• Free Palestine 𓂆 from the river to the sea sur X :
    https://x.com/MuznaShihabi/status/1927341143974351280

    Non, le problème ce n’est pas Netanyahu.

    Et non, Israël n’a pas « basculé » dans l’extrême droite.

    Ce que beaucoup qualifient de dérive est en réalité une continuité. Netanyahu n’a pas trahi l’esprit d’Israël.

    Il l’a accompli. Depuis 1948, un système a été mis en place ; exproprier, enfermer, fragmenter, effacer.

    Un régime d’apartheid pensé, structuré, enseigné.

    Pas un accident de parcours. Une doctrine.

    Comme l’a montré Nurit Peled-Elhanan, les manuels scolaires israéliens n’accordent aux Palestiniens ni noms, ni visages, ni douleurs. Aucune histoire, aucun droit. Juste des ombres menaçantes. Des cibles.

    On prépare les massacres à l’école. Et le mythe du « glissement » est une stratégie d’aveuglement.

    Il rassure les consciences, détourne les regards, préserve le mythe d’un « bon #sionisme » trahi par ses extrêmes. Mais on ne tombe pas dans l’inhumanité.

    On y va. Pas à pas. Et souvent, sous applaudissements de l’occident. Il est temps d’appeler les choses par leur nom. L’injustice n’est pas nouvelle.

    Donnez le micro aux Palestiniens pour comprendre.

    #médias #narrative

  • Les vidéos des complotistes sur l’arrivée #pitoyable du couple présidentiel français à Hanoï.
    On va bientôt toucher le fond !

    Opération coup de poing... Ce qui devait être une visite d’État solennelle au Vietnam a tourné à la tragicomédie, voire au désastre diplomatique. À peine le pied posé à Hanoï, Emmanuel Macron n’a pas été accueilli par les honneurs d’usage… mais par un geste pour le moins fracassant de son épouse, Brigitte Macron.

    Les vidéos sur x : https://x.com/Fils2Psy/status/1926745198287073708?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E19267451

    Source https://lemediaen442.fr/alerte-macron-gifle-par-brigitte-a-sa-descente-davion-au-vietnam-scene-

    C’est même mentionné dans le Figaro sous forme d’un démenti : https://www.lefigaro.fr/politique/video-du-couple-macron-dans-l-avion-l-elysee-dement-le-coup-au-visage-et-ev

    #France #macron #médias

  • Comment protéger nos enfants des écrans et des réseaux sociaux ? Le point avec un chercheur de Nantes - HIT WEST
    https://hitwest.ouest-france.fr/comment-proteger-nos-enfants-des-ecrans-et-des-reseaux-sociaux-

    Alors qu’Emmanuel Macron souhaite une interdiction des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans dans toute l’Europe, les plateformes ne semblent pas prêtes à prendre leur part de responsabilité. Alors comment se prémunir des risques ? Olivier Ertzscheid connait bien le sujet, il est enseignant chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Nantes .

    Harcèlement, risques sur la santé mentale, dysmorphophobie, addictions, désinformation... Les raisons de limiter voire interdire les réseaux sociaux aux plus jeunes sont nombreuses. Une interdiction pure et simple de ces plateformes aux moins de 15 ans, c’est même le souhait d’Emmanuel Macron qui l’a répété cette semaine, lors de la remise des prix « Non au harcèlement » au palais de l’Elysée.

    Au-delà des réseaux sociaux, les professionnels s’accordent à dire que l’exposition aux écrans à un jeune âge est particulièrement toxique pour la santé mentale. Fin avril déjà, cinq sociétés savantes, dont la Société française de pédiatrie, appelaient à proscrire les écrans pour les moins de six ans. Des écrans jugés délétères car ils altèreraient durablement leur santé et leurs capacités intellectuelles.

    Pas d’écran avant de 3 ans, jamais d’écran tout seul entre 3 et 6 ans

    Pourtant quand on est parent, quelques règles s’imposent, selon Olivier Ertzscheid, enseignant chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Nantes. « La règle qui fait à peu près consensus, c’est celle formulée notamment par le psychiatre Serge Tisseron : pas d’écran avant de 3 ans, jamais d’écran tout seul entre 3 et 6 ans, et de 6 à 9 ans, un accompagnement éducatif avec un temps d’écran limité.

    La période clé est vraiment la période de la toute petite enfance, quand un enfant est devant un écran, il n’a pas d’interaction visuelle directe avec d’autres enfants ou d’autre adultes, toute la maturité émotionnelle passe par le rapport à l’autre, et après dès qu’on arrive dans une phase d’adolescence, les écrans ne sont pas toujours des ennemis toxiques, tels qu’on se plaît souvent à le décrire de manière un peu caricaturale, il y a beaucoup d’essais de socialisation qui chez les adolescents passent aussi par les écrans, parce qu’ils sont en lien avec d’autres adolescents, malheureusement il y aussi un nombre de dérives très importantes ».
    Olivier Ertzscheid, enseignant chercheur à Nantes

    Au cœur du problème, notamment, le réseau social TikTok et son absence de réglementation. "Toutes les 6 à 10 secondes on a une interaction, cela veut dire qu’on passe à la vidéo suivante, on revisionne la vidéo en boucle et chaque fois qu’on interagit avec un algorithme, on lui donne de l’information et il nous connaît de mieux en mieux.

    C’est ce qui fait que cet algorithme de TikTok est présenté comme très addictif. Comme on a un rythme d’interaction très fort avec lui et comme il s’agit en plus de publics très jeunes, le rapport qui va s’installer va très vite être un rapport de dépendance. Il est de la responsabilité de la plateforme TikTok d’éradiquer les contenus qui sont clairement identifiés comme des contenus toxiques. Ces plateformes savent parfaitement repérer ces contenus problématiques et dangereux et elles refusent, pour des raisons qui sont principalement économiques.

    Ces plateformes doivent « les modérer efficacement, c’est-à-dire les retirer, ou éviter que des publics dont elles connaissent l’âge ne se retrouvent face à ces contenus-là ». Une donnée interroge, celle fournie par la CNIL : en 2021, l’âge moyen d’inscription sur un réseau social dans notre pays s’élevait à 8,5 ans alors que ces plateformes sont en théorie prohibées pour les moins de 13 ans.

    Peaux lisses, corps saillants, fitres à tout-va... Les codes d’Instagram ou de TikTok peuvent entraîner une perte d’estime de soi. Les utilisateurs peuvent même développer un trouble, la dysmorphophobie, qui se caractérise par une obsession constante relative à des défauts physiques, souvent minimes voire même inexistants aux yeux des autres.

    Le phénomène « SkinnyTok »

    « À force d’être confrontés à des représentations travaillées avec des filtres et qui ne sont pas des vrais visages ou corps, on arrive par effet miroir à trouver que son propre visage ou son propre corps ne correspond pas à ces standards que l’on voit en ligne. On en a beaucoup parlé par exemple avec ce qu’on appelle le SkinnyTok c’est-à-dire sur TikTok, ces corps d’adolescents et de jeunes adultes extrêmement amaigris qui tendent à définir une espèce de standard de beauté puisque l’algorithme de TikTok choisit de les mettre en permanence en avant alors qu’il sait pertinemment que derrière ça va occasionner ou aggraver en tout cas un certain nombre de phénomènes liés à des troubles alimentaires ».
    Olivier Ertzscheid, enseignant chercheur à Nantes

    Preuve que le cyberharcèlement est un phénomène d’ampleur, 20% des 6-18 ans ont été confrontés aux violences en ligne. Un chiffre porté à 60% chez les 18-25 ans. Le harcèlement en ligne est puni sévèrement par la loi : deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. Ces peines peuvent êre plus lourdes si la victime est mineure.

    #Médias_sociaux #Olivier_Ertzscheid

  • 20 ans d’infos anti-autoritaires : semaine d’anniversaire de Rebellyon !
    https://ricochets.cc/20-ans-d-infos-anti-autoritaires-semaine-d-anniversaire-de-Rebellyon-8407.

    En 2025, Rebellyon souffle ses vingt bougies ! Pour marquer le coup, les ami·es du site vous donnent rendez-vous la semaine du 9 au 14 juin pour fêter ça avec des ateliers, des tables rondes, des concerts, une projection et d’autres surprises. Deux décennies d’informations anti-autoritaire, ça se fête ! Votre site préféré, né des expérimentations et bidouilles informatiques de la vague de création des sites Indymedia entre 2004 et 2005, est encore là pour durer. Quand on jette un coup (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions

  • EU-Wahrheitsregime
    https://www.jungewelt.de/artikel/500503.eu-wahrheitsregime.html

    Als Aktivisten der Palästina-Solidarität am 23. Mai 2024 ein Institut der Humboldt-Universität in Berlin besetzten, berichtete Red exklusiv aus den Räumen Fotostand/IMAGO

    Le délit de journalisme est sanctionné par l’UE . Dans le texte qui justifie la.sanction l’institution politique copie les accusatioms du journal réactionnaire Tagesspiegel et du Taz. Nous sommes témoins d’une politique de Burgfrieden comme en 1914.
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Burgfrieden
    On sanctionne chaque voix dissedente qui ose relater les fait qui contredisent le discours officiel.

    22.5.2025 von Nick Brauns - Das am Dienstag veröffentlichte 17. Sanktionspaket des Rates der Europäischen Union gegen Russland, das Reisebeschränkungen, das Einfrieren von Vermögenswerten sowie das Verbot der Bereitstellung von Geldern oder anderen wirtschaftlichen Ressourcen beinhaltet, richtet sich auch gegen Medienschaffende aus Deutschland.

    Betroffen ist neben den in Russland tätigen Journalisten Alina Lipp und Thomas Röper der Gründer des linken Projekts Red Media, Hüseyin Doğru. Dessen ebenfalls auf der Sanktionsliste genannte Betreiberfirma AFA Medya befindet sich inzwischen in Liquidation. Die Schließung ist laut Red durch eine Kampagne deutscher staatlicher Stellen im Verbund mit Zeitungen wie dem Tagesspiegel und der Taz als Stichwortgebern erzwungen worden.

    Tatsächlich lesen sich die Vorwürfe auf der Sanktionsliste wie aus diesen Zeitungen abgeschrieben. So wird gegen Red nicht etwa eine Rechtfertigung des von Doğru explizit als imperialistisch kritisierten russischen Krieges gegen die Ukraine angeführt, sondern das Eintreten für die Rechte der Palästinenser.

