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    @seenthis que se passe-t-il ? merci de ton aide

    #médias_alternatifs #boycott_facebook

    Debord stratège - Souriez vous êtes filmés
    https://souriez.info/Debord-stratege

    Emission du 25 janvier 2019 //

    Les Amis d’ORWELL rendent une petite visite amicale à DEBORD, autour d’un ouvrage paru récemment aux éditions l’Échappée :« STRATÉGIE », une compilation minutieuse des fiches de lecture manuscrites qui ont participé à la construction de la pensée de Guy Debord dans le domaine de la stratégie et de l’histoire militaire.

  • The Mutu network : the revival of French radical media
    https://atelier.mediaslibres.org/The-Mutu-network-the-revival-of-French-radical-media-218.html

    Des membres du site anglais Libcom.org ont assisté aux 10es rencontres du réseau Mutu. Ils en ont tiré un article enthousiaste présentant cette expérience originale, réunissant des sites locaux, participatifs, et anti-autoritaires. L’occasion aussi de faire un point sur la situation des médias radicaux au Royaume-Uni. En voici quelques extraits en attendant une traduction.

    #médias_alternatifs

  • L’histoire de Radio Canut. A la recherche d’un media émancipé
    https://rebellyon.info/L-histoire-de-Radio-Canut-A-la-recherche-17836

    L’aventure « Radio Canut » débute à la fin des années 1970. Nous sommes alors en pleine période d’agitation politique et sociale. Des mouvements surgissent en tous lieux : les jeunes s’organisent pour subvertir le quotidien des lycées-casernes et des corridors d’usines que sont les établissements professionnels ; les femmes se regroupent pour revendiquer leur spécificité et faire reconnaître leurs droits ; des comités surgissent dans les quartiers et les cités, s’insurgent contre l’urbanisme technocrato-policier et tentent de se réapproprier l’espace et le quotidien ; les mouvements régionalistes se dressent face au centralisme étatique ; les travailleurs immigrés, victimes du racisme et de conditions de vie déplorables, tentent de briser le mur du silence ; les luttes contre le nucléaire ou contre l’armée se font massives et déterminées etc.

    Ces initiatives fournissent l’essence des radios libres dont le rôle est d’en assurer le relais et de les soutenir devant l’opinion publique. Une fonction rendue nécessaire par la prise de conscience de l’influence médiatique, des enjeux du conditionnement et de l’encadrement idéologique en société occidentale. Dans ce domaine, la radiodiffusion apparaît comme le moyen de communication le plus accessible, celui qui possède le meilleur rapport coût/pénétration. Dès lors, c’est sur ce terrain qu’un combat acharné voit le jour entre le Pouvoir étatique et les structures contestataires soucieuses d’autonomie.

    #radio #radios_libres #médias_alternatifs #Radio_Canut #mémoire_militante

  • Face au FN, un portail des #Médias_libres pour entrer en résistance
    http://www.bastamag.net/Face-au-FN-un-portail-des-medias-libres-pour-entrer-en-resistance

    Ce 6 décembre 2015, le FN arrive donc en tête dans six des douze grandes régions métropolitaines et est en mesure d’en conquérir trois. Avec six millions de suffrages, le parti d’extrême droite gagne 1,3 million de voix comparé aux élections européennes de 2014. Il a franchi une marche supplémentaire vers le pouvoir. Et la France une étape de plus dans son lent basculement vers des années de plomb. La résistance est de mise pour que cécité, indignité et lâcheté ne deviennent pas les futures devises de la (...)

    #Chroniques

    / A la une, Médias libres, Démocratie !

    #Démocratie_ !

    • J’ai deux critiques à faire à cet article :
      – La première sur

      Les causes de la résistible ascension du FN sont, elles, bien identifiées

      , puisque cette ascension n’est pas si évidente qu’on ne le dit, voir mon commentaire ici : http://seenthis.net/messages/437313

      – La seconde, sur l’opportunité de ce portail - que je n’ai pas encore regardé attentivement mais là n’est pas la question - alors qu’il existe déjà, par exemple, @rezo et @seenthis. N’est-ce pas favoriser encore un peu plus l’éclatement des forces de gauche ?

      Bon, ok, ça a l’air plus complet et mieux organisé chez Bastamag. Je me suis emballé, l’émotion, que voulez-vous...

    • Je t’aime bien Basta mais là, grosse fatigue. Tu me fais le même article qu’en 1984, tu tiens le même langage que celui qui nous casse les oreilles depuis 20 ans. Tu nous expliques que tu ouvres un portail média libres et tu nous mets rue 89, L’humanité et Politis. Et c’est toi qui décide tout seul qui sont les « médias libres ? » Avec seenthis tout le monde peut signaler ses préférences et ce sont les lecteurs responsables qui choisiront, et pas seenthis. Et moi je préfère grandement cette liberté là à celle que tu prétends nous servir.

      Il faut réfléchir à autre chose pour aborder ces tragédies qui se sont abattues sur nous depuis deux ou trois ans.

    • Oui, il faudra voir avec le temps s’il y a effet doublon ou pas...

