Le Brésil est à la croisée des chemins. L’"homme politique le plus populaire du monde" est talonné par un paria accusé de crimes contre l’humanité.

    Des temps très sombres s’annoncent.

    Les élections là bas sont comme chez nous. C’est celui qui caresse le bourgeois dans le sens du poil qui l’emporte.

    Tu vois, quand Lula est poursuivi en Justice pour des faits qu’on sait tous faux, on en fait des tonnes dans le monde entier. Quand Bolsonaro est poursuivi pour crime contre l’humanité, on parle de Lula et de ses anciennes casserolles et de la claque que le PT va prendre et qu’il va devoir se remettre en cause.

    Très franchement, je suis tellement pessimiste ces temps, cette fin de semaine, j’en étais à me dire que ça ne serait pas si mal si Bolsonaro l’emportait. On continuerait dans la même direction, à fond dans le mur. Une bonne fois. Toutes les tares du capitalisme débridé les mains libres, sans aucune limite.

    • les Brésiliens, eux, au moins, sont allés voter ; seulement 21% d’abstention, c’est plutôt une bonne nouvelle, non ? Par rapport à nous, j’veudire...

      Bien entendu, personne ne parle du déficit d’abstention à cette élection dans la presse fr. Ils cachent [à peine] leur joie de voir que Lula le rouge « pourrait perdre » au 2nd tour - ce qui, somme toute, est un peu du wishful thinking quand même vu les scores ; on retourne pas 6 millions de Brésiliens comme ça quand même, si ?

      2 millions de votes blancs, 3.5 millions de votes nuls.

      https://seenthis.net/messages/975083

      EDIT : Mediapart commente l’abstention en début d’article / reportage :

      Près de 32 millions de Brésilien·nes (20,9 % de l’électorat) ne se sont pas rendu·es aux urnes, dans un pays où le vote est pourtant obligatoire, faisant grimper l’abstention à son plus haut niveau depuis 1998.

    • un extrait optimiste de la suite du reportage de Mediapart sur le sujet :

      Pour Bolsonaro, un écart difficile à rattraper

      « C’est plus une victoire de Bolsonaro qu’une défaite du PT, qui retrouve ses scores d’avant 2018 à la présidentielle », estime Sergio Praca, professeur à la Fondation Getulio Vargas. Lula reste le favori, mais à l’inverse de 2018, qui avait vu l’extrême droite envahir l’espace politique, il n’y a pas cette année de grand bouleversement idéologique. Déjà bien installé, le bolsonarisme s’ancre pour quatre ans de plus dans le paysage politique brésilien.

      Reste que le bilan est mauvais pour un président sortant, normalement en position de force. Le désavantage de Jair Bolsonaro – de six millions de votes – sera difficile à résorber à moins de 27 jours du deuxième tour. D’autant qu’après avoir notamment distribué de nombreuses aides diverses, le président en exercice semble avoir épuisé ses ressources pour séduire de nouveaux électeurs et électrices.

      et en même temps, y a les législatives en parallèle au Brésil ; et là, c’est Bolso qui gagne, pour l’instant :

      le parti de Jair Bolsonaro (PL) : 99 député·es. Le Parti des travailleurs (PT) et ses alliés devraient de leur côté rester en deçà, mais passent tout de même de 68 à 80 député·es.

  • #Brésil : de retour sur la scène politique, l’ancien président #Lula en tête des sondages
    https://www.rfi.fr/fr/am%C3%A9riques/20210514-br%C3%A9sil-de-retour-sur-la-sc%C3%A8ne-politique-l-ancien-pr%C3%A9side

    L’ancien président brésilien Lula est de retour sur la scène politique, et il caracole en tête des sondages. Et cela, alors que l’actuel chef de l’État Jair #Bolsonaro est en difficulté, en marge d’une commission d’enquête parlementaire sur sa très polémique politique sanitaire en pleine crise du #Covid-19.