    Red unterhalte Verbindungen zu russischen staatlichen Propagandaeinrichtungen, gibt die Sanktionsliste eine vom Tagesspiegel aufgestellte und von dort zuerst vom früheren US-Außenminister Antony Blinken übernommene Behauptung wieder. Die Medienplattform werde genutzt, »um systematisch Falschinformationen zu politisch kontroversen Themen zu verbreiten, mit der Absicht, ethnische, politische und religiöse Unstimmigkeiten unter seiner überwiegend deutschen Zielgruppe zu schüren, unter anderem durch die Verbreitung der Narrative radikaler islamistischer Terrororganisationen wie der Hamas«. Als »Beleg« angeführt wird die Exklusivberichterstattung der vorwiegend auf Englisch schreibenden und auf ein internationales Publikum zielenden Red-Journalisten aus dem Inneren eines von Palästina-Aktivisten besetzten Instituts der Berliner Humboldt-Universität. Durch »die indirekte Unterstützung und Erleichterung gewalttätiger Demonstrationen und durch Informationsmanipulation« unterstützten Doğru und AFA Medya Maßnahmen der russischen Regierung zur Untergrabung von Stabilität und Sicherheit der EU und ihrer Mitgliedstaaten, so das Fazit auf der Liste.

    Die so begründete Sanktionierung ist nicht nur ein Angriff auf ein linkes Medienportal und dessen Gründer, der per bürokratischem Akt ohne Gerichtsurteil seiner bürgerlichen Existenzgrundlagen beraubt wird. Es handelt sich um einen gefährlichen Präzedenzfall, um im Namen des Kampfes gegen »Desinformation« kritischem Journalismus, der die offiziellen Narrative der EU infrage stellt, den Boden zu entziehen. Willfährige Helfer findet das EU-Wahrheitsregime in Deutschland in einem Kartell liberaler und konservativer-bürgerlicher Medien, Journalisten und staatlich subventionierter »Faktenchecker«, das sich gegen abweichende Meinungen in Stellung gebracht hat. Wehret den Anfängen!

    #Europe #sionisme #censure #médias

  • Gauche « antisémite » : l’amnésie très suspecte des médias dominants

    Les journalistes qui demandent tous les jours à la gauche et plus particulièrement à la France insoumise si elle est « suffisamment claire avec l’antisémitisme » sont-ils, eux-mêmes, complètement clairs sur ce sujet ? Tentative de réponse.

    https://www.blast-info.fr/articles/2025/gauche-antisemite-lamnesie-tres-suspecte-des-medias-dominants-taedrm5JSTq

    #Zemmour
    #Darmanin
    #Macron
    #medias
    #antisémitisme

  • Frédéric Aigouy : Les médias indépendants sont en danger !

    via https://diasp.eu/p/17611999

    Frédéric #Aigouy is a French freelance journalist. He worked for RT France until its liquidation in 2023, covering topics such as Brexit and the Yellow Vest protests. In 2024, he was denied accreditation at the Élysée Palace after asking a question about the sabotage of #NordStream, denouncing an attack on press freedom. He is praised for his respect for journalistic ethics.

    https://inv.nadeko.net/watch?v=YJ-mnFAKiiY

    https://www.youtube.com/watch?v=YJ-mnFAKiiY

    #UE #Ursula #UVDL #pipolitique #dictature #europe #Georgescu #Roumanie #simion #OTAN #Allemagne #Ukraine #Russie #France #macron #macronie #médias #merdias #médiavers #narratif #désinformation #censure #propagande

    Substack de F. Aigouy
    Chronique d’un effondrement
    https://fredericaigouy.substack.com

  • #Charte_de_Marseille sur l’#information et les #migrations

    La Charte pour une couverture médiatique des migrations, dans le respect de la déontologie journalistique » dite “Charte de Marseille” a été présentée lors des Assises du Journalisme & Citoyenneté à Marseille, le 29 avril 2025.

    Cette #charte_déontologique veut guider les journalistes vers une couverture précise, complète et respectueuse des questions migratoires. Elle établit onze principes fondamentaux incluant le #respect de la #dignité, la lutte contre les #stéréotypes, la #responsabilité professionnelle, l’équilibre entre factuel et humain, la formation continue, la communication élargie et l’évaluation régulière des pratiques. Son objectif est de promouvoir un #journalisme_responsable qui contextualise les migrations et donne la parole aux personnes concernées.

    https://chartejournalismemigrations.fr

    #migrations #charte #déontologie #éthique #médias #journalisme #France

    voir aussi, en Italie, la #Carta_di_Roma :
    https://www.cartadiroma.org
    https://it.wikipedia.org/wiki/Carta_di_Roma

    et en Suisse, le projet le #Comptoir_des_médias :
    https://asile.ch/comptoir-des-medias

    ping @karine4

  • Diffamazione e falsità contro le Ong in mare. La prima vittoria in tribunale per la #Louise_Michel

    Il Tribunale di Bologna ha condannato un giornalista del Quotidiano Nazionale per un articolo pubblicato in seguito al sequestro della nave due anni fa. È la prima di quindici cause promosse dalla Ong contro diversi media italiani, accusati di colpire l’organizzazione e la comandante #Pia_Klemp. “Pubblicare e diffondere informazioni false è un reato grave perché alimenta l’agenda dello Stato italiano contro la migrazione e le persone solidali”

    “Siamo andati in tribunale e abbiamo vinto”. Con queste parole pubblicate sui propri canali social l’organizzazione di ricerca e soccorso Louise Michel ha commentato la sentenza del Tribunale di Bologna, che a metà aprile ha condannato un giornalista del Quotidiano Nazionale per diffamazione.

    In occasione dell’udienza l’imputato ha ritirato l’opposizione, rendendo così definitiva la condanna. Si tratta della prima azione legale andata a sentenza tra le cause avviate dalla Ong nei confronti di 15 mezzi di informazione del nostro Paese.

    I processi si fondano su alcuni articoli pubblicati all’indomani del fermo della MV Louise Michel, avvenuto nel marzo del 2023. Due anni fa la nave di ricerca e soccorso, finanziata da Banksy, era stata sottoposta infatti a fermo amministrativo dalle autorità italiane nel porto di Lampedusa in seguito al salvataggio di 178 persone, portato a termine in quattro operazioni distinte. Il provvedimento è stato motivato dalla presunta violazione del cosiddetto “decreto Piantedosi”. Questo dispositivo regola le attività delle Ong impegnate nel soccorso nel Mediterraneo centrale e stabilisce che dopo un solo salvataggio deve essere effettuato lo sbarco immediato delle persone.

    In una nota la Ong ha spiegato che “in seguito a questo sequestro, diverse fonti giornalistiche italiane hanno pubblicato informazioni false sul progetto e su una delle sue fondatrici, Pia Klemp”.

    Al momento del fermo, infatti, la comandante tedesca non si trovava a bordo della nave, né in Italia e a suo carico non vi è alcuna denuncia, come erroneamente riportato dagli organi di stampa citati in giudizio dall’organizzazione. Tra il 2016 e il 2017, Pia Klemp, biologa e attivista per i diritti civili, è stata la comandante della nave Iuventa -supportata dalla Ong tedesca Jugend Rettet-, che contribuì a trarre in salvo circa 14.000 persone.

    Dal 2017 al 2024 l’organizzazione è stata indagata dalla Procura di Trapani in relazione a tre eventi di soccorso avvenuti nel settembre del 2016 e nel giugno del 2017. Secondo l’accusa la Iuventa avrebbe favorito l’ingresso illegale di persone migranti in Italia, sottraendole alle autorità competenti e agevolando l’attività dei trafficanti, agendo in modo “non neutrale” e al di fuori dei protocolli ufficiali. Nel 2021 il giudice per le indagini preliminari del Tribunale di Trapani ha archiviato le accuse nei confronti di quattro membri dell’equipaggio -tra cui Pia Klemp- stabilendo che “il fatto non costituiva reato e che le attività di salvataggio si erano svolte in conformità con il diritto del mare”.

    Inoltre il giudice ha rilevato che non vi era alcuna prova di collusione con i trafficanti. Il processo si è concluso definitivamente il 19 aprile 2024 con una sentenza di non luogo a procedere per tutti gli altri imputati, accogliendo la richiesta della stessa Procura, che smentendo il suo stesso impianto accusatorio aveva riconosciuto l’insussistenza delle prove a loro carico.

    Alla luce di questi fatti secondo Amnesty International questa indagine va inserita “nel quadro della criminalizzazione della solidarietà, che molti Stati europei hanno deliberatamente perseguito per ostacolare, anche attraverso l’uso del diritto penale, chi in questi anni ha prestato assistenza e offerto solidarietà a rifugiati e migranti”.

    Nel suo comunicato l’organizzazione Louise Michel ha quindi ribadito che “le indagini contro Klemp sono state archiviate nel 2021, due anni prima del fermo della nave e di tutti gli articoli che ne sono seguiti”, sottolineando anche come “i giornali coinvolti nell’azione legale hanno utilizzato il coinvolgimento di Klemp nel caso Iuventa per consolidare una narrazione razzista e misogina, creando un collegamento tra Ong e trafficanti”.

    Nel processo di Bologna, oggetto specifico della denuncia, era un articolo pubblicato dal Quotidiano Nazionale, accusato di aver riportato affermazioni false e di aver banalizzato l’impegno di Klemp, concentrandosi sul suo aspetto fisico, sulla sua età e sfruttando la sua immagine e il suo nome al fine di attirare l’attenzione del pubblico.

    Klemp ha accolto con soddisfazione la sentenza, definendo “la falsa informazione un metodo indegno con risultati catastrofici”. La comandante della Louise Michel, inoltre, ha richiamato i media al loro dovere di “informare il pubblico piuttosto che diffondere bugie e narrazioni razziste”, evidenziando come “la migrazione viene screditata come un accumulo infinito di crimini, con conseguenze mortali per migliaia di persone migranti”.

    A questo proposito, l’organizzazione ha evidenziato che “l’obiettivo di queste false narrazioni è quello di criminalizzare individui e Ong come strumento per criminalizzare la migrazione” e che pertanto “questo tipo di diffamazione non si limita a screditare chi offre sostegno, ma prende di mira i rifugiati e le persone migranti, con conseguenze letali per loro”.