      Pour Rue89, après discussion avec les intéressé-e-s, il s’avère que les Rue89 présents sont des éditions locales (Lyon, Bordeaux, Strasbourg) qui ont cessé tout rapport financier et donc de dépendance avec la base de L’Obs (tenue par le trio BNP à 65%) mais ont gardé le nom pour jouer la continuité du lectorat.

      Voir ici par exemple : http://www.rue89strasbourg.com/index.php/faq

    • @cazueladepolo d’accord avec ton premier point (et donc avec @reka) ; titrer “Face au FN” pour ce communiqué, c’est une posture illusoire et un peu ridicule. (J’imagine bien le dialogue en salle de rédac : “Hé t’as pas une accroche pour annoncer le lancement du portail ? Bah ch’ais pas y a quoi dans l’actu ?”)

      Sur la démultiplication des sources et des relayages d’infos, je soutiens à fond le président Mao sus-cité. Repérer, sélectionner, agréger et relayer, ce n’est pas seulement ce que fait @rezo, c’est ce que fait chaque compte seenthis, et même chaque compte twitter, et c’est très bien. Je ne vois pas du tout ce qui pourrait gêner dans l’effet "doublon".

      Au final je soutiens aussi @bastamag parce qu’ils se démènent pour parvenir à payer des journalistes et faire vivre un petit bout d’info différente. Par contre les #paywalls, non. C’est triste, c’est idiot, c’est laid, et c’est contre-productif.

    • Je suis dans le hongkong-paris au décollage donc je la fait courte, je préciserai à l’arrivée plus longuement. En urgence je tiens à répéter comme @fil que j’aime beaucoup basta que je soutiens, juste je voulais vous faire savoir que la forme de cette initiative m’emmerde et j’expliquerai pourquoi après l’atterrissage.

    • Quand j’ai vu qu’ils avaient officiellement sorti le portail je me suis dit chouette, quand j’ai vu l’annonce : je me suis dit que c’était dommage de profiter du FN

      Personnellement, je pense que @bastamag a un public varié et pas nécessairement le même que @rezo . Du coup, au plus ça diffuse au mieux c’est.

    • Remarque préliminaire : je soutiens moi aussi @bastamag, que j’ai découvert grâce à vous ou à @rezo , je ne sais plus. Mais c’est également le cas pour les autres publications répertoriées sur le portail... d’où la question de l’opportunité de ce dernier.

      @fil @ben Si nous étions dans un autre monde, je saluerais moi aussi la diversité de l’information et la multiplication des publics. Mais de nos jours, l’info. et les lieux où la trouver, même « alternatifs » me semblent plutôt en surabondances. N’est-ce pas le même problème que la fragmentation des luttes sur le terrain qui n’arrivent plus à se réunir ? Tandis que les conservateurs et réacs de toutes tendances cherchent, et parviennent, plutôt à se regrouper. Je n’ai pas le temps de faire des recherches, ou plutôt des analyses approfondies, puisque je ne suis pas rémunéré pour réfléchir (mon taf de traducteur est plus proche du bénévolat que de l’autoentrepreneuriat, et je ne dis pas cela pour me plaindre, c’est un choix de vie, mais pour contextualiser mon discours), la remarque suivante n’est donc qu’une impression : la force de celleux qui dominent les mondes économiques et politiques, c’est justement leur capacité à être « solidaires », et c’est bien ces unions qui leurs permettent de dominer. Je suis, par exemple, au Chili, où presque tous les ans, on découvre que les défenseurs de la « compétition libre et non faussée » passent leurs temps à ce mettre d’accord sur les prix, sans parler des règles que doivent suivre, selon elleux, l’Humanité.
      De notre côté, nous qui prônons la solidarité, la démocratie réelle, l’ouverture aux idées et aux cultures, etc. et qui critiquons le sectarismes de celleux-là, et bien, on trouve la moindre excuse pour se séparer, pour montrer que les un-e-s et les autres ne sont pas assez « pur-e-s » dans leurs positions.
      Et donc, plutôt que de chercher à toucher des publics variés en multipliant les portails, ne serait-ce pas plus efficace, pour diffuser nos idées et nos sentiments, de chercher, nous aussi, à regrouper ces publics, plutôt que de prendre la fragmentation comme un fait indépassable ? Tout le monde ne peut pas passer des heures à trouver les sites qui l’intéressent et, en plus, lire les articles qui y sont diffusés. Déjà que lire prend du temps, si il faut également parcourir toute la toile pour savoir où se trouvent les bibliothèques, j’en connais beaucoup qui préfèreront, ou devront, se contenter des médias les plus accessibles, et donc ceux qui diffusent la pensée hégémonique. Et si leurs données sont fausses, nous pouvons toujours rêver pour qu’une nouvelle hégémonie, une nouvelle société, naisse.
      Car l’info. « montée du FN » est, relativement à l’univers électoral, fausse - d’ailleurs j’aimerais bien avoir vos opinions là-dessus - tout comme la relation entre croissance et emploi, ou du moins entre croissance et taux d’activité (j’en parle ici : http://cazueladepolo.canalblog.com/archives/2014/05/15/29878832.html) mais aussi, l’idée selon laquelle fermer les frontières, aux personnes et non aux capitaux, c’est lutter contre le terrorisme. Je n’ai fait qu’esquisser les idées qui me semble structurer le monde d’aujourd’hui, mais elles m’amènent à me demander si un FN au Pouvoir changerait vraiment quelque chose quand, de toute façon, ce sont ses idées qui mènent la danse macabre où nous nous trouvons.

