#MacronLeFou ment comme il respire. Tout le monde sait que l’#Ukraine a attaqué le #Donbass en 2014
▻https://www.crashdebug.fr/macronlefou-ment-comme-il-respire-tout-le-monde-sait-que-l-ukraine-a-atta
#Épinglé #Divers #ROOT
#MacronLeFou ment comme il respire. Tout le monde sait que l’#Ukraine a attaqué le #Donbass en 2014
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Voyage : engagé
Date : mi mai c-a-d dans 2 mois 1/2
Billets : réservés
Destination : Prague, (une ville en Europe) *
Oups : passeport à refaire. On fait tout en ligne maintenant ?
Constat : Aucun rendez-vous en mairie avant le 17 mai, c-a-d après la date de départ.
#Schengen #liberté_de_circulation #entraves #macronistes
*Où plûtot à l’intérieur de cet saloperie d’espace Schengen qui ne laisse ni entrer ni circuler personne.
Ds notre mairie, on a pu avoir le rdv en avance en disant qu’on était disponible pour prendre la place d’un désistement. Certaines mairies le font, peut être une chance chez toi ?
@touti la CNI ne suffit pas ?
De son coté,notre fille cadette a fini pas trouver un rdv dans une mairie de banlieue à 40 km de là. Tu peux allez n’importe où, si tu paye le carburant et as du temps.
Oui, je vais sûrement trouver une solution et je vous remercie de vos témoignages également.
J’ai écris ce post non tant pour me plaindre de ma situation (privilégiée de pouvoir voyager au regard d’autres problématiques vitales) mais pour témoigner de cette absurdité politique : décider de forcer tout le monde #au_pas_du_numérique et des #services_en_ligne et de la #surveillance_généralisée. J’ai omis de dire que j’ai coché que je n’autorisai pas le ministère de l’intérieur à vérifier mon adresse par exemple (…)
Et parce que cette question est politique et concerne une #liberté_fondamentale.
La liberté de circulation est une des bases du droit français depuis la révolution dont se torche allégrement toutes les politiques (à commencer par frontex jusqu’au portillon du métro). Et la dégradation des libertés ne cesse d’empirer, ici, sous prétexte d’imprimerie de l’état incapable de suivre la fabrication des passeports (depuis 10 ans …)
Debout chômeur·euses !
▻https://www.autonomiedeclasse.org/theorie/debout-chomeur%C2%B7euses
Le travail : ce passe-temps salutaire, jamais pénible1 ET MÊME : émancipateur2. Qu’est-ce que les #chômeur·euses n’ont pas compris ? Pourquoi un tel manque de volonté ? « Ceux qui ne sont rien »3 ne veulent plus se lever le matin ? Il serait quand même bien temps d’arrêter de se plaindre, il ne suffit que de « traverser la rue »4, alors bon, quoi : debout les chômeur·euses !
Alors que le gouvernement prévoit de supprimer l’allocation de solidarité spécifique (#ASS), l’Humanité est allée à la rencontre de ceux qui se trouveront plongés dans la précarité si une telle mesure est adoptée.
▻https://www.humanite.fr/social-et-economie/allocation-chomage/dominique-60-ans-pour-moi-la-suppression-de-lass-est-une-catastrophe
Emploi : 1,5 million de contrôles des chômeurs, à quoi ça va servir ?
▻https://www.humanite.fr/social-et-economie/chomeurs/emploi-15-million-de-controles-des-chomeurs-a-quoi-ca-va-servir
Le premier ministre, Gabriel #Attal, a « promis » un triplement des contrôles de privés d’emploi tous les ans. En 2021, Emmanuel #Macron avait déjà demandé d’accroître le #flicage de 25 %, afin de passer à 500 000 contrôles. Pour quel résultat ?
Contrôler les chômeurs pour réduire le chômage ?
▻https://seenthis.net/messages/1017028#message1017076
Face à la crise des soins dentaires, des Britanniques poussés au « Do It Yourself »
▻https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/28/face-a-la-crise-des-soins-dentaires-des-britanniques-pousses-au-do-it-yourse
Quand tu fais partie des 10 premières puissances mondiales et que seuls les riches peuvent se soigner correctement !!!
#sans-dent : la #macronisation était déjà « en marche » ...
« Je suis à leur service, les plus humbles, les plus fragiles, les plus pauvres, c’est ma raison d’être. »
« la fonction présidentielle doit être respectée. (...) Pas pour protéger la personne mais pour protéger nos institutions. »
(François Hollande en réaction à la sortie de « Merci pour ce moment », livre de son ex-compagne Valérie Trierweiler)
Je me souviens d’un soir, au sortir d’un repas de Noël passé chez ma mère, à Angers, avec tous mes frères et sœurs, les conjoints, neveux et nièces, vingt-cinq personnes en tout. François se tourne vers moi, avec un petit rire de mépris et me jette :
– Elle n’est quand même pas jojo, la famille Massonneau…
Cette phrase est une gifle. Des mois plus tard, elle me brûle encore. Comment François peut-il dire cela de ma propre famille ? « Pas jojo, la famille Massonneau » ? Elle est pourtant tellement typique de ses électeurs.
J’ai longtemps hésité avant de raconter cette anecdote si révélatrice de ce qu’il est, qui va blesser les miens, eux qui étaient si heureux de le connaître et si fiers de le recevoir. Mais je veux me laver de tant de mensonges, sortir de ce livre sans le poids des non-dits.
Je vous demande pardon, à vous ma famille, d’avoir aimé un homme capable de ricaner sur les « Massonneau pas jojo ». Je suis fière de vous. Pas un de mes frères et sœurs n’a dévié. Certains ont réussi, d’autres moins, mais nous savons tous tendre les bras et exprimer notre amour, les mots « famille » et « solidarité » ont un sens concret, alors que pour François, ce ne sont que des abstractions. Pas une seule fois il n’a invité son père à l’Élysée, ni son frère. Il se veut un destin hors norme, un Président orgueilleusement seul.