  • #Covid-19 : « #Lula » interpelle Emmanuel Macron (Les blogs du Diplo, 26 mars 2021)
    https://blog.mondediplo.net/covid-19-lula-interpelle-emmanuel-macron

    Assumer la responsabilité que nous sommes en guerre, pas une guerre entre pays, mais contre un ennemi puissant. Et que nous tous, nous devons faire en sorte que ce vaccin ne soit pas une marchandise commerciale mais qu’il soit transformé en un bien de l’humanité. Et que les pays riches assument la responsabilité et fassent que le vaccin parvienne à tous les pauvres de la planète, et avant tout aux pays les plus pauvres.

    C’est ce que j’attends des dirigeants européens, c’est ce que j’attends des dirigeants américains, je ne vais même pas parler du président brésilien parce que celui-là il ne comprend rien à rien.

  • L’ancien président Lula vient d’être libéré
    https://www.bastamag.net/Lula-libre-liberation-Bresil-ancien-president-tribunal-supreme-Bolsonaro

    Images exclusives de la libération de l’ancien président Lula da Silva, incarcéré depuis plus d’un an pour de fragiles accusations de corruption et empêché de concourir à l’élection présidentielle qui a vu la victoire de l’extrême droite. C’était la fin de l’après-midi au Brésil quand Lula, l’ancien président brésilien, a été libéré de prison ce 8 novembre à Curitiba (en photo ci-dessus avec, à droite, sa nouvelle compagne, la sociologue Rosângela da Silva). Il était incarcéré depuis avril 2018, suite à une (...) #Résister

    / A la une, #Politique, #Amériques, #Justice

  • Brésil : La justice autorise la libération de l’ex-président #Lula
    https://www.20minutes.fr/monde/2647515-20191108-bresil-justice-autorise-liberation-ex-president-lula

    Dans son ordre de libération, le juge a expliqué qu’il n’y avait plus « aucun fondement pour l’exécution de la peine » en raison de la décision de la Cour suprême de mettre fin à une #jurisprudence permettant l’emprisonnement dès une première condamnation en appel, même si tous les recours ne sont pas épuisés. Incarcéré depuis avril 2018, Lula a commencé à purger une peine de huit ans et dix mois pour corruption, mais dispose encore d’autres recours auprès d’instances supérieures. Il a toujours clamé son innocence.

  • Brésil : Lula s’adresse au Peuple
    Alors qu’on lui propose une résidence surveillée à la place de la prison, Lula a déclaré :

    « Au Peuple Brésilien,
    Je n’échangerai pas ma dignité pour ma Liberté. Tout ce que les procureurs de Lava Jato devraient faire réellement est de présenter des excuses au Peuple Brésilien, aux millions de chômeurs et à ma famille, pour tout le mal qu’ils ont fait à la Démocratie, à la Justice et au pays.
    Je veux qu’il écrivent que je n’accepte pas de marchander, ni mes droits ni ma Liberté.
    J’ai déjà démontré que les accusations qu’ils ont faites contre moi sont fausses.
    Ce sont eux et pas moi qui sont pris au piège des mensonges qu’ils ont raconté au Brésil et au Monde.
    Compte tenu des arbitraires commis par les procureurs et Sergio Moro, il appartient maintenant à la Cour Suprême de corriger le méfait, afin qu’il y ait une justice indépendante et impartiale, comme cela est dû à chaque citoyen.
    J’ai pleinement conscience des décisions que j’ai prises dans ce processus et je ne me reposerai pas tant que la vérité et la justice ne reviendra pas pour l’emporter. »
    Curitiba le 30/09/2019
    Lula

    La défense de Lula a demandé aujourd’hui à la Cour Suprême que soit jugé d’urgence l’acte mettant en cause le juge Sergio Moro.
    541 jours d’emprisonnement arbitraire exigent réparation !