      PS : Désolé pour ce long commentaire mais, a posteriori , il fallait que ça sorte, et si en plus ça en inspire un-e ou deux pour débattre de ces questions avec moi, sans doute sur un autre fil ou dans un autre espace, et bien tant mieux : vous aurez sans doute compris qu’il me manque, à l’heure actuelle, des camarades pour affiner mes pensées.

    • 1./ J’aime @seenthis , j’aime @rezo , j’aime cette nouvelle initiative de @bastamag (qui devrait d’ailleurs devenir un portail à part entière plutôt qu’un sous-domaine du site)

      2./ Comme le dit @cazueladepolo, je n’ai pas le temps de passer ma vie sur les aires d’autoroutes de l’information, et ce genre d’outils me servent de « boussole ». Même si je crée moi-même mes propres boussoles (marque pages), et que j’utilise @seenthis comme un autre outil pour me repérer. Donc j’utilise souvent @rezo , (et j’utiliserai peut-être souvent Médias Libres de Basta ! ). Au contraire, je me balade sur @seenthis lorsque j’ai une soirée de libre, mais pas pour parcourir rapidement l’info. C’est donc complémentaire.

      3./ Ce que je trouve bien sur @rezo :
      – Les choix de liens de ceux qui l’administrent
      – L’encart « Attention les oreilles » qui me permet de ne pas perdre mon temps à chercher une émission intéressante à écouter avant de me mettre au travail
      – L’idée de créer un agenda, même si Demosphere a pris le relais depuis (j’habite à Lille)
      – Le moteur de recherche

      4./ Ce que je trouve bien sur la selection de @bastamag
      – Le rubriquage, plus clair pour le cerveau humain que le nuage de tags de Rezo
      – L’actu des mouvements sociaux, même si cela mériterait d’être filtré par ville ou département
      – Le projet

      5./ Sur le rassemblement des médias alternatifs : C’est le marronier de la gauche. On a cruellement besoin d’un « package » qui nous fait exister face à la déferlante de titres libéraux et bien pensants, mais l’autorité imposée par une « ligne éditoriale » s’oppose au long travail de démocratie décentralisée souhaité, et voila @reka qui arrive pour exclure de sa propre autorité 3 titres.

      Alors je salue @bastamag , qui ne prétent pas devenir le portail unitaire des alternatives au grand capital, mais qui intitule son nouvel outil modestement « La selection de Batsa ! ».

      #médias_alternatifs

    • Dans l’ancien monde donc, lorsque le journalisme constituait une occupation rémunérée, des personnes passaient leur temps à chercher des informations et les livrer aux autres, en appliquant des techniques (de collecte, de vérification, d’écriture) qu’elles avaient apprises. Peut-être qu’on peut s’en passer, qu’au sein d’une collectivité des informations peuvent être trouvées et relayées bénévolement par des gens qui font autre chose en parallèle et qui ont un don naturel pour l’information. C’est l’hypothèse la plus optimiste.

      Maintenant regardons ce qui existe à ce jour en dehors du journalisme, dans les médias dits “alternatifs”, “libres” ou toute autre appellation. Certains publient des articles très intéressants, du contexte sur un événement local mal traité ou sous-traité par la presse classique, des analyses riches sur une situation, des textes de réflexion critique, des rendez-vous militants, etc. Il manque tout de même quelque chose d’important : ces médias apportent très rarement des informations inédites, par méconnaissance ou rejet des techniques dites “journalistiques” telles que passer un coup de fil, faire une interview, aller en reportage là où il se passe quelque chose.

      A mes yeux, ces techniques ne sont pourtant pas réservées aux journalistes. Elles ont souvent été inventées par d’autres et peuvent servir à tous ceux qui au-delà du commentaire, ont envie ou besoin de faire de l’information. Elles n’empêchent ni le regard critique, ni l’empathie lors d’un entretien ou d’un reportage et les formes consacrées peuvent être réappropriées, améliorées. Toute expérimentation dans ce domaine est bonne à prendre.

      #journalisme #medias #medias_alternatifs cc @rezo @moderne

  • Defending Putin’s Propagandists - The Daily Beast
    http://www.thedailybeast.com/articles/2014/03/12/defending-putin-s-propagandists.html

    Defenders of RT, a Kremlin-funded television network, are coming out in droves—and not just in the traditionally conspiratorial corners of the Internet.

    Coming soon to a theater near you: A Filipina Drama Queen pairs up with a Subversive Gay Jew to embarrass the Russian government!