Mais où faut-il donc être né pour être jojo ? C’est vrai, dans ma famille, personne n’a fait l’ENA ni HEC. Aucun d’entre nous n’a possédé de clinique, ni fait des affaires dans l’immobilier comme son père. Nul n’a de propriété à Mougins sur la Côte d’Azur comme lui. Personne n’est haut fonctionnaire ou célèbre comme les gens qu’il fréquente depuis la promotion Voltaire de l’ENA. Les Massonneau sont une famille de Français modestes. Modestes mais fiers de ce que nous sommes.
Son expression tellement dédaigneuse me hante maintenant que le charme est rompu, que je suis désenvoûtée de son regard. Il s’est présenté comme l’homme qui n’aime pas les riches. En réalité, le Président n’aime pas les pauvres. Lui, l’homme de gauche, dit en privé « les sans-dents », très fier de son trait d’humour.
(extrait du témoignage de Valérie Trierweiler née Massoneau)
Traverser la rue pour manger sainement
►https://blog.ecologie-politique.eu/post/Traverser-la-rue-pour-manger-sainement
Le premier des obstacles pour choisir une alimentation saine est le prix. En 2017, le quart des ménages les plus pauvres (1) consacre 18 % de son revenu à l’alimentation. C’est le second poste seulement, avec un point de plus que la part qu’y consacre la moyenne des ménages. Ce n’est peut-être pas assez pour certain·es en valeur absolue mais c’est déjà beaucoup en proportion, d’autant que d’autres dépenses sont, elles, incompressibles. Comme le logement, une dépense qui n’est pas choisie et qui est le premier poste du budget des 25 % les plus pauvres d’entre nous, qui exige jusqu’à 45 % de leur justement nommé « taux d’effort » (2). (J’ajoute qu’avec 6 € d’un abonnement Netflix mensuel, on peut s’acheter entre huit et dix pommes bio, soit environ un quartier de pomme par jour. Merci pour le conseil.)
D’autres barrières sont les conditions matérielles d’accès à une nourriture saine : habiter suffisamment près d’un magasin bio ou d’une offre alimentaire variée, avoir une cuisine suffisamment grande pour traiter des légumes (3), posséder des feux et un four. Ce qui est tenu pour acquis dans certaines classes sociales ne l’est pas dans d’autres, je parle d’expérience, ayant été mal logée. De plus, les associations qui travaillent sur ces questions nous disent le manque de temps pour cuisiner qu’ont les travailleuses et travailleurs pauvres, les plaisirs plus immédiats du sucré et du gras quand on a par ailleurs des vies difficiles et stressantes, sans filet de sécurité, ou bien le fait que personne ne sait si vous avez sauté un repas alors que l’incapacité à effectuer certaines dépenses vous met en marge de la société, symboliquement et parfois même matériellement quand l’accès aux droits passe par une connexion Internet et que le moyen le plus simple et le moins cher de vous connecter est un smartphone.
Malgré tout, l’aspiration à bien se nourrir existe, les produits bio (et locaux), les fruits et les légumes sont identifiés dans toutes les classes sociales comme une alimentation désirable, bonne pour la santé et pour le milieu naturel.
Mégabassines, histoire secrète d’un mensonge d’État : le film en accès libre
►https://reporterre.net/Megabassines-histoire-secrete-d-un-mensonge-d-Etat-le-film-en-acces-libr
#Macron nomme #Manouchian « Ministre des outremers »
à titre #posthume
#au_point_où_on_en_est #humour
Quand Emmanuel Macron maltraite le Conseil d’État - AOC media
▻https://aoc.media/opinion/2024/02/19/quand-emmanuel-macron-maltraite-le-conseil-detat
POLITIQUE
Quand Emmanuel Macron maltraite le Conseil d’État
Par Thomas Perroud
JURISTE
L’intervention directe d’Emmanuel Macron dans la nomination clé au Conseil d’État met en lumière la volonté présidentielle de contrôler étroitement les organes judiciaires et de s’inscrire dans le discours critiquant l’indépendance des juges. En ébranlant les fondements des contre-pouvoirs et en défiant ouvertement les normes européennes, le gouvernement actuel semble esquisser les contours d’un « Frexit » juridique, questionnant profondément le futur de la France dans son rapport aux droits fondamentaux et à son ancrage européen.
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La décision d’Emmanuel Macron de refuser la nomination de Rémy Schwartz pour présider la section des Finances du Conseil d’État pour lui préférer un autre candidat que celui qui avait été choisi en interne est loin d’être anecdotique.
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D’abord, elle est révélatrice d’un désaveu du Conseil d’État, accusé de ne pas juger en faveur de l’exécutif : elle reflète en ce sens un rejet des contre-pouvoirs tout en rejouant une petite musique – encore sourde mais de plus en plus audible –, de critique frontale des juges et des droits de l’Homme. Ensuite, elle s’inscrit dans une série de décisions menaçant les institutions indépendantes. Enfin, elle traduit, dans l’histoire constitutionnelle française, la propension des exécutifs forts à privilégier des personnalités proches du pouvoir pour occuper les postes majeurs au Conseil d’État : depuis sa création par Napoléon, le Conseil d’État a ainsi toujours été cronfort.
Le macronisme et le tournant populiste du conservatisme français
Quelle est la justification avancée pour refuser ainsi un candidat irréprochable ? Les explications fournies aussi bien dans l’Opinion que dans la Lettre doivent alerter. Il est reproché au Conseil d’État de suivre la jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne et de la CEDH. Cet argument doit être pris au sérieux : il s’inscrit dans le lobbying exercé par certains cercles pour une forme de Frexit juridique. Déjà, le Conseil d’État a, dans une décision importante mais passée inaperçue dans l’opinion, fait prévaloir une lecture conservatrice de la Constitution sur une jurisprudence claire et protectrice des droits de la Cour de justice, allant ainsi dans le sens du ministère de l’Intérieur et permettant une surveillance de masse des données des internautes : avec cette décision, c’est la première fois que le Conseil d’État met un coup d’arrêt à sa posture accueillante au droit de l’Union européenne et au droit international en général, politique inaugurée à la fin des années quatre-vingt.
