Motivés par le passage à l’action et l’expérimentation, les partisans de ces nouvelles façons de faire sont tout autant des #activistes que des #artistes, rebelles, constructeurs, bricoleurs, #makers ou #hackers. Portés par le désir de donner vie aux utopies concrètes, ils agissent en réseau, collaborent et apprennent en permanence de leurs essais. Agiles, ils naviguent entre réel et virtuel, entrent et sortent des écrans en offrant à la fois de nouveaux outils de production et de diffusion et des champs d’expérimentation élargis...
Si l’institution agit déjà depuis quelques années sur ces questions, elle souhaite passer à la vitesse supérieure et favoriser l’appropriation de biens communs. Aussi l’agenda des événements propose-t-il des rencontres variées avec des acteurs de cartographie ouverte Open Street Map, des formations au SILEX, des rencontres des acteurs de l’économie collaborative lors d’un CoTuesday, des réflexions sur les apports d’une approche ouverte dans les sciences, dans le droit ou dans l’entreprise, une formation à l’usage des licences #Creative_Commons,
La région Ile-de-France souhaite aussi rendre les 400 jeux de données publiques de son portail d’Open Data plus lisibles et accessibles, et donc plus utilisables. La dépense régionale va désormais être suivie en temps réel, et 100 000 images en haute définition issues des archives du patrimoine vont être passées en licence ouverte. La région va également insister sur l’usage de la licence Creative Commons, appliquée non seulement à son site, mais aussi dans les marchés publics d’achat.
En attendant, voici d’autres exemples de projets open-source dont on est libre de s’inspirer...