    Le date delle prossime udienze contro le altre testate citate in giudizio non sono state ancora rese note ma la lotta della Ong prosegue con determinazione. Lo conferma Francesca Cancellaro, avvocata di Klemp e della Louise Michel. Commentando la sentenza del Tribunale di Bologna, le legale ha dichiarato che “pubblicare e diffondere informazioni false è un reato grave perché alimenta l’agenda dello Stato italiano contro la migrazione e le persone solidali. Siamo qui per opporci a questa prassi e per il diritto di tutti e di tutte a una corretta informazione su questa vicenda politica”.

    https://altreconomia.it/diffamazione-e-falsita-contro-le-ong-in-mare-la-prima-vittoria-in-tribu
    #victore #justice #migrations #sauvetage #mer #mer_Méditerranée #réfugiés #tribunal #journalisme #fake-news #médias

  • Appel à contenus pour le prochain numéro de RICOCHETS papier
    https://ricochets.cc/Appel-a-contenus-pour-le-prochain-numero-de-RICOCHETS-papier-8369.html

    Le journal papier Ricochets s’essoufle et on a du mal à prendre le temps de relancer des dynamiques, mais l’été arrivant on s’est dit que quand même ça serait chouette un journal papier pour l’été, quitte à le faire plus gros si on reçoit de nombreux articles. En tout cas, voici la proposition est faite.

    Envoyez des textes critiques, de la poésie, des jeux, des dessins. Proposez de nouvelles chroniques sur ce qui se passe dans la Drôme ou au-delà. Si vous êtes inspiré pour écrire sur (...) #Les_actus_de_RICOCHETS

    / #Médias_et_expressions

  • Les médias, toujours contre la gauche - Éditions Agone
    https://agone.org/les-medias-toujours-contre-la-gauche

    À l’occasion de la réédition en poche du livre de Pauline Perrenot, Les médias contre la gauche, nous donnons à lire un extrait de son introduction. Et si, comme le signale l’autrice, « nous ne tirons aucune satisfaction à voir les diagnostics ici posés demeurer d’une brûlante actualité », le constat est sans appel, au royaume de l’éditocratie rien n’a changé, ou bien, c’est pire…

    Les médias plus que jamais contre la gauche [LettrInfo 25-VIII] - Éditions Agone
    https://agone.org/les-medias-toujours-contre-la-gauche-lettrinfo-25-viii

    Un an après l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République française, deux auteurs faisaient paraître, pour Acrimed, un livre sous le titre Tous les médias sont-ils de droite ?. Pour être provocatrice, la question indiquait toutefois sans abus une tendance forte. Une quinzaine d’années plus tard, cette tendance s’est confirmée au point que la question qu’on doit se poser maintenant est : tous les médias sont-ils d’extrême droite ?

    #Pauline_Perrenot #journalisme #médias #droite #extrême_droite #politique #éditorialisme #Acrimed

  • Bigoterie en France : Un tsunami de papolâtrie, écœurant, hypocrite et à vomir
    Ni dieu ni maître, à bas la calotte et Vive la Sociale !

    Le corps des pleureuses est au complet, ils sont venus, ils sont tous là, même Giogio le Fils maudit, dès qu’ils ont entendu ce cri : le Pape est mort . De l’extrême-droite à l’extrême-gauche, tous sont affligés, frappés comme les animaux malades de la peste cléricale et ils battent leur coulpe à l’unisson. Il ne manque pas un bouton de guêtre. Le Cléricalisme bouge encore, on voit ainsi pleinement les effets de la pénétration de la Doctrine sociale de l’Église dans tous les partis, les associations et les organisations ; l’infection est là et bien là.

    Tout cela montre qu’ils n’ont jamais rompu vraiment avec leur «  Sainte-Mére l’Église  ». Et chacun se répand en maniant la langue de buis, le bois dont l’Église est taillée. On est en train de subir une overdose d’hosties, de messes, d’encens, mais cela ne durera que le temps où vivent les roses, il ne restera bientôt que les épines, et les vrais problèmes reprendront le dessus, car ils n’ont pas disparu, après cette grande vague d’hypocrisies en tous genres.

    Après les pleureuses , on aura droit aux bookmakers qui parieront doctement sur le Pape qui sera élu et qui supputeront sur le temps que mettra la fumée blanche à survoler le Latran . Certains, comme l’actuel locataire de l’Élysée se diront que cette Union sacrée autour d’une tombe, pourrait bien continuer en une belle Union nationale autour de sa personne. Et il se presse au Vatican pour assister à la messe, après tout n’est-il pas Proto-Chanoine du Latran  ?

    C’est pourquoi, il ne ménage pas sa peine pour violer la loi de Séparation des Églises et de l’État , pour apparaître comme «  le Premier catholique de France  ». Que l’on ne compte pas sur la Fédération nationale de la Libre Pensée pour participer à cette sinistre Commedia dell’arte .

    La mort du pape Bergoglio montre une fois de plus combien un représentant (que certains qualifient aujourd’hui de)  "sympathique" ou "humain" de la hiérarchie catholique peut faire oublier les permanences de l’Église catholique . On perd également vite de vue que l’autonomie géopolitique de la papauté s’est construite dans la longue durée et qu’elle poursuit des buts qui ne sont pas ceux des mouvements émancipateurs.

    Pour s’en rappeler, la Libre Pensée vous renvoie à son analyse du bras de fer entre le Pape et Emmanuel Macron l’an dernier, et vous invite à commander le nouveau numéro d’ Arguments de la Libre Pensée, "Dismas ou le cléricalisme d’extrême-gauche" , qui analyse longuement un épisode de fascination d’une certaine extrême-gauche pour l’épiscopat sud-américain. Ce numéro sera très bientôt disponible.

    Et n’oubliez pas : l’abus d’hosties nuit gravement à la santé mentale.

    FÉDERATION NATIONALE DE LA LIBRE PENSÉE https://www.fnlp.fr

    #France #bigots #bigottes #Hypocrisie #pape #religion #en_vedette des #médias #enfants #violence #impunité #violophilie #pédophilie #culture_du_viol #viol #catholicisme #pédocriminalité #viols #violences_sexuelles #journullistes

  • Kritik am Hannover-Tatort « Im Wahn » : Deutscher Messermörder, fehlerhafte KI
    https://www.berliner-zeitung.de/news/kritik-am-hannover-tatort-im-wahn-deutscher-messermoerder-fehlerhaf

    L’épisode 1301 de la série policière Tatort s’intéresse au risques de l’introduction de l’intelligence artificielle dans le domaine des enquêtes criminelles. Dans le scénario de Georg Lippert une bande criminelle abuse de leur connaissances sur les détails de l’enquête qui sert de test pour leur logiciel #IA afin de manipuler la valeur en bourse de leur entreprise et de gagner plus d’un milliard. Pour y arriver ils tuent une personne et font chuter la valeur des actions de l’entreprise.

    Il est étonnant que personne parmi le commentataires n’ait remarqué que la trame du policier est comme une version à taille réduite des agissements de la bande à Trump. Quand le génie criminel occupe une place centrale dans l’institution, l’IA se transforme en outil pour prendre le pouvoir.

    Je pense que ni les proches du pouvoir, ni les rédacteurs des médias allemands, ni les fanatiques farfelus des réseaux sociaux ne connaissent les observations et l’analyse du système Trump publié par Daniel Grave dans Ill Will : Les Thiel et Musk sont en train de manipuler la société, de détruire ses institutions et de privatiser le pouvoir à tous les niveaux afin de passer de l’ère des milliardaires vers l’age des propriétaires de billions ou trillions.

    L’#IA n’est pas défectueuse, c’est l’institution et son contexte démocratique qu’on a oublié de moderniser et de protéger contre les dangers dans l’ère de l’intelligence artificielle.

    Daniel Grave , Monstertutional Conarchy (12.4.2025)
    https://www.illwill.com/monstertutional-conarchy
    #merci @monolecte pour https://seenthis.net/messages/1110807

    Regarder en ligne Tatort « Im Wahn » (21.4.2025)
    https://www.ardmediathek.de/video/tatort/im-wahn/ndr/Y3JpZDovL25kci5kZS8yMDRjN2FkMy04NDRkLTRjYjAtOTIzNS1iYzIyMmZjZmY0ZmZfZ2F

    Le compte rendu des réactions

    22.4.2024 von Eva Maria Braungart - Am Ostermontag erschien der neue Tatort „Im Wahn“. Ein Unbekannter ersticht darin Menschen am Bahnhof Hannover. Nicht allen gefiel der Film, sogar eine Polizeigewerkschaft kommentiert.

    Der Hannoveraner Tatort „Im Wahn“, der am Ostermontag ausgestrahlt wurde, wird in den sozialen Medien kontrovers diskutiert. In der Folge wird der Hauptbahnhof Hannover zum Schauplatz einer Messerattacke. Ein Mensch ersticht – offenbar völlig willkürlich – zwei Menschen. Für die Ermittlungen wird Bundespolizist Thorsten Falke (Wotan Wilke Möhring) hinzugezogen – dessen Kollegin Julia Grosz vor einem Jahr von einem unbekannten Messerangreifer getötet wurde.

    Bei den Ermittlungen soll ein neues Instrument helfen, das Künstliche Intelligenz (KI) nutzt. Der Hauptverdächtige, der durch die KI herausgefiltert wurde, ist ein psychisch kranker Mann namens Kowalski, der schon mehrfach mit Gewalttaten aufgefallen war.

    Scharfe Kritik an KI im Tatort „Im Wahn“

    Einige Darstellungen im neuen Tatort werden in den sozialen Medien kritisiert. „Der Tatort beginnt direkt mit einer dreiminütigen Propagandasequenz, weil der Bahnhof Hannover gezeigt wird, an dem nur weiße Menschen rumlaufen, während es 2025 in Deutschland buchstäblich keinen Bahnhof in einer Großstadt mehr gibt, der so aussieht wie der im Tatort“, so ein Nutzer auf der Plattform X.

