• " ; ; ; « Pièges #malsains », « systèmes #mafieux », tournages extrêmes… le #porno, c’était pas (toujours) mieux avant... (...)" #marianne

    Vous prétendez parler du porno qu’était pas mieux avant, tout en mettant en avant le #glamour #porn, façon #Dorcel, #Putes et #Chateaux, #Relais et #Partouzes, vous n’êtes pas vraiment des gens sérieux. Vous surfez

    Prochnmt, #Natacha_Polony, #par_devant, #par_derrière

     :-D :-D :-D

    « ... #glamour des années 1990.... » SANS BLAGUE ? Vous vivez sur quelle planète, #Marianne ?

    https://www.marianne.net/societe/pieges-malsains-systemes-mafieux-tournages-extremes-le-porno-c-etait-pas-t

  • « Le #Liban, figure caricaturale d’un monde où les #mots sont blessés à mort »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/08/04/dominique-edde-une-overdose-mortelle-de-mensonge-affecte-la-pensee-jusqu-a-l

    Par #Dominique_Eddé

    L’effondrement du pays n’est pas seulement le fait d’une « bande de #mafieux », c’est aussi celui d’un ordre mondial dont le délitement tient au #langage, gangrené par le #mensonge , estime la romancière et essayiste Dominique Eddé dans une tribune au « Monde ».

    Il y a un mal dans l’air qui n’est pas le #Covid-19. Il existait à l’état larvé avant la #pandémie. Il a explosé avec elle. Il se mesure au nombre de relations qui trinquent, aux dépressions nerveuses, au caractère de plus en plus explosif de la vérité, à l’écart abyssal entre ce que l’on sait et ce que l’on peut en faire, entre ce que l’on ignore et ce que l’on prétend pouvoir. L’espèce humaine fait pression sur la planète qui, en retour, fait pression sur elle. L’espace rétrécit. Le temps s’accélère. Tout se passe comme si le passé ne faisait plus le poids : comme s’il n’avait plus l’énergie de souffler l’avenir. Comme s’il radotait pour ne pas sombrer.

    Les mots sont malades, ils sont blessés à mort. Leur sens a été violé, dévalisé. Par qui, par quoi ? Par un gigantesque réseau de clones plus ou moins détraqués qui, à tous les étages, d’un bout de la planète à l’autre, s’activent pour entretenir les rouages d’un monde fini. Et avec eux, derrière eux, la masse des gens qui, pour se faire une place, se croient obligés d’attraper la maladie du monde.

    La psychose progresse, les névroses sont en passe de devenir des modèles de #santé_mentale. Il n’y a quasiment plus de relais, plus de zones intermédiaires, entre le monde et la chambre à coucher. Chaque individu devient à lui seul le spectateur de tous. Chaque spectateur, ou presque, le témoin inutile d’une scène surpeuplée et sans horizon. Les pays sont en passe de devenir des entités électroniques aux logiciels plus ou moins bien entretenus. La nation et la religion sont recyclées en logos, en projets, en outils d’exclusion, de survie.

    Impossible rencontre entre intérêt particulier et intérêt général

    Les tout-puissants font l’expérience simultanée de leur pouvoir écrasant et de leur impuissance : leur impuissance à tirer, au-delà du #profit immédiat, un quelconque profit pour l’avenir. Les impuissants font l’expérience de la #servilité ou de l’#humiliation. Et pourtant, un rien suffit, sous cette chape de plomb, pour que se fissure le cercle fermé du monde qui nous étrangle. Pour qu’un visage condamné accouche d’un sourire.

    « Il ne s’agit pas d’avoir la peau du mensonge, il s’agit d’arracher la vérité à ses griffes, de réanimer la langue »
    Il m’est souvent demandé pourquoi j’insiste à penser que le Liban est une figure abîmée et caricaturale du monde. Plus j’observe cette miniature de pays, plus je persiste et signe : ce qui s’y passe n’est pas du seul ressort d’une bande de mafieux. La bande de mafieux existe bel et bien, mais elle n’est pas isolable. Elle est le ressort pourri d’un ordre mondial qui, ailleurs, donne encore le change.

