Pharma Skeletons
▻http://www.pharmaskeletons.com
Welcome to Pharma Skeletons, by Martin Shkreli.
Stephen Ubl,
Don’t you dare point your finger at me for the pharmaceutical industry’s troubles. It turns out we’ve all made some unpopular moves.
Pharma Skeletons
▻http://www.pharmaskeletons.com
Welcome to Pharma Skeletons, by Martin Shkreli.
Stephen Ubl,
Don’t you dare point your finger at me for the pharmaceutical industry’s troubles. It turns out we’ve all made some unpopular moves.
L’Open source pour casser le prix des médicaments | Techniques de l’ingénieur
▻http://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/lopen-source-pour-casser-le-prix-des-medicaments-39017
Racheté par un fonds d’investissement, un médicament a vu son prix augmenter de 5.000 % ! Des lycéens australiens ont trouvé la parade pour le proposer à un prix correct.
Participant à un projet de l’Open source malaria consortium, intégré à l’Université de Sidney, des étudiants ont cassé les prix. À partir de 17 grammes pur de 2,4-chlorphényl-acétonitrile, achetés en ligne au prix de 36,50 dollars (34 euros) les 100 grammes, les adolescents de 16 ans ont produit 3,7 grammes de Daraprim. Résultat, leur médicament ne coûte que 12,70 euros.
J’aime assez dans ce texte le lapsus révélateur #open_source avec #Daraprim qui devient Dataprim !
▻http://www.cheminfo.org/flavor/malaria/Display_data.html
▻http://opensourcemalaria.org
Superbugs killing twice as many people as government says
Superbugs are now killing more patients than breast cancer and at least twice as many people as the government estimate, experts have warned.
Essais cliniques : Délocaliser dans les pays du Sud, une nouvelle pratique en croissance 5 décembre 2016 - Fabien Goubet - Le Temps
Economies, démarches facilitées, gain de temps… Les fabricants de médicaments délocalisent toujours plus leurs tests vers des pays pauvres.
Impossible d’envisager la commercialisation d’un médicament sans l’avoir testé chez l’homme au préalable. Historiquement réalisés dans les pays occidentaux, les essais cliniques sont toutefois de plus en plus délocalisés ( ►https://www.monde-diplomatique.fr/2007/05/SHAH/14712 ) dans des pays aux revenus plus modestes tels que l’Égypte, l’Inde ou l’Ukraine.
Observé depuis plusieurs années, le phénomène a récemment fait l’objet d’une conférence organisée à Genève par l’organisation Public Eye ▻https://www.publiceye.ch/fr/medias/communique-de-presse/essais_cliniques_en_egypte_roche_et_novartis_enfreignent_les_standards_eth (ex-Déclaration de Berne), afin de faire la lumière sur cette pratique et notamment sur les questions éthiques qu’elle soulève.
Mener des essais cliniques à l’étranger ? Les pharmaceutiques ont commencé à y songer au début des années 2000, notamment dans l’espoir de se positionner dans de nouveaux marchés en pleine croissance. Novartis, Roche, Sanofi, Merck… les plus grands industriels ont ouvert des bureaux dans les pays du Sud afin d’y lancer de grandes études précédant une éventuelle commercialisation de leurs futurs produits. En 2000, à peine 10 % des essais de médicaments étaient réalisés dans les pays du Sud, contre environ 40 % aujourd’hui, estime Public Eye.
Participer à un essai, un moyen de survivre
Pour ces laboratoires ou pour leurs sous-traitants, les avantages sont nombreux. Ils s’implantent à moindre coût dans des pays très peuplés qui leur assurent un accès à une immense réserve de malades potentiels, le tout dans un cadre réglementaire moins contraignant — lorsqu’il existe.
Ce ne sont pas les plus pauvres qui sont visés, mais plutôt des pays dont le niveau de vie s’améliore. La raison : « Ils se dotent d’hôpitaux et d’universités qui intéressent les industriels, sans oublier que les gens qui y vivent contractent peu à peu des maladies chroniques que nous connaissons bien ici : diabète, maladies cardiovasculaires, etc. qui requièrent des traitements longs, onéreux, et donc très lucratifs pour ces entreprises », détaille Patrick Durisch, qui a mené une étude approfondie sur le sujet pour Public Eye.