  • Procès en correctionnelle : Mélenchon politise et internationalise sa cause
    https://www.mediapart.fr/journal/france/100919/proces-en-correctionnelle-melenchon-politise-et-internationalise-sa-cause

    Appelé à comparaître, mi-septembre, devant le tribunal de Bobigny, le leader de La France insoumise veut faire de son procès l’illustration de l’abus de pouvoir macroniste contre l’opposition #POLITIQUE. Mais sa comparaison, dans une pétition, à d’autres figures politiques internationales persécutées dans leur pays provoque l’embarras de certains de ses soutiens.

    #Lula,_lawfare,_Jean-Luc_Mélenchon,_La_France_insoumise,_tribunal_de_Bobigny,_Perquisitions,_procès

  • Glenn Greenwald : « Nous sommes plus proches du début que de la fin des révélations » sur la #corruption au #Brésil
    https://www.france24.com/fr/20190830-bresil-corruption-intercept-lava-jato-glenn-greenwald-revelations

    Connu pour avoir publié les révélations d’Edward Snowden sur les programmes de surveillance de la NSA, Glenn Greenwald fait trembler le gouvernement brésilien. Son site d’investigation The Intercept, créé en 2014, révèle au compte-gouttes, depuis le mois de juin, des extraits de conversations privées, entre les procureurs en charge de l’affaire #Lula, obtenus par une source anonyme.

    Le contenu des messages laisse clairement apparaître leur partialité, y compris celle de l’ex-juge Sergio Moro, devenu ministre de la #Justice, qui avait jusqu’ici l’image d’un « Monsieur Propre » anti-corruption. Glenn Greenwald fait depuis l’objet de menaces de mort sur les réseaux sociaux de la part des plus fervents partisans du gouvernement. Le président Jair Bolsonaro l’a qualifié d’"escroc" et a affirmé qu’il risquait la prison pour complicité de piratage informatique. Entretien.

    • Brazil’s Chief Prosecutor Lied About Leaking to the Press
      https://theintercept.com/2019/08/29/deltan-dallagnol-car-wash-leaks-brazil

      Critics of the so-called Car Wash investigation — which imprisoned dozens of Brazilian elites including, most significantly, the center-left ex-President Luiz Inácio Lula da Silva when he was leading all polls to win the 2018 presidential election (ultimately won by Jair Bolsonaro after Lula was barred) — long suspected that the prosecutorial team was responsible for numerous media reports that revealed sensitive details about suspects targeted by the investigations.

      Dallagnol and his team always publicly, even angrily, denied this. Yet the Secret Brazil Archive obtained by The Intercept, which we began reporting on June 9, contains numerous instances of the prosecutorial team planting exactly the sorts of leaks they repeatedly denied involvement in — often with motives that rendered the outcome legally questionably, if not outright illegal.

  • Ventes d’armes françaises au Brésil : Hollande répond à la justice, Sarkozy s’éclipse
    https://www.mediapart.fr/journal/international/090719/ventes-d-armes-francaises-au-bresil-hollande-repond-la-justice-sarkozy-s-e

    L’ancien président François Hollande a été entendu, jeudi dernier, à la demande des autorités brésiliennes dans l’enquête ouverte sur l’achat d’avions de combat suédois par le Brésil en 2014. Dans cette affaire, l’ex-président Lula est soupçonné avec son fils de « trafic d’influence », mais aussi accusé d’avoir négocié des « paiements illicites » avec Nicolas Sarkozy sur le marché des sous-marins vendus par la France. L’ancien président Sarkozy a refusé de répondre aux enquêteurs.

    #Enquête #Lula,_Brésil,_Sarkozy,_François_Hollande,_armes,_A_la_Une

  • Christophe Ventura : « Nous sommes peut-être à l’aube d’un séisme politique au #Brésil »
    https://lemediapresse.fr/international/christophe-ventura-nous-sommes-peut-etre-a-laube-dun-seisme-politique-

    Au Brésil, l’immense scandale de #Corruption #Lava_Jato pourrait bien avoir été instrumentalisé pour détruire politiquement le Parti des Travailleurs et son leader historique, #Lula, actuellement incarcéré. Christophe Ventura, directeur de recherche à l’IRIS et spécialiste de l’Amérique Latine, revient sur les dernières révélations du média d’investigation The Intercept et leurs probables conséquences.