    La demi-douzaine de chefs de clan libanais, passablement dégénérés, qui s’obstine à ne prendre aucune décision susceptible de sauver des millions de personnes, n’est pas sans rapport, sur le fond, avec l’incapacité des membres du G8 à prendre des décisions susceptibles d’en sauver des milliards. L’échec découle d’une même rencontre impossible entre intérêt particulier et intérêt général. La différence est une affaire de degré et de forme.

    Overdose mortelle de mensonge

    Depuis toujours l’exercice du pouvoir est rendu possible par le mensonge. Cela fait partie du « deal ». On pourrait même dire qu’en l’absence de mensonge le monde s’écroulerait. Toute survie, toute relation passe par une dose vitale de mensonge.

    Mais il s’agit désormais d’autre chose. Il s’agit d’une overdose mortelle qui affecte la pensée jusqu’à la moelle. Les raisonnements reposent sur des fondements infectés, périmés. Le mensonge a pénétré et dévalisé le langage comme des voleurs une maison abandonnée.

    Nous repeignons les murs au lieu de les rebâtir. La logique n’a plus où s’exercer en dehors de la surface. Trois mots bien frappés la font briller. Il suffit d’avoir l’esprit musclé et la conscience endormie. Si bien que nous assistons à une dépossession de la pensée par l’« intelligence ».

    « Je placerais bien, dans des pièces étanches, chacun de ces mots dont on se sert pour mieux oublier les gens qui en crèvent, chacun serait sommé de retrouver son sens avant de retourner dans une phrase »
    Nos slogans à la mode réclamant la « transparence » font partie intégrante du trompe-l’œil. Nul n’ignore que l’être humain et la vérité elle-même sont des blocs d’opacité. La transparence qui manque à notre espèce, c’est celle de l’air, de l’eau, de la lumière. De l’amour. Celle-là même qui s’évapore sous son nez. Il ne s’agit pas d’avoir la peau du mensonge, il s’agit d’arracher la vérité à ses griffes, de réanimer la langue. Ici se trouvent les limites de l’indignation. Non seulement elle ne fait plus l’affaire, mais elle est devenue le cache-misère de notre impotence.

    Ainsi, au Liban, le droit octroyé au peuple d’insulter le pouvoir est devenu, pour ce dernier, une soupape de sécurité. Cet exutoire verbal leur tient lieu de bouclier et nous infantilise, nous dispense de penser. Nos entreprises intellectuelles entretiennent, neuf fois sur dix, le cadre qu’elles prétendent combattre. « Il faut essorer le désespoir pour en faire de l’engrais pour le monde », me disait une amie, me soufflant l’idée de faire « un hôpital des mots ». De placer sous perfusion les mots qui ne disent plus rien de ce qu’ils veulent dire.

    Offenser la vie… et la mort

    Pour ma part, je placerais bien, dans des pièces isolées, étanches, dans un silence de mort, les mots « horreur », « famine », « injustice », « oppression », « occupation », « massacre », « humiliation », « ignominie ». Chacun de ces mots dont on se sert, à la louche, pour mieux oublier les gens qui en crèvent, chacun serait déshabillé, sommé de retrouver son sens avant de retourner dans une phrase. Car qui s’émeut encore d’un titre appelant à la halte d’un massacre ?

    Je conseillerais en revanche de mettre « finance » et « religion » dans la même chambre, en secteur psychiatrique. « Vie » et « mort » dans des lits jumeaux pour réapprendre à vivre ensemble. « Droits de l’homme » sur une table d’opération pour ablation d’« imposture ». « Justice » ayant perdu sa voix serait entre les mains des orthophonistes. « Culture », en service de pédiatrie, apprendrait à jouer sans se faire remarquer. « Liberté » et « vérité » sous dose massive de perfusion seraient sur le point de rendre leur dernier souffle.