    Der neue #Tatort „Im Wahn“ – um 20:35 Uhr im Ersten und in der #ARDMediathek: https://t.co/onZtkhSaAH https://t.co/ssEPRPEe6W
    — Das Erste (@DasErste) April 21, 2025

    Als der Hauptverdächtige stirbt und ein weiterer Mann auf ähnliche Art und Weise ums Leben kommt, fällt der von der KI gelenkte Verdacht auf einen Muslim. Dieser wird dann durch das SEK mitten am Tag verhaftet, doch der Verdacht gegen ihn erhärtet sich nicht. Letztendlich erweist sich der hinzugezogene KI-Experte als Mörder – um den Börsenkurs seiner Firma zu manipulieren und Milliarden-Gewinne zu machen. „Puh, bin erleichtert. Tatverdächtiger ist weißer Hautfarbe und vermeintlich biodeutsch. Also, alles sehr realitätsnah“, kommentiert ein Nutzer unter dem Post des Ersten zum Tatort auf der Plattform X.

    „War alles da, was woke sein muss: POC, Frau, Mann, Psychotyp, SEK ...“, kommentiert ein anderer Nutzer. Auch die Anfangsszene am Hauptbahnhof Hannover erhält weiter Kritik: „Eine Fahrt mit der U Bahn zum Cottbuser Tor in Berlin oder einmal umsteigen am Bahnhof Zoo ist spannender und realitätsnaher als dieser Tatort. Da braucht man keine KI um zu sehen, wo die Probleme wirklich sind“.

    Miriam Hollstein, Chefreporterin beim Stern, kommentierte auf X angesichts der Kritik an der KI im Tatort: „Ein Tatort gegen die Vorratsdatenspeicherung“. Die Polizeigewerkschaft Hamburg kommentierte auf der Plattform „Schulnote: 4, teilweise geradezu hanebüchene Story“.

    P.S. L’inflation de milliardaires nou pose le problème de l’écriture des très grands nombres. Voilà ce qui faut en savoir :
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/%C3%89chelles_longue_et_courte

    #Allemagne #médias #état_des_choses #TV #Tatort #intelligence_artificielle #data_mining #police #état_sécuritaire

  • Depuis les années 80, les médias contre la gauche à la suite des oligarques et éditocrates
    https://ricochets.cc/Depuis-les-annees-80-les-medias-contre-la-gauche-a-la-suite-des-oligarques

    Cette situation on la sent, on la pressent, mais le livre d’Acrimed produit des analyses utiles pour préciser tout ça à partir de faits, et montre sur la durée l’évolution des médias militants contre la gauche. Ce livre illustre la surpuissance de l’Argent et la domination des éditocrates et médias en phase avec le Pouvoir étatico-capitaliste. Comme le disait en substance le célèbre historien Howard Zinn, ce sont généralement les riches et les dominant qui donnent le LA, qui écrivent (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions, Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://lundi.am/La-guerre-globale-contre-les-peuples
    https://www.acrimed.org/Les-medias-contre-la-gauche-6909
    https://boutique.acrimed.org/-livre-les-medias-contre-la-gauche.html

  • Macron contre l’info Tout ce qu’il fait pour qu’on ne sache rien
    https://www.off-investigation.fr/macron-contre-info-tout-ce-qu-il-fait-pour-qu-on-ne-sache-rien

    Dès 2017, Emmanuel Macron s’en prend à la liberté de l’information : mensonges dans l’affaire Benalla, connivence avec les milliardaires des médias, instrumentalisation de la presse "people", espionnage, voire censure de journalistes. Pendant plusieurs mois, Off Investigation s’est plongé dans les rouages d’une mise à mal de la liberté d’informer, dont les perdants sont les citoyens. Un documentaire signé Matéo Larroque et Étienne Millies-Lacroix. Dès son arrivée à l’Élysée en 2017, le couple Macron ouvre grand les portes du palais présidentiel à Michèle Marchand, dite « Mimi ». L’ancienne trafiquante de drogue et gérante de boite de nuit organise la […]Lire la suite : Macron contre l’info Tout ce qu’il fait pour qu’on ne sache (...)

    #Propagande,les_puissants_contre_la_démocratie–_S3 #Vidéos #Réservé_aux_abonnés

  • Condamnation de Marine Le Pen : « Le discours du RN imprègne le cadrage politico-médiatique du procès »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/04/01/condamnation-de-marine-le-pen-le-discours-du-rn-impregne-le-cadrage-politico

    C’est exactement ça !!!
    Pas un mot à retirer de cette tribune.
    Sacré journalistes qui oublient leur rôle de défense de la société (le "quatrième" pouvoir) en se mettant au service de l’image, de l’audience, du cliché et de la pipelisation de l’information.

    Malgré un jugement méticuleusement étayé, rendu le 31 mars, la large diffusion de la rhétorique des prévenus, outre qu’elle contribue à discréditer le travail des juges, laisse peu de place à l’analyse des pratiques de détournement de fonds publics, remarque la politiste Estelle Delaine, dans une tribune au « Monde ».

    Publié hier à 19h30, modifié hier à 22h40 Temps de Lecture 3 min.

    Article réservé aux abonnés

    Le jugement du tribunal de Paris, rendu lundi 31 mars dans l’affaire des assistants parlementaires du Front national (FN), ancêtre du Rassemblement national (RN) et condamnant les dirigeants du principal parti d’extrême droite français, était attendu.
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Le Monde » publie les principaux extraits du jugement condamnant Marine Le Pen : « Un système mis en place pour alléger les charges du parti »

    Si le motif de ce procès n’est pas inédit en France, l’ampleur du détournement de fonds publics dont est accusée la direction du FN est sans commune mesure dans l’histoire de la Ve République et a nécessité, depuis 2017, de nombreuses audiences et vérifications des preuves. Mais, loin d’être perçue comme l’effet de la méticulosité du travail des juges, l’extension des procédures est interprétée par certains journalistes et membres de la classe politique comme la traduction d’un traitement différencié réservé aux dirigeants du RN.

    Des articles du code pénal établissent le détournement de fonds publics comme un délit (art. 432-17), exposant les auteurs à plusieurs peines dont l’« interdiction des droits civils, civiques », et notamment l’« inéligibilité » (art. 131-26-1). La loi Sapin 2 (8 décembre 2016) et celle « pour la confiance dans la vie politique » (15 septembre 2017) rendent obligatoire une peine complémentaire d’inéligibilité dans ce cas (sauf circonstances particulières de l’infraction, régies par le code).
    Lire aussi (2016) | Loi Sapin 2 : l’obligation de publication des données des multinationales censurée

    En effet, dans une démocratie, non seulement les ressources et les financements publics doivent servir au bien commun, et non être appropriés pour des entreprises individuelles et collectives, mais l’égalité devant la loi est une exigence de valeur constitutionnelle prévenant tous privilèges.
    Focalisation sur la présidentielle

    Dès 2017, les prévenus ont pu s’exprimer abondamment dans la presse sur l’affaire alors en cours. Les dirigeants du RN n’ont eu de cesse de répéter un argumentaire centré sur trois points : les juges s’apprêteraient à rendre une décision politique ; ils seraient des adversaires de leur parti ; et, plus généralement, il serait inopportun qu’un tribunal puisse décider du résultat d’élections en « empêchant » un ou une candidate de se présenter, une telle possibilité étant qualifiée d’« acharnement », de « violence », d’« atteinte à la démocratie ».
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Condamnation de Marine Le Pen : premier coup d’arrêt de sa vie politique à deux ans de la présidentielle

    Cette rhétorique n’est pas surprenante : elle est mobilisée par les cadres du parti depuis les années 1980, comme l’indiquent les spécialistes de l’analyse de leurs discours. Il est plus étonnant, en revanche, que ce discours imprègne le cadrage politico-médiatique de ce procès au point que les analystes peinent à le dépasser.
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    La couverture dont il fait l’objet éclaire en effet les spécificités du champ politico-médiatique contemporain à plus d’un titre. Elle révèle, tout d’abord, la focalisation de certains de ses acteurs – et surtout de certains commentateurs – sur l’élection présidentielle : le jugement de la cour est ainsi souvent perçu non pas comme une sanction du détournement massif d’argent, mais comme une décision motivée par le scrutin de 2027.
    Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, à l’Assemblée nationale, au lendemain du jugement rendu dans l’affaire des assistants parlementaires du FN, et de sa condamnation, le 1ᵉʳ avril 2025.
    Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, à l’Assemblée nationale, au lendemain du jugement rendu dans l’affaire des assistants parlementaires du FN, et de sa condamnation, le 1ᵉʳ avril 2025. MICHEL EULER / AP

    Transparaît également l’hyperpersonnalisation de la vie politique, qui conduit à commenter surtout les effets de la condamnation, notamment, l’impossibilité, pour Marine Le Pen, de participer aux élections, celle-ci contrariant des pronostics sondagiers qui la voyaient au second tour de la présidentielle.

    Les observateurs qualifient alors cette condamnation de « séisme » dans la vie politique française et soulignent l’imprévisibilité de la future élection, reprenant plus ou moins explicitement la rhétorique frontiste qui érige le RN en « premier parti de France ». De la même manière, certains membres de la classe politique, comme Jean-Luc Mélenchon, regrettent que soit ainsi confisquée la possibilité de débats-duels perçus comme sains et loyaux.
    Lire aussi (2021) : Article réservé à nos abonnés Comment le Rassemblement national est devenu le premier parti de la génération des 25-34 ans

    Enfin, la sensationnalisation du débat politique, impliquant une conception particulière du « contradictoire » journalistique, conduit à la valorisation des opinions tranchées et à la présence en plateau de personnalités d’extrême droite pourtant controversées, qui s’en trouvent normalisées. Le politiste Erik Neveu, dans le no 118 de la revue Réseaux (2023), a noté l’application paroxysmique de cette logique dans les émissions d’« infotainment » depuis les années 2000, tout comme dans certaines émissions politiques : être condamné par la justice vaut invitation dans les médias les plus suivis, et permet à des politiques de se justifier et de contester les décisions de justice.
    Surprenant renversement de logique

    Ainsi, comme au soir même des réquisitions du tribunal, en novembre 2024, Marine Le Pen a-t-elle été invitée au journal télévisé de TF1 le soir même de sa condamnation. Sur un plateau de télévision ou de radio, le temps de parole offert, les questions posées, le vocabulaire mobilisé (reprenant parfois sans recul critique la rhétorique des mis en cause, comme l’expression paranoïaque « gouvernement des juges »), créent un surprenant renversement de logique, les condamnés devenant les victimes d’un « système ».
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Après sa condamnation, Marine Le Pen s’enferme dans le déni et veut toujours croire à son avenir politique

    Ces tendances sont bien connues des sociologues, et nous conduisent à nous interroger sur les manières dont la médiatisation du débat public accompagne les évolutions des démocraties contemporaines. En plus de contribuer à discréditer le travail des juges (qui s’appuient sur un arsenal de preuves, des heures d’audiences, des témoignages accablants et concomitants, pour rendre leur jugement) en diffusant largement la rhétorique des prévenus, le cadrage politique et médiatique accorde finalement peu de place à l’analyse des pratiques de détournement de fonds publics et à la question de l’exercice effectif du pouvoir.