    #médias_alternatifs et #wtf ; pour tous ceux qui suivent RT, Abby Martin, et firstlook… les autres peuvent s’en fiche…

  • « Farewell from Indymedia London » : l’un des piliers du réseau d’info alternative annonce sa fermeture
    Traduction du texte du collectif anglais.
    http://atelier.mediaslibres.org/Farewell-from-Indymedia-London-l.html

    Le 13 octobre 2012, le collectif d’Indymedia Londres annonçait la fermeture de son site après 13 ans de participation et une tentative pour faire évoluer ce modèle de site. Dans ce texte, le collectif explique ce qui l’a amené à prendre cette décision. Une contribution intéressante à une réflexion sur ce qui a été expérimenté ces dernières années et les défis à relever aujourd’hui.

    #indymedia #medias_alternatifs

    • http://london.indymedia.org/articles/13128

      The landscape of the internet changed and so too its usage by both individual participants, activist and campaign groups and indeed the mainstream media. The inexorable rise of corporate blogging tools and the mass adoption of facebook, twitter, flickr, youtube and third party curation and sharing tools has created new complex communities of interest and empowered the production, organisation and distribution of content as never before. The main raison d’etre for Indymedia’s existence is no longer there. Correspondingly the usage has dropped significantly over the last few years. Those whose main outlet for their political documentation was Indymedia now use their own blogs or websites, twitter, flickr, demotix, youtube or vimeo and facebook. Use it or lose it.

    • A mais mince l’oubli du lien de la traduction… Réparé. Sinon, oui, les raisons de l’échec d’Indymedia sont à analyser, et pas forcément à attribuer uniquement à l’utilisation des médias de grosses compagnies. L’open publishing et ses limites et la difficulté à animer un réseau mondial peuvent être, avec beaucoup d’autres raisons qu’il faudra analyser, la cause de l’arrêt d’un site comme celui-ci. Du coup si ça intéresse @rezo

    • Concernant les raisons de l’isolement, je comprends (à la lecture du texte original) que la raison primordiale est que la liaison avec les médias sociaux commerciaux n’a jamais été réalisée parce qu’Indymédia défendait l’anonymat de ses contributeurs.
      Ca m’intéresserait que ce soit développé, on ne sait pas si c’est à force de défendre ce modèle qu’ils se sont épuisés. Ou si c’est parce que ce modèle d’anonymat, dans un monde d’égos surdimensionnés d’individus est devenu obsolète.
      Si on s’en tient à la T.A.Z Indymédia n’était pas là non plus pour perdurer, le risque étant de devenir une institution. Je pressens un parallèle avec des systèmes paradoxaux de collectivisme comme Wikipédia, qui s’épuise néanmoins à vouloir tout contrôler.

      Il est important de noter qu’Indymedia est resté l’un des rares espaces en ligne autorisant les utilisateurs à publier anonymement et sans système d’identification. La question de la confidentialité a toujours été essentielle pour nous, ce qui signifie que nous avons cherché à protéger l’identité des utilisateurs des autorités et des entreprises, et nous avons favorisé cette question par rapport à la possibilité de partager du contenu avec des plateformes commerciales. C’est cela, plus que toute autre chose, qui a laissé Indymedia isolé d’autres médias sociaux et a empêché le développement de fonctionnalités similaires.

      L’original en anglais :

      Importantly Indymedia has remained one of the few online places that allows users to publish anonymously and without a logon. We always cared about privacy, which means protecting users’ identities from the authorities or corporations, and we prioritised this over the ability to share content with commercial platforms. It is this more than anything which has kept Indymedia isolated from other social media and similar feature developments so thoroughly.

    • @touti la faiblesse d’Indymedia face aux réseaux sociaux tient certainement à cet anonymat qui implique de fait des liens assez faibles avec les contributeurs et contributrices. C’est l’une des grandes différences avec Rebellyon, autre modèle de site participatif, qui a toujours insisté pour que les gens se créent un compte pour publier, pour développer des liens de confiance mutuelle, pour que localement ça renforce et s’appuie sur des liens réels.

    • @rastapopoulos : ce sont effectivement des longues discussions depuis pas mal d’années. Mais ce n’est pas un face à face : y’a toujours eu plusieurs manières de faire des médias alternatifs, sur le web ou d’autres supports. On essaie plutôt de voir ce qui fonctionne ou pas. C’est dommage que le texte d’ailleurs ne critique pas plus directement l’open publishing. Il ne le fait que de manière détournée (openness dans le texte anglais). Quant à la connexion demandée par Rebellyon pour proposer un article, elle pose d’autres soucis.

    • Oui @ari, ce serait bien de réfléchir au pourquoi de l’échec de l’open publishing. A commencer par savoir si les logiciels contributifs le sont vraiment ? Et qu’est-ce qui bloque ou a bloqué dans le processus ?
      La montée en puissance des émissions publiques « big brotheriennes » qui rendent célèbres des anonymes s’est fait dans le même temps que la « désanonymisation » des réseaux internet et une dépolitisation globale. Je peux citer des responsabilités politiques, tout ça, comme le libéralisme, n’est pas ex-nihilo.

    • @touti En gros : sur un site local, on peut espérer connaître les gens qui proposent des articles (à moins d’être dans une agglomération gigantesque). S’ils proposent un article en se connectant, ça permet d’être un peu plus sûr du contenu (ce sont souvent les mêmes personnes). On peut aussi les recontacter pour plus d’infos (puisqu’on a leur mail), voire même si on utilise l’interface privée de Spip, leur proposer des modifications pour améliorer leur article (ce qu’on appelle dans la presse « l’édition », pour arriver à un article avec une bonne titraille, des illustrations, des intertitres, qui rendent accessibles au plus grand nombre les infos que le rédacteur cherche à transmettre etc.).