    Lire aussi l’éditorial (4 mai 2021) :
    Liban : la France doit durcir les sanctions
    « Au Liban, quand deux chefs de guerre sont assis face à face, pour faire semblant de dialoguer, ils ne mentent pas, ils incarnent physiquement la disparition de la vérité »
    Echappés de leurs chambres voisines, « amour » et « humour » iraient à leur chevet leur faire du bouche-à-bouche. Soutenue par un régiment de médecins bienveillants, « bonté » retrouverait le goût de vivre qu’on lui avait enlevé en l’associant à la bêtise. Situé au dernier étage, « Dieu » se reposerait dans une salle tapissée de dessins d’enfants, interdite aux visites, pour une durée indéterminée. N’y auraient droit à la sortie que ceux qui ont du mal à y croire.

    Au Liban, quand deux chefs de guerre sont assis face à face, pour faire semblant de dialoguer, ils ne mentent pas, ils incarnent physiquement la disparition de la vérité. Rien, pas une once de vie dans un regard, ne dément cette absence : ces hommes offensent la mort en la singeant.

    En Occident, les chefs d’Etat ont encore le bon goût de n’offenser que la vie. Ils ont de la marge, de l’argent, des institutions, des armées, ils peuvent dialoguer, ils peuvent mentir. La différence n’est pas négligeable, mais elle s’arrête là.

    Une humanité en panne

    Il y a à la racine de toutes ces impuissances, un même terreau pourri. Une même maladie mentale qui ne relève pas de « X » ou de « Y » mais de cette construction carcérale à laquelle nous collaborons tous ou presque sous une forme ou une autre. Cette construction – communément nommée système ou ordre mondial – a acquis une autonomie de croissance et d’expansion proportionnelles à sa vanité et à notre perte d’autonomie individuelle.

    L’humanité enfle d’un côté, étouffe de l’autre. Elle vit à toute allure et elle est en panne. Il n’y a plus de résistance possible qui ne repose sur un postulat universel : le monde n’ira mieux que le jour où ce qui lui donne l’impression d’avancer lui donnera le vertige. A cet endroit, c’est tout notre vocabulaire, tous nos raisonnements, tous nos pays, toutes nos croyances qui sont concernés.

    Pour se faire entendre, il faudrait pouvoir dire n’importe quoi sur un ton jamais entendu. Contrairement aux luttes menées par ma génération, la bataille contre la #domination et la toute-puissance ne gagnera du terrain qu’à partir d’espaces aérés et sans concession, réinventés de A à Z. Elle aura fatalement un caractère artisanal. Sa fragilité sera sa force. Le mouvement a d’ailleurs commencé à l’échelle planétaire.

    Ce nouveau monde qui bouge à l’intérieur d’un monde échoué est conscient du fait qu’il faut tout replanter, à commencer par les mots, comme des arbres. Que, pour avoir du sens, chaque mot, chaque arbre, si modeste soit-il, doit être unique, irremplaçable. Ecouté comme on écoute la mer, le vent, le feu, un oiseau. Soigné comme un grand blessé.

    Dominique Eddé est une romancière et essayiste libanaise. Elle est notamment l’autrice d’Edward Said. Le roman de sa pensée (La Fabrique, 2017).

  • « De nombreux cultivateurs n’ont plus la capacité de produire » : l’#agriculture laissée en friche au #Liban | Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/decryptages/liban-agriculture-crise-economique-insecurite-alimentaire

    [le] pays [...] dispose de la plus importance surface de #terres arables du #Moyen-Orient.

    [...]

    Alors que des millions de Libanais sont menacés d’insécurité alimentaire d’après un récent rapport de l’ONG Human Rights Watch, le Liban continue d’importer 80 % de ses besoins alimentaires.

    [...]

    Pourtant, « l’agriculture pourrait être le moteur de la reprise économique au Liban », estime Maurice Saadé. « Parce qu’avec la dévaluation de la livre, elle pourrait devenir beaucoup plus compétitive », espère-t-il.