Si l’exécutif est engagé dans une politique de rupture vis-à-vis de l’Union européenne et de la CEDH, il est plus que temps d’ouvrir cette position au débat public. Au lieu d’affronter ce débat, il semble que les gouvernants actuellement au pouvoir tentent d’obtenir une sécession, par le bas, de l’Europe, en faisant pression sur les tribunaux. Au titre de l’Union européenne, c’est le droit de la protection des données qui est menacé et, bien entendu, le droit de l’environnement. Au titre de la CEDH, ce sont les droits qui ont offert aux individus des garanties contre la puissance étatique qui font l’objet des critiques, ainsi que les droits protégeant les migrants. Ce faisant, l’exécutif français se fait l’écho d’une voix qui perce dans l’espace public.
La critique des droits de l’Homme et du gouvernement des juges est de plus en plus insistante. Le 6 janvier 2024, Alain Finkielkraut, Franz-Olivier Giesbert et Jean-Louis Bourlanges se sont ainsi retrouvés d’accord dans « Répliques » pour estimer que le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel et la Cour de justice comme la CEDH ont pris le pouvoir en France. Ce point de vue est partagé par Jean-Eric Schoettl, ancien Secrétaire général du Conseil constitutionnel[1] ou Noëlle Lenoir, ancienne juge constitutionnelle. Jean-Eric Schoettl, depuis sa critique du gouvernement des juges, est à l’origine de l’idée de « bouclier constitutionnel » pour se protéger de l’Europe. Le dernier livre de Franz-Olivier Giesbert tire ainsi sans ménagements sur le Conseil d’État avec une violence peu commune[2].
Si la décision précitée vient sanctionner une politique jurisprudentielle trop accommodante vis-à-vis de l’Europe – politique qui date des années 80, il faut le dire – les signaux annonciateurs d’un Frexit juridique s’accumulent depuis la décision sur la rétention de masse des données des internautes jusqu’à la décision de la Cour de cassation refusant l’effet direct de la Charte des droits sociaux de l’Union européenne pour donner sa pleine application aux fameux « barèmes Macron » en cas de licenciement. Le Brexit a lui aussi été précédé d’une campagne contre les juges – qui continue d’ailleurs. Des deux côtés de la Manche, c’est bien le même programme politique sous-jacent, profondément illibéral, visant à amenuiser les contre-pouvoirs, qui est à l’œuvre. Le macronisme s’inscrit dans cette veine, en combattant une indépendance de la justice qu’il a pourtant le devoir constitutionnel de défendre.
Le macronisme et les contre-pouvoirs
La décision doit aussi être inscrite dans une série témoignant une volonté de reprise en main des corps indépendants. L’instrumentalisation du Conseil constitutionnel, qui a été dénoncée récemment à l’occasion de la loi sur l’immigration, n’est sans doute pas récente : dès sa création, le Conseil a été pensé comme étant proche du Président de la République, son premier président, Léon Noël, inaugurant des entretiens réguliers avec le général de Gaulle, entretiens refusés avec les parlementaires.
Beaucoup plus insolite a été la décision d’Emmanuel Macron de ne pas renouveler Isabelle de Silva à la présidence de l’Autorité de la concurrence. C’est la première fois depuis les années quatre-vingt qu’un président de la République manifeste ainsi son pouvoir vis-à-vis d’une institution de ce rang. Cet acte n’est pas isolé : Laurent Mauduit a réalisé une enquête très approfondie sur tous les cas d’ingérence, qui se sont en réalité multipliés dans la période récente, en prenant pour levier le pouvoir de nomination détenu par le président de la République. Le parti Renaissance a aussi évoqué la suppression de certaines autorités administratives indépendantes en mai 2023[3].
L’intégrité du Conseil d’État victime des exécutifs forts
Il est aussi intéressant de regarder le type de profil privilégié pour le poste de président de la section des Finances. La Lettre explique que le profil « est allé au contact du politique » ». Alors que les précédents désaveux présidentiels étaient motivés par la trop grande proximité du profil retenu par le Conseil d’État avec un engagement partisan (François Mitterrand refusant Guy Braibant proche du parti communiste ou Nicolas Sarkozy rejetant Christian Vigouroux pour sa proximité avec le parti socialiste), c’est un motif opposé qui a animé le président Emmanuel Macron.
Or, préférer un profil proche du politique est une constante des présidents autoritaires de notre histoire constitutionnelle. En instituant le Conseil d’État, Napoléon ne voulait pas d’un juge indépendant ; la IIIe République avait renforcé cette indépendance, en supprimant sa fonction consultative pour les projets de loi. Après l’arrêt Canal en 1962, le général de Gaulle a été jusqu’à vouloir supprimer le Conseil d’Etat : si le projet a été abandonné, les réformes consécutives à cette crise ont consisté à rapprocher davantage le Conseil d’État du politique en créant notamment la double appartenance des membres du Conseil aux sections consultatives et aux sections contentieuses. Préférer un profil proche du politique, donc « conflicté » c’est faire sentir au Conseil d’État sa dépendance : c’est un rappel à l’ordre.
Qu’un président de la République veuille défendre une certaine politique est naturel dans une démocratie, particulièrement en France puisqu’il est élu au suffrage universel direct. Ce qui est navrant et profondément antilibéral, c’est un mode d’expression du mécontentement qui se passe d’explication, de motivation – et de motivation en droit – et fait dépendre la nomination des plus hauts fonctionnaires d’un critère politique plutôt que de l’intégrité d’une carrière dévouée au service de l’intérêt général.
Thomas Perroud
Chasse aux #arrêts_de_travail : des médecins dénoncent « une campagne d’#intimidation générale »
L’#Assurance_maladie contrôle des centaines de #médecins_généralistes qui prescriraient, selon elle, trop d’arrêts de travail, et leur impose des #quotas au mépris de la situation des patients. Des médecins, « écœurés », contestent la démarche.