      Tout cela permet de proposer aux lecteurs des articles corrigés, aux infos fiables, et d’aider les rédacteurs, en particulier ceux qui ont des difficultés à écrire, à finaliser des articles parfois compliqués. On propose ainsi aux rédacteurs de l’entraide, plutôt qu’un dispositif où ils sont tout seuls à publier (comme sur les réseaux sociaux), et aux lecteurs (dans l’idéal) des articles qui sont un peu plus carrés.

    • N’est-ce pas justement pour cela que les réseaux commerciaux et non militants, qui sont avant tout des outils de liaisons, ont eu la préférence et qu’au-delà le risque d’être jugé a fait fuir les éventuels rédacteurs alternatifs, craignant une sorte d’élitisme malgré l’anonymat ? Parce qu’on ne peut pas reprendre le modèle de rédaction classique d’un journal papier avec l’organisation et la censure du comité rédactionnel (même si elle se justifie intellectuellement) que cela implique lorsqu’on veut « faire participer » et défendre dans le même temps l’internet pour tous.
      Les réseaux Tw Fb ne sont que des outils, jamais un point de vue politique unique administré pour un idéal, les grincheux réacs diront n’importe qui s’y exprime mais en fait tout le monde s’y exprime. Pfff, je collectionne les #paradoxes aujourd’hui.

    • @touti je pense que t’as bien résumé le souci. Indymedia voulait à la fois l’expression de tout le monde, remplacer les médias « dominants », être un outil de coordination, inventer de nouvelles manières de s’exprimer, lutter contre la censure, mettre à bas les schémas antérieurs de rédaction, etc.

      Au final, je pense qu’aucun de ces objectifs n’est réellement rempli, même si l’aventure de ce projet est magnifique.

      En étant plus proche du terrain, en proposant aux camarades de sa ville des services mutualisés (correction, édition, co-écriture), en assurant un nombre de lectures qu’aucun blog ou compte de réseau social ne peut avoir (l’union fait la force), ou encore une information fiable, on construit quelque chose de moins ambitieux théoriquement (c’est moins « nouveau », encore que), mais plus solide. L’ancrage local permet aussi de contrebalancer le fait que toute expérience sur le net est super fragile (parce que les liens numériques sont assez faibles).

    • @rastapopoulos effectivement, le #pseudonymat est ce qu’on pratique sur Rebellyon. J’ai zappé de préciser qu’on a quand même une possibilité de publication anonyme et qu’on avait aussi mis en place une Privacy Box.
      http://rebellyon.info/Un-formulaire-securise-a-la.html
      Merci pour l’article.

      Le pauvre activiste nord-coréen va donc utiliser son précieux accès TOR en se connectant (sans aucune trace parce qu’il est super doué en informatique) depuis un accès anonyme (et on sait que les dictatures en regorgent (ou pas)) sur son blog (anonyme aussi forcément, sinon tous ses efforts précédents ne servent à rien) pour dénoncer la corruption du pouvoir en place.

      Déjà, là... Non mais : admettons.

      Disons donc que, comme dans les séries américaines, notre super-opposant parvient à se jouer de toutes les sécurités en place grâce à un trombone qui désactive la puce de contrôle gouvernementale (oui je sais, je ferais un pitoyable scénariste). Son article est publié, et rien ne permet de savoir que c’est lui qui l’a écrit. Bravo.

      Qui va croire à ce qu’il a mis dedans ?

      Vous, je ne sais pas, mais moi quand je tombe sur un billet anonyme et dont rien de ce qu’il contient ne pourrait me permettre d’identifier la source, eh bien, j’y accorde à peu près autant de crédit que ce que son auteur y a mis d’identité : zéro, nib, nada.

      Je ne peux pas, quand je lis quelque chose d’anonyme, publié sur un média intraçable, accorder le moindre crédit à ce que je vois.

      Le but c’est donc de garantir l’anonymat, s’il est désiré (on peut toujours signer ses articles), en même temps qu’une certaine fiabilité de l’information pour pouvoir agir. On n’attend pas des lecteurices qu’illes aillent vérifier l’info. On assume collectivement la responsabilité de l’information donnée au sens d’une responsabilité politique devant une communauté politique. Par contre, et c’est là l’impensé du texte de Chemla, on n’a pas forcément envie de donner le bâton pour se faire battre juridiquement par des professionnels de la procédure (les multinationales, les industriels des médias, les serviteurs de l’Etat). @touti aussi ;-)

  • Notre Dame des Landes : l’inacceptable interdiction de la presse
    http://www.rennestv.fr/catalogue/info-1/notre-dame-des-landes-l-inaceptable-interdiction-de-la-presse.html
    L’"édito" d’un micro site de presse, RennesTV.fr fait état de tensions entre militant-e-s à NDDL et journalistes. Il est intéressant parce qu’il reprend un certain nombre des paradoxes de ces relations : à la fois le besoin de « couverture » médiatique pour un mouvement social, la difficulté à cadrer les journalistes (ce qu’ils peuvent faire ou voir sur un lieu militant), la capacité très rapide de cette profession à s’indigner et à faire corps, etc. (dans le même temps, aucun édito indigné n’a été publié face à l’interdiction faite à la presse hier de se rendre sur les lieux d’affrontements).