    #criminels #mafieux

  • Lebanese elites flee as banks come under attack - Asia Times
    https://asiatimes.com/2020/04/lebanese-elites-flee-as-banks-come-under-attack

    Lebanon’s central Banque du Liban began using “financial engineering” in 2016 to prop up the country’s longstanding dollar peg, offering steep interest rates for local currency accounts – in exchange for hard foreign currency.

    Some economists compared the practice to a #Ponzi scheme, dependent on a triangle of mutually assured destruction between BdL, the banking sector, and the political and business elite.

    Depuis hier des manifestants caillassent et/ou brûlent des banques, dont le siège sidonien de la BDL.

    #Liban « #élite » #banques #banksters #voleurs #criminels #mafieux

  • The Untold Story of the Trump-Ukraine ‘Scandal’: The Routine Corruption of US Foreign Policy – Consortiumnews
    https://consortiumnews.com/2019/09/26/what-isnt-mentioned-about-the-trump-ukraine-scandal-the-routine-corr

    After a Ukrainian prosecutor began looking into possible corruption at Burisma, Biden openly admitted** at a conference last year that as vice president he withheld a $1 billion credit line to Ukraine until the government fired the prosecutor. As Biden says himself, it took only six hours for it to happen.

    Exactly what Biden boasted of doing is what the Democrats are now accusing Trump of doing, and it isn’t clear if Trump got what he wanted as Biden did. 

    Threats, Bribes and Blackmail

    That leads to another major part of this story not being told: the routine way the U.S. government conducts foreign policy: with bribes, threats and blackmail.

    Joe Biden** Brags about getting Ukranian Prosecutor Fired - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=UXA--dj2-CY

    In 2016 Ukrainian Prosecutor General Viktor Shokin, in his investigation of corruption involving Burisma Holdings, a natural gas company, identified Hunter Biden as the recipient of over $3,000,000 from the company.

    #etats-unis #corruption #mafieux

  • [RussEurope-en-Exil] Emmanuel Macron et le mépris de la République, par Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-emmanuel-macron-et-le-mepris-de-la-republique-par-jacq

    La déclaration faite le 24 juillet au soir par le Président de la République, M. Emmanuel Macron, est grave[1]. Elle est grave d’un point de vue constitutionnel. Elle est grave d’un point de vue politique. Elle est grave d’un point de vue moral. Nous devons toujours nous souvenir que le Président de la République est […]

    • . . . . . . . .
      Mais, il y a nettement plus grave.
      Cette manière de revendiquer la totalité de la responsabilité pourrait être considérée comme courageuse, si elle avait été faite devant l’ensemble des français. Mais, tel n’a pas été le cas. Emmanuel Macron a prononcé ces mots devant une assemblée de fidèles qui lui était entièrement acquise et ce alors que les français attendent de lui qu’il s’explique depuis le début de l’affaire. Or, jusqu’à présent, le Président n’a trouvé ni le temps ni le courage de venir s’expliquer devant les français ? Ce n’est donc pas un discours de Chef de l’Etat, c’est un discours de chef de clan, de chef #mafieux, qui parade devant ses obligés.

      Surtout, cette déclaration fait un lointain écho au discours que Benito Mussolini prononça le 3 janvier 1925, devant le Parlement italien, à la suite du meurtre du député Matteotti qui s’était élevé contre les fraudes électorales, les intimidations et les pressions lors des précédentes élections d’avril 1924[6] : « Je vous déclare ici en présence de cette assemblée et devant tout le peuple italien, que j’assume à moi tout seul la responsabilité politique, morale et historique de tout ce qui est arrivé… Si le fascisme n’a été qu’une affaire d’huile de ricin et de matraques, et non pas, au contraire, la superbe passion de l’élite de la jeunesse italienne, c’est à moi qu’en revient la faute !