« Ça m’a fait perdre confiance en ma pratique. Je me suis dit : où est le problème, qu’est-ce que je ne fais pas bien ? » Comme d’autres confrères et consœurs, Valérie* [1] fait partie des 1000 médecins généralistes ciblés par l’Assurance maladie, parmi 6000 préalablement identifiés. En cause : leur trop grande prescription d’arrêts de travail. En juin 2023, le ministre de l’Économie, #Bruno_Le_Maire, dénonçait l’« explosion » des arrêts de travail et disait vouloir lutter contre les « #dérives » et « #abus ».
Selon le gouvernement, les arrêts maladie auraient augmenté de 7,9 % en un an, et de 30 % entre 2012 et 2022, passant de 6,4 millions arrêts prescrits en 2012 à 8,8 millions désormais. Les #indemnités_journalières, versées par l’Assurance maladie pour compenser le salaire lors d’un arrête maladie, coûteraient 16 milliards d’euros par an.
D’où la #chasse_aux_arrêts_de_travail, initiée par le gouvernement, qui se poursuit avec le projet de loi de financement de la #Sécurité_sociale pour 2024, adopté le 4 décembre dernier. Parmi les mesures que la #loi prévoit : la limitation à trois jours des arrêts de travail prescrits lors d’une téléconsultation, sauf prescription par le médecin traitant ou incapacité de se rendre chez le médecin. « Il y a véritablement eu un changement de politique en 2023 », constate Théo Combes, vice-président du syndicat des médecins généralistes MG France. L’homme voit dans cette offensive « une campagne d’intimidation générale contre la profession ».
La particularité des patients oubliée
« Qu’on discute de nos pratiques oui, mais on est dans le #soin, pas dans l’abus », réagit Valérie. Installée en Vendée, elle a eu la surprise de recevoir en juin dernier un courrier recommandé de l’Assurance maladie l’informant de sa trop grande prescription d’indemnités journalières. « En six ans, il y a une personne de 36 ans qui m’a demandé de lui faire un arrêt pour un rhume, que j’ai refusé. Là je suis d’accord qu’il ne faut pas abuser, mais ça m’est arrivé une fois ! » met-elle en avant. Surtout, les critères de contrôles ne tiennent selon elle pas du tout compte des particularités des patientèles.
Partagée entre son cabinet en libéral et l’hôpital, Valérie est spécialisée en addictologie. « Pour les patients avec des problématiques d’addiction, on sait que les arrêts de travail, pour virus ou autre, sont source de rechute. Donc après, la pente est plus longue à remonter, et les arrêts aussi par conséquent. Pareil pour des patients qui ont des troubles psychiatriques, pour qui c’est vraiment source de décompensation », explique-t-elle. La professionnelle de santé a en effet constaté que ses prescriptions d’indemnités journalières ne font qu’augmenter : « Mais parce que ma patientèle ciblée augmente », précise-t-elle.
Médecin depuis 30 ans dans le troisième arrondissement de Lyon et membre du Syndicat des médecins libéraux (SML), Laurent Negrello fait le même constat : « Je suis dans un quartier un peu défavorisé, avec 50 % de logements sociaux et plus de difficultés, ce qui impacte probablement mes quotas d’arrêts de travail », appuie-t-il. Contrôlé pour la deuxième fois en cinq ans, il insiste aussi sur le contexte sanitaire global, qu’il a vu nettement évoluer ces dernières années. « L’inflation des arrêts est à mon avis aussi due à des #conditions_de_travail qui sont devenues très difficiles. Les gens sont en #burn-out, ont des #accidents, une pression de rentabilité… ». Les conditions de travail (contraintes posturales, exposition à des produits toxiques, risque d’accidents, etc.) ne se sont globalement pas améliorées depuis 30 ans selon le ministère du Travail.
Crainte de dépasser le quota
Et il devient de plus en plus compliqué d’obtenir un rendez-vous chez un spécialiste. « À Lyon, il faut trois mois pour voir un orthopédiste ou un rhumatologue, et je ne parle même pas des psys, avec qui c’est impossible… », explique le généraliste. Plus les délais de prise en charge s’allongent, plus l’état d’un patient peut se dégrader et nécessiter un arrêt de travail. La #Caisse_nationale_d’Assurance_maladie (#Cnam) assure de son côté à Basta ! que ses données sont « standardisées » : « On essaie d’avoir des patientèles comparables. » La limite d’arrêts à ne pas dépasser, c’est plus de deux fois la moyenne du département. « Une approche purement statistique », déplore Théo Combes de MG France, qui pointe une « méthodologie contestable à plusieurs niveaux ».
Alors que Michel Chevalier, médecin depuis 36 ans à Ousse, près de Pau, se remémore d’anciens contrôles par « entretiens confraternels », il déplore aujourd’hui « une absence de dialogue ». Après la réception d’un courrier recommandé en juin, il a été convoqué avec deux jeunes consœurs : « L’une exerce dans un quartier très pauvre de Pau et une autre dans un désert médical. Elle a 34 ans et n’en dort plus depuis le mois de juin », rapporte ce membre du Syndicat de la médecine générale (SMG). Valérie confie elle aussi s’être sentie « stressée d’être pointée du doigt » à la réception de ce courrier : « Je trouve la procédure violente en elle-même. Sachant qu’on a des délégués médicaux qui viennent régulièrement nous voir, avec qui ça se passe très bien. Je pense que ça aurait pu être fait autrement », met-elle en avant.