    L’un des objectifs de la sanction des comportements répréhensibles des gouvernants est pourtant bien de préserver la démocratie de ce qui en menace les piliers. Si les responsables politiques souhaitent, comme l’indiquent les titres des récentes lois, restaurer la « confiance dans la vie politique », il est grand temps que les mandatés (comme les observateurs de la vie politique) ne considèrent pas leurs fonctions comme des postes de pouvoir, mais bien comme des délégations qui les obligent.

    Estelle Delaine est maîtresse de conférences en science politique à l’université Rennes-II. Elle a écrit « A l’extrême droite de l’Hémicycle. Le Rassemblement national au cœur de la démocratie européenne » (Raisons d’agir, 2023).

    #Journalisme #Marine_LePen #Justice #Médias

  • Politiser la #haine

    Impossible de déjouer l’ascension électorale du #Rassemblement_national sans comprendre le #soutien que lui apportent un ensemble d’organisations non partisanes, extraparlementaires, d’intellectuels ou encore d’influenceurs, bref sans regarder du côté de cette nébuleuse identitaire qui lui sert de marchepied. Restés en marge de l’arène électorale, les #identitaires se sont progressivement placés au cœur d’un écosystème médiatique en se fondant dans les cadres du #néolibéralisme pour gagner en #respectabilité. Par la politisation des affects, ils construisent une #altérité_radicale entre un « nous » (les Français « de souche », les hommes, le vrai peuple) et un « eux » (les musulmans, les féministes, les trans, les « #woke »), qui contribue à rendre populaires les #idées_réactionnaires.
    Ce livre est le fruit d’une enquête au long cours. Débutée par une immersion chez les identitaires en 2010, elle est enrichie par l’analyse sociologique de leur #médiatisation, de leurs filiations idéologiques et de leurs #réseaux.

    https://ladispute.fr/catalogue/politiser-les-affects

    #livre #RN #médias #extrême_droite

    ping @karine4

    –-

    Extraits publiés sur le site de acrimed :
    https://www.acrimed.org/Politiser-la-haine-la-strategie-du-buzz

    Se placer du côté des « gens respectables »

    Dans leur rôle de cadrage des problèmes publics, les identitaires associent un langage propre à chacune de leurs actions : « Français de souche », « racisme antiblancs », « francocide » ou encore « grand remplacement ». Ces mots constituent un moyen pour eux de fabriquer des raccourcis interprétatifs. Les musulmans sont notamment associés à l’insécurité (ils sont assimilés à des « racailles ») en même temps qu’à des mauvais pauvres (ils viendraient bénéficier des aides sociales). Surtout, les immigrés sont rendus responsables de leur sort, puisque leur comportement serait imputable à leur essence (leur culture, leur religion, leur personnalité) plutôt qu’à des logiques sociales, collectives et structurales. De cette façon, les actions médiatiques des identitaires opèrent un acte de minoration des populations musulmanes, qui sont construites comme des altérités radicales [1], infériorisées par rapport à la population majoritaire. En relayant ces actions, les médias participent à la diffusion de ces chaînes de causalité et à la construction de la stigmatisation des populations musulmanes, dans un contexte où celles-ci sont invisibilisées dans l’espace public, en particulier les femmes, plus encore lorsqu’elles portent le voile [2].

    Mais ces raccourcis interprétatifs auraient peu de chances de s’imposer s’ils n’étaient pas alignés sur certains présupposés idéologiques déjà présents dans les médias grand public. Les journaux télévisés ont tendance à parler des minorités – comme c’est le cas des habitants racisés des banlieues – pour y souligner, souvent à partir des cas les plus extrêmes, les supposés problèmes d’insécurité (vols, drogue, rodéos, etc.) et de communautarisme religieux [3]. Cette médiatisation des banlieues offre un miroir saisissant de celle, folkloriste, proposée par le JT de 13 heures de TF1, des villages « authentiques » d’une France rurale des terroirs et des traditions [4]. Le cadrage audiovisuel des territoires populaires place insidieusement le normal du côté du peuple blanc, par opposition à des minorités racisées qui sont présentées par rapport à un écart avec la norme majoritaire et blanche. Certes, la réception de ces programmes télévisés ne vaut pas automatiquement adhésion et l’on sait que leur réception induit parfois des formes de résistance ou d’attention oblique [5]. Toutefois, ce constat n’empêche pas d’interroger la place des médias dans la construction des rapports sociaux de classe [6] et de race et la façon dont ils donnent la possibilité au public de réaffirmer ses positions au sein de cette structure sociale et raciale [7]. En cela, l’audiovisuel n’offre pas tant des idéologies racistes explicites que des principes de vision et de division du monde social et racial qui concordent avec les impensés de la population majoritaire [8] et qui concordent avec les visions du monde des identitaires.

    À l’inverse, dans l’audiovisuel privé en particulier, la gauche, bien plus que l’extrême droite, semble nager à contre-courant. Les journaux télévisés de ces chaînes fournissent un cadre normatif propice à la mise à distance des formes jugées illégitimes d’expression de l’injustice. Les mouvements de grève sont d’autant plus disqualifiés lorsqu’ils troublent l’ordre économique – blocage des raffineries, grève des transports, etc. – ou l’ordre sécuritaire – « violences » des manifestants, etc. [9] Le micro-trottoir auprès des voyageurs restés en gare du fait d’une grève des cheminots ou les porte-parole sommés de condamner les dégâts matériels causés par des manifestants apparaissent comme autant d’invitations à ce que le public s’identifie davantage aux usagers et consommateurs des biens et des services qu’aux travailleurs dont les motivations et la colère restent souvent incomprises.

    Les programmes de divertissement suivent une logique similaire, offrant des conseils pour optimiser ses achats, acquérir un logement, mais aussi l’aménager et le décorer. Ils enseignent également comment cuisiner, s’habiller ou éduquer ses enfants, participant ainsi à définir les bonnes normes et à dessiner les contours de la respectabilité sociale. Cette offre médiatique matérialise des distances entre groupes sociaux au sein des classes populaires, en valorisant plutôt les propriétaires par rapport aux locataires, ceux qui travaillent par rapport à ceux qui font grève, etc. La construction symbolique des groupes sociaux qu’opère cette offre médiatique et politique incline bien plus le public à regarder vers le bas, c’est-à-dire vers les fractions des classes populaires plus vulnérables, auprès desquelles il faut maintenir coûte que coûte une distance économique et culturelle, au détriment d’un regard porté vers le haut, c’est-à-dire vers les groupes sociaux mieux dotés, et qui semblent plus figurer comme des modèles à suivre que comme des modèles à éviter [10]. Or, sur les territoires où le vote RN semble être le mieux installé, être du côté de Marine Le Pen revient à se placer du côté des gens respectables, si bien qu’il n’est plus du tout un vote indicible, mais au contraire un motif de fierté [11]. À l’inverse, voter à gauche revient à se placer du côté des « cassos » – les fractions les plus fragilisées des classes populaires – et des immigrés, perçus comme des groupes moins respectables que le sien. Pour ces sympathisants RN, ils viendraient en France et feraient des enfants pour profiter des aides sociales, vendraient ou consommeraient de la drogue, commettraient des vols, auraient une hygiène douteuse [12].

    C’est pourquoi, dans les faits divers qu’ils politisent, les identitaires se placent toujours du côté des « gens respectables », de la majorité blanche. Dans un atelier consacré à la construction d’actions pour attirer l’attention des médias, on apprend à les accompagner d’une sémantique racialisante. Le formateur-militant fait état de quatre piliers que tout bon militant devrait avoir en tête lorsqu’il imagine une future action : « l’originalité, l’audace, la finesse et l’insolence ». « Surtout, évitez d’énoncer directement des généralités et préférez partir d’un fait. » Les identitaires aiment en effet s’appuyer sur des faits divers placés sous les feux de l’actualité, qui suscitent une vive émotion : l’affaire René Galinier, le décès de soldats français en Afghanistan, etc.

    « Par exemple, le restaurant "Chez papa" emploie des clandestins alors qu’il sert des produits du terroir [13]. Réfléchissez à l’angle. Qu’est-ce que vous voulez dénoncer ? Qu’est-ce que vous voulez faire ressortir ? Dans ce cas, dénoncer le patronat c’est trop vague, mais on peut préciser de quels patrons on parle. Réfléchissez aussi à qui revendiquera l’action : une association ? Les jeunes identitaires ? Le Bloc identitaire ? Ayez à l’esprit que l’objectif d’une action est double. Elle a comme objectif premier de faire interdire des concerts, comme dans le cas de la campagne contre Sniper (un groupe de rap), ou de dénoncer la malbouffe. Mais il y a un enjeu secondaire qui consiste à faire entrer une idée ou un concept dans la tête, comme "sanctuarisation du domicile" dans le cas de l’affaire Galinier [14]. Enfin, réfléchissez à la façon de médiatiser, à travers un communiqué de presse, des photos ou des vidéos, en sachant qu’il faut toujours publier avant le lendemain. Dans le cas d’une prise vidéo, réfléchissez à tout, à filmer le cadre de l’action et à faire des plans généraux, à bien positionner la banderole par rapport à la caméra. Travaillez une mise en scène, comme on l’avait fait pour l’action du Quick halal : "Vous ne servez pas de cochon, ils vont venir à vous !". Donc prévoyez des slogans, des banderoles, des tracts. La banderole est intéressante parce qu’elle fixe le message. N’oubliez pas en la réalisant que le plus important, c’est la vidéo, pas les gens qui sont là. Et ne cherchez pas non plus à copier ou à faire du réchauffé. Essayez toujours d’innover. »

    De cette façon, l’immigration devient dans le sens commun la principale cause des maux sociaux, éclipsant les cadrages concurrents de la gauche. Cette dernière est rendue inaudible sur les questions d’immigration, dont l’extrême droite est devenue propriétaire. Elle parvient plus difficilement à exposer ses propres chaînes de causalité dans les médias, et notamment la façon dont les rapports de pouvoir se perpétuent. Il n’en a pourtant pas toujours été ainsi. Jusque dans les années 1970, le discours dominant à propos de l’immigration reposait sur un cadrage « humanitaire », mettant l’accent sur la vulnérabilité d’immigrés qui bénéficient de peu de droits et qui subissent des discriminations racistes. Mais il est concurrencé à partir des années 1990 par un discours conservateur qui associe l’immigration à un trouble à l’ordre public et à une menace pour l’unité de la nation [15]. De personnes à défendre, les immigrés deviennent ainsi progressivement des individus à combattre. Militants et sympathisants d’extrême droite se mobilisent pour faire valoir leur point de vue, et quand les médias relaient le cadrage conservateur du phénomène migratoire, ils participent dans le même temps à invisibiliser le cadrage « humanitaire » concurrent.