      Si le fascisme a été une association de délinquants, si toutes les violences ont été le résultat d’une certaine atmosphère historique, politique et morale, à moi la responsabilité de tout cela, parce que cette atmosphère historique, politique et morale, je l’ai créée par une propagande qui va de l’intervention dans la guerre jusqu’à aujourd’hui. »
      L’histoire jugera. Mais, la manière de revendiquer toute la responsabilité, comme si le Président était la seule source d’autorité, est profondément choquante au regard des traditions politiques et de la pratique de la République. La phrase prononcée par Emmanuel Macron subvertit, tant dans la forme que dans le fond, de manière tant directe qu’indirecte, l’ordre politique républicain actuel en France.
      . . . . . . . .
      [6] http://www.gauchemip.org/spip.php?article8465

  • Exclusive: Massive military base buildup suggests the U.S. shadow war in Somalia is only getting bigger – VICE News
    https://news.vice.com/en_us/article/xw7nw3/somalia-is-looking-like-another-full-blown-us-war

    Les #bourbiers, causes et conséquences des #complexes_militaro-industriels,

    The looming possibility of a yearslong quagmire has earned Somalia a nickname among military officials and locals: “People call Somalia Africa’s Afghanistan,” said one State Department contractor.

    #Etats-Unis #guerres #africom #Somalie #business #criminel #mafia #mafieux

  • Schooled in Scandal : What Makes #Ukraine a Hotbed of Intrigue
    By ANDREW HIGGINS and ANDREW E. KRAMEROCT. 7, 2017
    https://www.nytimes.com/2017/10/07/world/europe/ukraine-russia-manafort-corruption.html

    Les services de renseignement ukrainiens sont sous les ordres de la #CIA et au service des #oligarques au pouvoir, l’allié des #Etats-Unis #Poroshenko est, comme son prédécesseur pro-russe, un #mafieux, mais tout, ou presque, est de la faute à la #Russie,

    “The thread that ties strange things together in Ukraine is nearly always #corruption,” said Serhiy A. Leshchenko, an opposition member of the Ukrainian Parliament and vociferous critic of President Petro O. Poroshenko.

    [...]

    “[Ukraine’s] attempts to stay democratic while building a nation are often messy, its oligarchs all powerful and, given the virtual absence of state control over media and oligarchic competition, post-Soviet corruption is out in the open,” Mr. Plokhii said.

    Ukraine’s domestic intelligence service, or S.B.U., its powers of #surveillance greatly enhanced by monitoring equipment provided by the United States after Mr. Yanukovych decamped to Russia, has added its own highly selective and distorted form of transparency by leaking information about alleged wrongdoing, often for political or financial gain.

    Controlled by Mr. Poroshenko , the S.B.U. has become a tool in domestic political and business battles, with anti-corruption activists accusing it of working to undermine, not help, their cause.

    [...]

    The Central Intelligence Agency tore out a Russian-provided cellphone surveillance system, and put in American-supplied computers, said Viktoria Gorbuz, a former head of a liaison office at the S.B.U. that worked with foreign governments.

    Ms. Gorbuz’s department translated telephone intercepts from the new system and forwarded them to the Americans. “This team would translate and immediately, 24 hours a day, be in full cooperation with our American colleagues,” she said.

    [..,]

    Ukrainian officials invariably cite Russian meddling to explain why anti-#corruption and other steps demanded by the West have often faltered. While Russia is a convenient excuse, it is also a very real menace.

    [...]

  • Systematic Deceit from the NSA | Bea Edwards
    http://www.huffingtonpost.com/bea-edwards/systematic-deceit-from-th_b_3708145.html

    Le #lanceur_d'alerte doit alerter ses supérieurs, pour mieux se faire botter les fesses.

    General Hayden disputed the fact that Edward Snowden, the former National Security Agency (NSA) contractor who disclosed the wholesale electronic surveillance of Americans, is a whistleblower. Because Snowden did not make his disclosures through internal channels at the NSA, Hayden strongly implied - without actually saying so - he is a traitor.

    (...)

    To be sure, Snowden did not go to his supervisors or to the Congress. He did not do this because four other NSA whistleblowers (only three of whom are public) had already done it, and they had been subjected to demotion, termination and FBI raids. One of them was indicted under the Espionage Act and investigated for four years before the charges imploded. The unfortunate Congressional staffer who supported their allegations was also raided at home by the FBI and is now suing the government for the return of her personal effects.