À la réception du courrier, chaque médecin dispose d’un mois pour répondre et faire ses observations à l’Assurance maladie, qui décidera si les éléments apportés sont « suffisamment probants », nous détaille le service communication de la Cnam. Si ce n’est pas le cas, la procédure prévoit qu’il soit proposé au médecin ciblé une #mise_sous_objectif (#MSO) : pendant six mois, ce dernier doit réduire ses prescriptions d’arrêts de travail de 15 à 20 %. Ce que Valérie a refusé, comme de nombreux autres : « Heureusement, car au sein du cabinet médical où j’exerce, plus personne ne prend de nouveaux patients sauf moi quand ça touche des problématiques d’addiction. »
Déjà contrôlé il y a cinq alors, Laurent Negrello avait alors accepté « la mise sous objectif » : « Pendant six mois, j’ai réduit mon temps de travail, donc les patients allaient voir ailleurs et j’ai atteint mes objectifs », relate-t-il avec ironie. Cette année, il a refusé ce procédé qu’il juge « très pesant et stressant » : « On travaille toujours dans la #crainte de dépasser le quota qui nous est imparti. Mais on est un peu dans le #flou parce qu’on ne sait pas vraiment quels sont les quotas exacts. On nous dit qu’il faut baisser de 20 %, mais c’est une zone grise, on ne sait pas comment baisser nos arrêts. Quels sont les critères ? On a face à nous des situations concrètes, donc baisser de 20 % c’est absurde », critique-t-il.
En cas de refus de mise sous objectif, les médecins peuvent être « mis sous accord préalable », procédure pendant laquelle un médecin conseil de l’Assurance maladie doit valider tous les arrêts de travail prescrits par le médecin sous 48 heures. Valérie raconte avoir été convoquée à une commission ayant pour but de statuer sur sa soumission à ce dispositif en novembre.
Convoqués à des « #commissions_des_pénalités »
« Ça m’a occasionné beaucoup de stress et pris beaucoup de temps. J’ai préparé un argumentaire, fait des recherches. Sans compter les deux heures de route pour 30 minutes d’entretien prises sur ma journée de repos », relate-t-elle. La commission a voté à l’unanimité le refus de sa « #mise_sous_accord_préalable ». Mais la professionnelle de santé a dû attendre la réception d’un courrier de la CPAM, mi-décembre, pour avoir la confirmation de « l’abandon de la procédure ».
Le 7 novembre dernier, Théo Combes a participé à l’une de ces « commissions des pénalités », notamment composées de représentants syndicaux et médecins d’un côté, et de représentants des employeurs et salariés de l’autre. « Des médecins sont venus s’expliquer. Ils étaient proches de la rupture d’un point de vue moral et psychologique, avec des risques suicidaires qui transparaissaient. J’aurais pensé que leurs récits auraient ému un mort, même si c’est peut-être un peu fort. Mais après quatre heures d’audition on s’est dit que c’était vraiment une #mascarade. C’est un système pour broyer les gens, les humilier », décrit le vice-président de MG France, écœuré.
À l’issue des contrôles, des #pénalités_financières de plusieurs milliers d’euros peuvent s’appliquer s’il n’y a pas d’évolution du nombre de prescriptions d’arrêts de travail. « C’est très, très infantilisant. On a l’impression d’être dans la #punition plutôt que dans le dialogue, et de faire ça intelligemment », déplore Valérie, qui craint pour ses patients tout autant que pour sa profession. « On peut très bien imaginer maintenant que les médecins vont sélectionner les patients et ne plus s’occuper de ceux qui leur font faire trop d’arrêts », ajoute Michel Chevalier.
L’Assurance maladie espère de son côté avoir un bilan chiffré de ces mesures « autour du deuxième trimestre 2024 ». Michel Chevalier, lui, ne sera plus là : « Le côté dramatique, c’est que j’ai décidé de prendre ma retraite à la suite de ces contrôles, ça a été la goutte d’eau. » Comme il n’a pas trouvé de successeur, ses patients n’ont plus de médecin depuis le 1er janvier.
►https://basta.media/chasse-aux-arrets-de-travail-medecins-denoncent-campagne-intimidation
voir aussi :
▻https://seenthis.net/messages/1041346
#santé #France #humiliation #infantilisation #macronisme
Pourquoi ce médecin prescrit trois fois plus d’arrêts de travail que la moyenne à #Dieppe
Le docteur Tribillac exerce au #Val-Druel, à Dieppe. Sanctionné pour avoir délivré trop d’arrêts de travail, il tente en vain d’expliquer la situation à l’Assurance maladie.
« Je suis un lanceur d’alerte ! », commence #Dominique_Tribillac. Depuis 35 ans, ce médecin de famille exerce dans le quartier du Val-Druel, à Dieppe (Seine-Maritime). Âgé de 70 ans, il est ce que l’on appelle « un retraité actif ».
Il devrait prendre bientôt sa retraite, avant l’été, mais un problème administratif l’occupe fortement depuis plusieurs mois : l’Assurance maladie l’a sanctionné car il donne trop d’arrêts de travail.
La Sécurité sociale a fait les calculs, entre le 1er septembre 2022 et le 28 février 2023 : 4 911 journées indemnisées ont été prescrites.
Trois fois plus d’arrêts de travail
« Le nombre d’indemnités journalières versées, rapporté au nombre de patients a été de 16,7 », indique l’Assurance maladie. « En Normandie et au sein du groupe de communes semblables au sens de l’indice de défavorisation de l’Insee, l’institut national de la statistique et des études économiques, pour les praticiens exerçant une activité comparable, le nombre d’indemnités journalières versées par nombre de patients est de 5,90. »
Le médecin du Val-Druel prescrit donc trois fois plus d’arrêts de travail.
Une lettre aux médecins de France
Mais le docteur Tribillac ne se laisse pas faire. Il conteste notamment l’indice de défavorisation mis en place par la Sécurité sociale. Selon lui, il ne reflète pas la réalité. « Il est très mal conçu, souligne-t-il. Il fait le contraire de ce qu’il est censé faire ». C’est-à-dire protéger et prendre en compte les populations les plus fragiles.
« J’ai débusqué une véritable saloperie, ajoute Dominique Tribillac qui a le sentiment qu’on l’empêche d’aller au bout de sa démarche : « L’Assurance maladie essaie d’étouffer l’affaire. »
Il va même envoyer une lettre ouverte à tous les médecins de France pour raconter son histoire et sa trouvaille concernant le référentiel sécu.