    Stratégiquement, c’est une erreur fondamentale parce que les médias répandent bien mieux la parole et les actions des militants que les auto-médias, car ils s’ouvrent à une audience plus importante et diversifiée que ne le font les structures spécialisées comme indymedia, le juralibertaire ou bellaciao. Sur le plan humain, c’est dégueulasse. Il y a parmi ces journalistes des gens qui s’intéressent vraiment à ce qu’il se passe à NDDL, et répondre à leur intérêt par un bracelet jaune, c’est dégradant et humiliant. Historiquement c’est une honte, parce que le marquage jaune, les insultes et les crachats, c’est une méthode de fascistes qui a justement été combattue par les résistants et les partisans dont voudraient s’inspirer les maquisards du bocage, aujourd’hui.

    #journalisme #presse #medias_alternatifs

    • Le plus intéressant dans l’article se trouve pour une fois dans la trentaine de commentaires (impossibles à afficher chez moi sans mettre le « style de la page » sur « Aucun »).

      Deux points rapides parmi d’autres qui mériteraient plus de discussions :
      – Faire un point Godwin direct en évoquant un bracelet jaune, c’est très limite :

      le marquage jaune (…) c’est une méthode de fascistes qui a justement été combattue par les résistants et les partisans

      Le journaliste de RennesTV s’est retrouvé face à un problème récurrent dans tous les mouvements sociaux : la tentative de répondre collectivement à la question de la médiatisation d’un mouvement et d’arriver à contrôler un minimum l’image qui en est donnée. Les règles ou interdictions sont, de toute façon, toujours très mal vécues par les reporters, même quand ils sont « sympathisants ». Cette tension ne peut pas se résoudre : la volonté de savoir d’un côté comme le besoin de contrôler son image de l’autre seront toujours là ; mais on peut espérer de la part des journalistes sympathisants (comme se présente l’auteur de cet article) qu’ils la comprennent et acceptent les limites posées par les gens sur lesquels ils viennent faire un reportage.

      – Il est difficile dans le contexte actuel de la presse de demander aux gens de ne pas généraliser :

      tous les journalistes ne font pas le même métier, et tous les médias ne sont pas à mettre dans le même panier

      alors qu’il n’existe pas – ou très peu – de dénonciation par des journalistes des pratiques des autres médias ou de leurs confrères, que les critiques sont maintenues hors champ, et que la solidarité de la corporation est l’une des choses les mieux partagées par les journalistes. Où sont les articles dénonçant la fabrication d’une grosse intox (qui rappelait la série télé « Engrenages » d’ailleurs) de prétendus barbares qui auraient hésité à cramer un vigile dans sa voiture ?

      On peut demander aux militants de se questionner sur leurs pratiques, ou même sur leur stratégie sur le front de l’information, le boulot ne manque pas.

      Mais il serait temps que les journalistes fassent aussi le ménage dans une corporation dont ils ne cessent de se réclamer, ou imaginent un moyen clair de se distinguer de pratiques intolérables. Il faudra sinon qu’ils acceptent de continuer à payer les pots cassés d’un système de production de l’information dont ils vivent (et leur faisant bénéficier de nombreux avantages symboliques), qui est loin de produire l’information dont nous avons besoin collectivement.

      Bienveillance et compréhension intime des mouvements sociaux, réflexion sur l’information dont nous avons besoin pour changer le monde : deux axes qui permettraient d’engager un dialogue entre celles et ceux qui – journalistes ou pas – sont critiques du monde tel qu’il est et du système médiatique qui le soutient. Un travail à mener parallèlement à la conquête d’une véritable autonomie des acteurs des mouvements sociaux dans l’expression large et massive de leurs paroles et de leurs informations.

    • Sur cette question de l’hostilité : « Brouillard lacrymogène en forêt profonde » par un photographe de l’AFP.
      http://blogs.afp.com/makingof/?post/2012/11/25/Brouillard-lacrymogène-en-forêt-profonde

      les gendarmes se replient vers leurs fourgons (…). On s’efforce de ne pas traîner sur place après leur départ.
      On parle beaucoup de l’hostilité des opposants à Notre-Dame-des-Landes envers la presse. Il est vrai que le mouvement s’est beaucoup durci. On passe la journée à se faire insulter. On se fait traiter de presse bourgeoise, de complices du pouvoir… On nous jette parfois des pierres. C’est très tendu. Il devient de plus en plus difficile de couvrir les manifestations à la fois du côté des opposants et de celui des forces de l’ordre.