Un tel changement de pratique pose des questions éthiques. Ayman Sabae, spécialiste en santé publique et membre de l’ONG Egyptian Initiative for Personal Rights, s’est alarmé de la situation de son pays. « L’Égypte constitue un terreau fertile pour les essais cliniques. Il y a beaucoup d’universités et d’hôpitaux, une population nombreuse, les coûts en ressources humaines sont dérisoires et la législation très souple. » Mais avec 73 % des soins payés directement de la poche des patients, bien peu d’Égyptiens peuvent se payer des traitements coûteux lorsqu’ils sont gravement malades. « 54 % des Égyptiens disent avoir une assurance maladie, mais elles sont tellement inutiles que seuls 8 % parmi eux s’en servent réellement », regrette Ayman Sabae. Si bien qu’une grande partie de la population voit les essais cliniques comme un moyen, parfois le seul, de se faire soigner.
Ce phénomène se vérifie d’ailleurs dans le type d’études réalisées en Égypte, où plus de 70 % sont des essais dits de phase III : des tests coûteux qui s’adressent à de larges panels de patients malades. En filigrane de cette statistique apparaît le marché implicitement conclu entre les deux parties. D’un côté l’Égypte, qui accueille à bras ouverts les labos étrangers et permet ainsi à sa population malade d’espérer un traitement normalement hors de portée. De l’autre, les industriels profitent du manquement de procédures de validation éthique des protocoles expérimentaux pour gagner un temps précieux.
. . . . .
La suite : ▻http://www.ledevoir.com/societe/sante/486332/essais-cliniques-delocaliser-dans-les-pays-du-sud-une-nouvelle-pratique-en
#essais_cliniques #Suisse #Russie #Egypte #médicaments #essais #test #laboratoires_pharmaceutique #medecine #délocalisation #Novartis #Roche #Sanofi #Merck #diabète #maladies_cardiovasculaires #éthique
10% des essais de médicaments ont été réalisés dans les pays du Sud en 2000.
40% des essais de médicaments ont été réalisés dans les pays du Sud en 2016.
Sur le même sujet
Après le manufacturier, le pharmaceutique ? 11 mars 2008 Claude Turcotte ▻http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/179846/apres-le-manufacturier-le-pharmaceutique
Médicaments génériques Le pilulier indien 30 juillet 2015 Guy Taillefer ▻http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/446299/medicaments-generiques-le-pilulier-indien
La controverse de la semaine : le prix des médicaments
Leucémie, cancers, maladies rares comme bégnines, la recherche a fait des progrès. Mais tout le monde n’en bénéficie pas à égalité. Les Etats ont-ils déjà perdu la guerre contre les laboratoires pharmaceutiques ? Va-t-il falloir se ruiner pour se soigner ?
▻http://info.arte.tv/fr/la-controverse-de-la-semaine-le-prix-des-medicaments
#industrie_pharmaceutique #big_pharma #prix #médicaments #santé #coût #inégalités #privatisation #Sovaldi
cc @fil
Delays in the #post-marketing withdrawal of drugs to which deaths have been attributed: a systematic investigation and analysis
▻https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4318389
...in 47% of cases more than 2 years elapsed between the first report of a death and withdrawal of the drug, and the interval between the first report of a death attributed to a medicinal product and eventual withdrawal of the product has not improved over the last 60 years.
« Les industriels du médicament doivent cesser d’évaluer eux-mêmes leurs produits »
▻http://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/10/17/les-industriels-du-medicament-doivent-cesser-d-evaluer-eux-memes-leurs-produ
Par Bruno Falissard, pédopsychiatre et épidémiologiste
Pour évaluer un médicament, il arrive que l’on dépense en une seule étude plus de 100 millions d’euros. Avec une telle débauche de moyens, on devrait tout savoir ou presque : effets indésirables, probabilité de guérison, etc. A l’évidence, ce n’est pas le cas et le scandale de la Dépakine donnée aux femmes enceintes en est une nouvelle preuve. Pourquoi cela ? Parce que la question de l’évaluation des médicaments est redoutable, bien plus qu’on ne pourrait l’imaginer.