Une population défavorisée
Ce docteur, très apprécié de ses patients, ne cesse d’invoquer l’usure de ces derniers, dans un quartier prioritaire de la cité dieppoise. « Un quartier fermé avec une patientèle qui ne bouge pas, précise le professionnel. En tant que médecin de famille, j’ai vu les grands-parents, les parents, les enfants… Les gens qui vivent là y restent. »
Au Val-Druel, « plus de la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté, indique-t-il. Les #polypathologies sont donc plus fréquentes, en moyenne deux fois plus élevées ». Le secteur dans lequel le médecin évolue est principalement touché par des problématiques psychologiques, de l’obésité, de chômage, de tabac, de cancers…
Manque de spécialistes
Selon lui, la moitié des habitants de ce quartier populaire arrive à la retraite invalide. « Ce sont des travailleurs qui ont des conditions de travail difficiles, explique Dominique Tribillac. Jusqu’à 45 ans, ils n’ont pas d’arrêt, et après ça commence.
L’usure se déclare à cause de mouvements répétitifs qui sollicitent les mêmes membres ou muscles. « On arrive donc à une situation bancale en fin de carrière. Le patient peut-il encore travailler ou non, faire le même job… »
Le médecin pointe aussi le manque de spécialistes dont les délais d’attente pour un rendez-vous sont de plus en plus élevés : « Les gens ne peuvent donc pas reprendre leur travail sans les avoir vus. »
Un médecin dans l’#illégalité
Mais tous ces arguments n’ont pas convaincu l’Assurance maladie. Ainsi, le docteur Tribillac a été sanctionné malgré un avis favorable d’une commission consultative pour le laisser exercer sereinement. C’était sans compter sur la direction de la CPAM de Seine-Maritime qui en a décidé autrement. Cette dernière n’a d’ailleurs pas souhaité répondre à nos questions au sujet du médecin du Val-Druel.
Il exerce donc sa fonction dans l’illégalité depuis le 1er février 2024, refusant de remplir des papiers supplémentaires permettant à un médecin-conseil de vérifier les prescriptions d’arrêts maladie du docteur Tribillac. On appelle cette procédure une MSAP, une mise sur accord préalable.
« Pas coupable »
« Je ne suis pas coupable ! », argue-t-il. « Je ne remplirai pas ces dossiers. Ce médecin-conseil devrait plutôt voir ou appeler lui-même mes patients. »
Conséquence pour ces derniers : ils ne peuvent plus toucher leurs indemnités journalières versées par la Sécu.
►https://actu.fr/normandie/dieppe_76217/pourquoi-ce-medecin-prescrit-trois-fois-plus-darrets-de-travail-que-la-moyenne-
Chasse aux arrêts maladie : le gouvernement prend le thermomètre à l’envers
L’exécutif durcit le ton, mais ferme les yeux sur les causes de la hausse des arrêts maladie : des conditions de travail difficiles, une population active plus âgée et plus fragile.
(#paywall)
►https://www.alternatives-economiques.fr/chasse-aux-arrets-maladie-gouvernement-prend-thermometre-a-lenver/00109935
ici aussi :
▻https://seenthis.net/messages/1045198
Le concours d’indignités se poursuit
DimancheEnPolitique sur X : « 🗣️| L’Entretien 🟠 BorisVallaud estime que l’hommage qu’Emmanuel #macron envisage pour les victimes françaises à #Gaza ne doit pas "être le même hommage que pour des victimes du #terrorisme, les victimes ne sont pas de même nature". Le président de @socialistesAN demande que les parlementaires soient associés à la réflexion. »
▻https://twitter.com/DimPolitique/status/1756685415866621992
Depuis, le gus a « nuancé » son propos (des fois que) ...
Mon propos mérite clarification, pas de polémique inutile. J’évoquais les
usages d’un hommage national. La situation à Gaza est dramatique. L’urgence absolue : le cessez-le-feu. Qu’elles soient palestiniennes, israéliennes ou françaises, toutes les vies et victimes se valent.
▻https://twitter.com/BorisVallaud/status/1756715833835786474
Présidentielle 2027 : Marine Le Pen en position de l’emporter au second tour selon un sondage
▻https://www.lefigaro.fr/politique/presidentielle-2027-marine-le-pen-en-position-de-l-emporter-au-second-tour-
Présidentielle 2027 : Marine Le Pen en position de l’emporter au second tour selon un sondage
#pas_sympa pour un dimanche soir
Le gouvernement refuse de subventionner les associations féministes « ambiguës » sur le massacre du 7 octobre
▻https://www.nouvelobs.com/societe/20240211.OBS84352/le-gouvernement-refuse-de-subventionner-les-associations-feministes-ambig
Depuis l’attaque sanglante lancée par le Hamas contre Israël le 7 octobre et les représailles israéliennes, le collectif Nous toutes, et plus largement les associations et figures féministes en France s’étaient vus reprocher un « silence » sur les informations et témoignages faisant état de viols commis par des hommes du Hamas.
▻https://www.youtube.com/watch?v=eUQVeABYmXw
J’ai demandé, au nom du gouvernement, un examen minutieux de toutes les déclarations de toutes les organisations féministes relatives au 7 octobre et à ses conséquences, car je refuse que l’État soutienne financièrement des associations qui ne peuvent pas définir clairement ce qui s’est passé [...] J’ai demandé que toutes les organisations soutenues financièrement fassent l’objet d’un examen minutieux - des centaines et des centaines d’associations - parce qu’être féministe, c’est parler, c’est soutenir les femmes qui ont été mutilées le 7 octobre. S’il y a une ambiguïté sur les déclarations qui ont été faites, il ne serait pas normal que ces associations continuent à recevoir des subventions publiques, c’est aussi simple que cela.
[...]
Dans la même interview, elle déclare que « ce qui s’est passé le 7 octobre, c’est que des milliers de femmes ont été exterminées, assassinées, brûlées ou violées ».
Même le New Yorwk Timesa des doutes !
▻https://thegrayzone.com/2024/01/10/questions-nyt-hamas-rape-report
Ce pouvoir bascule de plus en plus dans une ligne politique autoritaire. Ce n’est pas une vue de l’esprit.