    Pour le Rassemblement national, l’activité médiatique des identitaires est une aubaine. Le parti se propose de « remettre en ordre » la nation, en l’épurant de ses membres dont il présume qu’ils menacent son équilibre. La prise en charge politique du problème – moins de tolérance, sécurisation du territoire, etc. – est alignée sur le cadrage des identitaires, qui constituent ainsi des alliés objectifs du RN. Plus encore, les identitaires contraignent les politiques à se situer par rapport à un problème qu’ils sont parvenus à formuler et à imposer dans l’espace médiatique. La droite, et parfois au-delà, en concurrence avec le RN pour le même électorat, peut alors être tentée de reprendre la rhétorique de l’extrême droite et les propositions qu’elle formule pour tirer un bénéfice politique de ce cadrage médiatique. Indirectement, la stratégie métapolitique des identitaires contribue ainsi à tirer vers elle le débat public. On voit toute l’importance pour l’extrême droite positionnée dans le champ politique, principalement le Rassemblement national, d’être indirectement soutenue par des alliés positionnés de façon homologue dans le champ médiatique.

  • Un #juge_fédéral suspend le #démantèlement de #Voice_of_America

    Un juge fédéral a freiné vendredi le démantèlement des médias publics américains à l’étranger initié par le président Donald Trump en suspendant les mesures visant Voice of America (VOA).

    A la mi-mars, Donald Trump a signé un #décret classant parmi les « éléments inutiles de la #bureaucratie fédérale » l’#USAGM, l’agence gouvernementale chapeautant les #médias publics américains à l’étranger.

    Des centaines de journalistes ont été mis en congé administratif depuis.

    Un juge fédéral de New York a fait droit vendredi à la demande de l’association Reporters sans frontières (RSF), des syndicats et des journalistes de VOA de geler les actions en vue du démantèlement de ce fleuron des médias publics américains à l’étranger.

    « Le combat pour sauver VOA, et en réalité, la presse libre, continue alors que l’administration Trump s’active à priver le monde d’une source d’information fiable », a réagi dans un communiqué Clayton Weimers, directeur du bureau de RSF aux États-Unis.

    « Nous exhortons l’administration Trump à débloquer immédiatement le financement de VOA et à réembaucher ses employés sans nouveau délai », a-t-il ajouté.

    Le gouvernement du milliardaire républicain a procédé ce mois-ci à des limogeages massifs à VOA, Radio Free Asia et Radio Free Europe.

    Voice of America, créée pendant la Seconde guerre mondiale, Radio Free Europe, formée pendant la Guerre froide et Radio Free Asia, créée en 1996, visaient à porter la « voix de l’Amérique » à travers le monde et notamment dans les pays autoritaires.

    Moscou et Pékin ont salué la décision de l’administration Trump de réduire au silence ces médias vus pendant des décennies comme des piliers du soft power américain.

    Radio Free Europe avait déjà obtenu cette semaine une victoire judiciaire contre son démantèlement, quand un juge de Washington a décidé de suspendre provisoirement l’arrêt de son financement.

    https://www.france24.com/fr/info-en-continu/20250328-un-juge-f%C3%A9d%C3%A9ral-suspend-le-d%C3%A9mant%C3%A8lement-de-v
    #justice #résistance #USA #Etats-Unis #Trump #trumpisme #VOA #radio

  • En 2150, Venise pourrait être largement submergée lors de tempêtes reporterre

    Lors d’une tempête, en 2150, la mer pourrait monter à Venise jusqu’à 3,47 mètres au-dessus du niveau de référence actuel, entraînant l’inondation de 65 % de la lagune sur laquelle est construite la ville. C’est l’hypothèse issue d’une modélisation inédite des chercheurs de l’Institut national italien de géophysique et de volcanologie (INGV).

    Leur projection combine trois facteurs de risque auxquels Venise est aujourd’hui exposée : la montée du niveau de la mer, estimée entre 70 cm et 120 cm d’ici à la fin du siècle selon les efforts de réduction des gaz à effet de serre qui seront achevés à l’échelle globale ; la recrudescence d’épisodes toujours plus violents de tempêtes et l’affaissement du sol. . . . . .

    Source et suite : https://reporterre.net/Venise-menacee-par-la-montee-des-eaux-les-previsions-s-assombrissent
    #délire #propagande #reporterre #fin_du_monde #catastrophisme #médias

  • Décryptage de stratégies médiatiques de l’extrême droite et la complicité de fait des médias dominants aux stéréotypes sociaux
    https://ricochets.cc/Decryptage-de-strategies-mediatiques-de-l-extreme-droite-et-la-complicite-

    Avec l’aide, volontaire ou non, des médias dominants, des stéréotypes sont propagés H24, des normes qui valorisent les blancs, les riches, les propriétaires, les « de droite » qui ne « prennent pas en otage » par des grèves... Ainsi un modèle social compatible (ou tendant) vers la droite et l’extrême droite est constamment mis en avant et présenté comme enviable et naturel, tandis que les classes populaires, surtout celles des banlieues, et les gauches sont dévalorisées et dénigrées. (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions, #Mouvements_et_courants_autoritaires

  • Fadenscheiniger Vorwurf von Kinderarbeit in China
    https://www.infosperber.ch/politik/welt/fadenscheiniger-vorwurf-von-kinderarbeit-in-china

    Encore des « preuves » fabriquées pour le travail forcé et l’exploitation des enfantsven Chine.

    Harald Buchmann / 22.03.2025 Zwei Journalistinnen filmen heimlich in einer Kleiderfabrik. Chinesische Faktenchecker entlarven ihre Recherchen als wenig seriös.

    upg. Die Han-Chinesen, das sind über 90 Prozent der Bevölkerung, sind bekannt dafür, dass sie für Minderheiten wenig Verständnis haben. Nach Terroranschlägen von islamistischen Uiguren ging Beijing in der Provinz Xinjang mit extremer Härte gegen die Uiguren vor. Beijing erklärt, die Lage in den letzten Jahren «normalisiert» zu haben. Neue schwerwiegende Vorwürfe wie Kinder- und Zwangsarbeit oder Zwangssterilisierungen müssen in jedem Fall seriös belegt sein. Der TV-Sender «France 2» machte es sich zu einfach.
    Der St. Galler Autor Harald Buchmann arbeitet für ein chinesisches Tech-Unternehmen in Shanghai.
    Die Fabrik näht ausschliesslich für die Marke Decathlon
    Die Fabrik näht ausschliesslich für die Marke Decathlon.Die Fabrik näht ausschliesslich für die Marke Decathlon. © «France 2»

    Der französische Fernsehsender «France 2» strahlte am 8. Februar 2025 in der Sendung Cash Investigation eine Reportage aus, wonach in einer chinesischen Nähfabrik in Yanggu im Osten Chinas, welche Kleider für die französische Marke Decathlon herstellt, Kinder- und Zwangsarbeit stattfinde.

    Chinesische Faktenprüfer aus Shanghai konterten und sagen, die Geschichte sei falsch und konstruiert.

    Die zwei französischen Investigativjournalistinnen Justine Jankowski und Marine Zambrano, die sich als kulinarische Bloggerinnen tarnten, kamen unter dem Vorwand von Bauchschmerzen und dem Wunsch nach einem Klo in eine Fabrik des Konzerns Qingdao Jifa im Osten Chinas. Dort filmten sie dann mit versteckter Kamera und trafen in der grossen Fabrikhalle auf ein 12-jähriges Mädchen, das sie als «Arbeiterin» vorstellten. Auf die Frage, ob sie hier arbeite, hört man im Hintergrund noch das chinesische «bu», also nein. Die französische Übersetzungsstimme sagte: «Ich helfe etwas aus».

    Das Mädchen erklärte, über die Sommerferien sei bei ihr niemand zuhause, weshalb sie zu ihrer Mutter in die Fabrik gehe, sonst aber ginge sie in die Schule.

    Die Journalistinnen fassen zusammen, dass dieses Mädchen anstatt Sommerferien also Fabrikarbeit mache, und zeigen, wie das Mädchen Knöpfe an ein Kleidungsstück näht. Die eine Journalistin kommentiert lachend, sie sei aber eine fleissige Arbeiterin.

    Chinesischsprachige Faktenchecker wie der YouTuber «Like Nanshi K Yimi» haben die Mutter des 12-jährigen Mädchens interviewt: Sie habe ihre Tochter bis vor die Fabrik mitgenommen, wo sie warten solle, bis deren Grossmutter aus der Nachbarstadt zurück sei, um sie abzuholen. Die Tochter sei dann wohl reingeschlichen, vielleicht um auf die Toilette zu gehen. Plötzlich habe sie gesehen, wie zwei fremde Personen mit ihr sprächen. Auf die Frage, wer das war, habe die Tochter gesagt, die beiden Personen hätten sie gebeten, an eine Nähmaschine zu sitzen um zwei Knöpfe anzunähen. Sie hätten das Mädchen dabei gefilmt, aber auch versprochen, das Video wieder zu löschen. Die Mutter gibt an, niemals erwartet zu haben, dass Monate später daraus ein Bericht fabriziert würde, welche ihrem Chef Probleme bescheren, und ihr erheblichen psychischen Stress verursachen und sie und ihrer Tochter beleidigen würde.

    Ob die Aussagen der Mutter zutreffen, kann nicht überprüft werden.