Prenez l’exemple de l’efficacité d’un antidiabétique. Le diabète, c’est trop de sucre dans le sang. Donc plus un médicament fait baisser ce taux de sucre, plus il est efficace pour soigner le diabète. Logique, non ? Oui mais, si le sucre baisse trop, le patient risque de faire des malaises… Et puis le vrai problème du diabète, ce sont les complications à long terme : infarctus, cécité, insuffisance rénale, etc. Voilà donc les critères d’efficacité que l’on devrait évaluer. Mais pour cela il faudrait encore plus d’argent. Il faudrait attendre de longues années. La licence du médicament deviendra alors obsolète, et aucune firme ne se lancera dans une telle entreprise…
L’absence d’efficacité n’a jamais fait scandale
Venons-en aux effets indésirables. Ce sont eux, bien plus que l’efficacité, qui ont depuis toujours obsédé les autorités de santé. En effet, dans ce domaine, les scandales ont toujours concerné les effets indésirables et jamais une absence d’efficacité. Voilà qui est peut-être à méditer.
Premier problème méthodologique : on sait les bénéfices que l’on attend d’un médicament (soulager des symptômes, guérir une maladie), on ne sait pas si souvent deviner par avance les problèmes qu’il va poser (c’est typiquement le cas de la Dépakine). Or il est bien plus aisé de trouver ce que l’on cherche que de trouver ce que l’on ignore et que l’on craint de découvrir. Par ailleurs, les études cliniques comptent en général de quelques centaines à quelques milliers de sujets. Pour des raisons statistiques, ces études ne permettent pas de déceler les effets indésirables rares mais graves.
Ces problèmes méthodologiques ne sont pas les seuls, il y en a de bien plus pernicieux. Dans les études cliniques, ce sont les médecins investigateurs qui ont comme tâche de recueillir les effets indésirables. Or les médecins ne sont pas bons pour ce genre de mission. Un médecin a les plus grandes difficultés à penser qu’il peut faire du mal à ses patients. Le médecin choisit avec art le meilleur traitement possible pour celui ou celle qui vient le consulter. Sa conviction en une guérison future est un élément non négligeable du soin.
Comment imaginer alors que ce traitement va faire du mal, et non du bien ? Cela peut paraître irrationnel, voire puéril, mais dans un métier où les émotions jouent un rôle si important il ne faut pas s’en étonner. On pourrait alors imaginer que les promoteurs des études renforcent au maximum la rigueur du recueil d’informations relatives aux effets indésirables. Mais ces promoteurs sont les firmes pharmaceutiques qui développent et vont commercialiser le produit évalué.
Comment peut-on imaginer qu’un industriel qui va gagner de l’argent avec un médicament soit le mieux placé pour en apprécier les aspects problématiques ? Il n’y a pas de conflit d’intérêts plus manifeste. Au total, les effets indésirables ne sont pas bien évalués, et ce n’est qu’avec le temps, beaucoup de temps, que l’on peut être en totale confiance avec un médicament. Ce qui laisse bien entendu la porte ouverte aux drames auxquels nous sommes trop régulièrement confrontés, en particulier quand il s’agit de médicaments destinés aux femmes enceintes.
En effet, dans ce cas, tout est là pour ne pas évaluer rationnellement le risque médicamenteux : les patientes seront à l’évidence réticentes pour accepter de participer à une étude au risque de nuire à l’enfant qu’elles portent, les firmes n’y trouveront pas d’intérêt (marché trop petit, risque juridique trop élevé), les autorités seront embarrassées d’imposer de telles expérimentations, comme cela a été fait pourtant avec bonheur pour les médicaments pédiatriques.
Prendre le temps, ça n’est pas au goût du jour
Alors comment faire ? Pas de solution miracle. Il faut encore et toujours prendre le temps de discuter avec nos patientes (il n’est pas toujours si facile de savoir quand une femme bénéficie d’une contraception efficace ou de connaître son désir de grossesse). Mais prendre le temps, ça n’est pas au goût du jour. Les études épidémiologiques ont également un rôle évident à jouer.