    Snowden did not follow this same course because he was aware of what had happened. He has said as much.

    Even more to the point, Hayden knew all about this, too. In fact, General Hayden was at the top of the internal channel that meted out such vicious reprisal against the previous NSA whistleblowers. William Binney, a heavyweight whistleblower at the NSA (and GAP client), spent the better part of a van ride back to the agency from downtown Washington, D.C. telling Hayden - then NSA Director - that the surveillance program Trailblazer was an unconstitutional, inoperative, overpriced boondoggle cobbled together by SAIC, and it should be stopped. Hayden did nothing , and when he found that Binney had taken his evidence to a Congressional Committee, he retaliated mercilessly. He had Binney demoted and he informed the staff at the NSA that no one was to tell Congress anything different from what he - Hayden - told them to say. In October 2001 Binney resigned from the NSA, disgusted at the way in which the agency’s ineptitude left the US vulnerable to the attacks of September 11.

    Nonetheless, the General had no problem at all staring straight into the [Fox News] camera yesterday morning and deliberately misleading his audience about the effectiveness of internal channels for whistleblowers at the NSA. Note the care with which Hayden chose his words. He didn’t actually say that Snowden should have used internal channels. He only said there’s no evidence that he - Snowden - did so.

    In contrast, we have mounting evidence that those who should inform us about the activities of the intelligence community cannot be trusted. Like Hayden’s Fox News interview yesterday, their statements are designed to mislead. James Clapper said exactly that when he admitted that he provided an open congressional hearing on March 12, 2013 the “least untruthful” account of the NSA’s surveillance operations possible. In other words, Clapper did not ’misspeak.’ He carefully elaborated a false answer and then gave it to a Senate committee under oath.

    The problem is not just these misleading officials, either. There is a structure of deceit around the NSA programs. The intelligence agencies constructed a system intended to mimic Constitutional checks and balances: a secret court and closed legislative briefings with gagged lawmakers. Spokesmen like current NSA Director Keith Alexander then claim the programs were vetted by all three branches of government.

    Michael Hayden, Keith Alexander, James Clapper and their ilk represent a political force intent upon strengthening and expanding the surveillance of citizens, for whatever reason . Maybe it builds their fiefdoms, or enriches their contractor cronies, or assuages their paranoia. We don’t know. What we do know is that they have a record of deceit in this regard. When they have to mislead the public or the Congress, they have done so, without even breaking the tell-tale Nixonian sweat.

    They’ve been pretty successful. The budget of the NSA has doubled, at the very least, since 9/11 (it’s a secret budget, so it’s hard to tell), although the agency’s record is a disgrace. Trailblazer, which Binney denounced to Hayden, was abandoned in 2005 as a dead loss. Two disturbed teenagers from Dagestan, who bombed the Boston Marathon finish line, evaded the NSA, although Russian intelligence tipped US intelligence twice that the brothers were suspect.

    There’s simply no accountability at the NSA - not for the crimes and not for the cover-up. Not for the deception, and not even for the poor performance. If anyone has betrayed the United States, it’s Hayden and Alexander, not Edward Snowden.

    #surveillance #trahison #mensonges #mensonges_éhontés #manipulation #mafieux #nsa #whistleblower #snowden

  • #Israel : Le #Mossad et son #prisonnier « #X » ?
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1630
    La #nationalité australienne au service du Mossad !

    L’opacité des pratiques dont font montre les #institutions i#sraéliennes n’ont pas d’égal. Et ce ne sont pas les #médias, jouant le rôle de garde-fous dans certains #pays , qui tiennent la #mission ou l’ #autorité de révéler les #actes #criminels. Si les #délits #économiques et #mafieux, commis à l’étranger par les #israéliens, restent impunis, une fois leurs auteurs rentrés au bercail, les #affaires de la #guerre dites « contre les ennemis » sont inaccessibles à toutes #expressions ou transparences.