    #International #Bolsonaro #Dallagnol #Dilma #Mecanismo #Moro #Petrobras #Roussef

  • Rebondissement dans l’affaire qui éclabousse Lula au Brésil
    ATS - Publié lundi 10 juin 2019 - Le Temps
    https://www.letemps.ch/monde/rebondissement-laffaire-eclabousse-lula-bresil

    Le site « The Intercept » a publié dimanche des informations explosives sur la manière dont les responsables de l’enquête anticorruption Lavage express ont tenté d’empêcher l’ex-président Lula de revenir au pouvoir

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    How and Why The Intercept Is Reporting on a Vast Trove of Materials About Brazil’s Operation Car Wash and Justice Minister Sergio Moro
    Secret Brazil ArchivePart 1
    Glenn Greenwald, Leandro Demori, Betsy Reed -
    June 9 2019,
    https://theintercept.com/2019/06/09/brazil-archive-operation-car-wash

    Secret Brazil Archive Part 2
    Glenn Greenwald, Victor Pougy - June 9 2019
    https://theintercept.com/2019/06/09/brazil-car-wash-prosecutors-workers-party-lula

    A massive archive exclusively provided to the Intercept confirms long-held suspicions about the politicized motives and deceit of Brazil’s corruption investigators.

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    Glenn Greenwald
    ‏@ggreenwald - 19:03 - 9 juin 2019
    https://twitter.com/ggreenwald/status/1137827553618608129
    #Brésil #Lula

  • Juristas brasileños abogan por la libertad de Lula da Silva
    teleSUR | Publicado 29 marzo 2019
    https://www.telesurtv.net/news/brasil-juristas-exigen-libertad-lula-da-silva--20190329-0002.html

    Los juristas afirmaron en un documento entregado a ministros del Superior Tribunal de Justicia que Lula fue encarcelado para frenar su victoria electoral.

    Un grupo de 464 juristas de Brasil entregaron un documento a los ministros de la Quinta Turma del Superior Tribunal de Justicia para exigir la libertad del expresidente Luiz Inácio Lula da Silva, preso desde el 7 de abril del año pasado.

    Los juristas afirman en el texto que Lula es víctima de injusticia y violencia practicada por el Estado, al haber sido condenado por corrupción pasiva y lavado de dinero en un juicio parcial y sin pruebas.

    Asimismo, señalan que la intención del encarcelamiento de Lula era prohibir que se presentara como candidato a las elecciones presidenciales de octubre del año pasado, por liderar todas las encuestas, lo que vaticinaba una victoria en las urnas. (...)

    #Brésil #Lula

  • #Pro-savana

    Vision

    Improve the livelihood of inhabitants of #Nacala_Corridor through inclusive and sustainable agricultural and regional development.

    Missions

    1. Improve and modernise agriculture to increase productivity and production, and diversify agricultural production.

    2. Create employment through agricultural investment and establishment of a supply chain.

    Objective

    Create new agricultural development models, taking into account the natural environment and socio-economic aspects, and seeking market-orientated agricultural/rural/regional development with a competitive edge.

    Principles of ProSAVANA

    1. ProSAVANA will be aligned with the vision and objectives of the national agricultural development strategy of Mozambique, the “Strategy Plan for the Agricultural Sector Development – 2011 – 2020 (PEDSA)”,

    2. ProSAVANA supports Mozambican farmers in order to contribute to poverty-reduction, food security and nutrition,

    3. Activities of ProSAVANA, in particular those involving the private sector, will be designed and implemented in accordance with Principles of Responsible Agricultural Investment (PRAI) and Voluntary Guidelines on the Responsible Governance of Tenure of Land, Fisheries and Forests,

    4. Ministry of Agriculture and Food Security of Mozambique (MASA) and Local Government, in collaboration with Japan International Cooperation Agency (JICA) and the Brazilian Cooperation Agency (ABC), will strengthen dialogue and involvement of civil society and other appropriate parties,

    5. Appropriate consideration will be given for mitigation of the environmental and social impacts, which might be provided through the activities under ProSAVANA.