La constitution de registres permettant le suivi à long terme des femmes exposées et de leurs enfants est indispensable. Il en est de même de l’analyse au fil de l’eau des données de l’assurance-maladie, fantastique filon pour signaler au plus tôt toute situation inquiétante.
Ces progrès nécessaires n’empêcheront sûrement pas de penser à des changements plus profonds. Les industriels du médicament découvrent et développent des produits qui sauvent des vies. Bravo. Mais ça ne doit pas être à eux de les évaluer. Cette situation est aussi absurde que contre-productive. Enfin, les médecins doivent se rappeler à l’infini que chaque fois qu’ils prescrivent un médicament, ce dernier peut faire le bien comme le mal.
Quand les #médicaments n’ont plus d’effet
Les dirigeants mondiaux se sont réunis cette semaine pour trouver une réponse commune au problème croissant de la #résistance aux #antimicrobiens (#Antimicrobial_Drug_Resistance, #AMR), mais ces mesures seront-elles mises en œuvre dans les pays en développement qui en ont le plus besoin ?
▻http://www.irinnews.org/fr/actualit%C3%A9s/2016/09/22/quand-les-m%C3%A9dicaments-n%E2%80%99ont-plus-d%E2%80%99effet
#santé
Antibiotic resistant #E.coli found in one in four samples of supermarket chicken
One in four samples of chicken from the UK’s largest supermarkets contains antibiotic-resistant E.Coli bacteria, new research has revealed.
▻https://www.thebureauinvestigates.com/2016/09/05/antibiotic-resistant-e-coli-found-one-four-samples-supermarke
#résistance #médicaments #santé #antibiotiques #poulets #alimentation
EpiPen’s 400 percent price hike tells us a lot about what’s wrong with American health care
▻http://www.vox.com/2016/8/23/12608316/epipen-price-mylan
We are the only developed nation that lets drugmakers set their own prices, maximizing profits the same way sellers of chairs, mugs, shoes, or any other manufactured goods would.
Sans voix...
▻http://thehill.com/policy/healthcare/293633-mylan-to-offer-cheaper-version-of-epipen-after-outcry
The company said the generic version, which will be identical to the branded product, will cost $300 for a pack of two, less than half of the current cost.
USA Today Helps Mylan Sell an Extortionate Price for EpiPen
▻http://fair.org/home/usa-today-helps-mylan-sell-an-extortionate-price-for-epipen
And if you go back to 2007, when Mylan acquired the rights to the EpiPen brand, the list price then for two devices was $94. That’s $109 in 2016 dollars—so, on that basis, Mylan’s generic EpiPen is actually a 175 percent price hike.
You don’t need time travel to make the generic EpiPen a bad deal, though; you just need to travel across the border into Canada, where a single pen retails for about $120 in Canadian money, which is about $92 in US currency. In France, where the device is made by a company Mylan recently bought, a twin-pack sells for about $85—or 28 percent of Mylan’s new “discount” price.
Raising prices exorbitantly so that you can present a slightly less extortionate price as a “sale” is a time-honored marketing tradition. USA Today is under no obligation to feature the scam in a headline, however.
Drugs and Privilege: Big Business, Congress and the EpiPen
▻http://www.truth-out.org/news/item/37456-drugs-and-privilege-big-business-congress-and-the-epipen
Like so many businesses eager to purchase politicians all their own, Mylan has made significant cash contributions to both sides of the aisle. Emmarie Huetteman at The New York Times reports, “Mylan’s political action committee has given at least $71,000 to congressional candidates from both parties this election cycle, according to the Center for Responsive Politics, with about 72 percent of those contributions going to Republicans.”
Opération #astroturf par Epipen
EpiPen Maker Lobbies to Shift High Costs to Others
▻http://www.nytimes.com/2016/09/16/business/epipen-maker-mylan-preventative-drug-campaign.html
An examination of the campaign by The New York Times, including a review of documents and interviews with more than a dozen people, shows that Mylan is well aware of that benefit and, in fact, has been helping orchestrate and pay for the effort.