    • Toujours dans le même style
      Notre-Dame-des-Landes : des opposants veulent limiter l’accès de la presse à 30 mn par jour
      http://www.lexpress.fr/actualite/societe/notre-dame-des-landes-des-opposants-veulent-limiter-l-acces-de-la-presse-a-

      Un groupe d’opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique installés dans les « nouvelles cabanes », devenues le lieu symbolique de leur lutte, ont indiqué mardi à l’AFP que la presse ne serait dorénavant autorisée à y accéder que trente minutes par jour.

    • Et aussi
      Journaliste, dégage !
      http://xaviermalafosse.wordpress.com/2012/11/27/journaliste-degage/#more-428

      Les jours se suivent et se ressemblent à Notre-Dame-des-Landes : les gardes mobiles harcèlent les « Occupants » de la ZAD, et une minorité de zadistes harcèle les journalistes. Cette minorité, certes minoritaire, n’en est pas moins résolument pénible et menaçante à l’égard de la presse. Ou d’autres, d’ailleurs. Un camarade me racontait comment son organisation libertaire s’était faite sortir manu militari d’un cortège, car aucune récupération ne serait tolérée ! J’ai pourtant le sentiment que l’opposition au projet d’aéroport est discrètement récupérée par quelques illuminés. Ou des provocateurs infiltrés. Mais passons…

    • Notre-Dame-des-Landes : l’hostilité envers les journalistes prospère dans le bocage http://www.lexpress.fr/actualites/1/economie/notre-dame-des-landes-l-hostilite-envers-les-journalistes-prospere-dans-le-
      Dépêche AFP sur le sujet.

      Latente chez certains des premiers opposants au projet d’aéroport nantais, l’hostilité envers les journalistes, exposés à des insultes, agressions ou dégradations de matériel, jusqu’ici limitées, a explosé ces dernières semaines à Notre-Dame-des-Landes.

  • Videobaz - Le centre de ressources de vidéos associatives » À propos de ce blog…
    http://www.videobaz.be/a-propos

    Face aux logiques de marché des télévisions privées et les contraintes politiques imposées aux télévisions de service public, la nécessité d’une troisième voie apparaît comme évidente. Afin de redonner la parole aux femmes et aux hommes qui composent notre société, il nous paraît important de contribuer au développement des médias du troisième type. C’est donc dans un souci d’indépendance et de représentativité de la société civile dans toutes ses diversités que nous avons le plaisir de lancer le blog de l’université populaire.

    Cette Web TV associative est la votre. Elle est faite pour vous, mais tend aussi à être faite par vous. Nous vous invitons donc à nous soumettre vos contributions et espérons qu’ensemble, nous pourrons offrir une tribune à ceux que les médias traditionnels oublient régulièrement.

    #web_tv #vidéo #medias_alternatifs #creative_commons

  • les nouveaux limiers de la presse américaine

    Malgré la crise de la presse, le journalisme d’investigation a de l’avenir. La preuve vient d’Amérique avec l’émergence de ce qu’on appelle le « non-profit journalism ». Des fondations, des donateurs de toutes sortes ont choisi de soutenir de nouvelles entreprises journalistiques qui ne pourraient pas tenir seules commercialement.

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/enquete/0201472643500-les-nouveaux-limiers-de-la-presse-americaine-189206.php

    • "Mais l’abondance de sites d’information ne se traduit pas par un surplus de couverture journalistique. Au contraire, l’essentiel de la charge de l’investigation locale repose désormais presque entièrement sur les grands journaux, qui ont encore des équipes rédactionnelles étoffées. En réaction, Jason Stverak, président du Franklin Center for Government and Public Integrity, a créé tout un réseau pour mieux éduquer les « localiers », mais aussi les blogueurs, aux techniques de l’enquête. "
      Si on remplace "localiers" ou "blogueurs" par militant-e-s...
      #journalisme #médias_alternatifs

    • En « non-profit journalism », nous avons @owni, sauf que par chez nous, il ne reste plus grand monde pour le journalisme d’investigation, soi-disant jugé trop cher par les grandes rédactions, lesquelles, par contre, n’ont jamais de problème pour financer le « journalisme de façade ».
      Juste comme ça, l’histoire d’un copain du bled, qui, l’autre jour, se fait réveiller de sa sieste par une équipe de reportage de TF1 au complet (nous sommes à 800 km de Paris, sans accès autoroutier) :
      – Oui, bonjour, c’est vous qui vendez de l’eau bénite sur Internet ?
      – Heu, non.
      – On est bien à telle adresse ?
      – Oui, mais on est là depuis un an.
      – Et vous avez reçu du courrier pour de l’eau bénite sur Internet, vous connaissez celui qui fait ça ?
      – Non, non, jamais entendu parler.

      Je vous la fait courte : mon pote est un ancien réalisateur de documentaire, en roue libre, parce que le documentaire, ça coûte trop cher à faire, l’équipe de tournage, elle est descendue de Paris juste après avoir vu un site qui vend de l’eau bénite : hop, en voiture Simone !
      C’est sûr que les gens d’#owni, ils ont vachement envie de prendre des cours de journalisme de ceux qui savent aller sur le terrain.

      D’ailleurs, Owni finance des reportages et des enquêtes, à l’occasion.
      Voilà, voilà !

    • Le financement d’owni est différent de ceux cités dans l’article.