    Approaches of ProSAVANA

    1. Incorporate the results of relevant studies on the natural conditions and socio-economic situations, to support the establishment of appropriate agricultural development models,

    2. Increase agricultural productivity and production through appropriate measures, including improvement of farming systems, access to agricultural extension services including techniques and quality/quantity of inputs, value chain system and expansion of farmland,

    3. Promote diversification of agricultural production, based on research results to increase profitability,

    4. Provide opportunities to change from subsistence agriculture into a sustainable agriculture, with respect given to the farmers´ sovereignty,

    5. Strengthen the capacity and the competitiveness of farmers and farmers’ organisations,

    6. Enhance the enabling environment to promote responsible investments and activities, aiming to establish a win-win relationship between small-scale farmers and agribusiness firms,

    7. Promote and strengthen local leading farmers to disseminate and scale-up development impacts,

    8. Establish regional agricultural clusters and develop value chain systems,

    9. Promote public and private partnership as one of the driving forces for inclusive and sustainable agricultural development.

    http://www.prosavana.gov.mz
    #Pro_savana #land_grabbing #terres #Mozambique #accaparement_de_terres

    ping @odilon

    Apparemment, le programme a été arrêté avant d’être implémenté.
    Programme qui avait été promu par #Lula

    • What Happened to the Biggest Land Grab in Africa? Searching for #ProSavana in Mozambique

      What if you threw a lavish party for foreign investors, and no one came? By all accounts, that is what’s happening in Mozambique’s Nacala Corridor, the intended site for Africa’s largest agricultural development scheme – or land grab, depending on your perspective.

      The ProSavana project, a Brazilian-and-Japanese-led development project, was supposed to be turning Mozambique’s fertile savannah lands in the north into an export zone, replicating Brazil’s success taming its own savannah – the cerrado – and transforming it into industrial mega-farms of soybeans. The vision, hatched in 2009, but only revealed to Mozambicans in 2013, called for 35 million hectares (nearly 100 million acres) of “underutilized” land to be converted by Brazilian agribusiness into soybean plantations for cheaper export to China and Japan.

      In my two weeks in Mozambique, including one week in the Nacala Corridor, I had a hard time finding evidence of any such transformation. It was easy, though, to find outrage at a plan seen by many in the region as a secret land grab. That resistance, which has evolved into a tri-national campaign in Japan, Brazil, and Mozambique to stop ProSavana, is one of the reasons the project is a currently a dud.

      The new face of South-South investment?

      I came to look at ProSavana because, out of all the large-scale projects I studied over the course of the last year, this one sounded almost plausible. It wasn’t started by some fly-by-night venture capitalist, growing a biofuel crop he’d never produced commercially for a market that barely existed. That’s what I saw in Tanzania, and such failed land grabs litter the African landscape.

      ProSavana at least knew its investors: Brazil’s agribusiness giants. The planners also knew their technology: Brazil’s soybeans, which had adapted to the harsh tropical conditions of Brazil’s cerrado. And they knew their market: Japan’s and China’s hog farms and their insatiable appetite for feed, generally made with soybeans. That was already more than a lot of these grand schemes had going for them.

      I was also compelled by the sheer scale of the project. When first announced, ProSavana was to encompass 35 million hectares of land, an area the size of North Carolina. That would have made it the largest land acquisition in Africa.