Les «représentants» vont probablement s’empresser de servir le citoyen...
#Venezuela : pénurie de 80% des #médicaments et fournitures dans les hôpitaux
Huit médicaments et fournitures sur dix manquent à l’appel dans les hôpitaux vénézuéliens, selon une étude publiée mardi par les organisations sanitaires de ce pays frappé par une grave crise politique et économique.
▻http://www.courrierinternational.com/depeche/venezuela-penurie-de-80-des-medicaments-et-fournitures-dans-l
#santé
Insulin price spike leaves diabetes patients in crisis | Montana & Regional | missoulian.com
▻http://missoulian.com/news/state-and-regional/insulin-price-spike-leaves-diabetes-patients-in-crisis/article_bd14b43c-3f4c-5343-a2d7-10e2e6a8a091.html
#spéculation #diabète #insuline #maison_pharmaceutique #maladie #médicament
Médecine : le scandale à retardement de la Dépakine
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130816/medecine-le-scandale-retardement-de-la-depakine
La Dépakine, anti-épileptique commercialisée par #Sanofi depuis 1967, a provoqué des milliers de malformations congénitales et de troubles du développement cognitif. Le ministère de la santé doit aujourd’hui répondre aux demandes des victimes, alors que les risques du produit, connus depuis 1982, ont été insuffisamment pris en compte pendant plus de 30 ans.
#France #Fil_d'actualités #Agence_du_médicament #Depakine #médicaments #sante
Nostalgie de la magie - La méridienne
▻http://www.la-meridienne.info/Nostalgie-de-la-magie
J’ai un nouveau blog :)
Grâce à @baroug
Je tâtonne en attendant l’illumination (« Je sais ! Je veux écrire sur la culture des patates ! »). Différentes pistes se présentent. Je les suis, au cas où elles mèneraient quelque part, mais, la plupart du temps, je les abandonne assez vite. Parfois, j’y crois sincèrement. C’est la période où mon entourage me traite avec la diplomatie et la patience gentille qu’on témoigne aux grands mythomanes (« La culture des patates ? Mais oui, pourquoi pas ? Oh, tu as déjà écrit quatre pages et demie ? C’est très impressionnant, Mona »). Alors je lis des livres sur l’écriture, comme je feuilletterais des guides de voyage sur un pays que j’aurais adoré visiter mais où je serais dans l’impossibilité de retourner pour le moment. Un peu par hasard, je suis tombée sur ceux de deux auteurs dont on pourrait croire qu’ils n’ont pas grand-chose en commun, à part peut-être qu’ils appartiennent tous deux à des sous-genres méprisés (quoique à des degrés divers), respectivement le roman à l’eau de rose et le roman d’épouvante : Comme par magie d’Elizabeth Gilbert (2015) et Écriture de Stephen King (2000) [1].
J’aime bien le code qui affiche les renvois de notes dans la marge au fur et à mesure de la lecture…
Tite remarqe pour @baroug : il faudrait modifier la propriété overlfow de .notebox de scroll à auto pour éviter d’avoir des barres de scroll vides lorsqu’aucune note n’est affichée ;)
En effet, c’est l’inconvénient de dev sur mac et de pas checker ailleurs : y’a plus de barres de scroll sur mac donc j’avais pas vu : p
De même, elle croit assez peu que l’abus de #psychotropes divers soit indispensable à la création. En bonne logique, « tout ce qui est mauvais pour vous est probablement mauvais aussi pour votre travail ». Il lui semble voir la muse de l’artiste tourmenté assise dans un coin de la pièce, « en train de se faire les ongles en attendant patiemment que le type se soit calmé et ait dessoûlé pour que tout le monde puisse se remettre au travail ». « Tout artiste qui est alcoolique est un artiste en dépit de son #alcoolisme, et non grâce à lui », affirmait Raymond Carver.