    Jedenfalls fanden die beiden französischen «Undercover»-Journalistinnen unter allen Arbeiterinnen der Fabrik lediglich dieses eine 12-jährige Mädchen. Daraus folgerten sie, dass die Fabrik Kinderarbeit zulasse.

    Eklatanter Übersetzungsfehler

    In einer weiteren Szene erklärten die Journalistinnen einleitend, sie hätten keine uigurisch aussehenden Arbeiter oder Arbeiterinnen in der Fabrik gesehen. [Red. Diese Fabrik liegt von Xinjiang etwa so weit entfernt wie die Schweiz vom Iran]). Doch sie hätten im Internet eine online-Werbung der Fabrik gefunden, wonach die Fabrik Arbeiter aus Xinjiang und Nordkorea anlocke.

    Die chinesischen Faktenchecker analysierten das Originalvideo dieser Werbung ohne die französische Sprecherstimme. Sie stellten fest, dass die Aussage im Werbevideo hiess: «Wir bieten zudem Arbeitsbonus und bezahlte Überstunden. Also, wir heissen alle willkommen hier zu arbeiten.» Arbeitsbonus heisst auf Chinesisch «man qinjiang» und bezahlte Überstunden heissen «chaotian shujiang». Mit dem lokalen Akzent der Sprecherin klingen diese Worte ähnlich wie «man Xinjiang» und «chaoxian shujiang», was auf Chinesisch Xinjiang und Nordkorea bedeuten würde. Xinjiang und Nordkorea wurden im Video also nicht erwähnt.
    Adrian Zenz schaut das Video an
    Adrian Zenz schaut das Video anAdrian Zenz schaut das Video an © France 2

    Im Beitrag von «France 2» kam Adrian Zenz zu Wort. Offensichtlich sind die Übersetzungsfehler auch dem vielzitierten, jedoch umstrittenen China-Kritiker Adrian Zenz nicht aufgefallen. Denn nach Konsultation des Videos erklärte er im «France 2»-Beitrag, das Werbevideo deute klar auf Zwangsarbeit hin. Seine Begründung: «Die Firma erhält Geld von den Behörden, wenn sie Arbeiter aus Orten beschäftigt, wo die Regierung Menschen unterdrückt. Das ist der definitive Beweis für Zwangsarbeit.»

    Der Anthropologe Zenz wirft China schon lange einen «kulturellen und demografischen Genozid» vor. Seit 2019 ist er Senior Fellow für Chinastudien beim antikommunistischen Think-Tank Victims of Communism Memorial Foundation.

    Mechthild Leutner, emeritierte Sinologin an der Freien Universität Berlin und ehemalige Leiterin des staatlich-chinesischen Berliner Konfuzius-Instituts, kritisierte, dass in den Medien häufiger Persönlichkeiten wie Zenz zitiert würden, die «randseitigen evangelikalen Bildungsstätten» zugeordnet sind, anstatt Sinologen zu zitieren.

    «Kein völkerrechtlicher Genozid, aber ein kultureller Genozid»

    upg. Felix Wemheuer, Professor für chinesische Zeitgeschichte an der Universität Köln, führte im Jahr 2022 ein differenziertes Interview mit Professor Björn Alpermann, Professor für chinesische Politik an der Universität Würzburg, über China-Vorwürfe von Adrian Zenz. Alpermann sagte, er würde nicht von einem völkerrechtichen Genozid reden, sondern von einem kulturellen. Es finde eine von oben verordnete kulturelle Transformation statt. Alpermann äussert sich auch zu Vorwürfen der Zwangsarbeit zur vorgeschriebenen Geburtenkontrolle.
    ➔ Video hier unterhalb:

    Baumwolle aus Xinjiang
    Die beiden «Undercover»-Journalistinnen
    Die beiden «Undercover»-JournalistinnenDie beiden «Undercover»-Journalistinnen © France 2

    Zu einem späteren Zeitpunkt kamen die Journalistinnen von «France 2» nochmals in die Fabrik, dieses Mal gaben sie an, potentielle Käuferinnen zu sein. Man erlaubte ihnen einen Fabrikrundgang, allerdings ohne Kameras. Jetzt ging es um die Herkunft der Baumwolle. Sie filmten versteckt und nahmen ein Gespräch auf, bei dem sie das Thema auf Baumwolle aus Xinjiang lenkten. Eine Fabrikarbeiterin bestätige, die Baumwolle komme nicht aus der Provinz Shandong, wo die Fabrik steht, sondern könne auch aus Xinjiang sein.

    Im Beitrag von «France 2» ist der chinesische Originalton zur Baumwolle aus Xinjiang hinter der Übersetzung schlecht zu hören. Die Arbeiterin sagt zwar, die Baumwolle komme nicht unbedingt aus Shandong (der Provinz, in der die Fabrik steht und die kein Baumwollanbaugebiet ist), erwähnt aber selber Xinjiang nicht. Erst auf die Aussage der Journalistin auf chinesisch «es gibt viel Baumwolle in Xinjiang», bejaht die Arbeiterin, dass es dort viel Baumwolle gebe.

    Sie sagte damit nicht, dass die Fabrik Baumwolle aus Xinjiang verwende.

    Laut offizieller chinesischer Statistik waren 2023 bereits 100 Prozent des Baumwollanbaus und 90 Prozent der Ernte mechanisiert und finden mit riesigen Erntemaschinen statt. Sollten die Erntemaschinen in Xinjiang überhaupt von Zwangsarbeitenden bedient werden, würde lediglich eine sehr kleine Zahl benötigt.
    Boreham blockiert
    Die beiden französischen Journalistinnen blockierten Andy Boreham und Arnaud Betrand, statt ihre Fragen zu beantworten.Die beiden französischen Journalistinnen blockierten Andy Boreham und Arnaud Betrand, statt ihre Fragen zu beantworten. © Justine Jankowski und Marine Zambrano

    Zwei westliche Autoren, der neuseeländische Journalist Andy Boreham und der französische Blogger Arnaud Bertrand haben die Argumente der chinesischen Faktenchecker auf Englisch übersetzt und auf YouTube und X verbreitet.

    Sie konfrontierten die beiden Journalistinnen von «France 2» schriftlich mit den Vorwürfen der Faktenchecker. Ohne zu antworten, haben die beiden Journalistinnen darauf die X-Profile von Boreham und Bertrand blockiert.

    Fragen von Infosperber liessen «France 2» und die beiden Journalistinnen bisher unbeantwortet.

    Zwangsarbeit in den USA

    In einigen Bundesstaaten wie Alabama, Arkansas, Florida, Georgia, Mississippi, South Carolina und Texas wird Baumwolle manchmal von Hand durch Häftlinge privater Gefängnisse in unbezahlter Zwangsarbeit geerntet. In Xinjiang setzen Grosskonzerne gigantische Maschinen ein, die nur wenige Arbeitsplätze benötigen.

    China lässt keine unabhängigen Beobachter in Xinjiang recherchieren

    Die «Initiative Lieferkettengesetz.de» hält aktuell zur Kinderarbeit beim Abbau des Minerals Mica in China fest: «Das Risiko der Kinderarbeit beim Abbau von Mica besteht auch in Brasilien und China. Hier liegen bis heute allerdings keine Studien oder andere Belege vor.»

    Trotz zahlreicher Beobachtungen westlicher NGOs und geleakter Dokumente aus China fehlen Beweise bezüglich heutiger Zwangsarbeit in Xinjiang. Allerdings lässt China keine unabhängigen Untersuchungen durch westliche NGOs in Xinjiang und im Bergbau in anderen Provinzen zu. Die USA beharren auf der Aussage, es gäbe solche Zwangsarbeit in Xinjiang und haben deshalb gegen chinesische Importe aus Xinjiang Sanktionen verhängt.

    Viele muslimische Länder haben die Politik Chinas gegen die Muslime in Xinjiang nicht kritisiert. China hat im Jahr 2023 mehrere Delegationen islamischer Religionsvertreter und islamischer Staaten sowie Muslimschüler nach Xinjiang eingeladen.
    Themenbezogene Interessenbindung der Autorin/des Autors

    Keine

    #Chnie #médias #propagnde

  • Tatort Folge 1294 : Charlie - Tatort Fans
    https://tatort-fans.de/tatort-folge-1294-charlie

    Depuis 2021 le Bayrischer Rundfunk nous prépare un policier qui montre qu’il est complètement normal que la police allemande enquête sur un terrain militaire états-unien au milieu d’une immemse manoeuvre. Tournage pendant un mois entier en début de 2024 au milieu d’une immemse manoeuvre, justement.

    La série « Tatort » est une « émission feu de camps » qui réunit la nation autour de la télévision comme si c’était un feu de camps virtuel. Chaque édition est comme un compte rendu de l’état d’esprit national tel qu’il est perçu par les rédactions de diverissement des maisons de radio-télévision allemandes.

    En début de l’an 2014 le président Gauck nous a anniocée la volonté de sa classe à transformer l’Allemagne en puissance militaire qui fait la guerre dans le monde entier. Onze ans plus tard on y est prèsque si on croit la présentation de l’état d’esprit allemand officiel.

    Il ne leur manque qu’une chose pour compléter leur projet. C’est une vraie guerre avec de vrais soldats allemands. L’Ukraine n’est qu’un terrain d’exercice. La guerre qui fait saliver les belliqueux reste à mettre en scène.

    https://archive.org/details/zehntausend-mann-die-zogen-ins-manover

    Kurz und knapp – darum geht’s

    Leichenfund an der Isar: Eine tote junge Frau sitzt hinterm Steuer eines Geländewagens der US-Army. Ein großes Rätsel für die Münchener Kommissare Batic und Leitmayr, denn der Fundort ist eindeutig nicht der Tatort. Schnell führen die Ermittlungen zum Militärstützpunkt der Amerikaner, wo gerade ein großes NATO-Manöver vorbereitet wird, an dem die Ermordete als zivile Statistin teilnehmen sollte. Ist einer der Soldaten der Mörder? Um keine Zeit zu verlieren, lässt Batic sich als „COB“ für die Großübung rekrutieren und ermittelt undercover. Dabei lernt er nicht nur eine völlig fremde Welt kennen, sondern stößt auch auf zahlreiche persönliche Geheimnisse, Rivalitäten und Konflikte … Zu sehen am Sonntag, den 02.03.2025 um 20:20 Uhr im Ersten.