      ProSavana also interested me because it was not the usual neo-colonial megaproject promoted by the Global North. It was a projection of Brazil’s agro-export prowess. This was South-South investment, the new wave of development in a multipolar world. Wouldn’t Brazil do this differently, I wondered, with the kind of strong developmental focus that had characterized the country’s ascendance under the leadership of the left-leaning Workers’ Party?

      ProSavana’s premise was that the soil and climate in the Nacala Corridor of Mozambique were similar to those found in the cerrado, so technology could be easily adapted to tame a region inhospitable to agriculture.

      Someone should have gone there before they issued the press releases.

      It turns out that the two regions differ dramatically. The cerrado had poor soils, which technology was able to address. That’s also why it had few farmers, and those that were there could be moved by Brazil’s then-military dictatorship. The Nacala Corridor, by contrast, has good soils, which is precisely why it is the most densely-populated part of rural Mozambique. (If there are good lands, you can bet civilization has discovered them and is farming them.)

      Mozambique also has a democratic government, forged in an independence movement rooted in peasant farmers’ struggle for land rights. So the country has one of the stronger land laws in Africa, which grants use rights to farmers who have been farming land for ten years or more.

      The disconnect between the claims ProSavana was making to its investors and the reality of the situation reached almost laughable proportions. Agriculture Minister Jose Pacheco led sales visits to Mozambique, organized by Brazil’s Getulio Vargas Foundation, which had put together the agribusiness-friendly draft “Master Plan” that was leaked to Mozambican civil society organizations in March 2013. Brazil’s biggest farmers came looking for thousands of hectares of land, only to find three disappointments: they couldn’t own land in Mozambique; what land they could lease was by no means empty; and it was far from the ports, with no decent roads to transport their soybeans. Brazil’s soybean mega-farmers packed up their giant combines and went back to the cerrado, where there are still millions of hectares of undeveloped land.

      A kinder, gentler ProSavana

      There are a few large soybean farms in Gurue, producing for the domestic poultry industry; but nothing like the export boom promised by ProSavana. According to Americo Uaciquete of ProSavana’s Nampula office, Brazilian farmers came expecting 40,000 hectares free and clear. He told me no investor could expect that in the Nacala Corridor. The only foreign investors who will farm there, he said, are those willing to take 2,000 hectares and involve local farmers.

      To me, that sounded like a very quick surrender on the ProSavana battlefield. Couldn’t the Mozambican government open larger swaths of land?

      “Not without a gun,” Uaciquete said, clearly rejecting that path. “We are not going to impose the Brazilian model here.” He went on to describe ProSavana as a support program for small-scale farmers, based on its two non-investment components: research into improved locally adapted seeds, and extension services to improve productivity.

      In Maputo, the ProSavana Directorate did its best to polish up the new, development-friendly ProSavana. Jusimere Mourao, of Japan’s cooperation agency, had it down best. She lamented that ProSavana was “poorly timed” because its “announcement” (a leak) “coincided” with international concerns about land grabbing. Hmmm….

      After taking civil society concerns into account, she said, the program had issued a new “concept note” and the Master Plan is under revision. “Small and medium producers are the main beneficiaries of ProSavana,” she said. “We have no intention of promoting the taking of their land. It would be a crime.” It’s not about promoting foreign investment, she assured me; that is up to the Mozambican government.

      The turnaround was stunning, and welcome, if not quite believable. It certainly had not quieted the coalition calling for an end to ProSavana until farmers and civil society groups are consulted on the agricultural development plan for the Nacala Corridor.

      Luis Sitoe, Economic Adviser to the Minister of Agriculture, smirked when I told him I’d been in the region researching ProSavana. “Did you find anything?” For him, ProSavana had failed.

      But lest I think anything profound had been learned from that experience, he reassured me that the Mozambican government remains firmly committed to relying on large-scale foreign investment to address its agricultural underdevelopment.