À ce sujet, Stephen King fournit un témoignage de première main. Il y a un de ses romans qu’il se rappelle à peine avoir écrit, et, comme il aime bien le résultat, il regrette de n’avoir aucun souvenir du processus. Le jour où sa femme, lassée de le voir se détruire à la #bière, à la #cocaïne et aux #médicaments, l’a mis au pied du mur, lui aussi a redouté de ne plus être capable de travailler une fois sevré ; mais, s’il fallait choisir, il préférait « rester marier et voir les enfants grandir ». En définitive, « bien sûr », il n’a pas eu à choisir : « L’idée que création et psychotropes sont indissociables est l’un des grands mythes pop-intellectuels de notre temps. » Il est revenu à son travail « comme on revient dans une maison de vacances après un long hiver », en commençant par vérifier que rien n’a été volé : « Mais non, rien ne manquait. Tout était là, intact. Une fois les conduites dégelées et l’électricité rallumée, tout marchait parfaitement. »
Quand une idée de chanson
lui vient au mauvais moment,
Tom Waits la renvoie :
« Va emmerder Leonard Cohen ! »
Je ne la connaissais pas celle-là, excellente !
Bravo @mona , et au travail !
Petite suggestion pour ce qui est de trouver le thème de ton prochain livre, relis la Tyrannie de la réalité et prends un thème évoqué dans ce très beau livre et développe-le, je dis cela parce que je croyais que c’était comme ça que tu faisais jusque-là. Après tout ça peut marcher. Les Cévennes m’attendent.
As-tu lu le livre d’Élisabeth George sur le même sujet ? Dans la lignée, drogues en moins.
@supergeante Spotted : ▻http://www.pressesdelacite.com/livre/documents/mes-secrets-d-ecrivain-elizabeth-george
Je ne connaissais pas, merci !
@aude_v @philippe_de_jonckheere Je crois plutôt que chaque sujet pointe son nez dans le livre d’avant :) Mais je vais attendre, après tout il n’y a pas d’urgence
Le travail de Benoit Galibert, évoqué en introduction du billet de Mona Chollet, fait l’objet d’une édition en poster : ▻http://www.benoitgalibert.com
D’autres à venir issus de la même série : ▻http://www.benoitgalibert.com/index.php?/ongoing/au-lieu-decrire
Prix des #médicaments : audition de #Prescrire par la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale
▻http://www.prescrire.org/fr/3/31/52109/0/NewsDetails.aspx
D’abord une précision sur les mots s’impose : on entend parler d’#innovation, du prix de l’innovation, de la capacité de notre système de protection sociale à accueillir l’innovation...
Mais en fait, cela a été dit plusieurs fois ici même (Cf. #Prix des médicaments : la commission a auditionné des professeurs et des reponsables...) et les dirigeants de l’Agence européenne du médicament l’ont reconnu dans un courrier publié sur leur site la semaine dernière, « innovation » veut juste dire « #nouveau ». Cela ne veut pas dire « #progrès ». La plupart des innovations en fait n’apportent pas de progrès tangible pour les patients. Et certaines s’avèrent de véritables régressions thérapeutiques. Ce constat regrettable, Prescrire n’est pas le seul à le faire ; et par exemple des cancérologues des États-Unis ont publié une étude montrant qu’avec les 71 médicaments anticancéreux pour des tumeurs solides mis sur le marché entre 2002 et 2014, c’est tout récent, l’allongement de la durée de vie n’avait été que de 2 mois seulement en moyenne (Cf. Médicaments : les prix exorbitants nuisent à la recherche).
La première chose à faire pour que le débat sur le prix de l’innovation ait un sens pour la population et les malades, c’est donc de parler de progrès thérapeutique pour les patients, et pas d’innovation, et de savoir en effet quel peut être son prix.