    Inhalt der Tatort-Folge „Charlie“

    Ein inszenierter Mord: So wirkt das, was die Kommissare Ivo Batic und Franz Leitmayr am Isarufer zu sehen bekommen. Ein Geländewagen der US-Army wurde hier mitten in der Wildnis abgestellt, am Steuer sitzt eine junge Frau, die Hände fest am Lenkrad – doch sie ist tot, brutal erstochen mit einem spitzen Gegenstand. Die beiden Fahnder im TV-Krimi „Charlie“ sind sich sicher, dass dieser Fundort nicht der Tatort ist – doch wozu die ganze Inszenierung? Warum wurde die Tote überhaupt hierher gebracht?

    Fest steht nur, dass auf dem nahegelegenen Stützpunkt des US-Militärs ein Humvee fehlt, also genau solch ein robuster Jeep, wie er auch am Flussufer stand. Kurzerhand verlegen Leitmayr und Batic ihre Ermittlungen aufs Militärgelände – und lernen nach einer Beinahe-Kollision mit einem Panzer, dass hier andere Regeln gelten als im Münchener Großstadtdschungel. Nur gut, dass sie die resolute Majorin Jennifer Miller von der Military Police an ihrer Seite haben – die hochschwangere Frau kennt das weitläufige Gelände wie ihre Westentasche und lässt sich von niemandem reinreden. Nur die eine entscheidende Frage, wer die Tote im Humvee überhaupt ist, kann auch sie nicht beantworten. Von den Soldaten und Offizieren wird jedenfalls niemand vermisst.

    Erst von Commander Marcus Lewis erfahren die Kommissare, dass zwei „COBs“ verschwunden sind. COB – das ist die Abkürzung für „Civilians on the Battlefield“ – keine Militärangehörige, sondern Zivilisten, die für mehrere Wochen an einem Manöver teilnehmen und dabei quasi als Laienschauspieler verschiedene Rollen des alltäglichen Lebens in eigens hergerichteten Kulissendörfern übernehmen, etwa als Lehrer, Polizisten oder Journalisten. Alles, damit die Soldaten in möglichst realistischen Szenarien jenen Ernstfall üben können, der hoffentlich nie eintreten wird.
    Ein solches Großmanöver, an dem mehrere NATO-Staaten beteiligt sind, steht unmittelbar bevor – und ausgerechnet jetzt wurden zwei COBs ermordet. Ja, tatsächlich zwei, denn bei ihrer Geländefahrt im Tatort „Charlie“ haben Batic, Leitmayr und Miller einen weiteren Toten in einem abgelegenen Bunker entdeckt. Fine Schröder und Zoran Ilic heißen sie, und offenbar hatten sie noch kurz vorher Sex miteinander. Zwei COBs als Liebespaar? Das ist eigentlich verboten, wie den Manöverkomparsen so gut wie alles untersagt ist, was im „normalen Leben“ Spaß macht. Es gelten strenge Regeln für alle, egal ob Soldat oder Zivilist.

    Kein Wunder also, dass Commander Lewis das ganze Manöver absagen will – doch die echten „Cops“ widersprechen: Batic und Leitmayr sind davon überzeugt, dass der Mörder irgendwo auf dem Militärgelände zu finden ist – vielleicht sogar unter den Zivilisten. Wenn die Großübung nun nicht mehr stattfindet, wird er die Gelegenheit nutzen und sich unauffällig aus dem Staub machen – doch davon wollen die beiden gewieften Kriminalisten so wenig wie möglich aufwirbeln. Aber wie sollen sie in diesem Mikrokosmos, der komplett von der Außenwelt abgeschottet ist, überhaupt unauffällig ermitteln? Ivo Batic hat eine Idee: Er will selbst als COB am Manöver teilnehmen, natürlich undercover – vielleicht kommt er der Wahrheit und dem Mörder dann näher.

    Nach anfänglichem Murren willigt Leitmayr ein, der zusammen mit Major Miller anderen Spuren im BR-Tatort „Charlie“ nachgeht: Wie konnte der Humvee überhaupt unentdeckt den Sicherheitsbereich verlassen? Und was haben die „Spotter“ bei ihrer Jagd nach spektakulären Fotos vom Manöver gesehen?

    Kollege Batic schlüpft derweil in seine Rolle als COB: Dorfsheriff von „Übungsheim“, dessen Alltag ziemlich öde ist. Genug Zeit also für „embedded investigation“. Schnell freundet sich Batic mit der Zivilistin Mila an, die wie er vom Balkan stammt und immer noch Kriegstraumata mit sich herumschleppt. Die regelmäßigen Manöverteilnahmen sind ihre Therapie. Fine, so erzählt sie, sei mit ihrem Freund Niklas Pohl zum Militär gekommen, aber die beiden seien getrennten Einheiten zugeteilt worden – wie gesagt: keine Intimitäten. Doch offenbar ist Fine dann mit Zoran fremdgegangen. Ein astreines Mordmotiv für Pohl. Oder führt der Streit zwischen den COB-Ausbildern Luca Weber und Wayne Jameson auf eine heiße Spur? Spannungen und Konflikte zwischen den Zivilisten gibt es jedenfalls reichlich, doch den Ermittlern rennt die Zeit davon. Der Höhepunkt der Übung steht unmittelbar bevor, und offenbar sieht der Mörder darin seine große Chance …

    Hinter den Kulissen eines Militärmanövers

    „The Pentagon is approving the production.“ Mit dieser Mail direkt aus Washington fiel der Startschuss für den Tatort-Dreh an einem sehr ungewöhnlichen Schauplatz: dem Truppenübungsplatz der US-Army in Hohenfels (Oberpfalz), der mit 160 km2 Fläche einer der größten in Deutschland ist. Vom 26. Februar bis zum 27. März 2024 wurde hier gedreht, und zwar unmittelbar vor Beginn und zum Teil auch während eines realen NATO-Manövers, quasi als „embedded Crew“. Auch für die beiden Hauptdarsteller Miroslav Nemec (als Ivo Batic) und Udo Wachtveitl (als Franz Leitmayr) war es „eine absolut außergewöhnliche, hochinteressante und sehr intensive Dreh-Erfahrung. Die gegenwärtige politische Situation macht diese Erfahrung natürlich umso nahbarer und eindringlicher.“ Drehbuchautorin Dagmar Gabler kam die Idee zum „Manöver-Tatort“ nach einem eigenen Einsatz als „Civilian on the Battlefield“ während eines NATO-Manövers im Jahr 2016.
    Ausgestrahlt wird der 96. Fall des Duos Batic und Leitmayr am Sonntag, den 2. März 2025 im Ersten, und zwar um 20:20 Uhr wegen einer verlängerten Tagesschau zur Bürgerschaftswahl in Hamburg.

    Videos zur Produktion
    ORF Trailer

    « Tatort »-Dreh auf Truppenübungsplatz Hohenfels | BR24
    https://www.br.de/nachrichten/bayern/tatort-dreh-auf-truppenuebungsplatz-hohenfels,U5yBqdt

    Drehstart für einen neuen Fall aus München : « Tatort : Charlie »
    https://www.daserste.de/unterhaltung/krimi/tatort/tatort-muenchen-drehstart-charlie100.html

    #Allemagne #guerre #médias #propagande

  • Il balance tout sur la #corruption et les magouilles des politiques

    https://www.youtube.com/watch?v=eqNpAVgoLsc

    Délinquance financière : la commission d’enquête du Sénat lance ses travaux

    La commission d’enquête constituée aux fins d’évaluer les outils de la #lutte contre la délinquance financière, la #criminalité_organisée et le contournement des #sanctions_internationales, en France et en Europe, et de proposer des mesures face aux nouveaux défis, créée à l’initiative du groupe Union Centriste, s’est réunie le 29 janvier 2025 pour constituer son bureau et lancer ses travaux.

    La prise de conscience de la réalité de l’emprise de la criminalité organisée en France est récente. Elle l’est plus encore s’agissant de l’ampleur des masses financières liées aux activités criminelles et à l’impact de ces sommes sur l’économie et la société. Des sujets aussi variés que la traite des êtres humains, la contrefaçon, le recours aux cryptomonnaies et la vente d’or se trouvent liés par le recours aux réseaux financiers criminels.

    La commission d’enquête se penchera sur la question du blanchiment et du financement de la criminalité organisée. Quels en sont les instruments ? Quels sont les moyens de prévention et d’entrave dont dispose la France ? Quelle est leur efficacité ? Comment s’articulent luttes au niveau national et au niveau international ? Tels sont les thèmes sur lesquels se penchera la commission d’enquête dans les mois à venir, dans le prolongement des travaux récents du Sénat.

    La commission d’enquête engagera ses auditions dès le 6 février 2025 et achèvera ses travaux au plus tard le 18 juin 2025.

    Elle a composé son bureau comme suit :

    Président :

    – Raphaël Daubet (Rassemblement Démocratique et Social Européen)

    Rapporteur :

    – Nathalie Goulet (Union Centriste)

    Vice-présidents :

    - Marc-Philippe Daubresse (Les Républicains)
    - Nadine Bellurot (Les Républicains)
    - André Reichardt (Les Républicains)
    - Hussein Bourgi (Socialiste, Écologiste et Républicain)
    - Patrice Joly (Socialiste, Écologiste et Républicain)
    - Sylvie Vermeillet (Union Centriste)
    - Dominique Theophile (Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants)
    - Pascal Savoldelli (Communiste Républicain Citoyen et Écologiste - Kanaky)
    - Dany Wattebled (Les Indépendants – République et Territoires)
    - Grégory Blanc (Écologiste – Solidarité et Territoires)

    https://www.senat.fr/salle-de-presse/communiques-de-presse/presse/29-01-2025/delinquance-financiere-la-commission-denquete-du-senat-lance-ses-travaux.html

    #Fabrice_Arfi #condamnations #France #politiques #pouvoir #justice #commission_d'enquête #délinquance_financière #cour_de_justice_de_la_République #tribunal_d'exception #argent #médias #procès_de_la_justice #détournement_de_fonds_publics #République_des_juges #sentiment_d'impunité #fraudes_fiscales #crime_financier #délit_financier #atteintes_à_la_probité #justice_financière #criminalité_financière #paradis_fiscaux #syndrome_des_silos #hybridation #mafia #narcotrafic