      He pulled out a two-inch-thick binder to show me he was serious. It was the project proposal for the Lurio River Valley Development Project, a 200,000-hectare irrigation scheme right there in the northern Nacala Corridor. Was it part of ProSavana? Absolutely not. Had the communities been consulted on this ambitious project along the heavily populated river valley?

      “Absolutely not,” said Vicente Adriano, research director at UNAC, Mozambique’s national farmers’ union, which had just presented its own agricultural development plan, based on the country’s three million family farmers.

      The ProSavana directorate is still promising a new Master Plan for the project in early 2015. So it would be a mistake to think that ProSavana is dead. Large-scale land deals certainly aren’t, however they are branded. Investors may just be waiting for the Mozambican government to bring more to the table than just promotional brochures. Things like land, which turns out to be rather important for a successful land grab. In the Nacala Corridor, that land is anything but unoccupied.

      https://foodtank.com/news/2014/12/what-happened-to-the-biggest-land-grab-in-africa-searching-for-prosavana-i

  • « Lula, le prisonnier politique le plus important au monde » | Textes à l’appui
    Là-bas si j’y suis | Le 24 octobre 2018
    https://la-bas.org/la-bas-magazine/textes-a-l-appui/noam-chomsky-j-ai-rencontre-lula-le-prisonnier-politique-le-plus-important-a
    https://la-bas.org/local/cache-gd2/6b/87bab6cd31ba8c8f6bce1feb4324b5.jpg?1540400822

    Fin septembre, accompagné de sa femme, Noam CHOMSKY (89 ans) est venu à la prison de Curitiba, capitale du Paraná, pour rendre visite à LULA, ancien président du Brésil. Alors qu’il était donné largement favori pour les élections, LULA a été condamné à une peine de 12 ans de prison pour corruption. Une peine qu’il conteste tout comme une grande partie des Brésiliens. Pour CHOMSKY, LULA est avant tout un prisonnier politique. Il dit pourquoi dans un article publié sur THE INTERCEPT. Nous vous en proposons une traduction :

    « Ma femme Valeria et moi, nous venons de rendre visite à celui qui est sans doute le prisonnier politique le plus important de notre époque, d’une importance sans équivalent dans la politique internationale contemporaine. Ce prisonnier, c’est Luiz Inácio Lula da Silva – plus connu dans le monde sous le nom de « Lula » – condamné à la prison à vie et à l’isolement, sans accès à la presse et avec des visites limitées à un jour par semaine.

    Le lendemain de notre visite, au nom de la liberté de la presse, un juge a autorisé le plus grand journal du pays, Folha de S. Paulo, à interviewer Lula. Mais un autre juge est aussitôt intervenu pour annuler cette décision, alors que les criminels les plus violents du pays – les chefs de milice et les trafiquants de drogue – sont régulièrement interviewés depuis leurs prisons. Pour le pouvoir brésilien, emprisonner Lula ne suffit pas : ils veulent s’assurer que la population, à la veille des élections, n’entende plus parler de lui. Ils semblent prêts à employer tous les moyens pour atteindre cet objectif.

    Le juge qui a annulé la permission n’innovait pas. Avant lui, il y a eu le procureur qui a condamné Antonio Gramsci pendant le gouvernement fasciste de Mussolini en 1926, et qui déclarait : « nous devons empêcher son cerveau de fonctionner pendant 20 ans. »

    Nous avons été rassurés, mais pas surpris, de constater qu’en dépit des conditions de détention éprouvantes et des erreurs judiciaires scandaleuses, Lula reste un homme très énergique, optimiste quant à l’avenir et plein d’idées pour faire dévier le Brésil de sa trajectoire désastreuse actuelle.

    Il y a toujours des prétextes pour justifier un emprisonnement – parfois valables, parfois pas – mais il est souvent utile d’en déterminer les causes réelles. C’est le cas en l’espèce. L’accusation principale portée contre Lula est basée sur les dépositions d’hommes d’affaires condamnés pour corruption dans le cadre d’un plaider-coupable. On aurait offert à Lula un appartement dans lequel il n’a jamais vécu.