      Owni est financé par une société de design/développement Web, 22 Mars, qui est à la fois la maison mère et fille... Puisqu’Owni sert de vitrine à... 22 Mars.

      Le système ici expliqué est celui des fondations — un système typiquement nord américain.

  • La Brique en procès ! Soutenez la presse libre !
    Le journal alternatif lillois poursuivi par un journaleux (les journalistes sont souvent les meilleurs ennemis des médias alternatifs).
    "Le 29 juin à 14h, le chroniqueur judiciaire de La Voix du Nord, Frédérick Lecluyse, nous envoie devant le TGI. On l’aurait « diffamé » en montrant du doigt son « humour douteux » et le grand cas qu’il fait des origines ethniques des personnes mises en cause ou envoyées en taule."
    http://www.labrique.net/numeros/numero-27-mai-juin-2011/article/la-brique-en-proces-soutenez-la
    #médias_alternatifs

  • Bilan critique de l’activité des Cahiers de mai
    « Les Cahiers de Mai présentent une tentative originale de l’immédiat après 68 et le texte de 1972 à lire plus bas représente une réflexion critique du fonctionnement de ce groupe à travers l’expérience lyonnaise de la lutte à l’usine Penarroya. Vous trouverez donc ci-dessous d’abord une rapide introduction aux Cahiers de mai puis, centralement, un bilan critique de l’activité des Cahiers écrit en 1972 par J.-Louis Jarrige et Jacques Wajnsztejn avec l’aide d’autres participants à la revue, pour terminer par une annexe qui présente des remarques produite en mai 2011 par Jacques Wajnsztejn. Avant d’entrer dans cette expérience et cette critique, voici une petite introduction générale sur une aventure un peu tombée dans l’oubli. »
    http://rebellyon.info/Bilan-critique-de-l-activite-des.html
    #mémoire #médias_alternatifs

  • Appel à contribution pour un « colloque international » sur la presse alternative
    "Appel à contribution pour le Colloque international "La presse alternative - Entre la culture d’émancipation et les chemins de l’utopie"qui aura lieu à Lyon les 19-20-21 janvier 2012." Organisé par des libertaires (le Cedrats), le Musée de l’imprimerie de Lyon, les Archives municipales, l’ENS. "
    http://atelier.mediaslibres.lautre.net/Appel-a-contribution-pour-un.html
    #colloque #presse #médias_alternatifs

  • Retour sur les rencontres « médias libres » 2008
    "Au mois de juillet 2008, à Lyon, ont eu lieu les premières « Rencontres autour des médias libres ». Elles sont nées de la volonté de quelques collectifs de la région Rhône-Alpes de trouver un temps pour faire naître des échanges entre les différents groupes agissant sur le terrain de l’information alternative. Cette année auront lieu de nouvelles rencontres. Pour vous motiver, retour rapide sur ces journées de 2008. "
    http://atelier.mediaslibres.lautre.net/Retour-sur-les-rencontres-medias.html
    #médias_alternatifs #net_activisme

  • Information et mouvements sociaux : don’t blame the media, be the media ?
    "Cette semaine, alors que nous avions les yeux rivées sur les événements espagnols, on a entendu en boucle - comme pour chaque mouvement social d’ampleur - de nombreuses personnes répéter "Les médias [sous-entendu « professionnels », ou industriels, ou bourgeois, ou dominants…] ne parlent pas de ce qui se passe en Espagne, c’est dégueulasse / pas étonnant / énervant"…
    Il me semble que ces réflexions récurrentes mettent en valeur par ricochet plusieurs éléments sur notre rapport aux médias, quels qu’ils soient. "

    http://atelier.mediaslibres.lautre.net/Information-et-mouvements-sociaux.html

  • http://setrouver.wordpress.com/2011/05/05/misrata-mes-copains-ma-maison-sous-les-bombes
    Bien que l’un des militants-reporter de ce blog ait été grièvement blessé, « En route ! » continue à diffuser des nouvelles et des témoignages de Misrata.
    « Ça tombe encore pas mal sur la ville, même en pleine journée, mais voilà demain c’est vendredi et on restera à la maison ; alors plutôt que de se faire aplatir demain á la maison, allons crever en faisant les courses. Bientôt, si Dieu le veut ,nous ferons taire ces putains de BM14 et plus tard peut -être on s’occupera aussi des Katiouchas, à moins que l’OTAN ne le fasse á notre place. Si il ne le fait pas, nous le ferons, c’est facile à faire, nous l’avons déjà fait. »
    #Lybie #médias_alternatifs #témoignage

  • Petit article de présentation / observations du nouveau site Indymedia Bordeaux sur http://atelier.mediaslibres.lautre.net/Indymedia-Bordeaux-est-sur-Sedna.html qu’on vient d’ajouter à Sedna Medias Libres http://mediaslibres.lautre.net
    "Il n’y avait plus de site internet « collectif » sur Bordeaux depuis la fin du site Hacktivismes qui était animé par le collectif du même nom il y a quelques années déjà. Le nouvel Indymedia est encore un peu en chantier mais déjà bien fourni, et occupe maintenant l’adresse http://bordeaux.indymedia.org."
    #sites #medias_alternatifs