#santé #pharma #Etats #complicité
Antibiorésistances, une série de vidéo sur « la grande tueuse » proposé par MSF - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=KyngDUf-RXI&index=3&list=PL-IzpJ34hUCd-oUNzjAUoNVc1JPYs5DFJ
Antibiorésistances
Les nanotechnologies se diffusent sans principe de précaution
▻https://reporterre.net/Les-nanotechnologies-se-diffusent-sans-principe-de-precaution
#Cosmétiques, #emballages, produits #alimentaires, #médicaments, #textiles, #jouets…, les #nanoparticules ont aujourd’hui envahi notre quotidien. En France, plus de 400.000 tonnes ont ainsi été utilisées en 2013. Tous les domaines sont désormais concernés, car ces toutes petites particules possèdent des propriétés physico-chimiques spécifiques particulièrement intéressantes que n’ont pas les particules plus grosses : elles permettent de créer des vitres « autonettoyantes », du béton « antisalissure », des revêtements bactéricides, des matériaux ultrarésistants ou ultralégers.
Et pourtant, on devrait peut-être... Euh, comment dire ?
Les #nanomatériaux, c’est l’amiante d’aujourd’hui
▻https://reporterre.net/Les-nanomateriaux-c-est-l-amiante-d-aujourd-hui
Il y a dix ans, l’Afsset, devenue en 2010 l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), recommandait déjà d’intensifier les recherches et d’établir une réglementation internationale, européenne et française avant la mise sur le marché de ces nanomatériaux : « En s’appuyant sur les données de #toxicologie expérimentale relatives chez l’animal (...), il existe des raisons de penser que les nanoparticules manufacturées peuvent avoir des effets nocifs sur la santé. » Certaines études scientifiques sont effrayantes.
Si au moins c’était pour des avancées révolutionnaires mais celui-ci il semble que son atout soit de faire paraître le blanc plus blanc...
Dioxyde de titane - Une bombe à retardement ? - Actualité - UFC Que Choisir
▻https://www.quechoisir.org/actualite-dioxyde-de-titane-une-bombe-a-retardement-n6877
« Avec le #dioxyde_de_titane, on se retrouve dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans », affirme le professeur Jürg Tschopp, prix Louis-Jeantet de médecine 2008, qui a piloté une étude franco-suisse sur les effets toxiques de ce nanomatériau. Le potentiel inflammatoire du dioxyde de titane était déjà connu, mais ses mécanismes d’action n’avaient pas été clairement élucidés jusqu’ici. C’est aujourd’hui chose faite grâce aux travaux effectués conjointement par les chercheurs du département de biochimie de l’université de Lausanne (UNIL) et de l’université d’Orléans. Les tests in vivo et in vitro sur des souris, et in vitro sur des cellules humaines, montrent que le dioxyde de titane, sous forme nanométrique (particules de dimensions un million de fois plus petites qu’un cheveu), a une activité pro-inflammatoire sur les poumons et le péritoine. D’où un possible effet cancérigène. Tout comme l’amiante et la silice, deux irritants environnementaux bien connus.
Un constat d’autant plus alarmant que le dioxyde de titane entre dans la composition de nombreux produits de la vie quotidienne. Utilisé principalement comme pigment et comme opacifiant, il se retrouve aussi bien dans les crèmes solaires, les dentifrices ou les confiseries que dans les peintures et les médicaments.
Panama Papers, Human Rights and Health: What are the Links? - by Khadija Sharife | Health and Human Rights Journal
▻http://www.hhrjournal.org/2016/05/panama-papers-human-rights-and-health-what-are-the-links
Pharmaceutical companies blame the cost of research and development (R&D) for the high costs of new drugs, particularly in the United States where there is no price ceiling on drugs. Yet of the $550 billion in profits generated from 1996 to 2005, only $228 billion was expended on R&D, compared to $739 billion spent on marketing the new products.
(...) When it comes to health, as ANCIR’s investigative project of 13 pharmaceutical companies revealed, not all tax havens are equal. The tax havens used as the places of residence for subsidiaries holding the intangible assets were: Delaware, US (287 subsidiaries), Netherlands (166 subsidiaries), Ireland (102 subsidiaries), Switzerland (84 subsidiaries) and Luxembourg (64 subsidiaries). Delaware’s competitive edge is its complete exemption of all intangible income. In Luxembourg, exemption is 80% provided the activities are intra-company or between subsidiaries of the same parent entity. Companies have then specifically created corporate structures designed to ensure both secrecy and tax exemption of costs, real or otherwise, attributed to intangible assets.