    Le crime présumé est parfaitement minime au regard des standards de corruptions brésiliens – et il y a à dire sur ce sujet, sur lequel je reviendrai. La peine est tellement disproportionnée par rapport au crime supposé qu’il est légitime d’en chercher les vraies raisons. Il n’est pas difficile d’en trouver. Le Brésil fait face à des élections d’une importance cruciale pour son avenir. Lula est de loin le candidat le plus populaire et remporterait facilement une élection équitable, ce qui n’est pas pour plaire à la ploutocratie.

    #Brésil #Lula
    autre traduction : https://seenthis.net/messages/729317

  • #Brésil : Un juge annule l’ordre de libération de l’ex-président #Lula
    https://www.20minutes.fr/monde/2304091-20180708-bresil-juge-annule-ordre-liberation-ex-president-lula
    https://img.20mn.fr/jf-sDUcqS6qC61qKqh2rvg/648x360_ancien-president-bresilien-luiz-inacio-lula-da-silva-2-avril-2018-r

    La police fédérale doit s’abstenir « de pratiquer un quelconque acte qui modifie la décision collégiale » de condamner Lula à 12 ans et un mois de prison pour corruption, a affirmé le juge Joao Pedro Gebran Neto, décidant que l’ex-président (2003-2010) devrait rester dans sa prison de Curitiba (sud).

    Il annule ainsi la décision du juge Rogerio Favreto, qui se trouvait de permanence ce week-end au TRF4 et avait décidé d’accepter une demande d’Habeas Corpus présentée vendredi par plusieurs députés du Parti des Travailleurs (PT), fondé par Lula en 1980.

  • #Lula en prison, climat délétère au #Brésil
    https://www.mediapart.fr/journal/international/080418/lula-en-prison-climat-deletere-au-bresil

    Lula a finalement accepté de se livrer à la #Justice et a passé samedi 7 avril sa première nuit en prison. Il a été « Pas de prison pour Lula » : des manifestants à Sao Bernardo do Campo, le 5 avril 2018 © Reuters / Paulo Whitaker condamné à 12 ans de prison dans le scandale de corruption Petrobras. L’ancien président brésilien et ses soutiens politiques dénoncent un complot politique, alors que la figure du PT est toujours le favori des élections présidentielles d’octobre prochain. Le climat politique est délétère.

    #International #Dilma_Roussef

  • BRÉSIL URGENT : LA DÉMOCRATIE ASSASSINÉE - Chronique d’un coup d’Etat.

    La prison de Lula, décretée ce jeudi soir (5 avril) marque l’apothéose d’un coup d’Etat minutieusement préparé et mis en route depuis 2014. Les versions des grands médias en Europe ne font que reproduire celles des 5 grands groupes de communication brésiliens, tous dans les mains de 5 grandes familles impliquées dans le coup d’Etat. Voici une chronologie explicative des évènements. Merci de le faire circuler de toute urgence. La situation au Brésil est des plus graves et demande la solidarité internationale.

    http://cidadesparaquem.org/blog/2018/4/7/brsil-urgent-la-dmocratie-assassine-chronique-dun-coup-detat
    #Brésil #démocratie #Lula #coup_d'état #chronologie

    Je partage ce billet, mais je ne connais pas du tout la situation au Brésil pour pouvoir en juger.

  • Brasilien: Lula wendet sich an die Vereinten Nationen (http://www.z...
    https://diasp.eu/p/6976688

    Brasilien: Lula wendet sich an die Vereinten Nationen

    Ein brasilianisches Gericht hat Ex-Präsident Lula aufgefordert, sich bis zum Abend bei der Polizei zu melden. Nun wandte sich Lula an den Menschenrechtsausschuss der UN.

    #lula #ausland #brasilien #vereinten #nationen #gericht #ex-präsident #präsident #expräsident #abend #polizei #news #bot #rss