Parmi les conséquences de cette situation, l’État impose aux organisations syndicales et aux associations de nouvelles conditions à leur reconnaissance institutionnelle, en particulier pour ce qui concerne les aspects matériels (financement et locaux).
Cela signifie surtout que ces organisations sont mises dans l’obligation de reconsidérer quel est aujourd’hui le prix politique à payer pour leur autonomie.
C’est difficile à admettre mais, comme avec la bourse du travail d’Aubervilliers et la menace idéologique formulée ici aux associations féministes, on risque d’assister à de sévères remises en cause de ce que nous avions considéré comme des acquis mais qui ne sont que les conséquences du rapport de force des luttes sociales.
et aussi, #instrumentalisation_de_l'antisémitisme (à tel point qu’il n’est même plus besoin de l’invoquer...) comme fourrier de l’#antisémitisme.
Aller menacer de couper les subventions d’associations féministes devant Haziza, je suppose que ça fait partie intégrante du message qu’on est en train de faire passer.
La France est occupée par Israël : ses politiciens de la partie droite du PS jusqu’au RN en passant par Renaissance et LR. Et pratiquement tous ses grands médias.
Nous devons METTRE ISRAËL HORS DE FRANCE
Ce gouvernement Macron-Attal ment, ce gouvernement Macron-Attal est israélien ...
STOPPEZ LES EXONÉRATIONS DE DROITS DE DOUANE
ARRÊTEZ D’ENVOYER MES IMPÔTS FINANCER CE GÉNOCIDE
ARRÊTEZ DES VENDRE DES ARMES A ISRAËL
ISRAËL CASSE TOI, LA FRANCE N’EST PAS A TOI !
« L’extrême-droite n’a plus besoin de prendre le pouvoir. Elle est déjà en train de gouverner ».
(Désolé si je me répète)
Et du coup, Donald Trump fort inspiré par notre aurore nationale (à moins que ce soit l’inverse) se dit que ce serait bien de livrer à la Russie les pays membres de l’OTAN qui « ne paieraient pas leurs dettes ».
Arnaud Bertrand sur X :
This is absolutely insane, I literally cannot believe France has come to this point. ▻https://t.co/pxPl75jyS6 This 👇 is Aurore Bergé, the French Minister for the Fight against Discriminations, who just announced on Radio J (a Jewish community radio station in Paris) that she’d…
▻https://twitter.com/RnaudBertrand/status/1756710448710500582
►https://contre-attaque.net/2024/02/11/la-france-paillasson-de-lextreme-droite-israelienne
Sur ce sujet comme sur tous les autres, le Macronisme est une des nuances de l’extrême droite. À propos de Gaza, Macron est sur la même ligne que Milei, Meloni, Zemmour et autres néofascistes qui souhaitent un choc des civilisations en soutenant le messianisme israélien.
(Paillasson ... Plutôt laboratoire)
Le Monde ne relève pas son #mensonge sur les milliers de femmes victimes du Hamas le 7 octobre. « Etre féministe, c’est dire les choses ; être féministe, c’est soutenir les femmes qui ont été mutilées le 7 octobre, a estimé Mme Bergé, dimanche, mettant en cause certaines associations féministes. Si le drame qui s’est produit le 7 octobre à l’encontre des femmes s’était produit ailleurs, est-ce que les réactions auraient été plus fortes ? Malheureusement, je crains que ça aurait pu être le cas. »
▻https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/02/12/aurore-berge-menace-de-supprimer-les-subventions-aux-associations-feministes
Mais qui est Aurore Bergé ? Cette politicienne est issue d’un milieu privilégié et a commencé son engagement politique à l’extrême droite, au sein de l’UNI, un groupuscule étudiant qui soutient actuellement Zemmour. Elle a ensuite travaillé pour trois agences de communication et de lobbying, puis milité pour François Fillon avant de rejoindre Macron durant la campagne présidentielle de 2017. Députée, elle vote en 2019 la proposition de loi d’Éric Ciotti visant à interdire le port du voile aux accompagnantes lors des sorties scolaires. Durant le Covid, elle répond sur Twitter : « Plus de lits de réa, ce sont plus de personnes intubées, plus de décès » pour justifier la fermeture de lits d’hôpitaux par Macron. Aurore Bergé siège aussi au conseil d’administration de France Télévisions. C’est une macroniste de choc, sans âme ni morale.
▻https://contre-attaque.net/2024/02/12/israel-aurore-berge-veut-couper-les-subventions-des-associations-fem
Dédicace à #Macron, , et leur #clique de #gays #gouvernants...
#misère #politique #France #sans_queue_ni_tête #en_même_temps #diplomatie #crédibilité #entubeur #par_devant_par_derrière #tapette #ridicule #comique #sortie_de_route #traces_de_pneus #odeur_de_gomme #sans_issue #humour #seenthis #vangauguin
:-D :-D :-D
▻https://www.youtube.com/watch?v=L-JvgwF2uX4&ab_channel=DanyFisher
Macron ou la catastrophe africaine - AOC media
En choisissant, en réactions aux coups d’états, de punir les populations sahéliennes – notamment en coupant nette toute aide humanitaire et au développement – le Président Macron se trompe de cible et fait le jeu des militaires au pouvoir au Mali, au Burkina Faso et au Niger. Il ajoute ainsi au ressentiment envers la France au sein de l’opinion publique africaine, et perpétue une politique diplomatique désastreuse.
francois burgat sur X :
▻https://twitter.com/frburgat/status/1755897202499559812
#Gaza : Le mépris des morts et le mépris des mots
Il n’y a pas seulement les mille morts des uns et les dizaines de milliers de morts des autres. Il y a aussi “les bébés en plastique” (Merci C. #Estrosi) , les “faux chiffres du #Hamas” (merci C. #Fourest et… Léa #Salamé) , les postes de commandement cachés sous les hopitaux, les 40 nourrissons décapités et autres femmes éventrées (Merci président #Biden), “l’armée la plus morale” vs “les barbares”, les dizaines d’ “otages” des uns et les milliers de “terroristes incarcérés” des autres. Il y a enfin l’indécent “silence des autruches”, c’est-à-dire de ceux qui sont plus respectueux de la “distance scientifique” que de la vie et de la mort de leurs collègues palestiniens.