#santé #brevets #médicaments #panama_papers #évasion_fiscale #pharma
Medicamentalia | Proyecto periodístico internacional sobre los precios de los medicamentos
▻http://medicamentalia.org
#datajournalisme #prix #médicaments #brevets #faux_médicaments etc. (hélas je n’arrive pas bien à utiliser les tableaux de données)
Bras de fer mortel sur les #génériques
#Novartis a trouvé un allié dans la puissante industrie pharmaceutique étasunienne. Celle-ci a obtenu l’intervention d’un membre influent du Sénat contre les génériques anticancer du #Glivec.
▻http://www.lecourrier.ch/139121/bras_de_fer_mortel_sur_les_generiques
#pharma #industrie_pharmaceutique #médicaments #santé #Colombie #USA #Etats-Unis
The inexplicable and relentless rise of cancer-drug prices - The Washington Post
▻https://www.washingtonpost.com/news/wonk/wp/2016/05/02/the-inexplicable-and-relentless-rise-of-cancer-drug-prices
“A lot of times, I’ve heard manufacturers say we can only give the drug to 1,000 patients; we need a high price to recoup costs of research and development. Then all of a sudden, they’re able to sell it to 10,000 patients. You’d think it [the costs] would be distributed across all patients and be cheaper. I think the argument that they’re trying to recoup the research and development over 1,000 patients is not actually representative of what’s going on,” said Caroline Bennette, a health economist at the University of Washington in Seattle who led the Health Affairs study.
Accès aux #médicaments : le diktat des laboratoires pharmaceutiques
▻http://www.france24.com/fr/20160428-industrie-pharmaceutique-prix-medicaments-business-profits
▻https://www.youtube.com/watch?app=desktop&persist_app=1&v=YA8cYmxHG4A
Pourquoi les #médicaments sont-ils de plus en plus chers ? Cette hausse des prix date de quelques mois, et elle interpelle. Membre de Médecins Sans Frontières, Nathalie Ernoult est l’invitée de l’Entretien de l’Intelligence Economique pour discuter de cette hausse des tarifs. Selon elle, les prix de #vente n’ont plus de lien avec les #coûts de fabrication des médicaments.
#pharma le #diktat n’est pas possible sans la #complicité des #Etats #dividendes #santé
sofosbuvir 67 fois plus cher que l’or
#accès_aux_traitements #brevets #génériques #Inde #hépatite_C #licences_obligatoires
le pire ce sont les pays à revenu intermédiaire, qui paient le prix fort
L’Inde a accordé un brevet à Gilead pour le Sofosbuvir :(
▻http://timesofindia.indiatimes.com/business/india-business/Gileads-1000-pill-gets-patent-in-India/articleshow/52197129.cms
Médicaments génériques, l’enjeu des brevets
Les brevets ont une énorme importance pour les entreprises pharmaceutiques, cela a pour conséquence la faible production et la faible consommation des médicaments génériques en #Suisse.
#brevets #médicaments #génériques #médicaments_génériques #industrie_pharmaceutique #santé
Exclusive: City firms issue major warning to high street food and pub chains over use of antibiotics on supplier farms
A group of powerful City investors who together control more than £700 billion have written to leading fast food, pub and restaurant chains urging them to take immediate action to reduce antibiotic use in their meat and poultry supply chains.
▻https://www.thebureauinvestigates.com/2016/04/10/exclusive-city-firms-issue-major-warning-high-street-food-pub
#alimentation #antibiotiques
Resistance to key antibiotic used in dangerous food poisoning cases now at record levels
Resistance to a key antibiotic used in the treatment of serious food poisoning cases has reached its highest level for a decade, new figures obtained by the Bureau suggest.
▻https://www.thebureauinvestigates.com/2016/04/11/resistance-key-antibiotic-used-dangerous-food-poisoning-cases
#résistance #médicaments #santé
Get the data: Rising sales of critically important antibiotics
Not all antibiotics are equal. According to the World Health Organization, some classes of antibiotic are so medically important they’ve labelled them “critically important antibiotics”.
▻https://www.thebureauinvestigates.com/2016/04/11/get-data-rising-sales-critically-important-antibiotics