L’actualité gazaouie n’en finit pas d’enfouir les élites européennes sous une surenchère nauséabonde de mépris des morts et des mots. Le festival de mensonges des Israéliens et l’aveuglement de leurs sponsors occidentaux sont couronnés depuis peu par une félonie ultime : l” ambition d’asphyxier financièrement les sauveteurs de l’#UNRWA.
La #Macronie politique et médiatique a sombré. Sa France danse sur la montagne de cadavres des enfants de #Palestine. Elle imprime sur l’histoire de France une tache noire et nauséabonde qui restera indélébile.
Déjà trop de morts et plus assez de mots.
Réactionnaire ? Ce que l’intelligence artificielle dit des discours d’Emmanuel Macron
▻https://theconversation.com/reactionnaire-ce-que-lintelligence-artificielle-dit-des-discours-de
Parler « le Macron »
Nos algorithmes ont appris – par comparaison – à parler le « de Gaulle », le « Pompidou », le « Giscard », le « Mitterrand », le « Chirac », le « Sarkozy », le « Hollande » et le « Macron ». Et ils sont susceptibles de dire, sans se tromper, les mots préférés des uns et les phrases favorites des autres, les expressions privilégiées par Charles de Gaulle ou par François Mitterrand, la composition grammaticale des discours de Valéry Giscard d’Estaing ou de François Hollande, la tonalité idéologique des discours de Nicolas Sarkozy ou de ceux d’Emmanuel Macron.
.../...
REtrouver, REcouvrer, REdonner, REfaire, REconstruire, REstaurer, REinventer, REfonder… Les verbes en re- mettent constamment en marche arrière le discours d’Emmanuel Macron qui entend REproduire un passé idéalisé. REstauration, REarmement, REfondation, REvision, REnovation… Les noms en re- renvoient inlassablement les auditeurs à la grandeur éternelle d’une France passée qu’il s’agirait de REconquérir. L’approche quantitative est formelle, et elle chiffre précisément la lame de fond des re- dans la prose d’Emmanuel Macron à hauteur d’un écart réduit de +12,6.
Sérieux ?
Ils ont besoin de logiciels pour voir que ce type est un réac au service de la bourgeoisie nostalgique du temps de Zola ?
Bah oui, mais là, c’est mathématiquement prouvé ;-)
+12 écarts-types ! c’est pas… fréquent, en effet :-)
(les tables usuelles s’arrêtent à 4…)
Et à propos de « Hyperbase », le logiciel dont les algorithmes ont permis de révéler la teneur réactionnaire de la « pensée » Macron :
Hyperbase combine deux types de fonctions, documentaires et statistiques, qui permettent à l’analyste de décrire, caractériser, classer et interpréter les textes.
Fonctions documentaires
Retour au texte plein ou lemmatisé pour une lecture naturelle du corpus
Navigation hypertextuelle dans le corpus par mots-clefs
Recherche et tri des contextes et des concordances d’une unité
Index et dictionnaires des formes, des lemmes, des codes et des fréquences
Hyperbase (graphe de distribution).
Fonctions statistiques
Calcul des spécificités et graphes de distribution des unités linguistiques du corpus
Indices de richesse lexicale et d’accroissement du vocabulaire
Traitement et représentation factoriels de matrices lexicales ou grammaticales complexes dans la lignée des travaux de Jean-Paul Benzécri
Calcul de distances entre textes, classification et représentation arborées
Extraction des phrases typiques et des segments répétés
Calcul et représentations des cooccurrences et réseaux thématiques
Comparaison statistique avec le Trésor de la langue française, GoogleBooks, le British National Corpus
#Macron, #Attal, et #Darmanin font dans leur culotte, et "ils assument" #mdr #guignolos #bouses #tartuffes #petites_bites #politique #France #agriculture #Europe #monde #miniature #microcosmos #minimundus #seenthis #vangauguin
▻https://www.politis.fr/articles/2024/01/colere-des-agriculteurs-le-deux-poids-deux-mesures-assume-du-gouvernement
"Colère des agriculteurs : le « deux poids deux mesures » assumé du gouvernement
Le gouvernement, Gérald Darmanin en tête, se montre indulgent envers les agriculteurs en colère. Cette approche met en lumière une réelle partialité, suscitant des questions sur l’équité dans le traitement des différentes expressions de mécontentement social. (...)"
#Macron, le #pantin qui veut jouer le #marteau sans #maître... #guignol #tartuffe
« Dans une #oligarchie, on ne demande pas de comptes aux #intouchables de la #caste » #Europe #Union_Européenne
#politique #France #en_même_temps #langue_de_pute #société #monde #opportuniste #lèche_couilles #président #seenthis #vangauguin
« Dans une oligarchie, on ne demande pas de comptes aux intouchables de la caste »
▻https://www.marianne.net/agora/les-signatures-de-marianne/dans-une-oligarchie-on-ne-demande-pas-de-comptes-aux-intouchables-de-la-ca
Malgré un appel à cesser les envois d’#armes vers #Israël, la #France continuera d’en livrer... Et en #Ukraine... Mais les caisses sont vides... :-D :-D :-D
SORTEZ LES #TARTUFFES ! #macron et associés
#France #diplomatie #irresponsable #responsable #va_t_en_guerre #de_qui_se_moque_t_on #Israel_uber_alles #sionisme #totalitarisme
►https://www.mediapart.fr/journal/international/240124/malgre-un-appel-cesser-les-envois-d-armes-vers-israel-la-france-continuera
"Des ONG ont lancé un appel à suspendre les transferts d’armes à l’État hébreu et aux groupes armés palestiniens, mercredi 24 janvier. Le ministère des armées assume d’exporter des équipements militaires à Israël « afin de lui permettre d’assurer sa défense ». (...)"